Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

États-Unis - Sahara Occidental
Des sénateurs demandent à Bush de soutenir l’autodétermination du peuple sahraoui


Par : Abdelkamel K.
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Alors que le Maroc tente de convaincre la communauté internationale d’accepter son plan d’autonomie, des membres du Congrès américain ont sollicité George Bush afin que son Administration soutienne le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui.

“Nous formulons le vœu que vous et votre Administration soutiendriez le droit à l’autodétermination du Sahara occidental en faisant avancer le droit à une solution juste et finale qui apporterait la paix et la stabilité dans cette partie du monde”, ont écrit des sénateurs dans leur lettre adressée au président George Bush.
Ils lui ont demandé de soutenir le droit du peuple du Sahara occidental à l’autodétermination en appuyant la solution juste et finale à même de rétablir la paix et la stabilité dans cette région du monde.
La lettre, datée du 29 mars dernier, est signée par les sénateurs Russ Feingold, président du sous-comité Afrique à la commission des relations extérieures, James Inhofe, membre de la commission des services armés et Patrick Leahy, membre de la commission des attributions de la Chambre haute du Congrès. Rappelant la situation critique prévalant au Sahara occidental sous occupation marocaine et le drame du peuple sahraoui confronté à un déni de droit et à la violation de ses droits fondamentaux, la missive, dont une copie a également été transmise à la secrétaire d’État, Condoleezza Rice, au conseiller du président Bush pour la sécurité nationale, Stephen Hadley, et à l’ambassadeur américain par intérim auprès de l’ONU, Alejandro Wolff, les membres du Congrès expriment leur profonde inquiétude. “Nous vous écrivons pour exprimer notre profonde inquiétude sur la poursuite du conflit au Sahara occidental, ou malgré l’avis consultatif de la Cour internationale de justice déniant au Maroc toute souveraineté sur le territoire et le soutien de la communauté internationale au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, la légalité internationale continue à être ignorée”, ajoutent-ils. Les congressmen ont pris le soin d’énumérer les résolutions onusiennes, consacrant le principe du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui et établissant, en 1991, une Mission des Nations unies pour le référendum au Sahara occidental (Minurso) tout en insistant sur l’objectif de ce soutien et de cette reconnaissance internationale est “d’organiser et de conduire à un référendum au travers duquel le peuple du Sahara occidental aura à choisir entre l’indépendance ou l’intégration au Maroc”. Ils n’ont pas manqué de rappeler les différentes initiatives de la communauté internationale pour amener la paix au Sahara occidental, les accords signés à Houston en septembre 1997 par les deux parties en conflit, le Maroc et le Front Polisario, et le plan de paix élaboré par l’ancien secrétaire d’État américain, James Baker, en sa qualité d’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, plan adopté à l’unanimité par le Conseil de sécurité, accepté par le Front Polisario mais rejeté par le Maroc.
S’inquiétant des “récentes tentatives et manœuvres diplomatiques du gouvernement marocain de faire passer un prétendu plan d’autonomie sur le territoire sahraoui, estimant qu’une telle démarche n’est rien d’autre qu’une violation flagrante de la légalité internationale et constitue un déni du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination”, les sénateurs ont mis l’accent sur les incessantes violations des droits de l’homme dont sont victimes les Sahraouis et l’accumulation de centaines de millions de dollars déjà dépensés pour la Minurso.
Sur ce plan, ils ont fait remarquer que si la Minurso, qui est soutenue financièrement par la communauté internationale et l’argent des contribuables américains, venait à changer de responsabilité, les parlementaires disent se réserver le droit à reconsidérer le fait que les contribuables américains n’ont pas à financer une opération de l’ONU qui viole la légalité internationale.
Selon eux, la Minurso devrait prendre de façon délibérée et de façon durable des actions pour protéger les droits fondamentaux y compris la sécurité du peuple sahraoui, regrettent que la France continue à faire obstruction au Conseil de sécurité et appellent la mission permanente américaine auprès de l’ONU à tout faire pour que le Conseil accorde toute l’attention voulue à la situation au Sahara occidental.
Enfin, ils ont exprimé que le Maroc, avec l’aide du gouvernement français, au Conseil de sécurité, contribue à faire échouer tous les efforts des Nations unies pour organiser un referendum libre, équitable et transparent.
“Nous voulons croire que votre administration ne s’associera pas à une telle violation du droit fondamental de l’homme”, ont-ils demandé au patron de la Maison-Blanche.

K. ABDELKAMEL

a t'entendre on dirait qu'on un peuple batards et sans histoire , relis bien l'histoire de l'algerie ,nous aussi on defends notre pays et les causes des plus faibles qui ont été engloutis par plus forts qu'eux , c pas un tort de faire ca vous aves meme essayer a tindouf

donovane06 a écrit:

a t'entendre on dirait qu'on un peuple batards et sans histoire , relis bien l'histoire de l'algerie ,nous aussi on defends notre pays et les causes des plus faibles qui ont été engloutis par plus forts qu'eux , c pas un tort de faire ca vous aves meme essayer a tindouf

Ca c'est toi qui le dit, je n'ai jamais dit ca.
Le Sahara qui est en question n'est pas a vous, ca n'a jamais fait partie de l'Algerie, meme française.
La cause des plus faibles!!!!!
Vous croyez que le monde est un dessin animé ou les gentils faibles se battent contre le mechants.
prenez la cause de votre peuple, liberez le des genereaux, ça c'est une cause noble.

scorpion-rouge35 a écrit:

...
notre premiers ministre a bien fait de ne pas lui répondre , dans une réunion de haut niveau entre diplomate on ne lance pas des slogans comme dans la rue

Je pense pas que le 1er ministre algérien ai été heurté par la forme de l'expression mais bien par le font de celle-ci.

