Actualités Espagnoles

Rappel du premier message :

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L'superordinateur « Finis Terrae » obtient résoudre un problème avec 150 millions d'inconnues

SANTIAGO DE COMPOSTELA. - Le défi était, pour cet été, de faire un calcul de plus de 100 millions d'inconnues. ET il a été accompli. Des chercheurs des Universités Vigo et Estrémadure et techniciens du Centre Supercomputacion de la Galice (CESGA) ont battu un enregistrement mondial en résolvant un problème électromagnétique avec 150 millions d'inconnues,avec l'emploi de l'superordinateur « Finis Terrae ».

Avec cette réalisation, l'équipement inter-universitaire a dépassé la marque mondiale précédente,en pouvoir d'un groupe turc, située dans 85 millions d'inconnues, et maintiennent le défi pour parvenir à arriver aux 250 million les prochains hivers, a informé le CESGA.

L'application employée, HEMCUVE++ est le résultat d'un processus de développement continu de l'équipement investigateur durant l'année 1999, à travers un projet financé par Navantia.
Le centre galicien explique dans un communiqué que pour aborder cette simulation, on a utilisé « seulement » 64 des 142 moeuds dont dispose l'superordinateur, ce qui équivaut à 1.024 noyaux de de processus et de 5.4 Terabytes de mémoire RAM.

Les calculs ont été complétés dans 6 heures,dont 3.5 ont été employés « dans l'initiation de l'algorithme ».

Fernando Obelleiro, de l'Université de Vigo, indique dans le document que « le Finis Terrae est une machine superbe pour ce type de défi » et, « bien qu'il existe des machines plus puissantes, l'architecture du Finis Terrae est appropriée pour notre application ».

Bien qu'il s'agisse de recherche pratique, la résolution de problèmes électromagnétiques peut être appliquée dans la conception de grandes structures dotées de systèmes de radio, comme bateaux, avions et véhicules terrestres.

Obelleiro explique que, « quand tu construiras un bateau tu peux avoir des problèmes d'interférences entre les antennes que » et « construit il et voir ce qu'il passe il est très cher ; de là la simulation, qui permet de faire des conceptions virtuelles du bateau et d'observer aussi de manière simulée les réactions et les interactions entre ses différents éléments, comme celui les antennes et les radars ».

Cet enregistrement, indique le CESGA dans le communiqué, aussi ouvre la porte à l'application de l'électromagnétisme dans des domaines comme la biomédecine,la conception metamateriales ou du développement de radars de pénétration terrestre pour la détection de mines antipersonne ou structures géologiques dans le sous-sol.

http://www.elmundo.es/navegante/2008/08/12/tecnologia/1218555359.html

Seb a écrit:

Agouram a écrit:

Seb a écrit:

@Agouram
Tout d'abord, permet-moi de te souhaiter la bienvenue sur le forum
Note que les régions « riches » que tu cites représentent près de la moitié de la population espagnole il est donc normal que leur richesse globale soit supérieur à l’Andalousie, Extremadure -la Galice, ne peut être considérée sur le même pied car ayant rattrapé le retard qui la séparait de la moyenne nationale- Pour info, tu dois ajouter la Navarre, la Rioja et Baleares qui sont à l’heure actuelle les communautés autonomes les plus riches d’Espagne en terme /habitant. Contrairement à ce que tu dis plus haut, le transfert de richesse entre régions « riches et pauvres » est minimale en Espagne, il est d’autant plus minimale que la région est autonome.
Enfin une petite correction : il ne faut rien à l'Espagne pour parvenir dans le top 10 des économies mondiales puisqu’elle y est déjà.

Bonsoir et merci pour ton accueil.
Attention, on ne parle pas de transfert de richesses entre communautés, loin de là. On parle de valeurs ajoutés consolidées au niveau espagnol et non région par région. Valeur ajouté qui, de préférence, vient d'une activité productive à caractère marchand. Petit détail mais qui a une grande importance, lorsque tu trouves normal que la richesse est en corrélation avec avec le poids démographique, personnellement j'y vois une limite du tissus économique ou à tout le moins une économie pré-tertiaire. En suivant ta logique, le Luxembourg ou les pays bas devrait être des pays en difficulté du fait de leurs démographie. Or, C'est loin d'être le cas! d'où la non application de ce facteur quantitatif. Il y a des facteurs qualitatifs qui s'y prête mieux et dans le cas de l'Espagne il faut aussi y ajouter des facteurs structurelles.

Je veux bien te faire plaisir en disant qu'elle accèdera à la 10eme place un jour et je l'espère pour vous. mais la tache s'annonce ardu.

Bonjour ou bonsoir Agouram,

C'est pourtant ce que tu affirmes lorsque tu nous parles des valeurs ajoutées de régions qui représentent 21 millions de citoyens sur une population totale de 46 millions et qui, selon toi, peinent à tirer les wagons de régions à la traine. C'est comme si je te disais une évidence telle que l'Allemagne, la France la Grande Bretagne, l'Italie et l'Espagne sont les locomotives économiques de l'Europe, là nous sommes d'accord, elles le sont par leur poids économico-démographique et il en va de même pour ton exemple. La participation dans le PIB espagnol des régions Comunidad valenciana, Catalogne, Madrid et Euskadi représente 51% du PIB espagnol, tu avoueras qu'il y a pire en matière de disparité.



En citant ces régions je m'aperçois que tu es étranger à la réalité économique du pays, ce n'est pas un reproche loin de là, beaucoup d'espagnols le sont aussi, il faut dire que le pays a évolué très rapidement ces dernières décennies et on a vite fait de garder les vieux clichés d'une situation qui n'est plus. Pour preuve l'indice per capita de la région de Valence, que tu cites en exemple, est inférieur de 4 points à l'indice national (=100); les Balears, Cantabria, Aragon, Castilla y Leon, la Rioja, Navarre sont, pour certaines, très largement devant et par conséquent devraient être ajoutées à ta liste.



Tu parles de disparités entre les différentes croissances régionales or l'écart entre la plus dynamique -parmi lesquelles la Galice- et la moins n'était que de 0.7% (pour la période 2005-2007) 13 régions sur 17 n'ont, entre elles qu'un écart de 0.3, on ne peut dès lors parler de disparités flagrantes dans le contexte économico-régional espagnol.



