Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 Économie marocaine

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 1 Déc 2009 - 16:33

Rappel du premier message :

Économie marocaine - Page 18 573264

Ma première réaction a été d'exploser de rire ... Mais pour être honnête, c'est un bon début, tout à fait respectable ...

Les Débuts d'une industrie automobile locale ? J'espère ! Économie marocaine - Page 18 Icon_razz

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 27 Avr 2010 - 20:41

AMEDEUS a écrit:


Commentaire:ALHAMDOULILLAH,Nos céréales sont largement suffisantes pour l année suivante et nos agrumes et
fruits ont de l eau por trois ans.
pour les céréales c'est pas du tout suffisants, mais c'est pas mal !!!

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 27 Avr 2010 - 20:47

Fremo a écrit:
AMEDEUS a écrit:


Commentaire:ALHAMDOULILLAH,Nos céréales sont largement suffisantes pour l année suivante et nos agrumes et
fruits ont de l eau por trois ans.
pour les céréales c'est pas du tout suffisants, mais c'est pas mal !!!

AU CONTRAIRE...le budget avait prévu 60 MILLIONS QTX qui etait déjà pas mal

une année moyenne =45/50 MILLIONS QTX
alors 80 !!!!

on prévoit une croissance à 7 % cette année supp à 2009 Économie marocaine - Page 18 Icon_cheers
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 27 Avr 2010 - 20:53

atlas a écrit:

AU CONTRAIRE...le budget avait prévu 60 MILLIONS QTX qui etait déjà pas mal

une année moyenne =45/50 MILLIONS QTX
alors 80 !!!!

on prévoit une croissance à 7 % cette année supp à 2009 Économie marocaine - Page 18 Icon_cheers
la consommation des marocains des céréales dépasse ce chiffre, l'année derniére avec une production exceptionnelle qui a dépassé les 100M QTX et c'était pas tellement suffisante ... mais ca reste un chiffre important !!

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 27 Avr 2010 - 20:58

Disons PRESQUE suffisantes si nos citadins consommaient les produits locaux au llieu de cette farine blanche IMPORTEE
qui n a aucun gout et est tout a fait insipide.Mais ,bien sur tout peut etre discuté sauf les gouts ,et c est dommage.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMer 28 Avr 2010 - 17:11

Citation :
Equipements automobiles :Boulimie d’investissements

· Implantation d’une quinzaine d’opérateurs de premier rang
· Croissance de 30 à 35% à l’horizon 2015


Engouement sans pareil des équipementiers pour la capitale du Détroit. D’un seul coup, une quinzaine d’enseignes de premier rang sont en cours d’implantation au site de TFZ (Tanger Free Zone). Mieux encore, une dizaine d’industriels de 2e rang investissent la même zone franche.
Denso, Snop, Takata, Inergy Automotive Sytem, MTS Free Zone, Processos Industriales Del Sur... La liste des nouveaux entrants est encore longue. A moyen terme, l’objectif des responsables de Tanger Free Zone (TFZ) est d’attirer près d’une cinquantaine d’industriels/investissements. «Malgré une année 2009 difficile, le secteur des équipementiers a progressé de près de 20% pendant ces 5 dernières années», constate Laarbi Belaarbi, président de la Fédération de l’automobile au sein de la CGEM. Aux yeux de Belaarbi, dès 2011-2012, le secteur devrait connaître une croissance qui ira jusqu’à 30, voire 35%, en 2015.
En tout cas, la dynamique est enclenchée, relayée par l’effet Renault. L’usine suscite un grand intérêt pour les investissements dans l’écosystème de l’automobile (sous-traitance, pièces de rechange, maintenance, équipements…). Pour les opérateurs espagnols et portugais, investir le Maroc est une aubaine pour produire dans l’arrière-pays respectif et livrer le marché européen avec l’avantage d’un site de production à bas coûts. Parmi les industriels de premier rang, figure le japonnais Denso. Spécialisé dans l’air conditionné, Denso investit 12 millions d’euros (133 millions de DH) à Tanger. L’usine sera basée sur un site de TFZ, qui s’étend sur 2.500 mètres carrés avec pas moins de 250 emplois directs à la clef.
Dans la même catégorie de 1er rang, figure le français Snop. Cet opérateur d’emboutissage, en cours d’implantation, compte investir quelque 6 millions d’euros (66 millions de DH) et créer quelque 250 emplois directs. Autre investissement et non des moindres, le fabricant nippon d’airbags et systèmes de sécurité Takata qui s’installe sur une superficie de 10.000 m2. Montant global de l’investissement: 6 millions d’euros (66 millions de DH), avec la création de 125 postes d’emploi. Dans la même zone d’activité, l’on enregistre l’implantation du fabricant français Inergy Automotive Systems. Spécialisé dans les systèmes d’injection, Inergy Automotive Systems est le premier fournisseur mondial de systèmes à carburant complets en plastique et de technologies de stockage de carburant. Il s’implante également dans la zone franche de Tanger dans une usine livrée clé en mains. Le site s’étend sur une superficie totale de 10.000 m² pour un investissement en équipements de près de 6 millions d’euros (66 millions de DH) et 200 emplois directs créés.
Sur un tout autre registre, celui du 2e rang, là aussi les investissements sont de plus en plus nombreux. Parmi les derniers en date, l’espagnol Processos Industriales Del Sur. Opérant dans l’injection plastique, ce fabricant devra investir 3 millions d’euros (33 millions de DH). Son unité de production tangéroise va créer une cinquantaine d’emplois. Autres entrants, l’espagnol Viza Automocion. Spécialisé dans la fabrication d’armatures de sièges, cet opérateur investira pour sa part 5 millions d’euros (55 millions de DH) et créera près de 130 emplois. Par ailleurs, MTS Free Zone, qui est le fruit d’un partenariat entre le portugais Pinto Brazil et son compatriote Divmac, s’installe aussi à Tanger pour un investissement de 1 million d’euros (11 millions de DH) avec la création de 40 emplois. L’entreprise devra accompagner le tissu des équipementiers installés au Maroc, notamment à travers des prestations de maintenance industrielle.
A lui seul, cet aperçu sur les nouvelles implantations renseigne sur la diversification du site de production Maroc. Il y a quelques années, l’activité et les investissements dans ce secteur se limitaient principalement au câblage, filtres et autres coiffes de sièges… Aujourd’hui, l’activité monte en gamme et élargit son champ d’action.
Indéniablement, les nouveaux entrants vont monter dans la chaîne des valeurs et rehausser les standards de production dans des activités telles que l’emboutissage, le soufflage, la tôlerie… «Sur les 3.600 pièces que nécessite la production d’une voiture, 40% devraient être fabriquées à court terme au Maroc. A moyen terme, nous envisageons de couvrir 60% de la production automobile», annonce Omar Chaib, directeur commercial de TFZ. La tendance est donc à la diversification de la production, mais aussi à la diversification des débouchés.

Les Allemands prospectent

Les équipementiers allemands, eux aussi, sont intéressés par le développement de l’industrie automobile au Maroc. Plusieurs responsables d’entreprises allemandes feront le déplacement du 17 au 21 mai au Maroc. Freudenberg, Karmann, Magna, Mann+Hummel… des fabricants de premier rang spécialisés dans le câblage, plastique, textile, filtres, pièces métalliques, accessoires, pièces de rechange, raccordement… «Les équipementiers s’installent en tant que fournisseurs de Renault, mais aussi en tant que producteurs pour exporter directement aux pays européens», déclare Belaarbi. Au-delà du regroupement et du maillage autour de l’usine de Melloussa, l’exportation vers l’Europe est également un objectif affiché par des industriels. A titre d’exemple, l’usine de Peugeot à Vigo (Espagne) délocalise déjà une partie de sa production au Maroc.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeJeu 29 Avr 2010 - 23:24

Citation :
L'OCP annonce le lancement d'un fonds d'investissement agricole de 200 MDH

Meknès- Le groupe OCP a saisi l'occasion de la 5-ème édition du SIAM pour annoncer le lancement de son Fonds d'investissement agricole, "OCP Innovation Fund for agriculture", qui mobilisera dans un premier temps 200 millions de dirhams.

-Envoyés spéciaux -

"OCP Innovation Fund for agriculture" est opérationnel et s'apprête à finaliser le financement de quelques projets agricoles, a déclaré à la presse M. Mohamed Soual, directeur général de la Fondation OCP.

Ce Fonds se fixe pour objectif, sur une durée de quatre ans, de participer dans une quarantaine d'entreprises, associations et coopératives, émergentes ou en croissance, développant des projets de production végétale et animale, d'agrégation des agriculteurs et de valorisation et commercialisation de leurs productions.

Les crédits initiaux à récupérer, après un horizon de placement défini, seront replacés intégralement dans le Fonds pour permettre le financement de nouveaux projets, a-t-on précisé.

Porté par la Fondation OCP, ce Fonds d'investissement agricole se propose de financer des structures agricoles et agro-industrielles développant des stratégies d'accroissement et de diversification des productions agricoles, dont l'objectif est de renforcer le professionnalisme, d'organiser la production agricole et de moderniser les filières identifiées par le Plan Maroc Vert.

Il appuiera les opérateurs adoptant des méthodes compatibles avec les principes de protection de l'environnement, d'amélioration des ressources et de création de richesses et de revenus pour les populations qui comptent sur l'agriculture pour subsister.

