Économie marocaine-Tome 1-

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Rappel du premier message :

13.03.2007 | 16h42
Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.

"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.

Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc".
"Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.

Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.

Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée.
La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.

Source: MAP

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Citation :: Tanger-med brise le monopole d’Algésiras

Le port Tanger-Med brise le monopole d’Algésiras, selon le quotidien britannique des milieux d’affaires, Financial Times.

Le quotidien britannique des milieux d’affaires, Financial Times, a souligné mardi l’importance stratégique du complexe portuaire Tanger-Med, soulignant que ce port vient briser le monopole exercé jusqu’à présent par le port espagnol d’Algésiras.
Le monopole d’Algésiras a été brisé en septembre 2007, lorsque des bateaux ont commencé à se diriger vers le port de Tanger où la compagnie APM, qui fait partie du groupe danois AP Moller-Maersk, et un partenaire local ont construit le deuxième plus grand terminal à conteneurs du détroit de Gibraltar, indique le journal dans un article intitulé: «Tanger: le Maroc satisfait les besoins de la Méditerranée». Un deuxième terminal à conteneurs, qui sera géré par un autre consortium, est en cours de construction, note le quotidien, soulignant que la croissance de la part des deux terminaux dans le trafic via le détroit est garantie en partie à cause des limites du port d’Algesiras. Construit en 1986 et opéré depuis lors par «APM Terminals», le port espagnol «est devenu victime de son propre succès», ajoute le Financial Times, soulignant que Tanger-Med se présente comme un port attrayant en terme de coût d’exploitation et de capacité d’expansion par rapport à son concurrent espagnol. Or, concède la publication, le port de Tanger risque d’être vulnérable à la concurrence d’autres complexes portuaires dans la région notamment celui de Jabal Ali, aux Emirats Arabes Unis. Toutefois, les experts internationaux, à l’instar de Neil Davidson, analyste au sein du cabinet de conseil londonien «Drewry», ne manquent pas de souligner les vastes opportunités qui s’offrent au port marocain. Ce dernier devra renforcer l’attractivité du Maroc et consolidera la connectivité du pays, indique l’expert, relevant que les exportations et les importations du Maroc peuvent transiter par le port de Tanger, qui commencera à concurrencer prochainement avec l’autre grand port de Casablanca. Par ailleurs, le quotidien londonien indique qu’une zone de libre échange est en train d’être construite près du port par la même compagnie basée à Dubaï qui gère le port de Jabal Ali.
Martin Poulsen, directeur pour l’Europe et l’Afrique du nord au sein d’APM Terminals, a relevé que les ports d’Algésiras et celui de Tanger-Med ont chacun ses propres avantages, précisant que le port marocain devra recevoir 500.000 unités de conteneurs cette année avant de tourner à plein régime en 2009 avec une capacité de 1,5 million d’unités.

Le 26-3-2008
Par : MAP

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Citation :: Le Maroc ambitionne de développer les aéroports verts

RABAT, 27 mars (Xinhua) -- Les aéroports au Maroc seront bientôt classés parmi les premiers aéroports internationaux verts respectant les normes de l'environnement, grâce à l'utilisation d'énergies propres, a indiqué jeudi le Directeur général de l'Office national des aéroports (ONDA), Abdelhanin Benallou.

L'ONDA est en phase de finaliser un projet "très important" visant à alimenter les aéroports en énergie éolienne, a précisé M. Benallou, ajoutant que l'ensemble de la production électrique dans les aéroports marocains proviendra de cette énergie non polluante et durable, qui sera générée et acheminée depuis le sud du Maroc vers le réseau de l'ONDA qui se chargera de sa distribution sur l'ensemble des aéroports dans le pays.

Avec ce projet, l'ONDA compte également économiser sur les coûts de production, en substituant la production électrique à base de charbon et de pétrole, généralement alignée sur les cours mondiaux, à celle à base d'énergie propre.

Ce projet, qui sera doté d'un parc éolien d'une puissance variant entre 10 et 20 MW, nécessitera une enveloppe budgétaire de 25 millions d'euros, entièrement financé par le secteur privé.

