Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
|
| Économie marocaine-Tome 1- | |
|
+18BOUBOU docleo Harm Samyadams gigg00 juba2 Viper RED BISHOP Fahed64 moro jonas rafi yiyo YAS Fox-One naourikh Northrop omar 22 participants | |
Auteur | Message |
---|
kaiidow Invité
| Sujet: Économie marocaine-Tome 1- Mar 13 Mar 2007 - 18:06 | |
| Rappel du premier message :
13.03.2007 | 16h42 Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.
"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.
Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc". "Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.
Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.
Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée. La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.
Source: MAP |
| | |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 10 Sep 2008 - 14:50 | |
| - Citation :
- Gulf Company to launch USD-800-million project in Morocco
Economics 9/9/2008 3:17:00 PM KUWAIT, Sept 9 (KUNA) -- Gulf Holding Company said it would enter the Moroccan market by implementing a project that is part of a royal resort developed by Gulf Finance House with investments of USD 800 million. The project has a distinguished strategic location at the conflux of the Mediterranean Sea and Atlantic Ocean, Ahmad al-Amir, deputy chairman and CEO of the company, told a news conference. The project is part of a Moroccan vision purposed to draw 10 million tourists by 2010, he said. In this context, he pointed to Morocco's advantages, mainly proximity to Europe and trade deals with the EU and US as well as tax exemptions. The project also comes within the framework of the company's middle-term strategy aiming to explore fresh investment openings in several promising markets, he added. Bahrain-based Gulf Holding Company is a new Gulf investment company where several Kuwaiti institutions and individuals hold influential shares. http://www.kuna.net.kw/NewsAgenciesPublicSite/ArticleDetails.aspx?id=1936727&Language=en |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 10 Sep 2008 - 20:04 | |
| - Citation :
- Berggruen investira 75 M de dollars au Maroc
Le groupe hôtelier indien "Berggruen" compte investir au Maroc environ 75 millions de dollars dans la construction d'unités hôtelières dans plusieurs villes touristiques du Royaume.
C'est dans ce cadre que le groupe indien a signé lundi avec la société marocaine Filacom, un mémorandum d'entente d'un montant de 50 millions de dollars pour la construction dans, une première étape, de six à sept hôtels de trois et quatre étoiles.
Ce projet sera réalisé dans les villes de Casablanca, Rabat, Meknès, Mohammedia et Fès, a indiqué le directeur général, responsable exécutif de Berggruen, cité par le journal "The Hindustan Times".
Ce partenariat constitue pour le groupe indien un premier pas dans sa politique d'externalisation, a-t-il dit ajoutant que la Holding a choisi d'investir au Maroc en raison de son emplacement stratégique proche de l'Europe.
De son côté, Mehdi Laraki, président du groupe privé marocain, a affirmé qu'un montant supplémentaire de 25 millions de dollars sera consacré à la deuxième phase du projet qui concernera d'autres villes du Royaume.
Le groupe hôtelier indien "Berggruen" est une filiale de "Berggruen International", basé à New York aux Etats-Unis et dont le chiffre d'affaires s'élève à plus d'un milliard de dollars. Par MAP
http://www.lematin.ma/Actualite/Express/Article.asp?id=97911 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Dim 14 Sep 2008 - 20:35 | |
| Le classement de Doing Business 2009 sur la facilité de faire des affaires sur 181 économies , le Maroc est classé 128, l'année dernière nous étions a la place 129, nous avons gagner une place :
Maroc : http://francais.doingbusiness.org/ExploreEconomies/?economyid=132 Monde :http://francais.doingbusiness.org/economyrankings/ |
| | | Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 15 Sep 2008 - 14:18 | |
| - Citation :
- Un Marocain à l'Académie française de l'air et de l'espace
Monsieur Mohamed Moufid a été élu en tant que membre de l'académie Française de l'Air et de l'Espace. L'élection d'un nouveau membre se fait sans candidature, les membres du comité exécutif doivent cautionner une personnalité qui apportera une valeur ajoutée à l'académie.
Mr Moufid est lauréat de l'Ecole Nationale de l'Aviation Civile (ENAC) de Toulouse en 1968. Il a été à la tête de la Direction de l'Aviation Civile (DAC) de 1984 à 2001, année où il a atteint l'âge légal de retraite. « J'ai été contacté par un membre fondateur, qui n'est autre que le directeur de l'ENAC. Il a estimé, d'après les contacts qu'on avait eus par le passé, que je pouvais trouver à l'académie un terrain d'épanouissement. C'est une reconnaissance que mérite le Maroc, pour les efforts qui ont été déployés pour développer l'aviation civile au Maroc » a-t-il déclaré à l'hebdomadaire marocain Challenge Hebdo. Mr Moufid est le seul arabe et Africain membre associé titulaire de l'académie.
L'Académie française de l'air et de l'espace a été créée en 1983 à Toulouse, son but est de favoriser le développement d'activités scientifiques, techniques et culturelles de haute qualité dans le domaine de l'air et de l'espace, valoriser et enrichir le patrimoine scientifique, technique et culturel, diffuser les connaissances et être un pôle d'animation.
Ses membres exercent ou ont exercé des responsabilités importantes dans leurs domaines respectifs. Des pilotes côtoient des astronautes, des chercheurs, des ingénieurs, des médecins, des industriels, des économistes, des juristes et des artistes. _________________ | |
| | | moro Colonel
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 15 Sep 2008 - 15:35 | |
| Mais c'est une vrai pile ce Moufid tbark allah Vous imaginez le cumul de fonctions ?? les aéroports du maroc, membre exécutif la fédération de foot et la fédé de tennis, maintenant il va s'exporter à l'international. trop fort | |
| | | moro Colonel
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 15 Sep 2008 - 16:08 | |
| - Citation :
Morocco Managem to start gold exploration in Sudan
KHARTOUM (Reuters) - A Moroccan mining company has won contracts to search for gold in two mineral-rich areas of Sudan, state media reported on Monday.
Morocco's Managem signed exploration agreements covering territory in Wadi-Gigiya in Sudan's Red Sea State and Al-Sharif in River Nile State, said the state Suna news agency.
Gold has been mined in Sudan for thousands of years, since the days of its ancient Nubian civilisation.
But the government says it still has large untapped reserves, left untouched thanks to under development and years of conflict.
Managem's chairman Abdul-Aziz Abaru told Suna the company would spend $3 million setting up the mining operation.
Suna said the agreement with Sudan's Ministry of Energy and Mining covered one area in River Nile state and one in Red Sea State, home of much of Sudan's existing gold mining activity.