Sans doute n'est il pas habitué à ce que l'on s'oppose à lui ouvertement et publiquement.
Ah le droit l'expression sa peut déranger des fois....

scorpion-rouge35 a écrit:

...
se El Yazghi c'est ridiculisé devant les ministres maghrébins heuresement que El Fassi était la si non la recontre serait tombé a l'eau et le maroc aurait eu l'aire d'étre incapable d'organise une réunion de se type

El Yazghi ne fait qu'exprimer la position de son parti, ainsi que l'ensemble des autres partis du royaume, une opinion partager aussi par certains partis en algérie je le rappel (encore faut il les laissé s'exprimer)

Citation :

Ce «n'est pas une question de décolonisation»

Le Sahara "n'est pas une question de décolonisation" et "n'a rien à voir avec le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes", a affirmé Mme Louisa Hanoune, secrétaire général du parti des travailleurs (PT), citée samedi par le quotidien "Le Jour d'Algérie".

Lors d'une conférence de presse donnée vendredi à Alger à l'issue des travaux du comité central de son parti, Mme. Hanoune, qui a mis en garde contre l'ingérence étrangères dans la région, a plaidé en faveur d'un dialogue entre les parties concernées "à commencer par notre pays" (l'Algérie, NDLR), en vue de trouver une solution à ce dossier.

Très attachée à l'Union du Maghreb, la secrétaire générale du PT avait plaidé en faveur de la réouverture des frontières terrestres entre l'Algérie et le Maroc, suite à l'appel lancé, dans ce sens, par le Royaume.

Le pouvoir à alger c'est parfaitement que l'UMA est irréalisable tant que l'intégrité territorial du royaume sera menacé, alors pourquoi crier à qui veut l'entendre l'édification de celle-ci, un paradoxe que seul les généraux algériens ont la réponse ....

Citation :

UN council urges realism in Western Sahara dispute
Thu 1 May 2008, 8:05 GMT


By Claudia Parsons

UNITED NATIONS (Reuters) - The U.N. Security Council passed a resolution on Wednesday calling for "realism" in Western Sahara in what diplomats saw as a boost for Morocco in its dispute with the Polisario independence movement.

The council passed the resolution unanimously after several hours of haggling over the details and despite strong objections by South Africa and Costa Rica to language they said implied support for Morocco in the dispute.

Earlier in April, the U.N. mediator on Western Sahara sparked division in the Security Council when he told members independence for the disputed territory was unrealistic.

The assessment by envoy Peter van Walsum put him at odds with Polisario, which has sought to keep the independence option open in four rounds of talks with Morocco, which annexed the former Spanish colony in 1975.

Talks resumed a year ago to try to bridge the gap between rival plans put forward by the two sides.

Morocco offered autonomy for the resource-rich territory of 260,000 people but ruled out independence, while Polisario urged a referendum with independence as one option.

The negotiations have made little headway. Further talks are planned but no date has been set.

The Wednesday resolution renewed the mandate of a U.N. peacekeeping force for a year and welcomed "serious and credible Moroccan efforts" to move the process forward, while "taking note" of Polisario's proposals.

It also endorsed a report by U.N. Secretary-General Ban Ki-moon that "realism and a spirit of compromise by the parties are essential to maintain the momentum of the process of negotiations."

The report expressed no view on the merits of the two plans, but Polisario and its supporters take the term realism to imply that the independence idea should be dropped.

'MIGHT IS RIGHT'

The current Security Council president, Ambassador Dumisani Kumalo of South Africa, told reporters earlier he was not happy about the inclusion of the reference to realism at the initiative of powerful countries friendly to Morocco.

In a statement to the council after the vote, he said the reference to realism could set a precedent in other conflicts, such as that between Israelis and Palestinians, that the principle "might is right" would hold sway.

"This council has made a mistake. They sent a wrong message to Morocco, thinking that they will always support Morocco," Kumalo told reporters after the vote, adding that he nevertheless voted in favor because he still held out hopes for the negotiations.

U.S. deputy ambassador Alejandro Wolff indicated Washington was in favor of autonomy, under a mutually agreed solution.

"The best way to move forward, in our view, the realistic way to move forward, is to pursue a negotiated solution resulting in true autonomy under Moroccan sovereignty for the Polisario," Wolff told reporters.

Kumalo also complained that the resolution drafted by France, Russia, Spain, Britain and the United States omitted any reference to human rights, a sensitive subject for Morocco. He said such an omission was a case of double standards.

In his assessment, van Walsum said he had "concluded that there was no pressure on Morocco to abandon its claim of sovereignty over the territory and, therefore, that an independent Western Sahara was not a realistic proposition."

Morocco's seizure of Western Sahara prompted a guerrilla war for independence until a U.N.-brokered cease-fire in 1991. The desert territory on Africa's Atlantic coast holds phosphates, rich fisheries and, potentially, offshore oil.

http://africa.reuters.com/top/news/usnBAN132676.html

et de deux



les americains lachent bouzebal

Citation :

Taken Question
Office of the Spokesman
Washington, DC
May 1, 2008
Taken Question from 05-01-08 Daily Press Briefing

Morocco: MINURSO Renewal (Taken Question)

Question: Any comments on the Security Council resolution on the Western Sahara that was adopted late yesterday?

Answer: The United States welcomes the unanimous adoption of Resolution 1813.

According to the UN Secretary General’s Personal Envoy Peter Van Walsum, during four sets of talks, neither side was willing to discuss the other’s proposals, leading to an impasse that does not serve the people of the Western Sahara in any way. An independent Sahrawi state is not a realistic option. In our view, some form of autonomy under Moroccan sovereignty is the only realistic way forward to resolve this longstanding conflict.

We urge the parties to focus future discussions on a mutually-acceptable autonomy regime that is consistent with the aspirations of the people of Western Sahara. As Ambassador Wolff said following the adoption of the resolution, the United States will support these efforts by broadening our own engagement with the parties over the coming weeks and months. Morocco has presented a proposal that we believe is serious and credible.

http://www.state.gov/r/pa/prs/ps/2008/may/104267.htm

apparement la russie n´est plus pro-bouzebal qu´on le croyait,on comprend pourquoi...

