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 Économie marocaine-Tome 1-

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kaiidow
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MessageSujet: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeMar 13 Mar 2007 - 18:06

Rappel du premier message :

13.03.2007 | 16h42
Le président d'AXA France, François Pierson, a défendu le projet de création de 1.500 emplois au Maroc qui s'inscrit dans le cadre du plan stratégique "Ambition 2012", visant un doublement du chiffre d'affaires et un triplement du résultat du groupe d'assurances français d'ici à 2012.


"Aucun contrat de travail ne sera remis en cause en France. Il ne s'agit pas de délocaliser des emplois, mais d'en créer de nouveaux dans le cadre de notre développement", a-t-il indiqué dans un entretien publié mardi au journal économique "Les Echos", assurant que ce projet ne sera pas mauvais pour l'emploi en France dans la mesure où AXA France comptera en 2012 plus d'emplois qu'aujourd'hui.

Après avoir souligné que son groupe a tout le temps gardé la volonté de ne pas rompre le dialogue avec les syndicats, M. Pierson a affirmé que "personne au sein d'AXA France ne doit avoir honte ou peur du projet de création de 1.500 emplois au Maroc".
"Nous ouvrons maintenant les dossiers de consultation pour quantifier précisément le nombre de personnes qui travailleront pour nous au Maroc", a fait savoir le président d'AXA France, rappelant que son groupe est déjà le deuxième assureur au Maroc.

Il a indiqué d'autre part que le volet ressources humaines d'Ambition 2012 contient également un programme de mobilité "Cap Métiers", des actions en faveur de l'égalité hommes-femmes, le recrutement de minorités visibles grâce au CV anonyme, des évolutions salariales ainsi que la distribution gratuite d'actions.

Présenté le 5 décembre dernier en comité central d'entreprise, le projet Ambition 2012 se veut neutre sur le plan de l'emploi. Il s'agirait ainsi de remplacer les 3.000 départs à la retraire des six prochaines années chez AXA France par 1.500 embauches dans l'Hexagone et autant au Maroc où une nouvelle structure sera créée.
La direction d'AXA avait précisé récemment qu'elle dégagerait 75 millions d'euros de cette opération.


Source: MAP
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeDim 24 Aoû 2008 - 23:21

