Économie marocaine-Tome 1-

Rappel du premier message :

13.03.2007 | 16h42
Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.

"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.

Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc".
"Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.

Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.

Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée.
La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.


Source: MAP

Gazprom investira 10,5 milliards Dh au Maroc

Citation :

GAZPROM : Investissement de MAD 10,5 Md dans le secteur de l’immobilier au nord du Maroc Fait : GAZPROM s’installe dans la région de Tétouan via la création d’une filiale immobilière GROUP KULDA.
Analyse : Dans le cadre de sa stratégie de diversification et de déploiement de son activité à l’international, le géant gazier russe GAZPROM ambitionne d’investir MAD 10,5 Md dans la réalisation d’un complexe immobilier et touristique dans la région de Tétouan.
GAZPROM vient, en effet, de créer via sa filiale immobilière INTECO, une société Holding dénommée Groupe KULDA, dotée d’un capital de M MAD 155 et composée de cinq filiales à savoir : (i) KULDA INVESTMENTS, (ii) KULDA NORD, (iii) KULDA M’DIQ, (iv) KULDA GOLF et (v) KULDA DEPORTIVO. Les investissements prévus à cet effet par le Groupe se profilent comme suit :
La réalisation du complexe touristique PARADISE GOLF RESORT à Aouchtam, dans la commune rurale de Zaouiat sidi Kacem, moyennant une enveloppe d’investissement de MAD 2,6 Md. Ce projet devrait s’étaler sur une superficie de 48 hectares et devrait comprendre (i) des villas de luxe, (ii) des appartements de très haut standing, (iii) un parcours de golf de 9 trous, (iv) un hôtel 5 étoiles, (v) une galerie commerciale, (vi) un club house, (vii) un club de tennis et (viii) des espaces de restauration ;
La construction d’une marina de luxe à Aouchtam, à quelques kilomètres du PARADISE GOLF RESORT pour un investissement de MAD 3 Md. Cette infrastructure portuaire devrait s’étaler sur une dizaine d’hectares et devrait également comprendre un complexe résidentiel, des zones d’activités administratives, maritimes et récréatives ;
Et, la création d’une zone d’aménagement touristique sur une superficie de 56 hectares dans la commune rurale d’Azlan, à dix kilomètres de Tétouan, mobilisant une enveloppe d’investissement de MAD 5 Md. Ce projet devrait comporter (i) une marina de luxe, (ii) un golf, (iii) des unités hôtelières et (iv) des complexes résidentiels de très haut standing.
Conclusion : La réalisation de ce méga projet immobilier et touristique de luxe au nord du Royaume dénote de l’attractivité du Maroc pour les leaders mondiaux du secteur de l’immobilier.

BMCE Capital Bourse

Citation :

Inteco va investir 1 milliard d'euros au Maroc
Publié le : 04.07.2008 | 14h30




La filiale immobilière du géant gazier russe Gazprom, Inteco, va investir près d'un milliard d'euros dans des projets immobiliers et touristiques dans le nord du Maroc, a indiqué à l'AFP un responsable commercial du projet.

Inteco, a créé une structure juridique marocaine, Kudla Group, dotée d'un capital de 155 millions de dirhams (13,5 millions d'euros), a indiqué Mohamed Ghalat, qui appartient à l'entité marocaine.

Celle-ci va investir 5,6 milliards de dirhams (488 millions d'euros) pour ériger d'une part à Aouchtam, dans les montagnes du Rif, un projet résidentiel "Paradise Golf Resort" sur 48 ha avec villas et appartements haut standing, golf de neuf trous, tennis et centre commercial, et d'autre part une marina et des projet immobiliers sur 58 ha, entre Tanger et Tetouan (nord).

En outre, le groupe russe a un autre projet sur la Méditerranée à Azla, près de Tétouan. Ce site de 1.200 ha comprendra une marina de luxe, des hôtels, un golf et des complexes résidentiels de très haut standing. L'investissement est de l'ordre de 5 milliards de dirhams (436 millions d'euros).

"Nous nous intéressons à investir ici car l'Espagne est saturée. Les charmes du nord du Maroc ont séduit le groupe russe qui a décidé d'y installer ces projets touristique au Maghreb", a souligné M. Ghalat, rencontré au troisième salon international de l'immobilier pour le nord du Maroc qui se tient à Tanger.

Plusieurs groupes, notamment espagnols, français ou du Golfe sont en train de développer de grands projets dans la partie septentrionale du Royaume.

Par AFP

Citation :

Volkswagen prospecte le marché marocain et ses potentialités
Publié le : 04.07.2008 | 12h20



Le ministre du Commerce extérieur, Abdellatif Maâzouz, a reçu, récemment à Rabat, les responsables de l'approvisionnement du constructeur automobile allemand "Volkswagen" pour le sud de l'Europe et le bassin Méditerranéen, venus prospecter le marché marocain et ses potentialités.

Un communiqué du ministère du Commerce extérieur, parvenu jeudi à la MAP, précise que les responsables de Volkswagen se sont informés au Maroc des potentialités du secteur automobile, sa maturité et le niveau de qualification de sa main d'œuvre.