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Citation :: Maroc

L'aéroport de Benslimane fonctionnel en avril
28-03-2008

L'aéroport de Benslimane sera opérationnel dès le début du mois prochain. Doté d'une piste d'atterrissage de 3,2 km de long et 45 mètres de large, il peut recevoir de gros porteurs tels que le B747.

Il dispose d'une aire de stationnement pouvant accueillir 5 appareils de type B737.

Sur un total de 15 hangars de 1000 m2 chacun, 3 sont déjà exploités par Royal Air Maroc et l'Ona, alors que 2 autres sont en cours d'attribution, et 10 en voie d'achèvement.

Citation :: Maroc: TGV Tanger-Casablanca en 2014

Le TGV reliera Tanger et Casablanca fin 2013 ou au plus tard au début de l'année 2014, a affirmé vendredi le directeur général de l'Office national des chemins de fer (ONCF) Rabie Khlie.
Intervenant lors d'une rencontre avec les opérateurs du nord du Maroc, M. Khlie a précisé que cette section de la ligne TGV nécessite un investissement global de 20 milliards de dirhams (1,73 milliard d'euros).

Le projet, qui porte sur la construction d'une ligne à grande vitesse (de 200 à 320 km/heure) et l'acquisition de 18 trames TGV, permettra de réduire la durée du trajet entre les deux pôles économiques à 2 heures 10 au lieu de 5 heures 45, a précisé le responsable cité par l'agence marocaine MAP.

Source: AFP

Citation :: Nexans Maroc fournira Airbus en câbles high-tech Version imprimable
Maroc
28-03-2008

Nexans, leader mondial de l'industrie du câble, fournira à Airbus des câbles de nouvelles technologies destinés aux avions dernière génération Airbus (familles A320, A350 et A 380), pour un montant de 170 millions d'euros, étalé sur 6 ans. 40% de la commande sera réalisée par la filiale marocaine du groupe.

Nexans Maroc investira 110 millions de dirhams pour cette opération dont la production commencera début 2009 à l'usine de Mohammedia.

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yakousa a écrit:

Citation :: Le Maroc ambitionne de développer les aéroports verts

RABAT, 27 mars (Xinhua) -- Les aéroports au Maroc seront bientôt classés parmi les premiers aéroports internationaux verts respectant les normes de l'environnement, grâce à l'utilisation d'énergies propres, a indiqué jeudi le Directeur général de l'Office national des aéroports (ONDA), Abdelhanin Benallou.

L'ONDA est en phase de finaliser un projet "très important" visant à alimenter les aéroports en énergie éolienne, a précisé M. Benallou, ajoutant que l'ensemble de la production électrique dans les aéroports marocains proviendra de cette énergie non polluante et durable, qui sera générée et acheminée depuis le sud du Maroc vers le réseau de l'ONDA qui se chargera de sa distribution sur l'ensemble des aéroports dans le pays.

Avec ce projet, l'ONDA compte également économiser sur les coûts de production, en substituant la production électrique à base de charbon et de pétrole, généralement alignée sur les cours mondiaux, à celle à base d'énergie propre.

Ce projet, qui sera doté d'un parc éolien d'une puissance variant entre 10 et 20 MW, nécessitera une enveloppe budgétaire de 25 millions d'euros, entièrement financé par le secteur privé.

c une bonne nouvelle surtout avec le prix de petrole qui flombent Evil or Very Mad

l ONDA montre la voix pour le reste des entreprises marocaines

Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 29 Mar 2008 - 12:58

oui c vrai mai moi je pensais plutot a l'energie solaire imaginez un peu chaque toit d'administration de terrain sportif d'hopitaux d'aeropôrt de hangar etait equipé de panneaux solaire sachant qu'on a 300 jour de soleil par an je crois que ça serait plus benefique que les heolienne regardez celles implanter a coté de tanger elle devisagent le paysage et cela est une autre forme de pollution alors que des paneau solaire sur des toit en milieu urbain ça passe et ça ne se voit pas ou que a partir d'un avion

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Citation :: SM le Roi lance les travaux de construction d'une centrale thermo-solaire à Beni Mathar
Beni Mathar (Jerada), 28/03/08- SM le Roi Mohammed VI a procédé, vendredi à la commune de Beni Mathar (province de Jerada), au lancement des travaux de construction d'une centrale thermo-solaire à cycle combiné, la première du genre au monde , dont la réalisation nécessitera une enveloppe de l'ordre de 4,6 milliards de dirhams.

