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 Économie marocaine-Tome 1-

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kaiidow
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MessageSujet: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeMar 13 Mar - 6:06

Rappel du premier message :

13.03.2007 | 16h42
Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.


"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.

Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc".
"Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.

Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.

Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée.
La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.


Source: MAP
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeVen 20 Juin - 3:48

Citation :
La loi de finances: Premières indiscrétions

La vedette du conseil de gouvernement tenu le 19 juin a été incontestablement Salaheddine Mezouar.

Le ministre de l’Economie et des Finances a fait un exposé sur l’exécution de la loi de Finances actuelle. «2008 sera une bonne année», a-t-il martelé devant ses pairs. Selon les prévisions, le taux de croissance sera de 6,8% cette année. L’inflation atteindra 2,8% et le taux de chômage sera limité à 9,6%, avec plus de 200.000 créations d’emploi pour les quatre premiers mois de cette année. Les recettes fiscales et celles de l’OCP sont en progression. Le PIB en 2008 sera de 615 milliards de DH. En 2009, le gouvernement table sur un taux de croissance de 6,6%.




L'Economiste - Jeudi 19 juin - 17h17
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeDim 22 Juin - 2:18

Citation :
Le Maroc, premier partenaire commercial de l'Algérie en Afrique

ALGER, 22 juin (Xinhua) -- Le Maroc est le premier
partenaire commercial de l'Algérie en Afrique, a affirmé samedi le
ministre délégué algérien chargé des Affaires maghrébines et africaines
Abdelkader Messahel.
"Le volume des échanges commerciaux entre l'Algérie
et le Maroc s'élève à 570 millions de dollars, qui s'affirme ainsi
comme le premier partenaire commercial de notre pays", a indiqué M.
Messahelqui était l'invité du Forum de la Télévision nationale
algérienne.
550 000 Algériens ont visité le Maroc en 2007, et 45
000 Marocains vivent en Algérie, a fait savoir M. Messahel.
A propos de l'ouverture des frontières
algéro-marocaine, M. Messahel a indiqué que l'Algérie estime que cette
situation doit être réglée dans le cadre d'une approche globale tant au
niveau bilatérale que régionale.
Malgré la fermeture de ces frontières, M. Messahel
a rappelé l'existence de liaisons aériennes quotidiennes liant
les capitales des deux pays.


http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-06/22/content_656165.htm
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeMar 24 Juin - 1:34

Citation :
Cegedim Activ s´implante au Maroc


lundi 23 juin 2008

L'éditeur français des
logiciels dédiés à l´assurance de personnes, filiale de Cegedim SA,
vient de créer deux business unit au Maroc, à Rabat et à Casablanca. Cegedim Activ Opérations Maghreb est basée à Casablanca. Sous la responsabilité d´Abdou Dassouli, « cette
business unit est composée d´experts métiers marocains en charge de
l´accompagnement et le support des clients locaux, et également du
développement commercial des solutions et services de l'éditeur au
Maghreb et en Afrique francophone auprès des mutuelles, compagnies
d'assurances et autres opérateurs du secteur des assurances soins de
santé
».Cegedim Activ Développement Offshore Maroc est
située sur la nouvelle technopole de Rabat. Dirigée par Mathieu Gozard,
elle s`implante dans le cadre du plan Emergence du gouvernement
marocain. A ce titre, elle sera principalement en charge des activités
de développement Offshore, en coopération avec les centres de R&D
de Cegedim Activ en France.Cette première base à l´international
s´inscrit dans le cadre du renforcement de sa stratégie de
développement au Maghreb et en Afrique francophone, déjà initiée depuis
plusieurs années avec la signature de contrats avec des acteurs locaux.
Cegedim Activ compte se développer dans les autres pays du Maghreb et
d'Afrique francophone depuis ces bureaux marocains. Afin de
consolider ses équipes et accompagner son développement, Cegedim Activ
débute une campagne de recrutements locale, visant à pourvoir une
cinquantaine de postes à l´horizon 2009.

http://www.itrmanager.com/articles/79001/cegedim-activ-implante-maroc.html

Citation :
La Banque mondiale accorde au Maroc deux prêts importants

RABAT, 23 juin (Xinhua) -- La Banque mondiale (BM) a
accordé au Maroc deux prêts d'un montant global d'environ 158 millions
d'euros destiné au financement de projets concernant l'appui à la
réforme de l'Administration publique et à l'Office national de
l'électricité (ONE).
Les conventions de ces accords de financement ont
été signées, lundi à Rabat, par le ministre marocain de l'Economie et des
Finances, Salaheddine Mezouar, le directeur général de l'ONE, Younes
Maamar, et par le chef du bureau de la Banque mondiale au Maroc, Mme
Françoise Clottes.
Le prêt consacré au financement du programme d'appui
à la réforme de l'administration publique (PARAP) s'élève à 66
millions d'euros. Ce prêt est le troisième consenti par la Banque mondiale
pour l'appui au PARAP, après le décaissement en 2004 et 2006 de
la totalité des deux précédents prêts de 100 millions et 120
millions de dollars.
Le prêt accordé à l'ONE s'élève à 92,1 millions
d'euros. Il ira au financement du projet d'appui à l'Office qui vise le
renforcement de l'infrastructure de transport et de distribution de
l'électricité pour assurer les approvisionnements en électricité
ininterrompues et de haute qualité.
A cette occasion, Mme Clottes a exprimé sa
satisfaction du partenariat entre le Maroc et la Banque mondiale, le
qualifiant de "très bon exemple".
Le Maroc, a-t-elle précisé, a relevé le
défi d'une croissance accélérée dans les cinq dernières années.
"Cette croissance, qui requiert de l'Etat de s'adapter dans sa gestion quotidienne,
a de nombreuses implications sur les besoins en infrastructures.
Et nous sommes très heureux d'avoir l'opportunité de travailler à
la préparation de ces instruments, qui contribuent à relever le défi de
la croissance accélérée", a-t-elle dit.

http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-06/24/content_656842.htm

Citation :
Maroc: le secteur des télécommunications contribuera à hauteur de 10% au PIB d'ici à 2012

RABAT, 23 juin (Xinhua) -- Le secteur des
télécommunications contribuera à hauteur de 10% au Produit Intérieur Brut
(PIB) du Maroc à l'horizon 2012, a affirmé lundi le Secrétaire général du
département marocain Poste-Télécommunications-Nouvelles
Technologies, Taieb Debbagh.
Le chiffre d'affaires du secteur marocain des
télécommunications est passé de 8,5 milliards de dirhams (1 dollar= 7
dirhams) en 1999 à 30 milliards de dirhams en 2007, soit plus de 7% du PIB,
a précisé Taieb Debbagh, lundi à Skhirat, à l'occasion de la Journée
d'étude organisée à l'occasion du 10ème anniversaire de l'Agence Nationale
de réglementation des télécommunications ( ANRT).
Dans un exposé sur le développement de la
Société de l'Information et d'Internet au Maroc, M. Debbagh a,
par ailleurs, fait savoir que le nombre des noms de domaine (.ma)
s'est amélioré de près de 245% depuis 2003, ajoutant que les entreprises sont de
plus en plus présentes sur le Net marocain.

http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-06/24/content_656925.htm
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeMar 24 Juin - 23:12

l´huile argane envahira l´USA Cool

Citation :
Rare Organic Beauty Oil Now Available in America


Argan oil, a natural beauty product traditionally used by Moroccan women, will now be available in America. Moroccan argan oil is commonly used on the skin but also works wonders for the hair and nails. It is rich in anti-oxidants, fatty acids, vitamin E, vitamin F, and absorbs quickly into the skin. Cultural Connections (EdenAllure.com) only buys Eco-Cert certified organic argan oil, which guarantees that the oil is produced in an ecologically beneficial way, and their argan oil is available in environmentally safe, recyclable packaging. Cultural Connections will donate a portion of its proceeds to Global Fund for Women- a charitable organization based in San Francisco that helps impoverished and abused women around the world.


Albuquerque, NM (PRWEB) June 25, 2008 -- Argan oil, a natural beauty product traditionally used by Moroccan women, will now be available in America. Known as "liquid gold," argan oil is one of the most exotic, rare, and beneficial oils on the planet. This organic oil is produced exclusively in southwestern Morocco, and has been used by the women of the local Berber tribe for centuries.


