Forces armées grecques/Hellenic Armed Forces

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  Greece to take over F-35As initially intended for Turkey

Aviation Defense News October 2020 aerospace air force industry
Posted On  Wednesday, 28 October 2020 12:34  

Greek Prime Minister Kyriakos Mitsotakis said on 27 Oct. that Greece will take different measures regarding the defense of its national territory,
air space and territorial waters. The purchase of 20 F-35A stealth fighters initially intended for the Turkish Air Force is part of the program.



May 2018. First flight of the first F-35A Lightning II originally manufactured for the Turkish Air Force (Picture source: Lockheed Martin)


Greece will take additional measures to further prevent illegal immigration, for the further defensive shielding of its Aegean islands with new missile systems, to strengthen the defense in the Aegean and Thrace, on land, air and sea.

In addition to the protection of its borders in terms of personnel, Greece is proceeding at a rapid pace within 2021 and 2022 to the strengthening of its Armed Forces with equipment. During U.S. State Secreary Mike Pompeo's recent visit, the supply of 20 Lockheed Martin F-35A Lightning II fighters was launched, 6 of which will be purchased on smart loan in 2012 and together with the first 6 MBDA Rafale fighters will be the firepower of the Greek Air Force. The F-35As were initially intended for the Turkish Air Force, a program the U.S. scrapped following the purchase of Russian-made S-400 Triumf air defense systems by Turkey.

Moreover, the U.S are reportedly considering the possible transfer of its Turkish air base of Incirlik to Crete, the Greek newspaper Estia reports in its 28 Octobre edition. The issue is described as "early" but is already being formally discussed in the U.S. Senate. In a few days, the annual defense agreement between Greece and the USA will also expire. The Government will propose to the Parliament its five-year extension.

In addition, the new Greek armament program includes the purchase of Spike antitank missiles from Israel along with drones and anti-drones, as well as the construction of four frigates and possibly the activation of the option for the construction of 2 new 214 submarines from Germany, Estia concludes.


https://www.airrecognition.com/index.php/news/defense-aviation-news/2020/october/6649-greece-to-take-over-f-35as-initially-destined-to-turkey.html    

Et voila .... je suis désolé mais la Turaf n'aura plus du tout l'avantage d'ici 2025 ...

si erdogan avait temporisé qu une année pour le S400, la Turquie aurait eu ses F-35 et avec , un puissant levier de negociation/pression,

Plus des Patriot PAC 3 NG.. bref je serais turc je serais devenu fou..🤯

Mais le S400 n'est pas négligeable, c'est une bête ce monstre..il peut descendre bien des F35 et autres ce missile.
Des avions furtif la Tuaf a déjà un projet de construction trouver un bon partenaire (s) pour produire l'appareil ou l'option Su-57..
Non ils n'ont rien perdu..

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Exit les FDI françaises : La marine grecque s’oriente vers l’achat de quatre frégates américaines

par Laurent Lagneau · 9 novembre 2020



Les négociations commerciales ne sont jamais gagnées d’avance, même si on pense que le plus difficile a été fait. Ainsi en est-il pour les deux Frégates de défense et d’intervention [FDI ou Belh@rra] que la France espérait vendre à la Grèce. Il y a un peu plus d’un an, le ministre grec de la Défense, Nikos Panagiotopoulos, avait signé une lettre d’intention en vue d’acquérir deux navires de ce type, conçus par Naval Group. Seulement, il avait aussi pris le soin de préciser qu’il y avait encore beaucoup de chemin à faire avant une commande ferme et définitive.

En effet, il fut rapporté que la marine grecque voulait disposer d’une capacité de frappe vers la terre… Ce que la FDI ne permettait pas puisqu’il n’était initialement pas prévu de la doter de missiles de croisière navals [MdCN]. Et l’intégration d’une telle capacité sur ce type de frégate n’était pas financée, même si cela aurait pu intéresser la Marine nationale.

D’une longueur de 122 mètres pour une largeur de 18 mètres et un déplacement de 4.500 tonnes, la Belh@rra est dotée du nouveau radar Seafire ainsi que d’une suite de guerre électronique développés par Thales. Bénéficiant d’une architecture numérique lui permettant de s’adapter en continu aux évolutions technologiques, elle est armée de missiles anti-navires Exocet MM40 B3C, de missiles antiaériens Aster 15 et Aster 30, de torpilles anti-sous-marines MU90 et de systèmes d’artillerie.

