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| Économie marocaine-Tome 1- | |
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kaiidow Invité
| Sujet: Économie marocaine-Tome 1- Mar 13 Mar - 17:06 | |
| Rappel du premier message :
13.03.2007 | 16h42 Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.
"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.
Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc". "Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.
Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.
Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée. La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.
Source: MAP |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 14 Mai - 15:03 | |
| - Citation :
- La Russie pourrait participer à la construction d'une centrale nucléaire au Maroc (Gazeta.ru)
16:36 | 14/ 05/ 2008
MOSCOU, 14 mai - RIA Novosti. Les spécialistes russes du nucléaire souhaitent construire une centrale au Maroc pour un montant d'environ 6 milliards de dollars , indique mercredi le quotidien Gazeta.ru.
Le français Areva et le canadien AECL pourraient faire concurrence au russe Atomstroyexport, qui s'occupe de la construction d'ouvrages nucléaires à l'étranger. Il sera difficile de s'entendre avec la partie africaine, avertissent les experts.
Les autorités marocaines ont adopté un programme de développement du secteur nucléaire national, qui prévoit la construction de deux réacteurs d'une puissance de 600-1.000 MW chacun. Si les Marocains optent pour un schéma à deux réacteurs de 1.000 MW chacun, le coût de la construction d'une centrale nucléaire sera d'au moins 6 milliards de dollars, calcule Evgueni Roudakov, expert-analyste du département des études du secteur électroénergétique de l'Institut des problèmes des monopoles naturels.
Les Marocains ont déjà choisi l'emplacement pour la centrale, et sa mise en exploitation est prévue pour 2016-2017.
Irina Essipova, porte-parole d'Atomstroyexport, a expliqué à Gazeta.ru que la compagnie russe avait remis à la partie marocaine ses propositions commerciales et l'étude de faisabilité pour la construction de la centrale. Ces propositions sont actuellement examinées. La compagnie russe n'a pas précisé les délais éventuels pour l'adoption de la décision définitive concernant le choix du maître d'oeuvre.
Les spécialistes russes ont déjà de puissants concurrents, à savoir le français Areva et le canadien AECL. Les avantages des projets russes par rapport aux étrangers résident dans les technologies de pointe, l'expérience des Russes en la matière et les réacteurs déjà mis en exploitation (construits pas Atomstroyexport, par exemple, en Chine), affirme la compagnie.
Ce n'est pas le prix du contrat et encore moins les caractéristiques techniques des réacteurs proposés par les compagnies qui auront une grande importance lors du choix du partenaire du Maroc, estime l'analyste de l'IPMN. Tout comme dans la plupart des pays où le développement de certains secteurs de leur industrie et leur énergie ne fait que commencer, ce sont les résultats des négociations bilatérales sur la coopération au niveau gouvernemental qui jouent le rôle décisif dans ce choix, résume-t-il.
Atomstroyexport n'envisage pas de se borner au continent africain. Parmi les pays prometteurs qui pourraient conclure des contrats avec la compagnie russe, les comptes-rendus d'Atomstroyexport citent le Kazakhstan, le Vietnam, l'Ukraine, la République tchèque, la Turquie, la Finlande, l'Arménie, l'Egypte, l'Indonésie et la Jordanie. A l'heure actuelle, Atomstroyexport est en train de construire cinq réacteurs de centrales nucléaires: deux en Inde, un en Iran et deux en Bulgarie.
Cet article est tiré de la presse et n'a rien à voir avec la rédaction de RIA Novosti. http://fr.rian.ru/business/20080514/107344541.html |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 14 Mai - 20:16 | |
| - Citation :
- Maroc -Télécommunication: Le GPS pour automobiles arrive en juin 2008 au Maroc
Fruit d’un partenariat entre Cadtech, entreprise de géolocalisation et Tele Atlas, concepteur de cartes digitales n 5 villes pour commencer : Casablanca, Rabat, Marrakech, Tanger et Fès. LeGPS sera enfin disponible au Maroc dès fin juin. L’entreprise marocaine de géolocalisation Cadtech et le concepteur de cartes digitales et de contenu dynamique, Tele Atlas, ont signé un accord de partenariat pour mettre à la disposition des pays de l’Afrique du Nord des bases de données de navigation. Concrètement, il sera dorénavant possible pour tout propriétaire d’un appareil de géolocalisation de la marque «Tom Tom», qui a récemment racheté Tele Atlas, de se faire guider à travers une des cinq villes couvertes, dans un premier temps pour aller d’un point à un autre.
Au début, c’est un réseau de 70 000 km qui sera couvert. Le système de navigation permettra de trouver le meilleur chemin pour arriver à destination à l’intérieur des villes de Casablanca, Rabat, Marrakech, Tanger et Fès. Les visiteurs européens pourront dorénavant être guidés depuis n’importe quel pays du Vieux continent jusqu’à ces villes.
Les appareils GPS Tom Tom seront commercialisés entre 1 000 et 1 500 DH pour les modèles d’entrée de gamme. Pour le haut de gamme, il faudra compter 3 000 DH voire 4 500 DH. C’est ce qu’on a pu déduire des informations contenues sur le site de Tele Atlas dont les responsables n’ont pas souhaité communiquer sur le projet.
Maroc, premier pays maghrébin à disposer du système
Au niveau de Cadtech, le secret est également bien gardé. Mais on peut d’ores et déjà avancer que le seul appareil suffira à se faire guider dans des villes jusque là inconnues du voyageur de passage. L’objectif est notamment de fournir aux touristes les mêmes services que dans leur propre pays. Cet argument aura été un facteur déterminant dans la décision de Tele Atlas de s’adosser à un partenaire marocain pour ledit projet. «Disposer du GPS et le développement de moyens de télécommunications performants ont été un des facteurs qui ont favorisé l’Afrique du Sud lors de l’attribution de la Coupe du monde de football», explique un professionnel du secteur.
En la matière, le Maroc sera le premier pays du Maghreb à disposer du système de navigation grand public. Pourtant, pour être viable, le GPS devra également intéresser les particuliers locaux. Ainsi, si on estime que le parc de voitures haut de gamme est évalué, à plusieurs milliers, cela donne une idée du potentiel du marché qui peut être exploité grâce à des prix compétitif du matériel.
Source: La Vie Eco |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 14 Mai - 22:01 | |
| - Citation :
- Maroc -Télécommunication: Le GPS pour automobiles arrive en juin 2008 au Maroc
Je ne sais pas si c’est l’exactitude de la traduction Google ou l’interprétation de l’auteur qui est à mettre en cause ! à mon avis on confond un peu les choses. Comme vous le savez tous, le système GPS est un système de localisation universel (donc cette marque de récepteur GPS n’a rien inventé !) et les cartes géographique de certaines villes marocaines sont disponibles depuis longtemps !... je ne vois pas ce qu’il y a d’extraordinaire pour en faire autant ! Pour CIVIL : « défense = défonce » c'est plutôt le fruit des posts de 1h du mat. Mais à part ca, on peut y voir un jeu de mot intéressant ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Dim 18 Mai - 19:04 | |
| - Citation :
- Maroc : La flambée des prix de l’immobilier
La flambée des prix de l’immobilier au Maroc n’est plus un secret pour personne. Mais jusqu’où le mètre carré des appartements peut-il grimper ? Dans les grandes villes, certains promoteurs immobiliers vont jusqu’à demander 35 000 DH le m2 soit prés de 4000 € le m² , pour des logements dit de « très haut standing ». Et à en croire les agents immobiliers, ces appartements s’envolent comme des petits pains !
À Casablanca, les appartements les plus chers sont situés du côté du célèbre Triangle d’or, c’est-à-dire entre les boulevards Zerktouni, Massira Khadra et Anfa, jusqu’au vélodrome. Autour des boutiques Dior et Cartier et près du café Chez Paul, les prix flambent. « Des appartements ont été cédés, sur plan, à 30 000 DH le m2 », annonce sans s’émouvoir Hamza Bensaïd, conseiller commercial chez Century 21.
Même son de cloche chez Laforêt Immobilier. « Ce segment de marché est en pleine santé », confirme Dounia Boukhari, directrice d’agence. « Evidemment, les surfaces sont moins grandes. Par exemple, près de la boutique Dior, les studios sont vendus autour de 1,8 million DH, mais ne comptent pas plus de 50 m2 », raconte-t-elle.
Richissimes Marocains, directeurs de grandes sociétés ou spéculateurs : « On trouve de tout parmi les acheteurs ! », soutiennent les agents immobiliers. « Les sociétés achètent aussi souvent pour loger leurs consultants et la crème de leur encadrement », raconte M. Bensaïd. Ce qui est cependant étrange, c’est que le mètre carré chute ensuite « drastiquement », pour se fixer autour de 22 000 DH, dans les quartiers Gauthier et Racine. Aucune offre entre les deux. « Dans le Triangle d’or, il n’y a presque plus de foncier.