Moroccan argan oil is commonly used on the skin but also works wonders for the hair and nails. It is rich in anti-oxidants, fatty acids, vitamin E, vitamin F, and absorbs quickly into the skin. Argan oil is a dream come true for the beauty industry.

The production of argan oil is controlled by women's cooperatives in Morocco. Through fair-trade, argan oil provides the Berber women with a dependable source of income, a means of improving their financial independence, and it opens better access to health care and education.

Unfortunately, the argan tree is a victim of its richness as well as urbanization. Its over-exploitation by European cosmetic companies has led to the near extinction of the tree that once spanned across North Africa. In less than one century, more than half of the argan trees have disappeared. The importance of protecting the argan tree has become a key issue for local and international authorities. In 1998, UNESCO classified the argan forest as a biosphere reserve.

Cultural Connections LLC will now be marketing Moroccan argan oil in America. In its tradition of staying "green," Cultural Connections only buys Eco-Cert certified organic argan oil, which guarantees that the oil is produced in an ecologically beneficial way, and their argan oil is available in environmentally safe, recyclable packaging. Cultural Connections will donate a portion of its proceeds to Global Fund for Women- a charitable organization based in San Francisco that helps impoverished and abused women around the world. For more information on purchasing ecologically friendly Moroccan argan oil, visit EdenAllure.com.

http://www.prweb.com/releases/organic/arganOil/prweb1049784.htm

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Fahed64
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeMar 24 Juin - 23:54

Deux milliards de dollars pour un laminoir


Deux milliards de dollars. C’est l’investissement prévu pour la construction d’un nouveau laminoir à quelques kilomètres de la ville de Settat. Le projet a déjà reçu l’aval de la commission régionale d’investissement. Une convention sera d’ailleurs signée entre les promoteurs et les autorités concernées dans cette région lors des prochaines Journées économiques de Chaouia-Ouardigha, prévues du 24 au 27 juin.


Le projet en question sera réalisé par Morrocan Iron Steel (MIS) en partenariat avec des Anglo-Indiens opérant dans le domaine de la sidérurgie au niveau mondial. La concrétisation de la nouvelle entreprise, qui a été dénommée Atlantic Steel Industry (ASI), va permettre la création de 2.000 emplois. La première phase du projet sera réalisée sur un terrain de 106 hectares.

Cependant, le promoteur marocain reste discret sur les parts des uns et des autres dans le tour de table. « On ne veut pas encore en parler, en l’absence de nos partenaires, mais ce n’est que partie remise », promet à L’Economiste Abdelmajid Kaddouri, directeur général de MIS. On n’en saura pas plus, mais de sources concordantes, on a appris que les « partenaires » dans Atlantic Steel seront présents aux Journées économiques de la région Chaouia-Ouardigha et que « le premier coup de pioche pour la réalisation du projet pourrait être donné à la même occasion ».

Le futur laminoir permettra à l’entreprise d’opérer en amont. En clair, il servira à produire la billette, un produit semi-fini, jusque-là importé principalement de Turquie. Cette « matière première », laminée à chaud dans un four à très forte température, permet la production de barres de fer de 12 mètres. « Le projet de Settat permettra aussi de recycler la ferraille disponible au Maroc au lieu de continuer à importer la billette », indique Kaddouri.

L’entreprise mise donc sur l’investissement dans la construction de cette aciérie-laminoir électrique, qui sera en principe opérationnelle d’ici 2010-2011, pour auto-produire la matière première nécessaire à son usine de Chellalate (non loin de Casablanca). La réalisation de ce projet s’inscrit dans une « logique de constante amélioration de la compétitivité dans un environnement marqué par une concurrence de plus en plus vive », souligne Kaddouri.

Après l’opérateur historique dans le domaine de la sidérurgie, Sonasid, et Univers Acier, Morrocan Iron Steel a obtenu la norme marocaine d’application pour sa production. Créée en 2002 avec un investissement initial de 450 millions de DH, MIS a démarré sa production en janvier 2006. Elle est passée de 120.000 tonnes au démarrage à 200.000 tonnes en 2007. Du coup, l’entreprise a lancé une nouvelle ligne de production portant l’investissement à 600 millions de DH. La production sera triplée d’ici fin 2008 pour atteindre 360.000 tonnes. MIS deviendra de fait le deuxième producteur de produits de fers longs au Maroc à partir de la billette.

Concurrence

Ils sont 5 acteurs à opèrer dans le marché de la sidérurgie au niveau national. Au leader historique Sonasid se sont ajoutés Univers Acier, groupe maroco-turc, Moroccan Iron Steel (MIS), entreprise à capital 100% marocain, Ynna Steel, filiale du groupe Chaâbi, et Somasteel.

Mais c’est Univers Acier qui assure être « le deuxième plus gros producteur national d’acier de produits longs » qui sera en concurrence directe avec MIS. Univers Acier est née d’un partenariat conclu en 2002 entre Longofer et des investisseurs turcs. Sa capacité de production actuelle avoisine les 150.000 tonnes. Un nouveau site industriel sur une superficie de 15 ha vient d’être inauguré par l’entreprise à Casablanca avec l’ambition de produire à la fois la « billette » d’acier et le rond à béton. Sa capacité de production annuelle sera limitée à 200.000 tonnes en 2009, avant de passer à 500.000 tonnes deux années plus tard. Cela permettra au sidérurgiste de limiter ses achats de matière première à l’étranger. L’investissement total estimé est de l’ordre de 870 millions de DH, financé à hauteur de 52% par les investisseurs turcs, 33,6% par Longofer et 14,4% par des personnes physiques marocaines.

Source : L’Economiste - Jamal Eddine Herradi
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeMer 25 Juin - 0:03

SVP encadrez vos textes pour plus de lisibilité et d´esthetique Wink
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeMer 25 Juin - 1:05

Citation :
Le Maroc et le Brésil renforcent leur coopération économique



RABAT, 24 juin (Xinhua) -- Le ministre marocain de
l'Economie et des Finances, Salaheddine Mezouar, s'est entretenu mardi à
Rabat avec le ministre brésilien des Relations extérieures, Celso
Amorim, des moyens de renforcer la coopération économique entre les
deux pays.
Le Maroc a entrepris des réformes fiscales et
financières importantes et a déployé des efforts notables en matière de
protection des investissements et de dynamisation du secteur privé, a
affirmé M. Mezouar.
Pour sa part, M. Amorim a fait état des avancées
économiques réalisées par le Brésil et qui ont fait de lui "l'un des
grands pays émergents", notant une hausse des investissements brésiliens
à l'étranger.
Il a mis en relief les efforts fournis par le Brésil
pour améliorer son économie, notamment la mise en place "des crédits
spéciaux pour soutenir l'agriculture familiale et d'un programme
d'inclusion bancaire qui facilite l'accès des citoyens aux services
bancaires".
Le Maroc exporte vers le Brésil des engrais
naturels et chimiques, l'acide phosphorique, le phosphate et les
poissons frais et séchés et importe de ce pays d'Amérique du Sud
plusieurs produits, notamment du sucre, du fer en acier et en blooms et
des voitures de tourisme.



http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-06/25/content_657744.htm
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeMer 25 Juin - 4:26

Citation :