La stratégie du groupe allemand est d'atteindre 10 millions de voitures par an. Pour ce faire, Volkswagen se doit de sécuriser l'approvisionnement de ses véhicules en composants à travers la recherche de nouveaux marchés et la diversification des fournisseurs.

Déjà présent au Maroc à travers SEAT, l'entreprise allemande cherche à intensifier ses activités en Afrique du Nord pour fournir ses usines en Espagne et au Portugal.

Outre son intention de trouver au Maroc une main-d'œuvre qualifiée et bon marché, l'entreprise allemande entend transmettre son savoir-faire aux entreprises marocaines pour assurer la qualité des composants fabriqués au Maroc, pays qui passerait ainsi d'un simple sous-traitant au rang d'un véritable partenaire, indique le ministère.

Au cours de cette rencontre, M. Maâzouz a mis en exergue les avancées réalisées par le Maroc dans le secteur automobile, mettant l'accent sur les capacités du Maroc à répondre aux exigences de sécurité et des autres normes techniques dans ce domaine.

Le ministre a réitéré, par ailleurs, le soutien du ministère du Commerce extérieur au secteur exportateur afin de renforcer les synergies public-privé pour permettre aux entreprises de faire face aux défis des marchés extérieurs.

Par MAP

Bizarre jamais la russie n'a investit quelque chose au Maroc ! j'éspere que les capitaux de l'Europe de l'est vont affluer au maroc .

C'est l'argent des soukhoï algerien qui est réinvestit au Maghreb heuuu Maroc

c´est surtout pour emmerder certains...les russes sont devenus pragmatiques

Bonsoir,

si vous permettez biensur , j'ai une question SVP , quel est le rôle de privé marocains dans l'économie , est ce que il ya des méga projets réalisés par des privés marocains , est ce que les PMI/PME sont ils prospères
Merci pour vos réponses.

Good fun

hartman a écrit:

Bonsoir,

si vous permettez biensur , j'ai une question SVP , quel est le rôle de privé marocains dans l'économie , est ce que il ya des méga projets réalisés par des privés marocains , est ce que les PMI/PME sont prospèrent
Merci pour vos réponses.

Good fun

Il y a ONA qui est un des plus gros groupe Privé Marocain et Africain
Par contre je ne sais rien des activités du Groupe au Maroc

Merci doc
d'après le site off de ONA il y a plusieurs domaines d'activité (mine, agroalimentaire, distribution ,finances etc...)
si qlq un a plus d'infos
merci et Good fun

hartman a écrit:

Bonsoir,

si vous permettez biensur , j'ai une question SVP , quel est le rôle de privé marocains dans l'économie , est ce que il ya des méga projets réalisés par des privés marocains , est ce que les PMI/PME sont ils prospères
Merci pour vos réponses.

Good fun

c´est le privé qui fait quasiement tout au maroc:telecom,autoroutes,BTP,aeroports etc...

ca se fait dans des contrats-programmes avec l´etat

l´ONA n´est pas tout docson,y en a plus important

y´a ADM(qui construit les autoroutes du maroc) ,MERSA(ports) ,ONDA(aeroports) ,groupe Addoha,groupe de chaabi YNNA Holding et autres mastodontes au BTP ,DLM(delattre levivier maroc) qui fait les gros travaux metalique(entre autre pipelines et dernierement meme une plateforme Offshore pour un etat africain)...Managem dans les mines(appartenant partiellement a ONA),Centrale Laitiere(possede les plus grandes fermes laitieres en afrique),Aero-maroc(aeronautique,mtn dans GIMAS qui regroupe 65 firmes d´aeronautique,comme Labinal,Boeing-maroc,Eads-maroc,Safran etc...),Agadir Bounty(chalutiers de peche et Yachts de Luxe,JV marocco-hollondaise),SOMACA(produit les Loganes pour Renault a casa,et fiat uno avant)

etc etc etc...si c´etait pas le privé le public n´aurait pas tout fait seul,il incite fiscalement les PME/PMI et les banques font le reste==economie dynamique

ADM et ONDA ne sont pas privé,c'est publique

autant our moi

Bonjour,
merci pour ces infos les amis, il est évident que la Maroc a une langueur d'avance avec l'économie de marché , il a choisi dés l'indépendance
PS: alors ona c'est privé ou public
Amicalement
Good fun

ONA c'est privé,mais elle n'a plus le monopole sur le marché marocain comme autrefois

le groupe ONA tient notamment la centrale laitière mais aussi La chaine Marjane, ACIMA, BIMO et autres... elle est détenue par la famille royale Marocaine.