Le promoteur paie les terrains une fortune, et n’a d’autre choix que de répercuter sur le prix de vente », explique Mme Boukhari. Mais attention, dans la foulée du boum, quelques propriétaires demandent le gros prix, pour des appartements « tape-à-l’oeil ». « Evidemment, même si on est en plein Gauthier, on ne peut pas payer 22 000 DH pour de la parqueterie de mauvaise qualité », déplore une source.
Marbre, Tadelakt et bois massif
A Marrakech, c’est tout près du Café de la Poste que le mètre carré a atteint son pic : 35 000 DH ! Le secteur de Daoudiate, situé en plein centre, a aussi pris beaucoup de valeur depuis les derniers mois. On y achète aujourd’hui le m2 autour de 26 000 ou 27 000 DH. « Et curieusement, la demande dépasse l’offre pour cette catégorie d’appartements », affirme M. Bensaïd.
Les professionnels sont cependant partagés sur la classification des produits. A en croire William Simoncelli, de Carré Immobilier, le « très haut standing » n’existe pas. « Il faut arrêter de multiplier les superlatifs. Il y a le haut standing, et le luxe », soutient-il. Il faut dire que l’absence de normes précises en matière de catégorisation des constructions n’aide pas à définir ce genre d’appartement.
Ils sont quand même d’accord sur le fait que l’emplacement est l’élément le plus important. « A Casablanca, on peut difficilement parler de luxe à l’extérieur du Triangle d’Or, des quartiers Racine, Gauthier ou Anfa », indique M. Simoncelli. Dans cette zone, il faut savoir que la fièvre a même atteint les appartements de seconde main qui dépassent largement la barre des 20 000 DH le m2 .
A Rabat, c’est Hay Riad qui remporte la palme du quartier le plus cher. Des programmes neufs ont fait grimper le prix du m2 à 24 000 DH. « Mais ce n’est pas comme à Casablanca ou Marrakech car le foncier n’a pas pris les mêmes proportions. De plus, les nombreux cadres, diplomates et dignitaires choisissent le plus souvent de s’installer dans des villas, un peu en retrait du centre-ville », indique Dounia Boukhari, de Laforêt Immobilier Maroc.
On signalera d’ailleurs que tout récemment les appartements de la première tranche du programme d’Addoha sur le terrain de l’ancien zoo, vendus entre 15 000 et 17 000 DH le mètre carré, se sont vendus en quelques semaines. La deuxième tranche, elle, sera vraisemblablement commercialisée à plus, 20 000 à 25 000 DH le mètre, sans oublier les terrains pour villas du même promoteur, vendus à 8 000 DH le mètre carré.
Des marges très confortables de 25 à 30%
Mais mis à part l’emplacement, c’est la qualité architecturale qui ferait varier les prix. « La disposition des pièces est fondamentale, on ne doit pas retrouver de W.C. près de l’entrée, à titre d’exemple ! », illustre le directeur de Carré Immobilier. La division des pièces, la qualité de la ventilation et de l’éclairage naturel sont aussi pris en considération.
Attention, on ne parle pas ici de superficies énormes, mais surtout de qualité. « La finition fait toute la différence, elle est grandement améliorée, que ce soit au niveau des matériaux que de la pose », explique Mme Boukhari. Revêtement de sol en marbre jusque dans les salles de bain, tadelakt sur tous les murs, boiseries de cèdre, revêtement en bois massif d’Iroko : il y a de quoi rapidement faire grimper la facture.
Toutefois, le très haut standing ou le haut standing de luxe, peu importe comment nous l’appelons, n’échappe pas à la fameuse pratique du « noir ». Au contraire, selon de nombreux agents immobiliers, l’acheteur doit débourser autour de 35 à 40% du prix de vente sans le déclarer. « Evidemment, quand on achète un appartement à des millions de DH et qu’il faut verser 40% du prix non déclaré, c’est qu’on est très riche », conclut Hamza Bensaïd, qui insiste sur le fait que pour cette catégorie, et malgré toute cette flambée, la demande dépasse l’offre.
Mais ce n’est là finalement qu’une niche. Car même s’il fait de plus en plus d’adeptes parmi les promoteurs, le haut standing de luxe ne représenterait, selon Youssef Ibn Mansour, vice-président de la Fédération nationale des promoteurs immobiliers (FNPI), qu’entre 5 à 10% de l’offre résidentielle collective, à travers le pays. Il prévient toutefois qu’il faut rester vigilant dans la catégorisation des appartements : « Un travail conjoint entre le ministère de l’habitat et de l’urbanisme et la Fédération est toujours en cours de réalisation, afin de déterminer les normes pour catégoriser les produits immobiliers ».
Chose certaine, les marges dégagées sur les logements luxueux sont drôlement plus séduisantes : elle varieraient entre 25 et 30%, selon M. Ibn Mansour. « Au plus fort de sa forme, la construction de logement économique pouvait, il y a quelques années, permettre au promoteur de dégager une marge bénéficiaire d’environ 20%, mais aujourd’hui, elle a complètement fondue, à tout le moins à Casablanca », explique-t-il. « Nous avons des clients promoteurs qui cherchent des terrains dans des quartiers très précis, et qui refusent carrément de s’en éloigner », témoigne une source.
Certains achèteraient même sans avoir le moindre projet de valorisation en tête. Selon cette même source, ils seraient également très nombreux à construire sans vendre, pour laisser aux prix le temps d’augmenter encore. « Pour cette catégorie, aucun signe d’essoufflement n’est apparu à ce jour », assure la directrice de Laforêt. « Je ne crois pas que les prix descendront. Pas dans ces quartiers », dit-elle .
Source : La Vie Eco
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Dim 18 Mai - 22:27 | |
| big boss mais ne t'inquiète pas ca va chuter aussi vite que ca monté! c'est en tout cas les prévisions de la banque du Maroc.
Pourquoi les prix ont monté?
1. les banques marocaines accordent des prêts immobilier plus facilement et avec des taux très intéressants. Pourquoi les taux sont devenus intéressant ? Le taux d'inflation à baisser au Maroc (2% en 2007) sachant qu'un taux de crédit = taux d'inflation + taux net Les facilités administratives et les exonérations de taxes pour les nouveau propriétaire incitent à l'achat aussi!
2. Maroc en développement = des milliards de dirham en circulation pour des projet de l'état = une partie mise dans les poches = blanchiment d'argent par les achats immobilier!!
3. affolement des MRE qui pensent que dans 10ans tout le Maroc sera vendu donc ils achètent!
4. des investissement étranger géant (mais ce n'est pas un facteur influant puisque les terrains sont souvent cédés par l'état et donc pas de surenchère pour le privé!)
Pourquoi les prix vont baissé?
1. parce que ces hausses ne sont pas sensées et ce n'est qu'un affolement des gens qui sautent sur des terrains qui valent même pas la peine des fois.
2. parce que les banques vont serrer les ceinture et cela va provoquer un déséquilibre (offre/demande).
3. Une bonne partie achète à taux variable et l'inflation ne peut pas rester aussi basse! donc crédit trop chère = vente imminente.
4. tout les pays européen sont passé par une crise pareille... quand il n'y a pas un vrais facteur économique et un développement sûr ce changement dans la valeur du foncier n'est pas fondée!! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 19 Mai - 9:46 | |
| effectivement ca va chutter de 15% les prix very soon |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 19 Mai - 15:47 | |
| je ne pense pas,lmgharba diawlna bghaw lhemza,le profit et les benefices rapides,les gens ne sont pas fous,ils vont vendre leurs maisons a des mre et a des etrangers et eux irons ailleurs dans des petites villes ou occuperons d'autres maisons a eux quand ils ont 2-3 maisons de raport,quand a leurs compatriotes,eux aussi mettent la main a la poche,c'est a prendre ou a laisser,l'argent n'a pas d'odeur.
dans l'immobilier les prix ne baissent pas,ils augmentents,le petrole a augmenter,le prix des materiaux aussi,le ciment,les barres de fer,le platre,les metaux(cuivre surtout) le smig qui va peut etre augmenter,donc la journée de l'ouvrier avec,le promoteur doit amortir son investissement.
ca ne va pas baisser,c'est le moment de revendre pour ceux qui ont des maisons dormantes.
agadir,il y a 5 ans il n'y avait que 4 ou 5 agences immobiliers tenues par des etrangers,maintenant ils sont au moins 50,les marocains s'y mettent aussi et montent des agences avec sites web pour vendre aux etrangers.