Sais-tu combien de groupes commerciaux catalans ou basques se situent parmi les 20 premiers chiffres d'affaires espagnols ? Il faut remonter à la 20^ème place pour retrouver le groupe basque Eroski. Combien de caisses d'Epargne dans le ranking selon leurs actifs? Tu serais très étonné que constater que parmi les 20 premières près de la moitié sont andalouses, galiciennes ou de Castille.



Plus ou moins riches, il subsiste toujours dans tous les pays des différences économiques entre régions, le cas espagnol était flagrant il y a 20 et 30 ans mais aujourd'hui les écarts ne sont plus ce qu'ils étaient et l'économie n'est plus aussi dépendante d'une poignée de régions.



Quant à savoir si l'Espagne fait partie du top 10, un petite recherche sur le net devrait te convaincre ( cfr CIA World Factbook, World Bank, International Monetory Fund…)

Cordialement

@seb,
Tu argumentes à la manière d'un Jésuite !
Je te répondrais en détail plus tard.

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Juan Antonio Samaranch est mort

L'ex-président du Comité international olympique (CIO), l'Espagnol Juan Antonio Samaranch, 89 ans, est décédé aujourd'hui à Barcelone, ont annoncé plusieurs médias espagnols.
L'AFP n'a pu immédiatement obtenir confirmation du décès de M. Samaranch, hospitalisé à la clinique Quiron de Barcelone, qui a notamment été annoncé par la radio Cadena Ser et les journaux catalans El Periodico et La Vanguardia.
Quelques minutes plus tôt, la clinique Quiron avait publié un communiqué annonçant que M. Samaranch se trouvait dans "un état de choc irréversible" et que sa situation était "critique".

Enquête sur les disparus du franquisme

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A plus de soixante-dix ans de distance, la justice espagnole pourra-t-elle faire la lumière sur les exactions du régime franquiste ? La polémique a rebondi, lundi 1^er septembre, après la décision du juge Baltasar Garzon, de l'Audience nationale, la plus haute juridiction pénale espagnole, d'engager une demande d'information sur le sort des dizaines de milliers de personnes disparues pendant la guerre civile (1936-1939) et sous la dictature du général Franco (1939-1975).

Par cette initiative, le magistrat rendu célèbre par son instruction contre l'ancien dictateur chilien, Augusto Pinochet, ouvre pour la première fois la voie à une enquête à grande échelle sur les quelque 30 000 disparus du franquisme. Afin d'établir un recensement de ces victimes, généralement jetées dans des fosses communes après leur exécution sommaire, M. Garzon a demandé à plusieurs administrations d'ouvrir leurs archives. Sa demande d'information préliminaire s'adresse principalement à la Conférence épiscopale espagnole pour qu'elle mette à sa disposition les registres de décès de ses 22 827 paroisses, ainsi qu'au Mémorial de la Valle de Los Caidos, dans la région de Madrid, où reposent dans des ossuaires des milliers de combattants des deux camps de la guerre civile.

"EMOUVANT"

La requête du juge a été saluée comme un pas "historique" par les organisations de victimes du franquisme. "Beaucoup travaillent depuis des années pour récupérer les restes de leurs proches et savoir ce qui leur est arrivé. Le fait d'entamer un processus conduisant l'Etat à reconnaître sa responsabilité est très émouvant", a commenté Emilio Silva, président de l'Association pour la récupération de la mémoire historique.
Une première étape avait été franchie le 25 juin, quand le juge Garzon avait accepté officiellement d'étudier les plaintes déposées par des familles et des associations représentant 1 200 cas documentés de disparitions. Champion des enquêtes sur les disparitions forcées en Amérique du Sud, le juge était systématiquement sollicité en Espagne depuis l'adoption de la loi sur la "mémoire historique" en octobre 2007. Sa démarche confirme qu'il privilégie la voie d'une cause globale, alors que le ministère public, au début de l'année, s'était prononcé pour que chaque cas de disparition soit instruit séparément.
Des associations de magistrats mettent en doute la méthode, estimant que ce n'est pas à la justice, mais à la politique, de s'attaquer au dossier. Le gouvernement socialiste de José Luis Rodriguez Zapatero approuve l'initiative, contrairement au chef de l'opposition, Mariano Rajoy, "pas partisan de rouvrir les plaies du passé". Plus polémique, le quotidien de droite El Mundo fustige "une initiative effrayante qui n'a aucune chance d'aboutir". Le journal met en avant la loi d'amnistie votée en octobre 1977 s'appliquant aux "crimes politiques" commis avant le 15 décembre 1976. Les associations de victimes font valoir qu'il s'agit de "crimes contre l'humanité". Jean-Jacques Bozonnet

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Ports: Les Espagnols reconsidèrent leur positionnement

· Ils préparent une loi pour riposter à Tanger Med et Nador West · Reconfiguration des ports en tant que noeuds des chaînes intermodales · Création de zones de service à valeur ajoutée LA croissance du volume des flux maritimes engendre une forte rivalité entre les zones portuaires. A telle enseigne que «les projets de ports fleurissent un peu partout sur les principales autoroutes maritimes», rappelle Fernando Gonzalez Laxe, président des ports de l’Etat d’Espagne lors de la 30e édition de la conférence de l’Ichca International limited. Mais cette rivalité bat son plein entre les ports marocains et ceux espagnols. D’ailleurs, côté espagnol, les autorités comptent bientôt adopter une loi pour reconfigurer les compétences des enceintes portuaires et passer à la vitesse supérieure. La tendance actuelle est de concevoir les ports en tant que noeuds essentiels des chaînes intermodales. Le but étant de faciliter le commerce maritime et attirer plus de clientèle et de flux. Sauf que cette nouvelle approche implique l’existence de trois conditions: d’abord l’amélioration continue des processus de service portuaire, par une bonne gestion des relations entre opérateurs (privés et publics). Ensuite, l’accélération et la facilitation des formalités administratives, aussi bien au niveau des procédures utilisées que pour les communications entre les différents acteurs. Enfin, l’installation d’une connectivité intermodale en développant des zones d’activités logistiques, des ports secs, des accès terrestres aux ports et des connexions ferroviaires. Autant de paramètres censés réduire davantage les délais d’attente des navires dans les ports. «Le port n’est plus aujourd’hui un lieu de passage, mais un lieu de création de richesses et de compétitivité via l’industrialisation des services portuaires», note Mohamed Jamal Benjelloun, DG de l’ANP. En revanche, cette conception suppose la création de zones de service à valeur ajoutée (groupage, dégroupage, étiquetage…). Des prestations à même de réduire les coûts de transport. Actuellement, le souci de réduire les coûts se traduit également par les multiples regroupements et fusions des compagnies maritimes. Ce qui permet de faire jouer des synergies, tirer profit des réseaux et des maillages de distribution et de stockage. Pour le DG de l’ANP, «la clé de la réussite réside dans la massification des flux qui doit passer par la création de plateformes». A rappeler à ce titre que les différentes études menées au Maroc avaient démontré que le coût de la logistique est l’un des principaux freins au développement du commerce extérieur. C’est dire l’importance du contrat-programme logistique dont l’ambition est de ramener le coût de 20 à 15% du PIB dans 5 ans. Le Maroc étant à la croisée des principales lignes maritimes (Est/Ouest, Nord/Sud), il est appelé à améliorer son offre pour renforcer sa position, notamment dans le Détroit. C’est l’objectif de la vision du port de Tanger Med II pour augmenter la capacité à 8,5 millions EVP à l’horizon 2015. L'économiste