Le financement de ce projet important, qui sera réalisé par le groupe espagnol "Abengoa" à Beni Mathar à 86 km au sud de la ville d'Oujda, sera assuré par la Banque africaine de développement (BAD) et un don de 44 millions de dollars du Fonds mondial pour l'environnement (GEF), ainsi que par d'autres sources de financement, un complément étant assuré par les fonds propres de l'Office national de l'électricité (ONE).

D'une puissance de 472 MW, dont 20 MW à partir de la composante solaire, cette Centrale contribuera à hauteur de 8,5 pc de la production nationale et de 10 pc de la pointe du soir. Elle sera érigée sur une superficie de 160 ha, pour un champ solaire d'environ 88 ha.

Le projet fut initialement conçu pour une capacité de 230 MW, mais il a été décidé, en juillet 2006 en concertation avec les soumissionnaires et les bailleurs de fonds, de porter cette capacité à 472 MW en raison de la forte croissance de la demande et du besoin d'optimiser l'utilisation du gaz de redevance qui alimentera la station.

La Centrale thermo-solaire de Beni Mathar, dont la mise en service est prévue à partir du 2-ème semestre 2009, permettra une économie de 12.000 tonnes de fioul par ans et une réduction des émissions de CO2 de 33.500 tonnes par an.

Avec cette Centrale, les moyens de production installés dans l'Oriental qui couvrent actuellement 60 pc des besoins de la région, deviendront excédentaires de 300 MW. Cet excédent bénéficiera aux autres régions du Royaume.

lien: http://www.map.ma/fr/sections/activites_roi/sm_le_roi_lance_les_19/view

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younes-spirit a écrit:: oui c vrai mai moi je pensais plutot a l'energie solaire imaginez un peu chaque toit d'administration de terrain sportif d'hopitaux d'aeropôrt de hangar etait equipé de panneaux solaire sachant qu'on a 300 jour de soleil par an je crois que ça serait plus benefique que les heolienne regardez celles implanter a coté de tanger elle devisagent le paysage et cela est une autre forme de pollution alors que des paneau solaire sur des toit en milieu urbain ça passe et ça ne se voit pas ou que a partir d'un avion

si tu le savais pas,l´eolien est plus promettant que les photovoltaiques,
d´une part,un toit d´un batiment ne pourra jamais generer autant d´energie necessitée dans ces batiments,en plus elle est tjs tres couteuses ces plaques
par contre,les eolienes sont bcp plus efficaces dans la generation,pour le panorama je m´en fiche tant que j´ai l´electrifité efficiente chez moi Wink

par exemple,la station de beni mathar aura une hgrande surface d´equipements solaires pour seuelemtn 20MW...quand des parcs comme souira et tanger generent plus que 60 et 100MW

Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 29 Mar 2008 - 21:37

je suis d'accord avec Yakousa, avec le littoral que possède le Maroc, j'imagine ce des parcs d'éoliennes installés au large des côtes pourraient produire comme électricité.

Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 29 Mar 2008 - 22:29

les coup de revient peuvent etre diminuer si les plaque sont produit au maroc ça fera travailler du monde en plus pour l'entretien y'aura besoin de personne pour cela donc on fera travailler des gens quand meme et puis ça sera vite fai amorti grace au fait que le maroc a un nombre de jour d'ensoleillement tres grand
de plus il y'a deja un precedent une ville en allemagne qui obtient 25% de son energie via ce procédé je ne voius pas pourquoi eux ils y arivent et pas nous

Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 29 Mar 2008 - 22:32

pour un pays qui veux attirer des touristes ferait mieux de preserve ses paysage vous ne croyez pas vous vous en foutez peut etre de ça mais il y'a des gens qui vivent grace a ça ne l'oublion pas

Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Dim 30 Mar 2008 - 12:41

Si le Maroc est intéressé par les énergies renouvelables, il y a aussi le biogaz...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Biogaz

J'ai vu à la TV un village allemand dont la totalité de l'électricité consommée provenait de biogaz transformé par une turbine.

Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Dim 30 Mar 2008 - 13:37

le biogaz est une matiere pemiere a importer bien sur on reste dependant de l'exterieur alor que le soleil ça ne nous coute rien c gratuit et on en a a profusion par contre le biogaz est une bonne resources pour les transport en commun au lieu des poubelle qui roulent dans nos villes
le maroc peut atteindre une certaine eutharcie dans certain domaine on devrai essayer de s'en approcher

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qué st ce que tu raconte la...le biogaz provient des dechets menagers et de ton kaka etc...ca aussi on doit l´importer??
Laughing

Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Dim 30 Mar 2008 - 13:49

a wi je sui con desolé mais bon je crois que lli fina yekfina hein ?? Smile

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Citation :: Island Oil & Gas Extends Reconnaissance Contract in Morocco

Wednesday, April 02, 2008

Island Oil & Gas plc announces that San Leon (Morocco) Ltd, the Operator, has been granted a 12 month extension to the Exclusive Reconnaissance Licence in the Zag Basin onshore Morocco, by the Office National des Hydrocarbures et des Mines (“ONHYM”). The extension is effective from 24 December 2007.

The work programme that has been committed to comprises geological and geophysical studies and the acquisition, processing and interpretation of aeromagnetic data.

The joint venture partners in the Licence are San Leon (Morocco) Limited (50%), the designated operator; GB Oil and Gas Ventures Limited.(30%) and Island Oil & Gas plc (20%).

Citation :: Tekfen Plans to Invest $480 Million in Morocco Fertilizer Plant

By Seda Sezer

April 2 (Bloomberg) -- Tekfen Holding AS, a Turkish construction company, said it will increase its investment in a planned fertilizer plant in Morocco to $480 million as the demand for fertilizer rises.

Istanbul-based Tekfen said it will seek a partner in the industry in Morocco to help finance the investment, according to a filing with the Istanbul Stock Exchange late yesterday. Tekfen also plans to double its investment in a new fertilizer plant in the northern city of Samsun to $96 million, it said.

Tekfen postponed planned investments in ports that it runs at Ceyhan on the Mediterranean and Samsun on high costs, the statement said.

Invité

younes-spirit a écrit:: le biogaz est une matiere pemiere a importer bien sur on reste dependant de l'exterieur alor que le soleil ça ne nous coute rien c gratuit et on en a a profusion par contre le biogaz est une bonne resources pour les transport en commun au lieu des poubelle qui roulent dans nos villes
le maroc peut atteindre une certaine eutharcie dans certain domaine on devrai essayer de s'en approcher

Le biogaz n’est pas le GPL ou le GV. on peut le produire par la fermentation de matières organiques animales ou végétales en l'absence d'oxygène. L’opération peut être appeler méthanisation aussi c’est 100% naturel et ça règle le problème des décharges . Par contre les panneaux solaire est une technologie peu rentable ex : pour le besoin d’une surface de 100m² il faut 100m²panneaux sans une possibilité de stockage d’énergie

je ne pretend pas que ça couvrira les besoin du maroc mais bon je crois que ça pourai aider ennormement c pour cela d'ailleur que le roi a inaugurer une central denierement je ne sais plus ou je l'ai lu mais bon dés que je retrouve je poste l'article et les foto si c possible

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Citation :: Le biogaz n’est pas le GPL ou le GV. on peut le produire par la fermentation de matières organiques animales ou végétales en l'absence d'oxygène. L’opération peut être appeler méthanisation aussi c’est 100% naturel et ça règle le problème des décharges . Par contre les panneaux solaire est une technologie peu rentable ex : pour le besoin d’une surface de 100m2 il faut 100m2panneaux sans une possibilité de stockage d’énergie

