Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
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| Économie marocaine-Tome 1- | |
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kaiidow Invité
| Sujet: Économie marocaine-Tome 1- Mar 13 Mar - 17:06 | |
| Rappel du premier message :
13.03.2007 | 16h42 Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.
"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.
Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc". "Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.
Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.
Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée. La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.
Source: MAP |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 8 Aoû - 8:57 | |
| richtig je me moque des gens qui font des mauvais choix pour finir sur une paterra ou devant le parlement matraqués,t´aurait une meilleur idée pour le malaise du maroc? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 8 Aoû - 9:30 | |
| Le respect pour leur galère serait un bon debut pour motiver ces marocains. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 8 Aoû - 9:51 | |
| bnadem ktir,le travail il y en a de moin en moin,les parents s'en foutent de leurs rejettons et ont abdiqués devant eux,lberhouch de 5ans veut la play station,la trotinette,internet a la maison,telle marque de glace,parle de sexe devant ses parents,la societé ne donne plus l'exemple comme avant avec ziar et lihtiram,le fassade a envahi nos rues avec les reines de la nuit qui se pavannent et n'on meme pas honte de leur metier,les medias nous bombardent sans arret avec un matraquage publicitaire et donc une envie croissante de consommer,de charger du credit sur son portable,d'avoir un appart,tel marque de portable avec tant de megapixels,l'arriviste affiche effrontement sa petite reussite car il a revendu un terrain ou a toucher un heritage,le touriste n'est plus ce qu'il etait et l'europeen est percu comme un ennemi de l'islam qu'on doit voler ou tout simplement ne pas adresser la parole,on ne regarde plus les chaines europeenes,mais celles du golfe et des predicateurs qui bourrent le crane de propagande anti occidentale,le terrorisme et les bandes qui se reclamment de lui se font arreter tt les 3 mois dans l'indifference totale avec la compassion-parfois-d'une partie de la population,ne pas avoir de vehicule utilitaire gris ou blanc,ne pas celebrer son mariage a l9a3a,ne pas faire ses courses a l'hyper marche le samedi apres midi,ne pas feter l'anniversaire de son gosse dans une chaine internationale de restauration rapide ou meme ne pas etre surendeté designe le "mouton noir" a la vindicte de la nouvelle societée marocaine
la parabole et presente meme dans les bidonville,le marocain lambda a acces a l'nformation eronnée ou vraie et peut parler avec le monde entier depuis chez lui ou n'importe quel cyber,abdel du 9-3 claque son rmi pour faire du jet ski ou pose en boite une bouteille de vodka a 1000 dh chaque week end apres etre descendu de sa bm a la sono d'enfer ne fait qu'entretenir le mythe de l'emigré tres riche meme si c'est faux ainsi qu'augmenter la frustration chez les jeunes qui veulent se casser a tout prix meme s'ils sont de la classe moyenne croyant trouver l'eldorado labas car en tafant 2 ans en europe,ils vont pouvoir prendre leur retraite apres,monter une affaire au maroc,avoir leur maison,se marrier etc.
quelle societée,quelle jeunesse !!! celle de nos parents et arrieres grands parents n'avaient rien de tout ca et ils etaient heureux et le deumeurent... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 8 Aoû - 9:52 | |
| - yakousa a écrit:
- richtig je me moque des gens qui font des mauvais choix pour finir sur une paterra ou devant le parlement matraqués,t´aurait une meilleur idée pour le malaise du maroc?
les gens qui optent pour les branches littéraires nous font pas ça par amour mais par contraint ,quand on a pas une bonne moyenne on est automatiquement largué vers l'enfer de ces branches |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 8 Aoû - 9:56 | |
| tout le monde sait tres bien au maroc qu´en choisissant cette branche,c´est la galere programmée...mais par paresse,et rien d´autre evidement,ils foncent tout simplement dessus...esperant arracher une chaise de "mouwadhaf" d´etat pour prolonger leur sommeil,mais avant tout ca de profiter de la vie aisée des bourses et des demonstrations continues dans nos universités(on sait tous ce qui se passe..) donc desolé mais je ne me vois pas obligé de repecter leur paresse,mais je respecte les jeunes gens qui se battent dans les branches du futur,les branches scientifiques,nos futurs ingenieurs,les informaticiens etc...personne n´est né plus intelligent que l´autre...y´a que l´enthousiasme,l´assiduité et le motivation qui manquent pour la motivation,je crois pas que ca manque du coté de l´etat,mais quand je vois des armées de literraires se raasembler devant le parlement presque masochistes a recevoir la matraque des FA pour demander tout simplement une Wadhifa a echelle 11 alors desolé mais la je declenche le modus scinique et moqueur |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25537 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 8 Aoû - 10:18 | |