Automobile: Road-show des équipementiers


· Tokyo, Vérone, Barcelone… prospection tous azimuts

· Effet catalyseur du projet Renault-Nissan



Grosse offensive des équipementiers automobiles à l’international. Ces derniers viennent de rentrer d’une grande tournée de promotion en Europe et en Asie (Espagne, Italie, Japon, etc.). Un road-show pour cibler des opportunités d’affaires dans l’industrie automobile et surtout «présenter le potentiel de développement que recèle le secteur dans une dynamique consolidée par le projet de l’Alliance Renault-Nissan», précise Mohamed Ouzif, directeur de l’Association pour l’industrie et le commerce de l’automobile (AMICA). L’argument phare que font valoir les professionnels à l’étranger réside dans la future capacité de production à l’horizon 2014. «Nous produirons 500.000 véhicules/an sur les sites de Somaca et Renault-Nissan contre 37.000 en 2007», rappelle le directeur de l’Amica. Du coup, des équipementiers de premier rang et autres fournisseurs devront saisir l’occasion de se greffer autour du potentiel Maroc. Il s’agit aussi, pourquoi pas, d’attirer d’autres constructeurs qui cherchent à baisser leurs coûts de production. Pour rappel, il n’y a pas d’exclusivité avec Renault-Nissan. Aujourd’hui, une forte demande se manifeste dans le cadre de la stratégie dite «global sourcing», ciblant des pays producteurs low cost. L’entrée en vigueur des différents ALE (UE, Quadra, USA…) suscite elle aussi de l’engouement.
D’ailleurs, depuis peu, l’indien Tata manifeste de l’intérêt pour une implantation directe ou indirecte dans le Royaume. De source sûre, le constructeur indien compte développer d’autres activités via la société Hispano et aller vers de nouveaux types de véhicules utilitaires. L’enjeu pour Tata serait de profiter de l’offre marocaine en sous-traitance afin de réaliser une bonne intégration et exporter éventuellement vers les pays de l’accord Quadra. Par ailleurs, la dynamique enclenchée par Renault-Nissan devra se traduire par des effets d’entraînement sur de nouveaux métiers (câblage, électronique embarquée, plasturgie, sous-traitance électronique, conception, engineering…). Une étape qui annonce l’émergence d’un tissu local de nouvelle génération, avec des fournisseurs de 2 e et 3e rangs. Pour capitaliser sur ce potentiel et mieux se positionner au niveau local, l’Amica anticipe par des opérations de promotion et de prospection. L’enjeu est de tirer profit de la stratégie dite «global sourcing» et développer une offre compétitive à l’export.
La première étape de cette tournée de prospection a été menée à Vérone (Italie) auprès des services achats du groupe Volkswagen. L’Amica a pu examiner les modalités d’asseoir une collaboration entre des équipementiers marocains et le groupe allemand. Une liste d’une trentaine de fournisseurs potentiels a été établie. Reste donc à concrétiser!


European Automotive Congress


En plus de l’opération de Vérone, le Maroc a été représenté à Barcelone lors de l’European Automotive Congress en tant que pays émergent qui suscite l’intérêt des donneurs d’ordre européens et espagnols en particulier.
Pour sa part, Larbi Belarbi, président de l’Amica, a été mandaté en mission, en fin de semaine dernière, à Tokyo. Il a présenté les atouts qu’offre le site Maroc lors d’un séminaire sur les opportunités d’affaires dans la pièce automobile. Une rencontre pilotée par l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI). Le représentant des équipementiers a présenté au Japon un aperçu sur le climat d’investissement ainsi que les opportunités que recèle le secteur automobile à moyen et long termes.

Amin RBOUB
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeMer 25 Juin - 15:13

Citation :
Classement des 200 premières sociétés africaines cotées en bourse : Aucune tunisienne dans la liste ; Le Maroc et l’Egypte fortement représentés [suite]
25/06/2008


Le magazine New African a publié au mois de juin sa liste des 200 premières sociétés africaines, classement ne concernant que les sociétés cotées en bourse, et établi selon la capitalisation boursière. Premier constat, aucune société tunisienne ne figure dans ce classement, et pour cause, la bourse de Tunis attend toujours l’entrée de grandes enseignes comme Tunisie Télécom ou la STEG.

Un survol rapide permet de percevoir le déclin de la domination sud africaine face à l’émergence du Maroc et de l’Egypte. Le géant minier sud africain, Anglo American, vient en tête de liste avec une capitalisation de 72,3 milliards de dollars. Le premier représentant du Maghreb, Ittisalat Al Maghrib, vient en 11ème position avec une capitalisation de 16,5 milliards de dollars.

En Afrique du nord, Egypte et Maroc se partagent les 50 premières places, les trois sociétés tunisiennes qui figuraient encore dans ce top 50 il y a un an n’en faisant plus partie, l’Algérie et la Libye ne sont pas non plus représentées. En première position, Orascom Construction Ind, est 7éme à l’échelle continentale, avec une capitalisation avoisinant les 21 milliards de dollars, suivie de l’opérateur de télécommunication Orascom qui affiche 18 milliards de dollars. Pour la comparaison, le marché tunisien totalise pour l’ensemble des sociétés cotées prés de 6,5 milliards de dollars. Voici par ailleurs les 10 premières sociétés cotées en bourse en Afrique du nord:

Raison sociale Pays Activité Capitalisation en milliards de dollars
Orascom Cobstruction Industries Egypte Matériaux de construction 20,9
Orascom Telecom Egypte Télécoms 18
Ittisalat Al Maghrib Maroc Télécoms 16,5
Attijariwafa Bank Maroc Finances 7,6
Telecom Egypt Egypte Télécoms 6,5
Douja Prom Addoha Adh Maroc Immobilier 5,8
CGI Maroc Immobilier 5,7
BMCE Maroc Finances 5,7
Talaat Mostafa Group Egypte Immobilier 4,3
Vodafone Egypt Egypte Télécoms 3,9


http://www.tustex.com/commun.php?code_com=6352
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeJeu 26 Juin - 6:27

Citation :
Morocco Wants to Make Ethanol with Brazilian Help
Written by Alexandre Rocha
Thursday, 26 June 2008

Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Amina_benkhadra

Morocco is interested in producing ethanol and wants help from Brazil in the area. The subject was discussed Tuesday, June 24, in Rabat, by the Brazilian minister of Foreign Relations, Celso Amorim, and the Moroccan minister of Energy, Mines, Water and Environment, Amina Benkhadra.

According to information supplied by the Brazilian foreign office (Itamaraty), the semi-arid climate of Morocco is not ideal for sugarcane farming, therefore the local government wants to evaluate the possibility of using another plant to produce ethanol.

The Moroccans are seeking experience accumulated over the course of several decades by Brazil, and the minister was invited to come to the country to have a close look at the functioning of the sector.

Also in the field of energy, Amorim and Amina talked about the cooperation of Petrobras for oil exploration in the Moroccan coast, and the production of oil using bituminous schist in the Arab country. Exchange in the field of schist is already underway.

With the minister of Economy and Finance, Salaheddine Mezouar, the Brazilian chancellor discussed the trade agreement that the Mercosur started negotiating with the Arab country in the second half of 2004.

According to information supplied by the Itamaraty, the two ministers expect for the deal to progress in the upcoming rounds of negotiation. The idea is to have a fixed tariff preference agreement first, and then to establish a free trade agreement.

Mezouar, according to the Itamaraty, also showed much interest in the Bolsa Família (Family Voucher), an income transfer program of the Brazilian federal government.

Amorim also met with the Moroccan prime minister, Abbas El Fassi. They discussed international and regional political issues, especially the matter of the Western Sahara, a territory controlled by Morocco over which there is a dispute with Algeria.

They also spoke of the good economical situation of the two countries, and of the ethanol issue.

Morocco is the second stop on a tour of the Brazilian foreign minister to North Africa, which started in Algerian and will end in Tunisia. Today, he will sign eight agreements with the minister of Foreign Trade and Cooperation, Taieb Fassi Fihri, in areas such as health, environment, agricultural cooperation and animal inspection. Amorim will also participate in the meeting of the Brazil-Morocco Bilateral Mixed Commission.

US Support

The Moroccan government manifested its support to Brazil's intention of having a permanent seat at the Security Council of the United Nations. The statement was made by the Moroccan minister of Foreign Affairs and Cooperation, Taieb Fassi Fihri, during a meeting with the Brazilian foreign minister, Celso Amorim, in Rabat.

"Morocco regards as legitimate the Brazilian aspiration to be a permanent member of the UN Security Council. This will translate into strong support by Morocco to the Brazilian candidacy when the reform takes place," said Fassi Fihri, according to information supplied by the Itamaraty.

Brazil is one of the strongest advocates of the reform at the Council, which follows the same model since its inception, after World War II, with five permanent members that have power of veto (United States, Russia, France, China and Great Britain) and 10 rotating seats, with two-year-long terms and no veto power.

Advocating the reform is an important part of the foreign policy of president Luiz Inácio Lula da Silva's administration. The Brazilian diplomacy claims that the disposition of the Security Council does not reflect the current geopolitical reality.

"The more the Southern countries speak to each other, the more the Northern countries listen to us," Amorim said to Fassi Fihri, according to the Itamaraty. The two ministers underscored the importance of enhancing the so-called South-South cooperation, among developing countries.

http://www.brazzilmag.com/content/view/9494/1/
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeJeu 26 Juin - 7:45

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Tanger: Lancement des travaux de construction du complexe touristique Tinja

Tanger, 26/06/08 - La société Emaar Maroc a donné jeudi le coup d'envoi aux travaux de construction du complexe touristique "Tinja" sur la côte atlantique dans le sud de Tanger.