Selon l'OCP, le Fonds, qui ambitionne d'impulser une dynamique créatrice d'emploi et de contribuer à la croissance de la productivité agricole du Royaume, investira prioritairement dans les projets agricoles situés dans les territoires d'implantation du groupe OCP et accompagnera les projets structurant tels l'irrigation raisonnée, la réhabilitation des terrains miniers ou encore la production de biocarburants.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeVen 30 Avr 2010 - 10:51

Citation :
Afrique: Les nouveaux relais de croissance

· Dynamique sans précédent des entreprises marocaines sur le continent

· Négociations d’un accord de libre-échange avec l’Union économique monétaire



Le Maroc courtise l’Afrique. Cette réalité n’est certes pas nouvelle, mais le rythme s’accentue davantage. Pour preuve, trois grands événements d’affaires sont organisés simultanément dans le pays. Il s’agit du Forum «Afrique Développement» organisé par Attijariwafa bank, des «Journées africaines des RH», organisées par l’AGEF aujourd’hui et demain, ainsi que le séminaire Régional africain sur la propriété intellectuelle qui se tient depuis le lundi dernier jusqu’au vendredi. A ces événements s’ajoute le Forum d’affaires organisé par Ubifrance le 6 et 7 mai. Le timing de ces manifestations n’est pas un hasard de calendrier.
Aujourd’hui, l’Afrique constitue pour les entreprises marocaines, qui ont atteint des tailles critiques, un relais de croissance très important. Relais qui leur permet de nourrir leurs ambitions à l’international. D’ailleurs, les filiales sont de plus en plus présentes dans le continent (ONA, Banque populaire, BMCE, CDG via sa filiale Cellulose du Maroc…).
Mais c’est la voie diplomatique, principalement en Afrique de l’Ouest, qui a permis d’ouvrir les portes aux entreprises marocaines dans la région. C’est le cas d’ailleurs au Sénégal, au Gabon, Burkina, Cameroun, Congo, Guinée équatoriale...
L’effort diplomatique a d’ailleurs aussitôt été relayé par des politiques d’implantation de grands groupes financiers. Parmi ces derniers, Attijariwafa bank, qui assure une présence dans une vingtaine de pays. En 2009, le groupe CBAO/Attijariwafa bank détenait 26,3% des ressources de la place. Mais le groupe ne s’arrête pas là. Il reprend les participations du groupe français Crédit Agricole dans cinq banques africaines (80% du crédit du Congo, 51% de la Société ivoirienne de banque, 65% de la Société camerounaise de banque, 59% de l’Union gabonaise de banque et 95% du Crédit du Sénégal). Montant global de la transaction: 250 millions d’euros. Pour sa part, le groupe BMCE réalise également des opérations de fusion-acquisition.
D’autres opérateurs ont également profité du balisage du terrain initié par la diplomatie. C’est le cas notamment pour l’ONA, l’Office national de l’électricité (ONE) qui a acquis des marchés au Sénégal, en Gambie, au Niger, en Sierra Léone et au Tchad. Par ailleurs, l’ONEP assure la gestion par affermage de l’eau potable au Cameroun. Autre secteur à fort potentiel de développement en Afrique, les télécoms. Sur ce registre, Maroc Télécom assure un transfert de technologies en Mauritanie, au Gabon, au Mali et au Burkina Faso.
Compte tenu du fort potentiel, tous azimuts, pour l’entreprise marocaine et les filières exportatrices, Maroc Export a organisé l’année dernière une caravane en Afrique de l’Ouest. Une opération qui a regroupé une centaine de chefs d’entreprises marocains. Objectif: prospecter de nouveaux partenariats dans la région. Compte tenu du succès rencontré l’an dernier, Maroc Export reconduit cette opération en mai vers Libreville, Douala et Malabo.
A cela s’ajoutent les négociations avancée sur un accord de libre-échange avec les pays de l’Union économique et monétaire de l’Afrique de l’Ouest (UEMOA). L’aboutissement de cet accord devra booster davantage le dynamisme marocain en Afrique.

--------------------------------------------------------------------------------

Echanges

Ce dynamisme sur le continent se vérifie également par l’augmentation du volume des échanges commerciaux avec les pays africains. En valeur, le montant des échanges est passé de 533 millions de dollars en 1998 à 3 milliards de dollars en 2008 (soit une croissance de 460%). Mais, le Maroc n’est pas le seul à manifester de l’intérêt pour ce marché. Ce dernier attire de plus en plus. En plus des pays historiquement présents comme la France, d’autres y investissent depuis quelques années déjà.
C’est le cas notamment pour la Chine, l’Inde et le Japon. Les Américains, qui étaient moins présents, ont reconsidéré leur position. La visite d’Obama au Ghana en 2009 est un signe très fort de la nouvelle politique économique. Cette concurrence sur le marché africain a eu comme résultat une croissance considérable des IDE qui sont passés de 36 milliards de dollars en 2006 à 53 milliards de dollars en 2007.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeDim 2 Mai 2010 - 15:43

SrourKhamna a écrit:
Citation :
La future Place Financière de Casablanca insufflera une nouvelle dynamique à l'économie nationale (Said Ibrahimi)


Rabat, 27/04/10- M. Said Ibrahimi, que SM le Roi a nommé, lundi, directeur général de la société qui sera dédiée à l'aménagement et à la gestion de la Future Place Financière de Casablanca, a affirmé que cette place insufflera une nouvelle dynamique à l'économie nationale tant en ce qui concerne le produit intérieur brut, la création d'emplois que le taux de croissance.
M. Ibrahimi, qui était lundi l'invité du journal télévisé d'Al Oula (édition de la soirée), a précisé que cette place, dont la création s'inscrit dans le cadre des grands chantiers lancés par le Souverain pour le développement du Royaume, permettra d'accompagner les investisseurs, d'attirer de grands investissements étrangers et d'accompagner les grandes mutations économiques mondiales.
La future place financière, a t-il dit, sera l'interlocuteur officiel des investisseurs ainsi que de toutes les autres parties qui doivent adhérer à ce grand projet d'envergure qui implique plusieurs départements tels l'Economie et les Finances, la Justice, l'Intérieur, l'Equipement et les Transports.


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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeLun 3 Mai 2010 - 12:18

Citation :
80 millions de quintaux de céréales et une accélération des investissements agricoles

-La deuxième année du Plan Maroc Vert a été consacrée aux projets structurants et à la mise en place des structures d’accompagnement.
-Des contrats programmes signés avec toutes les filières et des investissements dans les nouveaux projets à hauteur de 10 milliards de DH.
-Prochaines priorités : mobilisation du foncier, développement des cultures biologiques et du terroir...


Économie marocaine - Page 18 Affiche_image?article=16497

Comme lors de la deuxième édition, les IIIe Assises de l’agriculture, qui se sont tenues à Meknès, mardi 27 avril, ont été l’occasion pour Aziz Akhannouch, ministre de l’agriculture et de la pêche maritime, de dévoiler les prévisions de la récolte céréalière prévue au titre de la campagne en cours. Bonne nouvelle : en dépit d’une pluviométrie, certes abondante mais trop concentrée dans le temps, ayant affecté plusieurs régions, la production céréalière tournera autour de 80 millions de quintaux, soit 33% de plus que ce qui a été programmé dans la Loi de finances. En tout état de cause, les céréales ne constituant qu’une part de la production agricole du pays, l’autre bonne nouvelle, qui devrait mettre du baume au cœur des exploitants de périmètres irrigués, est que le remplissage des barrages a atteint un taux de 93%, permettant de couvrir les besoins des trois prochaines années.
Ces assises constituaient aussi et surtout l’occasion de dresser un bilan de la deuxième année du Plan Maroc Vert (PMV). Cette étape a connu une accélération des réformes par une restructuration du ministère de l’agriculture et la mise en place de nouvelles structures pour la réalisation des objectifs fixés, à côté de la mise en place des déclinaisons régionales du Plan.

Plus d'intrants, d'engrais, de tracteurs et de systèmes d'irrigation

L’année 2009 a aussi enregistré la réalisation de 50% des objectifs de la Vision 2020 dans les domaines de l’agrumiculture avec une production de 1,5 million de tonnes et de l’oléiculture (1,4 million de tonnes). Elle s’est également caractérisée par une modernisation des techniques agricoles dont un doublement de l’utilisation des intrants, l’augmentation de 55% des équipements des exploitations agricoles en matériel économe en eau et une forte augmentation de l’utilisation des semences sélectionnées (1,13 million de quintaux). L’utilisation du matériel agricole alliant l’efficacité et la rentabilité est devenue une priorité, et l’équipement des exploitations agricoles marocaines a atteint, pour 10 000 ha, 57 tracteurs alors que les normes préconisées par la FAO sont de 70. Sur le plan de l’accompagnement, on notera également la participation du Fonds Hassan II au PMV avec une enveloppe annuelle de 200 MDH et l’implication des banques partenaires qui ont développé des produits financiers spécifiques.

