Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 Économie marocaine

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeMar 1 Déc 2009 - 15:33

Rappel du premier message :

Économie marocaine - Page 19 573264

Ma première réaction a été d'exploser de rire ... Mais pour être honnête, c'est un bon début, tout à fait respectable ...

Les Débuts d'une industrie automobile locale ? J'espère ! Économie marocaine - Page 19 Icon_razz

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeMer 12 Mai 2010 - 0:36

question:
touts les inviestissements actuellements consentis pour le develloppement economique
sont-ils
1-de l'etat
2-du privé
3-de l'etat et du privé
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeMer 12 Mai 2010 - 0:55

Pour l'Etat c'est à mon avis tous ce qui est infrastructure en fait, mais aussi il met les stratégies du dévelopement sectorielle, telle que le Plan Emergence pour le secteur Secondaire, le Maroc en Couleur pour le Secteur primaire ( Maroc Vert pour l'Agriculture, Maroc Bleu pour la péche ... ), alors que pour le privé, on s'attaque au domaine de l'immobilier, tourisme, les nouveaux métier du plan Emergence comme l'automobile, l'aéronautique, l'Offshoring ... etc, à l'agro-alimentaire aussi.
pour le concepte Etat-Privé, il a prouvé son efficacité au Maroc à travers plusieurs expérience, et c'et pourquoi tous les projets du gouvernment sont accompagné et financé par le privé, le dernier exemple, c'est le plan de la logistique !!

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeMer 12 Mai 2010 - 7:49

thierrytigerfan a écrit:
question:
touts les inviestissements actuellements consentis pour le develloppement economique
sont-ils
1-de l'etat
2-du privé
3-de l'etat et du privé

n° 3 de l'état et du privé

3 EXPLES SIMPLES /

- ADM : AUTOROUTES DU MAROC qui sont une S.A et qui financent eux même leur developpement avec une participation etatique

- TM 1/2 : le plus grand port d'afrique finançé par les concessions sur " activitées " ( containers: maersk etc )

- les centrales electriques : celle de JORF LASFAR dont l'extention à 2100 MEGAWATS sera assuré par la concession à une société émirati , je crois ??

etce etc
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeMer 12 Mai 2010 - 16:56

eh bien le Maroc pourrait bien donner des leçons en matieres d'investissements à l'europe
esperons que le volet social suive
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeMer 12 Mai 2010 - 17:32

thierrytigerfan a écrit:
eh bien le Maroc pourrait bien donner des leçons en matieres d'investissements à l'europe
esperons que le volet social suive
Eh ben, là aussi SM le Roi a lançé ce qui est t'appellé l'INDH, Initiative National du Developpement Humain, et depuis presque 50% du budget du gouvernement est dédiée au coté sociale, 5 ans maintenant, Il y a pas vraiment des grandes resultats, mais c'est une stratégie à long terme ...

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeMer 12 Mai 2010 - 17:43

thierrytigerfan a écrit:
eh bien le Maroc pourrait bien donner des leçons en matieres d'investissements à l'europe
esperons que le volet social suive

A l'europe, certes non, au monde arabe certes oui

il y a l'arrivé d'une generation de QUADRA AUX MANETTES des décisions au maroc dans pas mal de domaines, sécuritaire de côté ( pour des raisons que l'on devine aisement)

qui fait que le pays s'inscrit dans une puissante dynamique de progrés..il suffit de s'y rendre pour le voir

l'esprit d'entreprise, le gout du risque et l'envie d'avancé sont le trinôme gagnant de demain

ce qui manque aujourd'hui dans les entreprises europeennes ( ou chacun se blinde dans la prise de risque au detriment de l'innovation et du mouvement)


le amroc est un pays emergent, et ça c'est une réalité..... il s'inscrit dans une croissance durable et perenne ( depuis les années 2000 )

son tissu économique est bien assis , l'or du maroc de demain :
- son agriculture ( les plus importantes terres arrables du monde arabe )
- son potentiel de shistes bitumeux en cours de mise en valeur
- sa ZEE
ETC ETC

OUI, le maroc a de l'avenir devant lui..... et c'est pas innocent si l'occident regarde dans sa direction en ce moment


Si l'algerie est courtisée aujourd'hui c'est pour sa grosse tirerelire ( avoirs ) et sa manne gaziere

mais dans l'histoire d'un pays.....c'est rien du tout ça


il faut prendre du recul et voir quels sont les réelles donnes geo strategiques....