Samyadams a écrit:
Pendant la guerre du Liban, en 2006, Saoudiens et Egyptiens ont exprimé des positions franchement anti-Hezbollah, donc pro-... (l'ennemi de mon ennemi étant...mon ami !). Ce n'est que la non-défaite du Hizbollah et le courant de sympathie qu'il a suscité dans la rue arabe qui leur a imposé de se taire. Les pays arabes du Proche-Orient semble craindre les chiites plus que les sionistes, dans lequels ils voient des...alliés objectifs contre l'Iran ! Seulement, les saoudiens ont toujours préféré tenir un discours populiste aux antipodes de ce en quoi ils croient réellement. De cette schyzophrénie est née...Al qaida !
Si l'on doit prendre réellement exemple sur Saladin, on ne doit pas oublier qu'il a entretenu de "bonnes" relations avec l'avant dernier roi franc de Jerusalem. C'est son imbécile de successeur qui a foncé tête baissé dans la défaite-débacle de Hattin, ouvrant ainsi la voie à la reconquête d'Al Qods.
Les israliens ont une exprience en matière d'agriculture en milieu semi-aride dont le Maroc a bien besoin, outre les secteurs de la haute technologie ou ils sont en pointe pour avoir investi dans la recherche depuis bien longtemps.
Pourquoi est-ce que nos fréres arabes ne nous ont-ils jamais proposé de développer une recherche scientifique en commun pour nous sortir tous du sous-développement ? Leurs investissements chez nous sont comme ceux de tous les autres investisseurs étrangers. Le Maroc offre des potentialités dont ils cherchent à profiter, surtout qu'ils croulent actuellement de liquidités qu'ils leur faut impérativement placer quelque part, au risque de voir l'inflation s'envoler et de provoquer une bulle financière sur les places boursiéres du Golfe, ce qui est effectivement déjà arrivé. Ils exigent les mêmes garanties que les autres investisseurs étrangers et font preuve d'un esprit encore plus bassement affairiste. Ceci sans parler du tourisme sexuel. Au moins les juifs qui viennent au Maroc, eux, le font pour le pelerinage auprés de leurs saints et ...prier ! Même quand ils "s'amusent", ils sont beaucoup plus respectueux des marocains.
Des palestiniens, j'en ai connu en Europe. Plus hypocrite, tu meurs ! Jamais je n'oublierai une marche en faveur de la Palestine à Oslo, en Norvége, au milieu des années 80. Elle a démarré en un froid aprés midi d'automne, avec pas mal de norvégiens, quelques palestiniens vivant là-bas et d'autres arabes résidants. Au bout d'une demi heure, j'ai cherché du regard les palestiniens présents au début sans en retrouve la plupart. Un marocain me montra ou est-ce qu'ils avaient tous disparus. Ils étaient tous alignés devant le comptoir d'un bistrot à boire des biéres, pendant que les norvégiens s'époumonaient à crier des slogans pro-palestinien dehors dans le froid ! Aprés en avoir fréquenté quelques uns, j'ai vite compris qu'ils étaient plus portés sur les trafics en tout genre que sur le militantisme. Le pire, c'est que ses hypocrites se permettaient de critiquer Feu Hassan II pour ses contacts avec les israeliens, contacts dont les palestiniens ont bien profité par la suite.
Les milliers de juifs marocains vivant en Israel, c'est une aubaine qui ne vas pas toujours durer? C'est comme pour les autres marocains de la diaspora, la 1 ére génération reste très attachée au pays natal, la 2 éme un peu moins et ainsi de suite. A quoi sert aux habitants de Gaza sous embargo notre abscence de relations avec Israel ? On aurait pu être plus utile à travers des relations diplomatiques. N'est-ce pas ce que viennent de faire dernierement le turcs en servant d'intermédiares avec les syriens ? Assez d'hypocrisie

comme je le dit toujours et je le repete.il faut faire la deference entre la volanté des peoples et se que font les derugeant.pendant que mobarak etait avec les israeliens dans leur guerre contre le hizbulah.des miliers d egyptiens se sont protestés contre cela.et c'etait le cas dans tt les pays musilmans.alors pk vous vous comportez comme ses derigeants la !!
vous en fouttez de la volenté du people.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeDim 24 Aoû 2008 - 23:27

Samyadams a écrit:
En réponse à Nabil-F1
Des musulmans se font massacrer par les américains en Irak et en Afghanistan, d'autres en Inde par les fanatiques hindoux, les tchetchenes par les russes, etc. Crois que l'on doit cesser toutes relations avec ces pays ?

non pas du tt.
et tt simplement parce que l amerique et la russie ne sont pas israel.
et aussi parce que les iraquiens ont des armes et des vrais combattants pour se deffendres vous n avez rien qu'a voir les news pour se rendre compte des degats des americains.
moi je vous demande de tenir vous promesses pour les palestiniens c tt.parce que un jour tt les pays arab se sont met d accord de ne pas avoir de relation directe avec israel tant qu il occupe les territoires palestiniens.
alor pk vous ne voulez plus tenir cette promesse la.
notre pays lhamdolilah et on bonne evolution je ne croi pas qu on a assez besoin des israeliens.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeLun 25 Aoû 2008 - 0:03

ne le prend pas mal nabil mais tu montre une naiveté cruelle et simpliste dans la vue des choses,encor eune fois ne le prend pas offense

ce que le peuple arabe veut,il veut meme une guerre avec les USA,tu la veut toi aussi tant que l´avis du peuple "arabe t´es si chere?