ceux ci achetent meme dans des quartiers ou ils n'allaient jamais avant,fini charaf et la ville nouvelle,daba c'est salam,dakhla,houda... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 19 Mai - 17:49 | |
| je commence par ce grand sourire Civil! tu as répondu à ta question... - Citation :
- ca ne va pas baisser,c'est le moment de revendre pour ceux qui ont des maisons dormantes
justement c'est le moment de vendre pour tout le monde, mais ce n'est pas le moment d'acheter pour plusieurs d'autres, ce qui fait qu'il y a plus d'offre que de demande! et quand tu tente de vendre ton bien à 300'000euro et tu n'obtient que des sourires moqueurs tu fini par être raisonnable et tu le vent au tiers du prix! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 19 Mai - 18:32 | |
| les acheteurs se sonts resignés ,sachants que ca ne va pas baisser,donc mettent la main a la poche en ralant,plus ils attendent,plus ca augmente,les vendeurs sont rois et disent aux acheteurs qui essaient de baisser trop les prix qu'il y a 10 acheteurs qui attendent .... les rabais sont de 20 pc maximum sur le prix initial demandé par le proprietaire.
les affaires sont dans les tribunaux avec les saisies,le mec a des dettes, il vends rapidement sa maison pour ne pas aller en tolle,comme pour les voitures achetées dans les saisies,pas cheres du tout,mais la aussi c'est une chasse gardée,il faut etre introduit dans ce milieu la et ca ne represente qu'un pourcentage minime des transactions immobilieres. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 19 Mai - 19:22 | |
| vu les prix actuel ça dégoute vraiment, c'est la mauvaise revers du tourisme on est pas prêt a l'ouverture des capitaux, vive la mondialisation... :'( |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 19 Mai - 19:55 | |
| Nous disposant de milliers d'hectares de terrains constructible. sont pas les petits retraité occidentaux qui viennent s'acheter une villa de 1500 ou 2000 m2 qui vont influencer le marché. Eagle, je te partage t'as rancœur... mais ce n'est pas aux touristes qu'il faut en vouloir (en tout cas pas par rapport à ce problème précis!)
Il faut savoir que les immenses projets immobiliers qui ont eu lieu et qui étaient taillés sur mesure pour les étrangers n'ont rien couté à ces énorme groupe qui les ont bâti. les terrains ont été gracieusement mis à disposition par l'état et les clients ont acheté sur plan! (donc pas un centime avancé) je le répète peut être, mais cette crise est de passage...aucun indice économique ne prédit le contraire. mais bon, ça risque de prendre du temps car les marocains se laisse facilement entrainé et croient à tout ce qu'on leurs raconte. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 20 Mai - 0:01 | |
| - Citation :
SM le Roi préside à Casablanca la signature de trois conventions de partenariat avec l'appui du Fonds Hassan II
Casablanca, 19/05/08 - SM le Roi Mohammed VI a présidé, lundi au Palais Royal à Casablanca, la cérémonie de signature d'une convention relative à l'appui à l'investissement industriel et au développement des nouvelles technologies et de deux autres conventions pour la réalisation des études devant aboutir à l'élaboration du processus de mise en oeuvre d'un cadre global pour l'émergence industrielle et d'une stratégie intégrée pour le développement de la compétitivité logistique du Maroc.
Ces trois conventions s'inscrivent dans le cadre des Hautes Orientations Royales visant à consolider l'attractivité du Maroc vis-à-vis des investissements étrangers et nationaux dans des secteurs porteurs à forte croissance.
Au titre de la première convention, le Fonds Hassan II pour le développement économique et social a mobilisé une enveloppe financière de 500 millions de DH pour l'appui à l'investissement industriel dans des secteurs à fort potentiel de croissance qui sont la fabrication des équipements pour les industries automobile et aéronautique et la fabrication des composants d'ensembles et de sous ensembles électroniques et ce, à travers l'octroi d'aides financières directes à l'acquisition des bâtiments professionnels et des biens d'équipement.
Cette enveloppe financière contribuera également au développement des nouvelles technologies liées à la nanotechnologie, la microélectronique et la biotechnologie sous différentes formes et plus particulièrement, la réalisation de centres de développement technologique.
Cette convention a été signée par MM. Karim Ghellab, ministre de l'Equipement et du Transport et Abdelwahed Kabbaj, président du directoire du Fonds Hassan II pour le développement économique et social.
En effet, le secteur de l'automobile représente un fort potentiel d'investissement pour le Maroc de par sa position géographique notamment sa proximité du marché européen et ses coûts compétitifs des facteurs de production.
Pour sa part, le secteur de l'aéronautique est en pleine expansion grâce aux mutations qu'il connaît sur le plan international à travers la mondialisation de ses activités, ce qui a déjà permis d'attirer de nombreuses sociétés, leaders et spécialisées dans ce domaine.
En ce qui concerne le secteur des composants électroniques, il présente aussi un potentiel d'investissement confirmé eu égard aux évolutions rapides que connaît le domaine des nouvelles technologies à l'échelle internationale induisant une demande croissante en composants électroniques.
Quant aux activités liées à la nanotechnologie, à la microélectronique et à la biotechnologie, l'objectif est de créer un environnement et une infrastructure technologique aux standards internationaux.
La deuxième convention, signée par MM. Ahmed Reda Chami, ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies et Abdelwahed Kabbaj, porte sur la réalisation d'une étude avec une contribution financière du Fonds Hassan II de 20 millions de DH, pour l'émergence industrielle et ce, dans la continuité des études engagées en la matière et particulièrement de l'étude "Emergence" qui a défini une stratégie industrielle et identifié les métiers porteurs.
Cette étude a pour objectif de créer les conditions favorables à l'émergence de filières industrielles performantes et compétitives à travers le renforcement des "Métiers mondiaux du Maroc" intégrant notamment le développement du concept de pôles industriels de nouvelle génération, de redynamiser le tissu des PME pour en faire émerger des "champions" et d'ériger le secteur industriel dans son ensemble en véritable moteur de croissance.
La troisième convention concerne le financement par le Fonds Hassan II, pour un même montant, d'une étude portant sur la définition d'un cadre de mise en place d'une stratégie cohérente et intégrée de développement de la compétitivité logistique du Maroc. Ceci se traduira particulièrement par l'élaboration d'un schéma directeur des plates-formes logistiques, d'un plan national de formation dans ce domaine et par la mise en place d'un observatoire spécialisé.
Les mesures et projets qui seront retenus à l'issue des processus ainsi engagés seront mis en oeuvre dans un cadre de partenariat avec la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM).
Cette convention a été signée par MM. Salaheddine Mezouar, ministre de l'Economie et des Finances, Ahmed Reda Chami et Abdelwahed Kabbaj.
Ainsi, le Maroc, compte tenu du renforcement de sa position logistique et de ses conditions de production plus compétitives à travers la qualité de ses infrastructures de base et son dispositif d'encouragement à l'investissement, pourrait bénéficier des retombées du potentiel d'investissement dans le secteur industriel à forte croissance et à forte valeur ajoutée, ce qui lui permettra de s'ériger en véritables plate-forme de production et d'exportation.
Cette cérémonie s'est déroulée en présence du Premier ministre, M. Abbas El Fassi, Des Conseillers de SM le Roi, Mme Zoulikha Nasri et M. Abdelaziz Meziane Belfkih, du ministre de l'Emploi et de la Formation professionnelle, M. Jamal Rhmani et du ministre chargé des Affaires économiques et générale, M. Nizar Baraka.
- Citation :
Le gouvernement veut réaliser un programme d'infrastructures de transport de 120 milliards de DH entre 2008 et 2012 (ministre)
Marrakech, 19/05/08 - Le gouvernement envisage de réaliser, durant la période 2008-2012, un programme d'infrastructures de transport de 120 milliards de dirhams, a souligné le ministre de l'Equipement et du Transport, M. Karim Ghellab.
Ces investissements portent sur plusieurs projets et programmes d'envergure, tels le complexe portuaire Tanger-Med, la modernisation et l'extension du réseau ferré classique et le lancement de la réalisation de la première ligne du TGV entre Tanger et Casablanca, a expliqué M. Ghellab, lundi à Marrakech, à l'ouverture des travaux des 36-èmes journées d'études de l'Association Européenne Professionnelle des Sociétés Concessionnaires d'Autoroutes et d'Ouvrages à Péage (ASECAP) initiées sous le thème "Infrastructures routières européennes au-delà des frontières : marché, concurrence et transport durable en tant que facteurs de développement pour le secteur".
Ils portent aussi sur le développement des capacités aéroportuaires nationales pour accueillir 30 millions de passagers en 2010, l'adaptation des liaisons du réseau routier au réseau autoroutier par la réalisation d'un programme important de voies expresses (630 km) et l'achèvement du premier schéma directeur des autoroutes (1.500 km).
