Tourisme au Maroc

Rappel du premier message :

Citation :

Comme nulle part ailleurs sur Terre.

Mazagan Resort est vraiment magique côtières de destination, une attraction unique dans un pays extraordinairement fascinant qui bénéficie d'attributs naturels spectaculaires et une personnalité unique, dans une égale mesure.

Miles de superbes plages de sable fin, une merveille tempéré toute l'année le climat et la proximité des grandes villes du Maroc et l'Europe sont compensées par la création d'une destination qui est en second lieu à aucun sans précédent pour les installations et les services.

Surplombant l'océan Atlantique et dans de magnifiques jardins paysagers, la station dispose d'un hôtel cinq étoiles, à l'exclusion des casinos, un tonique de santé et de beauté centre polyvalent de convention et de conférence, une discothèque, la fine cuisine des restaurants, des boutiques de détail et d'un terrain de golf conçu liens par Gary Player.

Qui plus est, villas contemporaines exécutif discrètement situé sur les liens de golf offrent le summum du luxe vie.

je vous laisse avec les images:

Magnifique émission sur les oasis au Maroc

c est ca le fond de commerce qu il faut entretenir en meme temps le secteur de l'artisanat en profite il faut donner des marchers aux maalems de tout le royaume pour exposer leur savoir faire
non pas les laisser faire face aux mafias de rapaces qui les exploitent en leur achetant des articles très bas prix pour les revendre a prix d or aux touristes

en écho à l'étude portant sur le chômage et la sous-qualification des jeunes, le tourisme est le seul secteur susceptible de générer de nombreux emplois à court terme. Si le plan Azur avait été bien mené et l'objectif des 20 millions de touristes atteint en 2020, cela aurait généré entre 300 et 400 000 emplois. aucun autre secteur ne peut valablement offrir autant d'emplois en si peu de temps.
Il va par contre falloir sérieusement investir dans les écoles hôtelières et les instituts de langues étrangères. Le redéploiement vers le marché asiatique doit être entrepris avec sérieux, car porteur.
Compte tenu de la sous-qualification des jeunes, je ne pense pas qu'il soit possible de résorber le chômage rapidement dans d'autres industries. Cela requiert un "reformatage" complet. Le tourisme présente l'avantage d'offrir un large éventail de compétence qui peuvent être mises à niveau en peu de temps. Sans compter que l'informel touche peu ce secteur, compte tenu des contrôles.

Oui mais le tourisme est un secteur sensible et très volatile au regard de la situation sécuritaire !

Il y a eu les "printemps arabes" et attentats qui ont eu des impact certain sur notre stratégie !

En outre les européens ont de moins en moins de pouvoir d'achat et la création de marché extérieur ne se fait pas du jour au lendemain.

Pour la Chine on récolte 10 ans de travail depuis l'exposition international de 2008 !!!! Plus campagne marketing intenses ! Le faible volume ( 40 000) touriste en 2017 ne justifié pas d'investir massivement sur place pour répondre au spécificité du touriste chinois...

Maintenant que la barre des 100K est franchi la ça demande reconsideration !

Idem il faut muscler la RAM pour être capable de capter ce marché la sinon ça sera Air France Emirates et Turku airline qui mangeront le cadeau...

100 % de notre pub a destination des touristes passe par google et walou par Baidu, alors que les chinois ne consultent que cette plateforme ! Pas de personnel parlant mandarin, ou si peu. Les Turcs sont allé recruter des chinois qui apprennent le turque en 6 mois . Il faut faire pareil, faire venir des chinois pour assurer les traductions et gestion de la restauration (la bouffe est un point nodal chez les chinois). Prévoir des fiches de police en mandarin (même les petits détails comptent) et prévoir des circuit incluant le shopping dont raffolent les chinois. les chinois dépensent 2,2 fois plus que les touristes européens, ça mérite bien quelques efforts de notre part.
plus globalement, si nous faisions plus d'effort a tous les niveaux de cette industrie, nous serions déjà à 20 millions, même sans les chinois. j'ai moi même constaté que même un hotel classé, se déclasse trop vite chez nous. pas de rigueur dans la durée. Dommage, car un touriste est prescripteur de deux, mais ça va aussi dans l'autre sens, un client insatisfait nous prive de deux.