La réalisation de cette station touristique s'inscrit dans le cadre d'un mémorandum d'entente signé entre la société émiratie et l'Etat portant sur une valeur de 43,5 milliards de dirhams, lors d'une cérémonie présidée par SM le Roi Mohammed VI en mars 2006.

S'étalant sur une superficie d'environ 300 ha, ce projet comprend 2.500 résidences et deux hôtels classés d'une capacité d'accueil de 600 lits. Il comprend également un centre équestre, un club de plage et un centre commercial ainsi qu'un centre de sports et des services de santé.

Le PDG d'Emaar Maroc, M. Yves Delmar a indiqué à la presse, à l'issue de la cérémonie d'inauguration qui s'est déroulée en présence du Wali de la région Tanger-Tétouan, M. Mohamed Hassad, que les projets d'Emaar au Maroc sont en adéquation avec les aspirations de croissance du pays, ajoutant que le projet Tinja a été conçu en ligne avec la vision 2010 du gouvernement marocain pour booster le secteur du tourisme et contribuer au développement socio-économique.

Les travaux de la première phase du projet "Tinja" seront achevés à fin 2010 alors que les deux unités hôtelières seront inaugurés en 2011, a -t-il précisé.

Outre le projet Tinja, le mémorandum d'entente porte également sur un projet touristique "Saphira" sur la corniche de Rabat qui nécessitera une enveloppe d'environ 3,1 milliards de dollar.

La société émiratie prévoit également la construction d'un complexe touristique "Oukaimeden" en haut atlas selon une architecture berbère avec un style moderne.

Elle a également créé un partenariat avec plusieurs acteurs nationaux pour le lancement de projets à Marrakech (Amelkis II et III) et sur la côte atlantique entre Rabat et Casablanca (Bahia Bay).
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeVen 27 Juin - 11:13

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Infrastructures, c’est vraiment la rupture

Retenez bien ce chiffre : 10,9 milliards d’euros, soit 128 milliards de dirhams. C’est l’équivalent d’un quart du PIB qui sera investi dans les infrastructures sur la période 2008-2012. Par son ampleur, ce plan est de loin la plus importante opération d’aménagement du territoire jamais lancée dans le Royaume. Routes, autoroutes, ports (TangerMed II), aéroports et chemin de fer dont le TGV, la liste de chantiers titanesques qui devront être lancés et, pour certains, concrétisés d’ici à la fin de la législature, est impressionnante. L’économie générale de ces chantiers peut se résumer en une phrase : intégrer le Maroc dans la globalisation.


Karim Ghellab, ministre de l’Equipement et « VRP » et maître d’œuvre de cette politique, emploie, à juste titre, le terme « rupture ». C’est vrai que physiquement, une fois achevés, ces travaux changeront le visage du Royaume.

Outre les infrastructures portuaires (TangerMed II est annoncé pour un investissement de près de 18 milliards de dirhams), l’accent est focalisé sur le réseau autoroutier pour lequel seront investis 30 milliards de dirhams d’ici à 2015 avec l’objectif de doubler les réalisations annuelles.
En pole position également, le chemin de fer dont le programme du TGV est le pilier majeur. La ligne Tanger-Casablanca, dont les travaux vont démarrer en 2009, selon les prévisions des équipes de l’Equipement, lancera l’ambitieux programme des lignes à grande vitesse de 1500 km à l’horizon 2035. Pour le montage financier, il reste à l’ONCF de trouver un substitut à la manne financière que lui versait l’OCP au cas où le numéro un mondial du phosphate lui faisait l’infidélité dans le fret comme cela semble se dessiner. En principe, rien n’oblige l’OCP à continuer à surpayer le transport de sa production à l’ONCF. De ce point de vue, il faudra surveiller les arbitrages forcément politiques qui seront rendus sur ce dossier dans les prochaines semaines.

Selon les prévisions du ministère de l’Equipement, dès cette année, les liaisons ferroviaires reliant Taourirt à Nador et Tanger à TangerMed seront achevées (cette dernière a été inaugurée en avril dernier).

Sur le plan économique, plus d’infrastructures de communication et de transport signifie réduction des coûts de transaction et amélioration de la compétitivité et de l’attractivité du pays auprès des investisseurs. Et si, en parallèle, les axes du schéma directeur des plateformes logistiques se concrétisent, les gains en coûts logistiques qui en découleront seront un formidable levier de compétitivité pour les entreprises. S’en suivra aussi un chamboulement de la mobilité dont l’effet sur la croissance et l’emploi n’est plus à démontrer. Selon les experts, l’abaissement du seuil psychologique de la notion de distance est un facteur qui impactera forcément la dynamique du marché de l’emploi. Ce plus n’est pas encore visible à Tanger où les entreprises
doivent parfois surenchérir pour attirer des cadres dans la région.

Pour les entreprises et les prestataires qui gravitent autour du BTP, le coup d’accélérateur aux infrastructures offre de la visibilité pour au moins une dizaine d’années, voire plus. Mais cette « sécurité » économique est aussi un challenge à relever pour les PME du secteur. Pour profiter au maximum de cette météo favorable, il faudra qu’elles franchissent d’un seul coup plusieurs paliers en termes d’organisation, de ressources et d’agilité. Ce n’est pas acquis.

Déjà aujourd’hui, peu d’entreprises arrivent à honorer les délais de réalisation des chantiers, à cause de carnets de commandes qui débordent et du manque d’anticipation de la croissance de la charge d’activité. La fièvre immobilière et l’investissement touristique alimentent aussi la demande. C’est donc à la capacité de digestion de ces programmes que se jugera la propension des PME de BTP à « jouer en première division » et à se hisser dans la catégorie des « champions ». La Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics (FNBTP) s’est battue pendant des années pour faire émerger quelques grands opérateurs nationaux dans le secteur.

Les banques d’affaires internationales ne s’y sont pas trompées. Pour elles, le Maghreb et la région Mena, en général, sont de « nouveaux eldorados » pour les groupes cimentiers.

Pour réaliser tous ces programmes, il est vrai, il faudra des dizaines, voire des centaines de millions de tonnes de ciment et de produits dérivés. Rien d’étonnant que les filiales marocaines des cimentiers mondiaux soient sous pression et redimensionnent leur capacité en investissant dans de nouvelles unités. Avant même que ces chantiers n’atteignent la vitesse de croisière, les unités de production ont du mal à suivre la cadence de la demande au point d’en arriver au système de quotas. De la réponse à la capacité d’approvisionner le marché dépendra aussi le respect de l’échéancier et, par ricochet, la maîtrise des coûts de ces programmes.

Si les infrastructures de communication sont les plus spectaculaires, elles ne sont pas exclusives. Au côté de cette locomotive, plusieurs grands programmes vont contribuer au remodelage du visage du Maroc de demain et servir de support à son intégration dans la globalisation. Le port de TangerMed à peine mis en service qu’un second est annoncé (TangerMed II). Le gigantesque chantier du Bouregreg et les infrastructures annexes donneront à Rabat-Salé une dimension supplémentaire. Sans ce programme, le projet de Tramway n’aurait pas vu le jour aussi vite, ni d’ailleurs celui de Casablanca dont le Conseil a été contraint d’accélérer la cadence sans lever l’hypothèque pesant sur le financement.

Une pléiade de marchés (en millions d’euros)

- Autoroutes : 2818
- 630 km de voies express : 182
- Rocade méditerranéenne : 218
- Routes rurales (1.500 à 2.000 km par an) : 727
- Maintenance routière : 727
- TGV : 1.818
- Gares et réseau ferroviaire : 1.909
- TangerMed II : 1.636
- Maintenance et autres projets portuaires : 300
- Aéroports : 527


Source : L’Economiste - Abashi Shamamba

Le Maroc moderne avance, inchallah !
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeVen 27 Juin - 11:37

deja actuellement les reseaux autoroutiers et ferrovieres marocains sont les premiers dans la region,et ca ne s´arretera pas la Cool


Citation :
Baisse de 40% du nombre de pauvres au Maroc, selon une étude


27/06/2008 11:19 pm

Rabat, Maroc (PANA) - Le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté a diminué de 40% en six ans au Maroc, pays qui compte encore 2,8 millions de pauvres sur une population totale de plus de 30 millions d'habitants, révèle une enquête publiée à Rabat par le Haut Commissariat au Plan (HCP).