Cela étant l’encre de cette lettre d’intention n’était pas encore sèche que Lockheed-Martin lança immédiatement les grandes manoeuvres pour souffler ce marché à Naval Group. En novembre 2019, la presse grecque rapporta que groupe américain était prêt à vendre, pour moins de deux milliards d’euros, quatre frégates de type MMSC [multi-mission surface combatants], soit des navires dérivés de la classe Freedom développée dans le cadre du programme « Littoral Combat Ship » [LCS] de l’US Navy. Le tout en laissant miroiter des facilités de paiement via le dispositif dit des Foreign Military Sales [FMS].

En septembre, en pleine crise avec la Turquie en Méditerranée orientale, le Premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, confirma la cible de quatre frégates, mais sans pour autant en préciser le modèle. Ceux qui, parmi les plus optimistes en France, espéraient qu’il s’agirait de quatre frégates Belh@rra, pourraient bien en être pour leurs frais. Car ce n’est a priori pas le choix de la marine grecque.

En effet, le quotidien I Kathimeriní a confirmé, le 6 novembre, des bruits de coursive qui circulaient depuis quelques temps, à savoir qu’Athènes privilégiait un accord intergouvernemental pour se procurer quatre frégates de type MMSC, avec en prime une mise en niveau des quatre navires de la classe MEKO et une participation de chantiers navals grec au projet américain FFG[X], lequel vise à construire dix frégates de type « Constellation », sur la base du design des FREMM italienne. Pour rappel, le chantier naval Fincantieri Marinette Marine a été retenu pour ce programme.

« Le plan envisage essentiellement la mise sur pied d’une force navale d’ici 2030, qui, avec la livraison d’hélicoptères anti-sous-marins MH-60R, aura une orientation principalement américaine », souligne I Kathimeriní.

Pour rappel, l’administration Trump a approuvé, en juillet 2019, la vente potentielle à la Grèce de 7 hélicoptères MH-60 Seahawk [produits par Sikorsky, filiale de Lockheed-Martin], pour un montant maximal de 600 millions de dollars. Or, ces appareils sont évidemment naturellement « compatibles » avec les frégates de type MMSC, ce qui ne va pas forcément de soi avec les Belh@rra, taillées pour accueillir des NH-90 NFH.

Cela étant, la marine grecque veut aller vite pour moderniser ses capacités. Or, la partie américaine a assuré que les MMSC seraient livrés deux ans avant les frégates françaises, pourtant plus évoluées sur le plan technologique.

Pour rappel, affichant un déplacement de 3.600 tonnes pour 118 mètres de long et 17,5 mètres de large, une frégate de type MMSC peut effectuer plusieurs profils de missions différents, de la défense aérienne à la guerre électronique, en passant par la lutte anti-sous-marine et anti-surface. Elle est dotée de systèmes de lancement vertical Mk41, de missiles RIM-162 [Evolved Sea Sparrow Missiles, ESSM] et AGM-84 Harpoon ainsi que de tubes lance-torpilles. En 2015, l’Arabie Saoudite en a commandé quatre exemplaires, pour un prix annoncé à 11 milliards de dollars, armement et munitions compris

http://www.opex360.com/2020/11/09/exit-les-fdi-francaises-la-marine-grecque-soriente-vers-lachat-de-quatre-fregates-americaines/

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17/11/2020

La Grèce a officialisé une commande de F-35 !



Athènes a officialisé à Washington une demande d’achat immédiate concernant l’avion de combat Lockheed-Martin F-35A de cinquième génération. La lettre officielle de demande (LOR) du ministère de la Défense a été envoyée au gouvernement américain au début du mois de novembre.

Livraison rapide :

Selon la presse du pays, « La décision d’inscrire la Grèce dans le programme de combat d’attaque interarmées F-35 sera basée sur divers facteurs, tels que le calendrier de livraison des avions, le plan de remboursement, la configuration de l’avion et une combinaison possible pour obtenir un total de 18 à 24 appareils », le tout ponctué de l’intérêt du ministère grec de la Défense nationale. De plus. On apprend que la Grèce a également fait mention pour que les livraisons puissent débuter très rapidement, soit en 2021 déjà. Le directeur général des équipements et investissements de défense, invite les responsables américains à se rendre en Grèce le plus tôt possible afin que les discussions sur les 18 à 24 avions de combat F-35 puissent être engagées.