D'autres grands groupes privés existent, notamment ceux qui appartiennent a des familles fortunés :
Groupe El Alami, Ynna Holding (Châabi), Groupe Kettani, Zniber, Agouzzal, Akwa holding etc...)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27entreprises_marocaines

l´economie de maniere generale

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_du_Maroc

l´ONA ne detient plus ce qu´elle avait avant,mtn des groupes comme Ynna holding,Finance.com,Addoha,Akwa Holding.. ont aussi leur mot a dire,et ils suivent un capitalisme marocain teinté de patriotisme,qui fait que le maroc profite de leurs gains la ou ils sont actifs(particulierement en afrique)

les 3 gros magnats de l´entreprise marocaine

Citation :

Othman Benjelloun ou la classe



Symbole d'un nouveau capitalisme marocain, Othman Benjelloun continue à tenir tête au tentaculaire holding ONA. Le président du groupe Finance.com est de fait le seul concurrent sérieux du groupe royal dans le secteur bancaire et des assurances, tout en gardant une bonne avance dans celui des télécoms. Et des velléités d'indépendance, Othman Benjelloun en a de plus en plus. C'est ainsi que le développement de la BMCE Bank à l'international aurait pour but final de donner les coudées franches au groupe financier face à l'ONA, mastodonte surprotégé au Maroc. Certains proches de Othman Benjelloun n'hésitent d'ailleurs pas à le présenter comme “le deuxième homme le plus riche du royaume après Sa Majesté”. Une manière de dire que leur boss a l'arsenal financier pour boxer même dans les plus hautes catégories.

Citation :

Aziz Akhennouch l´industriel devenu ministre



En un temps record, il s'est fait une place au soleil, celui qui brille sur la tête des grands capitaines d'industrie. Pour cela, il a su faire fructifier l'héritage paternel, transformant la vieillotte Afriquia SMDC en Akwa Holding, aujourd'hui l'acteur principal du secteur énergétique marocain. Akhennouch a su jouer de sa proximité avec le premier cercle royal dans son ascension vers les sommets, réussissant au passage à faire oublier sa relative proximité avec l'ex-homme fort du régime, Driss Basri. Un exploit en soi. Akhennouch préside également aux destinées de la région du Souss, la deuxième plus riche du Maroc. Il y a notamment créé le festival Timitar et délocalisé le défilé Caftan du magazine Femmes du Maroc (qui lui appartient aussi). C'est qu'Akennouch est également un homme de médias, puisqu'il possède le groupe Caractères, l'un des plus importants groupes de presse du royaume. Son empire pourrait bientôt accueillir une station radio.

Citation :

Miloud Chaâbi le "berger 3roubi" devenu parrain de l´economie marocaine



“L'Haj Miloud”, comme l'appelle tout le personnel d'Ynna Holding (BTP, industrie, distribution…) vient de mettre la barre très haut en annonçant un programme d'investissement de 11 milliards de dirhams dans la région de la Chaouia. Une annonce qui sonne comme une réponse à ses détracteurs, qui lui reprochaient d'avoir diversifié ses investissements à l'étranger (notamment en Afrique) au détriment de l'investissement national. Le self-made man septuagénaire est également connu pour son audace. Sa sortie médiatique fracassante contre les avantages accordés à Addoha ou encore la concurrence qu'il livre avec pugnacité au tout puissant groupe ONA font de lui un véritable baromètre de la confiance des milieux d’affaires. Ynna Holding reste en effet un des rares champions nationaux qui sortent du moule confectionné par les gestionnaires des affaires royales.

Citation :

Maroc : vers une crise immobilière ?


Alors que la crise immobilière fait des ravages dans la plupart des pays industrialisés (Etats-Unis, Royaume Uni, Espagne, France, etc.), le Maroc pourrait subir les effets de cette crise après une croissance
importante du marché immobilier marocain ces dernières années.


Au Maroc, il est difficile de se faire une idée claire
de l’évolution des prix car les programmes immobiliers dévoilent
rarement les prix pratiqués au cours des transactions immobilières.
Quelques promoteurs (Palmeraie Développement, Addoha) ont donc décidé
de faire la lumière sur les pratiques immobilières marocaines et
visiblement, les projets immobiliers de construction séduisent
majoritairement les hommes d’affaires, les hauts responsables de
sociétés marocaines ou étrangères, les cadres hautement spécialisés :
en effet, les villas et appartements commercialisés dans le cadre de
ces programmes coûtent très cher parce qu’il s’agit surtout
d’immobilier de haut standing situé au cœur du pôle économique marocain.

Un des promoteurs immobiliers – Palmeraie Développement
– commercialise par exemple le produit « California Golf Resort » – à
Casablanca, produit constitué de villas et d’appartements qui se
vendent au minimum 550.000 euros. Autant dire que ce genre de bien
immobilier ne peut être acquis par tout un chacun.

De plus en plus de promoteurs immobiliers marocains
s’adressent donc à la clientèle française car nombreux sont les
marocains résidant en France qui souhaitent investir dans une maison
secondaire dans leur pays d’origine. Mais ces projets ne sont destinés
qu’aux classes moyennes à aisées et dans le contexte d’une crise
immobilière avérée en France, il est de plus en plus difficile
d’emprunter auprès d’établissement de crédit (phénomène de resserrement
du crédit). Aussi peut-on comprendre que le Maroc souffre lui aussi de
la crise immobilière présente dans les autres pays européens parce que
sa clientèle se composait jusqu’à présent d’un bon nombre d’européens
en quête d’un climat et d’un mode de vie agréable comme c’est le cas au
Maroc.