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L'Espagne menacée à son tour par la tourmente financière
LE MONDE | 29.04.10 | 14h40 • Mis à jour le 29.04.10 | 14h49
Madrid Correspondant

Cette fois c'est sûr, le chômage a atteint son maximum, et l'Espagne voit le bout de la crise. Promis, juré. Selon le décompte ironique de la presse d'opposition, ce serait la dixième fois depuis le printemps 2008 que José Luis Rodriguez Zapatero se livre à ce pronostic optimiste. Et, jusque-là, faux.

Le chef du gouvernement espagnol a encore tenté, mercredi 28 avril, devant un Parlement sceptique, de désamorcer le risque de contagion né la veille avec la décision de Standard & Poor's (S & P) de dégrader la note souveraine de la Grèce et du Portugal. "Il y a des indices qui montrent que notre économie s'améliore et que nous commençons à laisser derrière nous la récession", a plaidé le dirigeant socialiste, qui voit dans l'augmentation des rentrées fiscales au premier trimestre (+ 0,8 %), dans la reprise des immatriculations d'automobiles ou des transactions immobilières autant de raisons d'espérer une prochaine sortie de la récession.

Mais il était trop tard pour convaincre les analystes de S & P. Le jour même, l'agence de notation financière a annoncé l'abaissement de la note de la dette à long terme de l'Espagne. Cette dégradation d'un échelon (de AA + à AA) était redoutée depuis décembre 2009, quand l'agence avait émis une perspective négative pour l'économie espagnole.

Contrairement au gouvernement Zapatero, les experts de S & P ne voient pas d'indice d'une reprise rapide. "Nous estimons que la croissance réelle du produit intérieur brut (PIB) sera en moyenne de 0,7 % par an sur 2010-2016, contre une prévision antérieure supérieure à 1 %", expliquent-ils dans un communiqué. Ces faibles perspectives de croissance, pendant une période plus longue que prévu, devraient peser sur les finances publiques, dont l'assainissement réclame, selon eux, de nouvelles mesures.

"Nous avons un plan très sérieux de consolidation fiscale et de réduction du déficit", a aussitôt réagi la numéro deux du gouvernement espagnol, Maria Teresa Fernandez de la Vega, appelant les marchés à "la tranquillité". Fin janvier, Madrid avait annoncé un plan d'économies de 50 milliards d'euros sur trois ans afin de ramener le déficit public de 11,2 % fin 2009 à 3 % en 2013. "Nous sommes en train de mettre en oeuvre toutes les mesures nécessaires pour tenir nos engagements", a ajouté la vice-présidente, évoquant en particulier les négociations en cours avec les partenaires sociaux pour réformer le marché du travail.

Sera-ce suffisant pour contenir la tourmente financière qui menace l'Espagne, après la Grèce et le Portugal ? A la Bourse de Madrid, qui perdait 1,5 % avant l'annonce de Standard & Poor's, l'indice Ibex-35 a clôturé la journée de mercredi en baisse de 3 %, soit un recul de plus de sept points en deux jours. Les deux principaux groupes bancaires du pays, Santander et BBVA, ont accusé des pertes respectivement de 4,18 % et 4,76 %. S & P a toutefois précisé que la dégradation de la note souveraine "n'aura pas d'impact immédiat sur l'évaluation des banques espagnoles".

Les deux autres grandes agences de notation, Fitch et Moody's, n'ont pas modifié leur bonne note (AAA) ni leur appréciation "stable" sur l'Espagne. Pour Fitch, toutefois, la perspective de faible croissance espagnole "induit un risque à moyen terme". La plupart des analystes considèrent la décision de Standard & Poor's comme "un sérieux signal d'alarme" en raison du poids de l'économie espagnole dans la zone euro, bien supérieur à celui de la Grèce et du Portugal. Il ne s'agit que d'une décision "conjoncturelle" qui serait passée "beaucoup plus inaperçue" s'il n'y avait pas eu le cas grec, a minimisé la ministre de l'économie, Elena Salgado. Pour elle, quand les problèmes d'Athènes auront été résolus, "les choses retrouveront leur juste mesure".

Les chiffres du chômage, qui seront rendus publics vendredi 30 avril, ne devraient cependant pas contribuer à rassurer sur l'état de l'économie espagnole. Selon les premières données, divulguées le 27 avril à la suite d'une erreur informatique sur le site de l'Institut national de la statistique (INE), le taux de chômage aurait atteint le niveau record de 20,05 % de la population active au premier trimestre 2010, avec un total de 4,612 millions de demandeurs d'emploi. Depuis fin décembre 2009, où le taux de chômage s'établissait à 18,8 %, 286 200 personnes supplémentaires auraient perdu leur emploi.

Jean-Jacques Bozonnet

http://www.lemonde.fr/europe/article/2010/04/29/l-espagne-menacee-a-son-tour-par-la-tourmente-financiere_1344643_3214.html

Le Roi Juan Carlos est opéré à Barcelone à cause d'une nodule au Poumon

L'Espagne va fortement réduire ses dépenses publiques

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MADRID (Reuters) -

Le gouvernement espagnol a annoncé une forte réduction des salaires et des investissements publics, provoquant la colère des syndicats par cette initiative visant à prouver aux marchés que l'Espagne peut maîtriser son déficit budgétaire.