Cette étude, réalisée au cours de l'année dernière auprès de 7.200 ménages, souligne que le taux de pauvreté est passé de 15,3% en 2001 à 9% en 2007, ajoutant que dans le monde rural, la pauvreté a régressé de 25,1% à 14,5%, tandis qu'en milieu urbain il se situe actuellement à 4,8%.
Par ailleurs, 36% des ménages marocains estiment que leur niveau de vie s'est amélioré, alors que pour 30,5% il demeure inchangé.

http://www.intelink.info/fre/actualites/economie/0806272318_baisse_de_40_du_nombre_de_pauvres_au_maroc_selon_une_etude


Citation :

Baisse du chômage au Maroc à 9,6 pour cent

2008-06-27

Les nouveaux chiffres du Ministère marocain de l'Emploi affichent une réduction du taux global de chômage dans le pays. Le ministre Jamal Aghmani impute ce bon résultat au plan emploi du gouvernement, mais les nombreux jeunes diplômés toujours à la recherche d'un emploi restent sceptiques.

Par Sarah Touahri pour Magharebia à Rabat – 27/06/08

Le gouvernement marocain a annoncé une baisse du chômage de 13,9 pour cent en 1999 à 9,8 pour cent en 2007 et à 9,6 pour cent au premier trimestre 2008. Selon le Haut Commissariat au Plan, ce chiffre devrait encore baisser à 9,2 pour cent au cours du deuxième trimestre.

Lors d'une conférence de presse lundi 23 juin, le Ministre de l'Emploi Jamal Aghmani a annoncé que le chômage dans les régions urbaines avait baissé de 6,6 pour cent, passant de 22 pour cent à 15,4 pour cent au cours de la même période, et une diminution de 5,4 à 3,8 pour cent dans les zones rurales. "Cette tendance à la baisse du taux de chômage a touché toutes les régions, avec quelques variations", a-t-il déclaré.

"Au sud, il a diminué de 6 points, et de 9 points dans l’est du pays. Cette tendance s'est accompagnée d'une progression moyenne de 1,9 pour cent des créations d'emplois entre 2002 et 2007, contre 1,2 pour cent entre 1999 et 2002", a conclu le ministre.

Entre 1999 and 2007, 151 000 emplois ont été créés en moyenne chaque année.

Le gouvernement est très satisfait de ces résultats. M. Aghmani a déclaré que cette diminution est due aux efforts consentis par l'Etat dans tous les secteurs : l'investissement et l'introduction de mesures incitatives, la politique de développement des grandes infrastructures touristiques ([]Plan Azur[/b]), le logement et l'industrie (Plan Emergence), et l'Initiative Nationale pour le Développement Humain, qui ont permis de créer au total plus de 300 000 emplois.

Le responsable gouvernemental souligne également la promotion du système de la formation professionnelle et des filières techniques. Les premiers bénéficiaires du programme Idmaj ont été les diplômés de la formation professionnelle (32 pour cent), suivis par ceux de l'enseignement supérieur (25 pour cent) et les diplômés de l'université (24 pour cent). Les premiers résultats aux termes de ce programme, qui a déjà bénéficié à 92 000 jeunes, ont concerné les secteurs de l'industrie et des services, à 78 pour cent.

Le programme Taahil a permis, fin mai 2008, d'identifier 23 000 opportunités de formation en vue d'un emploi. Quant au programme Moukawalati pour les dotations aux petites entreprises, il avait profité à 1 044 personnes fin mai, contre 663 projets financés fin décembre 2007.

Selon le Ministre de l'Emploi, la tendance est positive, grâce à un plan intégré cohérent. L'une des priorités est la promotion de la formation professionnelle, avec le renforcement des capacités d'accueil des centres à 168 000 candidats d'ici 2012, le développement de l'apprentissage des métiers au profit de 110 000 jeunes, ainsi que l'accompagnement du secteur privé, qui contribuera à la formation de 220 000 étudiants.

Les chiffres avancés par les responsables ne semblent toutefois pas convaincre les nombreux jeunes diplômés chômeurs qui ne cessent d’organiser des sit-in de protestation devant le parlement et les sièges des ministères à Rabat.

Salwa Kemmouchi, licenciée en droit Sleep , a déclaré à Magharebia que le gouvernement annonce en permanence que le chômage diminue, mais que cela ne correspond pas à ce que constatent les diplômés. "Peut-être que le taux du chômage baisse au niveau des nouveaux lauréats des écoles", déclare-t-elle, "mais les anciens diplômés des universités continuent à souffrir le martyr et voient leur avenir en noir. Certains ont dépassé la quarantaine et n’ont presque plus d’espoir."

Samir Kbibate, licencié en littérature arabe Suspect , partage cet avis. "Les chiffres donnés par les responsables ne répondent pas à la réalité. Plusieurs diplômés, notamment des docteurs, travaillent en tant qu’ouvriers ou petits commerçants. On les compte parmi les actifs alors que c’est un chômage déguisé", explique-t-il.

http://www.magharebia.com/cocoon/awi/xhtml1/fr/features/awi/features/2008/06/27/feature-03


j´espere que l´etat abolira ou au moins rend l´acces difficile a ces sections de regression comme la literature arabe,droit arabe et religion..ca n´aidera en rien le maroc de prdoduire des chomeurs ignorants qui n´ont aucune idée,ni de bagage linguistique que la globasition exige...et enfin de compte ils veulent prendre des places a responsabilité confused
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeVen 27 Juin - 12:10

on lit beaucoup a propos du developpement de notre pays mais je me demande un truc et j'espere que quelqu'un puisse me rependre
qu'est ce qu'a fait notre pays pour elever le niveau de l'education et des soins parce que c'est les secteurs les plus importants dans le developpement d'un pays et je ne vois rien a propos de ça
merci
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeVen 27 Juin - 15:04

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«إعمار»
أطلقت مشروعها السياحي في طنجة
الرباط - محمد الشرقي الحياة - 27/06/08//

أطلقت مجموعة «إعمار» الإماراتية مشروعها السياحي العقاري الترفيهي «تنجة»، في منطقة طنجة شمال المغرب، والذي بلغت تكلفته 43 بليون درهم (8.5 بليون دولار) على مساحة 300 هكتار.
وأوضحت شركة «إعمار المغرب»، الفرع المحلي لـ «إعمار بروبريتيز»، أنها نظمت معرضاً لبيع الفيلات والشقق التي أنجزتها في مشروع «ديا» الذي يمثل المرحلة الأولى من برنامج «تنجة»، وهو عبارة عن مبان عصرية تجمع بين العمارة الأندلسية وطريقة العيش الحديثة، في منطقة تطل على شواطئ المحيط الأطلسي، وبالقرب من غابة كثيفة الأشجار، وغير بعيدة من مطار بوخالف الدولي، وعلى بعد دقائق من وسط المدينة. ويقدر متوسط سعر الفيلاّ الواحدة بنحو نصف مليون دولار. وتتوجه الشركة إلى جذب المستثمرين العرب والسياح الأوروبيين ورجال الأعمال المحليين. وتراهن على تسويق مشروع «تنجة» في الخارج، وتعتبره منافساً لمشاريع مشابهة في ولاية فلوريدا الأميركية المقابلة على الضفة الأخرى من المحيط الأطل

Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 TanjaProject_13.jpg_440_-1
جانب من مشروع «تنجة» (الحياة)