Managem is a subsidiary of Moroccan conglomerate ONA. http://africa.reuters.com/business/news/usnBAN550346.html | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 15 Sep 2008 - 21:37 | |
| - Citation :
- Pierre & Vacances, leader en Europe, s'installe au Maroc
Maeva, Les résidences MGM, Center Park... Au fil des acquisitions, Gérard Brémond, le créateur d'Avoriaz, a créé un empire. À 70 ans, le PDG de Pierre & Vacances redistribue les cartes, après le départ de son numéro deux....
....Au total, Pierre & Vacances gère un parc touristique de 48 300 appartements et maisons en Europe. Le groupe, qui réalise en France 50 % de son chiffre d'affaires - 1,5 million d'euros en 2007 -, est présent en Espagne, Italie, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, et bientôt au Maroc où 10 000 lits sont prévus d'ici à 2013.
http://www.lexpress.fr/emploi-carriere/pierre-%C2%A0vacances-leader-en-europe-s-installe-au-maroc_567696.html
Dommage que c'est pas la Tunisie qu'on a comme voisin de l'est, avec ce pays il y a pas de sahara ou tensions régional, c'est Business ,développement économique ,et libre échange, un vrai partenaire quoi !! - Citation :
Tunisie - Maroc : De gros projets en perspective.
Le Maroc et la Tunisie, deux pays qui réalisent le plus gros de leurs échanges avec l’Union européenne, n’arrivent cependant pas à en faire de même entre eux alors qu’ils sont à la première année (2008) de la franchise totale des droits de douane conformément à l’accord de libre-échange bilatéral signé en 1999.
Les promoteurs Marocains et Tunisiens, qui se donnent rendez-vous fin septembre à Casablanca avec la nouvelle édition du Forum tuniso-marocain de l’investissement et des affaires, déplorent les habitudes administratives tatillonnes, la non harmonisation des procédures douanières et les préférences culturelles envers l'Europe.
Néanmoins, les tenants du libre-échange voient les choses autrement. Ils se félicitent des résultats jusqu’à là enregistrés et rappellent que la complémentarité et la spécialisation des économies exigent un certain temps d'adaptation des pays concernés.
D’ailleurs, « l’accord de libre-échange entre la Tunisie et le Maroc a hautement contribué à l’amélioration des échanges commerciaux entre les deux pays qui se sont accrus sensiblement pour atteindre 85% au cours des premiers mois de l’année », observent certains experts.
Déséquilibre des échanges et coopération technique
C’est vrai que le taux des échanges a grimpé mais le volume ne décolle pas. En effet, les échanges entre le Maroc et la Tunisie ne sont qu’à 110 millions d'euros au lieu des 450 millions d'euros escomptés.
Durant les cinq dernières années, le volume des échanges est passé de 105 millions dollars à 186 millions dollars. Cette nette hausse demeure toutefois "déséquilibrée", selon les responsables marocains, vu la hausse annuelle des importations marocaines de la Tunisie (+11,5 %), contre la baisse de ses exportations (56 millions dollars en 2001 contre 45 millions en 2005).
Trois mémorandums d’entente sur la coopération entre les centres techniques marocains et tunisiens ont été signés, la semaine dernière, à Rabat, entre les deux pays.
Ces accords visent à renforcer le partenariat entre les centres techniques dans les deux pays, la coordination des actions dans le cadre des programmes régionaux et internationaux, en particulier les programmes européens de recherche et d’innovation.
Le premier accord porte sur la coopération entre les centres techniques des industries agroalimentaires des deux pays alors que le deuxième concerne la coopération entre le Centre technique des industries mécaniques et électriques en Tunisie et le Centre des études et des recherches en industries minérale, mécanique, électrique et électronique au Maroc.
Le dernier accord a trait à la coopération entre le Centre technique du textile tunisien et le Centre technique du textile et de l’habillement au Maroc.
Les deux parties ont convenu, entre autres, de promouvoir les échanges commerciaux des produits industriels, de réactiver les groupes de travail dans les secteurs à forte valeur ajoutée et de coordonner les positions marocaine et tunisienne dans le cadre des réunions du comité Pan-euromed sur les règles d’origine.
Gros projets en perspective.
En effet, d’importants projets de partenariat devraient être scellés dans les prochains mois entre investisseurs marocains et tunisiens. Les secteurs ciblés sont l’agro-industrie, les BTP (Bâtiment et Travaux publics), la parachimie, les IMME (industries mécaniques, métallurgiques et électriques), le négoce et la distribution ainsi que les NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication).
Des négociations sont en cours pour la réalisation d’un projet de partenariat dans la sidérurgie. Un autre projet de grande envergure est également en cours de négociation dans l’agroalimentaire. Hormis de grands groupes comme le Chaâbi, la société marocaine S2M ou encore Lesieur Cristal qui possèdent des intérêts en Tunisie, les joint-ventures entre les deux pays restent peu nombreuses.
Selon le FMI, la création d’un espace économique maghrébin élargi avec 80 millions de consommateurs est de nature à conférer une nouvelle dynamique aux échanges commerciaux, attirer davantage les investissements extérieurs et garantir la prospérité pour les peuples de la région.
http://www.africanmanager.com/articles/118525.html
|
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 17 Sep 2008 - 18:51 | |
| - Citation :
- Croissance: Les gros secteurs se maintiennent
· BTP, télécoms, phosphates... les locomotives
· Un taux global de 6,8% au premier semestre
Malgré une croissance mondiale tournant au ralenti, le Maroc arrive à limiter les dégâts et s’offre même le luxe de consolider ses principaux indicateurs économiques. La dernière note de conjoncture éditée par le ministère de l’Economie et des Finances, va dans le même sens que les dernières conclusions du Haut commissariat au plan (cf.www.leconomiste.com). Pour rappel, celles-ci ont laissé présager une reprise de l’activité économique nationale en 2008. Durant les deux premiers trimestres de cette année, le PIB réel a évolué respectivement de 7 et 6,7% en glissement annuel. Il en résulte que le taux de croissance pour le premier semestre 2008 s’est établi à près de 6,8%. Cette croissance est visible sur la plupart des secteurs porteurs de l’économie nationale. Ainsi, le secteur minier a connu une activité soutenue, selon les dernières estimations s’arrêtant à fin juillet. Le chiffres d’affaires à l’export réalisé par l’Office chérifien des phosphates s’est élevé à 32,2 milliards de DH, soit 2,67 fois le montant généré un an auparavant. Pour ce qui est du secteur énergétique, les évolutions positives constatées durant le premier trimestre 2008 semblent se confirmer. A fin juillet dernier, la production de l’énergie électrique affichait une évolution de 8,1%, portée par la croissance de la demande domestique. Côté BTP, la tendance est à la vigueur constante, et ce malgré la déprime constatée dans les ventes immobilières. Ainsi, les ventes de ciment se sont appréciées de 14% à fin août, par rapport à la même période un an auparavant. Le secteur a également profité d’un renforcement des crédits immobiliers. A fin juillet dernier, ceux-ci étaient en augmentation de 46,8% en comparaison avec juillet 2007. Les industries de transformation ont également profité de la bonne santé observée dans le secteur du BTP. La note ministérielle fait état d’une solidité de la demande adressée aux activités liées à ce secteur. Par ailleurs, au terme du premier trimestre 2008, l’indice de la production industrielle était en progression de 5,6%. La dynamique devrait se poursuivre durant les trimestres suivants, puisqu’à fin juillet 2008, le taux moyen d’utilisation des capacités de production était de 73,7%.
