Projet massif d´Energie Solaire-Eolien

Rappel du premier message :

voila,je viens d´entendre sur un canal allemand economique qu/ un consortium allemands de 20 Cie (dont Deutsche Bank,RWE,Siemens..) se sont reunis pour financer un projet de 400B€ d´energie solaire,installé en afrique du nord(maghreb) et EAU

je vais chercher un article

Citation :

Morocco pioneering solar energy
Chartering through the renewable energy sector has become a necessity for many countries.

For Morocco, it is a matter of survival and one that might be beneficial to the country’s development.

Like Korea, Morocco imports most of its energy and when the price of crude oil breaks records, the economy of Morocco suffers a tremendous blow.

“This is a great challenge for us,” said Mustapha Bakkoury, president of the Moroccan Agency for Solar Energy.

“Our objective is to double our necessary capacity,” he said. “This is for our future economic development and it has to be based on respecting environmental standards as well.”

Morocco started developing its renewable energy sector in the 1960s with hydroelectric dams, then in the 1990s, Morocco moved ahead with the development of wind energy.

Now, Morocco is suffering from the same problems many countries suffer, a high energy demand during peak hours and high oil prices.

But the North African country does not believe in just waiting to see how technology will advance in the renewable energy sector, it is taking advantage of friends in other countries like Korea to develop new technologies that will help fuel the energy consumption of tomorrow.

“The idea is to be a player in this sector, a lot of countries are investing in research and development in this sector,” he said.

Spain and Germany have made leaps and bounds developing new technologies used to manufacture renewable energy. The United States is also playing its card while new movers such as Korea, India, South Africa and Australia are also looking to the future.

“Morocco is one of these pioneers in this field,” Bakkoury said.

Concerning Korea, Bakkoury explained that both countries are looking to find the best way to move ahead.

“There is a lot of research going on now for large scale battery storage. We could develop that together but storage will be a real issue for the future for all the countries who want to develop this sector,” he noted.

Morocco is looking to increase its production of solar energy to 2,000 megawatts by 2020, a giant leap considering that the most being produced at the moment is 900 megawatts in Spain and the United States.

Bakkoury explained that this goal could be achieved by utilizing the Sahara Desert.

“There will be solar panels peppered throughout the Sahara,” he said.

In the world of diplomacy, 2020 is a magic year for many countries especially those in the European Union who are planning to cut greenhouse gases by 20 percent.

“Europe has a large potential of wind but the energy generated from these plants is not enough to meet their 20 percent reduction,” he said. “So our intention is to develop projects where we can export that energy to Europe.”

By Yoav Cerralbo (yoav@heraldm.com)

http://www.koreaherald.com/national/Detail.jsp?newsMLId=20110918000279

Citation :

Développement du solaire par la recherche

Une étude sera lancée avec l'appui du Commissariat à l'Energie atomique et aux Energies alternatives pour adapter les centrales solaires au climat désertique et au bord de la mer.

Le Maroc est en train de parfaire son modèle économique de l'énergie solaire, en le peaufinant sur tous les plans. Il en est ainsi de la recherche qui est une condition sine qua non pour un tel positionnement. En effet, cet axe a donné lieu à la signature à la fin de la semaine dernière à Grenoble d'un accord entre la Fondation «Moroccan Foundation for Advanced Science, Innovation and Research» (MAscir), qui a pour mission de promouvoir la recherche scientifique au Maroc, et l'Institut Liten de Grenoble, relevant du Commissariat à l'Energie atomique et aux Energies alternatives (CEA).

Cette convention porte sur le lancement d'une étude dans le domaine de l'énergie solaire.

Son objectif est d'optimiser le fonctionnement des centrales solaires thermiques de type CSP (Concentrating Solar Power) à module de miroir Fresnel développées par le CEA, en vue de leur implantation sous un climat désertique et en bord de la mer. Il est à noter qu'une centrale solaire thermodynamique à concentration est une centrale qui concentre les rayons du soleil à l'aide de miroirs afin de chauffer un fluide caloporteur qui permet en général de produire de l'électricité. Une centrale Fresnel, qui fait partie de cette catégorie, repose sur l'utilisation de miroirs plans (ou quasi-plans) qui peuvent chacun pivoter autour d'un axe horizontal de façon à suivre la course du soleil et ainsi rediriger et concentrer de manière optimale les rayons solaires vers un tube absorbeur.

L'étude, qui sera menée par les deux partenaires, porte précisément sur le comportement des modules de miroir Fresnel, en les soumettant à des tests de vieillissement, selon un communiqué de Mascir. Objectif : adapter cette technologie pour un fonctionnement sous un climat désertique et en bord de la mer. D'une manière plus concrète, précise-t-on auprès de cette fondation, ce projet qui s'étalera sur une durée de trois ans et qui coûtera un investissement de 11 millions de DH, devra permettre l'optimisation de la technologie existante, un meilleur rendement de l'équipement, l'augmentation de sa durée de vie et l'optimisation des coûts de production et de fonctionnement lors de son déploiement à grande échelle. Par ailleurs, cet accord n'est que le début d'un partenariat à long terme entre Mascir et le Commissariat à l'Energie atomique et aux Energies alternatives, selon Nadia Khomri, responsable de la communication et de la coopération à Mascir.

Ce projet sera en fait, explique-t-elle, la première concrétisation d'un accord général qui a été signé entre les deux institutions en mars dernier et qui vise à « créer un partenariat en terme de recherche technologique en vue d'une valorisation industrielle rapide associant des entreprises marocaines ». D'autres projets de partenariat effectif suivront, selon la responsable de Mascir. À en croire le ministère de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, l'accord général, signé entre le Maroc et la France, est d'une grande portée. En fait, l'ambition qui sous-tend cet accord n'est pas moins que de «positionner le Maroc dans les rangs des pays producteurs de technologies», spécifiquement dans certains domaines. Il s'agit notamment, selon le ministère, du stockage de l'énergie, du dessalement de l'eau de mer et des énergies renouvelables.
La mise en œuvre de cet accord devra se traduire par «le développement des technologies pour des marchés d'avenir pouvant déboucher sur des projets industriels créateurs de valeur ajoutée et d'emplois».

Fondation Mascir

La Fondation Mascir (Moroccan Association for Scientific Innovation and Research) a commencé ses activités en 2007 en tant qu'organisme de recherche à caractère scientifique et technologique ayant pour mission la promotion de la recherche scientifique et le développement technologique au Maroc. Les domaines d'activités de cet organisme vont de l'environnement à l'énergie, en passant par la santé, l'eau et la technologie. Son objectif est de cibler les secteurs technologiques
de pointe pour en capter des parts de marché tout en attirant sur le territoire national des compagnies spécialisées.

http://www.lematin.ma/journal/Energies-renouvelables_Developpement--du-solaire-par-la-recherche/157126.html

Info chaude :

le Conseil d'Administration de Desertec a donné son accord pour l'implantation d'une centrale solaire au Maroc pour un investissement de 600 millions d'euros ..

c'est la première installation de Desertec ..

des communiqués de presse vont suivre ce soir ou demain

..deja la

Citation :

Sahara Solar Project to Present First Plant Design in 2012
October 05, 2011, 4:47 AM EDT
By Stefan Nicola


Oct. 5 (Bloomberg) -- The Sahara solar initiative backed by German turbine maker Siemens AG and Deutsche Bank AG will sketch out plans in 2012 for its first power plant, a 600 million-euro ($800 million) station in Morocco, its project manager said.