| - Citation :
- bnadem ktir,le travail il y en a de moin en moin,les parents s'en foutent de leurs rejettons et ont abdiqués devant eux,lberhouch de 5ans veut la play station,la trotinette,internet a la maison,telle marque de glace,parle de sexe devant ses parents,la societé ne donne plus l'exemple comme avant avec ziar et lihtiram,le fassade a envahi nos rues avec les reines de la nuit qui se pavannent et n'on meme pas honte de leur metier,les medias nous bombardent sans arret avec un matraquage publicitaire et donc une envie croissante de consommer,de charger du credit sur son portable,d'avoir un appart,tel marque de portable avec tant de megapixels,l'arriviste affiche effrontement sa petite reussite car il a revendu un terrain ou a toucher un heritage,le touriste n'est plus ce qu'il etait et l'europeen est percu comme un ennemi de l'islam qu'on doit voler ou tout simplement ne pas adresser la parole,on ne regarde plus les chaines europeenes,mais celles du golfe et des predicateurs qui bourrent le crane de propagande anti occidentale,le terrorisme et les bandes qui se reclamment de lui se font arreter tt les 3 mois dans l'indifference totale avec la compassion-parfois-d'une partie de la population,ne pas avoir de vehicule utilitaire gris ou blanc,ne pas celebrer son mariage a l9a3a,ne pas faire ses courses a l'hyper marche le samedi apres midi,ne pas feter l'anniversaire de son gosse dans une chaine internationale de restauration rapide ou meme ne pas etre surendeté designe le "mouton noir" a la vindicte de la nouvelle societée marocaine
la parabole et presente meme dans les bidonville,le marocain lambda a acces a l'nformation eronnée ou vraie et peut parler avec le monde entier depuis chez lui ou n'importe quel cyber,abdel du 9-3 claque son rmi pour faire du jet ski ou pose en boite une bouteille de vodka a 1000 dh chaque week end apres etre descendu de sa bm a la sono d'enfer ne fait qu'entretenir le mythe de l'emigré tres riche meme si c'est faux ainsi qu'augmenter la frustration chez les jeunes qui veulent se casser a tout prix meme s'ils sont de la classe moyenne croyant trouver l'eldorado labas car en tafant 2 ans en europe,ils vont pouvoir prendre leur retraite apres,monter une affaire au maroc,avoir leur maison,se marrier etc.
quelle societée,quelle jeunesse !!! celle de nos parents et arrieres grands parents n'avaient rien de tout ca et ils etaient heureux et le deumeurent... Tu viens de décrire à merveille les mauxs de la société marocaine mon amis, wallah je sais pas ou on va mais on y va justement et ca me fait peur. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 8 Aoû - 12:02 | |
| On perd nos valeurs, et la religion de l'argent s'impose aux coeurs de tous. Et ça, c'est le cadeau le plus empoisonné de l'Occident. Ou tu es riche et on te respecte, ou tu es pauvre et tu merites le baton! Une bien mauvaise mentalité que j'aimerais garder hors du Maroc.
Tu ne vaux que ce que contient ton compte en banque, la preuve, un mec qui a une maitrise en langues ou en litterature devient un maso qui aime se faire battre, apres X années d'etudes, mais un mec qui a une maitrise en sciences, lui, merite tout les egards..... N'oublie pas que ces litteraires sont les gardiens des langues, de la culture et de l'histoire. C'est notre âme tout ça, et moi, j'ai autant de respect pour un ecrivain ou un historien que pour un scientifique. Les scientifiques ne servent qu'a rendre certaines personnes plus riches, donc futur ou innovation... tout ça, c'est ce qu'on dit pour motiver les travailleurs et les pousser a travailler plus dur pour quelques miettes, il ne faut pas se faire d'illusion. C'est pas parce qu'ils innovent que l'humanité va dans le bon sens. Et enfin, il y a surement des ses "masos" parmi nous (moi, je suis littéraire par ex) et il faudrait parler de leur probleme avec un peu plus de respect Yak, c'est pas parce que en Allemagne, tu gagnes plus et tu peux consommer plus que ces gens ne meritent pas le respect. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Ven 8 Aoû - 14:49 | |
| Ceux qui manifestent devant le parlement ne sont pas que des littéraires il ya aussi des scientifiques et en grand nombre et meme des docteur d'etat. c'est le systéme educatif marocain qui est totalement inéficasse. regardons en occident les branches littéraires n'ont pas disparrue ils connaissent un essort permanent au niveau des téchniques d'enseignement qu'au niveau de la recherche au meme titre que les branches scientifiques.............................pourquoi pas cela chez nous et ben cela et due principalement a la faillite de l'enseignement au maroc vue qu'ont aient placé dernier par rapport au pays arabe presque a la meme place que l'irak qui est un pays ravagé par la guerre. |
| | | gigg00 Colonel-Major
messages : 2111 Inscrit le : 18/06/2008 Localisation : Kenitra-Venise Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Économie marocaine Ven 8 Aoû - 15:18 | |
| [quote="nabil-f1"] - gigg00 a écrit:
- yakousa a écrit:
- ce pays doit abolire les branches literaires(adab 3arabi..) et les cursus islamiques des ecoles et universités marocains,ces branches qui ne produisent que des harragas et des frustrés bon seulement a recevoire zarwata devant le parlement..