Ne pas négliger la demande intérieure
Le marché des télécommunications flirte également avec la tendance haussière, son développement étant conforté par le cadre légal et réglementaire. A fin juin dernier, le parc de la téléphonie mobile était en augmentation de 21,4%, et celui des postes fixes de 42,3%. Quant aux abonnés Internet, leur nombre s’est accru de 37%. Pour ce qui est des centres d’appels, les recettes générées ont grimpé de 22,8% à fin juillet dernier. L’étude se veut tout aussi rassurante au niveau de l’activité touristique. En effet, malgré la baisse de 2,7% du nombre de nuitées dans les hôtels classés, les recettes en devise étaient en progression de 2% à fin juillet dernier. Le nombre d’arrivées de touristes est, quant à lui, en progression de 9%. Parmi les éléments qui ont dopé la croissance, la demande intérieure n’est pas à négliger. «La consommation privée semble bénéficier d’une amélioration des revenus des ménages ruraux, conséquente à l’amélioration de la campagne agricole, de la baisse du taux de chômage (9,1% au deuxième trimestre 2008 contre 9,6% au premier trimestre)», peut-on lire dans la note ministérielle. Par ailleurs, la demande des non-résidents s’est également affermie, principalement grâce à la hausse des arrivées touristiques et au renforcement des transferts des MRE, qui étaient en augmentation de 5,2% à fin juillet dernier. L’optimisme règne également à la Commission interministérielle des investissements. A fin juin dernier, les projets qui y ont été validés portent sur un montant global d’investissement de 16,1 milliards de DH, et devraient créer plus de 7.123 emplois directs et stables. La population active agée de 15 ans et plus s’est établie à 11, 34 millions de personnes au cours du deuxième trimestre 2008. Pour ce qui est des créations nettes d’emplois, les services et le BTP sont les principaux employeurs, avec respectivement 152.000 et 80.000 emplois créés. Toutefois, des pertes ont été constatées dans les secteurs agricole (220.000 emplois) et industriel (4.000 emplois) Quid de la gestion des deniers publics? Selon la note de conjoncture, les sept premiers mois de l’année se sont achevés sur un excédent budgétaire, notamment grâce à l’expansion des recettes ordinaires de 24,8%. Une progression effectuée en dépit de la forte augmentation des charges de compensation (+158,4%), contribuant ainsi à hauteur de 80,7% à la hausse des dépenses ordinaires. La création monétaire continue de s’inscrire en hausse. A fin juillet dernier, elle était en progression de 12,3%, soutenue par l’appréciation des différentes catégories de crédit, dont notamment ceux destinés à l’immobilier (+22,8%), à la consommation (+19,1%), aux facilités de trésorerie (+13,3%) et à l’équipement (+10,6%).
A. B Economiste - Citation :
Maroc - Industrie 200 millions de dollars pour une nouvelle cimenterie au Maroc APA-Rabat (Maroc) Un groupe immobilier marocain a annoncé mercredi qu’il procédera dès fin 2008 à la construction d’une cimenterie, au centre du pays, au coût de 2.4 milliards de dirhams (200 millions de dollars).
La cimenterie, qui sera basée à Beni Mellal (centre), devrait être fin prête en 2011 et sera d’une capacité de 1,6 millions de tonnes par an, soit 10 pour cent de la consommation totale du Royaume chérifien.
Quelque 2 500 emplois seront créés grâce à la future cimenterie qui sera implantée selon les standards internationaux en matière de protection de l’environnement, indiquent les promoteurs du projet.
Le Maroc dispose jusqu’à présent de neuf usines de ciment d’une capacité de production de 12,5 millions de tonnes par an. APA | |
| | | Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 18 Sep 2008 - 17:51 | |
| - Citation :
- Crise : le Maroc épargné ?
Le gouverneur de la Banque centrale marocaine, Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri a affirmé que l'économie marocaine demeurait épargnée par la crise financière internationale, dans des propos rapportés aujourd'hui par le quotidien Le Matin.
"Nous ne sommes pas touchés par la crise internationale, car nous n'avons pas de subprimes dans nos banques", a-t-il déclaré au journal.
"Notre secteur bancaire n'a pas été partie prenante au rachat des créances hypothécaires et titrisées par les banques américaines", a-t-il ajouté.
M. Jouahri a rappelé que les banques marocaines étaient "plus dans l'activité de banque de détail, ce qui les protège".
Son institution a toutefois mis en place "un code d'éthique et de déontologie, des règles prudentielles, et des audits internes qui limitent les risques", a-t-il précisé. Par prudence, le gouverneur a reporté un pélerinage à La Mecque, a ajouté Le Matin.
LE FIGARO - 18/09/2008 _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 19 Sep 2008 - 4:54 | |
| - Citation :
- Le gouvernement marocain optimiste en dépit de la dernière crise financière internationale
APA- Rabat (Maroc) Le gouvernement marocain a exprimé jeudi son optimisme quant à l’évolution de l’économie du Royaume, qui devrait enregistrer un taux de croissance de l’ordre de 6.8 pour cent, malgré la crise financière internationale.
Intervenant lors du conseil du gouvernement, le ministre marocain des Finances, Salaheddine Mezouar, a assuré que le pays était « à l’abri » de la crise des subprimes, qui a bouleversé depuis quelques mois, le marché américain, puis s’est étendue à d’autres places financières pour prendre, depuis lundi, des proportions « alarmantes ».