18 projets d'agriculture moderne : 8,5 millliards de DH d'investissement

En aval, ce sont les débouchés d’exportation qui ont été soit élargis, en vertu du nouveau protocole agricole signé avec l’Europe, soit diversifiés, avec la possibilité, pour la région du Souss, d’exporter des tomates vers les USA.
Dans le cadre du premier pilier, celui de l’investissement dans l’agriculture intensive, ce ne sont pas moins de 9 contrats programmes qui ont été signés avec des opérateurs des différentes filières, permettant d’institutionnaliser le cadre d’investissement et de production, sachant que les troisièmes assises ont connu la signature d’un dixième accord public/privé portant sur le palmier-dattier (voir encadré). Mais déjà, l’an II du PMV aura permis l’accélération de la dynamique d’investissement par la réalisation de 18 projets d’une enveloppe globale de 8,5 milliards de dirhams. Concernant le deuxième pilier, celui de l’agriculture solidaire, 50 projets, concernant 130 000 bénéficiaires, dans 5 régions du pays, ont été ciblés. Ils généreront un investissement de 2 milliards de DH.
Dans la même optique, on retiendra le lancement de 40 projets sur 45 000 ha au nord du pays, 5 grands projets sur 50 000 ha dans les régions sud et un projet de plantation d’un million de palmiers dattiers dans la région Meknès-Tafilalet. Pour la troisième année de mise en application du PMV, les actions structurantes étant lancées, c’est le soutien à la dynamique d’investissement qui mobilisera les efforts. Le département de l’agriculture compte mobiliser 30 000 ha de terres par an à mettre à la disposition des investisseurs. 112 nouveaux projets sont déjà dans le pipe dont 54 concernent les filières de production à haute valeur ajoutée (agrumes, légumes, lait, sucre…) et 58 projets régionaux concernant les plantations et les petits projets.
Le ministère a aussi établi un programme de développement des cultures biologiques et du terroir avec des projets régionaux visant à aider les agriculteurs dans le domaine des intrants et dans le renforcement de leurs capacités commerciales. Cela nécessitera aussi la mise en place d’un cadre juridique pour définir les méthodes de la production biologique.
Il est prévu enfin le développement de la recherche agronomique ainsi que la refonte de la stratégie de vulgarisation agricole. Sur le plan formation, il est à signaler le début de l’instruction de 60 000 fils d’agriculteurs et le lancement d’une école doctorale à l’IAV Hassan II.
Conventions :De l'argent, des projets et des infrastructures


Quatre conventions, un contrat programme et un protocole d'accord ont été signés entre les opérateurs privés, les ministères et les acteurs locaux, en marge des assises du 27 avril.

• Convention relative à la valorisation du projet «Agropolis» par Med-Z filiale de la CDG

• Contrat programme entre le gouvernement et la profession relatif au développement de la filière dattière. Portant sur une enveloppe de 7,6 milliards de dh, il a pour objet de mettre en place un programme de mise à niveau de la filière dattière.

• Convention cadre visant le développement d'infrastructures d'irrigation, y compris une usine de dessalement d'eau de mer, dans la zone maraîchère de Chtouka dans la région de Souss-Massa (signée entre le gouvernement et la SFI).(*)

• Convention spécifique à l'accompagnement bancaire des petits et moyens producteurs. Elle a pour objet de fixer les conditions et les modalités de financement par Tamwil El Fellah (Crédit agricole) des producteurs exclus du financement bancaire classique, dans le cadre de projets d'agrégation et ceux relevant du pilier II.

• Convention de partenariat entre le gouvernement et la SGMB qui s'engage à mobiliser, pour le financement des projets agricoles, une enveloppe de 3 milliards de dirhams sur une durée de 5 ans.

• Protocole d'accord entre le ministère de l'agriculture et Coca cola Export company pour un don de 10 Mdh en soutien au pilier II du PMV.
Vieeco

*
Citation :
IFC Signs Agreement with Government of Morocco to Improve Water Supply, Support Agriculture

IFC, a member of the World Bank Group, today signed an agreement with the government of Morocco to support private investment in a new desalination and irrigation plant that will help improve the water supply to a vital agricultural region.

IFC will advise the Ministry of Agriculture on structuring a public-private partnership to build the desalination and irrigation plant in the Chtouka area, a region near the coast that relies heavily on agriculture. The demand for water in the area has grown together with trade to Europe, depleting the aquifer in the region.

The plant will have an estimated annual capacity of between 60 and 85 million cubic meters. IFC will help ensure that the project is financially and environmentally sustainable.

“This project will restore a sustainable balance in water use in Chtouka and maintain the high value added of agricultural production in the area,"
said Aziz Akhannouch, Minister of Agriculture and Marine Fisheries.

“Encouraging private investment in infrastructure and ensuring the environmental sustainability of projects are IFC priorities in the Middle East and North Africa. The desalination and irrigation plant in the Chtouka area will support agriculture, an important industry in Morocco, and help create jobs for the surrounding community,” said Rashad Kaldany, IFC Vice President for the Middle East and North Africa.

The project builds upon IFC's previous work advising and helping the Ministry of Agriculture to implement Morocco's first public-private partnership, the El Guerdane Irrigation plant.

IFC's advisory services programs work with governments to structure commercially viable public-private partnerships to help increase access to and improve the quality of public services, alleviate budgetary constraints, and attract private sector expertise and investment.
http://pr-usa.net/index.php?option=com_content&task=view&id=386088&Itemid=32

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeLun 3 Mai 2010 - 18:20

Citation :
Un Groupe hôtelier espagnol décide de s'implanter au Maroc


Madrid, 03/05/10 - Le Groupe hôtelier espagnol "AC Hotels" a décidé de
s'implanter au Maroc en signant un accord avec le Groupe marocain
Pétrole du Maghreb (Petrom) pour l'ouverture de plusieurs hôtels dans
les principales villes du Pays, rapporte lundi le journal économique
"Cinco-Dias.com".


"AC Hotels" vient
de sceller une alliance avec Petrom pour l'ouverture de nouveaux
hôtels dans les principales villes du Maroc. La compagnie marocaine,
spécialisée dans la distribution de produits pétroliers, se chargera de
la construction des établissements hôteliers, tandis que le Groupe
espagnol s'occupera de leur gestion, a précisé la même source.
Avec cet accord, le Groupe "AC Hotels", également présent en Italie et
au Portugal, fait sa première entrée au Maroc.
Le Groupe espagnol prévoit en 2010 de récupérer le rythme d'ouverture
de nouveaux établissements hôteliers. En 2009, "AC Hotels" avait
ouvert quatre hôtels contre 17 en 2008.
"En 2010, les choses ont commencé beaucoup plus mieux qu'en 2009, une
année catastrophique pour l'industrie hôtelière", selon le président de
AC Hotels, Antonio Catalan, cité par "CincoDias.com".
Ce groupe prévoit de réaliser un chiffre d'affaires prévisionnel de
230 millions d'euros fin 2010, en augmentation de 15 pc par rapport à
2009, et un bénéfice brut d'exploitation de plus de 40 millions d'euros,
selon la même source.
Le Groupe espagnol, qui compte 91 établissements hôteliers
opérationnels, centralise ses activités en Espagne où il possède 79
hôtels.


MAP


Citation :
L'américain Mentor Graphics s'installe au Technopolis de
Rabat



La société marocaine est une base offshore de R&D orientée
principalement vers les clients européens.
Elle devrait employer 100 personnes dont une majorité d'ingénieurs.

L’américain Mentor Graphics prend pied au Maroc. La Vie éco a appris que
ce géant mondial du marché de l’EDA (Electronic Design Automation ou
automatisation de la conception électronique) vient de créer, via sa
filiale néerlandaise, une entité marocaine basée à Rabat Technopolis,
site qui attire de plus en plus d’investisseurs étrangers au même titre
que son alter ego de Casablanca (voir page 27).
Première implantation directe du groupe Mentor Graphics en Afrique,
Mentor Graphics Morocco (MGM) ambitionne de s’ériger en base offshore de
recherche & développement orientée principalement vers les clients
européens de son groupe qui est présent dans pas moins de 13 pays du
Vieux Continent. La plate-forme de Technopolis devra atteindre
rapidement une taille critique de 100 employés dont une majorité
d’ingénieurs, et ce, afin de pouvoir accompagner des projets importants.
Elle viendra compléter un dispositif industriel et technologique déjà
assez étoffé dans les pays à faible coût de la main-d’œuvre comme
l’Inde, la Chine ou Israël.
MGM sera également partie prenante d’un important partenariat conclu
récemment, en mars 2010, entre la maison mère américaine et le
franco-italien ST Microelectronics (déjà présent au Maroc) et qui vise à
concevoir conjointement des puces à haute finesse de gravure (de 32
nanomètres jusqu’à 20 nanomètres).

4 500 employés dans le monde, 800 millions de dollars
de chiffre d'affaires


Mentor Graphics, dont le siège social est à Wilsonville (Etat de
l’Oregon) et qui est coté au Nasdaq, emploie près de 4 500 employés à
travers le monde et revendique un chiffre d’affaires 2009 de 800
millions de dollars (plus de 6,5 milliards de DH). Ses solutions de
conception logicielles et matérielles permettent aux entreprises de
développer plus rapidement des produits électroniques de pointe en
optimisant leurs coûts. En outre, elles aident également les ingénieurs à
relever les défis liés à la complexité croissante des conceptions de
cartes et de circuits intégrés. Les clients de Mentor Graphics, qui
revendique la qualité d’unique société du marché de l’EDA à proposer une
solution logicielle intégrée, sont issus principalement des secteurs de
semi-conducteurs, l’automobile, l’aéronautique, la Défense et les
télécommunications.


Citation :
Offshoring : La destination Maroc est la première en Afrique.

Casanearshore et Rabat Technopolis en
passe de réussir leur pari


Les deux premières tranches de Casanearshore ont fait le plein,
40 entreprises qui emploient 7 000 personnes y travaillent.

A Rabat, la première tranche du Technopolis est commericalisée à 96%
et abrite 17 entreprises totalisant 2 000 emplois.


Succès pour les premières zones dédiées à l’offshoring ouvertes au
Maroc. Mohamed Lasry, le patron Medz, filiale de la CDG en charge de
plusieurs projets de ce type dans le Royaume, a de quoi afficher sa
satisfaction. Les deux fleurons de l’offshoring que sont Casanearshore
et Rabat Technopolis connaissent des débuts plus que prometteurs.

Ainsi, entre 2006, année de lancement de Casanearshore, la construction
de la première tranche en juin 2008, et aujourd’hui, le chemin
parcouru est long. Six entreprises marocaines et 39
opérateurs étrangers qui emploient plus de 7 000 personnes ont élu
domicile sur ce site. Sur les deux tranches réalisées (les deux autres
seront livrées fin 2011) d’un total de 3 000 postes de travail, on
commence déjà à se sentir à l’étroit. Et Mohamed Lasry réfléchit à des
solutions pour satisfaire la demande grandissante.