Citation :

Déclarations

M. JORGE URBINA (Costa Rica) a déclaré que c’est une première qui a eu lieu en salle de consultations du Conseil de sécurité. Lorsque le Costa Rica a présenté sa candidature pour le Conseil de sécurité, il s’est présenté comme un pays intéressé sans restrictions par le droit international, a-t-il tenu à rappeler. Nous défendons les droits de l’homme sans distinction et sans que cette cause ne soit politisée, a-t-il affirmé. Le Costa Rica ne comprend pas que certains éléments en vue d’être inclus dans le projet de résolution à l’examen aient été refusés, en l’occurrence une référence à la composante des droits de l’homme. Aujourd’hui, le représentant de la Fédération de Russie a menacé de mettre son veto technique à la moindre mention aux droits de l’homme dans le projet de résolution, a-t-il regretté. Le Costa Rica ne comprend pas non plus que le Groupe des Amis puisse se substituer aux membres du Conseil dans ses négociations. Le Conseil doit contribuer à trouver des solutions et non pas faire partie du problème. Nous sommes ici pour trouver des solutions justes et durables et il faut faire preuve d’unité pour une solution au Sahara occidental, a-t-il insisté, ajoutant que des négociations entre les parties étaient nécessaires sur la base du processus de décolonisation qui a été suivi par les Nations Unies. Le Costa Rica a fait preuve de souplesse et de créativité, a poursuivi le représentant, estimant que les consultations d’aujourd’hui ne reflétaient pas la transparence du Conseil de sécurité. Le Costa Rica a retiré ses deux amendements sur les droits de l’homme et le cadre international pour prouver son attachement au consensus, a-t-il conclu.

M. VLADIMIR K. SAFRONKOV (Fédération de Russie) s’est déclaré surpris que le représentant du Costa Rica ait levé une partie du voile sur les consultations qui ont eu lieu avant la séance. Les amendements présentés par la délégation du Costa Rica ont été refusés car notre délégation n’aurait pas eu le temps d’en informer notre capitale, a-t-il fait remarquer.

M. DUMISANI S. KUMALO (Afrique du Sud) a estimé que le Groupe des Amis avait fait preuve une fois de plus qu’il ne souhaitait pas négocier avec le Conseil de sécurité. Il n’y a eu aucune volonté réelle d’arriver à un consensus, a-t-il insisté, estimant qu’aucun État ne pouvait nier le droit à l’autodétermination du Sahara occidental. Appeler au « réalisme » pourrait créer un précédent pour la Palestine et pour la Serbie, donnant l’impression que c’est la loi du plus fort qui l’emporterait, a-t-il fait observer. L’Afrique du Sud rappelle que toute tentative de pousser une solution plutôt qu’une autre n’est pas acceptable. Le Conseil ne doit pas préjuger de l’issue des négociations, a-t-il dit, regrettant par ailleurs que les auteurs du projet de résolution aient une fois de plus refusé toute mention des droits de l’homme. Il est très étrange que certains membres du Conseil insistent pour inscrire à l’ordre du jour des pays qui n’y figurent pas, comme le Myanmar et le Zimbabwe, mais refusent en revanche pour d’autres d’évoquer la question. L’Afrique du Sud votera néanmoins pour ce projet de résolution, dans un esprit de compromis.

M. ALEJANDRO WOLFF (États-Unis) a souligné que le conflit au Sahara occidental n’avait que trop durer. Je suis convaincu que chacun d’entre nous attend que l’on trouve une solution politique à cette question. En l’absence d’un règlement politique, la MINURSO est absolument nécessaire, a-t-il rappelé. Nous espérons que la résolution encouragera les parties à trouver une solution. Un État sahraoui indépendant n’étant pas une solution réaliste pour ce conflit, les prochains cycles de négociation devraient se concentrer sur un projet d’autonomie. Le Maroc a présenté un plan et si le Front POLISARIO n’est pas d’accord, il est invité également à en présenter un.

M. JEAN-MAURICE RIPERT (France) a estimé que la persistance d’un statu quo au Sahara occidental était une menace pour le Maghreb. Le plan d’autonomie présenté par le Maroc est une base sérieuse et crédible, a-t-il dit, ajoutant qu’appeler les parties au réalisme équivaut à rester mobilisé.

M. MICHEL KAFANDO (Burkina Faso) a affirmé que la position de son pays a toujours été d’encourager les parties à continuer sur la voie de la négociation. C’est parce que cette résolution encourage la poursuite des négociations que le Burkina Faso y apporte son soutien. Ce qui compte avant toute chose, c’est le signal d’encouragement qui est donné aux parties, a-t-il déclaré, remerciant les délégations qui ont soulevé certaines questions de s’être finalement jointes au consensus en votant en faveur de cette résolution.

http://www.un.org/News/fr-press/docs/2008/CS9319.doc.htm

la chimere se dissout lentement mais surement

yakousa a écrit:

apparement la russie n´est plus pro-bouzebal qu´on le croyait,on comprend pourquoi...

Citation :

Déclarations

M. DUMISANI S. KUMALO (Afrique du Sud) a estimé que le Groupe des Amis avait fait preuve une fois de plus qu’il ne souhaitait pas négocier avec le Conseil de sécurité. Il n’y a eu aucune volonté réelle d’arriver à un consensus, a-t-il insisté, estimant qu’aucun État ne pouvait nier le droit à l’autodétermination du Sahara occidental. Appeler au « réalisme » pourrait créer un précédent pour la Palestine et pour la Serbie, donnant l’impression que c’est la loi du plus fort qui l’emporterait, a-t-il fait observer. L’Afrique du Sud rappelle que toute tentative de pousser une solution plutôt qu’une autre n’est pas acceptable. Le Conseil ne doit pas préjuger de l’issue des négociations, a-t-il dit, regrettant par ailleurs que les auteurs du projet de résolution aient une fois de plus refusé toute mention des droits de l’homme. Il est très étrange que certains membres du Conseil insistent pour inscrire à l’ordre du jour des pays qui n’y figurent pas, comme le Myanmar et le Zimbabwe, mais refusent en revanche pour d’autres d’évoquer la question. L’Afrique du Sud votera néanmoins pour ce projet de résolution, dans un esprit de compromis.