yakousa je croix que tu te moques de plein de marocain là.c mieux de laisser ces gens tranquils et d'eviter cette façon de parler. te fache pas mon frere, c une blague inocente , mais un probleme existe bien au maroc , moi meme je suis un ex meme etant fort en science je'etais enrionte en lettre a 14 ans malgre moi pour ne pas doubler , a 17 ans quant j'ai prix mon bac j'avais vraiment peu de choix, j'ai prix mon deug en droits,puis ici en europe mon bac ne servait a rien crois moi, pendant 2 ans j'ai refais un autre bac italien cette fois tecniche/science pour entrer all'universite pour devenir finalemnet "farmacien" bref j'ai perdu 5 ans e tant d'argent pour rien a cause d'une erreur d'adolescense. bref c un peu ca qui m'afait rire de yak mais je t'assure que jì'ai plein respect pour les literains c eux notre memoire de l'histoire, les defendeurs de nos croyances religieux rien adire a cela j'espere d'etre claire je ne me fous de persone. p.s: de toute facon nous devons revoir notre systeme d'education. sorry pour le HS. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 9 Aoû - 14:07 | |
| - Citation :
- Le Maroc s'industrialise et s'enrichit , mais déficits et inégalités se creusent
En dépit d'un contexte international très défavorable, l'économie marocaine se porte plutôt bien. Tout le monde l'admet au Maroc, mais les analyses divergent quant à la durée de ce qu'on qualifie à Rabat de "boom économique". Selon le ministère marocain de l'économie et des finances, la croissance sera de 6,8 % en 2008, et devrait continuer dans les quatre années à venir à peu près au même rythme, le taux d'inflation ne dépassant pas 3 %. Ainsi, espère-t-on à Rabat, le revenu par habitant passerait de 2 650 dollars en 2007 à 4 150 dollars en 2012."Jamais, depuis trente ans, je n'ai vu le Maroc courir à une telle vitesse ! Une classe moyenne est en train d'émerger. Il a été vendu plus de 100 000 voitures neuves l'année dernière, contre 10 000 il y a quinze ans", souligne Nadia Salah, éditorialiste et directrice du quotidien L'Economiste. Un retournement de situation est-il possible ? Beaucoup le craignent, tout en admettant que l'économie marocaine sort peu à peu de sa dépendance de l'agriculture (15 % du PIB mais 40 % de la population active). Mais la situation reste fragile. Pas de pluie, et le PIB peut tomber d'un coup à 2,4 %, comme en 2007.En raison de la diversification progressive du tissu productif (industries, accueil d'entreprises délocalisées, télécommunications, bâtiment, tourisme), la croissance hors agriculture est à présent de 5,7 % par an. Reste que le déficit de la balance commerciale s'accroit. S'il a été contenu cette année, c'est grâce à l'envolée du prix des phosphates. Sans cette manne providentielle, le pays aurait difficilement résisté à l'explosion des importations (biens d'équipement surtout), à la hausse des denrées alimentaires, et à celle, vertigineuse, de l'or noir (dont le royaume importe la totalité de ses besoins). Certes, le Maroc a bénéficié, il y a quelques mois, d'un don de 800 millions de dollars des pays du Golfe, mais il s'agissait d'une bouée de sauvetage. La facture pétrolière du royaume a augmenté en un an de près de 69 %.Dans la même période, le prix des phosphates marocains, lui, passait fort heureusement de 40 dollars à 250 dollars la tonne. Le royaume est le premier producteur du monde de ce minerai indispensable à la production des engrais, qui croît au rythme de la demande alimentaire. L'expérience du milieu des années 1970, qui avait vu chuter le prix des phosphates après une hausse spectaculaire, conduit les observateurs à la prudence. De plus, les concurrents potentiels du Maroc sont nombreux : Arabie saoudite, Jordanie, Tunisie et même Algérie. Si le prix des phosphates marocains grimpe trop, les réserves des voisins pourraient se révéler attractives.
AFFAIRISME ET FRUSTRATION
L'autre caverne d'Ali Baba du Maroc, ce sont les recettes fiscales. "On nous rackette !" grognent les patrons d'entreprise. En un an, l'impôt sur les sociétés a presque doublé. La méthode employée est contestable et "fausse les règles du jeu et de la transparence", selon Larbi Jaïdi, l'un des économistes les plus en vue du pays, membre du comité scientifique du Centre marocain de conjoncture. "Une année, on ponctionne les banques, une autre année les assurances, l'année d'après, un autre secteur... On utilise la fiscalité comme un bâton et un gisement où puiser en fonction des besoins du moment. Ce n'est pas sain", regrette-t-il. C'est en tout cas dans ces "niches" providentielles que pioche l'Etat pour alimenter la caisse de compensation. En quatre ans, le budget annuel de cette caisse, qui subventionne le pétrole à la pompe et certains produits tels que la bonbonne de gaz, l'huile et la farine, est passé de 4 milliards de dirhams à 40 milliards. "C'est intenable", s'inquiètent tous les économistes, comparant la caisse au rocher de Sisyphe.Chacun admet qu'une réforme est indispensable, d'autant que la caisse de compensation ne bénéficie pas à ceux à qui elle est destinée : les plus démunis. En subventionnant l'essence ou la bonbonne de gaz, l'Etat aide surtout les riches. Selon la Banque mondiale, "les populations les plus pauvres ne reçoivent que 10 % des subventions". Le gouvernement hésite à se lancer dans cette réforme. Si le prix du pétrole continue de baisser, il va être tenté de repousser l'échéance à une date indéterminée, tant il craint les remous sociaux. Un peu partout dans le pays, les jacqueries, manifestations contre la vie chère, sit-in des "diplômés chômeurs", se multiplient. Le climat est à la frustration. La population a le sentiment que l'embellie actuelle ne lui est pas destinée. Seuls en profiteraient les nouveaux riches qui spéculent dans l'immobilier, ou les affairistes qui gravitent dans l'entourage du roi.Si on enregistre une baisse relative de la pauvreté, les inégalités, elles, ne se réduisent pas. C'est en matière d'éducation et de santé qu'elles sont les plus criantes. Les "diplômés chômeurs" sont un symptôme de ce Maroc à deux vitesses qui, pour l'heure, perdure et même se reproduit.