Desertec, the venture aiming to generate power across the North African desert for Mediterranean-area consumers, needs a few more months of planning for its initial 150-megawatt pilot plant, Paul van Son, chief executive officer of Dii GmbH, the project management company, said in an interview in Munich.

Dii’s talks with European and North African governments to back the initiative are advancing “step by step,” even as upheavals during the Arab Spring ousted leaders in Egypt, Tunisia and Libya this year, van Son said. “I’m very confident that we will see concrete steps in 2012.”

The project founded in 2009 envisions an Egypt-to-Morocco network of solar-thermal plants, in which mirrors concentrate sunlight to heat liquids for powering turbines, as well as photovoltaic panels and wind farms. Electricity would be sold to the region and the excess exported to Europe, providing as much as 15 percent of the continent’s demand by 2050.

Overall investments may total as much as 400 billion euros, Dii has said. So far, no facilities have been built, which has Logan Goldie-Scot, an analyst with Bloomberg New Energy Finance, concerned that the project may not be realized.

North African countries are moving ahead with their own projects more quickly than Desertec, Goldie-Scot said. Morocco targets 2 gigawatts of solar capacity by 2020, with bidding for the construction of a 125-megawatt solar-thermal plant in Ouarzazate “in the final stages,” Goldie-Scot said by phone.

‘Nice Ambition’

“Until Desertec actually puts a project on the ground and provides details on financing and the different stakeholders, it’s nothing more than nice ambition and a series of public announcements,” he said.

Dii shareholders including Deutsche Bank, Italy’s UniCredit SpA and Abengoa SA of Spain, are working to carry out the project while access to financing is becoming increasingly difficult amid the European debt crisis.

About 1.9 billion euros in investment are needed to develop the first 500-megawatt phase of Desertec, Dii says. Shareholders, including insurer Munich Re, may help provide financing or equity to build the first plant, van Son said.

The pilot plant should supply Morocco and Spain by 2014 if photovoltaic panels are used, and about two years later if it relies on solar-thermal technology, he said.

Solar-Thermal Timing

Dii chose Morocco to host the first plant as the country is stable, has a government that backs renewable-energy expansion and is linked to Europe via two undersea cables stretching about 25 kilometers (15.5 miles) across the Strait of Gibraltar, van Son said. The cables have free capacity of 400 megawatts to 1,000 megawatts, he said.

“Morocco is especially cash-strapped, and that’s why they’re eager to attract foreign investments and more willing to meet Desertec’s terms than some of the other North African countries,” said Samuel Ciszuk, an energy analyst for the region at Colorado-based IHS Global Insight Ltd. He spoke by telephone from London.

Aside from commercial and shareholder financing, the Munich-based initiative is in negotiations with governments in North Africa and Europe to secure state-backed grants and loan guarantees, van Son said. Dii then hopes for governments to buy the electricity via a power-purchase agreement, he said.

The company is preparing a study that simulates power network conditions in Morocco to find out more about the ideal technology for the first plants, van Son said. The study will run until the end of the year and its results may help convince potential investors, he said.

Wider Goal

Dii aims to expand installations in North Africa and the Middle East with a wider goal to transfer clean technology, create jobs and meet the region’s entire electricity demand from renewable sources by 2050, van Son said.

The initiative is working on a feasibility study for possible projects in Tunisia and has talked to officials in Algeria, Egypt and Libya, countries that have seen upheavals during the Arab Spring uprisings.

“We’re seeing the start of a period of change in North Africa, and some countries may look very different in a few years,” Ciszuk said. “If Desertec can get things under way in Morocco, why shouldn’t there be more opportunities in Tunisia and Egypt in the mid-term?”

La diarrhée commence

Citation :

L'Algérie victime de l'indécision de ses gouvernants

Après avoir réussi à attirer Renault dans l’industrie automobile, le Maroc s’empare de Desertec et prend de l’avance sur l’Algérie dans les énergies renouvelables. La première centrale solaire pilote de Desertec sera en effet implantée au Maroc. La construction commencera dès 2012 pour un investissement de 800 millions de dollars. L’annonce a été faite, mercredi 5 octobre, par le PDG de Desertec Industrial Initiative (DII), Paul Van Son. L’Algérie voit ainsi lui filer entre les doigts un projet gigantesque destiné à alimenter l’Europe en électricité produite grâce à des centrales solaires implantées dans les pays du sud de la Méditerranée.

L’Algérie paie ainsi son indécision et son manque d’ambition dans ce domaine. Pourtant, l’Algérie était bien placée pour décrocher la construction de la première centrale solaire de ce projet sur son territoire. Le groupe privé Cevital, partie prenante de Desertec, a affiché à plusieurs reprises son ambition d’investir dans le solaire. Dans les prochaines années, l’Algérie risque de payer très cher ce retard sur le Maroc. Sa position de principal fournisseur d’énergie de l’Europe est sérieusement menacée d’autant que la fin des d’énergies fossiles, comme le pétrole et le gaz, est proche.

Ce n’est pas la première fois que le Maroc devance l’Algérie dans la course aux investissements étrangers structurants. Il y a quelques années, le royaume de Mohamed VI avait réussi à convaincre Renault d’implanter une usine de fabrication de Logan à Tanger pour un investissement d’un milliard d’euros. Depuis, le gouvernement algérien court pour convaincre le constructeur français d’investir dans une petite usine en Algérie. Sans succès. Les discussions avec Renault s’éternisent. Et le projet risque de ne jamais voir le jour.

En octobre dernier, une importante délégation du groupe allemand Volkswagen a présenté à Alger le projet d’implantation d’une usine de fabrication de voitures. Une année après, le projet n’a connu aucune avancée. Entre‑temps, les Marocains tentent de s’en emparer. Leur ministre du Commerce est allé en Allemagne pour y rencontrer les responsables du numéro un européen de l’automobile. Les Marocains prennent des initiatives et se montrent à chaque fois plus entreprenants que les Algériens. « On dirait que les Marocains corrompent nos responsables pour qu'ils les laissent prendre des projets aussi importants », ironise un patron algérien, dérouté par la politique du gouvernement en matière d’investissements.

Les succès du royaume de Mohamed VI ne s’arrêtent pas à l’automobile et aux énergies renouvelables. Dans l’agriculture et l’industrie, le Maroc a pris beaucoup d’avance sur l’Algérie. Dans les infrastructures de base, le Maroc vient de lancer avec succès la construction d’une ligne de TGV (trains à grande vitesse) pendant que les investissements algériens dans les chemins de fer peinent à voir le jour. Les Algériens continuent de voyager dans des trains vétustes et dangereux alors que des sommes colossales ont été dégagées pour moderniser le réseau ferroviaire.

TSA

“Morocco is especially cash-strapped, and that’s why they’re eager to attract foreign investments and more willing to meet Desertec’s terms than some of the other North African countries,” said Samuel Ciszuk, an energy analyst for the region at Colorado-based IHS Global Insight Ltd. He spoke by telephone from London.