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http://www.un.org/News/fr-press/docs/2008/CS9319.doc.htm

la chimere se dissout lentement mais surement

Exellente attitude, le compromis est une bonne chose!

Citation :

L'ancien chef de la minurso soutient les idées de M. Van Walsum

L'ancien chef de la mission des Nations unies au Sahara (Minurso), Erik Jensen, a exprimé son soutien aux idées du représentant personnel du secrétaire général des Nations unies, Peter Van Walsum, selon lesquelles "l'indépendance du Sahara n'est pas une option réaliste".

Dans un entretien, publié dimanche par le journal arabophone "Al Hayat", M. Jensen s'est dit convaincu qu'il n'existe aucune divergence entre la position du secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon et son Envoyé personnel concernant la question du Sahara.

"J'ai passé cinq ans dans cette région (1993/1998), mais je suis toujours de près la situation et je me félicite d'être parvenu aux mêmes conclusions que le Conseil de sécurité, qui a endossé la position de Van Walsum", a ajouté M. Jensen, qui a expliqué que "lors de l'opération d'identification et des préparatifs de la réunion de Huston, il est paru clair que le référendum ne sera pas un succès".

Il n'était pas possible d'opérer un choix catégorique entre l'indépendance totale et l'intégration totale, et ce pour des raisons géopolitiques, mais également des raisons en relation avec la géographie, la nature et l'identité de la région, a-t-il poursuivi, soulignant la nécessité de rechercher une option médiane entre l'indépendance et l'intégration.

Il est important de relever que le Conseil de sécurité a précisé que le règlement doit être issu d'un consensus, a dit M. Jensen, rappelant que "le Maroc a présenté un projet digne d'intérêt visant à accorder un statut de large autonomie aux populations sahraouies".

M. Jensen, qui a salué le "pas courageux" franchi par M. Van Walsum en affirmant que l'indépendance du Sahara n'est pas une option réaliste, a souligné la nécessité de mettre un terme à la situation actuelle et aux souffrances des populations séquestrées dans les camps de Tindouf.

Les conditions de développement économique et social pour la région ne peuvent être réunies qu'après le règlement de la question du Sahara qui hypothèque la dynamisation de l'UMA, a-t-il précisé.

Le Conseil de sécurité est parvenu, lors de sa dernière réunion, à une conclusion très importante, à savoir que toutes les options ont été testées sans pour autant déboucher sur un résultat, appelant à la recherche d'une formule qui sert les intérêts de la population et de toute la région, a ajouté M. Jensen.

http://www.lematin.ma/Actualite/Express/Article.asp?id=90499

Citation :

Selon George Joffe : L’Algérie exploite la question du Sahara pour détourner l’attention de ses propres problèmes

L’Algérie exploite la question du Sahara pour détourner l’attention de ses propres problèmes internes, a souligné samedi le Pr. George Joffe, célèbre spécialiste britannique des questions nord africaines.
«Pour l’Algérie, la question du Sahara sert de mécanisme approprié permettant de détourner l’attention de ses problèmes internes et de convaincre sa propre opinion publique que les relations avec le Maroc ne sont pas à même de s’améliorer», a dit le chercheur, également professeur à l’université de Cambridge, qui s’exprimait dans un entretien à la MAP.
Le pouvoir algérien n’arrive pas à admettre sa défaite sur le dossier du Sahara, a ajouté le Pr. Joffe, en marge d’une conférence qui s’est tenue vendredi et samedi au ST Antony’s College relevant de l’université britannique d’Oxford, sous le thème «les réformes au monde arabe: la force, les limites et les perspectives des réformes au Maroc».
Le spécialiste britannique a fait état, à cet égard, de «divergences de fond au sein du pouvoir algérien sur les moyens d’appréhender les relations avec le Maroc et de régler la question du Sahara».
«Dans ce sens, le pouvoir algérien exploite cette question pour éviter d’être confronté à d’autres problèmes», a insisté le politologue et sociologue britannique, réputé pour sa profonde connaissance de l’histoire et des grands dossiers maghrébins.
Il a relevé que le refus du pouvoir algérien de répondre favorablement à l’appel lancé récemment par le Maroc pour la réouverture des frontières entre les deux pays s’inscrit dans le cadre de cette stratégie et de cet entêtement à faire perdurer la tension avec le Maroc voisin.
Commentant l’initiative marocaine de régler la question du Sahara à travers une autonomie sous souveraineté marocaine, le Pr. Joffe a souligné que «pour des raisons pratiques et d’un point de vue pragmatique, l’offre marocaine s’avère la solution idoine».
Selon lui, l’initiative marocaine offre l’occasion de dépasser l’impasse qui dure depuis longtemps et d’aller de l’avant.