Le Maroc n’est pas lié aux institutions financières ou encore aux fonds d’investissement internationaux concernés par la crise des subprimes, a rassuré l’autorité chérifienne, d’autant que les taux fixes dominent le système de crédits dans le Royaume.
Depuis la semaine dernière, la bourse de Casablanca a subi un véritable « cataclysme » traduit par un trend baissier de l’ordre de 15 pour cent en l’espace de quatre séances, au point que la presse économique du pays avait réclamé une mise au point des pouvoirs publics pour éviter « la panique».
Pour le ministre marocain des Finances, cette baisse est « une simple correction », qui ne peut être expliquée par les dernières perturbations financières internationales.
En dépit de la flambée des prix du pétrole, dont le Maroc est entièrement importateur (plus de 6 millions de tonnes par an) et des produits alimentaires, le gouvernement chérifien table, en 2008, sur un taux de croissance dépassant les 6 pour cent du PIB (qui totalise près de 70 milliards de dollars) . YB/ib/APA 18-09-2008
http://www.apanews.net/apa.php?page=show_article&id_article=75713
Le PIB est de $73.43 billion ( en 2007 ) selon la CIA. https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/geos/mo.html#Econ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 19 Sep 2008 - 5:48 | |
| il aura vraiment sa 6,8% ce genie de S.Mezouar malgrés toutes les difficultés,chapeau monsieur |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 19 Sep 2008 - 6:59 | |
| merci OCP plutot, cette année si tout va bien l'ocp aura un chiffre d'affaire de 8 milliards de dollars |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 20 Sep 2008 - 13:40 | |
| - Citation :
- ECO - Maroc: gros investissements pour produire davantage de phosphates
CASABLANCA, 20 sept 2008 (AFP) L'Office chérifien (marocain) des phosphates (OCP) va réaliser de gros investissements dans les sept prochaines années pour consolider son leadership sur le marché international, a déclaré vendredi soir son directeur général à Casablanca.
Le Maroc qui possède 50% des réserves mondiales de phosphates est le premier exportateur mondial de ce minerai.
Vingt milliards de dirhams (1,7 milliard d'euros) seront consacrés à la promotion des mines et des installations de phosphates sur les sept prochaines années, a indiqué Mostafa Terrab lors d'une conférence de presse.
Des partenariats avec des investisseurs étrangers à hauteur de 10 milliards de dollars sont également prévus au cours de la même période, a-t-il ajouté.
L'Inde et le Pakistan sont les principaux investisseurs au Maroc dans la production locale des dérivés de phosphates. "Le Brésil et la Libye les rejoindront prochainement", a indiqué le patron de l'OCP.
Les investissements de l'office chérifien visent la modernisation des instruments de production, l'ouverture d'autres mines, des aménagements portuaires et la promotion des moyens de transport du minerai.
"Les clignotants étaient au rouge pendant plusieurs années mais nous avons réussi à sortir notre tête de l'eau grâce à la transformation de l'OCP en une entreprise moderne, efficace et perspicace. La montée des cours nous a aidés aussi", a déclaré le directeur général de l'OCP.
Jusqu'en 2006, la tonne de phosphates se négociait à l'étranger entre 41 et 49 dollars, actuellement elle a atteint plus de 300 dollars, a-t-il indiqué.
Cette hausse du prix de la tonne de phosphate est due à la "croissance des besoins alimentaires dans la planète", a indiqué l'OCP dans un document distribué à la presse.
"Le commerce mondial devrait en 2008 continuer de croître pour l'ensemble des produits phosphatés avec des importations en hausse en Amérique latine, en Asie du Sud et de l'Ouest, alors que la Chine poursuivra sa politique d'autosuffisance", ajoute le texte.
Pour la fin de 2008, l'OCP prévoit un chiffre d'affaires consolidé de 64 milliards de dirhams (5,5 milliards d'euros).
Pour la même période, l'OCP va produire environ 31 millions de tonnes de phosphates dont 14,6 tonnes seront exportées. Quant à la production d'acide phosphorique et des engrais, elle devrait atteindre un volume global de 8,5 millions de tonnes.
Au premier trimestre 2008, l'OCP a indiqué que l'ensemble de ses ventes en phosphates et dérivés "ont progressé de 67,3% par rapport à la même période de 2007, passant de 343 millions à 590 millions de dollars".
En 2007, les ventes nettes de phosphates avaient atteint 27 milliards de dirhams (environ 2,3 milliards d'euros), chiffre en progression de 21% par rapport à 2006.
Mostafa Terrab a été nommé en 2006 à la tête de l'OCP par le roi Mohammed VI.
© 2008 AFP http://www.agefi.com/Quotidien_en_ligne/News/index.php?newsID=197042 |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 20 Sep 2008 - 16:20 | |
| - Citation :
- Banques : les « trois vieilles » bousculées par les Marocaines et les Nigérianes
08-09-2008
En Afrique de l’Ouest, les banques françaises longtemps dominatrices sont en train de tomber de leur piédestal face à l’agressivité des banques marocaines et nigérianes. Leur participation dans le système est tombée de 80% à 33% entre 1990 et 2000.
Par Amadou Fall, Dakar Les « trois vieilles », expression consacrée pour désigner BNP Paribas, la Société Générale et le Crédit Lyonnais, aujourd’hui absorbé par le Crédit Agricole, sont certes toujours là, à travers leurs filiales au Bénin, au Burkina Faso, en Côte d'Ivoire, au Mali et au Sénégal. Elles sont même au cœur de réseaux reconstruits sur des bases plus solides et plus saines, depuis la cure en profondeur à laquelle le système bancaire de l’UEMOA à dû être soumis, une quinzaine d’années plus tôt, pour le sortir d’une crise effroyable. Mais elles ne se redéploient plus guère. Les banques françaises qui étaient historiquement et structurellement bien en place dans la zone franc ont plutôt tendance à faire du surplace, à l’image des grandes maisons de commerce et des industries dont, depuis la période coloniale, elles servent de bras financier et de relais pour le rapatriement des bénéfices vers l’Hexagone. La tendance de ces dernières est même au désinvestissement. L’on évoque très souvent l’instabilité politique et sociale, l’incertitude juridique, la corruption, les difficultés des recouvrements dans la région pour justifier le reflux français. Mais il y a également et surtout que le centre d’intérêt économique français s’est déplacé vers l’Europe centrale et orientale, et que les opérateurs économiques français ne bénéficient plus en Afrique francophone des conditions qui leur permettaient de réaliser des profits considérables, fortement protégés de la concurrence extérieure par leurs positions oligopolistiques et des relations politiques privilégiées. Les banques françaises auraient pu s’inscrire dans une dynamique contraire à celles des entreprises industrielles et commerciales de même origine qui ont jusque-là constitué le plus gros de leurs portefeuilles clients. Mais il leur restait encore d’énormes marges de compensation et de progression, quand on sait que le taux de bancarisation au sein de la zone franc ouest-africaine ne dépasse guère 5%, contre 95 à 100% en Europe occidentale.