Evoquant le réseau routier concédé, le ministre a tenu à rappeler que le Maroc a procédé, depuis le milieu des années 80, à la définition et la mise en oeuvre d'un plan de développement permettant de relier les principaux pôles économiques.
Il a fait savoir, dans ce sens, que le rythme de réalisation des autoroutes et le volume des investissements ont connu, depuis le démarrage du programme, une évolution progressive et notable, passant de 40 km/an dans les années 90, à 100 km/an entre 2002 et 2005 pour atteindre actuellement 160 km/an, avec un investissement annuel moyen qui est passé de 600 millions de DH à plus de 4 milliards de DH.
M. Ghellab a, par ailleurs, indiqué que les recettes de péage constituent un excellent levier pour mobiliser les ressources financières et mettre en place les financements requis pour la réalisation des autoroutes projetées dans le cadre du premier schéma directeur national autoroutier.
"Les ressources financières, ainsi mobilisées, représentent actuellement près de 80 pc des coûts de l'investissement dans le programme de réalisation des autoroutes", a précisé le ministre, relevant que le système de péage ne se limite pas uniquement à la mobilisation des fonds de financement pour les nouveaux tronçons autoroutiers, mais contribue également à la régulation du trafic et l'orientation des flux de transport.
M. Ghellab a estimé indispensable pour les autorités publiques, les concessionnaires ainsi que pour les gestionnaires des réseaux autoroutiers de coordonner leurs efforts afin de concevoir et mettre en place des systèmes de transport intégrant toutes les contraintes et les enjeux liés à ces aspects de plus en plus prioritaires et cruciaux de mobilité, de sécurité et de respect de l'environnement.
"L'expertise du secteur privé, son savoir-faire, ses ressources et ses capitaux sont évidemment plus que nécessaires pour asseoir sur de solides bases le partenariat public-privé recherché pour le développement harmonieux du secteur", a conclu M. Ghellab.
Le président de l'Association Européenne Professionnelle des Sociétés Concessionnaires d'Autoroutes et d'Ouvrages à Péage (ASECAP), M. Fabrizio Palenzona, s'est félicité, pour sa part, de la tenue au Maroc de ces journées organisées pour la première fois dans un pays du sud de la Méditerranée.
Après avoir donné un aperçu sur le système des autoroutes et de péage en Europe et leur flexibilité, M. Palenzona a qualifié le système marocain de "succès" et de "référence".
"Ce système tel que conçu au Maroc, ne peut que contribuer à l'amélioration de la qualité des services et à renforcer la mobilité des biens et des personnes", a-t-il dit.
Le directeur général de la société nationale des Autoroutes Du Maroc (ADM), M. Othmane Fassi Fihri, a, quant à lui, mis l'accent sur certains objectifs de l'ADM à atteindre pour les années à venir, notamment la poursuite de la construction du réseau routier suivant les meilleurs standards de qualité, l'utilisation de nouvelles technologies comme base de système d'aide à la gestion et la réalisation d'un système de transport efficient en coût de transport et sécurité.
"Quels obstacles et défis pour la mise en place d'un cadre réglementaire de l'UE pour l'industrie du péage", "vers un réseau de transport méditerranéen : une analyse de la réalité du secteur du transport méditerranéen" et "présentation de l'environnement : internationaliser les coûts externes grâce au modèle concédé" sont parmi les thèmes qui seront débattus lors de ces journées initiées jusqu'au 21 mai courant dans la cité ocre.
Le Maroc a rejoint l'ASECAP, en janvier 2005, par l'adhésion d'ADM. Cette association, qui a vu le jour officiellement en 1993, réunit et représente 17 membres pleins (France, Italie, Espagne, Portugal, Grèce, Norvège, Autriche, Belgique, Pays- Bas, Danemark, Croatie, Slovénie, Serbie, Hongrie, Royaume-Uni, Pologne et Irlande) et 4 membres associés (Allemagne, Maroc, République Slovaque, et République Tchèque), soit un total de 127 organismes qui gèrent plus de 37.000 kilomètres de réseau de péage.
apres renault,ce sont les chinois de Sinotruck avec Riad Holding. ils produisent entre autres des camions militaires pour l´armée chinoise...la fabrique sera a Settat... ca sera la grande en afrique du nord - Citation :
- Morocco's Riad Motors plans Chinese vehicle plant
Mon May 19, 2008 9:13am EDT
RABAT, May 19 (Reuters) - Riad Motors Holding, Morocco's leading family-owned importer and distributor of heavy trucks and utility cars, will open this year the biggest China-made vehicle assembly plant in North Africa, Riad said on Monday.
The Rabat government wants to make Morocco into a hub for the car industry, as it maximises its free trade agreements with the European Union and United States and several Arab countries.
"The company will invest 275 million dirhams ($37.41 million) in the assembly plant. The plant will go on stream by the end of June, 2008," it said in a statement.
The plant aims to produce 5,000 vehicles, mainly small trucks, per year to supply the Moroccan market before expanding output later to export to West Africa, Middle East and Asia.
Riad agreed deals with Chinese vehicle-maker Sinotruk , Mudan and Baw, to supply the assembly plant to be located in Settat region, near Casablanca -- Morocco's commercial capital.
"We selected these three Chinese firms because we want to ensure supply security. The three companies are linked to the Chinese army and produce vehicles for the Chinese armed forces. That gives us a guarantee to supply the plant," Riad Chief Executive Officer Abdelaziz Azzam told Reuters.
Azzam and other vehicle industry officials said they believed the plant would be a breakthrough for Chinese vehicle industry in Morocco and North Africa.
"It would be the biggest assembly plant for Chinese vehicles in North Africa," said Azzam. Riad Motors is owned by the Riad Sahyoun family.
"It is part of a well-thought-out strategy by Chinese vehicle industrialists to win a foothold in Morocco and expand in Maghreb and other markets in Africa," said a senior Moroccan vehicle industry official, who did not want to be named.
French carmaker Renault (RENA.PA: Quote, Profile, Research) signed a deal with Morocco last September to build a new factory that would be able to produce up to 200,000 cars a year from 2010, and eventually up to 400,000 a year.
The planned investments in manufacturing capacity were estimated at 600 million euros, with a first phase of 350 million euros. Further specific investment of 200-400 million euros would be made according to the type of vehicles produced.
Renault already has a major presence in Morocco, where it produces the low-cost Logan car.
Its plant in Morocco will manufacture cheaper cars for developing markets under the Renault/Dacia brand and small utility vehicles under the Nissan brand, with 90 percent of the plant output for export. (Reporting by Lamine Ghanmi; Editing by Louise Ireland) http://www.reuters.com/article/rbssConsumerGoodsAndRetailNews/idUSL1912529320080519 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 20 Mai - 0:03 | |
| - Citation :
- Morocco, Libya plan $1 bln fertiliser venture
Mon 19 May 2008, 12:35 GMT
RABAT, May 19 (Reuters) - Morocco's Office Cherifien de Phosphate (OCP) has signed a memorandum of undertanding with Libya-Africa Investment Portfolio to build three fertiliser plants worth $1.0 billion, OCP said on Monday.
A first plant would produce 1.0 millioon tonnes of phospheric acid per year, with investment of $350 million, and a a second plant to produce 800,000 tonnes of ammonia would cost $500 million, OCP added in a statement.
A third unit, with annual capacity of 1.0 million of fertiliser, will cost $150 million, it said. It gave no dates when the plants would be built. "The acid unit would be based in Morocco, the ammonia to be build in Libya and the fertiliser plant location has yet to be decided whether in Libya or Morocco," said an official close to deal, which was signed on Sunday.
Libya-Africa Investment Portfolio is Tripoli government's investment arm in Africa.
Early this month, OCP signed a memorandum of understanding with Vietnam's Pterovietnam to build two fertiliser plants worth $600 million.
In February, OCP invited non-Moroccan investors to set up plants to help Morocco expand its fertiliser and chemical business.
OCP's average annual exports of $2 billion account for 15.6 percent of the value of Morocco's total sales abroad.
OCP, with an annual output of 27.25 million tonnes of raw phosphate, has 43.5 percent of the world's phosphate market, 47.2 percent of the phosphoric acid market and 9.5 percent of fertiliser output, according to the company. http://africa.reuters.com/country/MA/news/usnL19197658.html apres les bateaux pour l´algerie...et apres 2 ans de construction:le maroc vendra sa premier platteforme petroliere au congo - Citation :
- maroc
DLM livrera au Congo une installation complète pour l'offshore
14-05-2008
Récemment introduite à la Bourse de Casablanca, Delattre Levivier Maroc (DLM) devrait livrer sa première installation complète pour l'exploitation du pétrole offshore à fin novembre 2008.