Florence Beaugé
http://www.lemonde.fr/economie/article/2008/08/09/le-maroc-s-industrialise-et-s-enrichit-mais-deficits-et-inegalites-se-creusent_1081949_3234.html |
| | | Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Sam 9 Aoû - 17:37 | |
| Il faut donné du "temps au temps " comme on dit, arracher des milliers de personnes à la pauvreté ne peut se faire du jour au lendemain.
Éducation, formation et intégration au tissu économique du pays reste quelques chose de difficile à faire, surtout ds le contexte mondial actuel mais le Maroc s'en tire bien d'un point vue générale.
Ces infrastructures seront complète au alentour de 2010 ( ports, aéroports, autoroutes, chemins de fers....) ce qui va aidé aux échanges économiques et accélérer le développements.
Bien sur se système bénéficie aux riches aussi, mais qu'importe, le plus important c'est que tout le monde puisse sortir de la misère... _________________ | |
| | | gigg00 Colonel-Major
messages : 2111 Inscrit le : 18/06/2008 Localisation : Kenitra-Venise Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Économie marocaine Dim 10 Aoû - 6:03 | |
| tout ce balabla e commence par est ce que le maroc aura difficulte en futur d'avoir de la "main qualifie"?, ca veut dire tout simplement que entre l'ingenieur e l'ouvrier simple est ce qui lya ces fameux tech, chef de groupe,responsable de chaine ou de secteur..etc eh bien on un manque e on l'aura se le gouvernement ne les forme pas, la reforme universitaire intervient justement pour regler ca, je vous rapelle que tous ceux qui ont laisser leur etudes sup pour faire "takouin el mehani" aujourd'huit il travaillent tous e touche bien, meme en europe ils les cherche come l'eau dans desert, moi je me rapelle que 3 usine metalurgique pres de chez moi ont fermer par manque de soudeurs, ils ont du importer 50 de la somalie, avec ce nouveau e esperant "miracle marocain" e ce boom de progets par tous la main d'euvre aataha allah les ing aussi mais la main qualifie e surtout avec de l'experience y'en a pas bcp. donc mon conseil se je me permet au jeunes qui prennent leur bac c pas d'aller faire l'ing ou le medecin parceque c mon reve ou celui de mon papa (le temps des reves est fini), mais de choisir la branche en fonction du marche e surtout dans les futur marche ,ca ce tu cherche par les etudes a travailler( une etude du marche e indispensable) mais c t'es le fils de onassiss tu peur meme faire de l'egytologie se c ca te chante. mais vous allez voir se le gouvernement ne forme pas ces gens la, se seront les meme societes a les former direcetement chez eux ou indirectement attravers le financement des programmes de formations acceleres c le cas en allemagne par ex, l'important e que les jeunes le comprennet vite e prennent le train juste a temps. | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25537 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 11 Aoû - 12:55 | |
| Aéronautique : le Maroc vise un chiffre d’affaires de 15 milliards de DH en 2012 - Citation :
- Casablanca veut placer son industrie aéronautique dans l’orbite des avionneurs mondiaux, et elle dispose, à cet effet, de plusieurs atouts qui ont été exposés lors du dernier salon aéronautique du Bourget.