Quand je parlais du tourisme, grand pourvoyeur d'emplois à moindre coût. ..

Citation :

Lamia Boutaleb: 15 millions de touristes en 2021 

Par S.E.O.

Mercredi 28 février 2018 à 19h20


La secrétaire d'Etat a dévoilé quelques points de la future stratégie. La feuille de route du secteur sera exposée en détail le 2 avril prochain à Agadir. Le tourisme devient LA priorité, le secteur qui peut créer des emplois et rapporter des devises, en bref, faire du bien à la balance des paiements, à la politique de libéralisation et à la paix sociale.

 

Sortie publique de Lamia Boutaleb, secrétaire d'Etat au tourisme, ce mercredi 28 février, à l'occasion d'une conférence organisée par la Chambre de commerce britannique.

On y a appris que le tourisme (re)devient la priorité après la parenthèse des six dernières années où il a été mis sous l'éteignoir.

Le tourisme, c'est LA priorité: la seule progression naturelle, mécanique, crée 15.000 emplois par an, rappelle Lamia Boutaleb. Avec l'artisanat, c'est le secteur qui crée le plus d'emplois à moindre coût. "Le tourisme est la réponse à beaucoup de maux du Maroc. De plus, il contribue à l'aménagement du territoire".

Lamia Boutaleb qui est à l'aise avec les chiffres et avec la finance, rappelle que le tourisme contribue à la croissance et rapporte davantage au Maroc, que les phosphates ou l'automobile.

20 millions de tourisme dans le moyen terme, "nous y travaillons, ce n'est pas impossible". Pour 2021, ce sera 15 millions. Saïd Mouhid, président de l'Observatoire du tourisme, confirme: "nous sommes déjà 11,3 millions et 11% à 12% de hausse par an. En 2017, nous avons gagné 1 million de touristes. En 2018, nous devrions gagner un autre million. Pour atteindre 15 millions en 2021, il suffirait de 7%% de hausse linéaire par an".

Me Boutaleb: "nous faisons aprtie du club très fermé des 30 pays au monde qui reçoivent plus de 10 millions de touristes par an", ajoute-t-elle.

Mais avant la feuille de route, il faut une stratégie. Et celle-ci sera articulée sur l'aérien, la commercialisation, la promotion, la formation, le digital et l'investissement.

"2018 s’annonce une belle année. Nous avons une fenêtre d’opportunité de 6 mois à un an au minimum, pour prendre la trajectoire et atteindre les 20 millions de touristes".

Concernant l'aérien, Mme Boutaleb rappelle que "c’est l’open sky qui a permis d’atteindre les chiffres actuels. Non seulement, il rapène les touristes à faible prix, mais il fait notre com' sur Internet, pallie notre propre absence des réseaux numériques".

"50% des touristes viennent par le digital, l’individuel, les low cost sont donc notre priorité. Il faut aller vers les phases 3 et 4 et vers une vraie liberalisation du ciel, en tenant compte de notre compagnie nationale. C'est une équation difficile à résoudre, mais il faudra la résoudre. La RAM c'est très important pour nous, mais ce qui est important pour le Maroc, c'est le tourisme avant tout": voilà qui est dit.

Lamia Boutaleb accorde de l'importance aux aéroports, premier et dernier contact du touriste avec le pays. A la commercialisation: "4 TO représentent 80% du marché européen, il faut leur faire du corps à corps. Ils ont leurs propres avions, leurs concepts, leur personnel sur place, créent des emplois directs chez nous"?

 

Le digital devient vital et le Maroc est en retard: "il n'y a plus de offline, plus de pub dans le métro, tout devient online, et nous n'avons pas fait grand chose aujourd'hui sur ce terrain".