Le CSCSME se félicite

Par ailleurs, le Comité spécial chargé du Sahara marocain en Europe (CSCSME) s’est félicité de la dernière résolution du Conseil de sécurité de l’ONU sur le Sahara, qui a mis en relief les efforts déployés par le Maroc et appuyé les conclusions de l’envoyé personnel du secrétaire général des Nations unis, M. Peter Van Walsum, selon lesquelles «l’option de l’indépendance n’est pas réaliste».
L’adoption à l’unanimité de la résolution 1813 «renforce les acquis du Maroc qui, en présentant le projet d’autonomie, a fait preuve de réalisme» contrairement aux autres parties, souligne le président du CSCSME, M. El Hassane Benhammou, dans un communiqué parvenu dimanche à la MAP.
Et de préciser que la proposition d’autonomie sous souveraineté marocaine reste l’unique voie réaliste et la solution possible pour régler la question du Sahara.
Le CSCSME accueille, d’autre part, avec grande satisfaction le soutien apporté par les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne à l’initiative marocaine en la qualifiant notamment de «sérieuse et crédible».
Le représentant des Etats-Unis à l’ONU avait en effet affirmé, mercredi à New York, qu’un Etat indépendant au Sahara n’est pas une option réaliste et qu’une véritable autonomie sous souveraineté marocaine est «la seule solution possible» pour régler cette question.

http://www.albayane.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=2244&date_ar=2008-5-5%2018:3:00

Citation :

Alors que le Conseil de sécurité doit se saisir, dans les prochains jours, du dossier sahraoui, la plupart des dirigeants du Front Polisario n’en attendent rien, suite à l’échec du quatrième tour des négociations avec le Maroc, qui s’est achevé le 18 mars dernier. La dernière carte diplomatique à jouer est française. «Sans la France, il n’y a pas de solution», affirmait à TTU le ministre de la Défense de la RASD (République Arabe Sahraouie Démocratique), Mohamed Lamine Bouhaly. Rappelons que la France soutient la position marocaine d'autonomie, malgrès les résolutions du Conseil de sécurité prévoyant l'organisation d'un réferundum pour une autodétermination du peuple sahraoui (indexion; autonomie ou indépendance). Une position confirmée par le chef de la délégation de négociation avec le Maroc, Mahfud Aliba, également président du Parlement sahraoui, qui reconnaît que le Front a négligé les relations avec la France, et que l’action avec Paris «est aujourd’hui notre sujet de travail le plus important pour trouver une solution diplomatique». Ce nouvel axe d’effort s’est concrétisé par la nomination comme représentant du Front Polisario à Paris d’Omar Mansur, ancien ministre des Affaires étrangères de la RASD. Alors que le président Chirac était considéré par les Sahraouis comme très proche de la famille royale marocaine, le Front espère profiter du nouveau gouvernement Sarkozy et de liens moins personnels avec Mohammed VI. Un espoir qui semble s'éloigner suite à la visite la semaine dernière de François Fillon à Rabat, au cours de laquelle le premier ministre français à réaffirmé le soutien de Paris aux positions marocaines.

Le Front Polisario menace

Reste qu’en cas d’échec de la voie diplomatique, le 12e Congrès du Front Polisario menace de reprendre les hostilités. «Nous avons du mal à contenir la jeune population sahraouie, qui désire reprendre les armes», confiait à TTU Mahfud Aliba. Alors que les forces militaires de la RASD représentent près de 15 000 hommes, c’est près du double qui pourrait être engagé en comptant la réserve. «Nous mènerons une guerre d’usure», prévient le ministre de la Défense. Avec des moyens limités, l’armée sahraouie compte sur une flotte importante de véhicules 4x4 Toyota puissamment armées (bi-tubes ZSU 23 mm ou ZPU de 14.5, système antichar AT-3 Sagger…) et de BMP-1. Selon Mohamed Salem Abdullah, chef de l’école de formation militaire Elouali, le recours à de petites unités très mobiles, armées de mortier et de RPG, serait privilégié en cas d’engagements, tandis que la composante blindée (T-55 et T-62) ne serait utilisée que pour des actions coups de poing sporadiques. «Nous frapperons le Maroc jusque dans les centres de pouvoir», menace le ministre de la Défense, qui assure qu’une reprise des combats «ne se limitera pas dans la partie sud». Une déclaration d’intention qui ne peut néanmoins se traduire dans les faits sans l’aval d’Alger, peu pressé de se livrer à une escalade avec Rabat.


Le risque terroriste

Avec pour objectif, en cas de reprise de la lutte armée, de prendre pour cible les lieux du régime marocain, la dérive vers des actions terroristes pourrait être vite franchie... "Nous ne mènerons pas des actions terroristes contre la population marocaine" prévient le Ministre de la Défense de la RASD. Reste qu'une reprise des hostilités militaires pourraient aboutir à une confusion dans la région. Avec un activisme de plus en plus important d'Al Qaeada au Maghreb Islamique (ex GSPC), sur les territoires marocain, algérien ou mauritanien, il sera difficile de faire la différence entre actions militaires du Front Polisario et terroristes. Une situation qui pourrait bénéficier en premier lieu à Al Qaeada. Dans les camps de réfugiés, les autorités sahraouies reconnaissent que des théologiens intégristes effectuent de temps en temps des prêches, prônant une Islam plus radical. Un message qui pourrait être reçu par une jeunesse en manque de perspective, qui se tourne plus facilement vers la religion. La position du Front Polisario est de prendre une part active à la lutte contre Al Qaeada au Maghreb Islamique. Dans ce cadre, recemment certains terroristes venant du Mali ont été traqués et emprisonnés par les forces sahraouies. "Nous sommes prêts à soutenir le nord-ouest africain dans la lutte contre le terrorisme dans la région", assure le Ministre de la défense.