Le site fait preuve d’un dynamisme étonnant. Il compte cinq agences
bancaires et un food court (réunissant plusieurs enseignes de
restauration) qui sert 2 000 repas par jour. Plusieurs guichets uniques y
sont déjà présents comme ceux de la Caisse nationale de sécurité
sociale (CNSS), de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi et
des compétences (ANAPEC), de la commune, de l’Office de formation
professionnelle et de la promotion du travail (OFPPT) ou encore le
Centre régional d’investissement (CRI) de Casablanca.

Des commerces, un restaurant VIP, une crèche et un cabinet de médecine
de travail sont en cours de commercialisation. Et puis, que ce soit en
moyens de transport (deux lignes de bus le desservent: n° 2 et n° 53) ou
pour la fluidité de la circulation, l’endroit ne connaît pas de
problèmes récurrents ou significatifs. Enfin, Casanearshore commence à
rapporter de l’argent. Pour le 4e trimestre 2009, il a réalisé un
chiffre d’affaires de 9,57 MDH (les loyers sont payés par trimestre).
Les recettes sont montées à 24,4 MDH au terme des trois premiers mois de
l’année en cours, soit une progression de 24%.

Fès, Marrakech ou Agadir : aucun projet n'est mis en
veilleuse


Au Technopolis de Rabat, quoique moins avancé, la situation est très
prometteuse puisque, avec la seule première tranche achevée et
commercialisée à 96%, le site est aussi animé. Il abrite, en effet, 17
entreprises qui emploient 2 000 personnes. Pour le premier trimestre
2010, le chiffre d’affaires s’est élevé à 9,85 MDH, en hausse de 3% par
rapport au dernier trimestre 2009.

Et Medz ne met pas en veilleuse les prochaines zones comme Fès,
Marrakech ou Agadir. «Nous ne comptons pas décélérer car tous les
indicateurs nous donnent raison. D’abord les taux d’occupation et puis,
durant la crise économique, parmi les rares secteurs qui ont, non
seulement résisté mais ont connu de la croissance, on compte
l’offshoring. Mais, bien entendu, l’équilibre à trouver dans notre
activité est celui qui se situe entre aller plus vite que la charrette
et ne pas trouver acquéreurs et aller trop lentement et de n’avoir rien à
livrer à la demande avec un risque de perte de crédibilité en tant que
destination. Et c’est le pire qui puisse arriver à un investisseur
qui, sur plusieurs sites, met plus d’une dizaine de milliards de DH en
jeu», explique Mohamed Lasry.

Justement, comment travaille-t-on à la promotion de l’offshoring
national ? Anouar Atmani, directeur commercial, et son équipe ne
s’occupent que du volet de la commercialisation à longueur d’année. Pour
ce dernier, il n’y a pas de mystère : «Le domaine bien que
relativement récent est d’une transparence confondante. Chaque position
a un prix et les opérateurs décident en fonction d’un benchmarking, de
prix des télécoms, par exemple, ou encore de facteurs humains telles
les compétences et le prix de la main-d’œuvre mais aussi sa
spécialisation».

Ainsi, le travail de l’équipe commerciale est d’être en contact étroit
avec les donneurs d’ordre et tous ceux qui interviennent dans le conseil
des destinations. Tout le monde doit être informé sur le produit
Maroc, qu’il s’agisse de la presse spécialisée, des foires ou des
expositions spécialisées.
Karima Benkhallouq, membre de l’équipe commerciale, ajoute que le Maroc a
atteint une certaine maturité en un temps record.

En témoigne le fait qu’après avoir fait entendre sa voix un peu
partout, il est aujourd’hui classé 30e sur 50 destinations. Il est
mieux noté que l’Egypte et vient tout juste après la Pologne. En
Afrique, il est classé premier, renchérit Anouar Atmani. A
Casanearshore, on insiste sur le fait qu’attirer les grands experts de
l’activité, de la clientèle sélectionnée n’a pas seulement une valeur
symbolique.


Perspectives :Ce que seront les deux zones à terme

Casanearshore est le premier site dédié à l'offshoring en cours de
réalisation au Maroc. Il occupe une superficie de 53 ha. A terme, il
offrira plus de 300 000 m2 d'espace de travail et de services à la
pointe de la technologie et permettra de créer plus de 26 000 emplois.
L'investissement prévu est de 3,5 milliards de DH. A l'horizon 2015, sa
contribution au PIB sera de 5 milliards de DH.

Technopolis, lui, s'étendra, à terme, sur 300 ha dont 107 en cours de
mise en valeur, à 5 km de Rabat.
C'est un site qui abritera six pôles d'activités : valorisation de la
recherche (incubateurs, pépinières d'entreprises, transfert de
technologies), enseignement (universités privées, filières d'excellence,
R&D appliquée) recherche & développement (nanotechnologie,
génie logiciel), microélectronique (technologies avancées, image,
wireless, mobile), offshoring (BPO et ITO) et médias (audiovisuel et
applications médias). Le montant total de l'investissement prévisionnel
est de 7 milliards de DH.

Mohamed El
Maâroufi
03-05-2010

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 4 Mai 2010 - 11:46

Maroc: 800.000 visiteurs au Salon International de l’Agriculture

Citation :
Pour sa cinquième édition cette année, le Salon International de l’Agriculture du Maroc (SIAM), devenu désormais un rendez-vous incontournable pour les professionnels, a offert une véritable vitrine à l’agriculture marocaine, en exposant toute la diversité et le potentiel de développement de l’agriculture au niveau local comme à l’international. Les organisateurs s’attendaient à accueillir un demi million de visiteurs. A la clôture de l’événement, dimanche 3 mai, se sont quelque 800.000 qui ont fait le déplacement à cette énorme foire, s’étendant sur 10 ha. Avec 840 exposants, parmi lesquels 184 étrangers représentant 30 pays, le SIAM confirme ainsi, au fil des années, sa vocation de véritable bourse agricole. Les dernières
innovations dans les diverses filières de l’agriculture et de l’élevage y sont exposées : produits agricoles améliorés, techniques d’élevage, produits de terroir valorisés, agriculture biologique, machines dernier cri, etc. D’ailleurs, les concessionnaires de machines agricoles étaient présents en force, puisqu’ils ont réalisé un chiffre d’affaires important lors de la précédente édition du Salon. Au niveau de la participation étrangère, on comptait des exposants de différentes régions du monde, particulièrement du Maghreb, d’Afrique et d’Europe. L’Allemagne était, d’ailleurs, l’invité d’honneur du 5ème SIAM. A cette occasion, un accord de coopération a été signé entre le Maroc et l’Allemagne pour le développement de la filière de l’alimentation du bétail reproducteur et l’appui au plan viandes rouges et vaches laitières. D’édition en édition, le SIAM gagne ainsi en maturité et devient un rendez-vous emblématique du Plan Maroc Vert, dont l’objectif est la mise à niveau et la modernisation des différentes filières de l’agriculture du pays. En premier lieu, la restructuration de la céréaliculture à travers l’encadrement et le soutien des petits agriculteurs à mieux s'organiser pour rendre la filière plus rentable, et améliorer ainsi leurs revenus.

http://www.statut-avance.com/index.php?option=com_content&view=article&id=135:maroc-800000-visiteurs-au-salon-international-de-lagriculture
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 4 Mai 2010 - 11:52

Citation :
Maroc : Un prêt de 100 millions de dollars de la Banque Mondiale


Le prêt que le Conseil d'administration de la Banque Mondiale a dit envisager d'accorder au Maroc pour soutenir ses efforts en matière de renforcement de l'efficacité de l'administration publique vient d'être décidé.

Ce crédit porte sur un montant de 100 millions de dollars.

La Banque Mondiale s'est également engagée à fournir un financement supplémentaire pour améliorer l'accessibilité rurale dans le pays.

Citation :
Maroc : 5 sociétés contrôlent 99% du marché du beurre importé


Selon un hebdomadaire économique de la place, Milk Products of Morocco (MPM) est le leader incontesté du beurre au Maroc avec 71% de parts de marché pour le beurre importé.

A côté de MPM, 4 opérateurs (Stock-Pralim, Copralim, Max Distribution et le groupe Aït Ghalem) détiennent 28% des parts de marché dans le segment du beurre importé.

Au final, les 5 opérateurs à eux seuls représentent 99% du beurre importé. A noter que, le Maroc importe 30.000 tonnes de beurre (contre une production locale de 8.000 tonnes) dont 14.000 tonnes destinés à la consommation des ménages.

Citation :
Maroc : 3ème émission obligataire de l’année


Après l’ONCF en janvier et Alliance Développement Immobilier en février, qui ont levé 1 milliard DH chacun, le marché financier marocain s’apprête à connaître la 3ème émission obligataire de l’année.

Ainsi, la BMCI, qui a commencé à sonder les institutionnels à ce sujet depuis quelques jours, va lever, dans les semaines qui viennent, quelque 1,5 milliard DH sous forme d’obligations subordonnées en 1 ou plusieurs tranches.

Source: Biladi.ma
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 4 Mai 2010 - 14:31

Citation :
Le Maroc en route pour la croissance verte
Pays d'accueil des célébrations de la Journée de la Terre en avril dernier, le Maroc affiche de grandes ambitions en matière de développement durable. Et se dote de tous les outils nécessaires pour devenir le leader maghrébin des énergies renouvelables.