La difficulté pour le Maroc est de mesurer l’ampleur de
la crise car le pays ne dispose pas d’indicateurs ou de baromètres
immobiliers agréés par la profession.

Prix en baisse à Marrakech

Bien que les promoteurs ne veuillent pas le concevoir,
les prix de certains logements sont en stagnation, voire en baisse. Et
cela se ressent plus particulièrement dans la ville de Marrakech, selon
Challenge Hebdo.
Selon certaines sources bien informées, les prix chuteraient dans la
ville ocre de près de 30% sur certains segments. Des rumeurs vont bon
train quant à un début de crise qui toucherait le secteur.
Les promoteurs, eux, ne le voient pas de cet œil. Selon eux, si
quelques cas sont recensés çà et là, cela ne signifie pas qu’une crise
touche l’ensemble du secteur.

Source : prix-immo.com

Citation :

House price growth continues strong in Morocco
Source: BI-ME and Global Property Guide , Author: BI-ME staff
Posted: 08-07-2008



MOROCCO. The VIPs arrived long ago, including Sting, Mick Jagger, Princess Alexandra, David Bowie, Vanessa Branson, Alain Delon. Many occupy luxurious palaces around Marrakech. The tradition of Western interest goes back to Winston Churchill’s famous patronage of Marrakech’s beautiful Mamounia Hotel.

Yet Morocco preserves an exotic and historic charm lost in many other Arab countries, plus a warm, dry, healthy climate, and a beautiful landscape, with its markets and traditional architecture, its car-free medinas and palaces hiding breathtaking gardens.

Morocco is now going mass-market. The coasts are a major destination for French tourists and increasingly for retirees. There is a whole associated infrastructure of guest houses, French-speaking newspapers and doctors, and an increasing number of French settlers.

Morocco’s economy has been doing quite well. King Mohammed, who succeeded in 1999, is a dynamic monarch who has brought substantial reform to Morocco, and some national reconciliation. Unemployment fell in 2006 to 15.5% in towns (9.7% nationally), down from 18.4% in 2005 (11% nationally).

However national GDP is only expected to grow by 2.5% in 2007, according to the Finance Ministry, due to a poor harvest. This follows a spectacular economic performance in 2006, when GDP grew by 8%. Nevertheless indicators suggest an economy which is steaming ahead, with electricity consumption up 22.9% on the year to March, industrial equipment imports up 12.7%. This is combined with an inflation rate of a mere 2.7%.

In 2007, a study published by the Georgetown University-based Center for Strategic and International Studies called 'Arab Reform and Foreign Aid: Lessons from Morocco' concluded that Morocco provides a valuable lesson in political and economic reform. It showed that top-down reforms can be highly effective, if skilfully and determinedly carried out, and that aid donors should lean towards countries where evidence of such commitment is to be found.

Morocco received US$3 billion in foreign direct investments in 2007, mostly from the Gulf, according to reports in the leading newspaper Aujourdhui.


The forthcoming mass tourism explosion


A massive tourism and residential development programme 'Vision 2010' - of which the coastal section has come to be known as ‘Plan Azur’ - was launched six years ago to bring 10 million visitors a year to Morocco by 2010 and build 250,000 hotel beds, including 180,000 located in or around the cities.

There will be 1,300 weekly flights into Morocco, with 15,6 million passengers per year. Many large international hotel chains have already built developments, including Club Med, Liwa, Accor, and Sol Melia. Tourism almost invariably brings increased interest in buying in the country, and will likely have an enormous impact both on Morocco’s economy, and on property prices.

Six huge new tourist stations / residential developments in priority coastal resorts are at the heart of Plan Azur, including: Saidia (Oujda), Lixus (Larache), Mazagan (El Jadida), Mogador (Essaouira), Taghazout (Agadir) and Plage Blanche (Guelmim).


Saidia is being developed by Fadesa and will have 30,000 beds and three 18-hole golf courses, the first unit opened in 2007.
Lixus is being shared between three developers and will have 12,000 beds, and two golf courses; the first unit opens in 2009.
Mazagan is being developed by Resort Co, and it will have 3,700 beds, opening in 2009.
Mogador is being developed by three developers, will have 6,800 beds, and open in 2009
Taghazout is being developed by Taghazout resort and will have 18,000 beds, and open in 2009
Plage Blanche seems likely to be built by Fadesa, will have 19,500 beds and open in 2012.


Outside the mass market


The long Moroccan real estate boom, of course predates the mass market, and concentrates on the ‘authentic’ Morocco, and above all on giving Westerners a stylish life in exotic, traditional surroundings..

At the core of this has been the craze for buying Riads. It is not unusual to see Riads – traditionally-shaped Moroccan houses, with grand salons giving onto a central tiled courtyard, often with a garden at the centre - offered on the Internet for €500,000 or in the case of the most palatial, €1,000,000. Around 7,500-15,000 French residents live around Marrakech in these and other accommodations.