Une nouvelle structure pour l’armée grecque :

Les provocations d’Ankara de ces dernières semaines ont finalement eu un impact salutaire pour l’avenir de la Défense grecque, en gestation depuis quelques années. Athènes se voit maintenant soutenue par la France et les USA avec une certaine vigueur, ce qui accélère la mise en place de la nouvelle structure de commandement et des forces des forces armées 2020-2034. La liste des systèmes d'armes que la Défense grecque devra désormais se procurer comprend la modernisation des systèmes de défense aérienne. Le renforcement avec des avions de chasse de 5e génération. Le gouvernement et le ministère de la Défense s'orientent vers l'achat d'au moins un escadron F-35. Mise à niveau des 4 frégates de type MEKO. Renforcement avec des véhicules de combat blindés pour l'armée. Prise en charge des véhicules aériens sans pilote. Mise en place d’un plan d'opérations des forces spéciales sous une administration et un esprit unifié.

Photo : F-35A au décollage @ Ivan Voukadinov

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2020/11/17/la-grece-a-officialise-une-commande-de-f-35 -870078.html

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Lockheed Martin: MMSC To Benefit Greek Economy And Hellenic Navy

Lockheed Martin presented the opportunities for Greece from the choice of the Multi-Mission Surface Combatant (MMSC) ship during a webinar presented on November 19th by Joe DePietro, VP of Small Combatants and Ship Systems.



According to Lockheed Martin there are two main opportunities arising from the selection of the MMSC ships from Greece. The first is the industrial work that will be carried out from local shipyards and their supply chain, which will strengthen its economy while creating much needed work positions. The second opportunity will be for the Hellenic Navy (HN) which will benefit from the technical characteristics of the platform and the company’s long experience in the program, as Littoral Combat Ships (LCS) are still under production for the US Navy.

" The Littoral Combat Ship program at this point is now is getting into its 17th year […] Some of the most capable ships are coming out today off the line hot and obviously the MMSC [ed. note: For Saudi Arabia] is already in production in Marinette with many modules of the first ship already built. This is a system that has evolved over time, its capability is increase. […]
I really look forward to go to Greece as soon as possible in order to see the shipyards and see the existing fleet and have those operational analysis discussions with the Hellenic Navy because I am just excited to deliver that capability as a US sailor who served on destroyers and cruisers and who has got many miles under my belt riding the Littoral Combat Ship. I really look forward to the partnership with the Hellenic Navy and the opportunity to build these ships in country if we were still fortunate to have it." Joe DePietro - Lockheed Martin Vice President & General Manager-Small Combatants and Ship Systems

MMSC for Hellenic Navy



With regards to the design of the ship, Lockheed Martin stressed the fact that it is based on a modular concept which allows the company to reconfigure it depending on the end-user’s requirements. The design also offers a shallow draft, which could be an advantage for the Hellenic Navy operations in the Aegean Sea and its numerous islands, which the crews of the much smaller fast-attack craft use perfectly to hide from enemy electronic surveillance. The drawback however, is that such a shallow draft can impact the ship’ stability in bad weather conditions.

An important information that was revealed was the displacement of the vessels. While the Freedom-class LCS variant has a displacement of 3,500 tons, the MMSC displaces 4,200 tons (full load for both). The exact displacement of the HN vessels will be known once the final configuration is finalized.

The modularity of the vessels also extends to their weapons configuration. The end-user can select from a different set of weapons that may include a larger caliber gun, additional Mk41 vertical launch systems (VLS) and missiles of the customer’s choice that can include the Kongsberg NSM, the Raytheon Harpoon, the MBDA Exocet and even a vertically launched anti-submarine rockets (ASROC).

Lack of hull mounted sonar



The lack of a hull sonar might be a source of consideration for the HN. All of its main surface combatants currently in the fleet are equipped with such a system. Lockheed Martin firmly believes that the combination of the MMSC’s Variable-Depth Sonar (VDS) and the MH-60R helicopter’s dipping sonar has a lot more to offer in terms of capabilities. Naval News understands however that there are some drawbacks with this combination: Deploying those assets, especially in the Aegean environment of operations may pose a challenge depending on the weather conditions. The lack of a hull sonar also limits the ability to maintain a permanent (24/7) passive sonar watch while deployed.

In case that this is not a prohibiting factor and the HN decides to move forward with the MMSC, it would be a significant turning point on how the navy will conduct its operations in the future. At the same time, it raises some questions on whether the HN will try to compensate for the lack of a hull sonar in other ways, such as the use of Unmanned Surface Vessels (USV) with ASW capabilities or through combined operations with other types of platforms. That creates an opportunity for the selection of an additional type of frigate in the future.