« Le Maroc a pleinement conscience de la nécessité de préserver l’environnement et de répondre aux impératifs écologiques. À ce propos, nous appelons le gouvernement à élaborer un projet de Charte nationale globale de l’environnement, permettant la sauvegarde des espaces, des réserves et des ressources naturelles, dans le cadre du processus de développement durable. » Institutionnels et écologistes marocains sont unanimes : en prononçant ces mots, lors du Discours du Trône du 30 juillet 2009, le roi Mohammed IV confirmait l'engagement marocain dans une nouvelle phase de son développement, celle de la croissance verte. Car depuis son accession au Trône en juillet 1999, Mohammed VI semble déterminer à guider son royaume sur la voie du développement durable, et en particulier, sur la protection de l'environnement et le déploiement des énergies renouvelables. Une stratégie grandement motivée par la forte dépendance énergétique du pays (97% des besoins sont assurés par l'importation), un potentiel solaire très attractif, une forte croissance démographique et, enfin, un grand déséquilibre entre milieu urbain et zones rurales.

La charte de l'environnement devrait renforcer le cadre juridique émergent

Dès le début des années 2000, le Maroc s'est donc doté d'un arsenal juridique sensé encadrer cette stratégie nationale. En juin 2003, le Parlement a voté trois lois fondamentales, relatives à la protection et à la mise en valeur de l'environnement (instaurant le principe de pollueur-payeur), à la lutte contre la pollution de l'air, et aux études d'impacts sur l'environnement. Cette dernière, unanimement saluée par les associations écologistes, conditionne pour la première fois des projets d'infrastructures industrielles, agricoles, d'aquaculture et de pisciculture à une étude d'impact écologique publique. Aujourd'hui, nombre de projets de lois sont encore à l'étude, notamment sur la gestion des déchets, la protection du littoral, et la protection des sols.
La Charte de l'environnement initiée par Mohammed VI vient consolider ce cadre juridique émergent. À l'image du Grenelle français, le processus d'élaboration de cette charte s'est appuyé, en théorie du moins, sur une démarche participative, via des réunions publiques dans chacune des seize régions marocaines. Les recommandations formulées par les nombreux groupes de travail serviront de socle pour un futur outil juridique, dont la nature reste encore inconnue. Pour Mohamed Benata, militant écologiste, cette initiative royale est une aubaine pour les associations de protection de l'environnement, qui gagnent ainsi en légitimité. Mais le militant garde tout de même quelques réserves : « nous craignons que certains départements du Gouvernement ne suivent pas les directives de cette charte, comme par exemple la loi sur le littoral qui est toujours en souffrance dans les tiroirs du Secrétariat Général du Gouvernement depuis 2003. D'où la nécessité d'une charte pour l'environnement constitutionnelle et contraignante pour tous, aussi bien les citoyens que les institutions privées ou étatiques. Le jour où un simple citoyen pourra, par le biais de la justice, arrêter les atteintes causées à l'environnement, nous pourrons dire que nous disposons d’une vraie charte. » Quant à la dimension participative de cette charte, elle semble s'être heurtée à une certaine censure, comme en témoigne M. Benata. « Notre association n'a pas été conviée, mais je me suis rendu aux réunions publiques en tant que citoyen. En réalité les personnes présentes n'étaient pas vraiment représentatives du peuple marocain et les discussions ont été menées de façon plus administrative que participative. »

Devenir le leader maghrébin des énergies renouvelables

Après avoir mené un vaste programme de raccordement aux réseaux d'eau et d'électricité ces quinze dernières années, le gouvernement marocain élabore aujourd'hui plusieurs programmes pour mettre en marche la croissance verte: Plan Azur pour le développement d'un tourisme durable, Plan Émergence en soutien aux industries marocaines, Plan Maroc Vert pour une agriculture plus respectueuse de d'environnement, Plan d'éradication des bidonvilles, et surtout, le Programme National de développement des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique. Ambitieux, il prévoit de porter la capacité électrique d'origine renouvelable à 42% de la capacité globale d'ici 2020 (contre 26% aujourd'hui), en installant 2,3 GW de capacité éolienne, 2G de capacité solaire et 2GW de capacité hydraulique. Une première ferme solaire est en construction à Ouarzazate, et devrait produire 500 MW par an dès 2015. Comme le souligne Saïd Mouline, directeur de l'Agence de développement des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique, « pour réaliser ces infrastructures, nous lançons des appels à projets conditionnés à plusieurs facteurs : la fabrication des composants doit être intégrée à l'industrie marocaine, avoir un impact positif sur l'emploi local, et être éligible, dans la mesure du possible, aux mécanismes de développement propre. » Le gouvernement espère ainsi créer 30 000 emplois d'ici 2020, et devenir l'acteur incontournable des énergies renouvelables au Maghreb. Un défi qui profitera au peuple marocain ?


Anne Farthouat
Mis en ligne le : 04/05/2010
http://www.novethic.fr/novethic/planete/institution/etats/le_maroc_en_route_pour_croissance_verte/129278.jsp

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MessageSujet: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 4 Mai 2010 - 15:58

Citation :
.. il prévoit de porter la capacité électrique d'origine renouvelable à 42% de la capacité globale d'ici 2020 (contre 26% aujourd'hu).


ottimo..j'aime trop cet appel " Maroc Vert ", il me rapelle l'autre politique geniale des annèe 70 des barages, il ne faut pas sous-estimer notre potentiel en matiere d'energie renouvable, surtout le solaire Économie marocaine - Page 18 Icon_sunny , encore se nous maitrisons la tech de fabrication des composants..alors là chapeau.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 4 Mai 2010 - 17:06

lhamdoullah, je pense qu'on ai sur la bonne voie grâce à la politique sage de SM le roi, et on ne peut qu'applaudir ces pas géants vers un pays plus prospère et plus indépendant côté énergie Incha'Allah. Économie marocaine - Page 18 Icon_cheers
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 4 Mai 2010 - 20:25

Citation :
Le nouveau 4×4 Hyundai sur le marché le 14 mai


Économie marocaine - Page 18 Couv-iX35-DP

Hyundai souhaiterait basculer vers la production locale. Les prospections sont en cours.


Le prix du ix35, disponible uniquement en version diesel, se situe entre 300 et 350.000 DH.

La Hyundai ix35 était la voiture officielle de Caftan 2010. L’occasion de dévoiler en avant-première ce dernier 4X4 de la marque coréenne. Ce modèle qui inaugure la nouvelle gamme des i couvre un investissement de 350 millions de dollars et a nécessité plusieurs mois de conception et de fabrication entre Frankfurt en Allemagne et Séoul en Corée. Au Maroc, le concessionnaire table sur la vente de 500 unités pour la première année.
«Nous avons des objectifs modestes», déclare Samir Sebti, le directeur communication de Hyundai Maroc. Si Hyundai a réussi à vendre 1.400 unités au Maroc en 2010, force est de constater, selon les statistiques de l’entreprise, que la vente des 4X4 a baissé de 31 points en trois ans. «C’est l’effet crise», souligne Samir Sebti. Néanmoins, la baisse dans ce segment n’a pas empêché le constructeur de lancer une nouvelle gamme sur le marché. Le ix35, le nouveau né, offre une nouvelle génération de transmission qui garantit moins de consommation et plus de longévité au moteur. Si le ix35 affiche une allure sportive et athlétique, il n’en est pas moins très pratique, avec un habitacle pouvant accueillir confortablement cinq occupants, grâce à une garde au toit, une longueur aux jambes accrues et une aire de chargement spacieuse.
Occupant la même position dans la gamme que le Tucson, le ix35 est plus long, plus large et plus bas. Ce nouveau crossover bénéficie d’un empattement de 2640 mm. Le moteur du ix35 sera homologué euro4, une norme pour la protection de l’environnement. Le processus d’homologation est en cours, selon les responsables de la marque au Maroc. Selon les pronostics, le moteur de la ix35 devrait émettre entre 170 et 175 grammes de CO2 par kilomètres. Bon point, puisque pour être certifié euro4, le moteur doit émettre moins de 186 grammes de CO2 par kilomètre.
Le lancement officiel aura lieu le 14 mai lors du Salon de l’automobile à Casablanca. La commercialisation démarrera donc le même jour. Le ix35 est disponible uniquement en version diesel. Le prix devrait se situer entre 300 et 350.000 DH. Hyundai compte ouvrir une succursale d’ici un an à Tanger. La même ville pourrait, selon les responsables de la marque, abriter l’usine de Hyundai dans le futur. Les négociations et les prospections sont d’ailleurs en cours avec l’ambassade de Corée à Rabat, Kia et Samsung.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMer 5 Mai 2010 - 15:27

Citation :
TFZ : 6 milliards de dirhams d’investissements

Quelque 6 milliards de dirhams ont été investis dans la zone franche de Tanger (TFZ), depuis sa création en 2000. Ces investissements ont générés plus de 45.000 emplois en 10 ans.



Créé dans le cadre du port nouveau port Tanger Med, "Tanger Free Zone" s’étend sur 340 hectares et devrait être élargie à 500 hectares pour 80.000 emplois.
A noter que la région Tanger-Tetouan devrait accueillir à terme des zones franches et logistiques sur près de 5000 hectares. Ces zones, dont certaines sont déjà en cours d’aménagement telles Tanger Automotive City et les zones franches de Melloussa, devraient permettre la création de plus de 200.000 emplois.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMer 5 Mai 2010 - 16:56

Citation :
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeJeu 6 Mai 2010 - 12:19

Citation :

Hausse de 4,6 pc de la croissance économique nationale au 1-er trimestre 2010, selon le HCP

Rabat - La conjoncture économique au Maroc aurait continué de s'améliorer au premier trimestre 2010, favorisant une progression du PIB de 4,6 pc, en variation annuelle, estime le Haut commissariat au plan (HCP).

Durant cette période, "le raffermissement des secteurs non-agricoles se serait poursuivi à un rythme plus soutenu, profitant, en partie, de l'effet de base, mais également de la poursuite du rétablissement des secteurs secondaires", précise le HCP dans sa dernière note de conjoncture.