Will Morocco run out of Riads? Well there are 50,000 Riads in Marraketch and only 1,000 are sold to foreigners. The coasts are also a major destination for French and other European tourists and those looking for a second home. After the boom caused by the French, “the English market is beginning,” says Charles El Fassy of the real estate agent Cabinet Charles El Fassy.

“We have had five years of French buyers. We thought: “Things cannot go on like this any more!” says El Fassy. “But they are going on. It is beginning all over again, with the British.” Prices have increased threefold in four years, he says.

Morocco’s climate makes it a perfect destination all year round. It is hard to imagine, but it is possible to ski in Morocco, and mountain trecking is very popular.

The attraction centres of Morocco

The cultural and physical attractions of Morocco centre on its traditional cities - Marrakech, Fes, Meknes, Casablanca, and Essaouira - and on its one coastal resort, Agadir.

Marrakech is an extraordinarily exotic city, with its drama heightened by a location at the foot of the Atlas Mountains. It is expecting 3.5 million tourists by 2010. Marrakech has a complete tourism zone, Aguedal. A public transport system carries tourists from the district into the city centre for its souks and traditional markets selling copperware, wool merchandise, and carpets and kaftans. There are no less than 27 5-star hotels in Marrakech.

In Casablanca the French built a city in a French idiom, heavily influenced by the architecture of the Arab-Andalusian Empire. The city centre has a modernist grandeur, with plenty of space and light. Casabablanca is large, modern, and agreeable, with five golf courses less that an hour away.

Meknes was recognized as a World Heritage Site in 1996. Its physical location, on a plateau, made it Morocco’s trade crossroads. Its magnificent architecture was built by the 17th century Ruler, Sultan Moulay Ismail. Over 55 years he built palaces, mosques, gardens, and lakes. At his death the unfinished buildings including the royal palace - the Versailles of Morocco - which fills most of the old city.

Agadir is Morocco’s main seaside destination. Beautiful beaches, luxurious hotels, an ultra-modern airport are all combined with a moderate climate. Agadir’s beach is spectacular. Some 10 kilometres in length, it is clean and wide. Agadir enjoys a continuous breeze from the Atlantic, so that the temperature is pleasant all day.

Tangier has a louche reputation dating from the 1920s, when it was an outpost for British paederasts. Then in the 1950s, beats, dropouts and writers like Burroughs and Bowles, Ginsberg and Kerouac, Leary and Eldridge Cleaver came to Tangier. It is a messy, rather ugly city. Now its coastline is being covered with resorts and new developments.

Essaouira is popular with independent travelers. This is partly because of its long beach, and partly because of its laid-back atmosphere. Yhe town has long been magnet for Moroccan poets and creative talent. In the Place de L’Indépendence, which is the main square in the centre of Essaouira, there are dozens of cafés and restaurants. It is a pleasant place to eat, drink, and watch the world go by.

Some make the analogy with Turkey. Morocco appeals to European tourists, holiday-makers and retirees for much the same reasons as Turkey. Like Turkey, but arguably more so, Morocco has large qualities of well-preserved architectural history. It has charm, exoticism, and a historical built environment which elsewhere in the Arab world has been largely obliterated by modern buildings. And it has geographical variety, the Atlas mountains, and wonderful beaches.

It is difficult not to suspect that Morocco’s success in attracting both summering and settling Europeans will eventually outpace that of Turkey.

http://www.bi-me.com/main.php?id=22239&t=1&c=62&cg=4&mset=

Fitch a sorti son rapport..et recommande l´investissement

Citation :

Fitch release on Kingdom of Morocco
Thu 10 Jul 2008, 12:04 GMT


(The following statement was released by the ratings agency)

July 10 - Fitch Ratings has today affirmed the Kingdom of Morocco's (Morocco) Long-term foreign and local currency Issuer Default ratings (IDR) at 'BBB-' (BBB minus) and 'BBB', respectively, both with Stable Outlooks. It has also affirmed Morocco's Short-term foreign currency IDR at 'F3' and Country Ceiling at 'BBB'.


The affirmation of Morocco's 'BBB-' (BBB minus) Long-term foreign currency IDR reflects the country's resilient net external creditor position, which continues to exceed the peer group median despite the emergence of a small current account deficit last year. The latter was due to the higher cost of imported fuel and food, as well as surging imports from strong investment growth, partly associated with growing FDI. The rating is also supported by the continuing shift of the economy towards higher-value-added activities, which has translated into sustained growth of non-agricultural GDP. The main credit weaknesses are relatively high, albeit decreasing, public debt and an expected widening in the budget deficit this year due to increased subsidy costs. Fiscal pressure could lead to downward pressure on the rating if not contained by corrective measures or offset by revenue growth. The ratings also take into account persistent poverty in rural areas and relatively weak social indicators.