Le montage de cette installation, qui pèse 4000 tonnes, s'est étalé sur deux ans.
Il est à noter qu'auparavant DLM ne fournissait que des pièces détachées des plateformes offshores, notamment des pièces de 160 tonnes en acier spécial destinées à être écoulées à 30 mètres de profondeur pour soulever la plateforme d'exploitation au profit d'une exploitation pétrolière offshore en Angola. http://www.lesafriques.com/maroc/dlm-livrera-au-congo-une-installation-complete-pour-loffshore.html?Itemid=67?articleid=6156 - Citation :
- Maroc- agriculture
Un nouveau barrage au Maroc pour 135 millions de dollars
APA- Rabat (Maroc) Le Maroc a lancé vendredi les travaux de construction d’un nouvel ouvrage hydraulique dans le nord du Royaume chérifien pour un coût de 950 millions de dirhams (135 millions de dollars), a- t-on indiqué de source informée.
Lancé par le Roi Mohammed VI, cet ouvrage hydraulique, qui sera mis en service dans 4 ans à la région de Tétouan , aura une capacité de 120 millions de mètres cubes, a expliqué la même source.
Le barrage sera fiancé conjointement par l’Etat marocain et le Fonds Arabe pour le développement économique et social.
Deux infrastructures similaires ont été inaugurées au centre du Maroc au cours des deux dernières semaines. Elles ont nécessité un investissement global de 170 millions de dollars.
Le Maroc a dispose, en 2008, de 119 grands barrages d’une capacité de stockage d’environ 15 milliards de mètres cubes. Il y’a trente ans, le Royaume comptait 15 ouvrages de ce type, pour une capacité de stockage de 3 milliards de m3.
Pour faire face à la faible pluviométrie, Rabat a érigé en priorité stratégique, une politique de construction de grands barrages parallèlement aux barrages collinaires, ce qui a permis, depuis 1997, l’irrigation de plus d’un million d’hectares sur les huit millions cultivables. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 20 Mai - 13:55 | |
| - Citation :
- Sur les quais de Tanger, on rêve de devenir nº1 en Méditerranée
Publié le mardi 20 mai 2008 à 06H06
Tanger Med, au carrefour de l'Atlantique et de la Méditerranée, compte à ce jour deux terminaux
Tanger Med, au carrefour de l'Atlantique et de la Méditerranée, compte à ce jour deux terminaux.
© Jean-Luc Crozel
La route serpente, puis replonge vers la base du mont Jebel Moussa. Un massif rocheux protégé, qui domine le détroit de Gibraltar. Les nuages de poussière annoncent l'arrivée des camions qui acheminent les matériaux sur les chantiers de Tanger Méditerranée. Un complexe portuaire en construction, situé à une quarantaine de kilomètres à l'est de la ville marocaine de Tanger, capitale de la région de Tanger-Tetouan.
Tanger Med, dont les travaux ont débuté en 2004, est la pierre angulaire d'un plan de développement destiné à transformer l'économie de la région. L'une des plus pauvres du Maroc. La volonté de sa Majesté Mohammed VI étant sans faille, le projet a brûlé les étapes. Pour aboutir, en juillet dernier, à la mise en service d'un premier terminal conteneurs en eau profonde. Doté d'un quai de 800mètres, il accueille les plus gros porte-conteneurs de l'armateur danois Maersk.
Des géants dont la longueur atteint 420 mètres, capables de transporter plus de 11 000 "boîtes". Régulièrement, ils empruntent la seconde route maritime la plus fréquentée au monde: le détroit de Gibraltar. Tanger Med, qui n'est qu'à 14 kilomètres de la côte espagnole, se considère déjà "comme la porte de l'Europe". Une ambition d'autant plus affichée qu'à trois dizaines de kilomètres, l'Espagne détient la ville militaire de Sebta (Ceuta en français).
Une enclave revendiquée par le Maroc et une proche frontière qui fait de Tanger Med un port "quasi européen". Adossé à une autoroute inaugurée à la fin du mois de mars et à une voie ferrée qui le sera prochainement, il a pour objectifde traiter 8 millions de conteneurs à l'horizon 2015. Soit deux fois l'actuel trafic conteneurisé des ports autonomes français et huit fois plus que la part du port de Marseille-Fos en 2007. Nicolas Sarkozy, visitant l'imposant chantier exécuté par un consortium à la tête duquel se trouve le groupe Bouygues, avait salué la naissance d'un outil parmi "les plus modernes de Méditerranée".
Et sans doute mesuré la valeur de l'exemple marocain dont la valorisation a été confiée à l'agence spéciale Tanger Méditerranée (TMSA). Le projet, pris dans son ensemble, mobilise 3 milliards d'eurosavec l'aide d'un fonds d'investissement des Émirats. Abrité par une digue de plus de 2 kilomètres qui protège un plan d'eau d'une dizaine d'hectares, le port compte deux zones franches et un site logistique. Soit un total de 350 hectares sur lesquels 30 entreprises ont d'ores et déjà choisi d'investir. Parmi elles, Logidis inaugurera son premier entrepôt en octobre. Mais surtout, l'arrière-port peut compter sur 2500 hectares appelés à devenir une plateforme industrielle et d'échanges capable de doper l'économie du Maroc.
L'alliance Renault-Nissan s'est laissée séduire par ce site stratégique et a décidé d'y bâtir sur 300 hectares une usine qui produira la gamme Logan. Un investissement de 600 millions d'euros qui créera à lui seul 6000 emplois. Tanger Med, dont les activités de transbordement maritime ont débuté en juillet 2007 avec Maersk, vient de recevoir de nouveaux portiques dits "super post panamax" pour équiper un second terminal qui sera opérationnel à l'été. Deux autres terminaux suivront pour le compte d'autres investisseurs.
Parmi eux, le Marseillais CMA CGM et l'Italo-suisse MSC. Mais le projet ne s'arrête pas à la maîtrise du trafic conteneurisé. Tanger Med se veut aussi un port pétrolier doté d'une capacité de traitement de 10 millions de tonnes. Un terminal vracs pour le charbon et les pondéreux est aussi programmé. Enfin, un terminal passagers capable d'accueillir 7 millions de passagers va être construit. S'y ajoutera un ensemble dédié au trafic routier. Il traitera 700 000 camions et 2 millions de véhicules. Le tout dans un ensemble multimodal.
"Nous en sommes au tout début et, franchement, le succès dépasse déjà les espérances. C'est dû à la position géographique, exceptionnelle, et à la capacité que nous aurons de desservir l'Europe en flux tendu", résume un porte-parole de l'agence TMSA. "Notre ambition est de devenir le premier port d'Afrique et de Méditerranée. Nous savons que la concurrence sera rude, mais nous gagnerons notre place", complète Abdelhadi Benallal, le président de la Région de Tanger-Tetouan. Au croisement des routes maritimes de l'Atlantique et de la Méditerranée, Tanger Med se veut aussi un trait d'union entre deux continents. De notre envoyé spécial à Tanger Jean-Luc Crozel http://www.laprovence.com/articles/2008/05/20/455133-UNKNOWN-sur-les-quais-de-Tanger-on-reve-de-devenir-n-1-en-mediterranee.php |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 20 Mai - 15:57 | |
| Des ingénieurs marocains en formation en Israël
Le futur siège de Nemotek est prévu à Rabat Technopolis.
Une douzaine d’ingénieurs récemment recrutés par la société Nemotek, filiale de la CDG, ont passé quatre semaines à Jérusalem où ils ont suivi une formation dans le secteur de la micro-électronique. Pourquoi Israël ? Parce que, tout simplement, ces ingénieurs devront travailler sur une technologie d’origine israélienne.
Plus précisément, Nemotek a passé un contrat de sous-traitance, au mois d’avril, avec la société américaine Tessera Technologies Inc., basée à San José en Californie, pour la production au Maroc de circuits intégrés et autres composants entrant dans la fabrication de caméras miniaturisées destinées à la téléphonie mobile, à l’imagerie médicale, aux scanners et même à l’industrie automobile.
Or, il se trouve que la société américaine Tessera avait racheté, il y a quelques années, une entreprise israélienne basée à Jérusalem et qui avait développé, depuis 1994, une technologie baptisée «Shellcase» pour la conception et la fabrication de caméras miniaturisées. C’est cette même technologie qui, aujourd’hui, équipe les plus grands constructeurs au monde de téléphones portables et de semi-conducteurs.