Le mur marocain

Depuis les années 80, Rabat à érigé un mur défensif de plus de 2400 km de long, séparant les territoires sous contrôle marocain et ceux "libérés" dont la principale ville sahraouie de Tifariti. Ce dispositif défensif est sans cesse amélioré, notamment avec de nouveaux capteurs (radars...). Protégé par un champs de mines, le mur comprend diverses "couches": barbelés, mur de sable de près de 2 mètres de haut, fossés anti-char, des points d'appui fortifiés hébergeant une section sont situés tout les 2 à 3 kilomètres le long du mur, appuyés à quelques kilomètres en arrière par des Bataillons d'Infanterie Secteur (BIS), prêt à intervenir en cas d'accrochage sur le mur et dont l’action est renforcée par des batteries d'artillerie. Un dispositif qui ne semble pas effrayer l'armée sahraouie. "Nous avons par le passé enfoncé le mur et capturé des points d'appui en de maintes occasions, nous le referons" assure un cadre de l'armée. Reste que la reprise de l'activité militaire marocaine dans le sud du pays, non loin du mur, inquiète les sahraouis. "Depuis novembre, le Maroc renforce son dispositif militaire et organise de vaste manoeuvres militaires. Cette situation nous préoccupe, tout comme le réarmement global du Maroc" assure Mahfud Aliba. Outre l'acquisition de F-16 américains récemment décidée, Rabat se réarme depuis quelques années: hélicoptère d'attaque Cobra, char T-72, système d'artillerie TRF-3 de 155 mm...
Des camps sous perfusion

Quatre camps de réfugiés ont été installés dans le territoire confié par l’Algérie à la RASD. Près de 160 000 réfugiés vivent là depuis trente ans, dans la région de Tindouf. Sur place, la vie s’est organisée, les maisons en briques de sable sont maintenant bien plus nombreuses que les quelques tentes de l’UNHCR. Ces camps s’étendent sur plusieurs kilomètres et sont organisés de la même manière. Une partie comprend les bâtiments administratifs (représentations officielles, écoles…), une autre le marché, tandis que, sur de grands espaces ont été installés, par les différentes familles de réfugiés, des enclos pour le bétail. La population des camps vit grâce à l’aide internationale, notamment du HCR, qui, via le croissant rouge, fournit de la nourriture, ainsi que de multiples ONG, principalement espagnoles, mais aussi autrichiennes, danoises ou françaises… Chaque camp comprend plusieurs daïras (communes), regroupant quatre quartiers avec un maire à sa tête. Certains camps, comme celui de Smara, le plus grand, regroupent six ou sept daïras, et constituent alors une wilaya, dirigé par un gouverneur, élu au Congrès. Sous couvert d’anonymat, le représentant d’une ONG espagnole, présent depuis une dizaine d’années, reconnaît que la situation de crise s’éternise. Les réfugiés s’installent de plus en plus durablement, «les maisons sont le plus souvent en ciment, alors qu’avant elles étaient en sable. Quand il pleuvait et que ces maisons s’écroulaient, les gens reconstruisaient. Ce n’est plus le cas maintenant». Revers de l’aide internationale, la population vit dans l’assistanat. Bien que pauvre et vivant modestement, tout ce qui est nécessaire est fourni par l’aide humanitaire. Résultat, les gens ne travaillent pas et la jeunesse se laisse aller à l’alcool ou la drogue. Avec le temps, certaines fractures sont apparues dans cette population de réfugiés. Marché noir, corruption, argent qui arrive par des membres de la famille travaillant à l’étranger (beaucoup étudient à Cuba ou en Espagne et y restent travailler), provoquent quelques tensions.

http://www.ttu.fr/francais/Dossiers/saharaoccidental.html


Le journaliste qui a mener le dossier a parler d'achats de hélico de combats corba il n'est pas crédible au niveau info militaires.

C'est ca, qu'ils reprennent les armes!
Les FAR les attendent de pied ferme. Je me réjouis de voir comment cette bande de clochards va faire pour percer le mur de sécurité ou attaquer "les centres du régime marocain"

Qu'ils viennent et nous les éffaceront de la surface de la terre une bonne fois poutr toutes.

bof ttu..ils se sont discredités deja en novembre avec le F-16 et leur soit-disant "nos sources"
jusqu la j´y croyait dur comme fer mais...

ils jouent sur le sensationel c´est tout,comme le point,le tribune etc...mais a force de vouloir faire vite un scoop ils se tirent sur la jambe et perdent la credibilité

pour polizabel,no comment

Citation :

Maroc-Sahara: A quand l'application du plan d'autonomie !?


Récemment, le PJD(Parti pour la Justice et le
Développement,islamiste), dans un geste inhabituel, a appelé le pouvoir
algérien à normaliser ses relations avec le Maroc. Le communiqué en
question, reprend en écho les derniers appels du ministre marocain des
affaires étrangères. Le PJD, dans son communiqué va plus loin,
demandant à M.Bouteflika de prendre des initiatives en acceptant la
proposition marocaine.
Les
dernières élections marocaines auraient pu permettre au PJD d'accéder
au pouvoir mais ce dernier ne souhaitait pas le partager avec les
partis du Koutla (Istiqlal et USFP) qui, officiellement, ont gagné ces
élections. Le PJD à l'image des autres partis marocains,
souhaite accélérer le règlement du conflit du Sahara. Le plan
d'autonomie, qui fait l'unanimité au Maroc, aura des conséquences sur
tout le Maroc. En tout cas, tel est le souhait exprimé maintes fois,
ici et là par plusieurs dirigeants. En effet, le Maroc veut
aller à plus de décentralisation. La régionalisation, permettra un
développement plus rapide de certaines parties du pays, tels le
Nord,l'Oriental et le Sahara. Elle permettra aux acteurs locaux
-politiques et entrepreneurs- de décider d'eux mêmes des choix et des
orientations propres à leur région. Le plan d'autonomie testé
dans la région du Sahara, peut être généralisé aux autres régions du
pays. Cela explique pourquoi le Maroc a mis tant d'efforts pour établir
son plan d'autonomie(2 ans avant de le présenter officiellement). Hassan
II était le premier à évoquer la régionalisation du Maroc. Dans les
années soixante dix, la région de Casablanca, concentrait à elle-seule
60% du PIB pour 15% d'habitants du pays. Les déséquilibres entre
régions ont créé, une migration intérieure assez forte vers les grandes
villes (l'explosion démographique de Casablanca) ainsi que la montée de
la contrebande avec l'Algérie par exemple à la frontière est. Cette
contrebande nuit au développement de l'Oriental et fait perdre beaucoup
d'argent au fisc marocain.(essence, produits subventionnés,etc..) Le
Roi et le gouvernement marocain semblent attendre un signe de
l'extérieur avant de lancer l'exécution de leur plan d'autonomie. Les
appels à la normalisation de la relation avec Alger font partie de
cette stratégie. Les américains et les européens ont donné leur feu
vert. Les marocains attendent-ils d'être sûrs que les algériens
refusent toute normalisation de la relation entre les deux pays, pour
le lancer?
A suivre .....