Le constat est simple : si en 2006 les avionneurs ont mis sur le marché 500 nouveaux avions, les carnets de commandes au niveau mondial prévoient qu’entre 2007 et 2011 il sera produit une moyenne de 1 000 appareils par an, et ce rythme serait plus ou moins maintenu jusqu’à 2025. Ce bond quantitatif est en fait la conséquence des transformations profondes que connaît aujourd’hui le monde de l’aviation civile. En effet, l’ouverture du ciel, dont le Maroc est partie prenante, se traduit par une plus grande compétition entre les compagnies aériennes qui sont passées, pourrait-on dire, d’une logique de flottes à une logique de marchés. Le phénomène des low cost ne fait qu’accentuer cette tendance, puisqu’il oblige les compagnies à optimiser leur coût d’acquisition et de maintenance. C’est précisément dans ce créneau que l’industrie aéronautique marocaine compte franchir un nouveau palier, avec pour objectif de passer du stade actuel de sous-traitant en composants électriques, électroniques et mécaniques à la fabrication de systèmes entiers (hydrauliques, électriques, etc.) qui ont désormais la préférence des avionneurs. En d’autres termes, le Maroc veut devenir, par le biais de la technopole de Nouaceur, qui concentre le plus gros de l’activité de sous-traitance aéronautique, un équipementier majeur. Ceci est d’autant plus envisageable, estiment les pouvoirs publics et les professionnels, que certains pays concurrents, comme l’Inde, le Brésil et la Chine sont en train de passer à la vitesse supérieure en se positionnant comme nouveaux avionneurs. Marrakech accueille le 1er Salon de l’aéronautique en octobre Le nombre d’avionneurs dans le monde, aujourd’hui dix au total, devrait donc s’élargir dans les années à venir. Dans ce contexte favorable, quels sont les atouts du Maroc, plus précisément de Casablanca ? D’abord, il y a l’existence d’un réseau d’industriels aéronautiques déjà installé : on compte aujourd’hui, entre Casablanca et Tanger, 51 entreprises opérant dans le secteur de l’aéronautique et employant près de 5 000 personnes (1 500 en 2000 et 2 500 en 2003) pour un chiffre d’affaires global de 3 milliards de dirhams. Cinq nouvelles unités doivent s’installer incessamment, suite aux conventions signées à l’occasion de la tenue du Salon aéronautique du Bourget, en juin dernier. Les trois plus importantes conventions ont été signées entre l’Office national des aéroports (ONDA) et des entreprises françaises. La première, signée avec le groupe français ARM, pour un investissement de 3 millions d’euros (33 MDH), devrait permettre la création de 100 emplois directs. Il s’agit d’une unité d’usinage de pièces aéronautiques à Casablanca. Les deux autres, portant sur la construction et l’exploitation de sites industriels d’une superficie totale de 20 000 m2, ont été signées avec Auvergne Aéronautique. Ces sites abriteront des unités de construction de pièces d’aéronefs, de chaudronnerie et de traitement de surface, avec un investissement de 15 millions d’euros (165 MDH) et la création de 350 emplois directs. Selon les estimations faites, le secteur devrait employer plus de 10 000 personnes d’ici 2012 et le chiffre d’affaires projeté atteindra 15 milliards de DH. Ensuite, et c’est le deuxième atout, le Maroc se targue d’« avoir un bassin d’emploi diversifié et qualifié », que ce soit au niveau de la main-d’œuvre issue des centres de formation professionnelle ou des ingénieurs et techniciens. Cette main-d’œuvre devra être renforcée par la création, dès 2008, à Casablanca, d’un Institut des métiers de l’aéronautique. Enfin, il y a les atouts classiques souvent avancés : proximité de l’Europe, environnement juridique des affaires, incitations fiscales et coûts de production compétitifs. Et, pour mieux présenter l’offre globale du Maroc en la matière, rien de mieux qu’un salon. Le Maroc aura donc, à partir d’octobre prochain, son salon de l’aéronautique dont la première édition se tiendra à Marrakech. Pouvoirs publics et professionnels entendent profiter de la rencontre, où sont attendus tous les grands noms mondiaux du secteur, pour présenter et vendre aux avionneurs l’offre Maroc et les convaincre de venir s’y installer.
la vié éco | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25537 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Lun 11 Aoû - 16:50 | |
| - Citation :
- Aéroports : Plus de 7 millions de passagers depuis début 2008
Le nombre de passagers ayant transité dans les différents aéroports du Maroc durant les sept derniers mois a atteint 7.480.838 passagers, contre 6.852.456 pour la même période de 2007, soit une hausse de 9,2 %. Selon les statistiques de l’Office national des aéroports (ONDA), le mois de juillet dernier a enregistré pour lui seul 1.251.036 passagers, contre 1.198.959 durant le même mois de l’année passée. Quelque 102.819 mouvements d’avions ont été enregistrés pendant les sept derniers mois à travers le Royaume, contre 104.869 mouvements effectués durant la même période de 2007 et 16.112 mouvements pour le seul mois de juillet 2008. http://www.aujourdhui.ma/instantanes-details63345.html | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25537 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 10:20 | |
| Attractivité des investissements : Le Maroc, 4e dans le bassin méditerranéen - Citation :
- Une étude comparative sur l’attractivité des investissements à l’échelon international vient d’être rendue publique par KPMG SA. L’enquête, effectuée par le cabinet d’audit et de conseil, aborde les choix concurrentiels amorcés par différents Etats avant de passer en revue les zones géographiques concernées par une implantation massive des IDE.
L’objectif étant d’établir un classement entre différents pays selon les tendances de compétitivité à long terme. Il en ressort que les coûts d’implantation les moins élevés placent les Etats-Unis en pôle position, talonnés de près par le Canada, l’Australie et la France. En effet, depuis 2006, les Etats-Unis enregistrent la meilleure performance en termes de faiblesse des coûts d’implantation pour les investisseurs, grâce notamment à la baisse du dollar.