Ca veut dire quoi?

zazoe a écrit:

“Morocco is especially cash-strapped, and that’s why they’re eager to attract foreign investments and more willing to meet Desertec’s terms than some of the other North African countries,” said Samuel Ciszuk, an energy analyst for the region at Colorado-based IHS Global Insight Ltd. He spoke by telephone from London.

Ca veut dire quoi?

çà ne veut rien dire ..

c'est le genre "d'expert" qui n'a pas accés au dossier et qui blablate de très très loin !!

il faut bien qu'il dise quelque chose, par ailleurs il nous raméne un bla-bla sur l'Egypte et la Tunisie en fin d'article

Citation :

Le Maroc et la France accélère le plan solaire méditerranéen

La ville de Marrakech a dernièrement accueilli la 10ème édition de la Convention France Maghreb, un évènement qui regroupe des hommes d’affaires des deux rives.

Lors de la convention France-Maghreb organisé à Marralech la semaine dernière, le Maroc et la France ont annoncé leur volonté d’accélérer le financement du plan solaire méditerranéen afin d’installer 20 gigawatts de capacités électriques au sud et à l’est de la Méditerranée. Pour finaliser cet ambitieux projet le Maroc et la France proposent d’organiser conjointement, en 2012, une conférence des ministres de l’énergie de l’Union pour la Méditerranée (UPM). « Le développement des énergies renouvelables se trouve désormais au coeur d’une stratégie nationale volontariste destinée à mieux intégrer le Maroc dans l’économie mondiale" a déclaré Amina Benkhadra la ministre marocain de l’Energie, des mines, de l’Eau et de l’Environnement.
Pour ce qui est de l’éolien, la compagnie française GDF Suez, spécialisée dans la production d’énergie, confirme son investissement de 2,2 milliards DH à Tanger (278 km au nord de Rabat), pour la réalisation d’un parc de 45 éoliennes. Situé à Jbel Haouch, près de Dar Chaoui (30 km à l’est de Tanger), le parc produira près de 135 Mégawatts d’énergie, ce qui augmentera la capacité éolienne du Maroc à 48%. Il nécessitera un investissement de 2,2 milliards DH et 15 mois de travaux. Son lancement est prévu pour décembre 2012. Ce parc éolien sera le 3ème du pays et de la région du nord du Maroc. Les deux autres sont celui de Koudia al Baida (50 MW) réalisé par LCV en 2000 près de Fnideq et celui de la cimenterie Lafarge de Tétouan d’une puissance de 10 MW. L’électricité produite par "La Compagnie du Vent" (LCV), une filiale de GDF Suez, sera directement vendue à des industriels par les producteurs qui reverseront des droits de passage à l’ONE ( Office marocain d’électricité) pour l’usage de son réseau de transport. Fondée en 1989 à Montpellier (France), LCV emploie aujourd’hui 160 personnes dont 20 au Maroc. LCV dispose d’un bureau de représentation à Casablanca. Sa maison-mère GDF Suez cotée à la bourse de Paris a réalisé en 2010 un chiffre d’affaires de 90 MM d’euros.

Créée en 2000, la Convention France-Maghreb est un rendez-vous annuel visant à promouvoir la coopération entre les acteurs économiques et sociaux de la France et des pays du Maghreb, développer des relations transversales dans l’espace France- Maghreb, valoriser des réussites franco-maghrébines dans les domaines économiques, créer des réseaux d’affaires spécialisés par domaines d’activités et à faciliter la rencontre entre les compétences et les entreprises. Initié pour la première fois en dehors de la France, ce conclave sert de véritable plateforme et un lieu de rencontres d’affaires, d’échanges et d’établissement de partenariats entre les acteurs économiques maghrébins et français, et surtout de consolidation des réseaux France-Maghreb.

http://france-moyenorient.com/spip.php?article6617

marques a écrit:

zazoe a écrit:

“Morocco is especially cash-strapped, and that’s why they’re eager to attract foreign investments and more willing to meet Desertec’s terms than some of the other North African countries,” said Samuel Ciszuk, an energy analyst for the region at Colorado-based IHS Global Insight Ltd. He spoke by telephone from London.

Ca veut dire quoi?

çà ne veut rien dire ..

c'est le genre "d'expert" qui n'a pas accés au dossier et qui blablate de très très loin !!

il faut bien qu'il dise quelque chose, par ailleurs il nous raméne un bla-bla sur l'Egypte et la Tunisie en fin d'article

En realite, meme si le Maroc exporterait 100% de l'energie, le fait meme d'avoir ces installations et la maintenance sur le territoire national est un gain titanesque
.
En fait, avoir cet "asset" au Maroc ancre encore plus le pays avec l'economie et les interets strategiques de l'UE.

Pour nous c'est du gagnant

Citation :

Maroc : le chantier du projet solaire Desertec démarrera en 2012


BERLIN - Le projet géant Desertec de centrales solaires en Afrique et au Moyen-Orient va démarrer dès 2012 au Maroc, soit trois ans plus tôt que prévu, a annoncé samedi la société DII qui chapeaute l'initiative, dans le journal Süddeutsche Zeitung.

Le chantier qui vise à construire un site d'une capacité de 500 mégawatts, soit la moitié d'une centrale nucléaire moderne, selon le journal, doit démarrer l'an prochain sur une surface de 12 km2 pour un coût de 2 milliards d'euros.

DII s'était jusqu'alors fixé comme objectif d'avoir défini d'ici fin 2012 les grandes lignes de Desertec: emplacement des installations, financement, répartition approximative entre solaire et éolien.

Le démarrage du projet initialement prévu pour 2015 intervient plus tôt que prévu et selon la technique, de l'électricité circulera en 2014, au plus tard en 2016, a réaffirmé le chef du projet Ernst Rauch, cité par le quotidien de Munich.

Les principaux initiateurs du projet lancé en 2009 sont allemands, parmi eux le réassureur Munich Re, les groupes d'énergie EON et RWE ou encore Deutsche Bank. Ils ont été rejoints au fur et à mesure par d'autres partenaires, y compris l'an dernier par les italiens Enel et Terna, le français Saint-Gobain ou encore l'espagnol Red Electrica.

MUENCHENER RUECKVERSICHERUNG

E.ON

RWE

DEUTSCHE BANK

ENEL

ASM BRESCIA

SAINT-GOBAIN


(©AFP / 29 octobre 2011 12h23)

Citation :

EneR Morocco is Window to Maghreb's Shiny Energy Potential



The free EneR event is a networking and investment platform for those interested in Morocco’s renewable energy markets happening later this month in Casablanca.

Morocco is wild, yet for the average business or tourist traveler tame and safe. You can walk out of your riad in Marakesh and get lost in another time. Meander around the market in Fez and feel forever connected to Arabian Nights, or wind around the modern city of Casablanca for good food and pleasant chats with locals. You won’t find Clarke Gable in Morocco, but business investors interested in new financing opportunities might be advised to head to the EneR event in Casablanca later this month, November 22 to 26.

The EneR event has already signed up nearly 200 exhibitors, and is expecting 4,000 visitors interested in financing projects and developing renewable energy business in Morocco. Want to create a sustainable future for the North Africa region? Consider investing in Morocco.