مشاريع أخرى
وتعتزم «إعمار» تنفيذ مشاريع أخرى في الرباط بينها مشروع «سفيرة» لبناء فيلات ومنتجعات ترفيهية وفنادق وأبراج للأعمال. وآخر في بلدة بوزنيقة على الأطلسي جنوب الدار البيضاء، بشراكة مع مجموعة «أونا» المغربية بتكلفة إجمالية تقدر بـ 7 بلايين دولار.
وتعتبر «إعمار» أحد اكبر المستثمرين العرب في تطوير مشاريع عقارية وسياحية في المغرب، تكلفتها 16 بليون دولار، تعاقدت في شأنها مع الحكومة المغربية قبل عامين.
وأفادت مصادر مغربية ان الطفرة العقارية المحلية تساهم فيها مجموعات عربية ودولية منها «إعمار»، و»دبي هولدينغ»، و»سما دبي»، و»ديار» القطرية، و»بيت التمويل» البحريني، و»فاديسا» و»مارينا دور» الأسبانيتين، و»كونتراكتور» الفرنسية، وشركات أوروبية أخرى وإسلامية. وتتولى شركات التسويق العقارية الدولية الترويج لتلك المشاريع في عدد من المدن العالمية، وعلى شبكة الإنترنت.
وتستحوذ مراكش الحصة الأكبر من الملاكين الأجانب، خصوصاً الفرنسيين، تليها مدينة السعيدية، مع غالبية من المستثمرين البريطانيين، ثم طنجة وأغادير والصويرة وتامسنا جنوب الرباط.
ويبني المغرب عدداً من المدن الجديدة، وست قرى سياحية، ومئات المنتجعات السياحية في السواحل وعلى سفوح الجبال و الأودية تزيد قيمتها على 50 بليون دولار.
لكن تزايد الطلب الخارجي على العقارات المغربية أشعل حرب الأسعار في الشقق المتوسطة المساحة، التي اصبح اقتناؤها من قبل صغار الموظفين والعمال، عملية شبه مستحيلة، بعد ان ارتفعت الأسعار ثلاثة أضعاف في أربع سنوات. وتتجه الحكومة إلى بناء شقق للـــفئات الفـــقيرة بسعر 20 ألف دولار للواحدة، وفرض ضرائب على الشقــــق الفارغة في مســـعى الى كبــح جمــاح ارتفاع الأسعار
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeSam 28 Juin - 9:39

Citation :
Infrastructures-Autoroutes du Maroc: 383 km de plus avant 2015

Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 976111-1216008


· 1,167 milliard de dirhams d'investissements prévus

· Berrechid–Béni Mellal, pour s'attaquer au Centre



La nouvelle stratégie dévoilée par le ministère de l'Equipement et du Transport annonce un programme autoroutier de 383,5 km entre 2008 et 2012. Le réseau actuel des autoroutes est de 856 km, il sera porté en 2010 à 1.420 km avec l'ouverture de Marrakech-Agadir (233 km) et Fès-Oujda (323 km). A fin 2015, le Maroc disposera de 1803,5 km d'autoroutes qui relieront le Nord et le Sud en passant par le Centre, selon les prévisions du ministère. Près de 1,167 milliard de dirhams seront investis pour le nouveau programme.
Le lancement de la première partie est prévu en août 2009, il s'agit d'un tronçon pour le contournement de la ville de Rabat. D'une longueur de 41 km, ce tronçon permettra la décongestion de la ville puisque les passagers ne seront plus obligés de la traverser. D'un coût de 168 millions de dirhams, la fin des travaux est prévue à fin 2012. La deuxième partie de ce nouveau programme concerne l'autoroute Berrechid-Béni Mellal. D'une longueur de 172 km, ce projet se taille la part du lion. Il accapare, à lui seul, presque 50% des montants engagés, soit 523 millions de dirhams. Le lancement des travaux est prévu pour le premier septembre 2009 et la livraison se fera également à fin 2012, selon les prévisions du ministère de l'Equipement.

Un autre projet aussi important que le précédent, celui de l'autoroute El Jadida-Safi, puisqu'il coûtera 382 millions de dirhams. Les 140 km de cet axe seront lancés le 31 décembre 2011 pour s'achever, toujours selon les prévisions du ministère de Karim Ghellab, le premier janvier 2015. Le dernier projet sera lancé en janvier 2012 et s'achèvera fin 2014. Il concerne une autoroute de 94 km entre Tit-Mellil et Berrechid. Le montant de l'investissement pour celui-ci est de 94 millions de dirhams. Ce programme s'ajoute aux projets déjà en cours. Les travaux battent leur plein sur le chantier de l'autoroute Agadir-Marrakech. Tous les tronçons sont en cours de réalisation. «Nous avons pris toutes les dispositions pour que le projet soit livré en été 2010», affirme Karim Ghellab, ministre du de l'Equipement et du Transport. Le chantier traverse le cœur du Haut-Atlas et le terrain est rocheux et contient beaucoup de calcaire, ce qui fait que l'axe autoroutier abritera treize grands viaducs. Un projet semblable est en train de se réaliser entre Fès et Oujda. L'achèvement de ce tronçon est prévu pour mi-2010. D'un coût de 9 milliards de dirhams, cette autoroute s'étalera sur 328 km et nécessitera plus de 3 années de travaux intensifs.

L'autoroute qui dessert le port de Tanger-Med a été aussi inaugurée (52 km). Sa mise en service a été faite dans les délais annoncés auparavant. Elle a nécessité une enveloppe de près de 4 milliards de dirhams, soit le coût au km le plus élevé (une moyenne de 74 millions de dirhams).

C'est le contrat-programme entre l'Etat et la Société nationale des autoroutes du Maroc (ADM) en 2004 qui avait changé la donne. Selon cet accord, ADM s'engage à réaliser des investissements à hauteur de 11.700 millions de dirhams pour la construction de 384 km additionnels. L'Etat, pour sa part, s'engage à apporter une augmentation annuelle du capital de la société de 320 millions de dirhams. En dehors des autoroutes Agadir et Oujda, qui ont nécessité des conventions spéciales, cinq tronçons ont été réalisés après la signature de cet accord, totalisant un linéaire de 304 KM (Settat-Marrakech, contournement de Casablanca, Casablanca-Had Soualem …).

Le nouveau programme autoroutier sera complété par l'extension du réseau routier. Le ministère de l'Equipement compte achever la rocade méditerranéenne en 2011 qui continue de se développer le long de la côte, et sur une longueur de 510 km de Tanger à Saïdia. Les travaux de la dernière section de 120 km entre Jebha et Tétouan viennent de démarrer. Le rythme de réalisation des routes rurales passera de 1.500 à 2.000 km par an, afin d'achever le deuxième Plan national des routes rurales (PNRR II) en 2012. Ajouter à cela un programme de 630 km de voies express qui va être achevé dans les 4 années à venir. Un plan de rehaussement du niveau de service du réseau routier portant sur un linéaire de 10.000 km sera aussi mis en œuvre au cours des prochaines années, selon les prévisions du ministère de l'Equipement.

Ces différents chantiers surviennent à une conjoncture internationale difficile. Le baril du pétrole frôle les 140 dollars, la flambée des prix des matières premières, la pénurie de la main-d'œuvre qualifiée, le déficit causé par la Caisse de compensation, et bien d'autres problèmes compliquent davantage la tâche du ministère de l'Equipement et du Transport. La facture des retards accumulés sera sans doute chère. Très chère.


L'Economiste
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeSam 28 Juin - 20:43

formidable,vraiement depuis une dizaine d'années,il decole notre pays
vivement l'autoroute aga-rak en 2 heures sans mouiller entre amskroud et imintanout avec les camions qui doublent dans les cotes et els virages avec la ligne blanche...

le train sera aussi le bienvenue pour agadir surtout si c'est le tgv,on esperait pas tant,swassas dial casa viendrons passer le week end a agadir chaque semaine.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeSam 28 Juin - 22:45

wchkoun iched lhanouta Question Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_big
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeSam 28 Juin - 23:02

lhanout itnawbou fih lkhout,ca rime en plus Very Happy

j'espere que le tgv sera moin cher que l'avion,je pourrais y aller plus souvent,parcontre l'endroit ou sera la gare .... Allahou a3lam
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeSam 28 Juin - 23:37

peut etre a gauche de hay alqods,sur la hauteur,parce qu´il va pas descendre en fait
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeDim 29 Juin - 0:05

vers le nouveau stade alors

et le tracé passera par le port et tt la bande en haut de taddart,amicales et bouargane puis rejoindra le stade pour le terminus,voila pourquoi il y a cette bande de 80 metres non battie devant ces quartiers la...

on parle meme d'un tramway pour la ville nouvelle et la sonaba,je vais essayer de retrouver cet article.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeDim 29 Juin - 23:54

Citation :
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Louvre Hôtels s'installe au Maroc
30/06/08 - 12H08

Le pôle hôtellerie économique de Groupe du Louvre a noué un partenariat au Maroc. Celui-ci porte sur la réalisation d'une vingtaine de Première Classe et Campanile d'ici à quatre ans.