si le peuple choisira Al Adl Wal Ihsan,le Hamas,le Hizbollah,alors desolé mais je ne donnerai pas la verité a ce peuple,car il est tout simplement pas mature,et simplement influencable par les prometteurs islamistes

et non,j´ai rien promis moi aus palestiniens,ni le maroc,quand les autres avancent leurs interets pour reconnaitre les autres,pourquoi ne devrais je pas suivre mes interets moi aussi

le monde c´est les interets,pas d´idealisme
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeLun 25 Aoû 2008 - 2:15

finit les hors sujet sur se topic retour au sujet Economie marocaine si vous voulez discuté sur les relations israelo-marocaine tomcat a crée un topic rien que pour sa ...
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeLun 25 Aoû 2008 - 10:28

Maroc: La serriculture en constante évolution dans les provinces du SUD


--------------------------------------------------------------------------------


Citation :
La superficie globale des périmètres irrigués destinés principalement aux cultures sous serre (serriculture), et plus particulièrement aux productions de primeurs, dans la région de Oued Eddahab-Lagouira, a connu une extension rapide durant les dernières années passant de 70 ha en 2001 à plus de 530 ha en 2008.

Selon des statistiques fournies par la direction provinciale de l'agriculture (DPA) à Dakhla, cette superficie agricole servant essentiellement à la production de fruits et légumes de primeurs se répartit en sept grands périmètres équipés de systèmes hydro-agricoles développés, ce qui a engendré des productions hors sol de grande qualité et contribué, en conséquence, au développement du rendement à l'hectare, se situant à titre d'exemple, entre 120 et 220 tonnes pour les tomates, entre 50 à 60 tonnes pour les melons et les concombres, et à 100 tonnes pour les poivrons.

Ces indicateurs dépassent les moyennes enregistrées au niveau national, selon la même source, qui précise que la production globale en primeurs dans la région s'élève à 35.000 tonnes par an, dont 20.000 tonnes de tomates, 12.000 tonnes de melons et 2.000 tonnes de concombres.

Cette évolution conséquente de la production agricole a été dopée par les investissements importants injectés dans le secteur, ce qui a permis l'émergence des cultures sous serres, dotées de techniques de pointe, et en mesure de relever le défi de la compétitivité, en matière de rendement et de qualité des produits, et favorisant la création de nouvelles opportunités d'emploi et d'investissement à haute valeur ajoutée.

Ainsi, l'agriculture est devenue un secteur en plein essor et s'est érigée en principale activité socio-économique des populations de la région d'Oued Eddahab-Lagouira.

Il ressort des données de l'ADP que le secteur de la culture des primeurs emploie 6.000 personnes dont 2.500 travailleurs permanents et 3.500 saisonniers.

Le développement des investissements dans le secteur agricole dans la région s'explique essentiellement par le climat tempéré qui prévaut toute l'année dans la zone concernée, l'existence d'une nappe phréatique exploitable et l'éloignement des sources de pollution, selon la même source.

La région se caractérise par des températures clémentes et constantes se situent autour de 20 C. L'ensoleillement ininterrompu durant toute l'année permet aux fruits et légumes de la région d'atteindre leur maturité de 2 à 3 semaines avant ceux cultivés dans d'autres régions agricoles du Maroc.

Par ailleurs, les zones agricoles de la région sont situées en bordure de l'Atlantique, et bénéficient par conséquent d'un climat tropical, tempéré par l'alizé maritime et les courants froids des Canaries. L'humidité atmosphérique de la bande littorale se situe entre 61 et 86% et donne lieu à une rosée nocturne, particulièrement bénéfique pour l'activité agricole.

La présence de nombreuses exploitations agricoles sous serre dans la région a favorisé l'établissement d'un centre de qualification professionnelle agricole qui offre des formations en horticulture, assurant ainsi une qualification soutenue de la main-d'œuvre.

Toutefois, le secteur est confronté à plusieurs contraintes, dont la rareté des précipitations, l'absence de ressources en eaux superficielles, ce qui nécessite la mobilisation des eaux souterraines dont le coût demeure très élevé. Pour faire face à ces difficultés, la région a mis en place une politique de gestion rationnelle des ressources hydrauliques, incitant les producteurs à se tourner davantage vers l'irrigation goutte à goutte. Pour encourager les investisseurs agricoles à l'usage de techniques d'irrigation développées, notamment vers l'irrigation goutte à goutte, l'Etat leur offre des aides financières sous forme de subventions et dons dans le cadre du fonds de développement agricole.