Je suis tout à fait d'accord avec toi. L’énergie produite par des panneaux solaires (photovoltaïques) reste relativement chère (cause : prix du silicium). Par contre le Maroc a d’autres alternatives. Ce qui lui manque c’est une détermination politique ! Car à mon avis le gouvernement ignore que la flambé du prix de pétrole ce n’est pas un pique de passage mais une réelle tendance due à la demande croissante des pays émergents comme la chine. En ce qui concerne les alternatives, il y a notre réserve de schistes bitumineux (3ème mondiale). Ces schistes c’est du pétrole immature qui nécessite une valorisation par un procédé chimique afin d’obtenir une huile énergiquement comparable au pétrole standard. Cette valorisation coute un certain prix, ce qui a fait qu’on ne s’est pas intéressé à ca dans le passé (époque du 30dollars le baril) mais avec le prix actuel ca vaut la peine. D’ailleurs le canada (1ère réserve mondiale) commence à l’extraire à une échelle industrielle.

Invité

Citation :: Attijariwafa bank, meilleure banque au Maroc selon Global Finance

Attijariwafa bank a été élue par l’enquête du magazine américain Global
Finance « Best Emerging Market Banks Awards 2008 » meilleure banque au
Maroc.
Cette
distinction récompense les performances du groupe bancaire sur la base
des critères de la croissance des actifs, la profitabilité, les
relations avec les investisseurs, la qualité du service, la
compétitivité des prix et l’innovation dans les produits, selon un
communiqué de presse de la banque. Cette enquête indépendante est
réalisée annuellement depuis 15 ans par la publication financière en
partenariat avec des experts financiers internationaux. Global Finance
a désigné le groupe Attijariwafa bank meilleure banque au Maroc depuis
2004. Les résultats globaux de l’enquête feront l’objet d’une
publication dédiée en mai prochain.

http://www.aujourdhui.ma/instantanes-details60851.html

Invité

Citation :: Une société catalane de composants automobiles s’implante au Maroc

Une
société catalane spécialisée dans la fabrication de composants
automobiles a annoncé son intention de s’implanter dans le nord du
Maroc. La société "FICOSA", qui possède des usines dans 19 pays, mène
actuellement des études pour l’ouverture d’une unité de production dans
la ville de Tanger aux côtés de deux autres sociétés.

La société catalane veut tirer profit des opportunités offertes
par le groupe Renault-Nissan qui a décidé de s’implanter dans le nord
du Maroc à travers la création d’une unité de production de 200.000
voitures par an.

L’ouverture d’une unité de production d’une telle envergure
nécessite la recherche d’autres partenaires et associés pour pouvoir
faire face aux coûts qu’exige le projet. FICOSA envisage pour cela de
faire appel au gouvernement autonome de Catalogne pour accompagner la
création de cette unité dans le nord du Maroc.

FICOSA, spécialisée dans la fabrication de composants et pièces de
voitures, emploie quelque 7.000 ouvriers et génère un chiffre
d’affaires de près de deux milliards d’euros.

Le Maroc avait signé en 2007 un protocole d’intention avec
l’alliance Renault-Nissan pour l’implantation d’un complexe industriel
dans la région de Tanger. En vertu de cet arrangement, le site
disposerait, à l’horizon 2010, d’une capacité installée de 200.000
véhicules, avec une extension possible à 400.000 véhicules, ce qui en
ferait l’un des sites de production les plus importants du bassin
méditerranéen.

http://www.bladi.net/17701-societe-catalane-automobiles-maroc.html

Invité

Citation :: Maroc- ONU- Développement

APA- Rabat (Maroc)
Le Secrétaire Général Adjoint des Nations Unies et Secrétaire exécutif
de la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA),
Abdoulie Janneh, a salué lundi à Rabat la stratégie du Maroc en matière
de coopération sud - sud.

S’entretenant
avec le chef de la diplomatie marocaine, Taib Fassi Fehri, le
responsable onusien a salué les efforts du Maroc pour la réalisation
des objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) via une
coopération sud - sud « solidaire et concrète », indique la première
chaîne de télévision marocaine.