Du coup, en vue de se familiariser avec la technologie, les nouvelles recrues de Nemotek au Maroc devaient forcément faire un passage de quelques semaines dans la société mère. Tous ne sont pas allés en Israël puisqu’un petit groupe a été envoyé en formation directement aux USA tandis que le reste a d’abord fait un passage par Jérusalem pour quelques semaines, avant de s’envoler pour la Californie . |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 20 Mai - 16:02 | |
| effectivement - Citation :
- Microcaméra: La 1re usine au monde à Rabat
Le projet est ficelé, les premières recrues sont déjà en formation. Nomotek est son nom. Il s’agit d’une société qui fabrique sous licence des microcaméras destinées au marché mondial. L’investissement est de 850 millions de DH pour un tour de table formé de MedZ, 90%, et d’opérateurs américains pour les 10% restants. |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25537 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 20 Mai - 17:06 | |
| RENAULT VA OUVRIR DES CENTRES DE RECHERCHE SUR LA SECURITE
20 mai
AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (28/4/08) indique que Renault ouvrira de nouveaux centres de recherche sur la sécurité en Inde, en Roumanie et au Maroc cette année, ainsi qu’en Russie en 2009. Ces centres seront chargés d’adapter les standards de sécurité du constructeur aux besoins des marchés émergents, qui diffèrent sensiblement de ceux des marchés matures d’Europe de l’Ouest. « Il est clair qu’en Inde ou au Maroc, nous ne nous battons pas pour obtenir un sixième ou septième sac gonflable dans une voiture », souligne Jean-Yves Le Coz, directeur de la politique de sécurité routière et directeur des projets avancés de sécurité de Renault. « Le type d’accidents et le type de blessures ne sont pas les mêmes sur ces marchés qu’en Europe, et les priorités en matière de sécurité ne sont pas les mêmes non plus », ajoute-t-il. « Une fois que nous avons effectué des études d’accidents, nous avons une meilleure idée des équipements de sécurité qui devraient être ajoutés. S’agit-il de sacs gonflables ? D’une assistance au freinage d’urgence ? Du contrôle électronique de la stabilité ? », s’interroge-t-il.
M. Le Coz indique que le centre russe de recherche sur la sécurité sera important pour Renault. « Nous venons juste d’arriver en Russie, mais il est clair que les questions de sécurité dans le pays représenteront une grande partie de notre plan de développement pour 2009 », explique-t-il.
Renault investit plus de 100 millions d’euros par an dans la recherche et le développement sur la sécurité. Il est le seul constructeur à avoir reçu cinq étoiles pour neuf véhicules aux essais de choc EuroNcap. Cette performance est le fruit du travail d’une équipe de 600 personnes qui développe en permanence de nouvelles solutions permettant d’améliorer la sécurité active et passive. M. Le Coz indique que la prochaine étape sera la sécurité interactive, et que Renault sera bientôt en mesure de proposer une communication voiture-à-voiture et voiture-à-infrastructure. « Cela a déjà commencé avec la généralisation des systèmes de navigation par satellite », ajoute-t-il. « Nous verrons la convergence des caméras, des radars et des capteurs dans un seul système de sécurité capable de délivrer un ensemble de données et d’images au conducteur. Lorsque nous serons capables de combiner cela, au lieu d’empiler un système au sommet d’un autre, comme c’est le cas actuellement, nous serons en mesure de répartir les coûts sur une large gamme de voitures », explique-t-il. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 20 Mai - 17:15 | |
| N'oubliez pas vos sources SVP |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 21 Mai - 0:48 | |
| - Citation :
- «Riva y Garcia» s’installe au Maroc
Le groupe financier catalan «Riva y Garcia» a annoncé l’ouverture d’une représentation au Maroc dans le cadre de son plan d’expansion dans la zone Maghreb. Selon le groupe financier catalan, l’ouverture de cette représentation dans la capitale économique du Royaume, Casablanca, entre dans le cadre «du plan d’expansion du groupe dans la zone Maghreb arabe considérée comme un marché de croissance et un centre de contact avec les clients». Dans un communiqué reproduit par les médias locaux, le président du groupe financier «Riva y Garcia», Borja Garcia-Nieto, a souligné que «le groupe veut être présent dans le marché maghrébin pour accompagner nos clients dans leur processus d’internationalisation». Il a également affirmé que «le Maghreb constitue pour les entreprises espagnoles une zone stratégique disposant de grandes opportunités de négoce». http://www.aujourdhui.ma/instantanes-details61819.html
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 21 Mai - 9:21 | |
| - Citation :
- Maroc : escale économique pour la Jeanne d’Arc
Le Jeanne d’Arc et le Georges Leygues naviguant de conserve
Du 19 au 24 mai, des entrepreneurs et scientifiques de Brest (Finistère) rencontrent leurs homologues de Casablanca(Maroc), afin de faire la promotion des intérêts économiques et scientifiques de leur ville.
Grâce à un accord avec la Marine nationale , chefs d’entreprises et chercheurs bretons mettent à profit une escale du porte-hélicoptères le Jeanne d’Arc , dans le port marocain, pour nouer de nouveaux partenariats. L’an dernier, c’est au Vietnam que les brestois s’étaient rendus.
Outre les représentants d’une vingtaine d’entreprises locales, la délégation bretonne, emmenée par François Cuillandre, président de Brest métropole océane (BMO), est composée des membres :
* du Technopôle Brest-Iroise ; * de l’université de Bretagne occidentale (UBO) ; * de différentes grandes écoles, dont l’Ecole navale ; * des chambres de commerces et d’industrie de Quimper et de Brest ; * ainsi que du Conseil général du Finistère (29).
Avec Cherbourg et Toulon, Brest est l’une des trois bases navales de métropole.
Tous les ans et pendant six mois, le porte-hélicoptères La Jeanne d’Arc, accompagné de la frégate Georges Leygues , fait le tour du monde avec, à son bord, plus d’une centaine d’élèves-officiers du Groupe école d’application des officiers de marine (GEAOM) de Brest.
« Vitrine » de la Marine française, ce navire-école participe, également, à des exercices interarmées ou à des missions de surveillance des zones maritimes qu’il traverse.
Julien Fouineau
Mer&Marine |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25537 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 21 Mai - 10:51 | |
| Des projets d’investissements pour plus de 8 milliards de DH
La commission des investissements, présidée par le Premier ministre, se réunit aujourd’hui à Rabat, la dernière en date remontant au 11 février. L’ordre du jour comprend l’examen de 24 projets d’investissement. Les montants engagés s’élèvent à plus de 8 milliards de DH qui devront créer 3.443 postes d’emploi.
Par secteur d’activité, c’est le « tourisme-restauration » qui arrive en tête avec plus de 2,9 milliards de DH. Ces projets seront initiés par Elite Parc, Cityben (à l’origine de la citadelle de Benslimane pour 720,3 millions et 350 emplois), l’ONCF et FRI (First Rest International pour 250 millions et 400 emplois). Il est suivi par l’industrie chimique et pétrochimique pour des investissements de 1,98 milliard de DH. A l’origine, un projet de l’OCP à Khouribga pour 1,68 milliard (212 emplois) et un autre de Salam Gaz à Nador et Fès pour 306 millions (50 emplois). Le ciment occupe la troisième position, avec le projet d’Asment du centre qui prévoit d’investir 1,1 milliard à Meknès (120 emplois). La 4e place revient à la métallurgie pour un investissement de 528 millions dont 356 initiés par la Compagnie marocaine des laminés (160 emplois). Elle est talonnée par le secteur électrique. En effet, l’ONE compte investir 521 millions dans plusieurs villes. L’agriculture n’est pas en reste. Le domaine agricole Adrar prévoit un investissement à Dakhla de 226 millions et la création de 1.600 emplois. Dans l’agro-alimentaire, Surimi Maroc compte investir 230 millions et créer 120 emplois.
L’ordre du jour comprend aussi 6 requêtes qui seront soumises à l’arbitrage du Premier ministre. Il s’agit notamment du projet Holcim Maroc à Fès (1,22 milliard), de WM Investment Group pour réaliser un projet à Ouarzazate, et l’extension de la nouvelle station touristique de Saïdia, initiée par Fadesa. Au menu également, la présentation de l’état d’avancement de l’étude pour l’ouverture de la région d’Essaouira aux projets touristiques, dont celui de Fouad Filali.
Dernière requête à l’ordre du jour, l’éligibilité des établissements publics et des services concédés aux avantages prévus par la loi de Finances de 1999. Il est à rappeler que, dans une stratégie attractive, l’important est de gérer l’existant. Il s’agit de prendre soin des promoteurs qui ont fait le choix d’investir au Maroc pour qu’ils puissent intervenir eux-mêmes à deux niveaux. Le premier consiste à investir les dividendes et de continuer à se développer localement. Ensuite, cette réussite leur permettra de faire la promotion du Maroc comme étant un site prometteur et plein d’opportunités d’investissement.