Here’s why I think Morocco is a good bet:

Unlike Syria, or Egypt, Morocco has been stable politically during the Arab Spring uprisings. Its airports, like the one in Marrakesh boast solar panels, and its resort owners, locally and international ones like those from the Kasbah du Toubkal are developing sustainable eco-tourism. Out of all the Arabian-Middle Eastern countries I have visited, Morocco felt the closest to the west –– and it could be because of the proximity to Spain a short plane ride away and the French and Swiss influence which is strong. Compared to Europe, its renewable energy goals are startling: Morocco aims to be 42 percent fueled by solar energy by 2020 with a $9 billion USD investment.

Who’s investing in Morocco?

The Swiss Firm Airlight Brings CSP to Morocco

Bloomberg is reporting that the Sahara solar initiative backed by the German turbine maker Siemens AG and Deutsche Bank AG will sketch out plans in 2012 for its first power plant, a 600 million-euro ($800 million) station in Morocco.
Morocco’s link in the proposed Medgrid renewable energy projectMorocco’s key role in the Desertec initiative (Dii)

More on EneR

The EneR event will be a place to network among this massive investment opportunity in the Moroccan and African energy economies. Among stakeholders to meet and network with is FENELEC – the Moroccan Federation of Electricity, Electronics and Renewable Energies – and organizer of the conference. The organization represents more than 300 renewable energy companies in Morocco.

Morocco is moving fast towards the clean energy mix as the Moroccan government aims to produce a considerable amount of the country’s energy from renewable sources. By 2015, more than 2000 megawatts of power from solar energy alone shall be generated through various projects in Morocco.

A combination of its rising population, ambitious housing programs, projects such as metros and railway electrification, and the growth of desalination and energy-intensive industries means that demand for electricity is expected to continue growing rapidly in Morocco. Dramatic capacity increases are therefore needed.

Morocco is the first Arab country to put forth a bill to promote renewable energy and energy efficiency to its council of ministers. Morocco hopes to be the trendsetter of renewable energy dreams and goals in the Middle East and North African regions.

For those interested entrance to the EneR event is free.

http://www.greenprophet.com/2011/10/ener-morocco-energy-investment

Pour plus d'informations concernant la foire internationale qui se tiendra à Casablanca entre le 22 et 26 Novembre, c'est ici :
http://www.greenprophet.com/2011/05/ener-morocco-renewable-expo

Citation :

Maroc: l'Allemagne accorde 80 M euros supplémentaires à deux projets


M. Taib Fassi Fihri s’entretient avec Le Ministre Fédéral Allemand de la Coopération
Économique et du Développement

Le ministre allemand de la coopération économique et du développement Niebel Dirk-Ekkehard, en visite au Maroc, a annoncé une "contribution additionnelle de 80 millions euros pour le financement d'une centrale solaire et d'une installation de dessalement" dans le pays, indique mardi l'agence d'information officielle MAP.

La centrale solaire s'inscrit dans le projet géant baptisé Desertec de centrales solaires en Afrique et au Moyen-Orient, qui doit démarrer en 2012 au Maroc.

"Ma visite au Maroc témoigne de la volonté de raffermir les relations de coopération unissant les deux pays", a déclaré le ministre allemand, à l'issue d'une rencontre avec son homologue marocain Taib Fassi Fihri.

Le ministre allemand a réitéré "l'appui de son gouvernement en faveur aux projets des énergies renouvelables et au développement économique durable au Maroc", selon la MAP.

M. Fassi Fihri a salué "l'appui soutenu accordé par les autorités allemandes à la coopération avec le Maroc, en particulier dans des secteurs clés comme l'eau potable, l'énergie et la formation professionnelle".

Accompagné d'une délégation composée des membres parlement allemand, et de représentants du secteur privé pour une visite de deux jours, le ministre devait notamment visiter des projets réalisés dans le cadre de la coopération germano-marocaine.

Selon le journal allemand Süddeutsche Zeitung, la société DII chapeaute le projet Desertec qui vise à construire un site d'une capacité de 500 mégawatts, soit la moitié d'une centrale nucléaire moderne, sur une surface de 12 km2 pour un coût de 2 milliards d'euros.

DII s'était jusqu'alors fixé comme objectif d'avoir défini d'ici fin 2012 les grandes lignes de Desertec: emplacement des installations, financement, répartition approximative entre solaire et éolien.

Le démarrage du projet initialement prévu pour 2015 intervient plus tôt que prévu et "selon la technique, de l'électricité circulera en 2014, au plus tard en 2016", a réaffirmé le chef du projet Ernst Rauch cité samedi par le quotidien de Munich.

Les principaux initiateurs du projet lancé en 2009 sont allemands, parmi eux le réassureur Munich Re, les groupes d'énergie EON et RWE ou encore Deutsche Bank. Ils ont été rejoints au fur et à mesure par d'autres partenaires, y compris l'an dernier par les italiens Enel et Terna, le français Saint-Gobain ou encore l'espagnol Red Electrica.

http://www.daily-bourse.fr/maroc-l-allemagne-accorde-80-m-euros-supplementair-Feed-AFP111101124009.t55673w6.php

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Citation :

Tenesol to bring solar power to 26,000 Morocco households

4 Nov 2011



French solar company Tenesol is set to install photovoltaic (PV) systems on 26,000 homes in rural Morocco in partnership with the country’s National Electricity Office.

The project will bring solar power to more than 163,000 people who previously had no access to electricity. The project is scheduled to be complete by 2018 and is expected to cost €25m. Subsidiary company Temasol will supply, install and maintain the systems.

The PV modules will be connected to a battery allowing to store the power generated and use it throughout the night. In addition, Temasol will construct solar heating systems, solar generators for remote telecommunications infrastructure and grid connected PV plants throughout the country.

Jacques Mathan, export sales director at Tenesol, said, ‘We are delighted to be involved in this life changing and highly rewarding project. Rural electrification is a major part of a country’s socio-economic development and this project reflects Morocco’s commitment to assisting and improving rural communities. Many of the families we work with have never had access to electricity but solar energy is fast becoming the renewable answer to their power needs.’

http://www.newenergyworldnetwork.com/investor-news/renewable-energy-news/by-technology/solar/tenesol-to-bring-solar-power-to-26000-morocco-households.html

Citation :

Energie solaire au Maroc: la Banque mondiale prête 297 millions de dollars

WASHINGTON — La Banque mondiale a annoncé jeudi avoir approuvé un total de 297 millions de dollars de prêts au Maroc pour aider à financer la construction d'un complexe de production d'électricité solaire à Ouarzazate, dans le Sud du pays.

Le Maroc avait annoncé en 2009 cet ambitieux projet, prévoyant un investissement de 9 milliards de dollars pour une capacité de 2.000 mégawatts en 2020. Le chantier doit démarrer en 2012.

La première centrale qui doit être construite, d'une capacité de 500 mégawatts, sera "parmi les plus grandes du monde", a rappelé la Banque mondiale.