« Le Maroc plaide la cause du développement humain de
l’Afrique » au sein des instances internationales, a souligné le
secrétaire exécutif de la CEA dont le siège pour l’Afrique du Nord se
trouve à Rabat.

La CEA compte 53 pays membres répartis en cinq sous
régions: l’Afrique du nord, l’Afrique de l’Ouest, l’Afrique Centrale,
l’Afrique de l’Est et l’Afrique Australe.
Dans le cadre du Millénaire pour le développement, dont les objectifs
sont fixés pour 2015, le Maroc a tissé des partenariats avec plusieurs
pays africains dans des domaines en liaison avec la stratégie mondiale
de lutte conte la pauvreté et l’exclusion, indique-t-on à Rabat. Parmi
ces domaines figurent notamment la santé, l’habitat, l’eau et
l’agriculture, les services et la formation. La part du budget public
au Maroc allouée aux secteurs sociaux est passée de 39 pour cent en
1993 à plus de 55 pour cent en 2005, date du lancement de l’Initiative
Nationale pour le Développement Humain (INDH) qui vise à réduire la
pauvreté et à placer le développement humain au centre de l’action de
l’Etat.

Une enveloppe de plus d’un milliard de dollar est
affectée à cette initiative, réservée à plus de 6 millions d’âmes, soit
20 pour cent de la population marocaine.

http://www.apanews.net/apa.php?page=show_article&id_article=59982

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le maroc est plus prisé que jamais

Morocco: one of the strongest investment options in the world.

Invité

Citation :: 11-04-2008
De nouvelles mines d’or et d’argent découverts au Maroc !

Des mines de matériaux précieux (notamment Or et Argent) ont récemment été découvertes au Maroc. Les découvertes de ces nouvelles mines représentent « un niveau record ». Ces nouvelles réserves découvertes sont attendus à jouer un rôle primordial notamment pour certaines entreprises marocaines actives dans le secteur des mines. La baisse du dollar et du cours du zinc, ainsi que la hausse des cours de cobalt ont quelque peu impacté les résultats de certaines de ces entreprises tel que Managem. Présentés mardi, à Casablanca. Le chiffre d’affaires consolidé du groupe n’a pratiquement pas évolué. Il s’est établi à 2,208 milliards de DH en 2007 contre 2,204 l’exercice précédent.

http://www.africanmanager.com/articles/116203.html

Citation :: 11-04-2008

Ubisoft Maroc mise sur une école de jeux vidéo

Ubisoft Maroc est sur la trace de son collègue québécois. Elle compte lancer une école de jeux vidéo, appelée Campus Ubisoft. Celle-ci sera très proche de ce que font les Canadiens, d’après le top management, Cyril Vermeil. La formation s’étalera sur un an et demi dont 6 mois de stages. Les promoteurs du projet sont actuellement en discussion avec les pouvoirs publics. Le but est d’attirer leur attention sur l’enjeu économique du divertissement numérique (jeux vidéo, cinéma d’animation...). Jusqu’à présent rien n’a été confirmé sur ce plan là.

En tout cas, l’annonce officielle de la naissance du Campus Ubisoft est fixée aux alentours du 21 avril, juste avant le Salon de l’étudiant.