Hellenic Navy needs

t is not clear yet what the HN is looking for in the new vessels, as it moved from the discussions for French FDI frigates to the MMSC, all under an urgent requirement for new units. The first one would address the need for an area air defense platform with secondary “strategic” land attack roles (thanks to MBDA’s Naval Cruise Missile). However, with the Greek Prime Minister’s announcements in September, the discussions moved to a multi-mission platform showing the underlying political drivers. Moreover, it is not clear whether the HN would be interested in creating a main surface units force structure that will combine platforms of different characteristics, besides the MEKO-200HN, or whether it would continue to invest in the MMSC design with additional orders.

When it comes to the urgency in the need to add new vessels in the current fleet, while withdrawing older ships, Naval News would expect to see it being addressed with the induction of two vessels that will form part of the interim solution. That is a topic currently under consideration between the two governments.

The Hellenic Navy is currently involved with an ambitious and wide ranging modernization plan. The plan, approved by the Greek parliament in May this year, consists in:

The acquisition of four MH-60R maritime helicopters
The upgrade of 3 existing S-70B helicopters
The procurement of 36 heavyweight torpedoes
The Mid-Life Update (MLU) the four MEKO 200HN frigates
The Update of the four Type 214 submarine (with UGM-84 Sub-Harpoon missiles and torpedo decoys from Leonardo)
The plan is also set to include the procurement of 2 (+2 options) new generation frigates and possibly two additional Super Vita type FACM.

Regarding the new generation frigates, France and Greece were involved in exclusive negotiations for a while, for FDI type frigates. However, despite the signing of an LOI, it appears now that Greece is keeping its options open and is considering several designs. Local sources told us that the designs likely being considered are:

Lockheed Martin with the MMSC
Naval Group with the FDI
TKMS with the MEKO A200
Damen with an unspecified design
Babcock with the Type 31
The procurement process doesn’t seem to be a “classic open tender” but rather government to government (G to G) discussions with each party. This was confirmed to Naval News this week from French sources familiar with the matter.

Advantages of the US proposal



As already mentioned, the offer from the US provides some additional advantages. Besides the co-production with a local shipyard which will be the focus of a Lockheed Martin delegation visiting Greece in the coming few weeks, it also offers an integrated upgrade suite for the MEKO-200HN frigates. What Lockheed Martin pointed out was that the program would deliver a ship that will have increased commonality and support economies of scale with the MMSC in terms of integrated systems, training and user experience.

Moreover, the MMSC can tackle cybersecurity threats. It is a trend followed by many modern naval forces where edge computing has to be protected from enemy cyberattacks. That will be a new operational concept for the HN which operates legacy platforms.

EU threats to go to court

The final outcome of the discussions remains to be seen. Despite the news on Greek Media, on the alleged German consideration of taking Greece to court for potentially violating the European Union’s competition laws, Lockheed Martin’s position is that the MMSC deal is an FMS discussion which would not create any issues. However, as the four ships will only allow for the withdrawal of almost half of the Standard (Elli-class) frigates, there seem to be plenty of future of opportunities for competitors.

https://www.navalnews.com/naval-news/2020/11/lockheed-martin-mmsc-to-benefit-greek-economy-and-hellenic-navy/

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Barkhane : Une unité des forces spéciales grecques va rejoindre le groupement européen Takuba

par Laurent Lagneau · 25 novembre 2020



Sa capacité opérationnelle initiale ayant été prononcée en juillet, le groupe européen de forces spéciales « Takuba », intégré à la force Barkhane, a pris part à son premier engagement de grande ampleur trois mois plus tard, en accompagnant pendant plus de vingt jours une Unité légère de recherche et d’investigation [ULRI] malienne dans le Liptako, lors de l’opération Bourrasque.

Ce groupement Takuba doit être renforcé d’ici quelques semaines par des unités de forces spéciales fournies par la Suède et la République tchèque. L’Italie, qui ne faisait pourtant pas partie des dix pays ayant initialement soutenu cette initiative, a fait connaître sa disponibilité pour déployer dans le Sahel un contingent relativement important puisqu’il est question de 200 commandos et de 8 hélicoptères [4 NH-90 et 4 AH-129D Mangusta]. Et la Grèce s’apprêterait à en faire autant, dans une proportion plus modeste.

En effet, en juin, le ministre grec des Affaires étrangères, Nikos Dendias, avait indiqué que son pays était prêt à jouer un rôle plus actif en Afrique de l’Ouest, en évoquant une éventuelle participation au groupement Takuba ainsi que l’ouverture d’une ambassade au Sénégal. Depuis, les tensions en Méditerranée orientale avec la Turquie ont fait passer ce dossier au second plan.