Des investisseurs réclament des pouvoirs publics la création d’une cellule de suivi et de veille de l’ensemble des projets validés par la Commission, au sein de la Direction des investissement ou ailleurs. Une action qui pourrait leur éviter la bureaucratie et les lenteurs administratives qui demeurent encore flagrantes dans l’acte d’investir. Un travail a été fait dans le cadre de la simplification des procédures en collaboration avec la Cnuced. Il est aujourd’hui opportun de l’accélérer.
L’or vert du Maroc
Le projet du fonds d’investissement d’Olea Capital prévoit une mise de 263 millions de DH et l’emploi de 256 personnes dans la région de Béni Mellal. Les actionnaires de référence sont notamment le Crédit agricole du Maroc, la CDG, la Société générale et la Mamda. Le projet vise à combler le déficit en matière de production et de marketing pour la filière oléicole.
Source : L’Economiste - Mohamed Chaoui | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 21 Mai - 16:06 | |
| · Casaneashore décroche le plus gros lot avec DellDell Maroc a signé hier, 20 mai, un contrat avec CDG Développement. Il porte sur la construction d’un site dédié de 20.000 m2, aux normes du groupe. De sources proches du dossier, le deuxième plus important monteur informatique au monde, après HP, a déboursé 120 millions de DH pour acquérir ce plus gros projet offshoring du Maroc. · Tanger: Le projet du City Center sur les railsFadesa vient de lancer les travaux de construction du projet Tanger City Center. Le projet, situé sur la baie de Tanger à proximité immédiate de la gare ferroviaire, a reçu son autorisation en octobre dernier. Selon des sources proches du dossier, le financement total sera de 1,8 milliard de DH pour un ensemble de plateaux bureaux, du résidentiel ainsi que plusieurs hôtels sur une superficie de plus de 3 hectares. · 400 millions de DH pour la station ImiouaddarLa Compagnie générale d’investissement vient de signer une convention avec le gouvernement pour la mise en valeur de la station touristique Imiouaddar (dans la région d’Agadir). L’investissement relatif à ce projet atteint 400 millions de DH. La signature de la convention, qui a eu lieu à la Primature, entre dans le cadre du plan Biladi. · Marrakech: Lancement du projet City GardenCity Garden, c’est le nouveau complexe résidentiel, situé en plein quartier Guéliz, qui proposera 109 appartements, entourés de jardins et fontaines. Ces derniers seront équipés de climatisation, chauffage, parking privé et isolation. Le projet sera agrémenté d’un centre commercial de 5.000 m2. Les logements seront disponibles dès l’été 2009. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 21 Mai - 16:54 | |
| pour avancer ,faut pas cmpter sur les emiratis et khalijis en general,avec leurs prmesses en BB$... - Citation :
- Big Gulf projects in N.Africa slow to get off ground
Wed 21 May 2008, 10:57 GMT
By Sonia Ounissi and Tom Pfeiffer
TUNIS/RABAT, May 21 (Reuters) - Years after Gulf Arab investors promised multi-billion dollar investments in North Africa, early optimism is now tinged with unease as headline projects struggle to get off the ground.
The Maghreb shares the Gulf's language but lacks business know-how and expertise on big projects, making it an ideal target for investing windfall cash from record-high oil prices.
Business parks, marinas, waterfront villas, aluminium smelters and power stations have been announced, a lifeline for North African countries trying to spur sluggish economies into the fast lane and cut unemployment.
Morocco has drawn Gulf-funded real estate developments worth potentially over $30 billion. But turning ink into concrete is proving painfully slow compared to the Gulf, where skyscrapers and hotels seem to mushroom out of the desert in a few months.
A Dubai Holding project announced in early 2006 to redevelop the Moroccan capital Rabat's Bou Regreg estuary is taking shape, though at nothing like the pace seen in places like Dubai.
UAE firm Emaar's plan to transform Rabat's tatty Atlantic shoreline is over two years old but the only obvious signs of progress are a patch of earthworks and a showroom.
King Mohammed launched a five-year marina project aimed at drawing high-spending tourists to Casablanca two years ago with trumpets blaring. The site looks little different today.
Emaar has also signed a $20 billion protocol accord for the biggest ever property development in Algeria, including the redevelopment of Algiers bay. An agreement is expected in coming weeks, property sources say, but nothing has come of it yet.
Red tape seems to be hampering other Gulf-led projects in Algeria's energy, banking, telecoms and property sectors.
Analysts said the reasons for delays were sometimes hard to fathom in a region where powerful elites play complex games of patronage that distort ordinary business logic.
"Generally in North Africa the level of execution of Gulf-announced real estate and tourism projects is still very much to be proven," said the Economist Intelligence Unit's Middle East business Editor David Butter.
"In Morocco things are moving a little. In Algeria there is little to show for the $25 billion of deals, as with Libya, where there are big plans but nothing is happening," he said.
Moroccan officials insist the big projects are continuing to plan but it is normal that several hurdles must be crossed before they begin taking shape on the ground.
"These projects are advancing, with the constraints linked both to big projects and to partnerships," said Mustapha Bakkoury, head of state investor Caisse de Depot de de Gestion which is involved in many Gulf-led developments in the kingdom.
TUNISIA
Perhaps Tunisia has most to win or lose. The country of 10 million, with annual gross domestic product of $20 billion, is targeting investment of $50-60 billion from Gulf Arab projects.
Europeans are still the main investors in Tunisia with a strong presence in textiles, call centres and tourism, but the biggest single projects announced recently are from the Gulf.
A deal for Sama Dubai to develop a Tunis suburb with apartments, offices and hotels is forecast to boost economic growth by 0.34 percent per year in the next four years.
The land has been sold but work is yet to start on the $14 billion project first announced last June.
Gulf-led investments are expected to create 200,000 jobs over 15 years, said Slim Tlatli, director of Tunisia's High Commission for Large Projects. Officials put the unemployment rate at 14.3 percent.
"These projects ... will accelerate Tunisia's economic growth, help the country face the challenge of joblessness and lure further potential foreign investment," he said.
ABSORBING INVESTMENT
Tunisian analysts say their country -- the most business friendly in the Maghreb according to the World Bank -- has the best chance of turning Gulf-led projects into reality.
But some say Tunisia's financial sector is ill-equipped to handle a rush of inward investment and the economy may overheat.
"It's not so easy for our small economy to absorb this money unless we know how to manage it," said a Tunisian financial analyst. "We already have a liquidity surplus in the market."
Tunisia's central bank said last month it would raise the obligatory bank reserve requirement to absorb liquidity and stem inflation which was at its highest in three years.
An influx of foreign funds could also boost the local currency and hit the backbone of Tunisia's economy -- exports.
"The value of announced projects substantially exceeds GDP," said university professor Fethi Jerbi. "These projects will inject inflationary money into an economy whose absorption capacity is limited."
Much hangs on the pace of progress for Gulf Arab projects in the Maghreb, say analysts.
Early predictions that the Sept. 11, 2001 attacks would stop Gulf investors taking their money outside the Arab world were ill-founded and they have growing interests in Europe, China, India and sub-Saharan Africa.
"If it turns out the business environment militates against quick progress with these (North African) investments then they are likely to go elsewhere," said Butter at the EIU. http://africa.reuters.com/country/MA/news/usnOUN535347.html |
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| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mer 21 Mai - 19:42 | |
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- France-Maroc-Transport: L'ONCF expose les grands axes de sa stratégie à Belfort
21-05-2008
Les grands axes de la stratégie de l'Office National des Chemins de Fer (ONCF) ont été exposés, mardi au site d'"Alstom" de Belfort (Est de la France), centre mondial d'Excellence spécialisé dans la conception et la fabrication de locomotives et de motrices TGV.
Le Groupe "Alstom", un des leaders mondiaux dans les infrastructures d'énergie et de transport ferroviaire, s'inscrit dans un partenariat à long terme avec le Maroc basé sur la technologie et le développement durable et est lié au Royaume par plusieurs accords dont ceux de la réalisation de la liaison à très grande vitesse (TGV) Tanger-Casablanca, la fourniture de 22 rames doubles pour le tramway de Rabat et la livraison de 20 locomotives "Prima II" à l'ONCF.
S'exprimant lors d'une cérémonie consacrée à la présentation par "Alstom" du design de sa nouvelle locomotive "Prima II" et des enjeux du marché des locomotives et du fret ferroviaire, M. Hassan Leqsiouer, directeur central "Activités" au sein de l'ONCF, a souligné que la stratégie commerciale de l'Office lui permet de mieux se positionner sur le marché tant au niveau du transport de voyageurs que de l'activité fret.