Diversification
Même s’il y a effectivement de notables tentatives de diversification, notamment du côté de la Société Générale qui conserve jalousement sa première place à l’échelle de l’UEMOA, les banques françaises peinent à viser autre chose que leur cœur de cible classique, à répondre aux besoins formulés par les petits épargnants, les petites et moyennes entreprises et le secteur informel qui domine les activités de la zone. Elles ont plutôt laissé ces segments de marché aux mutuelles d’épargne et de crédit qui dominent la microfinance et à une première vague de banques régionales : Bank of Africa, Ecobank, Banque régionale de solidarité, Banque sahelo-sahariennne pour l’investissement et le commerce, et plus récemment Banque Atlantique. Concomitamment à la création et au développement de ces établissements à capitaux africains majoritaires, l’on a assisté à la réduction de l’influence des banques françaises, avec une régression de leurs prises de participation dans le système de 80% à 33% tout au long des années 1990 à 2000. Dans leur mouvance, mais aussi avec la libéralisation tous azimuts qui a prévalu ces dernières années, le nombre de banques dans l’UEMOA a considérablement augmenter, passant de 66 à la fin de 2002 à 97 à la fin de 2007. Or, selon des chiffres de BNP Paribas, le total des crédits accordés dans la zone s’élevait à 16% du PIB en 2006, contre 80% du PIB en Afrique du Sud ou à Maurice, les deux économies les plus développées au sud du Sahara. Les nouvelles banques régionales africaines précitées, comme celles plus petites à vocation plutôt nationale qui ont essaimé sur leurs flancs, n’ont, en somme, que très faiblement contribué au financement du développement de la région au cours de ces dernières années, contrairement à ce qu’on pouvait attendre d’elles. La multiplication de ces établissements est d’ailleurs très rapidement apparue, aux yeux des autorités monétaires de l’Union, comme pouvant fragiliser le système bancaire sous-régional. Pour résorber cette inflation numérique et réduire les risques d’une nouvelle crise, la Banque centrale a tout dernièrement imposé que le capital minimum d’une banque autorisée à opérer dans l’Union monétaire soit désormais de 5 milliards de francs CFA (7,6 millions d’euros), au plus tard en 2009, et non plus d’un milliard comme de rigueur jusque-là. Cette disposition nouvelle participe du souci de rationaliser le système bancaire et de mieux le faire participer au financement de l’activité économique au sein de l’Union. C’est un blanc-seing qui élargit la porte de zone, depuis quelque temps ouverte à toute banque étrangère pouvant positivement contribuer au renouveau et à la relance du système régional, en partenariat ou en cohabitation concurrentielle avec les structures à dominante capitalistique africaines ou françaises.
Marocaines et nigérianes
Les premières sont marocaines et nigérianes. Les banquiers chérifiens ont tiré les premiers. Quelque peu à l’étroit dans leur pays où le taux de bancarisation tourne autour des 25%, les deux banques leaders au Maroc, BMCE et Attijariwafa, ont entrepris en 2003 pour la première et en 2006 pour la seconde de s’étendre sur l’Afrique subsaharienne. La BMCE avait repris, dès 1989, la gestion de la Banque de développement du Mali alors en faillite ; elle est devenue, depuis, l’une des banques les plus rentables de l’Afrique de l’Ouest. En 2003, elle a ouvert à Dakar une filiale d’affaires, la BMCE Capital, largement mise à contribution dans la recherche de financements pour les grands chantiers du Sénégal. Elle a tout récemment pris une participation de 35% dans le capital du groupe Bank of Africa, le troisième établissement financier de l’UEMOA. Attijariwafa Bank est dans la même trajectoire, dans le dessein de devenir une banque qui compte en Afrique de l’Ouest. Ainsi, quelque sept mois après avoir ouvert, coup sur coup, trois agences à Dakar en 2006, elle absorbe la Banque sénégalo-tunisienne en rachetant officiellement, le 24 janvier 2007, 66,67% de son capital. Elle prend ensuite possession de la CBAO, la deuxième banque du Sénégal, dont elle acquiert, le 13 mai 2008, 79,15% des parts. Le 11 janvier de la même année, elle avait pris des parts consistantes dans la Financière du Burkina Faso, rebaptisée Cauris Bank International. Elle est en très bonne position pour la reprise de la Banque internationale pour l’Afrique au Niger, qu’elle négocie depuis 2007. Elle a absorbé, le 25 juillet dernier, 51% du capital de la Banque internationale du Mali, en prenant le meilleur sur quatre autres prétendants dont la Société Générale, seule banque française à encore faire de la résistance, la BMCE à travers BOA, Ecobank et la United Bank for Africa du Nigeria. Cette dernière et quatre autres banques nigérianes : Diamond Bank, Acces Bank, Zenith Bank et Sky Bank, sont en plein dans la bataille pour la conquête du marché de l’Afrique de l’Ouest francophone. UBA, la première banque du Nigeria et d’Afrique de l’Ouest par son total de bilan (13,2 milliards de dollars en 2007), va finaliser en septembre la reprise de 37,84% du capital de Banque internationale du Burkina Faso, coiffant ainsi au poteau Attijari Bank et Ecobank. Elle s’est installée en Côte d’Ivoire et cherche à en faire de même au Mali. Access Bank a, de son côté, acquis 88% du capital de la banque ivoirienne Omnifinance par la combinaison d’opérations qui ont porté le capital de celle-ci de 3 à plus de 10 milliards de FCFA. Acces Bank entend par ce point de départ s’étendre sur toute l’Afrique de l’Ouest francophone. Zenith Bank et Sky Bank nourrissent les mêmes ambitions…
Sous capitalisation
Les banques françaises, jusque-là bien implantées dans l'UEMOA, sont quasiment sans réaction face à la déferlante marocaine et nigériane qui, en toute logique, va gagner en puissance, parce que beaucoup parmi les nombreuses banques locales qui sont souvent sous-capitalisées vont finir dans leur giron. Le niveau de capital auquel elles devront s’aligner, dans moins d’un an, les force à se doter de ressources propres additionnelles, et donc à s’ouvrir à des partenaires. les afriques | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 20 Sep 2008 - 16:57 | |
| Après que Attijariwafa Bank a acheter la banque international du Mali, maintenant c'est Maroc télecom qui s'intéresse aussi au Mali : - Citation :
- Pré-qualification de Maroc Telecom pour la privatisation de la société des télécommunications du Mali
Bamako : Maroc Telecom a été pré-qualifié pour la privatisation de la société des télécommunications du Mali (SOTELMA), l'opérateur historique, rapporte la presse malienne.