La participation de l'Etat à l'aménagement des propriétés agricoles en systèmes d'irrigation localisées ou d'irrigation de complément s'élève à 60% du coût de l'opération d'aménagement pour les projets soumis à l'approbation des services techniques concernés du ministère de l'Agriculture avant le démarrage des travaux.

La qualité des produits cultivés sous serre permet aux horticulteurs d'exporter leurs productions vers les marchés extérieurs les plus exigeants.

Parallèlement, le développement rapide de l'agriculture sous serre pourrait stimuler le développement de l'industrie agroalimentaire et permettre aux agriculteurs de commercialiser leurs marchandises localement auprès des unités de transformation et de conditionnement de fruits et légumes.

Lematin.ma
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeLun 25 Aoû 2008 - 17:18

Harm a écrit:
finit les hors sujet sur se topic retour au sujet Economie marocaine si vous voulez discuté sur les relations israelo-marocaine tomcat a crée un topic rien que pour sa ...


tu as raison.j'espere quand continue dans l'autre topic reservé pour ca .
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeLun 25 Aoû 2008 - 22:53

Citation :

La SNCF va délocaliser au Maroc ses activités de facturation du fret
25/08/2008-[18:43] - AFP

PARIS, 25 août 2008 (AFP) - La direction Fret de la SNCF a décidé de "faire appel à une société franco-belge (Fedaso), basée au Maroc, pour la saisie manuelle des données écrites des contrats de transport des marchandises", a dénoncé lundi la Fédération CGT des Cheminots dans un communiqué.

"On supprime des emplois et on délocalise comme une entreprise privée pour diminuer les coûts, alors qu’on reste une entreprise publique : c’est inacceptable !", a déclaré à l’AFP Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT-cheminots. Pour la CGT, la direction de la SNCF "délocalise la charge de travail dans des pays où les conditions sociales sont les plus faibles pour réaliser le plus de profit possible". Une porte-parole de la direction Fret de la SNCF a confirmé à l’AFP le transfert de ces activités à Fedaso à Fès, au Maroc, tout en précisant que "le choix du Maroc n’était pas du ressort de la SNCF". "Ce prestataire a la compétence de faire de l’acquisition automatisée qui n’est pas dans notre coeur de métier (...), l’investissement aurait été démesuré par rapport à la quantité de travail (...), et cette société a le choix de traiter où elle veut ses données" a-t-elle indiqué. L’activité fret est en crise financière chronique depuis des années. Le leader syndical déplore avoir appris la nouvelle "au détour d’un couloir, sans concertation, ni information officielle", prévoyant "des suppressions massives d’emploi au niveau de l’activité fret consécutivement à la fermeture des agences de facturation". La porte-parole de la direction a assuré que "personne ne se retrouverait sans travail : les plus qualifiés deviendront superviseurs, formés à toutes les étapes qui précèdent la taxation, et les autres auront des propositions d’emploi au sein de l’entreprise". "On ne compte pas en rester là : je vais proposer aux fédérations de cheminots de se réunir début septembre pour décider des actions de mobilisation", a prévenu M. Le Reste. Fondée en 1995 par le groupe néerlandais Wegener et spécialisée dans la dématérialisation de documents et la saisie de données, Fedaso emploie 350 personnes à Paris, Bruxelles et Fès.

http://www.france-info.com/spip.php?article177393&theme=69&sous_theme=69
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeLun 25 Aoû 2008 - 23:55