http://www.africanmanager.com/detail_article.php?art_id=116202

Invité

Citation :: Casablanca/ Tramway: Les premiers travaux en 2009

· La 1re ligne reliera Sidi Moumen et Hay Hassani

· Un tracé de 28 km avec 40 stations

· Près 40 rames à acquérir

LE projet du tramway de Casablanca prend forme. Lentement. En effet, pour les usagers, ce chantier tarde à venir, comparé à Rabat. «Ce n’est pas une chose que l’on peut réaliser en claquant des doigts», souligne une source proche du dossier. Et d’ajouter que «le projet se concrétisera». Ainsi, à terme, la capitale économique devrait avoir quatre lignes de tramway, une ligne de métro (21 km) et une autre ligne de RER (réseau express régional) d’une longueur de 63 km. «La première ligne sera mise en service sur l’axe Sidi Moumen-Hay Hassani», conclut le rapport technique de la ville. Un rapport qui a été présenté fin mars dernier et qui annonce le lancement des premiers travaux pour 2009. Le planning a été arrêté par le comité de pilotage en accord avec le bureau d’études et le maître d’ouvrage. Par ailleurs, l’ouverture d’autres lignes est à terme au programme. Ainsi, la zone de Sbata sera reliée au centre-ville, soit un parcours de 11 km. La capacité de transport sera de 8.200 personnes par jour. Le segment Moulay Rachid/Corniche a été aussi analysé. Un trajet de 18 km et d’une capacité de 9.600 passagers, a été défini. Une autre ligne de 29 km est prévue entre Sidi Moumen et Lissasfa. Celle-ci offre une capacité de transport de 18.000 usagers en heure de pointe.
Rappelons que c’est la ligne Sidi Moumen Hay Hassani qui sera lancée en premier. Tracée sur 27 km, celle-ci pourra transporter un maximum de 19.000 voyageurs aux heures de pointe. «C’est un corridor dont la fréquentation journalière est de 200.000 à 380.000 passagers», indique un cadre de la mairie.
Les critères qui ont poussé les responsables casablancais à faire ce choix ne manquent pas. Primo, c’est une ligne qui dessert un volume important de population et traverse des équipements publics générateurs de déplacements : gares, quartiers des affaires, hôpitaux, universités, etc. Secondo, l’axe retenu a aussi l’avantage de permettre une couverture géographique très large en desservant les plus grands quartiers de l’agglomération tout en permettant son intégration dans un réseau maillé à terme. L’autre argument qui milite pour la ligne Sidi Moumen Hay Hassani est que «cet axe est un vecteur économique et touristique, car il offre aux usagers la grande fluidité des déplacements entre les grands projets urbains, les pôles économiques et touristiques», affirme un élu au conseil de la ville. Une quarantaine de stations jalonneront l’ensemble du tracé. En ce qui concerne le matériel roulant, la ville a prévu près de 40 rames de 60 m de long. «Le lancement des appels d’offres est prévu pour juin prochain», affirme un élu au conseil de la ville. La mise en service de la première ligne est annoncée pour 2012.

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Citation :: Gestion de l’eau