Le président de l'institution d'aide au développement, Robert Zoellick, s'est félicité dans un communiqué de participer à un projet qui "démontre l'engagement du Maroc en faveur d'une croissance à faibles émissions de carbone et pourrait démontrer le potentiel énorme de l'énergie solaire au Proche-Orient et en Afrique du Nord".

"Ce projet solaire pourrait faire avancer le potentiel de cette technologie, créer de nombreux emplois dans la région, aider l'Union européenne à atteindre ses objectifs de réduction des émissions de CO2, et approfondir l'intégration économique et énergétique autour de la Méditerranée. Il y a de nombreux gagnants", a estimé M. Zoellick.

De nombreux groupes européens sont associés au projet, avec à l'origine des entreprises allemandes, dont le réassureur Munich Re, les groupes d'énergie EON et RWE ou encore Deutsche Bank, rejoints au fur et à mesure par d'autres partenaires, dont les Italiens Enel et Terna, le Français Saint-Gobain et l'Espagnol Red Electrica.

L'Agence française de développement a annoncé en juillet une participation sous forme d'un prêt de 100 millions d'euros et d'une subvention de 300.000 euros.

AFP

Citation :

Centrale de Jerada : Une nouvelle unité de 350 mégawatts

L’appel d’offres est lancé

La demande d’électricité augmente en moyenne de 6,5% par an



Pour faire face à une demande qui augmente de près de 6,5% par an, l’ONE est engagé dans tout un programme d’investissement. Une enveloppe de plus de 109 milliards de dirhams sera consacrée aux projets qui seront réalisés

PRÉVU depuis un moment, l’appel d’offres pour l’extension de la centrale thermique de Jerada vient d’être lancé. Il s’agit plus exactement d’un contrat de construction, clés en main, pour la réalisation d’une nouvelle unité d’environ 350 MW fonctionnant au charbon. Cette unité sera constituée d’un générateur de vapeur, d’une turbine à vapeur, d’un alternateur, d’un transformateur principal, d’un aérocondenseur, d’un système de contrôle commande et de leurs auxiliaires électriques et mécaniques.

L’évacuation de l’énergie de cette unité s’effectuera via un poste 225 k V, lequel sera réalisé par l’Office. Mise en service en 1971, la centrale thermique de Jerada est équipée de 3 tranches d’une puissance unitaire de 55 MW. Cette centrale qui s’alimentait auparavant auprès de Charbonnage du Maroc s’approvisionne aujourd’hui en charbon vapeur international et en Pet coke, lequel est acheminé à partir du port de Nador. S’il aboutit, ce projet permettra de renforcer la production au niveau de la région de l’Oriental. Et donc d’accompagner une demande croissante. A fin septembre 2011, la demande d’électricité a augmenté de 7,9%. L’année dernière, l’énergie électrique nette appelée au niveau national a atteint 26.530,6 G Wh en augmentation de 6,1% par rapport à celle enregistrée en 2009. Elle a été satisfaite à hauteur de 15,7% à partir des énergies renouvelables, 39,7% par la production d’origine charbon, 16,5% d’origine fioul, 10,8% à partir du gaz naturel et 17,3% par les importations.

Pour faire face à cette demande croissante, l’ONE a programmé le renforcement du parc de production par de nouvelles capacités: 5.480 MW à l’horizon 2016 dont 2.773 MW à base d’énergies renouvelables. Ce qui représente plus de 86% de la puissance installée à fin 2010. Une enveloppe de plus de 109 milliards de dirhams sera consacrée à ces projets qui seront réalisés aussi bien par l’ONE en partenariat avec des opérateurs publics et privés que par des privés dans le cas des énergies renouvelables. Aujourd’hui, certaines centrales sont déjà en cours de construction. C’est le cas par exemple de la centrale au charbon de Safi (thermique, 2 x 660 MW). Celle-ci entrera en service à fin 2014 et produira en régime de croisière 10 milliards de K Wh par an, soit près de 27% de la demande globale du pays à l’horizon 2015. De son côté, le projet d’extension de la centrale thermique de Jorf Lasfar, avec deux nouvelles unités de 350 MW chacune, sera également opérationnel dès 2014.

Autres projets, la centrale diesel d’Agadir (72 MW) et le projet de Centrale thermique aux schistes bitumineux de Tarfaya (100 MW). Cette dernière sera construite sur le site d’extraction du schiste à ciel ouvert à environ 38 km à l’est de la ville de Tarfaya.

http://www.leconomiste.com/article/888833-centrale-de-jeradabrune-nouvelle-unite-de-350-megawatts

le Maroc a un appétit de monstre en matiére d'electricité

très interessant cette histoire de centrale avec shistes bitumineux à l'Est de Tarfaya ..

je penses qu'il s'agit du projet en cours d'etude avec les Estoniens d'Enefit ...

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UPDATE 1-AfDB pledges $498 mln to Moroccan renewables plan

RABAT Nov 23 (Reuters) - The African Development Bank (AfDB) on Wednesday said it was close to approving 373 million euros ($498 million) in financing for renewable energy in Morocco, which has embarked on one of the world's most ambitious solar energy developments.

The financing is in the course of being finalised, AfDB said in a statement, noting that it expects its board to vet it before the end of 2011.

AfDB did not explicitly refer in its statement to Morocco's $9 billion solar power programme, which is vital for a country that has no oil or gas but has an abundance of sun. Morocco is also developing wind farms as part of its plan to reduce reliance on hydrocarbon imports.

Last week, the World Bank approved loans to Morocco totaling $297 million to help finance the first phase of a 500 megawatt solar power plant, one of the largest in the world.

The Ouarzazate concentrated solar power plant is the first in Morocco's solar power programme.

Separately, AfDB said it approved on Wednesday a 224 million euros loan for the Moroccan government to help it improve access for its population and small and medium enterprises to financial services.

http://af.reuters.com/article/moroccoNews/idAFL5E7MN4NA20111123

le cabinet allemand accompagne financierement le network solaire marocain,avec signature hier d´un accord sur le projet de Ouarzazte

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Nr. 165/11
Berlin, 15.12.2011

Deutschland unterstützt Marokkos Solarplan
Vertrag zur Finanzierung des ersten großen Solarkraftwerks in Marokko unterzeichnet

Die Bundesregierung beteiligt sich an der Finanzierung des ersten großen Solarkraftwerks in Marokko. Ein erster Vertrag hierzu wurde gestern (14.12.2011) zwischen der KfW Entwicklungsbank und der Marokkanischen Solarenergieagentur unterzeichnet. Geplant ist ein solarthermisches Kraftwerk inParabolrinnen-Bauweise mit einer Leistung von 160 Megawatt und einer Speicherkapazität von drei Stunden zur Verlängerung der Sonnen-Stromversorgung bis in den Abend hinein. Die Anlage wird im Süden Marokkos errichtet, bei der Stadt Ouarzazate, nahe der Wüstenregion des Landes.Im kommenden Jahr soll bereits mit dem Bau begonnen werden, die Fertigstellung wird rund ein Jahr dauern.