Dans le cadre du plan de réduction des déficits le plus sévère depuis longtemps envisagé par le gouvernement socialiste, le Premier ministre José Luis Rodriguez Zapatero a indiqué que Madrid entendait économiser 15 milliards d'euros cette année et l'an prochain à travers notamment une baisse de six milliards d'euros des investissements publics.

"Nous devons faire un effort particulier, exceptionnel et extraordinaire pour réduire notre déficit public et nous devons le faire maintenant que notre économie commence à se redresser", a déclaré au Parlement José Luis Rodriguez Zapatero.

Le chef du gouvernement a aussi annoncé la suppression de 13.000 postes dans la fonction publique cette année. Les salaires des fonctionnaires seront réduits de 5% en 2010 et gelés en 2011.

Les syndicats, déjà mécontents du relèvement de l'âge de la retraite de 65 à 67 ans, ont réagi vivement.

"Ces mesures confirment que le gouvernement veut mettre en place un plan d'austérité sévère. C'est la fin de la ligne de conduite tenue jusqu'à maintenant par le Premier ministre et qui va entraîner un changement dans ses relations avec les syndicats", a prévenu Candido Mendez, chef de file de l'UGT, deuxième plus importante confédération syndicale espagnole.

LE MODÈLE IRLANDAIS

"Après la réunion de l'UE de ce week-end, il est devenu très clair que l'Espagne et le Portugal, et en particulier l'Espagne, devaient en faire davantage en matière de réduction des déficits", note José Garcia Zarate, économiste chez 4cast. "Ils ont donc annoncé cela, en se fondant sur le modèle irlandais."

Et l'économiste d'ajouter que les "réductions ont lieu là où ça fait mal", surtout sur les salaires des fonctionnaires.

Le gouvernement adoptera ces mesures vendredi, a ajouté José Luis Rodriguez Zapatero.

Les régions seront aussi mises à contribution. Il leur sera demandé d'économiser 1,2 milliard d'euros sur leurs budgets.

La pression s'est accrue sur le gouvernement espagnol durant la semaine après le coup de téléphone de Barack Obama mardi soir exhortant José Luis Rodriguez Zapatero à une attitude "résolue" dans ses efforts pour mettre en oeuvre ses réformes économiques.

Les mesures annoncées mercredi devraie nt en l'occurrence permettre de ramener le déficit budgétaire espagnol à 9,3% du produit intérieur brut (PIB) cette année, et à 6% en 2011, contre 11,2% en 2009. Ce déficit devrait ensuite être ramené à 3% du PIB d'ici 2013.

Ben May de Capital Economics prévient néanmoins que des mesures supplémentaires devraient être nécessaires, d'autant plus que "la croissance espagnole va être assez faible au cours des deux prochaines années".

En la matière, si l'économie espagnole a crû pour la première fois en près de deux ans au premier trimestre, le rythme de croissance affiché est faible et devrait probablement le rester.

Ben May estime toutefois, que par rapport à la Grèce, l'Espagne a davantage de temps pour préparer l'opinion publique sur ses mesures d'austérité difficiles.

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Le chef présumé de l'appareil militaire d'ETA arrêté



A gauche, Mikel Karrera Sarobe, chef présumé de l'ETA. A droite, Arkaitz Agirregabiria Del Barrio, suspect identifié du meurtre d'un policier français à Villiers-en-Bière, le 16 mars dernier. Crédits photo : ministère de l'Intérieur espagnol.

Mikel Karrera Sarobe et trois autres membres présumés de l'organisation séparatiste basque ont été interpellés ce jeudi matin à Bayonne. L'un d'entre eux aurait fait partie du commando impliqué dans une fusillade qui a entraîné la mort d'un policier français, en Seine-et-Marne, en mars.


Son surnom est «Ata», alias «canard» en basque. A 37 ans, dont treize ans de vie clandestine, l'Espagnol Mikel Karrera Sarobe aurait pris la direction d'ETA après l'arrestation d'Ibon Gogeascoechea Arronategui, fin février dans le nord-ouest de la France. Il faisait depuis l'objet d'un avis de recherche lancé par la police espagnole le 16 mars, mais n'avait pu être localisé.
Jeudi matin, aux environs de 6h15, sa cavale s'est arrêtée. Mikel Karrera Sarobe a été arrêté à Bayonne, dans les Pyrénées-Atlantiques, aux côtés de deux autres membres présumés de l'organisation, un homme et une femme. Il s'agit de d'Arkaitz Agirregabiria Del Barrio, 27 ans, soupçonné d'appartenir au commando etarra qui, le 16 mars, avait ouvert le feu sur une patrouille de police du commissariat de Dammarie-les-Lys, en Seine-et-Marne, lors d'un contrôle qui avait mal tourné. Un brigadier de 52 ans, Jean-Serge Nérin, avait été tué au cours de cette fusillade. Del Barrio est un haut responsable de l'appareil militaire de l'ETA, qualifié de violent et sanguinaire par les enquêteurs français. La femme arrêtée serait Maite Aranalde, une etarra qui avait pris la fuite à la suite d'une erreur judiciaire.
Les arrestations de ces trois personnes, toutes de nationalité espagnole, ont eu lieu dans une résidence, «tranquille» selon le voisinage qui n'a rien entendu, de trois étages dans le quartier Saint-Esprit, près de la gare, et à proximité de la maison d'arrêt de Bayonne. Les alentours ont immédiatement été bouclés par les forces de l'ordre après l'intervention. L'opération a été menée par la police judiciaire interrégionale de Bordeaux, le RAID ainsi que la Direction nationale antiterroriste (Dnat). Elle se serait déroulée «en douceur», selon une source proche de l'enquête. Un quatrième homme, Benoît Arramendi, membre du syndicat basque Lab, a été interpellé à Urrugne, ainsi que sa compagne Laëtitia Chevalier.
L'ETA «au bord de l'abîme»