Le Maroc «champion» de la Mena

· En 2005, seuls 56% des Marocains avaient accès à l’eau

· La capacité de stockage des barrages au Maroc est de 16,1 milliards de m3

La soif guette les pays de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena) à l’horizon 2050, tel est le constat alarmant du dernier rapport de la Banque mondiale. Ces pays ont beau avoir une diversité de paysages et de climats, ils peinent à satisfaire les besoins de leurs populations en eau. Et, plus inquiétant encore, l’avenir: la disponibilité de l’eau par habitant diminuera de moitié et s’accompagnera de graves conséquences pour la nappe phréatique et les réseaux hydrauliques déjà limités.
Démographie, pollution, instabilité des niveaux de précipitations dues aux changements climatiques, autant de facteurs qui impacteront la disponibilité de la ressource hydrique. Les pays de la Mena seront-ils en mesure de relever ces défis? En tout cas, le pire est à craindre: les services d’eau potable seraient moins disponibles, les villes dépendraient de plus en plus de la désalinisation de l’eau de mer au prix fort, l’agriculture irriguée ne sera pas épargnée et les revenus des agricultures en seront affectés. Toutes ces conséquences auront des effets sur la croissance économique et la pauvreté des pays concernés qui pourraient, de ce fait, connaître des périodes de conflits politiques et de tensions sociales. Les pays de la région Mena commencent à prendre conscience de la raréfaction de l’eau et adoptent progressivement des systèmes économiques pour assurer une répartition de l’eau basée sur des principes d’efficacité et de flexibilité.
Devant la gravité de la problématique de l’eau, il est devenu impérieux d’engager des réformes sur les plans technique et politique dans la majorité des pays de la Mena. Au programme, l’instauration d’un mode de planification qui tienne compte de la qualité et de la quantité de l’eau disponible, la réforme des tarifs de l’alimentation en eau, le renforcement de la réglementation de l’environnement...
Les efforts consentis ne permettent pas d’obtenir les résultats escomptés. La disponibilité de l’eau continue toujours de poser problème dans nombre de pays de la région Mena. L’eau continue d’être gaspillée au lieu d’être allouée à des utilisations à grande valeur ajoutée. Malgré des années de pluviométrie normale, l’eau vient parfois à être coupée dans certains pays. Les économies et les populations restent à la merci des aléas de la météo. La surexploitation de la nappe phréatique grève les actifs nationaux dans des proportions représentant jusqu’à 2% du PIB. Et le coût des problèmes d’environnement liés à l’eau peut atteindre 2,5% du PIB par an.
Malgré les importants investissements consentis, certains Etats n’obtiennent pas de résultats probants. Mais, dans nombre de pays, les défenseurs de l’environnement se mobilisent. D’anciens opposants à la réforme se rallient maintenant à la cause de la préservation de la ressource hydrique. De nouveaux cercles leur emboîtent le pas dans les administrations. Des petits groupes sont maintenant sensibles aux nouvelles opportunités commerciales et touristiques, et sont disposés à payer les frais inhérents à une politique de l’eau. Les conditions sont donc désormais réunies pour engager les réformes nécessaires dans le domaine de l’eau et instaurer les mécanismes à même d’en évaluer les résultats.
Les pays de la Mena ne sont pas tous logés à la même enseigne puisque certains réalisent des progrès remarquables dans le secteur de l’eau et leurs hydrauliciens comptent parmi les meilleurs du monde. Le Maroc est considéré comme le «champion» de la Mena. Et ce, à plusieurs niveaux. Il a mis en œuvre des politiques novatrices qui portent déjà leurs fruits. A l’instar de quelques rares pays, il est même allé jusqu’à créer un ministère en charge de la gestion de l’eau. Le secteur privé est mis à contribution dans le financement et l’expertise nécessaire dans ce secteur, mais le désengagement progressif de l’Etat engendre quelques retards au niveau de la généralisation des services de l’eau. Le Maroc dispose d’une loi sur l’eau et d’institutions modernes, mais vit bien au-dessus de ses moyens en ressource hydrique puisque, pendant les années de faibles précipitations, il utilise les réserves non renouvelables des nappes souterraines.
Ces réserves n’étant pas inépuisables, le Maroc, comme d’autres pays, devrait consommer à hauteur de ses disponibilités en eau et déclarer la guerre à toutes sortes de gaspillages et de déperditions de cette précieuse denrée. A ce titre, il convient de s’interroger sur les dangers encourus par la nappe phréatique à cause des grands projets touristiques installés dans certaines régions à risque. Il ne faut pas perdre de vue non plus la nécessité de rationnaliser l’irrigation dans le domaine de l’agriculture, et mettre en place des mesures incitatives pour obtenir l’adhésion des agriculteurs.

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Les chiffres de l’eau au Maroc

En 1994, seulement 15% de la population avait accès à l’eau. En 2005, ce chiffre a atteint 56%. L’absence de l’accès à l’eau et aux installations sanitaires en 1994 coûtait chaque année au Maroc 1 à 1,5% de son PIB. Cette estimation incluait la mortalité infantile due à la diarrhée (6.000 décès d’enfants de moins de 5 ans), ainsi que les maladies dues à la diarrhée et le temps de travail des aides-soignants. En 2005-2006, la capacité de stockage des barrages au Maroc était de 16,1 milliards de m3. En 2005, la part totale d’eau douce stockée dans les réservoirs était de 55,5% et la population ayant accès à l’eau traitée était de 99% en milieu urbain et de 56% dans monde rural. La population bénéficiant d’installations sanitaires en milieu urbain était de 83% contre 31% en milieu rural. Pour ce qui est de l’irrigation, la surface équipée en 2000 était de 1,44 million d’hectares.

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