L'eau, l'alimentation, l'energie propre, les engrais pour l'alimentation, etc etc
c'est ça les cartes de demain

et demainc'est 25 ANS !!!!!!c'est à dire rien du tout..

A +
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeJeu 13 Mai 2010 - 1:30

Citation :

Onet s'implante au Maroc

FRANCE/ MAROC. Le numéro un français du service aux entreprises démarre une activité de sécurité bancaire au Maroc. Il installe le siège social de sa filiale Telem Maroc à Casablanca et quatre agences dans le pays.

Économie marocaine - Page 19 2089676-2900746
Telem Maroc installera des systèmes de sécurité (photo Onet)

FRANCE/MAROC. Onet, le numéro un français du service aux entreprises, s’implante au Maroc. Sa filiale sécurité électronique, Telem, elle-même filiale d’Onet Sécurité, la branche sécurité du groupe marseillais, vient de créer une filiale à Casablanca. "C’est notre première implantation en Afrique du nord", commente Elisabeth Coquet Reinier, la présidente du holging familial de contrôle du groupe, selon laquelle, "cette opération illustre la stratégie d’internationalisation du groupe" qui a d’ailleurs désormais un directeur du développement international.

Et pour Telem, c’est le point de départ d’une présence annoncée comme pérenne sur le continent africain. Pour preuve, la prise de participation dans le capital de la société marocaine qui détient le PC de télésurveillance.

Le siège social de Telem Maroc est installé à Casablanca et cinq ouvertures d’agences sont prévues à Rabat, Casablanca, Tanger, Marrakech et Agadir.

"Telem Maroc installera ses systèmes de sécurité électronique et en assurera aussi la maintenance à travers son réseau national, comme nous le faisons en France. Le service après-vente est clairement identifié par les acteurs du secteur bancaire comme la problématique majeure de l’offre actuelle", note Jean-Louis Munos, président d’Onet Sécurité.

Un marché de 40M€

Le groupe français suit ses clients bancaires français installés au Maroc en profitant de la volonté du pays de sécuriser ses agences bancaires. Courant 2008, le ministère de l'Intérieur marocain et le Groupement Professionnel des Banques du Maroc (GPBM) ont signé un accord de partenariat portant sur le renforcement du dispositif de sécurité des banques dont le nombre d’agences croit de près de 10% par an.

Cet accord a conduit à l'élaboration d'un cahier des charges fixant les normes, les moyens et les équipements nécessaires à la sécurité des agences bancaires, de leur personnel et des dépôts des clients. Onet évalue le marché marocain de la sécurité électronique bancaire à près de 40 M€.

Le groupe Onet a réalisé en 2009 un chiffre d’affaires de 1,39 md€. Il a souffert de la crise dans le secteur de l’intérim avec une baisse de 28% de son activité (-46% pour l’ensemble du secteur en France). "En 2010, c’est dans la propreté que c’est plus difficile", note Elisabeth Coquet Reinier. Onet Sécurité a en revanche accru ses ventes l’an dernier de 6,5% à 181 M€ (dont 32 M€ pour Telem).