Das Bundesumweltministerium beteiligt sich im Rahmen der Internationalen Klimaschutzinitiative IKI mit einem Zuschuss in Höhe von 15 Millionen Euro für die Eigenkapitaleinlage der staatlichen Marokkanischen Agentur für Solarenenergie bei der Projektgesellschaft. Diese Mittel werdenüber die KfW Entwicklungsbank eingebracht. Die deutsche Unterstützung erfolgt in enger Abstimmung mit den weiteren beteiligten Gebern wie der Weltbank, der afrikanischen Entwicklungsbank, der Europäischen Investitionsbank, der französischen Entwicklungsbank sowie derEuropäischen Kommission.

Mit diesem Beitrag wird Deutschland zu einem der wichtigsten bilateralen Partner Marokkos bei der Realisierung des Solarkraftwerkes Ouarzazate. Marokkos Energiestrategie stützt sich in besonderem Maße auf erneuerbare Energien. So ist der Bau dieses Solarkraftwerks der erste Schritt in derUmsetzung eines ehrgeizigen Solarplans, durch den bis zum Jahr 2020 eine Kraftwerkskapazität von 2.000 Megawatt aufgebaut werden soll. Zusammen mit dem ebenfalls geplanten Ausbau der Windenergie plant Marokko, bis 2020 rund 28 Prozent seiner Stromversorgung mit erneuerbaren Energiensicherzustellen.

http://www.bmu.de/pressemitteilungen/aktuelle_pressemitteilungen/pm/48169.php

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L'Allemagne soutient le plan solaire du Maroc
Contrat pour financer la première grande usine d'énergie solaire au Maroc signé

Le gouvernement fédéral participe au financement de la première usine de grande puissance solaire au Maroc. Un premier contrat pour ce fut hier (14/12/2011) signé entre la Banque de développement KfW et l'Agence marocaine de l'énergie solaire. Le plan est de conception Parabolien d'une centrale solaire thermique d'une capacité de 160 mégawatts et d'une capacité de trois heures pour étendre le pouvoir du soleil jusque tard dans la soirée. L'usine sera située dans le sud du Maroc, se trouve dans la ville de Ouarzazate, à proximité de la région désertique de Landes.l'année prochaine sera déjà commencé la construction et l'achèvement prendra environ un an.

Le ministère fédéral de l'Environnement participe à l'International Climate Protection Initiative IKI avec une subvention de 15 M € pour l'apport en fonds propres de l'Agence nationale marocaine pour l'énergie solaire dans la société de projet. Ces fonds seront placés sur la Banque de développement KfW. Soutien de l'Allemagne se fait en étroite coordination avec les autres donateurs participants, comme la Banque mondiale, la Banque Africaine de Développement, Banque Européenne d'Investissement, la Banque de développement français et la Commission européenne.

Cette contribution est l'un des partenaires d'Allemagne bilatérale la plus importante du Maroc à la création de la centrale solaire à Ouarzazate. Stratégie énergétique du Maroc s'appuie notamment sur ​​les énergies renouvelables. Ainsi, la construction de cette centrale solaire, la première étape dans un plan ambitieux de derUmsetzung solaires devraient être établies par l'ici l'an 2020 une capacité de production de 2000 mégawatts. Avec l'expansion prévue de l'énergie éolienne prévoit également au Maroc, en 2020, environ 28 pour cent de son électricité avec renouvelables sécurité d'approvisionnement énergétique Livrer

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Eolien : L’ONE dévoile le programme d’un gigantesque projet
05/01/2012
Écrit par infomediaire.ma

- L’Office National de l’Electricité (ONE) annonce, à travers un communique, le lancement d’un appel d’offres international, courant du 2ème trimestre 2012, pour le développement, la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance d’un projet éolien, composé de 5 parcs éoliens, d’une puissance totale installée de 850 MW.
Le projet comporte aussi la fourniture et la maintenance des équipements nécessaires à la réalisation d’un parc éolien supplémentaire de 200 MW.

Le projet éolien de 850 MW sera structuré suivant un schéma ‘Build Own Operate and Transfer’, et sera réalisé dans le cadre d’un partenariat public-privé où l’ONE, la Société d’Investissements Energétiques (SIE) et le Fonds Hassan II s’associeront au partenaire stratégique de référence retenu à l’issue du processus de l’Appel d’offres.

marques a écrit:

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Eolien : L’ONE dévoile le programme d’un gigantesque projet
05/01/2012
Écrit par infomediaire.ma

- L’Office National de l’Electricité (ONE) annonce, à travers un communique, le lancement d’un appel d’offres international, courant du 2ème trimestre 2012, pour le développement, la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance d’un projet éolien, composé de 5 parcs éoliens, d’une puissance totale installée de 850 MW.
Le projet comporte aussi la fourniture et la maintenance des équipements nécessaires à la réalisation d’un parc éolien supplémentaire de 200 MW.

Le projet éolien de 850 MW sera structuré suivant un schéma ‘Build Own Operate and Transfer’, et sera réalisé dans le cadre d’un partenariat public-privé où l’ONE, la Société d’Investissements Energétiques (SIE) et le Fonds Hassan II s’associeront au partenaire stratégique de référence retenu à l’issue du processus de l’Appel d’offres.

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Énergies renouvelables : 6 parcs éoliens totalisant plus de 1000 MW sur les rails au Maroc !


Publié le : 08.01.2012 | 10h56 L'ONE lancera, au deuxième trimestre, un appel d'offres pour la réalisation d'un projet éolien de 850 MW, en plus d'un parc supplémentaire de 200 MW.

Cette année devra être décisive pour la mise en œuvre du Projet marocain de l'énergie éolienne qui prévoit la construction de nouveaux parcs éoliens pour porter la puissance électrique installée d'origine éolienne à 2 000 MW en 2020. En effet, l'Office national de l'électricité (ONE) vient d'annoncer le lancement d'un appel d'offres international, courant du 2e trimestre 2012, pour le développement, la conception, le financement, la construction, l'exploitation et la maintenance d'un projet éolien, composé de 5 parcs éoliens, d'une puissance totale installée de 850 MW. Cette opération porte également sur la fourniture et la maintenance des équipements nécessaires à la réalisation d'un parc éolien supplémentaire de 200 MW.

Pour préparer cet appel d'offres, l'ONE invite les entreprises intéressées à exprimer leur intérêt pour ce projet au plus tard le 2 mars prochain. L'Office précise que ce projet éolien de 850 MW sera structuré suivant un schéma BOOT (Build Own Operate and Transfer), qui implique que l'opérateur construit, exploite puis rétrocède l'infrastructure au pays après avoir récupéré ses investissements et, éventuellement, réalisé un profit négocié au préalable. Il sera réalisé dans le cadre d'un partenariat public-privé où l'ONE, la Société d'investissements énergétiques (SIE) et le Fonds Hassan II s'associeront au partenaire stratégique de référence retenu à l'issue du processus de l'appel d'offres. Cette opération devra marquer un autre tournant dans la mise en œuvre du plan éolien national, après l'importante étape franchie le 28 juin 2010, avec l'inauguration par Sa Majesté le Roi à Tanger d'un important parc éolien, d'une puissance de 140 MW, avec un investissement de 2,75 milliards de DH. Ce projet, qui constitue l'un des plus grands parcs éoliens d'Afrique, est la première grande réalisation du Projet marocain de l'énergie éolienne qui prévoit, pour un investissement total de 31,5 milliards de DH, la construction à l'horizon 2019 de cinq nouveaux parcs éoliens.