Morocco's fiscal performance improved last year, despite the ongoing commodity price shock. The improvement was due to higher than anticipated fiscal revenues, which offset the marked increase in subsidies for oil and basic food products, resulting in an almost balanced budget[b]. In 2008, however, fiscal performance will be adversely affected by the rise in commodity prices and by a substantial increase in capital expenditures. Subsidies could exceed 5% of GDP, although the impact will be partially offset by increased grants from Gulf countries, and strong underlying revenue growth. The impact will also be felt on the external account; [b]however, strong growth in revenue from tourism and remittances from emigrants will limit the current account deficit to less than 1% of GDP. Moreover, rising FDI is expected to allow further improvement in international liquidity measures.


Government debt is likely to remain higher than for 'BBB'- range peers (sovereigns rated 'BBB+', 'BBB' or 'BBB-' (BBB minus)) in 2008-2009, at around 53% of GDP; debt raised on the domestic market will continue to grow, as the state can raise cheap funding, thanks to high liquidity, the depth of the local bond market and declining local interest rates. In contrast, public external debt is relatively low (21.1% of GDP at end-2007) and Fitch expects it to decline further in 2008; Morocco has been a net external creditor since 2004. The financial turmoil in US and European banks had no impact in Morocco, as borrowing from foreign banks is limited.


Fitch expects GDP growth to approach 6% in 2008 and 2009, due to strong growth in public investment, concentrated in infrastructure projects, and good performance of agriculture in H108. The reliance of the economy on agriculture and labour-intensive manufacturing is declining, thanks to sustained growth in tourism and development of higher-value-added manufacturing, such as automobile and aerospace components, and services. Inflation has risen this year, despite the increase in subsidies. Strong credit growth, especially to the real estate sector, is also a concern for Fitch, as it may fuel an asset bubble.


The regime has so far weathered the spread of Islamism by liberalising political life and allowing the development of moderate Islamism. Parti Justice et Developpement (PJD), a moderate Islamist party, now leads the opposition to the government; radical Islamism, however, is rejected by the population. The king, as the leader of Moroccan Muslims, has strong authority and plays a pre-eminent role in ensuring the political stability of the country. Relations with the international community are excellent, except with Algeria, which supports independence of the Saharan provinces. Morocco has made proposals to end this dispute, but it remains unresolved. To ensure political stability over the long-term, the regime will have to reduce poverty in rural areas and unemployment in cities, and stimulate the development of a middle class, as Tunisia did in the 1990s

Citation :

Maroc Telecom et Méditel attaquent Wana

Les fiancés d'hier ont déterré la hache de guerre.
Une plainte a été dépose à l'ANRT pour arrêter la campagne de publicité
de Wana sur l'offre mobile. L'ANRT dit oui, la HACA demande à voir La
lune de miel entre les trois opérateurs télécoms a duré l'espace d'une
conférence de presse à l'occasion de la création de l'association
commune, MATI. Et attention, même en temps de paix médiatique, le feu
était nourri entre les trois concurrents de la téléphonie. En juin
dernier, Maroc Telecom et Méditel ont, en effet, déposé une plainte
contre Wana auprès de l'Agence nationale de réglementation des
télécommunications (ANRT). Les deux premiers tirent à boulets rouges
sur la campagne de communication lancée par Wana pour son offre de
téléphonie mobile. Que dit cette campagne ?



En fait, deux de ses éléments font mal à la concurrence. Wana a ciblé
son opération sur ce que la filiale de l'ONA considère comme les
défauts du business de l'opérateur historique et de son rival contrôlé
par Telefonica et Portugal Telecom. La campagne met ainsi en évidence
les conditions d'utilisation des formules des deux opérateurs. Ce qui
explique que les concepteurs des spots publicitaires ont mis le doigt
sur les astérisques et les renvois parfois illisibles et limitatifs de
l'usage téléphonique. L'autre élément, complémentaire du premier,
s'attaque aux prix pratiqués par les opérateurs. Wana semble dire au
consommateur, «Méfiez-vous des prix des autres. Moi je vous promets
3DH/minute sans astérisques». Cela fait mal puisque, contrairement au
fixe où Méditel est quasiment en hibernation et où
Maroc Telecom stagne
(selon les statistiques de l'ANRT), Wana s'attaque au business le plus
juteux des deux opérateurs, le mobile. Et elle le fait avec une offre
qui, si elle est maintenue, obligera les deux opérateurs à s'aligner,
les forçant ainsi à perdre des marges assez confortables. Ce qui
explique que jusqu'à maintenant, aucune riposte commerciale n'ait été
enregistrée auprès des deux opérateurs, sauf celle des douze heures de
Méditel, toujours avec des astérisques. Dès réception de la plainte,
l'ANRT a adressé le dossier à la HACA (Haute autorité de la
communication audiovisuelle), mais en y joignant son verdict : Maroc
Telecom et Méditel sont lésés par cette publicité. Sauf que l'agence
n'a pas autorité d'ordonner l'arrêt de la campagne et que seule la Haca
peut le faire. Toutefois, au lieu de donner suite à «l'avis» de
l'agence, la Haca s'attèle actuellement à l'étude des spots incriminés.
Une question se pose à ce niveau.