Pour ce qui concerne l'investissement, les banques ne financent plus le tourisme. Elle confirme qu'un Fonds de défaisance va être créé pour alléger les portefeuilles des banques des créances en souffrance et leur permettre de nouveau de financer le tourisme.

Elle confirme également les discussions avec Airbnb: "on ne peut pas demander aux investisseurs de continuer, de construire des hôtels, de payer des taxes, d'employer du personnel, alors qu'il y a une telle concurrence. Airbnb, on est en train de travailler avec eux, ils sont prêts". Elle n'en dira pas davantage. Mais l'on sait que l'idée est de dupliquer le modèle français en faisant payer des taxes aux loueurs de chambres ou d'appartements, collectées et reversées par Airbnb

Medias24

""Tourisme : Aucune perturbation n’a été enregistrée suite au double meurtre d’Imlil""
Les commanditaires de l'assassinat des deux touristes scandinaves n'ont donc pas atteint l'objectif escompté. Trop de terrorisme à travers le monde a fini par tuer le terrorisme.

Notre chance et qu'il y a eu bien pire et plus massif en Europe ! C'est cinique à dire mai leur faille sécuritaire nous sauvé indirectement !

4 mort en Égyptes aujourd'hui

regardez comment les voyoux volent les touristes minute 11:20

Christiano Ronaldo fait la promotion de sa chaine d'hotel Pestana CR7 Marrakech qui va ouvrir début 2020.




source : https://www.instagram.com/p/BxKEAdrgKiY/?utm_source=ig_embed

Adam a écrit:

Franchement le CDC ferait mieux de fermer sa grande gueule. L'eau de Flint, Michigan est potable peut-etre? Il en va de meme pour le Nebraska et l'Oklahoma où le fracking a rendu toutes les nappes fréatiques dangereuses pour la santé.

Quant au Maroc, l'eau du robinet est plus contrôlée qu'aux Etats Unis. Les villes qui ont des sources d'eau abondantes autour auront une eau avec un meilleurs goût mais ce sera toujours une eau propre à la consommation.

https://www.medias24.com/tourisme-les-nationalites-qui-ont-booste-les-recettes-en-devises-du-maroc-4154.html

Citation :

Tourisme: les nationalités qui ont boosté les recettes en devises du Maroc

Les touristes français, allemands, américains, italiens et chinois sont ceux qui ont le plus participé à l’augmentation des recettes voyages en devises, entre 2016 et 2018.
......

Citation :

https://www.bladi.net/algeriens-voyages-maroc,65629.html

Moi qui pensait qu'ils allaient sauver la saison

Opportunité...

Au Maroc, les couples non mariés (toujours) interdits d’hôtels et de locations de vacances

https://www.h24info.ma/maroc/au-maroc-les-couples-non-maries-toujours-interdits-dhotels-et-de-locations-de-vacances/


C'est désolant de voir tout les établissements touristiques ayant mis la clé sous la porte et les emplois détruits avec alors qu'on a un marché interne au potentiel extraordinaire...

Hôtel La Mamounia Marrakech

Le gouvernement a parfaitement conscience de ce qu'il est entrain de faire .... il tue le secteur touristique à petit feu !

Citation :

Tourisme à Marrakech : la colère noire de la ville ocre contre le plan d’urgence gouvernemental

Tourisme
LE 26 JANVIER 2022

“Mobilisation !” Dans la ville ocre, les professionnels du tourisme se sont passé le mot pour une manifestation massive ce 26 janvier. Objectif affiché ? Dénoncer le plan d’urgence de 2 milliards de dirhams annoncé par le gouvernement à destination du tourisme. Cette première bronca des professionnels dans la capitale du tourisme pourrait prendre des allures de manifestations hebdomadaires jusqu’à la réouverture des frontières.