Localisés à Tanger (Tanger II), Tétouan (Koudia Al Baida II), Taza, Tiskrad, près de Laâyoune et Boujdour, les cinq sites devront atteindre une puissance installée de 1 000 MW et généreront une production électrique de 3 305 GWh/an. Koudia Al Baida et Tiskrad auront, chacun, une puissance de 300 MW, alors que Tanger II et Taza aura une puissance de 150 MW et Boujdour 100 MW.

Le premier parc éolien qui entre dans ce programme, celui de Taza, dont l'appel d'offres a été lancé en mai 2011 auprès des 7 pré-qualifiés, sera mis en service en 2014. Ce parc éolien, dont le coût global s'élève à près de 3 milliards de DH, sera implanté sur les hauteurs de montagnes situées à une douzaine de kilomètres au nord-ouest de la ville de Taza. À terme, le plan éolien national devra porter la puissance installée d'origine éolienne à 2 000 MW en 2020 et la production électrique éolienne à 6 600 GWh/an.

Ces projets seront réalisés dans le cadre de partenariats public-privé où le coût d'investissement sera couvert par des fonds publics et privés nationaux et étrangers, ainsi que tous les mécanismes concessionnels et non concessionnels de financement qui existent dans le cadre de la coopération multilatérale et bilatérale. En réalisant ce projet éolien et le Projet marocain de l'énergie solaire, le Maroc réduira ses importations d'énergie en économisant annuellement 2,5 millions de tonnes équivalent pétrole en combustible fossile, évitant ainsi l'émission de près de 9 millions de tonnes de dioxyde de carbone par an.
Repères

Bouquet électrique

Le bouquet électrique national repose essentiellement sur le charbon et les produits pétroliers. Cependant, un quart de la puissance totale installée (6 405 MW à fin mai 2011) exploite déjà des énergies renouvelables.
Parmi ces énergies renouvelables, l'hydraulique est doté d'une capacité de 1 306 MW et l'éolien environ 280 MW.
En termes de production, les différents parcs éoliens du pays ont contribué à hauteur de 658,8 GWh, dont 165,6 de production concessionnelle, dans l'énergie nette appelée en 2010.


Par Lahcen OUDOUD | LE MATIN

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Siemens to supply wind turbines for two wind farm plants in Morocco
january 31, 2012

Siemens Energy has secured a wind power contract from Nareva Holding to supply a total of 44 wind turbines for the Haouma and Foum El Oued wind energy projects in Morocco.

Siemens enters Morocco’s wind energy market. Siemens has received its first wind power orders in Africa, marking the multinational’s entry into the continent’s wind farm market.

The company revealed that it will deliver 44 wind turbines, with a total capacity of 100 MW, to the Haouma and Foum El Oued wind farm plants in Morocco. Both wind power plants are expected to come on stream by 2013.

Morocco has set itself a target of increasing the contribution of renewable energy to 20% of total electricity generation by 2020.

Commenting on the latest announcement, Felix Ferlemann, CEO of Siemens’s wind power division, said: “These two wind turbines orders mark Siemens Wind Power’s entry on the African wind energy market and clearly show that our internationalisation strategy is successful.”

Siemens has announced plans to dramatically ramp up its African operations. It will invest $260 million to boost local manufacturing and to strengthen its sales teams on the continent. “As an integrated technology company Siemens is able to provide answers that Africa needs to tackle many of its infrastructure challenges. From wind turbine technologies that produce clean energy to technologies that can get electricity to the 560 million Africans who don’t have access,” said Siegmar Pröbstl, CEO of Siemens Africa.

The Haouma Wind Farm project will be built in northern Morocco, approximately 30 km east of Tangier, and 6 km south of the Mediterranean coast. At 50 MW, Haouma will feature 22 wind turbines. Foum El Oued will be built in one of the windiest areas of Morocco in the municipality of Laâyoune, 9 km south-east of the port of Laâyoune in southern Morocco.

evwind.es

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«Forbes Magazine» : «Le Maroc en passe de devenir un leader en matière d'énergie renouvelable en Méditerranée»



En s'engageant résolument à développer son potentiel en énergie renouvelable, le Maroc est en passe de devenir un leader en la matière dans le bassin méditerranéen, une situation qui n'est pas uniquement bénéfique économiquement, mais également en termes de rayonnement politique, soutient mardi «Forbes Magazine».

«Avec les changements politiques et économiques profonds qu'a connus l'Afrique du Nord l'année dernière, le programme de développement du potentiel du Maroc en matière d'énergie renouvelable a pris une nouvelle dimension», note la publication américaine dans un éditorial intitulé : «Le Maroc et le potentiel politique de l'énergie renouvelable».

Suite au réchauffement des relations entre Rabat et Alger et l'installation de nouveaux gouvernements en Tunisie et en Libye, «la mise en œuvre des partenariats longtemps relégués aux calendes grecques est devenue désormais une possibilité», relève «Forbes Magazine».

Et d'expliquer qu'«une Afrique du Nord unifiée économiquement donnerait aux pays de la région un poids certain en termes de production et d'exportation d'énergie sur le marche européen».

L'éditorial fait observer, à ce propos, qu'«avec une cohésion dans les efforts de production d'énergie dans le Maghreb, la région aura son mot à dire pour ce qui est des modalités de financement des projets, de partage des revenus et de définition de critères liés à la durabilité».


Une telle mutation, note-on, conduirait les consommateurs d'énergie sur la rive nord de la Méditerranée à appréhender le bien-être de la rive sud en tant qu'enjeu essentiel, une approche qui constitue un dépassement de la vision qui repose sur la sécurité et le pétrole.

«En développant l'énergie renouvelable, nous créons des solutions pour l'Europe, pas uniquement économiques, mais aussi sociales», a affirmé le directeur général de l'Agence marocaine pour le développement des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique, Saïd Mouline, dont les propos sont rapportés par «Forbes Magazine».

La publication rappelle, à ce propos, que le Maroc avait entamé depuis des années la consolidation de ses capacités en matière d'énergie renouvelable dans le but de satisfaire la demande interne, mais également en vue de répondre aux attentes et à l'intérêt exprimé par l'Europe.

La nouvelle stratégie énergétique marocaine, rappelle, par ailleurs «Forbes Magazine», a été confortée par le lancement en 2009 du projet de l'énergie solaire, d'un coût d'investissement estimé à 9 milliards de dollars, soulignant que le Royaume s'est fixé pour objectif de subvenir à 42% de ses besoins en énergie d'ici 2020.

Publié le : 22 Février 2012 - MAP
http://www.lematin.ma

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Parc éolien de Taza



Trois soumissionnaires ont répondu à l'appel d'offres
Les consortiums EDF Energies (France)/Mitsui et CO (Japon), ENEL Green Power (Italie)/TAQA (Emirats Arabes Unis) et International Power (G.B)/Nareva Holding (Maroc) ont répondu à l'appel d'offres lancé par l'Office national de l'électricité pour la réalisation du par éolien de Taza. D'une puissance installée de 150MW, ce parc est partie intégrante du Programme éolien intégré marocain qui vise une installation de 2.000 MW d'ici 2020.