Cet important coup de filet vient décapiter une organisation déjà affaiblie. Début mars, un rapport de la police espagnole, révélé par El Pais, avait désigné Mikel Kabikoitz Carrera comme le nouveau «chef militaire» de l'organisation clandestine. Décrit comme un «incapable» à la tête d'un groupe «au bord de l'abîme», Ata était selon les enquêteurs «entouré de terroristes inexpérimentés. Les commandos qu'il envoie en Espagne sont vite arrêtés ou abandonnent rapidement l'infrastructure». «La consommation de drogue et le faible engagement militant se sont généralisés parmi les jeunes d'ETA», ajoutaient alors les policiers espagnols. «Moins de dix terroristes, généralement cinq» participaient aux «réunions de la direction» d'ETA.
Considérée comme organisation terroriste par l'Union européenne, l'ETA est tenue pour responsable de la mort de 828 personnes en plus de 40 ans de violences dans la lutte pour l'indépendance du Pays basque. L'ETA, qui n'a pas commis d'attentat en Espagne depuis août 2009, avait admis le 4 avril, dans un communiqué publié dans le quotidien basque Gara, être l'auteur de la fusillade du 16 mars en région parisienne, mais avait fait porter la responsabilité des faits sur la police française, l'accusant d'être à l'origine des échanges de tirs.

lefigaro

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Espagne: Adoption du plan d’austérité 2010-2011

Le gouvernement socialiste espagnol a approuvé la semaine dernière un décret-loi compilant des mesures d’austérités additionnelles pour 2010 et 2011 d’un total de 15 milliards d’euros, dont une baisse de salaires pour les fonctionnaires, a annoncé sa vice-présidente. Ce décret-loi, qui s’inscrit dans le cadre d’un plan plus vaste de 50 milliards d’euros d’économies jusqu’en 2013, comporte plusieurs mesures particulièrement impopulaires. L’une des dispositions prévoit de réduire les salaires des fonctionnaires d’en moyenne 5% dès le mois de juin , puis de les geler en 2011. Une autre mesure impopulaire prévoit le gel de la revalorisation de certaines retraites en 2011 et une troisième supprime une prime à la naissance de 2.500 euros.

L'économiste

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PSA se tourne vers l'Espagne pour fabriquer ses futurs modèles d'entrée de gamme

L'usine de Vigo, dans le nord-ouest de l'Espagne, est déjà la première du groupe par les volumes. Elle devrait se voir confier deux nouveaux modèles d'entrée de gamme, pour Peugeot et Citroën. Il ne s'agit pas de vrais low cost, car le groupe ne tient pas à pousser le raisonnement aussi loin que Renault.



Les sites d'Europe de l'Est, de Russie ou de Turquie ne sont pas les seuls à être privilégiés par PSA Peugeot Citroën. Vigo, l'une des deux usines qu'il possède en Espagne, et qui produit déjà davantage de véhicules que les sites français comme Sochaux ou Mulhouse, doit faire l'objet d'investissements importants. De quoi garantir sa charge de travail pour les huit prochaines années, à en croire les représentants du personnel.

Premier projet d'envergure : de nouveaux modèles d'entrée de gamme, pour l'instant désignés sous les noms de code « M3 » et « M4 ». Officiellement, PSA n'a pas annoncé sa décision de confier ce double programme au site galicien, mais ses intentions semblent bien aller dans ce sens, selon le journal local « Faro de Vigo ». Il devrait logiquement s'agir d'un « cousinage » technique, avec une déclinaison pour Peugeot, et une autre réservée à Citroën, selon plusieurs sources.

Peu de choses ont filtré sur ces modèles encore relativement lointains (après 2012 ?), qui constitueront la réponse de PSA à la problématique du low cost, une voie ouverte depuis longtemps par la Logan et ses dérivés. Mais tant dans la conception technique du produit que dans sa localisation géographique, PSA se refuse à aller aussi loin que Renault, préférant parler d'entrée de gamme et non de vrai low cost.
Un bon compromis

Plutôt que de baser un tel programme en Roumanie ou au Maroc comme Renault, le site de Vigo, proche du port et qui a beaucoup serré ses coûts ces dernières années, semble présenter un bon compromis. A l'époque de l'ex-président Christian Streiff, PSA avait entamé une réflexion sur une possible fabrication de ses gammes économiques en Pologne ou en Turquie, mais la crise est passée par là et a certainement réduit l'enveloppe financière disponible. Or, en Europe occidentale, « Vigo est le site ayant la structure de coûts la moins élevée du groupe », dit-on au siège de l'entreprise.

Autre programme sur lequel l'usine pourra compter à moyen terme : la remplaçante du monospace compact Citroën C4 Picasso, commercialisé depuis la fin 2006. Comme la gamme actuelle, déjà assemblée à Vigo, ce programme appelé en interne « B78 » aura deux versions distinctes, de 5 et 7 places. Au total, PSA aurait prévu un investissement total de 1,06 miliard d'euros pour préparer l'arrivée de ces futurs véhicules. Par ailleurs, l'usine, qui fabrique les utilitaires légers Berlingo et Partner, est candidat à la future version électrique de ces modèles, si elle voit le jour pour contrer la Renault Kangoo.

Contrairement à l'usine britannique de Ryton, qui avait été sacrifiée au nom des surcapacités, Vigo a donc toute sa place dans le système industriel de PSA et fait l'objet de multiples adaptations. Le site de 66 hectares, le plus grand du groupe à l'étranger, était à l'origine une ancienne base Citroën. Il a fêté ses cinquante ans en 2008. En quelques années, ses effectifs sont passés de 9.700 à 7.500 salariés.

http://www.lesechos.fr/info/auto/020555731457-psa-se-tourne-vers-l-espagne-pour-fabriquer-ses-futurs-modeles-d-entree-de-gamme.htm

La crise grec avait commencé comme sa...

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Fitch abaisse la note de l'Espagne


MADRID (AP) — L'agence de notation Fitch Ratings a abaissé la note de l'Espagne de AAA à AA plus, estimant que les efforts du gouvernement pour réduire le déficit risquaient de peser sur la croissance.

Les mesures décidées par le gouvernement de José Luis Zapatero "vont matériellement réduire le taux de croissance de l'économie espagnole à moyen terme", estime Fitch Ratings. Une croissance réduite va produire moins de revenus fiscaux, souligne l'agence de notation.