Dans cette note, qui fait état de la situation des principaux indicateurs économiques observés au cours du 4-ème trimestre 2009 et ceux estimés et prévus pour les 1-er et 2-ème trimestres 2010, le HCP souligne qu'"à fin 2009, des signes encourageants de sortie de l'économie marocaine de sa phase de ralentissement conjoncturel, amorcée à mi-2008, se sont manifestés".

+Hausse de 5,1 pc de la valeur ajoutée non-agricole+

Il en ressort que la valeur ajoutée non-agricole s'est accrue de 5,1 pc, en variation annuelle, contre 1,2 pc une année auparavant et 1,9 pc au 3-ème trimestre 2009.

Cette performance a été favorisée par le retournement conjoncturel à la hausse de certains secteurs, ayant été affectés par les effets de la crise économique mondiale, souligne le HCP, ajoutant que l'activité a été particulièrement dynamique dans les mines, avec une valeur ajoutée en hausse de 24,4 pc au 4-ème trimestre 2009, le BTP (+1,5 pc) et les services.

Par contre, le secteur industriel, dont les performances de certaines sous-branches sont encore en dessous de leurs niveaux d'avant 2008, "peine à retrouver sa croissance tendancielle", croit savoir le HCP.

Concernant le secteur primaire, le HCP note que la valeur ajoutée agricole aurait affiché, durant le 1-er trimestre 2010, un retour vers son niveau moyen des cinq dernières années, ajoutant que les productions végétales auraient été perturbées par une répartition temporelle non favorable des pluies, bien que le niveau cumulé de ces dernières ait dépassé, à fin mars 2010, celui d'une année normale de 88 pc.

Le recul de la production de certaines cultures, notamment les primeurs, est intervenu dès le 1-er trimestre de l'année en cours, revigorant, ainsi, leurs prix sur le marché local.

A l'inverse, presque toutes les productions animales se seraient raffermies par rapport à l'année précédente, profitant de la détente des prix des aliments de bétail et d'un bon couvert végétatif.

Le HCP fait état, dans ce cadre, d'une hausse de 4,2 pc de la production des viandes rouges et de 8,4 pc des viandes blanches à fin mars 2010, en comparaison avec la même période de 2009.

En général, la valeur ajoutée agricole aurait régressé, au 1-er trimestre 2010, de près de 9,6 pc, en variation annuelle.

Il ressort également de la note de conjoncture du HCP que la consommation privée, qui aurait progressé de 7,6 pc en 2009, subirait, au cours de l'année 2010, le relâchement des activités agricoles et son impact sur la distribution des revenus.

Au 1-er trimestre 2010, la consommation de biens alimentaires aurait, en effet, souffert de la hausse des prix de certains produits frais.

Dans le même sillage, le rythme de croissance de la demande en produits manufacturés aurait décéléré, en comparaison avec l'année passée, en témoigne le fléchissement des ventes locales de voitures neuves de 7,8 pc, à fin mars 2010, et le recul de 7,9 pc, en variation annuelle, des importations de biens de consommation, à fin février 2010.

Le rythme d'évolution de la FBCF (investissements) devrait sensiblement s'accélérer en 2010, après avoir ralenti à 2,5 pc durant l'année 2009, en ligne avec l'amélioration anticipée de l'activité économique, estime le HCP.

Cette évolution tarderait toutefois à retrouver sa dynamique, au 1-er trimestre, du fait essentiellement du démarrage encore frileux de l'investissement en bâtiment, qui aurait pâti, quelque peu, des intempéries ayant touché certaines régions du Royaume, estime le HCP, qui fait état d'un recul de 2,1 pc des ventes de ciment, à fin mars 2010, au moment où les crédits à l'immobilier ont vu leur rythme d'évolution atteindre 12,9 pc, au cours des deux premiers mois de 2009, contre 24,9 pc, au 1-er trimestre 2009.

+Raffermissmeent de la demende extérieure+

De son côté, l'investissement industriel, bien qu'en hausse par rapport à l'année précédente, resterait en dessous de son niveau moyen des cinq dernières années, compte tenu des perspectives de croissance encore modeste de l'activité du secteur.

Selon le HCP, l'amélioration de l'activité économique nationale est intervenue dans un contexte mondial maqué par un redressement de la croissance économique et une hausse du commerce de 5,2 pc au 4-ème trimestre 2009.

Cette situation s'est répercutée positivement sur la demande extérieure adressée au Maroc, qui s'est améliorée de 4,2 pc au 4-ème trimestre, souligne le HCP, qui prévoit la poursuite du redressement de cette demande au 1-er et 2-eme trimestres 2010.

La note du HCP fait également état d'une reprise, durant les trois premiers mois de l'année en cours, de l'inflation (+0,2 pc), de la masse monétaire (+1,5 pc) et des concours à l'économie (+3 pc).
MAP

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeVen 7 Mai 2010 - 17:52

# BLE TENDRE : Hausse des droits d’importation de 90% à 135%
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeVen 7 Mai 2010 - 23:08

c'est un peu normal , faut permettre d'abord au marché local d'absorber la production nationale avant de passer a celui de l'import
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeLun 10 Mai 2010 - 19:18

Citation :

Tanger Free zone, 10 ans après : 40 000 emplois créés et des opérateurs satisfaits

La zone franche qui fête ses dix ans cette année compte aujourd'hui 475 entreprises de différents secteurs.

Les deux premières tranches de 216 ha entièrement commercialisées : 6 milliards de DH d'investissements réalisés.

Une troisième tranche de 80 ha en cours pour accueillir les sous-traitants du projet Renault.

Quand on longe Tanger Free zone (TFZ), rien ou presque ne laisse imaginer l’intense activité qui y règne. Pourtant, dans l’enceinte de la première zone franche du pays qui s’étend sur plus de 200 ha, opèrent 475 entreprises issues d’investissements étrangers en provenance de plus de vingt pays, allant de ceux de l’Union européenne, jusqu’aux USA en passant par le Maghreb ou encore le Moyen-Orient. Difficile de croire, en cette matinée du jeudi 29 avril, que ce sont entre 35 000 et 40 000 personnes qui y travaillent chaque jour, selon les saisons. Ce n’est qu’au moment du changement des équipes lorsque les 400 véhicules de transport de personnel -outre les 120 poids lourds qui y chargent ou déposent leurs cargaisons- bouchent la circulation pendant près d’une heure, qu’on peut avoir une idée de l’importance de l’activité. D’ailleurs, le goulot d’étranglement que commence à constituer l’unique point d’accès de TFZ entame quelque peu l’exaspération des opérateurs. C’est pour cela, explique Jamal Mikou, directeur général de TFZ, que l’aménagement d’une deuxième porte est sérieusement envisagée, surtout que les équipementiers de Renault vont prochainement prendre leurs quartiers dans la zone.
Signe du succès, si les deux premières tranches (136 ha et 80 ha) ont été entièrement commercialisées -même si la totalité des industriels ne sont pas encore installés-, une troisième tranche est en train d’être réalisée sur 80 ha pour un investissement de 430 millions de DH.
La superficie totale de la zone (dépendances et voies communes comprises), elle, est de 345 ha et pour anticiper sur la demande, TFZ a déjà acheté 100 ha supplémentaires. Du coup, le volet de la voirie et de la fluidité de la circulation à l’intérieur de la zone devient prioritaire. Surtout aussi qu’en plus des unités industrielles, d’autres installations viennent s’y rajouter. Rien qu’à l’entrée de la zone, ce sont trois restaurants qui se sont installés et deux autres sont en projet, un deuxième hôtel est également prévu comme d’ailleurs le projet de construction d’une clinique qui est très avancé, confie encore Jamal Mikou qui nourrit l’idée de faire construire une crèche et une salle de sport à l’intérieur même de la zone. Le DG de TFZ est tout fier d’annoncer la toute récente installation d’une unité de sapeurs-pompiers qui rassure les industriels du coin.

Des petits désagréments subsistent mais rien de rédhibitoire

Pour savoir comment se porte TFZ, rien ne vaut une discussion à bâtons rompus avec quelques-uns de ses occupants. Manuel Fernandez est propriétaire du groupe Dalper Culery spécialisé dans la fabrication de couverts et de coutellerie en acier et acier inoxydable depuis trente ans. Récemment implanté à TFZ, il y supervise les travaux de construction de son usine toujours en cours. «Installé en Espagne et au Portugal, j’ai voulu aller d’abord en Chine où je m’approvisionne en matières premières. Mais le DG du groupe m’a conseillé de venir au Maroc qu’il avait découvert récemment et je me suis laissé convaincre en visitant car, je l’avoue, je me faisais une idée négative du Maroc», confie M. Fernandez. L’usine de Dalper Culery Maroc qui va démarrer sa production dans un mois a nécessité un investissement de 7 millions de DH au total dont l’achat d’une parcelle de 10 000 m2 sur laquelle sera érigée l’usine de 5 200 m2. Si Manuel Fernandez affirme ne pas du tout regretter le choix de s’installer sur la zone franche de Tanger, il a néanmoins eu une surprise. Il s’est vu réclamer l’équivalent de 70 000 euros comme frais de raccordement au réseau électrique, des charges dont il n’avait pas été informé et dont il ignorait l’existence car, dit-il, «ces prestations ne sont pas payantes en Espagne comme au Portugal».
Pour circuler sur les kilomètres de voierie de TFZ, il faut une voiture et la vitesse y est limitée à 50 km et justement un des industriels rencontrés déplore l’absence d’une navette car son personnel doit faire quelque 3 bons kilomètres à pied pour rejoindre l’usine. Mohamed Ali Enneifer, c’est de lui qu’il s’agit, est un des premiers investisseurs installés à TFZ puisque l’unité qu’il y a créée a commencé son activité en 2001. Il fabrique des câbles pour les constructeurs automobiles européens dont la prestigieuse Ferrari et autre Maserati. Au départ, il avait acheté 12 000 m2 puis 3 000 m2 supplémentaires en 2002 et 1 000 autres encore en 2004. Il emploie aujourd’hui 240 personnes et réalise un CA de 11 millions d’euros.