Maroc Telecom a été retenu pour la suite de la compétition avec une quinzaine d'autres opérateurs mondiaux comme MTN, Deutsch Telecom, Vodafone, Portugal Télécom, Saoudia Télécom et Orascom. Les entreprises sélectionnées durant cette phase vont soumissionner à l'appel d'offres international qui sera lancé par le gouvernement malien pour la désignation de l'adjudicataire définitif de la privatisation de la Sotelma. Les journaux maliens estiment que Maroc Telecom apparaît dans cette course comme un candidat "très sérieux" au vu de ses performances et de son expérience en Mauritanie, au Burkina Faso et au Gabon où l'entreprise marocaine a remporté des appels d'offres pour la prise de contrôle des opérateurs historiques de ces pays, face à des multinationales. La stratégie de privatisation de la Sotelma prévoit la cession de 51 pcádu capital à un partenaire stratégique, alors que 19 pc du capital seront cédés au grand public et 10 pc réservés aux salariés de la société. A l'issue du processus de privatisation, la part de l'Etat malien dans le capital de l'opérateur historique sera de 20 pc.á La Sotelma présentait au 31 décembre 2007 un chiffre d'affaires de près de 70 milliards de francs CFA (107 millions d'euros) et dispose d'un parc d'environ 90.000 lignes fixes et 480.000 de clients GSM.
MAP http://www.emarrakech.info/Pre-qualification-de-Maroc-Telecom-pour-la-privatisation-de-la-societe-des-telecommunications-du-Mali_a16149.html
Dernière édition par big boss le Sam 20 Sep 2008 - 17:27, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 20 Sep 2008 - 17:02 | |
| - Citation :
Les Méga projets du Maroc
Le gouvernement marocain peut se féliciter des efforts fournis pour l'amélioration de l'image internationale de son économie.
les premiers fruits s'illustrent notamment par la course des investisseurs internationaux vers le financement des mégas projets qui auront un impact immédiat sur la dynamisation de l'économie locale, de l’infrastructure ainsi que sur l'amélioration du niveau de vie des citoyens Marocains.
Les Autoroutes et les Routes: Poursuite de la réalisation de la rocade méditerranéenne entre Tanger et Saïdia. Accélération du rythme de réalisation du programme des autoroutes en vue d’atteindre une moyenne de 150 km annuellement ainsi que poursuite de la construction des routes dans le monde rural, avec un rythme de 2.000 km annuellement contre 1.500 km ces dernières années.
Les Aérodromes (Aéroport) : Elargissement des aéroports et aérogares de Casablanca Mohammed V, Marrakech-Menara, Dakhla, Essaouira- Mogador, Tanger, Al-Hoceima, ainsi que la restructuration de l’aérogare de Rabat-Salé.
Les Trains et Chemins de fer : Parachèvement du doublement de la ligne Fès-Meknès, la desserte du complexe portuaire Tanger-Med au réseau ferroviaire; poursuite de la réalisation de la ligne Taourirt–Nador et la construction et aménagement de plusieurs gares pour les voyageurs et le lancement du processus de réalisation du Train à Grande Vitesse (TGVM) entre Tanger et Casablanca.
Les Ports : Renforcement des infrastructures du Port de Mohammedia et poursuite des travaux de construction du complexe portuaire Tanger-Med, du Port de Mediq, du Port de Boujdour; parachèvement des travaux de construction du port de Larache ainsi que le réaménagement du quai au Port de Mehdia. Lancement des travaux de construction d’un port de plaisance et de pêches à Nador (Marchica).
Les Barrages Hydroliques: Lancement de la construction de quatre nouveaux barrages : le barrage Zrar sur Oued Ksoub dans la province d’Essaouira, le barrage Tamkit dans la province d’Errachidia, le barrage Tamlout dans la province de Khenifra et le barrage Moulay Bouchta dans la province de Chefchaoun ; outre la poursuite des travaux de construction de huit complexes hydrauliques à savoir : le barrage Mazar, Koudiat El Garn, et Tamdroust dans la Province de Settat, le Barrage El Himer, les barrages Oued R’mel et Martil dans la Province de Tétouan et le Barrage Wirgane et Taskourt dans la région de Marrakech.
La Production des Energies : Poursuite de la réalisation de parcs éoliens et de centrales thermiques et électro-hydrauliques dont la centrale fonctionnant à la fois au gaz naturel et avec l’énergie solaire à Beni Mathar. Les investissements de l’Office National de l’Electricité (ONE) devraient dépasser le montant de 11 milliards de dirhams en 2008. Les hôpitaux : Poursuite de la construction des trois centres hospitaliers universitaires de Fès, de Marrakech et d’Oujda, lancement des travaux pour la construction de 11 hôpitaux locaux, mise à niveau de 21 hôpitaux locaux et mise en service de plus de 200 centres de soins et 8 hôpitaux locaux.
Le Sport : Poursuite de la construction des stades de Tanger, de Marrakech et d’Agadir et préparation des études nécessaires au lancement du projet de construction du complexe sportif de Casablanca d’un coût global avoisinant 4 milliards de dirhams. La Culture : Poursuite de la construction des trios complexes à caractère national que sont la Bibliothèque Nationale, le Musée National d'Archéologie et le Musée National des Arts Modernes.
Le secret des secteurs et entreprises locomotives:
Dire que le Maroc est devenu ces dernières années un grand chantier à ciel ouvert n’est plus un scoop. Cela se constate de visu. Et là où ce gigantesque chambardement n’est pas encore arrivé, la contestation a vite fait de l’appeler. Dans les régions reculées, par exemple, à Anefgou, Sidi Ifni, ou autre… Une chose est sûre, un autre Maroc se construit. Pas au rythme que l’on souhaiterait. A cause de facteurs tant endogènes qu’exogènes. Mais il se construit. Et s’il est des secteurs à la traîne, il en est d’autres à la pointe de cette spectaculaire avancée. Les secteurs et entreprises locomotives – là non plus il n’y a pas scoop – sont connus. Ports (comme Tanger Med), aéroports, autoroutes, chemins de fer (gares comprises), immobilier (et industries y afférentes), tourisme, services (de l’offshoring à la sécurité sociale, en passant par les offres de prestation bancaires et boursières)… Le chambardement est partout avec une nouveauté : le rôle sans précédent d’entreprises et établissements publics dont certains étaient considérés il y a peu comme des boulets et qui tirent désormais le Maroc vers le haut. Quel est le secret de ces secteurs et entreprises locomotives ? Ils répondent tous à une volonté politique très forte, clairement déclinée et qui s’inscrit dans un horizon déterminé. L’Etat a des objectifs précis, chiffrés, datés. Tous les leaders dans leur domaine vont donc dans le même sens avec, chacun, ses obligations de résultats. Et ceux qui ne sont pas leader n’ont que deux options à terme : le devenir ou disparaître.