Cependant, d’après le magazine spécialisé « Doureios » [Cheval de Troie], Athènes se prépare à envoyer une unité de ses forces spéciales au Mali, dans le cadre de l’initiative Takuba

« La participation grecque sera de petite taille et impliquera du personnel des forces spéciales qui viendront s’ajouter à la force opérationnelle Takuba formée par les Français », écrit Doureios.

Dès que le gouvernement grec aura formalisé son accord, deux officiers seront envoyés au Mali pour une mission d’information auprès du groupement Takuba. Il s’agira, explique le magazine, de se faire une idée des missions en cours.

Puis l’unité des forces spéciales suivra dans un second temps, avec la tâche d’assurer la protection d’un des camps où est installé le groupement Takuba [soit à Gao et à Menaka, ndlr]. Les commandos grecs seraient essentiellement issus de l' »Eidiko Tmima Alexiptotiston » [ETA], une unité spéciale de parachutistes.

« La France a officiellement soulevé la question d’une assistance militaire de la Grèce [au Mali] depuis l’année dernière et si l’agression turque ne s’était pas manifestée à cette échelle que connaît le pays aujourd’hui, la proposition aurait déjà été mise en œuvre », explique par ailleurs Doureios.

Si cette participation des forces spéciales grecques à Takuba se confirme, alors cela traduira par un changement d’approche d’Athènes, qui, pour le moment, ne compte que deux officiers au sein d’EUTM Mali, mission de l’Union européenne visant à former les forces armées maliennes [FAMa].

Lors d’une réunion par téléconférence avec ses homologues de l’UE, le 20 novembre, le ministre grec de la Défense, Nikos Panayotopoulos, a ainsi souligné « un intérêt commun des États membres pour la stabilité au Sahel » et le « renforcement de la sécurité dans la région ».

Photo : Ministère grec de la Défense

http://www.opex360.com/2020/11/25/barkhane-une-unite-des-forces-speciales-grecques-va-rejoindre-le-groupement-europeen-takuba/

je sens que le Mali va interesser les turc dans pas longtemps

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  Greek army to replace Steyr trucks and Mercedes GD tactical vehicles

Defense News November 2020 Global Security army industry
Posted On  Thursday, 26 November 2020 17:59  


After more than 50 years of successful service in the Greek Armed Forces, the legendary Steyr trucks are “demobilized”, as published by kathimerini.gr.
And Mercedes-Ben GD tactical vehicles also need to be replaced.


Steyr 680 M (4x4) 4500 kg trucks of the Greek army IFOR contingent in Bosnia, 28 August 1996 (Picture source: Wikipedia/U.S. DoD/SSGT
Andy Dunaway)


The decision to replace two historic vehicles of the Greek Armed Forces, the Steyr trucks and the Mercedes-Benz GD tactical vehicles, through a tender whose first part is estimated to have a budget of 550 million euros, mobilizes all major automakers active in defense but also a number of companies specializing in the equipment of such vehicles.

According to information, some unofficial presentations have already been made in Athens by foreign companies, while the competent services of the Ministry of National Defense are working feverishly on the specifications of the vehicles and the other parameters of the tender. The tender will certainly be a bidding, but it has not yet been clarified the number of vehicles and the exact types of vehicles that will be requested by the Armed Forces.

This specific supply, however, is of additional interest, because it is expected to be the first act of restarting the Greek defense industry and especially the Hellenic Vehicle Industry (ELVO), which after the end of the relevant tender is for sale in the form of Israeli interests. ELVO estimates that it can be the factory in which a growing part of the assembly of those vehicles that the country will eventually choose will be carried out gradually.

However, the Israeli company Plasan, which has the same vehicle with which it may participate in the tender, also participates in the scheme that acquires ELVO. In fact, a few days ago, the Minister of National Defense, Nikos Panagiotopoulos, speaking in Parliament, explained that ELVO, “after the multi-year liquidation regime, has become a legal buyer and can therefore participate in any tender procedures for the supply of weapons” benefits of the Armed Forces, if a specific requirement is expressed and in accordance with the current institutional framework “.

Of course, the Plasan Israelis are not the only claimants. Italian, German, French and American companies will also take part in the competition, when it is announced. Those who follow the relevant developments closely consider the expression of interest from Mercedes-Benz Defense Vehicles certain. After all, even if Mercedes-Benz vehicle will not be selected, it is possible that its engines will be used, the same sources explain. Another German company that is expected to be interested is Rheinmetall.

From the United States, Oshkosh is reportedly already interested in an industry that designs and manufactures special trucks, military vehicles, truck bodies, airport fire extinguishers, and related equipment.