Couteaux ménagers, coiffes de sièges, cables, solutions connectiques…

Il est la mémoire vivante de TFZ et se remémore les moments d’incertitude du départ comme les difficultés générées par la toute récente crise. Il se rappelle, en effet, qu’il avait été obligé de payer la TVA quand il a démarré l’activité alors que le statut de zone franche était censé l’en exonérer. En fait, les textes d’application de ce statut avaient mis du temps d’abord pour être publiés et ensuite pour être appliqués. Il se rappelle : «Nous étions pénalisés car le volet fiscal n’a pas suivi, mais après une rencontre avec le Premier ministre, en 2005, tout était rentré dans l’ordre et les sommes indûment payées entre 2001 et 2003, nous ont été remboursées jusqu’au dernier centime». Cependant, l’expérience de TFZ est vécue très positivement de manière globale, se réjouit Mohamed Ali Enneifer. Il faut dire que les avantages fiscaux dont bénéficie la zone sont très attractifs : entre autres, une exonération totale de TVA et un IS à 0% au cours des cinq premières années, puis à 8,75% seulement pendant les vingt années suivantes.
Chez Polydesign, qui fabrique le cuir et le revêtement de sièges et appuie-tête pour l’automobile, on explique aussi que la première installation a connu quelques couacs mais qu’aujourd’hui les choses vont nettement mieux. Julianne Furman, présidente du conseil d’administration, est en mesure d’en témoigner car elle a vécu la situation de l’unité depuis son démarrage en 2001 : «Notre société a investi 4 millions d’euros au total. Nous avons d’abord acquis 2 700 m2 puis 8 000 m2, il y a six mois. Nous employons 600 personnes pour un chiffre d’affaires de 32 millions d’euros. Bien sûr, nous sommes passés par une période de flottement et, comme certains, nous avons payé la TVA qui a nous été restituée. Nous avions également des difficultés de groupage de nos marchandises ou d’autres dues encore à l’absence d’agences bancaires au début tout comme les conversions au niveau de l’Office des changes. Mais aujourd’hui, je dois dire que nous avons atteint notre rythme de croisière depuis 2005. Nous allons mettre sur le marché une trentaine de nouveaux produits comme les filets de bagages ou des pièces cousues main pour les leviers de vitesse. Rien qu’en recherche et développement, nous dépensons 2 millions d’euros par an».
Chez Souriau, spécialiste de solutions en connectique qui travaille aussi pour des Etats en matière d’applications militaires et de défense en général, on affiche globalement le sourire quant aux prestations de la zone. Comme le dit Ayoub Daoudi, directeur du site tangérois, ils ont été accompagnés efficacement et TFZ a joué pleinement son rôle de facilitateur et de guichet unique. Par contre, les grosses difficultés rencontrées au début tiennent dans la faiblesse du tissu économique et sa lente adaptation aux besoins en matières premières et en matière de sous-traitance. Le groupe qui avait commencé par investir 13 millions d’euros en employant 50 personnes en 2002 tourne aujourd’hui avec un effectif de 300 personnes pour un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros et compte pas moins de 600 clients. Aujourd’hui, l’unité installée à TFZ entame la phrase cruciale de l’optimisation de sa valeur ajoutée..
Le dernier témoignage recueilli sur place émane de l’administrateur de Tronico Atlas, un opérateur dans le secteur des cartes électroniques dont 80% de la production s’adresse au secteur de l’aéronautique. Il est fournisseur entre autres de Thalès pour le compte de Boeing et Airbus y compris pour les utilisations militaires. Hicham Zine El Abidine, comme ses voisins, invoque le secret professionnel comme l’intérêt de ses clients pour ne pas donner trop de précisions sur le cœur du métier. L’unité a démarré en juin 2008 sur
8 000 m2 dont 6 000 m2 couverts. Pour le directeur de l’unité implantée à TFZ, les effets de la crise sont là et 2010 portera encore les séquelles du recul de l’activité. D’ailleurs, il ne table que sur un chiffre d’affaires de 2,2 millions d’euros cette année contre plus de 3 millions d’euros en 2009. Le personnel a été d’ailleurs réduit à 180 personnes au lieu de 218 au départ tout comme plusieurs projets sont pour le moment en stand-by. Pour Hicham Zine El Abidine, l’espoir de reprise dans l’activité devra attendre 2011. Il est parmi les industriels de la zone qui protestent le plus contre l’encombrement dû à l’unique entrée de la zone et estime que l’ouverture d’un deuxième accès à TFZ est réellement une urgence. Mais de manière globale, le sentiment chez les opérateurs rencontrés est que la zone est réactive par rapport à leurs soucis.

Eventail Économie marocaine - Page 18 Biggrinu câble pour Ferrari au couteau de cuisine

A TFZ, l'éventail des produits fabriqués est très large. Saviez-vous par exemple que tout le câblage des Ferrari actuellement vendus dans le monde y est produit tout comme les systèmes d'aération et de climatisation des Airbus A 340 et A 380 ? A côté de cela on trouve les classiques câblages et matériaux en polymère pour l'aviation, des sièges de TGV, des circuits électroniques et des pièces de connectique, des revêtements pour intérieur automobile ou encore des couteaux et couverts pour cuisine ménagère et industrielle. Il fut même un temps où l'on y produisait des gilets pare-balle.

Monographie :TFZ en quelques chiffres

TFZ s'étend actuellement sur une superficie de 345 ha dont 296 ha pour les trois premières tranches. 100 ha supplémentaires viennent d'être acquis pour une extension future.

L'investissement global réalisé par les opérateurs de TFZ est estimé à 6,1 milliards DH pour une superficie construite de 1,6 million de mètres carrés.

40 000 personnes sont aujourd'hui employées par les opérateurs de la zone. Ils seront 48 000 dans les mois qui viennent avec les nouvelles implantations en cours.

Sur les 475 unités installées, 170 opèrent dans les services, 155 dans les industries métallurgiques, électriques, électroniques et mécaniques, 97 dans le textile et cuir, 33 dans la chimie et parachimie et 20 dans l'agro-industrie.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeLun 10 Mai 2010 - 21:15

La construction immobilière redémarre... et engendre une pénurie temporaire de ciment

Économie marocaine - Page 18 Affiche_image?article=16558
Citation :


Depuis la mi-avril, les cimentiers croulent sous les commandes et sont obligés d'appliquer le système de quota pour approvisionner les clients.
Pénurie de ciment signalée à Fès, Casablanca, Settat et Agadir.
Les cimenteries ont augmenté leur rythme de production de 70 à 100%.



Pour le marché du ciment, les mois se suivent mais ne se ressemblent pas. Après avoir connu un début d’année chaotique (jusqu’à -9% en février dernier), la lente reprise qui se dessinait à l’horizon pour les cimentiers est brusquement intervenue plongeant le marché dans une pénurie depuis la mi-avril. Et ce sont les promoteurs immobiliers qui ont été les premiers à en payer les frais. «Depuis une dizaine de jours, il est difficile d’acheter une grande quantité de ciment. Certains de nos fournisseurs ont même appliqué le système de quota pour satisfaire toutes les demandes», confie un promoteur à Fès. Mais la ville n’est pas la seule a être touchée par ce phénomène constaté également à Rabat, Casablanca, Settat et Agadir. Les cimentiers, qui confirment cette tendance, expliquent que la reprise soudaine du marché de l’immobilier, notamment en raison du plan de relance des logements sociaux qui a été adopté en décembre dernier, a totalement désorienté le marché et les stratégies de production des usines.

La demande progresse dans le Sud plus que dans le Nord du pays

«Le plan de relance des logements sociaux et le retour du beau temps ont amorcé et plus vite que prévu une forte reprise de la consommation du ciment à laquelle les cimentiers n’étaient pas préparés», explique un cimentier à Rabat. Même s’il confirme la pénurie, ce dernier insiste sur son caractère provisoire et assure que les choses entrent actuellement dans l’ordre puisque les usines sont passées à leur capacité maximale de production. «Pour plusieurs raisons liées à la reprise des chantiers, nous avons décidé de réorganiser la vente afin de satisfaire tous les clients sans pour autant exercer une pression sur les prix. D’ailleurs, même en pleine pénurie, les prix du ciment n’ont subi aucune augmentation», insiste le responsable commercial d’une cimenterie. Selon lui, les usines tournent actuellement à 100% de leur capacité installée contre un maximum de 70% au début avril.
Outre l’augmentation de la cadence de production des usines, les cimentiers ont également eu recours à la technique d’appoint qui leur permet d’aller chercher la production destinée à un marché où la demande est satisfaite pour la vendre sur un autre marché souffrant d’une pénurie. Une technique qui s’est avérée payante en raison de la disparité de la consommation du ciment dans les différentes régions du Royaume. En effet, une analyse des ventes du ciment en mars montre que la reprise ne concerne pas toutes les régions puisque certaines d’entre elles accusent un grand retard depuis le début de l’année. C’est le cas notamment de la région Tanger-Tétouan avec -27,1% de ventes enregistrées en mars dernier par rapport à la même période de l’année dernière. Doukkala-Abda, Chaoui-Ourdigha et Rabat-Salé-Zemmour-Zaër ont également souffert puisque ces régions affichent respectivement -13,9%, -9,6% et -6,5%. Les constructions reprennent en revanche dans le grand sud puisque la région de Oued-Ed-Dahab-Lagouira affiche une évolution de 25,3% suivie de Marrakech-Tensift-El Haouz avec une hausse de 10% des ventes en mars dernier et de Souss-Massa-Draâ (+2,2%).
Provisoire ou pas, cette pénurie reste en tout cas une bonne chose pour les professionnels du secteur qui y voient un signal de reprise du marché. «Le secteur a beaucoup parlé ces derniers temps de la surcapacité de production avec les ouvertures de nouvelles usines et l’arrivé de nouvelles cimenteries. Mais la reprise soudaine montre bien qu’en cas d’embellie du marché de l’immobilier comme entre 2004 et 2007, toute nouvelle production ou augmentation ne constituera pas nécessairement une surcapacité pour le marché», ajoute le même responsable commercial.
Rappelons à ce propos que les cimentiers s’attendaient, début 2010, à une année très calme qui se solderait par une petite hausse de 1% avec une capacité de production annuelle de 18,2 millions contre 17,6 millions de tonnes en 2009. Reverront-ils leurs prévisions à la hausse ?