http://reflexionsetautresidees.blogs.courrierinternational.com/archive/2008/05/21/maroc-sahara-a-quand-l-application-du-plan-d-autonomie.html

Citation :

Sahrawi refugee children in dire need of food
afrol News, 15 May - The declining humanitarian assistance in the Sahrawi refugee's camp in Algeria leaves children with severe malnutrition. According to a Norwegian Church Aid report to be published next week, one out of five children who have grown up in refuges camp in Algeria are suffering from acute malnutrition.

The findings of the new 2008 report shows the number of malnourished children under five years had more than doubled in 3 years rising from 8 in 2005 to 19 percent in 2008.

The Sahrawis' problems are compounded by the long dragging situation where Morocco - originally agreeing on settlement plans to let Western Sahara have their democratic exercise in deciding whether they want independence or not - has blocked a solution to the conflict.

Chairman of the Norwegian Support Committee for Western Sahara, Ronny Hansen, attributed decrease in humanitarian assistance to donor fatigue in assisting on the long dragging situation. "Very few states, Non Governmental Organisations (NGOs) or even UN agencies are willing to continue funding the same emergency for decades especially when there does not seem to be any imminent political solution on the horizon," he told afrol News.

He said the neglect by the international community is one of the reasons behind the conflict being dragging for a long time, adding that the African Union cannot act on Morocco since it is not a member.

Mr Hansen said the advocacy campaigns can help change the situation for the Sahrawi refugees, adding that his organisation is lobbying governments and international organisations and companies to remember the Sahrawis and protect their rights and natural resources. "We are constantly lobbying aid organisations and donors to keep providing aid to the Sahrawi refugees while they wait for a proper solution," he emphasised.

The study is commissioned by the Norwegian Church Aid and Spanish Medicos del Mundo had sampled population from the entire four Sahrawi refugee camps will be launched next week. It concluded that child malnutrition rates in the Sahrawi camps were even higher than in Darfur; a region the UN considers having crossed the emergency threshold.

The Sahrawis are indigenous to Western Sahara, a country that was occupied by Morocco in 1975. Since then, a majority of the population has fled to refugee camps in the Algerian desert.


By Tšepiso Mncina

http://www.afrol.com/articles/28936
© afrol News

Toutes mes felcitations au personnes qui soutiennent l'autodetermination et les droits des peuples et toutes les conneries socialistes democratiques d'un autre age qui vont avec, c'est reussi. En plus de l'impossibilité de creer le Maghreb, on a maintenant le Darfur en Algerie. Certains peuvent vraiment etre fiers de leur genereaux.

l´ambassadeur US reitere

Citation :

Ambassador Riley:

Lahcen, we share your great pride in the fact that Morocco is one of our oldest allies. The U.S. Government has been very supportive of all serious efforts to resolve the Western Sahara conflict, including the Moroccan Government’s recent autonomy proposal. We have expressed hope that the Polisario will engage in discussions with Morocco, with this proposal as a realistic starting point that could lead toward resolution of the dispute. We have publicly stated our belief that an independent Sahrawi state is not a realistic option. In our view, some form of autonomy under Moroccan sovereignty is the only realistic way forward to resolve this longstanding conflict.
We have urged the parties to focus future discussions on a mutually-acceptable autonomy regime that is consistent with the aspirations of the people of Western Sahara.

The Western Sahara issue, spanning the past thirty years, continues to be a destabilizing element that stymies regional ties needed for economic expansion, and hinders government-to-government cooperation in the Maghreb. We encourage Morocco and the Polisario to engage in negotiations with realism, and a spirit of compromise.

l´interview question-reponse sur le maroc,l´economie,l´islam etc...ici

http://www.state.gov/r/pa/ei/ask/104953.htm

Mais pourquoi lui aussi dis "Western Sahara" ? nous somme pas dans le texas !

Mais sa fait du bien de savoir que les states nous soutiennent ! en affirmant le point de vue de valsum !

tu fais le con ou quoi?occidental est la nomination "geographique pas politique"
ils vont pas la denomer pour nos beaux yeux tout de meme....le desert negev ne s´appel pas le deser israelien,wa tout de meme!

big boss a écrit:

Mais pourquoi lui aussi dis "Western Sahara" ? nous somme pas dans le texas !

Mais sa fait du bien de savoir que les states nous soutiennent ! en affirmant le point de vue de valsum !

c'est parceque les usa ont l'intention de tourner des films de cow-boys au sahara

L'article en question:

http://www.nrc.nl/buitenland/article1100332.ece/VN-gezant_overleg_is_schijn_

Citation :

D’anciens cadres du Polisario invitent l’Algérie et le Polisario au réalisme

APA- Geneve (Suisse) L’Algérie et le Polisario ont été invités par d’anciens membres du Front, à « répondre favorablement » à la résolution 1813 du Conseil de Sécurité des nations Unies, qui invite les parties au conflit du Sahara à « engager des négociations dans un esprit de réalisme et de compromis ».

Invoquant les « derniers développements » notés dans le dossier sahraoui, Sidati Ghallaoui, Abadila Semlali, et Essaad El Moussaoui, tous ex-cadres du Polisario, se sont exprimés dans un communiqué rendu public lundi à Genève, pour appuyer, avec insistance, le projet d’autonomie proposé par Rabat.

Respectivement ex –représentant du Front à Rome, ex-cadre politique et ex-cadre militaire de l’organisation, Ghallaoui, Semlali et El Moussaoui voient dans la proposition du Royaume chérifien, « la seule solution viable » au conflit.