D’après l’article de Hakim Arif http://www.tunisieaffaire.com/index.php?option=com_content&task=view&id=3733&Itemid=157&mosmsg=Merci+d%60avoir+vot%E9.+Pour+voir+les+r%E9sultats%2C+cliquez+sur+le+bouton+R%E9sultats
Dernière édition par big boss le Jeu 25 Sep 2008 - 13:28, édité 1 fois |
| | | Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 20 Sep 2008 - 19:23 | |
| Voilà enfin un cousin d'afrique du nord qui a compris que la Maroc avance, qui ne prend pas de ton condecendent avec nous ( il bon de rappeler que la Tunisie est une référence en therme de développement économique ds la région ). Il serait bon que d'autres prennent exemple.... Hamdoulilah, le pays avance et prendra la place qui est la sienne ! _________________ | |
| | | moro Colonel
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Dim 21 Sep 2008 - 2:28 | |
| - Citation :
Maroc : La BMCE Bank court derrière un projet de Télévision
Le groupe BMCE Bank est, à travers sa nouvelle filiale Africa Teldis & Communication (ATCOM), entrain de finaliser son dossier de demande de licence d’établissement et d’exploitation de services audiovisuels au Maroc.
Le Conseil Supérieur de la Communication Audiovisuelle (CSCA), lors de sa session plénière du 07 août 2008, s’était prononcé sur la recevabilité de l’ensemble des demandes de licences radio et télévision qui lui ont été adressées avant le 15 juillet 2008 et, au vu de la pluralité de ces dernières, a décidé de lancer quatre appels à concurrence tendant respectivement à l’octroi d’une licence pour l’établissement et l’exploitation d’une télévision.
Le projet de la BMCE Bank avait été retenu parmi les 22 postulants. Piloté par le P-DG d'ATCOM, Moncef Belkhayat, le dossier est en actuellement en cours finalisation.
Il doit être bouclé cette semaine et déposé auprès du CSCA avant la fin de la première quinzaine du mois d'octobre 2008. ATCOM, rappelons-le, est une nouvelle holding à ambition panafricaine opérant dans les secteurs des Télécoms, distribution et médias. http://www.lesafriques.com/actualite/maroc-la-bmce-bank-court-derriere-un-projet-de-television.html?Itemid=89?articleid=9641 | |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 22 Sep 2008 - 19:15 | |
| - Citation :
- Le Maroc n’importe par de lait de Chine, d’après un ministre
Le Maroc n’importe par de lait de Chine, où un scandale de lait en poudre frelaté a éclaté, a déclaré le ministre marocain du Commerce, Ahmed Réda Chami.
Le Maroc « n'importe pas de lait en provenance de Chine » où un scandale du lait en poudre frelaté a éclaté, a déclaré dimanche à l'AFP le ministre marocain du Commerce.
« Le royaume n'achète ni lait ni autres produits laitiers de Chine. Nous sommes à l'abri », a assuré Ahmed Réda Chami. Le Maroc, grand consommateur de lait, produit une grande partie de ses besoins.
En prévision du mois de jeûne de Ramadan lors duquel la consommation de lait augmente considérablement, le gouvernement a mis sur le marché national 77 millions de litres - 65 millions de lait pasteurisé et 12 millions de litres de lait UHT - pour une demande mensuelle estimée à 67 millions de litres. D’après AFP | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 23 Sep 2008 - 23:58 | |
| - Citation :
- Maroc-Espagne. Le tunnel en bonne voie
Le fameux projet de tunnel reliant le Maroc à l'Espagne vient de franchir une nouvelle étape. L’étude de faisabilité du projet, qui devrait raccorder Tarifa (en Espagne) et Malabata, a été finalisée et devrait être présentée à l’Union Européenne le 13 octobre prochain, à l’occasion de la réunion préliminaire du Conseil d’association UE-Maroc. Long de 37,7 km, le gigantesque chantier comprendra deux sections distinctes : une voie ferroviaire pour un train grande vitesse (TGV), et un segment routier. Si tout va bien, les travaux de construction devraient démarrer en 2010, pour une mise en service attendue pour 2025. Mais pour cela, il faut que les deux pays décaissent une enveloppe d'investissement estimée à 5,3 milliards d’euros, soit près de 60 milliards de dirhams.
http://www.telquel-online.com/339/semaine_economie_339.shtml |
| | | moro Colonel
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 24 Sep 2008 - 14:47 | |
| - Citation :
Kuwait-Morocco group reveals new investment fund
RABAT, Sept 24 (KUNA) -- The Moroccan-Kuwaiti Development Group has unfolded the establishment of a new investment fund with a capital of 7.1 billion dirhams, the group director-general said here Wednesday.
The US dollar equals seven dirhams.
The holding group was set up by the Investment Authority with a view to effectively contributing to reinforcing development projects in Morocco, Walid al-Faheed was quoted as saying.
He also laid it bare that the fund's capital was raised up by five million dirhams on September 5th in order to cope with swift business growth in Morocco and to increase available investment opportunities in Morocco.
Last year, the fund established subsidiaries aiming to run investment activities in diverse development sectors in the Kingdom of Morocco, he said.
Contributors to the mammoth fund come from the infrastructure, engineering, services and agricultural fields, he added.
Al-Faheed uncovered new direct investments purposed to promote tourism and real estate in Morocco, including the purchasing of a big hotel and a conference palace in Marrakesh City.
Established in 1976, the Moroccan-Kuwaiti Development Group is active in the hotel, real estate and financial domains. http://www.zawya.com/Story.cfm/sidKUN0051080924114453/Kuwait-Morocco%20group%20reveals%20new%20investment%20fund | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 25 Sep 2008 - 7:29 | |
| - Citation :
- Morocco attracts foreign visitors
A growing number of British people are choosing to take their holidays in Morocco, it has been revealed.