Jeudi, le Parlement espagnol a approuvé avec une marge de seulement une voix les mesures d'austérité proposées par le gouvernement. Elles incluent un gel des retraites et une baisse des salaires des fonctionnaires. Le but est de réduire les dépenses publiques de 15 milliards d'euros cette année et la suivante. AP

nouvelobs.com

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CAF unveils Oaris high speed train concept



27 May 2010
Mock-up of the CAF Oaris high speed train concept.

SPAIN: A full-size mock-up of the Oaris high speed train concept being developed by CAF was unveiled at the International Rail Forum exhibition in Valencia on May 25.

The company has been leading one of the work streams in the CENIT programme to develop trains for operation at over 300 km/h, which is being funded by CDTI, the centre for industrial and technical development at Spain's Ministry of Science. This has drawn on experience with the 250 km/h trainsets supplied by CAF for operation in Spain and Turkey.

According to CAF, the Oaris platform is based around a distributed power concept, allowing sets to be formed with four, six or eight coaches. Each vehicle would have one motored bogie with two asynchronous three phase motors and VVVF inverter drive, allowing the installed power to be directly related to train length. A multi-system traction package would allow operation at 1·5 or 3 kV DC, 15 or 25 kV AC. An eight-car set would have two transformers feeding four inverter sets, with one inverter per supplying the two traction motors on that vehicle.

The aluminium bodyshells have been designed to meet all European TSIs and crashworthiness requirements whilst keeping weight to a minimum. Bogies would have helical spring primary suspensions and a pneumatic secondary suspension backed up by transverse and lateral linkages between bogie and car body. Traction motors would be frame-mounted to minimise unsprung weight.

CAF says the trains could be supplied for 1 435 or 1 668 mm gauge, with a gauge-convertible option also envisaged. Oaris is intended to accept a variety of signalling systems now in use across Europe, as well as ETCS.

A range of interior layouts is envisaged, with two or four doors per vehicle. A typical trainset would provide accommodation for two classes - business and tourist - plus a café area. There would be full accessibility for passengers with reduced mobility.

Driving cars would be 26·8 m long and the intermediate vehicles 24·8 m, giving a target length of 202 m for a typical eight-car formation. These could run in multiple to a maximum train length of 404 m. With 920 mm diameter wheels, the floor height would be 1 260 mm above rail.

http://www.railwaygazette.com/news/single-view/view/10/caf-unveils-oaris-high-speed-train-concept/browse/1.html

et les droits de liberté des basques et catalans ?
http://www.thinkspain.com/news-spain/14321/basque-separatist-parties-banned-from-9th-march-election
Basque separatist parties banned from election

tantan a écrit:

et les droits de liberté des basques et catalans ?
http://www.thinkspain.com/news-spain/14321/basque-separatist-parties-banned-from-9th-march-election
Basque separatist parties banned from election

Ici en Espagne, il existe divers partis nationalistes dans plusieurs régions et ils ont une représentation parlementaire au niveau de sa Communauté autonome et de l'état.En fait,le PNV ou CIU par exemple ont gouverné pendant beaucoup d'années en Euskadi ou Cataluña.N'est ce pas cela avoir des droits de liberté??

Ce qui n'est pas permis c'est l'existence de partis politiques qui défendent la violence et le terrorisme comme instrument politique(On a démontré que Batasuna c'est la branche politique d'ETA). En fait, cette sentence a été ratifiée par la Cour européenne des droits de l'homme de Strasbourg..

Citation :

La disolución de Batasuna por parte del Gobierno español no sólo fue legal, sino necesaria. Así lo considera El Tribunal de Derechos Humanos de Estrasburgo (THDH), con sede en Estrasburgo (Francia). En una sentencia conocida hoy, este tribunal afirma que la disolución de la formación abertzale vino dada por una "necesidad social imperiosa". Es más, el tribunal añade que la prohibición de este partido político es "necesaria en una sociedad democrática", especialmente para el "mantenimiento de la seguridad, la defensa del orden y la protección y los derechos del otro".

http://www.elpais.com/articulo/espana/Tribunal/Estrasburgo/ratifica/ilegalizacion/Batasuna/elpepuesp/20090630elpepunac_3/Tes

Voici l'arrêt de la Cour de Strasbourg...(PDF)

http://www.elpais.com/elpaismedia/ultimahora/media/200906/30/espana/20090630elpepunac_1_Pes_PDF.pdf

quelques membres seulement sont suspectés d'avoir des relations avec l'eta, et l'eta est un groupe de libération du peuple basque qui prend les armes comme n'importe quel groupe résistant

tantan a écrit:

quelques membres seulement sont suspectés d'avoir des relations avec l'eta, et l'eta est un groupe de libération du peuple basque qui prend les armes comme n'importe quel groupe résistant

Comme le Polisario ??

Dr.Watson a écrit:

tantan a écrit:

quelques membres seulement sont suspectés d'avoir des relations avec l'eta, et l'eta est un groupe de libération du peuple basque qui prend les armes comme n'importe quel groupe résistant

Comme le Polisario ??

mon message a été déformé par un moderateur je maintiens (le sens à l'envers j'ai une réponse de watson batl)
oui tout comme les touaregs et kabyles et aqmi

je vois pas le probleme tu es le premier sur le forum à supporter les terroristes du polisario (commence à s'évaporer avec l'initiative autonomie), de mon coté je ferais de meme en supportant les terroristes de l'aqmi (qui se révolte contre le putsch), simple?

tantan a écrit:

Dr.Watson a écrit:

tantan a écrit:

quelques membres seulement sont suspectés d'avoir des relations avec l'eta, et l'eta est un groupe de libération du peuple basque qui prend les armes comme n'importe quel groupe résistant

Comme le Polisario ??

Non, mais tout comme les touaregs et kabyles et aqmi

T'inquiète pas, je m'en fou moi de cette histoire
C'est juste pour te mettre le dos au mur parceque tu passe ton temps a t'occuper de la brindille dans l'oeil du voisin.

tantan a écrit:

quelques membres seulement sont suspectés d'avoir des relations avec l'eta, et l'eta est un groupe de libération du peuple basque qui prend les armes comme n'importe quel groupe résistant

Non,l'ETA est UN GROUPE TERRORISTE qu'à long de son histoire n'a pas douté en assassiner à des hommes, femmes et enfants...

En plus,je te recommande la lecture complète de l'arrêt de la Cour de Strasbourg que j'ai laissé plus haut.