Louvre Hôtels accentue son internationalisation en s'implantant, cette fois ci, au Maroc. Le pôle hôtellerie économique de Groupe du Louvre (ex Société du Louvre-Groupe Taittinger), lui-même détenu par la société de capital-investissement américaine Starwood Capital, vient en effet de sceller un accord portant sur la constitution d'une société commune dans le royaume chérifien, en vue d'y faire construire et exploiter une vingtaine d'hôtels de catégorie économique Première Classe et Campanile d'ici à quatre ans. Le montant du programme est chiffré à 800 millions de dirhams, soit 70 millions d'euros.

La future entité sera contrôlée à hauteur de 70% par H.Partners, un fonds d'investissement marocain spécialisé dans le tourisme et l'hôtellerie, le reste du capital étant équitablement détenu par Louvre Hôtels et Hotelim Maroc, une filiale de la société de gestion hôtelière Hotelim.

Poussant les feux hors de France, Louvre Hôtels, opérateur également de la chaîne Kyriad, veut également poursuivre son développement en Europe et s'intéresse de près à la Russie.

http://www.lesechos.fr/info/service/300276973.htm
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeLun 30 Juin - 23:20

Citation :
· Volkswagen et Fiat prospectent au Maroc

Des représentants du géant allemand de la construction automobile Volkswagen se déplaceront au Maroc au cours de la semaine prochaine pour examiner de plus près l’offre marocaine dans le secteur de l’automobile. Le ministre du Commerce, de l’Industrie et des nouvelles Technologies leur présentera les arguments contenus dans le plan Emergence. Fiat lui emboîtera le pas sous peu.

Delphi recrute 4.000 jeunes diplômés

L’Anapec éprouve actuellement toutes les peines du monde pour satisfaire les besoins en recrutement de l’équipementier américain Delphi, qui se chiffrent à 4.000 postes. Par conséquent, pour faire face à la rareté des diplômés à Tanger, elle s’est tournée vers les régions avoisinantes, à la recherche de jeunes prêts à s’installer dans la ville du détroit. A noter qu’au terme de 2007, l’Anapec a contribué à l’insertion de 7.000 jeunes chercheurs d’emploi à Tanger, dont 6.000 uniquement dans le secteur de l’industrie automobile.


Emergence: 500 millions de DH pour trois secteurs


· Automobile, aéronautique et électronique, les bénéficiaires


BALLON d’oxygène pour le plan Emergence. Le Fonds Hassan II pour le développement économique et social vient de débloquer une enveloppe de 500 millions de DH pour donner un coup de pouce à l’investissement industriel. Cette somme profitera à trois composantes du plan Emergence considérées comme étant des secteurs à fort potentiel: l’automobile, l’aéronautique et l’électronique. En fait, cette ligne budgétaire n’est qu’une des composantes de l’offre marocaine dans ces trois secteurs. Et c’est ce qui a constitué le sujet de la table ronde organisée vendredi dernier par le ministère du Commerce, de l’Industrie et des nouvelles Technologies. Devant une assistance composée d’investisseurs opérant dans les trois secteurs concernés et de journalistes, Ahmed Chami a présenté la nouvelle offre marocaine qui se décline en trois axes. Il y a d’abord le volet formation dans les secteurs de l’aéronautique pour la fabrication d’ensembles et de sous-ensembles électroniques, et des équipements pour automobile. Selon Chami, 100 équipementiers sont déjà présents à Casablanca et 60 autres à Tanger. Ils viennent du Japon, de France, des Etats-Unis, d’Espagne… «A l’horizon 2015, 60 à 70.000 postes seront créés dans ce secteur», a affirmé le ministre. Le deuxième volet concerne le financement. En effet, le budget débloqué par le Fonds Hassan II permettra aux investisseurs d’acquérir des bâtiments professionnels et des biens d’équipement. «Mais pour pouvoir bénéficier de cette aide, il faut que le montant de l’investissement envisagé soit supérieur à 5 millions de DH», explique Chami. La quotité de financement ne peut toutefois pas dépasser 10% du total des investissements. La ligne budgétaire accordée par le Fonds Hassan II permettra également de financer le développement des nouvelles technologies dans le domaine de la nanotechnologie, la microélectronique et la biotechnologie dans d’autres secteurs d’activités à fort potentiel de croissance. «La production dans le secteur de l’électronique s’est élevée en 2007 à 1,3 milliard de DH, dont 1,2 milliard destiné à l’export. Et l’investissement dans ce secteur, qui emploie 7.000 personnes, s’est établi à 70 millions de DH pour l’année 2007», a annoncé le ministre. En raison de son fort taux de croissance (9% par an) et de ses marges bénéficiaires, l’électronique de spécialité et intégrée constitue le cheval de bataille du plan Emergence, autrement dit celle que nous retrouvons dans des secteurs de pointe comme la défense (radars), la médecine, l’automobile -dont cela représente 25% du coût-, l’aéronautique… D’où le développement de zones dédiées. Chami a cité le cluster de Mohammédia et Rabat Technopolis.
Dans le domaine de l’aéronautique, le gouvernement développe un pôle dédié sur une superficie de 200 ha autour de l’aéroport Mohammed V. Plus de 65 entreprises opèrent déjà dans ce secteur et réalisent un CA de 600 millions de DH pour 250 millions de DH d’investissements cumulés depuis 2000, employant 7.000 personnes.
La troisième composante de l’offre marocaine porte sur la mise en place de pôles industriels adaptés et offrant toutes les commodités nécessaires aux investisseurs sur le plan de la restauration, de l’habitat, de la formation…


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Deux instituts spécialisés



POUR renforcer l’offre Emergence, le ministère du Commerce, de l’Industrie et des nouvelles Technologies envisage de créer deux instituts spécialisés dans les métiers de l’automobile et de l’aviation.
Le financement de ces deux établissements est déjà sécurisé, assure le ministre. L’Institut spécialisé dans les métiers de l’automobile sera créé à Tanger pour répondre aux besoins de formation de Renault-Nissan. Le ministère est actuellement en train de sélectionner un opérateur de formation pour prendre en charge ledit institut.
Pour ce qui est de l’Institut spécialisé dans les métiers de l’aviation, l’appel d’offres a été infructueux, et sera certainement reconduit sous peu. Mais l’établissement sera bientôt construit dans la région de Nouasseur, s’engage le ministre du Commerce.

Hassan El ARIF

Leconomiste

Citation :
Morocco Q1 growth up 7 pct on farming recovery
Tue 1 Jul 2008, 5:37 GMT

RABAT (Reuters) - Morocco's gross domestic product expanded 7 percent in the first quarter compared with 3 percent in the same period a year ago as the country's key farming sector recovered from drought, the High Planning Commission said on Monday.

Agriculture expanded 9.5 percent in the first quarter after it declined 18.8 percent in the first three months of 2007, the commission added.

The farming sector accounts for up to one-fifth of Morocco's gross domestic product and provides almost half of the jobs for the country's 11 million-strong work force, according to official figures.

A severe drought slashed Morocco's cereals harvest to 2.0 million tonnes in 2007 from 8.3 million tonnes in the previous year when overall economic growth came in at 8.1 percent.

The government expects this year's cereals crop at about 5.0 million tonnes.

Growth in the first quarter of this year was also helped by an output rise of 5.0 percent in manufacturing and a 20.2 percent expansion of the financial sector, the commission said.

The government envisages annual growth at around 6.0 percent this year from an estimated 2.5 percent last year.

http://africa.reuters.com/country/MA/news/usnBAN123819.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeMar 1 Juil - 3:03

Citation :
OCP, géant marocain du phosphore
par Emmanuel Gentilhomme
Mardi 01 juillet 2008

Nous sommes heureux de vous proposer, cher lecteur, un tour d’horizon de groupes miniers aussi gigantesques que méconnus. Si d’aventure vous passez des vacances au Maroc, guettez les installations estampillées « OCP » : premier groupe minier d’Afrique -- hors Afrique du Sud --, ce grand producteur de phosphates (et d’engrais qui en dérivent) est assis... sur de 50 à 70% des réserves mondiales de ce minerai. Etant donné l’explosion du prix des engrais, cela mérite bien un détour !