De capitale de la relance du tourisme post-Covid au Maroc à capitale de la contestation contre la fermeture des frontières et le plan d’urgence gouvernemental. À Marrakech, guides touristiques, restaurateurs, artisans, chauffeurs de taxi et caléchiers se mobilisent pour une manifestation massive ce mercredi 26 janvier, avec un cahier revendicatif chargé.

Lieux symboliques
Dans un avis d’information adressé le 24 janvier à Karim Kassi-Lahlou, le wali de Marrakech, les organisateurs justifient leur manifestation par une “absence de vision adoptée par le gouvernement” sur le tourisme, un manque de “réponse claire et convaincante quant à la question de la réouverture des frontières”, une “aggravation du chômage depuis plus de 20 mois” ou encore une “absence de stratégie efficiente d’accompagnement et de soutien des professions liées au tourisme et à l’artisanat”.

Avec pour point de départ la Place Bab Jdid, le cortège de la manifestation de ce 26 janvier devrait s’acheminer devant le siège de la Wilaya de Marrakech après avoir traversé Bab Jdid, la place Jemaâ El Fna, l’avenue Mohammed-V ou encore le siège de la Délégation régionale du tourisme. “Des lieux symboliques pour le tourisme à Marrakech”, précise pour TelQuel Ahmed El Jabri, le secrétaire général du Syndicat national indépendant des guides touristiques agréés.

“Les représentants du secteur du tourisme qui participent à cette marche réclament au gouvernement la réouverture des frontières, mais aussi l’équité dans la répartition des 2 milliards de dirhams qui ont été consacrés au sauvetage du secteur touristique”, résume le responsable associatif.

Et pourtant, la capitale nationale du tourisme au Maroc était bien partie pour devenir le symbole de la relance du secteur post-Covid.

Réunion sélective
À la tête d’une importante délégation, Fatim-Zahra Ammor, la ministre du Tourisme et de l’Artisanat, avait choisi la ville ocre pour y déployer les premiers projets de sa stratégie de relance. Une tournée expresse de deux jours pour rencontrer les professionnels du tourisme dans la région, mais qui a laissé un certain goût d’inachevé.

“Elle a reçu certains professionnels du tourisme lors de cette tournée, sans que l’on sache les critères sur lesquels elle s’est basée pour les recevoir. Toujours est-il qu’elle n’a pas rencontré tous les représentants du secteur touristique. C’était en quelque sorte une réunion sélective avec la présence des grands hôteliers de Marrakech. La quasi-majorité des représentants des secteurs qui sont vraiment touchés par le Covid-19 n’ont pas été invités à participer à cette réunion”, révèle Ahmed El Jabri.

“La ministre nous a promis les mêmes mesures que les hôteliers. Chose qui n’a pas été faite lorsque les mesures du plan d’urgence ont été annoncées, avec des conditions tellement compliquées qu’il sera difficile d’obtenir ces subventions”, pointe Imane Rmili, la toute nouvelle présidente de la Fédération nationale des restaurants touristiques (FNRT) qui a été reçue par la tutelle, mais ne participe pas à la manifestation. La raison tient à une question organisationnelle : “Notre fédération vient de naître il y a quelques jours. Nous n’avons pas participé à l’organisation de la marche, nous ne savons pas comment c’est organisé. Mais cela n’empêche pas que nous sommes solidaires avec tout le secteur touristique.”

Le même motif est avancé par plusieurs autres fédérations métiers, qui ne veulent pas se prononcer pour l’instant, préférant observer le mouvement naissant de protestation. Joint par TelQuel, le ministère du Tourisme n’était pas disponible pour répondre à nos sollicitations.

Les oubliés du plan gouvernemental
Alors que la fermeture des frontières avait déjà prolongé la crise du tourisme, les professionnels réclamaient une ouverture immédiate des frontières pour faire apparaître le Maroc sur les radars des touristes et des opérateurs étrangers. À défaut de cette réouverture, le gouvernement a annoncé un plan d’urgence de 2 milliards de dirhams pour tenter de sauver les entreprises touristiques de la crise.