Par ailleurs,Tan Tan arrêt de dire des conneries!!!

On a démontré pendant les 2 dernières décennies, la déviation de fonds reçus de l'état par le fait d'être un parti politique, depuis Batasuna vers l'ETA.En divers actes de cette formation "politique", on a fait apologie du terrorisme. Beaucoup des membres d'ETA de la branche logistique et operationelle arrêtés en France et en Espagne pendant les dernières années avaient fait partie de la campagne électorale de Batasuna dans beaucoup des mairies basques pour les élections locales..etc.Par tout cela on a interdit l'existence de ce parti "politique" et ainsi nous a donné la raison la Cour européenne des droits de l'homme de Strasbourg..Par conséquent il n'y a rien de plus à dire sur ce sujet...

voila en gros à quoi je voulais en venir, le polisario a aussi assassiner des hommes, femmes et enfants marocains... (j'ai un proche menuisier qui a été tué il y a des décennies par le polisario à laayoune avant le chassement des poliz dehors).. comment l'espagne peut supporter ces gens (je parle de l'autre face biensur avec l'algerie pour profiter tranquilement du gaz)
DESOLE pour mes propos précédents
stratégie mettre tout dans la même ligne et réattaquer lol

España se mantiene por encima de Italia y de la media de la Unión Europea en riqueza por habitante.


EXPANSION.COM



21.06.2010
0




El producto interior bruto (PIB) por habitante
según el poder de paridad de compra de la economía española se situó en
2009, pese a la crisis económica y financiera, en el 103% de la media
de la Unión Europea, al mismo nivel que el año anterior, y continuó por
delante del de Italia, que se quedó en el 102% de la media, según los
datos preliminares difundidos por la oficina estadística comunitaria,
Eurostat.
















España se mantuvo así en el duodécimo puesto de la UE en riqueza por
habitante, por detrás, entre otros, de Alemania (116%), Bélgica (115%),
Finlandia (110%) y Francia (107%). No obstante, el PIB per cápita
español supera al de Chipre (98%), Grecia (95%), Eslovenia (86%),
República Checa (80%), Malta o Portugal (78% cada uno).
Hay que aclarar que este ranking de riqueza sigue el criterio del
indicador de paridad de poder de compra (PPC). La PPC intenta medir el
poder adquisitivo real teniendo en cuenta el nivel de precios de cada
país. En este caso, cuánto puede comprar con un euro un italiano, por
ejemplo, y cuánto un español. Esto es importante porque sin tener en
cuenta este matiz el orden de la lista cambia y los italianos salen
mejor parados.
Desde el principio de la crisis económica y financiera, el PIB per
cápita de España ha retrocedido desde el máximo del 105% registrado en
2007 hasta el 103% en 2008, cifra en la que de momento se ha
estabilizado. Esta caída ha frenado la convergencia con Francia (que no
obstante también ha caído del 109% al 107%) y con Alemania (que se ha
mantenido estable en el 116%).
El país que más riqueza por habitante ha perdido durante la crisis
es Irlanda, que ha pasado del 148% en 2007 al 131% en 2009. Pese a
ello, sigue en segunda posición del ranking de la UE, sólo superada por
Luxemburgo, cuyo PIB alcanza el 268% de la media. A continuación se
sitúan Países Bajos (130%), Austria (124%), Suecia (120%) y Dinamarca y
Reino Unido (117%).
Los países más pobres de la UE son Bulgaria (41% de la riqueza por
habitante media de la UE), Rumanía (45%), Letonia (49%), Lituania
(53%), Polonia (61%), Estonia (62%), Hungría (63%) y Eslovaquia (72%).----------------------------------------------------------------------------------------------
L'Espagne est maintenue au-dessus de l'Italie et de la moyenne de
l'Union Européenne en richesse par habitant *
Ces nouvelles paraissent intéressantes ?
21.06.2010 0
Le produit intérieur brut (PIB) par habitant selon le pouvoir de parité
d'achat de l'économie espagnole s'est situé en 2009, malgré la crise
économique et financière, dans 103% de la moyenne de l'Union
Européenne, au même niveau qui l'année précédente, et a continué devant
celui de l'Italie, qui est restée dans 102% de la moyenne, selon les
données préliminaires diffusées par le bureau statistique
communautaire, EUROSTAT.
L'Espagne a été ainsi maintenue dans le douzième poste de l'UE en
richesse par habitant, par derrière, entre autres, de l'Allemagne
(116%), la Belgique (115%), la Finlande (110%) et la France (107%).
Cependant, le PIB par habitant espagnol dépasse à à celui du Chypre
(98%), la Grèce (95%), la Slovénie (86%), République tchèque (80%), la
Malte ou le Portugal (78% chacun).
Il faut clarifier que ce hit-parade de richesse suit le critère de
l'indicateur de parité de de pouvoir d'achat (PPC). La PPC essaye de
mesurer le pouvoir d'achat réel en tenant compte du niveau de prix de
chaque pays. Dans ce cas, combien peut acheter avec un EURO un italien,
par exemple, et combien un Espagnol. Ceci est important parce que sans
tenir compte de cette ombre l'ordre de la liste change et ce qui est
italiens salent mieux des chômeurs.
Dès le début de la crise économique et financière, le PIB par habitant
de l'Espagne a reculé depuis le maximum de de 105% enregistré en 2007
jusqu'à 103% en 2008, chiffre dans celle qui pour l'instant s'est
stabilisée. Cette chute a freiné la convergence avec la France (qui est
aussi tombée cependant de de 109% à à 107%) et avec l'Allemagne (qu'il
a été maintenu stable dans 116%).
Le pays que davantage de richesse par habitant a perdu pendant la crise
est l'Irlande, qui est passée de de 148% en 2007 à à 131% en 2009.
Malgré cela, il suit en seconde position du hit-parade de l'UE,
seulement dépassée par le Luxembourg, dont le PIB atteint 268% de la
moyenne. Ensuite se on les Pays-Bas (130%), l'Autriche (124%), la Suède
(120%) et le Danemark et le Royaume-Uni (117%).
Les pays les plus pauvres que l'UE sont la Bulgarie (41% de la richesse
par habitant moyen de l'UE), la Roumanie (45%), la Lettonie (49%), la
Lituanie (53%), la Pologne (61%), l'Estonie (62%), la Hongrie (63%) et
la Slovaquie (72%).