L'ONCF a lancé un ambitieux programme d'investissement pour un coût de 17,2 milliards de dirhams pour la période 2005-2009 visant notamment la modernisation du réseau ferroviaire, des infrastructures et du matériel roulant, a-t-il dit, faisant remarquer que le projet de TGV fait du Maroc le premier pays d'Afrique à se doter d'une infrastructure de transport ferroviaire d'un très haut niveau technologique.
M. Leqsiouer, qui intervenait devant les responsables du constructeur français et un parterre de journalistes, indiens, italiens, néerlandais, tchèques, portugais et français, a signalé l'existence de plusieurs projets structurants qui sont en phase finale de réalisation, notamment les lignes Taourirt-Nador et Tanger-port Tanger-Med.
Dans une déclaration à la MAP, M. Leqsiouer a indiqué que cette visite, qui s'insère dans le cadre du contrat entre l'ONCF et "Alstom" pour la livraison de 20 locomotives électriques "Prima II", est destinée à l'examen de certains sujets techniques dont le design extérieur de la locomotive.
"Prima II" apportera une valeur ajoutée extrêmement importante à l'Office dans la mesure où c'est la première fois que le Maroc va disposer de locomotives polyvalentes pouvant être utilisées à la fois pour le transport des voyageurs (160 km/h) et de fret (2.200 tonnes), notamment de conteneurs en provenance du port Tanger-Med, a-t-il dit.
Cette locomotive disposera du "meilleur rapport qualité-prix et répond totalement à nos attentes en terme d'exploitation, de fiabilité et de disponibilité", a précisé M. Leqsiouer.
Il a, par ailleurs, souligné les relations "exemplaires" qui unissent l'ONCF à "Alstom" depuis une quarantaine d'années, faisant observer que le constructeur français a toujours été le premier fournisseur du Maroc depuis la création des premières lignes des chemins de fer.
"En terme de partenariat, nous avons toujours trouvé l'assistance nécessaire auprès d'Alstom", a-t-il ajouté.
Pour sa part, M. Jean-Pierre Fourment, directeur général Maghreb à "Alstom", a qualifié la coopération entre l'ONCF et "Alstom" de "très étroite, très fidèle, très développée et toujours très riche".
"Nous avons actuellement de nombreux contrats avec l'ONCF tant pour le matériel roulant que pour les infrastructures", a-t-il dit.
L'acquisition par le Maroc de la nouvelle génération des locomotives "Prima" est "un choix très important" dans la mesure où cette locomotive est destinée à être vendue partout dans le monde, particulièrement en Europe, a affirmé M.Fourment qui a fait remarquer que l'ONCF est le premier acquéreur de cette locomotive.
Le responsable d'"Alstom" a, d'autre part, relevé l'existence d'autres accords en cours de finalisation portant notamment sur la formation du personnel et la création d'un centre de formation et de maintenance.
De son côté, Mme Tran Thi-Mai, directeur du développement de la zone Afrique du Nord/Moyen-Orient (MENA) chez "Alstom", s'est félicitée de l'excellente coopération entre "Alstom" Transport et le Maroc, se déclarant "très heureuse" qu'"Alstom" soit présent "au Maroc, un pays qui a un avenir ferroviaire énorme devant lui".
Rappelant le contrat signé par "Alstom" et l'Agence pour l'aménagement de la vallée de Bouregreg pour la fourniture de 22 rames doubles destinées au tramway de Rabat-Salé, elle a annoncé la signature mardi par le directeur général du Groupe français de la note de service inhérente à ce projet.
"Ce que nous avons en ligne de mire maintenant c'est le tramway de Casablanca", a-t-elle par ailleurs indiqué, faisant savoir à cet égard que les études sont en cours dans l'optique d'anticiper toutes les étapes d'accompagnement de notre client et des cabinets d'ingénierie afin de pouvoir préparer l'avenir et partant compléter notre présence au Maghreb la nouvelle recrue chez l´ONCF,le premier pas le II,qui lui serait encore mieux et tire plus - Citation :
- ALSTOM - PRIMA Locomotive Designed for the Freight Market
PRIMA: a locomotive designed for Pan-European freight operators.
PRIMA is a modular design which allows us to answer most of the world market needs: all types of electric locomotives of medium power (1100kW/axle) and even Diesel locomotives. PRIMA are the world's first to use an IGBT propulsion system.Both diesel electric (AC/DC or AC/AC) and electric multicurrent versions, can cross Europe without stopping at the boarders. Among PRIMA's advantages are:
* Low life-cycle costs * High traction effort * Single current version also available for electric locomotives * High degrees of safety and comfort inside the driver’s cab * Simplified maintenance * One independent traction drive for each asynchronous traction motor (except on diesel AC/DC version) * Minimised energy consumption thanks to the use of IGBT (except on diesel AC/DC version) * Water circulation cooling system (except on diesel AC/DC version) * Back-up components ensuring highest service reliability * Four voltage locomotive * High reliability of delivery
REDUCED TRANSPORT COSTS
The optimal trade-off between pulling force and the power of the PRIMA , as well as the IGBT traction drive, allows for a significant reduction in energy costs, which in turn reduces the cost of freight transportation. More importantly, in addition to back-up equipment, PRIMA has an independent axle by axle propulsion system, so if a converter breaks down, 3/4 of the power is retained.
AN INDUSTRIAL PROCESS
All of the different modules that make up PRIMA are fully compatible with all ALSTOM equipment. PRIMA will soon cross Europe under the French National Railways’ (SNCF) logo, as the company has just ordered 300 locomotives (120 confirmed), the first of which will be delivered in 2000. PRIMA locomotives are the world's first to use an IGBT propulsion system. Both diesel electric (AC/DC or AC/AC) and electric multi-current versions can cross Europe without stopping at the borders. At 70 km/hr PRIMA pulls a 1600 tonne load up a 10:1000 gradient, and at 125 km/hr it hauls the same load up a 2:1000 gradient. |
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| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 23 Mai - 20:25 | |
| - Citation :
- Lufthansa s'allie à la Royal Air Maroc
À la suite d’un accord signé avec Royal Air Maroc, Lufthansa a dévoilé, mercredi 21 mai à Casablanca, les nouveaux services qu’elle offrira à ses passagers.
Nouvelles destinations pour les clients de Lufthansa. La compagnie s’est alliée, par le biais d’un accord signé entre les deux parties, avec Royal Air Maroc pour l’amélioration des services entre les deux compagnies aériennes. Par cet accord, les deux compagnies veulent améliorer la qualité de leurs services : meilleures options, délais d’attente plus courts et plus de sécurité. Christian Schindler, directeur général de la compagnie allemande au Maroc, a déclaré que : «le Maroc est une destination difficile pour Lufthansa, parce que la RAM a plusieurs collaborateurs, entre lesquels il y a une grande concurrence». Et pour répondre à cette exigence, des négociations ont été entamées dès le mois de février pour conclure cet accord. Cet accord permettra aux clients des deux compagnies aériennes de choisir entre le vol de Lufthansa et Royal Air Maroc pour las liaisons entre Frankfort et Casablanca, Agadir, Fès, Oujda, Tanger et Marrakech, au même prix et en économisant les heures de vol. Les clients de Lufthansa vont bénéficier de correspondances plus rapides à Frankfort pour leur déplacement à partir des villes marocaines, à destination des Etats-Unis, Canada, l’Asie et l’Afrique du Sud. Pour illustrer l’attrait de ces nouvelles offres, l’exemple a été donné lorqu' un client de la RAM qui fait son départ de Casablanca, il a un choix entre le vol LH 4117 avec un départ à 00h40 pour arriver à Frankfort à 06h15, comme il peut opter pour le vol de AT810 avec un départ à 08h15 pour arriver à Frankfort à 13h50. Et pour le retour des Etats-Unis, Canada, Asie, et toutes les destinations citées par Lufthansa, le client a le choix entre un vol LH4116 au départ de Frankfort à 22h05 pour arriver à Casablanca à 23h55, ou encore prendre le vol AT811 au départ de Frankfort à 14h40 pour arriver à Casablanca à 16h10. Il faut noter que les vols présentés par la compagnie aérienne Lufthansa sont desservis par des appareils Airbus 319,320 ou 321 et les vols de Royal Air Maroc sont desservis par des appareils Boeing 737 NG. Lufthansa est la deuxième grande compagnie aérienne en Europe, qui essaye de gagner le marché marocain en consolidant la présence de ses services au Maroc. Cette compagnie a transporté en 2007, 603 millions de passager, en faisant un chiffre d’affaires de 22.4 milliards DH.
Le 23-5-2008
Par : Bachir HAJJAJ |
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