La France, l’Allemagne et l’Italie, quant à eux, ont reculé sensiblement à cause du renchérissement de l’euro. La tendance internationale est à la baisse des taux d’imposition, notamment en Europe grâce à la compétition fiscale qui y règne. Les taux de prélèvements obligatoires les plus faibles relevés par l’étude, sont de 8% au Canada, 9% au Japon et 10% aux Etats-Unis.
L’enquête chiffre ainsi le coût total le plus faible de la main d’œuvre à 75.411 dollars en moyenne par employé aux Etats-Unis, contre 84.826 dollars en France et 107.518 dollars en Allemagne qui arrive en neuvième position. « De tous les coûts examinés, celui de la main-d’œuvre est le plus important », souligne l’enquête. Si, d’après l’étude de KPMG, les Etats-Unis et la France se distinguent en tant que sites d’implantation privilégiés pour les investissements liés à la recherche-développement, un pays émergent comme le Maroc n’est attractif que pour les investissements relatifs aux activités demandeuses en main-d’œuvre.
Les résultats de l’enquête KPMG effectuée auprès de patrons de PME, ont placé le Maroc en 4e position en termes d’attractivité dans le bassin méditerranéen. Le Maroc, réunissant 9% des suffrages, arrive après la France, l’Espagne et l’Italie, et devant l’Algérie et la Tunisie.
Méthodologie
L’enquête a utilisé comme méthode l’analyse de coûts d’implantations d’investissement en se basant sur les données économiques et financières de 136 villes différentes dans 9 pays du G7 et de l’Alena. Un échantillon de 2.000 entreprises opérant dans 17 secteurs d’activité différents, sert de canevas de base. L’étude prend en compte aussi les facteurs non liés aux coûts directs d’implantation (salaires, éducation, logement, infrastructures…). D’autres facteurs sont également mis en avant dans l’analyse ; il s’agit du contexte commercial (disponibilité d’une main d’œuvre qualifiée, accès aux marchés, transport, services publics et télécommunications) et de la qualité de la vie (taux de criminalité, santé, climat et loisirs).
Source : L’Economiste - M. M. [b] | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 12:33 | |
| - gigg00 a écrit:
- tout ce balabla e commence par est ce que le maroc aura difficulte en futur d'avoir de la "main qualifie"?, ca veut dire tout simplement que entre l'ingenieur e l'ouvrier simple est ce qui lya ces fameux tech, chef de groupe,responsable de chaine ou de secteur..etc eh bien on un manque e on l'aura se le gouvernement ne les forme pas, la reforme universitaire intervient justement pour regler ca, je vous rapelle que tous ceux qui ont laisser leur etudes sup pour faire "takouin el mehani" aujourd'huit il travaillent tous e touche bien, meme en europe ils les cherche come l'eau dans desert, moi je me rapelle que 3 usine metalurgique pres de chez moi ont fermer par manque de soudeurs, ils ont du importer 50 de la somalie, avec ce nouveau e esperant "miracle marocain" e ce boom de progets par tous la main d'euvre aataha allah les ing aussi mais la main qualifie e surtout avec de l'experience y'en a pas bcp.
donc mon conseil se je me permet au jeunes qui prennent leur bac c pas d'aller faire l'ing ou le medecin parceque c mon reve ou celui de mon papa (le temps des reves est fini), mais de choisir la branche en fonction du marche e surtout dans les futur marche ,ca ce tu cherche par les etudes a travailler( une etude du marche e indispensable) mais c t'es le fils de onassiss tu peur meme faire de l'egytologie se c ca te chante. mais vous allez voir se le gouvernement ne forme pas ces gens la, se seront les meme societes a les former direcetement chez eux ou indirectement attravers le financement des programmes de formations acceleres c le cas en allemagne par ex, l'important e que les jeunes le comprennet vite e prennent le train juste a temps. Excuse moi de te contredire, la main d'oeuvre qualifiée est rare certes, mais les cadres le sont beaucoup plus, le maroc a besoin des deux, et en même temps il est plus facile de former un technicien (3ans), qu'un ingenieur (5ans), en plus tu parle des medecins alors que le maroc connait un manque terrible de medecins, surtout dans le monde rural, je refuse de voir le maroc laisser la formation de cadre supérieur pour devenir une sorte d'usine à main d'oeuvre, car c'est notre indépendance économique et technologique qui est en jeu |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 13:17 | |
| - Citation :
- Maroc : les productions cinématographiques étrangères réalisent un investissement record
RABAT, 12 août (Xinhua) -- Le Maroc a attiré au cours du premier semestre 2008, plus de 17 productions cinématographiques étrangères totalisant un investissement record de 845 millions de dirhams (1 dollar=7 dirhams), a indiqué mardi le Centre cinématographique marocain (CCM). En 2007, l'enveloppe investie au Maroc en production étrangère a totalisé 563 millions de dhs contre 472 millions dhs en 2006 et 293 millions dhs en 2005. "Le nombre de plus en plus important de productions étrangères qu'attire le Maroc s'explique par les différentes opérations médiatiques que mène le CCM lors des grandes manifestations cinématographiques internationales, en particulier Cannes et Marrakech", a souligne la CCM. Le Maroc offre un des rares exemples de cinématographie dynamique sur le continent africain et dans le monde arabe, confirmant de cette façon, son statut de destination privilégiée pour le tournage des grandes productions internationales. Le journal américain "Wall Street Journal" avait affirmé, en décembre 2007, que le Maroc est en train de devenir la destination de choix des productions hollywoodiennes.