Tu vois ce que c'est l'ultra-libéralisme Yakousa. Il a fallu des dizaines d'années de lutte aux grands parents et parents de ses travailleurs français pour qu'ils puissent jouir de droits sociaux. De Gaule, de son temps, même s'il n'était pas de gauche, avait compris que la stabilité sociale d'un pays dépend en grande partie de la garantie des droits des travailleurs. En délocalisant, les employeurs réduisent tous ces efforts à 0. C encore plus honteux quand c l'Etat français qui se comporte de cette manière. Ils ne viennent ici que par ce qu'on est moins cher.
C vrai que nous allons en profiter. Cela fait quelques dizaines de chômeurs en moins chez nous et quelques familles avec plus de revenus, mais il faut garder à l'esprit que ces entreprises peuvent déménager tout aussi facilement vers un autre pays qui offrirait encore plus d'avantages. C la course au moins disant social. Surtout que pour ce genre d'activités, les services, les investissements ne sont pas lourds. La délocalisation est d'autant plus facile. C'est parce que les marocains continuent de se débrouiller en français, ce qui ne va pas durer longtemps avec l'arabisation, que le Maroc attire ce genre d'opérateurs, outre nos infrastructures en telecommunication qui ne sont pas mauvaises. J'espére bien que le Maroc deviendra comme l'Inde, qui monopolise presque le marché de ce genre de services chez les anglophones, mais je sais aussi qe d'autres pays francophones ont les mêmes ambitions. Avec la médiocrité de notre systéme d'enseignement, l'avenir n'est pas des plus certains. Des ressources humaines toujours plus qualifiées est la seule manière de ne pas dépendre de cette course aux moins disants sociaux. Ce que touche une ouvrière marocaine dans une usine de textile en une heure, la viêtnamienne l'encaisse en une journée de travail ! Elles sont aujourd'hui moins qualifiées et moins productives, mais tu connais les asiatiques...
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeMar 26 Aoû 2008 - 0:20

c´est la concurence mon ami,devore ou tu sera devoré!!

je prefere ce systeme au systeme socialiste d´economie centralisée ou l´etat regule tout
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeMar 26 Aoû 2008 - 0:49

yakousa a écrit:
c´est la concurence mon ami,devore ou tu sera devoré!!

je prefere ce systeme au systeme socialiste d´economie centralisée ou l´etat regule tout

L'implication de l'Etat dans les economies modernes n'est pas une mauvaise chose en soit. Il est symbole de stabilité et de garantie pour l'economie, enfin après tout dépend de la gueule de cette Etat, si c'est du type chavez non merci mais si c'est un interventionnisme de type Fr alors pourquoi pas.
En tout cas en temps de crise on se réfugie encore et toujours vers l'Etat preuve qu'il a un rîle actif à jouer dans les économie d'aujourdhui.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeMar 26 Aoû 2008 - 1:15

Un chouia Wink de régulation ne fait pas de mal, au contraire. Ce n'est pas du socialisme, c'est juste l'Etat régulateur, qui met un peu d'ordre dans les marchés quand ces derniers s'emballent. Lâcher totalement la bride aux hommes d'affaires, dont la seule logique est le profit et sans responsabilité politique auprés de la population, c'est courir le risque d'affronter périodiquement de grave crises. Regarde ce qui se passe un peu aux Etats-Unis, au lieu d'investir dans l'économie physique, avec création d'emploi à la clé, les grosses fortunes preferent la bourse et ses gros profits à court terme qui ne s'obtiennent que par la "réduction des charges", c-à-d destruction d'emplois et délocalisations. Ils sont bien beaux maintenant avec la crise du marché immobilier, à cause de ces joujous financiers hautement speculatifs que sont les "subprimes". C'est prêter à ceux qui n'ont pas moyen de rembourser, juste pour recycler d'autres papiers financiers tout aussi pourris. Ils ont arrivés au bout de leur économie casino. Plus de 8.000 milliards de dettes ! Balance commerciale et des paiements structurellement déficitaires, ils vivent à crédit, mais juste pour consommer et "boursicoter", pas pour investir.
Pourquoi est-ce que la Louisiane a été submergée ? Parce que les digues qu la protégeaient datent du New deal de Roosvelt lol! et que malgré les avertissements du Général commandant le corps du génie dans cet Etat, ce gars étant en plus un républicain Very Happy , les fonds necessaires n'ont pas été alloué ! Le risque était pourtant réel, les cyclones dans cette région s'étant multipliés en raison des changements climatiques.
Leurs barrages ne valent pas mieux, l'industrie automobile, la fierté du peuple américain pendant longtemps, ils l'ont enterrée cette année (les difficultés du géant Général motors et de ses équipementiers qui ont fait faillite en masse)...Même en matière de technologies de pointe, ils se sont fait rattraper par les asiatiques.
Seule l'industrie militaire américaine demeure compétitive à l'echelle internationale. Toutes ces guerres qu'ils provoquent à travers le globe ne sont les derniers soubreseauts d'un empire mourrant, qui n'a plus que la prédation pour survivre (voler le pétrole des autres entre autres). Je ne l'espere pas, mais si leur économie coule, tout le monde en payera les frais.
C'est ça ce que c'est que de laisser faire des hommes d'affaires plus speculateurs qu'entrepreneurs. A eux les profits quand ça va bien, aux peuples d'essuyer les pertes dûes à leurs manigances quand elles surviennent. Et crois moi, le pire est à venir.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeMar 26 Aoû 2008 - 1:30