Pourquoi l'ANRT s'est-elle déclarée incompétente en évitant d'émettre
son avis lors de la fameuse campagne«Tapis Rouge» de Méditel, attaqué à
l'époque par Maroc Telecom ? En effet, en 2005, Maroc Telecom avait
estimé que les publicités de Méditel portaient atteinte à son image.
L'ANRT avait pris ses distances par rapport à ce dossier et c'est la
Haca qui avait tranché en faveur de l'opérateur historique. En 2008,
c'est tout le contraire qui se produit. Ce qui fait dire à des sources
proches de la Haca que l'agence a dépassé ses limites sur ce
dossier.«Seule la Haca est compétente sur ce genre de plainte et peut
astreindre les médias à arrêter une campagne de publicité», nous
explique-t-on sur un ton tranchant. Pour l'heure, les sages de
l'audiovisuel passent les publicités au scanner. Dans peu de temps, ils
rendront leur verdict. Quel que sera ce dernier, il restera toujours un
vide abyssal dans le jeu concurrentiel : le droit du consommateur
d'attaquer les opérateurs pour publicité mensongère. Et sur ce point,
il y a à boire... et à déboire. Ahmed Réda Chami, rninistre de tutelle,
le sait et a promis un texte dans ce sens. D'ici là, faisons confiance
aux compétences de l'ANRT et de la Haca, même si parfois l'une semble
empiéter sur les platebandes de l'autre.

Khalid Tritki
Source: Le Soir Echos

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Dell installe son plus grand centre en Afrique à Casablanca

Sur une superficie de 25 000 m², Dell ouvrira les portes de son plus grand centre de la zone Europe, Moyen-Orient et en Afrique au Maroc à Casanearshore, à l’horizon 2010.

Casanearshore accueillera le plus grand centre de la société américaine Dell, de la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique. La cérémonie de pose de la première pierre de ce nouveau centre a été organisée mercredi 9 juillet dans le site Casanearshore. Ce nouveau site, dont l’ouverture est prévue pour 2010, permettra la création de plus de 2 200 emplois.
Cet événement a été marqué par la présence d’Ahmed Reda Chami, ministre de l’Industrie, du Commerce et des nouvelles Technologies, David Marmonti, président Dell Europe, Moyen-Orient et Afrique, Thomas T. Riley, ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, Mustapha Bakkoury, directeur général de la Caisse de dépôt et de gestion, et Anwar Dahab, directeur général de Dell SAS.

Le choix de ce site n’est pas arbitraire, selon les responsables de Dell. Cette plate-forme présente pour la société Dell plusieurs avantages. Il s’agit de la disponibilité de l’espace pour répondre à la croissance des effectifs, en plus de la disponibilité des ressources humaines qualifiées, la qualité des infrastructures et l’accompagnement que présente le gouvernement à ce secteur. Dell déménagera à Casanearshore en deux étapes. En septembre 2008, les premières équipes de l’entreprise au nombre de 150 arriveront sur le nouveau site de Dell. À la livraison totale de ce bâtiment de 25 000 m², pouvant accueillir plus de 2 200 personnes, toutes les équipes de Dell. Les services de ce centre vont cibler à la fois les marchés français et espagnol.

À cette occasion, M. Chami a mis en exergue les efforts que le Maroc déploie dans l’encouragement des entreprises étrangers pour investir au Royaume. «La stratégie que le ministère avait mise en place est en train de donner ses fruits. Le Maroc a défini un certain nombre de métiers mondiaux, parmi lesquels il y a l’offshoring. Grâce à cette stratégie, le Maroc est actuellement sur la carte de ce métier», a indiqué M. Chami.
En plus, «le gouvernement accorde des avantages fiscaux à ces entreprises, et au niveau de la formation l’Etat a mis en place un fonds destiné à la formation des jeunes. Au niveau de l’offshoring on est optimistes. Nous avons qu’à multiplier les efforts pour faire mieux afin d’améliorer l’attractivité de ce secteur. C’est un plaisir d’accueillir aujourd’hui Dell au sein du site Casablanca nearshore park», a-t-il rappelé. Pour sa part, le président Dell Europe, Moyen-Orient et Afrique a souligné «qu’avant six ans on avait l’intention d’investir au Maroc, mais aujourd’hui, nous avons dépassé cette étape, et nous envisageons des investissements dans de nouveaux secteurs». «Ce site a dépassé plusieurs difficulté grâce à la coopération entre les différents acteurs, le Maroc est en train de réussir ses pas dans le métier de l’offshoring», a ajouté M. Bakkoury.
«L’engagement de Dell avec Casanearshore témoigne de l’importance du site de Casablanca pour Dell et sa volonté de continuer à croître ses activités au Maroc. Le campus Dell à Casanearshore sera un espace de travail et de vie de grande qualité, parmi les meilleurs sites de Dell au monde. Il offrira de multiples avantages et éléments de confort aux employés tels que de nombreux choix de restaurations, un parking de taille suffisante et même une salle de sport», a déclaré M. Dahab.