From Italy, Iveco Defense Vehicles is expected to be a strong candidate. It is a manufacturer of military vehicles that was founded in 1937 and later became a member of the Iveco group in 1975.

From Germany, the interest of MAN is also expected.

Until the tender is announced, it is estimated that other groups may appear and later joint ventures may be formed.

 https://www.armyrecognition.com/defense_news_november_2020_global_security_army_industry/greek_army_to_replace_steyr_trucks_and_mercedes_gd_tactical_vehicles.html  

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Deal to buy 18 French-made Rafale fighter jets is scheduled for December

https://greekcitytimes.com/2020/11/25/french-made-rafale-schedule-december/

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Greece tested Russian S-300 Air Defence System During NATO Drill

 01:58 PM, November 30, 2020


S-300 missile system


Greece tested its S-300 air defense system (ADS) during the November 23-27 NATO missile drill at the Crete Shooting Range in which Germany, the Netherlands and the U.S. also participated.

Besides the Russian origin S-300s, various other air defense systems, including TOR-M1, OSA-AKM, Hawk, ASRAD and the Stinger man-portable air-defense system (MANPAD) were test-fired during the drill. In addition, anti-aircraft missiles and Russian, American and German-made medium- and short-range missile defense systems were tested, Daily Sabah reported quoting Turkish defense sources on Monday.

The S-300 PMU1 system was originally acquired by Cyprus from Russia in the mid-1990s, but was later transferred to Greece which is reported to have upgraded the system with Russian help. Although Athens did not deploy its missiles in southern Cyprus as a result of Turkish pressure, it did that in Crete in 1998, whose strategic importance has been rising steadily. Greece went on to sign new agreements with Russia in 1999 and 2004 to purchase TOR-M1 and OSA-AKM (SA-8B) ADSs.

The sources called the U.S. a hypocrite for voicing strong objections to Turkey's S-400 purchase after it refused to sell Patriot missiles, while allowing Greece to test the Russian ADS. "Turkey's S-400s will be used just as S-300s are used within NATO," they added.

The U.S.-Turkey relations nosedived after the latter bought the S-400 systems from Russia for $2.5 billion in 2017. Washington’s attempts to persuade Ankara to ditch the systems went in vain. Soon after Russia began shipping the S-400s to Turkey in July 2019, the U.S. struck off Turkey’s name from the list of F-35 program partners.

Turkey tested its S-400 ADS on October 16 reportedly in response to Greece exercising with advanced fighter jets such as France’s Rafales and UAE’s F-16 Desert Falcons. Turkey feels Greece is buying advanced jets to counter Turkey’s exploration in the Eastern Mediterranean.

Confirming the test, Turkish President Recep Tayyip Erdogan said "Yes, they were tested. The tests will continue. We are not going to ask the U.S. for permission," Ergodan was quoted as saying by reports.

He also suggested a double standard, saying NATO member Greece was using its S-300 ADS. He asked: “Is America telling them anything?"

Meanwhile, the United States’ reaction to Turkey’s reported firing test of the S-400 air defence system (ADS) can be described as muted as best. "The U.S. Department of Defense is aware of reports of a possible test of the S-400 air defense system by Turkey. If accurate, the Department strongly condemns the test," Pentagon spokesman Jonathan Hoffman said.

"We object to Turkey's purchase of the system, and are deeply concerned with reports that Turkey is bringing it into operation. It should not be activated. Doing so risks serious consequences for our security relationship. Turkey has already been suspended from the F-35 program and the S-400 continues to be a barrier to progress elsewhere in the bilateral relationship," Hoffman added.

Adding to the tensions, the U.S. is reportedly selling 6 F-35 stealth jets to Greece that it originally built for Turkey.

https://www.defenseworld.net/news/28426/Greece_tested_Russian_S_300_Air_Defence__System_During_NATO_Drill#.X8UbvKbbLIU

F35, Rafale, FREMM, FDI, Lockheed Martin MMSC, S300,TYP 214.... bref des milliards $$ de plus qui vont sortir de la poche des pauvres ...

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Grèce : Une commande de 18 Rafale pour 2,5 milliards d’euros pourrait être signée d’ici la fin de l’année

par Laurent Lagneau · 10 décembre 2020



Le 7 décembre, via Twitter, la ministre des Armées, Florence Parly, a évoqué l’entretien téléphonique qu’elle venait d’avoir avec Antti Kaikkonen, son homologue finlandais.