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 11 Mai 2010 - 18:19

Citation :
Meknès / Agropolis: 580 MDH pour l’aménagement de la première tranche
Création d’environ 18.000 emplois directs et indirects

Le projet de création d’un pôle de compétitivité en industries agroalimentaires « AGROPOLIS » à Meknès, dont la convention de valorisation le concernant a été signée à l’occasion de la 5ème édition du SIAM, s’inscrit dans le cadre de la déclinaison régionale du plan Maroc vert et du programme Emergence.



Ce projet vise, conformément aux Hautes orientations Royales, à renforcer la place de la région Meknès Tafilalet en tant que pôle d’excellence dans les domaines agricole et agroalimentaire et à améliorer la compétitivité du secteur agro-industriel, à travers l’intégration de l’ensemble de la chaîne de valeurs de l’amont vers l’aval, l’implication de tous les acteurs du secteur et la mise en place d’une offre complète pour l’accueil des entreprises.
Grâce à son concept novateur, il est attendu que le rayonnement de ce projet dépasse le niveau local et régional vers une dimension nationale et internationale. Au stade de croisière, il permettra à notre pays de conserver une part importante de la plus-value dégagée par les industries de transformation des produits agricoles.
Le projet AGROPOLIS de Meknès, dont la réalisation est confiée au groupe MEDZ dans le cadre d’un partenariat public-privé, bénéficie d’un positionnement stratégique à l’intérieur d’un espace abritant un noyau de formation (Ecole Nationale d’Agriculture de Meknès) et de recherche et développement (Centre Régional de l’INRA Meknès).
Ce noyau sera renforcé par la réalisation d’autres établissements de formation et de recherche dans les activités liées à l’agriculture et aux industries agroalimentaires. En plus, ce projet se situe à proximité des principales pénétrantes de Meknès et de l’axe autoroutier.

Composantes du projet

Première composante de ce projet, l’agroparc, Il intègre l’espace réservé aux industries, dit Parc Agro industriel, la plateforme logistique, les équipements communaux et le pôle recherche-développement et contrôle de qualité.
Ce dernier sera réalisé par le Ministère de l’Agriculture et de la Pêche Maritime. Il constitue une interface entre les établissements concernés de ce Ministère, d’une part, et des producteurs, des agrégateurs, des professionnels du secteur agro-industriel et des institutions de formation et de recherche d’autre part.
Il s’agit d’un pôle de concentration des compétences et de mutualisation des moyens et services permettant de renforcer les capacités des acteurs, et d’accompagner les professionnels dans les efforts d’amélioration de la productivité des filières compétitives à haut potentiel et à une meilleure valorisation des produits agricoles de la région.
Ce pôle sera constitué de laboratoires opérationnels spécifiques et d’espaces communs (Centre de conférence, restaurant, centre d’accueil, zone d’hébergement …).
Deuxième composante, la “Cité Intelligente” : Elle regroupe les fonctions de support à l’industrie agroalimentaire (Recherche et développement, formation, zone tertiaire, centre de conférence …).
Elle sera gérée par le Ministère de l’Agriculture et de la Pêche Maritime.
La première tranche du projet AGROPOLIS de Meknès, qui s’étend sur une superficie d’environ 130 ha, et dont les travaux d’aménagement ont démarré depuis le début du deuxième semestre de l’année 2009, regroupe toutes les composantes qui constituent le concept général de l’AGROPOLIS. Elle intègre le parc agro-industriel et la plateforme logistique dédiée au parc.
Aussi, conformément aux termes de la convention de valorisation, les autres tranches seront réalisées en fonction du rythme de valorisation de la première tranche. Elles comporteront une extension du parc agro-industriel, une plateforme logistique régionale et une plateforme commerciale et de distribution.
Par ailleurs, en vue de permettre une meilleure compétitivité à ce projet à travers la proposition de prix appropriés de cession et de location aux industriels, le terrain domanial support du projet a été mobilisé à un prix incitatif et les coûts de son branchement aux infrastructures hors-site ont été supportés quasi-totalement par les pouvoirs publics, dans un cadre solidaire entre les Ministères de l’Intérieur, de l’Economie et des Finances, de l’Equipement et du Transport, de l’Agriculture et de la Pêche Maritime et de l’Industrie du Commerce et des Nouvelles Technologies.
Le coût d’aménagement de la première tranche s’élève à environ 580 millions de dhs. Au stade de pleine exploitation, ce projet permettra d’engendrer la création d’environ 18.000 emplois directs et indirects.

L'opinion

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 18 Icon_minitimeMar 11 Mai 2010 - 18:50

Citation :
Lavage écolo: L’expertise marocaine s’exporte


Lavage écolo: L’expertise marocaine s’exporte

· Vireo Maroc ouvre des franchises à Paris, Grenoble, Abou Dhabi et Tunis

· Economie d’environ 1 million de litres d’eau potable depuis sa création

Le Maroc est en train d’installer son identité écologique. Une démarche qui a été suivie par plusieurs entreprises. Vireo, société spécialisée dans le lavage écologique de voitures, fait partie de ce lot. Créé en 2008 à Casablanca, la PME a réussi en si peu de temps à exporter son expertise vers l’Europe. Elle dispose actuellement d’antennes à Paris (ouverture en avril dernier) et à Grenoble. Mieux encore, le concept Vireo s’est aussi implanté à Macoumba en Haute-Savoie, aux portes de Genève. «Nous avons reçu des demandes de franchises de la Tunisie, de l’Algérie, de la Martinique, du Canada, du Bénin, du Sénégal... Mais nous envisageons bientôt d’implanter la marque à Beyrouth, à Tunis et Abou Dhabi tel que le prévoit notre plan de développement», explique Hicham El Bayed, DG associé de Vireo Maroc. Le choix de ces destinations s’explique par le potentiel de ces marchés, qui selon le mangement de l’entreprise, est très prometteur.
Sur le marché local, l’entreprise a commencé par un centre pilote à Casablanca pour se positionner ensuite sur Rabat. Un nouveau centre sera bientôt ouvert dans la capitale.
Vireo ambitionne d’ouvrir d’autres antennes à l’horizon 2012 à Marrakech, Agadir, Tanger et Oujda. «Au début, l’idée était d’installer le concept qui existait déjà en Europe et l’adapter aux spécificités marocaines, notamment en termes de prix des prestations», précise El Bayed.
Avant son lancement, Vireo a réalisé une étude de marché appuyée par un questionnaire adressé à plus de 800 personnes à Casablanca pour tester les attentes des Marocains.
«La conclusion était claire. Il y a un réel besoin pour ce créneau mais à condition de savoir le présenter à des consommateurs soucieux de faire aussi bien des économies que de préserver l’environnement», affirme El Bayed.
Pour ses approvisionnements en produits de lavage, importés exclusivement d’Europe, l’entreprise s’appuie sur sa plateforme basée à Grenoble. Selon le mangement, le choix des produits européens a été dicté pour le souci de crédibiliser le concept auprès des consommateurs marocains. A aucun moment il n’a été question de recourir à des produits à bas coûts, tient à préciser le management. Actuellement, l’entreprise étudie la possibilité de produire localement. Sur le marché domestique, les principaux clients sont les concessionnaires notamment de Hummer, Opel, Chevrolet, Isuzu, Daf, BMW, Renault... «Au début, nous avons démarré notre activité avec les particuliers. Il y avait une réticence au lancement mais aujourd’hui la mentalité des consommateurs a changé et l’entreprise y trouve son compte», signale le patron de Vireo.
Depuis son lancement durant le 4e trimestre 2008, «l’entreprise a pu économiser environ 1 million de litres d’eau potable, soit l’équivalent de la consommation mensuelle d’eau de plus de 2.000 foyers marocains en milieu rural», argue le management.

Procédé


Le procédé du lavage écolo n’occasionne aucune gêne, ni agression paysagère, soit-elle sonore ou hygiénique, répète-t-on auprès de Vireo. «Nous intervenons à moins d’un litre d’eau, sans le moindre rejet de composant nocif, ni d’eau souillée sur le lieu de lavage», affirme Hicham El Bayed, DG associé de Vireo Maroc. L’entreprise utilise des produits à base d’agrumes, d’argile et d’huiles essentielles, 100% biodégradables. Ces substances contiennent des détergents et des agents mouillants (biodégradable) produisant une émulsion qui enrobe la saleté et la décolle de la carrosserie, sans aucune rayure. Ces produits qui ont un effet antistatique permettent également de récupérer l’excédent, réduisant ainsi la consommation d’eau à moins de 1 litre (l’eau contenue dans les produits à la base comprise).
Le produit s’applique non seulement sur la carrosserie mais également sur les jantes et les vitres. Selon Vireo, l’application de ce produit sur les vitres permet de réduire entre 25 et 35% des ultraviolets qui pénètrent dans l’habitacle. Quant aux tarifs, ils démarrent à 50 DH.

J. B.



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