http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-08/12/content_692075.htm
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 13:23 | |
| wow 17 en 6 mois et dire qu´hier encore on faisait 20 par an |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 14:03 | |
| Oh ce n'est que le début, d'ici quelques années c'est des centaines de films hollywoodiens et autres qui seront tournes dans le Maroc, notre pays gagneras une certaine réputation et ils auras une grande notoriété, et c'est la pub gratuite pour attirer les touristes nord américains , en ce moment c'est Prince of Persia qu'on tourne chez nous , hâte de voir le résultat ! Arrêtez moi si je me trompe, mais je crois que c'est la première fois que notre économie réalise un vrai excédant budgétaire ? - Citation :
Le Maroc réalise une épargne pubilque de plus de 2 milliards de dollars
MAROC - 11 août 2008 - XINHUA
Les finances publiques marocaines ont réalisé, à fin mai dernier, une épargne publique de 16,7 milliards de dirhams (1 dollar=7 dirhams) et un excédent budgétaire estimé à 6,9 milliards de dirhams, a indiqué lundi la Direction des études et des prévisions financières (DEPF) du Maroc.
S'inscrivant en hausse par rapport au niveau enregistré une année auparavant (8,7 milliards), l'épargne publique marocaine a permis de couvrir 90,5% des dépenses d'investissement du budget de l'Etat, qui se sont élevées à environ 18,5 milliards de dirhams, a précisé la DEPF dans sa dernière note.
La DEPF, qui fait état également d'un solde positif des Comptes Spéciaux du Trésor de 8,6 milliards de dirhams, a déclaré le Trésor, compte tenu de l'augmentation de ses arriérés de 2,7 milliards de dirhams par rapport à fin décembre 2007, a dégagé un excédent de financement de 9,6 milliards contre un besoin de 107 millions de dirhams un an auparavant.
Ces performances s'expliquent essentiellement par le bon comportement des recettes ordinaires qui se sont redressées de 26, 2% à fin mai dernier, pour atteindre quelque 82,3 milliards, a expliqué la DEPF, ajoutant que cette évolution est essentiellement liée à la contribution positive des recettes fiscales, qui ont affiché une progression de 31,5%.
Ces résultats positifs des recettes fiscales ont été réalisés grâce à la dynamique de l'activité économique, notamment suite à l'amélioration de la consommation et de l'investissement, ainsi qu'aux mesures législatives d'élargissement de l'assiette fiscale et à l'augmentation notamment des importations.
http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-08/12/content_691513.htm |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 15:41 | |
| et encore si on arretait les subvensions directes des produits de base, et donnait plus d'avantage sociaux mieux répartis je pense qu'on pourrait encore épargne quelques dirhams. |
| | | Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 15:42 | |
| - Citation :
- ISRAEL MAROC CLUSTERS - L'Université Al Akhawayn et le Technion, fleurons respectifs de la recherche marocaine et israélienne.
Dans le cadre d’une étude sur les Silicon Valleys du Monde, nous nous sommes focalisés ces dernières semaines sur la comparaison entre le Maroc et Israël, qui constituent selon nous deux Silicon Valleys.
Israël a certes déjà fait ses preuves et continue de progresser. Et le Maroc, qui est en train de construire sa Silicon Valley autour de Casablanca avec un site focalisé sur les nouvelles technologies (le Technopark de Casablanca) et un autre qui fait du Maroc une destination privilégiée en matière d’offshoring (le Casanearshore).
L’éducation, et plus particulièrement la recherche, est au centre de la constitution des clusters dans le monde.
Le Technion de Haïfa, situé dans les hauteurs du Mont Carmel, est une structure d’accueil, un pôle d’excellence de la recherche israélienne. Créé en 1924, le Technion de Haifa a accueilli en 2008 quelque 12 000 étudiants de différentes filières : ingénierie, Sciences de la vie, Sciences sociales.
Les biotechnologies, les nanotechnologies, l’innovation et l’entrepreneurship sont au coeur des préoccupations du Technion qui constitue un trait d’union entre le milieu académique et le milieu professionnel.
Pour sa part, l’Université Al Akhawayn (les frères en arabe) a été créée à l’initiative du Roi Hassan II en 1995 afin de donner une impulsion à l’éducation supérieure marocaine et à la recherche dans des domaines variés : l’ingénierie, les sciences humaines, les sciences sociales.
De plus, fort de son cadre d’exception du fait de sa localisation dans le Moyen Atlas (Ifrane), l’Université Al Akhawayn compte environ 1300 étudiants de cultures et de religions différentes.