L’initiative marocaine appuyée par la Communauté Internationale, a été qualifiée de « réaliste » par M. Peter Van Walsum, Envoyé Personnel du Secretaire General de l’ONU et reste, pour les ex-responsables sahraoui, « l’unique voie réaliste et réalisable pour régler ce conflit artificiel ».

Selon le communiqué, c’est la meilleure voie pour « permettre le retour chez eux, de milliers de Sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf, au sud-ouest de l’Algérie ».

Jugeant "dramatique", la situation humanitaire au Sahara, et exprimant leur "préoccupation" cet égard, les trois anciens membres du Front Polisario ont lancé un appel au Conseil des Droits de l’Homme et à la communauté internationale, à « faire cesser les violations des Droits de l’homme les plus élémentaires, dont est victime la population séquestrée contre son gré dans les camps du Polisario ».

Sidati Ghallaoui, Abadila Semlali, et Essaad El Moussaoui exhortent le Secrétaire General des Nations Unies à amener l’Algerie à « cesser de faire perdurer le statu quo, en maintenant une position intransigeante, qui ne cache plus ses visions hégémoniques sur la région".

Le Front Polisario, mouvement soutenu par l’Algerie, réclame un "Etat indépendant" sur le territoire du Sahara, récupéré par le Maroc en 1975, suite a la Marche Verte.

Rabat et le Polisario ont entamé, depuis 2007, une série de pourparlers sous l’égide de l’ONU, en présence de l’ Algerie et de la Mauritanie. Fort du soutien de bon nombre de pays, le Maroc, a soumis en 2007, un plan prévoyant une large autonomie du territoire, comme solution politique au conflit du Sahara

http://www.apanews.net/apa.php?page=show_article&id_article=65656

Citation :

Zone de Tifariti : Une ONG britannique accuse le Polisario d’implanter des mines antipersonnel

C’est à l’Algérie qu’incombe le crime de la prolifération
C’est à l’Algérie qu’incombe le crime de la prolifération
L’organisation non gouvernementale britannique, «The Surrey Three Faith Forum», a accusé jeudi le polisario d’implanter des mines antipersonnelles dans la zone tampon de Tifariti, condamnant «cette pratique qui montre le vrai visage destructeur de ce groupe».
«Ou moment où le monde œuvre pour l’élimination des mines antipersonnel, le polisario continue de les utiliser, mettant en danger la vie de populations innocentes, en particulier les femmes et les enfants», a dit M. Sydney Assor, Président de cette ONG, soulignant que son organisation «condamne avec force le recours à de telles pratiques intolérables pour exprimer une opinion qui a été depuis longtemps rejetée».
«Implanter des mines dans une zone tampon, donc exempte de toute présence civile ou militaire, représente non seulement une violation des droits de l’homme mais également des accords conclus sous l’égide de l’Onu», a-t-il poursuivi.
M. Assor a, d’autre part, indiqué que «The Surrey Three Faith Forum s’engage à oeuvrer aux cotés d’autres ONG pour exiger une enquête internationale sur les exactions commises dans les camps de Tindouf, situés sur le territoire algérien, par les dirigeants du polisario».
L’ONG, qui oeuvre pour la levée du siège imposé aux populations dans les camps de Tindouf afin de leur permettre de regagner la mère patrie, le Maroc, a souligné qu’elle ne cessera d’exhorter les organisations internationales à dépêcher des missions d’inspection pour s’enquérir de l’état réel de la situation de ces populations séquestrées.

http://www.albayane.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=3553

Citation :

Témoignages accablants dans le «New York Times» : «Des vies détruites au quotidien dans les camps du Polisario»

Dans sa livraison du mercredi le quotidien américain «New York Times» a publié un intéressant article, signé CARA BUCKLEY, en rapport avec les conditions inhumaines que vivent les populations séquestrées dans les camps polisariens de Lahmada.

Dans cet article qui reproduit une partie de la série de témoignages faits par d’anciens séquestrés des camps polisariens lors d’une visite qu’ils avaient effectué à New York et à Washington en mai dernier, les camps de séquestration de Tindouf sont décrits comme des «prisons où règne la corruption et où les séquestrés souffrent de la faim»
Said Abderrahman (28 ans), dont le témoignage a été relaté par le journal, a expliqué comment, lui et son épouse Salma Essalek (25 ans) enceinte au moment de leur évasion, ont été pourchassés à travers un champ de mines par les sbires polisariens après qu’ils aient pu fuir de nuit des camps de Tindouf.
Concernant l’aide humanitaire fournie par les organisations internationales le couple et les autres membres de la délégation ont affirmé qu’elle était en majeure partie détournée par les responsables du polisario.
Enchaînant sur le registre de l’arbitraire et des violations systématiques des droits humains les plus élémentaires qui prévalent dans les camps de Tindouf un membre de la délégation a fait état de l’existence d’un centre où les filles mères sont détenues en isolation complète de leurs familles et de leurs proches.
Pour avoir simplement critiqué le Polisario Brahim Al-Salem (34 ans), un autre témoin rescapé des camps de détention de Tindouf, a été incarcéré. Pour s’évader des camps il a du payer un passeur a-t-il ajouté.
Cité par le quotidien new-yorkais le directeur exécutif du Moroccan-Américan Center for Policy, Robert Holley, a précisé que la visite de la délégation aux Etats-Unis avait pour but de dénoncer les privations et les dures conditions qu’endurent les populations dans ces camps. «Les vies de ces personnes sont détruites au quotidien» a-t-il ajouté.

http://www.albayane.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=3527

ca fait tache d' huile sur le net

Former Refugees of a 'Forgotten Conflict' Speak Out Against Polisario Abuses and Call International Attention to a Worsening Humanitarian Crisis

http://www.earthtimes.org/articles/show/former-refugees-of-a-forgotten,427624.shtml