« Volonté renouvelée d’avancer ensemble vers une Europe de la Défense plus forte. Aujourd’hui, les projets communs ne manquent pas, et la Finlande est un des membres les plus actifs de l’initiative européenne d’intervention. Si [elle] devait faire le choix du Rafale pour le remplacement de ses F18, ce serait encore une nouvelle étape franchie dans le renforcement de ce lien stratégique fort qui nous unit », a-t-elle écrit, en faisant allusion au programme HX, qui prévoit l’acquisition de 64 nouveaux avions de combat pour la force aérienne finlandaise.

Mais attendant le résultat de l’appel d’offres finlandais, il reste à concrétiser l’achat par la Grèce de 18 Rafale, dont 12 doivent être prélevés sur la dotation de l’armée de l’Air & de l’Espace. Selon le quotidien grec I Kathimeriní, la signature du contrat est imminente. Et elle aurait été évoquée lors d’une échange téléphonique entre Mme Parly et Nikos Panagiotopoulos, le 8 décembre. Et d’indiquer que la « volonté exprimée par les des deux parties est que l’accord soit signé avant la nouvelle année. »

Le Parlement grec doit se prononcer sur l’acquision des Rafale le 17 décembre. Et ce n’est donc qu’après que le contrat pourra être signé, a priori lors d’une visite de Mme Parly à Athènes, les 19 et 20 décembre. Cet agenda « est bien entendu sujet à d’éventuels changements en raison de la pandémie », souligne cependant I Kathimeriní. Mais il devrait être aussi lié à celui du président Macron qui, traditionnellement, partage un repas de Noël au sein des forces françaises déployées sur un théâtre d’opérations extérieur.

Quoi qu’il en soit, le montant contrat qui doit être signé est estimé à 2,5 milliards d’euros. Cette somme comprend 12 Rafale d’occasion et 6 autres neufs, ainsi que des missiles Meteor, SCALP et Exocet. Le premier appareil serait livré à la force aérienne grecque en mai prochain, au plus tard. D’ailleurs, l’état-major de cette dernière est « dans une course contre la montre pour sélectionner les quatre premiers pilotes qui se rendront au début de l’année prochaine en France » pour entamer leur formation, explique le journal grec.

Il est prévu que les Rafale soient basés à Tanagra, maison-mère de la 114e escadre de chasse de la force aérienne grecque, laquelle a l’habitude de mettre en oeuvre des avions de combat de facture française puisqu’elle a utilisé des Mirage F1 et qu’elle est actuellement équipée de Mirage 2000.

Par ailleurs, et outre le dossier des Rafale, Athènes a également exprimé l’intention de se procurer entre 18 et 24 avions F-35A auprès des États-Unis. Le constructeur de ces appareils, Lockheed-Martin, paraît bien placé pour vendre à la marine grecque quatre frégates de type MMSC [multi-mission surface combatants], c’est à dire des navires dérivés de la classe Freedom qui, développée dans le cadre du programme « Littoral Combat Ship » [LCS], n’a pas pourtant bonne presse outre-Atlantique… Et cela alors que Naval Group a proposé deux frégates de défense et d’intervention de type Belh@ra.

Pour autant, la messe n’est pas encore dite. D’après I Kathimeriní, Paris maintient son offre, d’autant plus que, selon le chef d’état-major de la Marine nationale, l’amiral Pierre Vandier, les FDI devrait avoir la capacité de lancer des missiles de croisière, comme le souhaitait Athènes.

Photo : armée de l’Air & de l’Espace

http://www.opex360.com/2020/12/10/grece-une-commande-de-18-rafale-pour-25-milliards-deuros-pourrait-etre-signee-dici-la-fin-de-lannee/

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Pour Athènes, la question d’un achat de frégates française Belh@rra est encore ouverte

par Laurent Lagneau · 16 décembre 2020



Nécessité fait loi, dit-on. Et face aux tensions avec la Turquie, qui conteste les limites de sa zone économique exclusive en y déployant des navires de recherche pour y prospecter des gisements d’hydrocarbures, la Grèce va investir 11,5 milliards d’euros pour moderniser ses forces armées dans les années à venir, malgré les incertitudes économiques causées par la pandémie de covid-19.

Et cela passe par une hausse d’environ plus de 50% de ses dépenses militaires, ces dernières devant être portées à 5,5 milliards d’euros en 2021. C’est en effet la disposition qui a été votée, ce 16 décembre, par le Parlement grec, par 158 voix contre 148.

Et ce vote ouvre la voie à l’achat auprès de la France de avions Rafale F3R – dont 12 d’occasion pour un montant total de 2,5 milliards d’euros. Selon Kyriakos Mitsotakis, le Premier ministre grec, un accord avec Paris a été trouvé et il sera signé « dans les prochains jours », dès que les députés se seront prononcés à son sujet, ce qui est une formalité.