le problème c'est qu'en cas de crise, l'état sauve des entreprises qui engloutissent des milliards sortis de la poche du contribuable, et juste après elle délocalisent vers un pays tiers mondiste, il y a une fuite des capitaux qui ne fais que l'affaire des financier, à long terme les économies occidentales pourrait se retrouver en faillite faute de nouveaux investissements.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeMar 26 Aoû 2008 - 12:10

Citation :
Maroc : les banques françaises perdent du terrain

Un effort d’investissement marginal comparé au trio de tête. Une réactivité tardive sur l’immobilier et la niche des MRE. Les filiales des banques françaises au Maroc dorment-elles sur leurs lauriers ?

Un chiffre rend compte de la réalité du terrain. Les trois ténors du système bancaire marocain ont ouvert 210 agences en 2007 contre à peine 57 ouvertures pour les banques françaises. A ce rythme, la part de 22% détenue par les étrangers dans les actifs des banques marocaines risquent de se réduire beaucoup plus vite que ne le prévoyait les rapports émis sur le secteur.
Ces indicateurs de la Banque centrale marocaine sont encore plus éloquents quand ils traitent des acteurs sur le plan individuel. L’on note ainsi que parmi les banques françaises, c’est Crédit du Maroc, détenue majoritairement (52%) par le Crédit Agricole, qui est la plus active des filiales françaises présentes sur le royaume en termes d’extension de réseau, avec un maximum de 30 agences ouvertes en 2007. Un effort qui se rapproche de celui de la BMCI (BNP Paribas) avec 27 agences, mais qui dépasse de loin celui de la SGMB, une institution qui n’a pratiquement pas ouvert d’agences au Maroc en 2007. Si la tendance persiste, les banques françaises, qui contrôlaient 47% des parts de marché du secteur en 2007, pourraient encore perdre du terrain.

Un mouvement quasi inéluctable

Pour le responsable documentation d’une grande banque de la place, « ce mouvement est quasi inéluctable : les banques marocaines consacrent plus d’efforts dans l’ouverture d’agences, engagées avant tout dans des efforts de bancarisation de leurs réseaux et d’extension en milieu rural. A l’inverse, précise-t-il, les banques françaises se cantonnent dans le milieu urbain, en ciblant de préférence une clientèle d’un certain niveau. » Il s’agit donc de deux dialectiques différentes, avec d’une part une institution voulant participer à l’effort national de bancarisation, et de l’autre une banque classique qui continue d’anticiper les besoins de ses clients PME-PMI, notamment en matière d’assurance et de crédit à l’export.