Commençons par un peu d’histoire. Vous avez sans doute entendu parler du général Lyautey, l’un des artisans de la mise en place, en 1912, d’un protectorat franco-espagnol au Maroc. L’administration coloniale se lance dans la valorisation des richesses du royaume chérifien à cette époque.

Le phosphate des colonies
Les groupes européens sont les premiers à en profiter. La Société chérifienne des pétroles (SCP) est lancée en 1929, puis les Charbonnages Nord-Africains. En 1928 est institué le Bureau de recherches et de participations minières (BRPM), fort ressemblant au très français Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). En somme, la France coloniale « organise » l’extraction des matières premières et commence par celles destinées à l’exportation.

Le Maroc, roi du phosphate
Concentrés au nord du Maroc, les phosphates sont immédiatement identifiés comme sa première ressource naturelle. Il y en a beaucoup, à faible profondeur, et le minerai est d’une excellente teneur. D’ailleurs, la création de l’Office chérifien des phosphates (OCP) remonte à 1920. cyclops

Croulant sous les phosphates bon marché, le Maroc va les exporter en masse à des clients qui en seront donc dépendants. Stratégie, nous voilà : leur extraction est confiée à une société minière de droit privé, l’OCP, dont la totalité du capital est détenu par le royaume chérifien du Maroc, lui-même confié aux bons soins du Résident général -- Lyautey, jusqu’en 1925 -- que la République lui prête gentiment. Vous nous suivez ?

Vive les phosphates indépendants !
Après son indépendance en 1956, le Maroc continue de développer OCP, dont la rentabilité s’améliore : les gisements à ciel ouvert, exploités par des engins de chantier géants, se généralisent. OCP investit massivement, mécanise ses mines et se lance dans le transport, la transformation chimique et industrielle des minerais, et la commercialisation des produits. OCP entend ainsi capter une part croissante de la « chaîne de valeur » des phosphates. En 1975, l’OCP devient le Groupe OCP.

2 milliards d’euros de CA, 4% du PIB marocain
Aujourd’hui, le Groupe OCP compte 18 000 salariés, réalise environ 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires (+26% en un an ; 98% à l’export), soit 4% du PIB marocain à lui seul ! What a Face

Selon l’USGS, le service géologique des Etats-Unis, la planète a produit 147 Mt de phosphates en 2005, la Chine arrivant au premier plan (30,5 Mt officielles, 45 Mt officieuses). C’est ensuite le tour des Etats–Unis (36 Mt) et du Maroc (25 Mt). En 2004, la production d’OCP était de 23,6 millions de tonnes (Mt), et avoisine maintenant les 30 Mt.

OCP, sécurité et valeur ajoutée avant tout
La sécurité est un maître-mot chez OCP, et elle concerne d’abord ses propres besoins de matières premières. La concurrence est rude. Afin de maîtriser ses coûts, OCP développe la sous-traitance et signe des contrats de long terme pour 70% ses approvisionnements.

Ce n’est pas rien : le soufre, par exemple, voit son cours grimper aussi rapidement qu’il est indispensable au traitement des minerais de phosphates, attaqués à l’acide sulfurique. OCP en consomme environ 4 Mt par an.

Des partenariats bien pensés
Sécurité de sa production, ensuite. Bien sûr, OCP signe des accords d’approvisionnements de long terme, comme en 2005 avec le chinois Sinochem et le brésilien Bunge -- tenez, des pays émergents.

Il va plus loin dans sa quête de valeur ajoutée : le quart de sa production -- contre 16% en 2004 -- part vers des co-entreprises dotées d’usines de transformation. Ainsi, OCP détient une participation de 50% dans les usines du groupe belge Prayon, 33% du capital des indiens Imacid et Paradeep Phosphate, 50% du pakistanais Fauji Fertilizer Bin Qasim, etc.

L’avantage ? C’est simple : d’abord, OCP fournit au long cours des phosphates à ses co-entreprises ; puis il cofinance la construction d’usines de transformation au Maroc et à l’étranger, partageant ainsi les frais, les risques, le retour d’expérience et... les bénéfices. Bien vu.

OCP voit grand
Ce n’est pas tout : OCP mise aussi sur l’agriculture africaine. L’OCP et la Libye ont convenu, en mai dernier, d’investir 1 milliard de dollars dans des usines, afin de constituer un« Maghreb des phosphates et de l’énergie ». L’Union méditerranéenne n’a qu’à bien se tenir...

Le 6 juin dernier, Mostafa Terrab, patron d’OCP, a confirmé au journal Jeune Afrique un programme d’investissement de 4 milliards de dollars d’ici 2012. Il s’attend à ce que la production d’OCP atteigne 55 Mt en 2018. Selon M. Terrab, cette stratégie permettra de faire retomber la tonne de phosphates de 300 $ à ce jour vers les 100 $. Neutral « L’Afrique a les moyens de produire les engrais les plus compétitifs du monde »,a-t-il indiqué.

Avant d’ajouter ceci, que nous vous invitons à méditer : « le Maroc dispose de 50 à 70% des réserves mondiales de phosphates, soit plus de mille ans de production ». affraid

Edito Matière premiers
http://www.edito-matieres-premieres.fr/0449/entreprises/minieres/ocp-phosphore-matieres.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Icon_minitimeMar 1 Juil - 23:30

Citation :


Le Maroc compte sur ses «pôles d'excellence»
A. R.
02/07/2008 | Mise à jour : 08:38 |

Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 2d024a40-4801-11dd-b21c-4918e34e2f3c

Le haut-commissaire au Plan du Maroc, Ahmed Lahlimi Alami, défend un «modèle de partenariat rénové» en Méditerranée.

Le pays veut développer les secteurs automobile et agroalimentaire. Et attirer les investissements étrangers.

Économie marocaine-Tome 1- - Page 13 Coeur-
Alors que les ministres du Commerce des pays de l'Euromed se réunissent
aujourd'hui à Marseille, dix jours avant le sommet, à Paris, des chefs
d'État et de gouvernement de l'Union pour la Méditerranée, le Maroc
pousse ses pions pour promouvoir ce que Ahmed Lahlimi Alami,
haut-commissaire au Plan du pays, appelle un «modèle de partenariat rénové».
Mardi, à l'occasion d'une conférence organisée avec le Conseil français d'analyse économique, il a défendu la multiplication
des «pôles d'excellence» qui peuvent, selon lui, fédérer les
investissements du Maghreb et d'Europe. Les délocalisations dans les
services bancaires, informatiques et téléphoniques ont fait leurs
preuves à Casablanca et à Tanger
. Mais le pays veut développer d'autres
secteurs. «Dans l'automobile, l'élargissement européen a été
très bénéfique au Maroc
», remarque un banquier qui, grâce à
l'implantation de Renault-Nissan au nord du pays, attend «entre
70 000 et 80 000 emplois» dans les prochaines années. Le groupe
produira sa dernière Sandero à Casablanca en 2009. Mêmes espoirs
pour l'agriculture à forte valeur ajoutée et l'industrie agroalimentaire qui pourrait, selon un spécialiste, «mobiliser 1 milliard d'euros d'investissements chaque année».


L'argent des migrants

Le message est double. Il s'adresse aux étrangers, qui, tous pays
confondus, ont investi 1,2 milliard d'euros au Maroc entre 1999
et 2006. Il s'adresse aussi aux autres pays de la région avec lesquels
la coopération économique est souvent difficile. Le Maroc
«active résolument sa traditionnelle solidarité économique, sociale et
politique avec le Maghreb, le monde arabe et l'Afrique dont il partage
avec les peuples de multiples appartenances, géographiques, historiques et humaines
», affirme Ahmed Lahlimi Alami. Cependant, la réalité est tout autre Laughing . Les échanges commerciaux dans la zone ne représentent qu'une infime partie de l'ensemble du commerce extérieur de la région. Il lui faut également mieux gérer l'argent des migrants afin qu'ils participent pleinement au développement économique du pays.
La Caisse d'Épargne vient de signer un accord avec un promoteur marocain pour commercialiser en France des biens immobiliers marocains. L'offre,
lancée cet été, concernera d'abord les clients de la région
Provence-Alpes-Corse. Elle doit être ensuite étendue à l'ensemble du
territoire.

http://www.lefigaro.fr/economie/2008/07/02/04001-20080702ARTFIG00264-le-maroc-compte-sur-ses-poles-d-excellence-.php
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