L’enseignement est dispensé intégralement en anglais et la qualité de l’enseignement n’a rien à envier aux grandes universités mondiales. Certains s’avancent à dire qu’il s’agit de la “Harvard du Monde Arabe”.
Que ce soit au Technion ou à Al Akhawayn, le principe d’incubation est primordial: c’est la raison pour laquelle tous deux ont mis en place un incubateur destiné à favoriser le développement de start-up en mettant à leur disposition la logistique et la formation nécessaires.
Enfin, ces deux pôles académiques ont su nouer respectivement des partenariats à l’échelle locale et internationale afin de consolider et élargir leur notoriété à l’échelle mondiale.
Citons à titre d’exemple le Crédit du Maroc, Maroc Telecom, Ciments du Maroc, Office National d’Electricité, Khaled Al Ankary (Ministre de l’enseignement supérieur en Arabie Saoudite) qui sont partenaires de l’Université Al Akhawayn.
Le Technion a noué pour sa part des partenariats à l’échelle européenne : programmes cadres européens de R&D : FP6 et FP7, des partenariats avec des universités dans le cadre des programmes de mobilité (Marie Curie) ainsi que d’autres partenariats à l’échelle locale et binationale (France, Chine, Etats-Unis, Russie, Suède, Espagne, Grande Bretagne).
Autant dire que le Technion tisse de réels partenariats avec d’autres Silicon Valleys, ce qui permet un échange et un transfert de connaissances fructueux.
L’Université Al Akhawayn devrait suivre le modèle israélien en la matière et elle en a les moyens. En effet, Hillary Clinton en personne a été à l’initiative d’un centre de recherche pour l’intégration des femmes dans l’économie marocaine. C’est dire l’excellence de cette université et la qualité de son réseau.
La Silicon Valley marocaine peut véritablement compter sur le campus d’Ifrane comme Israël compte sur le Technion pour promouvoir le Maroc à l’échelle des clusters méditerranéens et mondiaux.
lien articleLa presse israelienne n'est pas du genre à faire des louanges aux pays arabes, c'est dire l'estime qu'il nous porte ! La technologie israelienne est parmi les plus avancé au monde, on aurait bcp à apprendre avec eux ! _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 15:52 | |
| vous googlez news a lmasakhit l´agriculture a dakhla profite de l´expreience israelienne,et elle est devennue l´une des plus productives du maroc avec leur aide |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 16:01 | |
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 16:23 | |
| on profitera bcp inchallah de cete amitié(si pas plus que ca),vivement les relations diplomatiques avec l´etat hebreux! mon truc:j´utilise les RSS en live |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25537 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine-Tome 1- Mar 12 Aoû - 16:29 | |
| - big boss a écrit:
- Oh ce n'est que le début, d'ici quelques années c'est des centaines de films hollywoodiens et autres qui seront tournes dans le Maroc, notre pays gagneras une certaine réputation et ils auras une grande notoriété, et c'est la pub gratuite pour attirer les touristes nord américains , en ce moment c'est Prince of Persia qu'on tourne chez nous , hâte de voir le résultat !
Arrêtez moi si je me trompe, mais je crois que c'est la première fois que notre économie réalise un vrai excédant budgétaire ?
- Citation :
Le Maroc réalise une épargne pubilque de plus de 2 milliards de dollars
MAROC - 11 août 2008 - XINHUA
Les finances publiques marocaines ont réalisé, à fin mai dernier, une épargne publique de 16,7 milliards de dirhams (1 dollar=7 dirhams) et un excédent budgétaire estimé à 6,9 milliards de dirhams, a indiqué lundi la Direction des études et des prévisions financières (DEPF) du Maroc.
S'inscrivant en hausse par rapport au niveau enregistré une année auparavant (8,7 milliards), l'épargne publique marocaine a permis de couvrir 90,5% des dépenses d'investissement du budget de l'Etat, qui se sont élevées à environ 18,5 milliards de dirhams, a précisé la DEPF dans sa dernière note.
La DEPF, qui fait état également d'un solde positif des Comptes Spéciaux du Trésor de 8,6 milliards de dirhams, a déclaré le Trésor, compte tenu de l'augmentation de ses arriérés de 2,7 milliards de dirhams par rapport à fin décembre 2007, a dégagé un excédent de financement de 9,6 milliards contre un besoin de 107 millions de dirhams un an auparavant.
Ces performances s'expliquent essentiellement par le bon comportement des recettes ordinaires qui se sont redressées de 26, 2% à fin mai dernier, pour atteindre quelque 82,3 milliards, a expliqué la DEPF, ajoutant que cette évolution est essentiellement liée à la contribution positive des recettes fiscales, qui ont affiché une progression de 31,5%.
Ces résultats positifs des recettes fiscales ont été réalisés grâce à la dynamique de l'activité économique, notamment suite à l'amélioration de la consommation et de l'investissement, ainsi qu'aux mesures législatives d'élargissement de l'assiette fiscale et à l'augmentation notamment des importations.
http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-08/12/content_691513.htm Merci l'OCP Plus serieusement, la maîtrise des dépense publique s'ameliore d'année en année, sa fait plaisir | |
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