According to analysts at Mintel, current exchange rates in Europe are putting many consumers off travelling within the eurozone.
Therefore, many are heading further afield and take advantage of more favourable rates in places such as Morocco.
Richard Cope, senior travel analyst at Mintel, told the Guardian that factors such as the good transport links have also made the north African country a popular choice.
He commented: "Prices will rise for 2009, meaning people will look increasingly at countries outside the eurozone."
Mr Cope added that consumers are becoming increasingly "competitive" with regards to their holidays, which means some may find traditional destinations "old-hat".
Morocco attracted a record number of people last year, as about 7.4 million tourists chose to visit places such as Marrakesh and Tangier.
The government is currently aiming to boost annual visitor numbers to 10 million by 2010. http://www.ready2invest.co.uk/news-and-publications/news-articles/morocco-attracts-foreign-visitors-240908.aspx |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Jeu 25 Sep 2008 - 13:25 | |
| - Citation :
- Hausse des investissements étrangers directs au Maroc
RABAT, 24 septembre (Xinhua) -- Le Maroc a drainé un flux important d'Investissements étrangers directs (IED) d'environ 2,57 milliards de dollars en 2007 contre 2,4 milliards l'année précédente, occupant ainsi la 4ème position parmi les pays africains.
La répartition des IED au Maroc par pays d'origine fait ressortir une prédominance de ceux en provenance des pays de l'Union européenne avec à leur tête la France avec 14,42 milliards de dirhams (1 dollar=7,5 dirhams) et l'Espagne avec 6,08 milliards en 2007, a rapporté mercredi l'agence MAP, citant un rapport de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement ( CNUCED).
Le flux d'investissement des 13 pays européens qui ont investi au Maroc en 2007 représente 73,5% du total des investissements étrangers directs, précise le rapport. Les investissements arabes connaissent, pour leur part, une progression de plus en plus importante, atteignant 19,3% du total des investissements au Maroc en 2007 contre 9,9% en 2006.
Le Maroc demeure la première destination régionale des IED au niveau des pays du Maghreb, enregistrant ainsi entre 2001 et 2007 d'importants flux (plus de 13,6 milliards de dollars) qui lui ont permis de surpasser nettement les pays de la région.
La ventilation des IED par secteur met le tourisme en première position avec 12,03 milliards de dirhams en 2007 soit 33% du total des IDE, suivi par le secteur immobilier avec un volume d'investissement de 7,2 milliards de dirhams et le secteur industriel. http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-09/25/content_727980.htm |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 27 Sep 2008 - 18:54 | |
| - Citation :
- Maroc : 2 Mds pour les énergies vertes
Source : AFP
27/09/2008 | Mise à jour : 18:20 |
Le Maroc a mis sur pied un plan de développement des énergies renouvelables pour un investissement de 25 milliards de dirhams (2,1 milliards d'euros) étalé sur cinq ans, a-t-on appris auprès de l'Office national de l'électricité (ONE, public).
"Grâce à ce programme ambitieux (...), l'ONE démontre clairement sa volonté de faire partie des acteurs mondiaux opérant dans le développement des énergies renouvelables", a indiqué l'office dans un communiqué. Le Maroc a pour objectif de porter la part des énergies renouvelables (solaire, éolien) à 10% à en 2012 contre 4% actuellement.
Par ailleurs, le directeur général de l'ONE, Younès Maamar a annoncé samedi sur la radio Médi1 la prochaine création à Oujda (est) d'une zone industrielle baptisée Kyoto Pôle, en allusion au protocole du même nom sur la préservation de l'environnement.
"Le but de ce technopôle est d'attirer les investisseurs étrangers qui vont bénéficier des infrastructures portuaires existantes et de divers avantages notamment fiscaux pour qu'ils développent leurs capacités industrielles au Maroc", a ajouté M. Maamar.
"Les plans de l'ONE visent à contribuer aux objectifs régionaux de réduction des émissions à effet de serre tout en explorant avec des partenaires régionaux le développement de projets énergétiques (solaires et éoliens) dédiés à l'export vers l'Europe", selon le communiqué de l'ONE.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/09/27/01011-20080927FILWWW00586-maroc-mds-pour-les-energies-vertes.php |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Dim 28 Sep 2008 - 17:22 | |
| - Citation :
- Economie - Afrique du Nord - Maroc - Investissement
Le Maroc 1ère destination des investissements étrangers au Maghreb
Le Maroc demeure la première destination des investissements étrangers directs (IED) au Maghreb, drainant, entre 2001 et 2007, des flux de plus de 13,6 milliards de dollars qui lui ont permis de surpasser nettement les pays de la région, selon la presse spécialisée marocaine.
dimanche 28 septembre 2008, par Panapress
En 2007, le Maroc a attiré environ 2,57 milliards de dollars d’IED contre 2,4 milliards en 2006. La répartition des IED au Maroc par pays d’origine montre la prédominance des membres de l’Union européenne, conduits par la France avec 14,42 milliards de dirhams (1 dollar = 7,5 dirhams) et l’Espagne avec 6,08 milliards en 2007.
Le flux des investissements des pays européens au Maroc en 2007 représente 73,5% du total des IED, alors que les investissements des pays arabes, notamment du Golfe, ont progressé à un rythme soutenu pour atteindre 19,3 pour cent du total des investissements en 2007 contre 9,9% en 2006.
Le tourisme est le secteur qui a le plus reçu d’investissements avec 12,03 milliards de dirhams en 2007, soit 33 pour cent du total des IDE, le secteur immobilier venant en deuxième position avec un volume d’investissements de 7,2 milliards de dirhams.
Par ailleurs, les Marocains résidant à l’étranger contribuent également aux IED avec un volume d’investissements qui s’élève à 711,2 millions de dirhams en 2007 contre 448,2 en 2006. La majorité de ces investissements est destinée aux secteurs de l’immobilier, du tourisme et de la restauration.
En 2008, les autorités financières marocaines ont approuvé 72 projets pour un montant global de 71,9 milliards de dirhams qui permettront de créer 40.023 emplois directs.
Outre le fait qu’il soit un pays qui attire de plus en plus d’IED, le Maroc est devenu émetteur de ces investissements. En 2007, le royaume chérifien a investi 652 millions de dollars à l’étranger, notamment en Afrique.
On rappelle que la région du Maghreb regroupe, outre le Maroc, la Libye, l’Algérie, la Tunisie et la Mauritanie. http://www.afrik.com/article15315.html |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- | |
| |
| | | | Économie marocaine-Tome 1- | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|