Espagne : fauchés par un train à grande vitesse

Citation :

Au moins 12 personnes ont été tuées et 13 autres blessées dans la nuit, fauchées sur les rails par un train à grande vitesse dans la localité catalane de Castelldefels, dans le nord-est de l'Espagne.

Citation :

L’Espagne somme Google de lui restituer « son » ilot Perejil
Google subit la pression du gouvernement espagnol afin de corriger
l'erreur attribuant l'îlot Leïla (islote de Perejil en espagnol) et
d’autres territoires sous souveraineté espagnole au Maroc. Le ministère
espagnol des Affaires étrangères a demandé à l’entreprise américaine
Google de modifier les informations et de « restituer » à l’Espagne tous
ses territoires.
Il y a quelques mois, un site internet avait révélé que le géant
américain de l’internet avait rattaché les « plazas
de soberanía », situés sur les côtes marocaines ou dans la
Méditerranée. La presse ibérique a largement commenté cette affaire, ce
qui a fini par pousser le département dirigé par Miguel Angel Moratinos,
à demander à Google, de corriger les informations concernant plusieurs
îles. Concrètement, il s'agit des îles Zaffarines ou Jaafarines (Islas
Chafarinas en espagnol), le Rocher d'Al-Hoceima, la presqu’île de Peñón
de Vélez de la Gomera appelé Rocher de Badis et le très controversé
îlot Leila (îlot Perejil), qui sont espagnols selon Madrid
Auparavant, Google Espagne avait déjà
contacté le ministère des Affaires étrangères pour lui faire part de sa
volonté de remédier à la situation. En effet, le siège aux Etats-Unis a
été saisi pour rectifier les données du service de cartographie et
d'imagerie par satellite (Google Maps et Google Earth), sur ces
territoires sous souveraineté espagnole. Un porte-parole en Espagne du
moteur de recherche a déclaré, tout en reconnaissant leur tort, que
l’information fournie par Google Earth et Maps « est composée d'une
série de données émanant d'une tierce partie », ayant des contrats avec
Google. Autrement dit, des sociétés sous traitantes.

Google travaille « de manière intensive
et continue afin de rendre cette information aussi précise que
possible » pour les utilisateurs, mais il peut « y avoir des erreurs
occasionnelles » a précise le même porte-parole.

Les récentes prises de position
marocaines ont sans doute donné des idées à l’exécutif espagnol de faire
pression sur Google. Pour rappel, le 17 mai dernier, le premier
ministre Abbas El Fassi avait appelé devant le Parlement, à « mettre fin
à l’occupation de Sebta et Melilla » par le dialogue. Quelques semaines
plus tard, le ministre de l’Économie et des Finances, Salaheddine
Mezouar, en visite à Madrid le 28 juin, a confié dans un entretien au
journal en ligne l’Expansion.com que « les Espagnols savent que Sebta et
Melilla sont deux villes marocaines ». Il a ajouté qu’il souhaite
l’ouverture de négociations « tranquilles et sereines », afin de
rétablir cette vérité « à la fois géographique et historique ».

Le Maroc et l'Espagne revendiquent tous
deux des territoires sur les côtes marocaines et dans la Méditerranée.
L’îlot Leïla/Perejil est devenu le plus célèbre de ces territoires,
après une crise de dix jours ayant opposé les deux Royaumes en juillet
2002. Les deux voisins avaient fini par trouver un accord autour de
l’îlot qui prévoyait le retour au statu quo antérieur à la crise.

Ibrahima Koné


Copyright Yabiladi.com

Citation :

Espagne: Obama en vacances à Marbella début août

Monde - Europe 20:46

Le président américain Barack Obama et sa famille vont venir en vacances début août dans un hôtel de la station balnéaire de Marbella (sud de l'Espagne), ont affirmé dimanche soir les quotidiens espagnols El Pais et El Mundo sur leur site internet.
M. Obama, dont ce serait la première visite en Espagne depuis son accession à la présidence, profiterait de l'occasion pour aller saluer le roi Juan Carlos à Majorque (Iles Baléares), ont précisé ces médias, citant des sources diplomatiques. Le séjour du président américain à Marbella, station balnéaire huppée de la Costa del Sol se déroulerait du 4 au 8 août, a précisé El Mundo, selon qui seules son épouse Michelle et ses deux filles devaient à l'origine se rendre. L'AFP na pu obtenir dimanche confirmation de cette visite de source gouvernementale espagnole. (COC)

http://www.rtlinfo.be/info/monde/europe/725946/espagne-obama-en-vacances-a-marbella-debut-aout

Citation :

Le gouvernement espagnol a indiqué que l'Espagne continuerait à ne pas reconnaître l'indépendance du Kosovo, malgré la décision rendue par la CIJ. La Slovaquie, la Roumanie, la Grèce et Chypre sont les 4 autres pays de l'UE à garder cette position.



AFP - Le gouvernement espagnol a indiqué vendredi qu'il "maintenait sa position" sur le Kosovo, continuant à ne pas reconnaître son indépendance, après l'avis de la Cour internationale de Justice (CIJ).

"Nous maintenons notre position de ne pas reconnaître (l'indépendance du Kosovo, ndlr) et nous continuons à appeler à un accord entre parties et au dialogue", a indiqué la numéro deux du gouvernement, Maria Teresa Fernandez de la Vega, à Madrid lors d'une conférence de presse.

La CIJ a estimé jeudi, dans un avis consultatif, que la déclaration d'indépendance du Kosovo, proclamée le 17 février 2008, n'avait pas violé le droit international.

Peu après cette annonce de la cour de La Haye, la diplomatie espagnole avait simplement indiqué que l'Espagne "respectait" cet avis.

L'Espagne est l'un des cinq pays de l'Union européenne, avec la Slovaquie, la Roumanie, la Grèce et Chypre, à ne pas avoir reconnu l'indépendance du Kosovo alors que le pays est lui-même confronté aux tentations indépendantistes de deux de ses régions: Pays basque (nord) et Catalogne (nord-est).

Mme de la Vega a nié que la position espagnole soit une réaction aux nationalismes basque et catalan. "Je pense qu'il est assez irréaliste de comparer l'Espagne avec les Balkans", a-t-elle déclaré à l'issue du Conseil des ministres.