Trois soumissionnaires pré-qualifiés ont répondu à l'appel d'offres de l'Office national de l'électricité (ONE) pour la réalisation d'un parc éolien d'une puissance installée de 150 MW (mégawatts) sur un site du nord-ouest de la ville de Taza.

L'ONE a procédé, vendredi dernier à son siège, à l'ouverture en séance publique des offres commerciales des soumissionnaires pré-qualifiés ayant répondu à cet appel d'offres, indique un communiqué de l'office. Il s'agit des consortiums EDF Energies (France)/Mitsui et CO (Japon), ENEL Green Power (Italie)/TAQA (Emirats Arabes Unis) et International Power (G.B)/Nareva Holding (Maroc), précise l'ONE.

Les trois offres commerciales ainsi ouvertes sont en cours d'évaluation et les résultats seront annoncés une fois l'évaluation achevée, ajoute la même source.

Ce parc, situé à environ 12 km de Taza, entre dans le cadre du Programme éolien intégré marocain d'un coût estimé à 31,5 milliards de dirhams et visant la réalisation de plusieurs parcs éoliens d'une puissance totale de 1.000 MW en vue d'atteindre, à l'horizon 2020, une capacité éolienne installée totale au Maroc de 2.000 MW.

Ce parc, dont la mise en service commerciale est programmée pour 2014, sera structuré suivant un schéma Build Own Operate and Transfer BOOT, associé à un contrat d'achat d'électricité par l'ONE pour une période de 20 ans.

Il sera réalisé dans le cadre d'un partenariat public-privé où l'ONE, la Société d'investissements énergétiques (SIE) et le Fonds Hassan II s'associeront à l'adjudicataire qui sera choisi au terme de l'appel d'offres précité, en vue de créer une société de projet de droit marocain.

Il devra occuper une superficie d'environ 800 hectares et sera réalisé sur une longueur totale de 24 km. Il est le premier parc éolien à développer dans le cadre du Programme éolien intégré et devra permettre une économie annuelle en CO2 de 300.000 tonnes.

Intégration industrielle

En outre, l'ONE avait lancé, en janvier dernier, la pré-qualification relative à l'appel d'offres afférent à la deuxième phase du programme éolien intégré marocain, qui consiste en la réalisation de cinq parcs éoliens d'une puissance installée totale de 850 MW, à développer suivant le même schéma BOOT ainsi que la fourniture et la maintenance des équipements nécessaires à la réalisation d'un parc éolien supplémentaire de 200 MW.

Cet appel d'offres vise, à travers une intégration industrielle développée, la promotion d'une industrie éolienne marocaine, la constitution d'une expertise de haut niveau et le renforcement de la recherche et développement dans ce domaine au niveau national, de sorte à permettre la maîtrise de la filière éolienne qui présente un fort potentiel pour le développement économique du Maroc.

MAP

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EOLIEN – EDF Energies Nouvelles s’installe au Maroc

EDF Energies Nouvelles annonce avoir été retenu pour le projet éolien de Taza au Maroc, d’une puissance de 150 MW. Désormais représenté dans le pays par sa nouvelle filiale EDF EN Maroc, installée à Casablanca, le groupe français entend « établir un partenariat de long terme avec le Royaume du Maroc ».

En partenariat avec le groupe japonais Mitsui & Co., la filiale d’EDF a été retenue comme « soumissionnaire préféré » par l’ONE marocain (Office National d’Electricité) pour le projet éolien de Taza, d’une puissance de 150 MW. Situé au nord du Maroc, à l’est de Fès, le projet éolien de Taza sera équipé de 50 turbines Alstom, d’une puissance unitaire de 3 MW.

Ce nouveau projet de 150 MW, lancé par l’ONE en mai 2011 dans le cadre d’un partenariat public-privé, sera suivi en 2012 par un processus d’appel d’offres complémentaire portant sur 850 MW dont la procédure de pré-qualification est en cours. Les autorités marocaines prévoient de réaliser un programme d’au moins 2GW d’énergie éolienne et 2 GW d’énergie solaire d’ici 2020.

http://www.enviro2b.com/2012/04/18/eolien-edf-energies-nouvelles-sinstalle-au-maroc

Citation :

Morocco to start work on 500 MW solar plant in 2012

By Souhail Karam

CASABLANCA, Morocco May 22 (Reuters) - Morocco plans to speed up tender processes for the development of a 2,000-megawatt solar energy plan, starting with the award this year of a first contract for 160 megawatts to be generated using concentrated-solar technology (CSP).

Mustafa Bakkoury, who chairs the Moroccan Agency for Solar Energy (Masen), said a winning consortium for that first phase of a 500-megawatt solar power plant, in the southern region of Ouarzazate, would be announced by the start of summer.

Ouarzazate's 500-megawatt complex, which should be completed by 2015, is the first in the so-called Moroccan Solar Plan that aims to produce 2 GW of solar power by 2020, which corresponds to 38 percent of the country's current installed power generation capacity.

"Works (on Ouarzazate's first 160-megawatt phase) will start in the third or fourth quarter of 2012 and we aim to complete the work," Bakkoury told the two-day Solar Maghreb conference in Casablanca.

Masen will pick a winner for the 160-megawatt parabolic trough plant from the three following consortia:

- Abeinsa ICI, Abengoa Solar, Mitsui and Abu Dhabi National Energy Co.

- Enel and ACS SCE

- International Company for Water and Power (ACWA), Aries IS and TSK EE.

Masen will then launch tenders to build a 50-megawatt photovoltaic module and CSP towers of at least 50 megawatts, both of which in Ouarzazate, Bakkoury said.

"We will be moving faster in the launch of Morocco's Solar Plan projects ... Our initial goal to have 2,000 megawatts from solar energy by 2020 is still on," he said.

Morocco has embarked on one of the world's biggest renewable energy development plans involving solar and wind power.

The solar power plan is worth $9 billion in investment and will include five power stations, two of which are located in the disputed Western Sahara.

Facing an electricity demand that rises by an annual 7 percent and a gaping trade deficit from heavy reliance on fossil fuel imports, Morocco also bets renewable energies would enable it to export electricity to energy-hungry trade partner, the European Union.

Coupled with a wind energy development scheme, the solar development plan should reduce Morocco's annual imports of fossil fuels by 2.5 million tonnes of oil equivalent and prevent emissions of 9 million tonnes of carbon dioxide.

Morocco aims to export surplus electricity to Europe via Spain, where it has a power market trading licence that allows it to sell electricity.

"We expect energy demand to double by 2020 and then to quadruple by 2030," said Taoufik Laabi, head of planning and strategy at power utility ONE. He noted that the percentage of solar-generated electricity that will be exported would depend on "availability of surpluses".

HIGH COSTS

Pending a drop in the high production costs of solar plants, the Moroccan government will cover any gap between the cost of producing solar electricity and the price ONE pays to buy the electricity from Masen, said Masen's Bakkoury.

"The costs are high but we think they will be declining going forward ... Developing solar power is an irreversible choice for us," said Bakkoury.

"I hope we will not rely on public funding for too long," he added. (Reporting By Souhail Karam; editing by Keiron Henderson)

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