Selon le budget voté par le Parlement grec, une enveloppe de 1,5 milliard sera débloquée en 2021 pour financer partiellement cette acquisition.

Les six premiers Rafale, prélevés sur la dotation de l’armée de l’Air & de l’Espace, seront livrés à la force aérienne grecque d’ici juillet 2021. A priori, ils seront affectés à la base de Tanagra, qui abrite la 114e escadre de chasse, actuellement dotée de Mirage 2000.

Par ailleurs, les débats au Parlement n’ont pas porté sur l’acquisition éventuelle d’avions F-35, même s’il en est question depuis maintenant plusieurs semaines… En revanche, le ministre grec de la Défense, Nikos Panagiotopoulos, a confirmé l’achat de quatre nouvelles frégates, d’hélicoptères [MH-60R Sea Hawk] et de drones, ainsi que de la mise à niveau des F-16 au standard Block 70 « Viper » d’ici 2027.

S’agissant des frégates, Athènes penchait initialement vers la Frégate de défense et d’intervention [FDI ou Belh@rra] du français Naval Group. Une lettre d’intention pour deux exemplaires avait même été signée. Mais Lockheed-Martin a fait une contre-position avec quatre navires de type MMSC [multi-mission surface combatants], dérivés de la classe Freedom développée pour les besoins du programme « Littoral Combat Ship » [LCS] de l’US Navy. Et, selon la presse, l’offre américaine avait l’oreille des responsables grecs.

Lors des débats, M. Panagiotopoulos a laissé entendre que les jeux n’étaient pas encore faits. « La question de l’achat de frégates pour le renforcement de notre marine est ouverte » et « nous discutons avec les Français et d’autres pays, avec le souci d’être guidés par le meilleur choix économique et opérationnel », a-t-il dit.

« Nous n’avons pas tourné le dos à la France. La question est ouverte et notre marine cherche la meilleure solution […] afin que nous ayons de meilleurs navires, des moyens de dissuasion prêts . C’est la base et nous sommes ouverts aux Français et aux autres », a encore insisté le ministre grec.

Sans doute que l’intention de la marine française d’armer ses FDI avec des Missiles de croisière navals [MdCN] a redistribué le jeu étant donné qu’une telle capacité avait été demandée par la partie grecque.

http://www.opex360.com/2020/12/16/pour-athenes-la-question-dun-achat-de-fregates-francaise-belhrra-est-encore-ouverte/

https://www.youtube.com/watch?v=iu_QHdXyiQQ a écrit:

Vidéo intéressante ''d'até chuet'' concernant la vente de rafale pour la Grèce et le poids militaire qui en découlerait

donc c'est 130m€/ appareil .. ça reste un bon deal, 150 F16V, 24 F35 et 18 rafales leur armée de l'air est monstrueuse surtout si ils ont des stand off, meteor et l'aim 120D .. la tache sera ardue pour la Turquie

Bruce Wayne a écrit:

donc c'est 130m€/ appareil .. ça reste un bon deal, 150 F16V, 24 F35 et 18 rafales leur armée de l'air est monstrueuse surtout si ils ont des stand off, meteor et l'aim 120D .. la tache sera ardue pour la Turquie

j'irai même plus loin iréalisable en air-air ils sont en train de se faire distancé a cause d'un s-400 qui ne vaut finalement pas tant de risque , et le pire c'est qu'il vont finir par s'e débarasser(une vente a l'azerbaijan par exemple ferait un bon deal)

felipe21 a écrit:

F35, Rafale, FREMM, FDI, Lockheed Martin MMSC, S300,TYP 214.... bref des milliards $$ de plus qui vont sortir de la poche des pauvres ...

plutot du contribuable allemand abrutisé
ces pays doivent sortir de l´UE

+1 Ssi Stinger, surtout que le S-400 qu'ils ont est un modèle downgrade , et que sans les british et les anglais jamais leur chasseur local ne verra le jour, pire que tout Biden ne les loupera pas. Erdogan a fait une erreur stratégique en achetant le S-400

Yakuza a écrit:

felipe21 a écrit:

F35, Rafale, FREMM, FDI, Lockheed Martin MMSC, S300,TYP 214.... bref des milliards $$ de plus qui vont sortir de la poche des pauvres ...

plutot du contribuable allemand abrutisé
ces pays doivent sortir de l´UE

+1 Ssi Yakuza, on parle aussi d'un financement emirati