Le 11-7-2008
Par : Bachir HAJJAJ

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· Plus de la moitié pour la sous-traitance automobile

· La reconversion des diplômés chômeurs, une priorité

LA sous-traitance automobile et l’aéronautique sont les métiers d’avenir pour le nord du Royaume. C’est ce que démontre une enquête sur les besoins en emploi dans la région Tanger-Tétouan. Une étude prospective lancée par le Conseil régional pour l’amélioration de l’employabilité (CRAME).
Le travail s’est concentré sur un échantillon de 600 entreprises de la région relevant de quatre secteurs qualifiés de prometteurs: logistique, tourisme, offshoring et industrie automobile et aéronautique. Avec 16.600 emplois prévus, ce dernier représente un peu plus de 50% du total des besoins de la région sur la période 2008-2010. En effet, sur les quatre secteurs jugés prometteurs, la demande en emplois qualifiés
estimée par les entreprises de la place est de près de 31.000 profils.
A l’horizon 2010, les usines de câblage devraient recruter plus de 4.000 personnes. L’opérateur Delphi a besoin, à lui seul, de quelque 3.000 employés (cf. www.leconomiste.com). Rappelons que la filiale  du grand groupe américain a déjà signé en début d’année un protocole d’accord avec le gouvernement pour l’accompagnement dans le recrutement et la formation de la main-d’œuvre de sa future installation à la TFZ. Par ailleurs, pour le premier trimestre 2008, l’Agence nationale de promotion des compétences (Anapec) a annoncé le placement de 2.500 demandeurs d’emploi. Ce qui permettrait de réaliser les objectifs fixés pour 2008.
Pour combler cette demande potentielle, l’Anapec travaille sur deux fronts, reconversion et formation. Pour ce dernier point, les actions sont prises en concertation avec les opérateurs et les centres de formation pilotés par l’Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail (OFPPT). Des actions spécifiques de qualification et de reconversion sont au programme. Pour le  seul secteur de la sous-traitance, les besoins en recrutements pour 2009 et 2010 seront de 8.600 profils.
Les différentes filières de formation
permettront d’en former environ 4.000 dans différents métiers. L’une des originalités de l’initiative sera d’assurer la reconversion de certains profils de diplômés chômeurs pour les réinsérer dans le marché du travail. L’objectif est de répondre aux besoins en main-d’œuvre de la future usine de Renault-Nissan. A noter que Renault Maroc a signé une convention de partenariat avec l’Anapec pour accompagner les recrutements de la future unité de construction automobile de Melloussa. D’autres conventions ont aussi été signées avec les opérateurs de la Zone franche et de l’Amith-Nord, et une convention de partenariat avec l’Université Abdelamelk Essaidi.
A terme, la demande prévue à l’horizon 2015 est de près de 100.000 emplois, dont 80.000 pour le seul secteur industriel.

Visibilité

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AUTOCARS DE LUXE

Irizar inaugure ses nouvelles installations au Maroc

13/07/2008
La nouvelle usine d'Irizar produira des autocars de luxe destinés au transport interurbain et international. Les installations occuperont 60.000 mètres carrés et l'investissement réalisé est de 25 millions d’euros.


Le fabricant d'autocars de luxe Irizar a inauguré une nouvelle usine d'autocars au Maroc. Les installations se trouvent près de Rabat, la capitale, et prévoient la production de plus de 1.000 autocars par an.

La nouvelle usine d'Irizar au Maroc produira des autocars de luxe destinés au transport interurbain et international, comme le modèle Century.

Les installations occuperont 60.000 mètres carrés et permettront de multiplier par huit la capacité de production de la coopérative basque. L'investissement réalisé est de 25 millions d'euros.

Irizar a des installations de production dans sept pays différents et le célèbre Irizar Century s'est vendu à plus de 20.000 unités sur 85 pays du monde.
http://www.eitb24.com/article/fr/B24_105055/Economie/AUTOCARS-LUXE-Irizar-inaugure-ses-nouvelles-installations/

plus d´infos sur le Bus

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Irizar Century is a first class bus, characterized by a charming design and by strength and a great capacity.

Bus equipped with: bucket seats, coffee/tea machine, toilet, double monitor dvd/cd/mp3, navigator, radio, card-tables and trolley-tables. Capacity: 49 passengers + 1+ 1.

bonne nouvelle pour le maroc.il faut continue dans cette voie

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Itissalat Al-Maghrib. Une boite qui compte dans le monde.


Le très célèbre magazine Financial Times vient de publier son classement 2008 des meilleurs entreprises de la planète terre en terme de valeur boursière, ‘ the FT Global 500 ‘
L’Afrique a réussi à placer 5 sociétés dans ce prestigieux classement, tout comme le monde arabe, et aussi invraisemblable que cela puisse paraître, le Maroc au travers de ‘Itissalat Al-Maghrib‘ est a l’intersection de ces deux ensembles (les autres sociétés du continent noir sont sud-africaines alors que 3 saoudiennes et une emirati ferment la marche pour le monde arabe)

Itissalat Al-Maghrib avec une valeur estimée a 24 milliards de USD et un c.a 2008 de 3,75 milliards de $ est classée 382 ieme devant des 407 Pernod-Ricard, 414 Air China, 417 Bouygues, 426 Toshiba, 443 Motorola, 475 Hitashi,