Vu sous cet angle, l’évolution de ces banques françaises est d’abord qualitative, orientée vers l’implémentation des nouveaux services pour les particuliers (produits d’épargnes sophistiqués) et pour les entreprises (assurance crédit à l’export). Laquelle de ces stratégies est la plus rentable ? Les avis sont partagés, mais, note un cadre du CIH, filiale du Groupe Caisse d’Epargne avec, au compteur, zéro agence ouverte en 2007, « les banques marocaines auront tendance à recruter plus facilement une clientèle rurale et périurbaine demandeuse de services bancaires de base. Mais quand récupéreront-ils leurs investissements ? » Une question qui trouve peu de réponses auprès de nos interlocuteurs du secteur, persuadés qu’un investissement effréné est naturellement source de profits et de collecte de dépôts non rémunérés, mais c’est aussi – du moins dans les premières années d’investissement – source de coefficient d’exploitation relativement élevé. C’est le cas de la BMCE, qui a ouvert 72 agences en 2007, soit 15 de plus qu’Attijariwafa Bank avec ces 57 agences. Notons enfin que la BCP reste en tête avec 81 agences ouvertes en 2007

« Or, le label banque française à lui seul n’est plus aussi vendeur que par le passé. Le client est devenu une belle mariée qui s’offre au plus offrant. »

La belle mariée

De l’autre côté, poursuit le cadre du CIH, « les banques françaises qui sont présentes en général sur l’axe Casa-Rabat et les villes touristiques que sont Marrakech, Agadir, Fès et Tanger, compteront toujours sur une clientèle aisée qui fait des mouvements de compte élevés. Mais elles doivent investir certainement deux à trois fois plus dans la relation pour fidéliser le client et le conserver. » Au-delà des aspects techniques, l’expert et consultant Belkacem Boutayeb souligne aussi cette « donne culturelle des banques françaises qui n’ont pas encore compris que le Maroc est une plateforme idéale pour le Maghreb et l’Afrique subsaharienne. Il n’y a pas de politique agressive envers le client. Or, le label banque française à lui seul n’est plus aussi vendeur que par le passé. Le client est devenu une belle mariée qui s’offre au plus offrant. »

Sophistication

Ce goût de « sophistication » (un mot employé par un chargé de clientèle haut de gamme d’une agence située sur la corniche casablancaise) coûte cher en tout cas aux banques françaises qui n’arrivent plus à anticiper les grandes tendances du moment. Comment expliquer que dans l’immobilier la SGMB n’ait lancé ses offres qu’après coup, au beau milieu de la vague, que BMCI Finance n’ait pas encore pris son envol dans son rayon d’activité ? Avec deux fois et demie moins d’agences que leurs homologues marocaines, les filiales des banques françaises devront déployer autant d’efforts pour conserver leurs parts dans l’immobilier ou, intérêt tardif, capter quelques travailleurs marocains à l’étranger à la recherche de la meilleure offre.

souces: les afriques

Petit à petit on se libère de la tutelle française... Cool

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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeMer 27 Aoû 2008 - 11:07

les definitions BRIC et pays emergents selon Morgan Stanley Cool

Citation :
MSCI defines the emerging markets as Argentina, Brazil, Chile, Colombia, Mexico, Peru, Czech Republic, Egypt, Hungary, Israel, Jordan, Morocco, Poland, Russia, South Africa, Turkey, China, India, Indonesia, Korea, Malaysia, Pakistan, the Philippines, Taiwan and Thailand.

http://www.theaustralian.news.com.au/story/0,25197,24224508-5001942,00.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeMer 27 Aoû 2008 - 11:30

ce ne doit pas être une liste exhaustive, mais en tout cas fait plaisir d'être sité ! Cool

par contre surpris par cette liste Shocked

Citation :
Underneath those markets are the frontier markets, under which MSCI groups Bulgaria, Croatia, Estonia, Kazakhstan, Romania, Slovenia, Ukraine, Kenya, Mauritius, Nigeria, Tunisia, Lebanon, Bahrain, Kuwait, Qatar, Oman, United Arab Emirates, Sri Lanka and Vietnam.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeMer 27 Aoû 2008 - 20:15