Mais à peine annoncé, ce plan d’urgence fait déjà polémique. Les agences de voyages se disent exclues d’une partie des cinq mesures couvertes par le plan de sauvetage, dénoncé comme non inclusif. Si la Fédération nationale des agences de voyages du Maroc (FNAVM) a été reçue au siège du ministère ce mardi 25 janvier, les discussions n’ont pas conduit à leur intégration dans le reste des mesures. Après une première lettre de demande d’explications adressée à Fatim-Zahra Ammor, Mohamed Semlali, le président de la FNAVM, envisage de porter l’affaire devant Aziz Akhannouch, le chef du gouvernement.

La polémique concerne aussi la répartition des 2 milliards de dirhams entre les différentes fédérations de professionnels. La moitié de l’enveloppe globale, soit 1 milliard de dirhams, a été allouée aux hôteliers à des fins d’investissements dans l’entretien, la rénovation des infrastructures ainsi que la formation. Un deux poids, deux mesures que dénoncent également les manifestants de Marrakech.

Vers des marches hebdomadaires ?
Essentiellement tournée vers le tourisme, l’économie de la ville s’est affaissée avec une place Jemaa El Fna désertée de ses touristes, ses hôtels et ses maisons d’hôtes fermées qui décrépissent et ses milliers d’emplois perdus.

Capitale touristique du Maroc, Marrakech n’est que le berceau de la contestation contre le plan gouvernemental et la fermeture des frontières. Dans des messages relayés sur leurs différentes plateformes, les organisateurs appellent également à des manifestations le même jour dans les villes de Rabat, Agadir, Fès, Ouarzazate, Errachidia, Tanger, Laâyoune ou encore Dakhla.

À l’heure où nous écrivons ces lignes, plusieurs autres catégories de métiers de Marrakech indirectement liées au tourisme (pharmacies, vigiles, éboueurs) ou directement attachées à ce secteur (serveurs, videurs de boîtes de nuit, porteurs de bagages) envisageaient de rejoindre le mouvement.

Selon nos informations, les manifestations de Marrakech pourraient aussi prendre la forme de marches ou de sit-in hebdomadaires (tous les mercredis) pour accentuer la pression et obtenir la réouverture des frontières. Dans la brèche ouverte par la capitale touristique du royaume, des professionnels des agences de voyages vont également manifester à Rabat et dans d’autres régions du Maroc contre la fermeture des frontières.

En guise de réponse à cette dernière demande, Aziz Akhannouch temporise, quand Nasser Bourita, le chef de la diplomatie, se dit favorable à une décision de réouverture des frontières, mais sous conditions. Pas de quoi apaiser la colère de la ville ocre.

https://telquel.ma/2022/01/26/a-marrakech-la-colere-ocre-de-la-capitale-du-tourisme-contre-le-plan-durgence-gouvernemental_1751682

Citation :

"AirBaltic annonce sa 1ère route vers le Maroc"
La compagnie aérienne airBaltic lancera l’hiver prochain une nouvelle liaison saisonnière entre Riga et Marrakech, sa première destination en Afrique.

A partir du 31 octobre 2022, la compagnie lettonne proposera deux vols par semaine entre sa base de Riga et l’aéroport de Marrakech-Menara, opérés en Airbus A220-300 de 145 ou 148 passagers. Les départs sont programmés lundi et vendredi à 7h35 pour arriver à 12h05, les vols retour quittant le Maroc à 12h50 pour se poser à 19h05 (durée de vol 5h30).

AirBaltic sera sans concurrence sur cette route proposée à partir de 149 euros aller simple, sa première vers le Maroc et le continent africain. Marrakech « est la ville la plus populaire pour les voyageurs internationaux au Maroc. C’est une excellente porte d’entrée vers les montagnes de l’Atlas, les déserts du Sahara et offre de nombreux lieux d’intérêt », souligne son communiqué.

https://www.air-journal.fr/2022-06-15-airbaltic-annonce-sa-1ere-route-vers-le-maroc-5236568.html