Cette liste est à prendre avec beaucoup de prudence et l’organe qui en est l’auteur a beaucoup perdu de sa crédibilité au cours de l’actuelle crise financière mondiale. Certaines banques classées par Morgan and Stanley AA++ ont, cette année, tout simplement fait…faillite ! Logiquement, il est difficile de mettre ensemble des pays comme la Chine, le Brésil, la Russie et l’Inde avec des pays comme le Maroc, le Pérou, la Colombie et la Jordanie. Ces pays ne jouent pas tous dans la même catégorie.
Dans le cas du Maroc, le terme couramment utilisé est pays « pré émergent ». Il est difficile, en effet, de classer comme émergent un pays dont l’agriculture continue de peser aussi lourd dans la formation du PIB, même si cette part est en recul au profit de l’industrie. Mieux encore, la part consacré par le Maroc à la recherche scientifique, aux environ de 1% du PIB, ne lui permet pas de prétendre, à court et moyen terme, « émerger ». Le minimum est de 3%, dans la plupart des pays qui veulent se faire une place au soleil ou la préserver. La Suède consacre 5% de son PIB à la R&D. Et qu’on ne me sorte pas l’argument fallacieux de la faiblesse de nos moyens. Le financement conséquent de la R&D est incontournable pour prétendre au développement.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 17:29

Citation :
Maroc Telecom : encore de gros volumes signalés

L'opérateur de télécommunications, Maroc Telecom est à l'équilibre aujourd'hui à 15,97 euros, mais le titre se traite dans des volumes encore importants. Plus de 310.000 actions ont ainsi été négociées aujourd'hui sur la place parisienne.

Déjà, hier, l'opérateur marocain avait connu une grosse agitation avec plus de 150.000 titres échangés.

Pour rappel, Maroc Telecom avait publié un résultat net part du groupe de 4,5 Milliards de dirhams (394 Millions d'euros) au premier semestre 2008, en progression de 17,6%, et un résultat opérationnel de 6,7 Milliards de dirhams (587 Millions d'euros), en hausse de 11,1%. Le chiffre d'affaires s'est accru de 10% à 14,3 Milliards de dirhams (1,25 Milliard d'euros). Shocked

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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 18:05

Maroc-Telecom appartient maintenant a Vivendi avec 53% des parts
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 18:09

ca va pas durer longtemps..
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 18:22

yakousa a écrit:
ca va pas durer longtemps..

L'année dernière Vivendi a acquis 2% de MT, même si le Maroc souhaite racheté des parts dans la société, ce n'est plus possible car Vivendi a plus de 51% des actions et donc peut bloqué les intentions du maroc
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 18:37

y´a d´autres mecanismes pour l´avoir,tant que les telecos sont regulés par l´etat,Wana ou meditel peuvent etre utilisés comme cartes de pression Wink

faut savoir comment donner d´une main et prendre de l´autre Laughing

par-exemple MT vient de perdre dernierement la majorité sur le fixe,au profit de Wana,et qui dit wana dit ONA,donc..

faut pas forcer la chose,mais la rendre accecible
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 18:50

dr.watson1 a écrit:
Maroc-Telecom appartient maintenant a Vivendi avec 53% des parts

Oui mais sa reste une société marocaine même si son capital appartient à qq1 d'autre !

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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 19:45

maroc telecom commence a se faire bouffer par wana,meme pour internet avec le wifi ,iam n'a plus le monopole,les particuliers resilient leur adsl au profit de wana et son offre a 700 dh le modem plus la recharge a 150 dh par mois comme un portable prepayé,on est libre de recharger quand on veut,une journée ou un mois,seul les cyber et les ste restent chez iam ainsi que pour le fixe

dans mon entourage,tout le monde a couper le fixe et internet de maroc telecom,c'est avec wana que l'etat va couler maroc telecom et peut etre la rachetera si vivendi veut la lui ceder
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 19:54

comme Auchan et ONA en 2007,apres le travail fait ils ont eté remercié a la marocaine Laughing
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MessageSujet: Re: Économie marocaine-Tome 1-   Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 20:06

altadis et la regie des tabacs,accor et les hotels en location,jet4you peut etre avalée par la ram,la ratp a casa avec mdina bus... la liste est longue Économie marocaine-Tome 1- - Page 22 Icon_big
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