Mardi 11 Mai 2010
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeJeu 13 Mai 2010 - 2:30

C'est qui s'occupe de la sécurité dans ma boite ....no comment ..... Mad

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeJeu 13 Mai 2010 - 3:50

atlas a écrit:
thierrytigerfan a écrit:
eh bien le Maroc pourrait bien donner des leçons en matieres d'investissements à l'europe
esperons que le volet social suive

A l'europe, certes non, au monde arabe certes oui

il y a l'arrivé d'une generation de QUADRA AUX MANETTES des décisions au maroc dans pas mal de domaines, sécuritaire de côté ( pour des raisons que l'on devine aisement)

qui fait que le pays s'inscrit dans une puissante dynamique de progrés..il suffit de s'y rendre pour le voir

l'esprit d'entreprise, le gout du risque et l'envie d'avancé sont le trinôme gagnant de demain

ce qui manque aujourd'hui dans les entreprises europeennes ( ou chacun se blinde dans la prise de risque au detriment de l'innovation et du mouvement)


le amroc est un pays emergent, et ça c'est une réalité..... il s'inscrit dans une croissance durable et perenne ( depuis les années 2000 )

son tissu économique est bien assis , l'or du maroc de demain :
- son agriculture ( les plus importantes terres arrables du monde arabe )
- son potentiel de shistes bitumeux en cours de mise en valeur
- sa ZEE
ETC ETC

OUI, le maroc a de l'avenir devant lui..... et c'est pas innocent si l'occident regarde dans sa direction en ce moment


Si l'algerie est courtisée aujourd'hui c'est pour sa grosse tirerelire ( avoirs ) et sa manne gaziere

mais dans l'histoire d'un pays.....c'est rien du tout ça


il faut prendre du recul et voir quels sont les réelles donnes geo strategiques....

L'eau, l'alimentation, l'energie propre, les engrais pour l'alimentation, etc etc
c'est ça les cartes de demain

et demainc'est 25 ANS !!!!!!c'est à dire rien du tout..

A +

oh détrompe toi Atlas,viens voir comment celà se passe en Belgiquer et tu comprendras que mon commentaire est fondé
du dynamisme de l'inventivité c'est ce qui manque chez nous
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeJeu 13 Mai 2010 - 14:26

Citation :
GPS : Tom Tom envisage de s'implanter au Maroc

GPS : Tom Tom envisage de s'implanter au Maroc



Il a réalisé un c.a de 1,5 milliards d'euros en 2009.




Le leader mondial du GPS, Tom Tom, envisage sérieusement
une éventuelle implantation au Maroc. L’information a été livrée par le
management du groupe en marge d’une rencontre organisée fin avril à
Amsterdam à l’occasion du lancement de deux nouveaux produits. Le
premier est le Go Live 1000, un GPS que le constructeur a placé sous le
signe de la connectivité maximale. Ecran tactile, webkit, interface et
logiciels améliorés, entre autres, le Go Live 1000 dispose de la
fonction Traffic TM qui inclut les alertes radars mobiles et la
recherche locale dans 16 pays ainsi que l’accès à internet.

Le deuxième produit, lui, est destiné aux conducteurs des deux roues.
Baptisé Tom Tom Urban Rider, il dispose d’un écran intuitif adapté aux
gants et propose aux motards de nouvelles fonctionnalités dont la plus
importante est le menu simplifié : 2 boutons seulement pour naviguer
vers sa destination ou explorer les cartes. Le Tom Tom Urban Rider
comporte également une oreillette Bluetooth qui permet de communiquer
avec son appareil mais aussi de recevoir des appels téléphoniques tout
en étant au guidon.

Toutes ces nouveautés ont donc été présentées les 27 et 28 avril à
Amsterdam, où est basé le constructeur. Pour l’occasion 300
professionnels ont été invités, essentiellement des revendeurs mais
aussi des représentants de médias à travers le monde et des
constructeurs automobiles. C’est que ces derniers constituent un marché
cible potentiel pour Tom Tom. D’ailleurs, l’italien Fiat a annoncé que
certains de ces modèles seront désormais équipés en série de GPS
intégrés Tom Tom.

Rappelons, enfin, que Tom Tom, créé il y a tout juste 10 ans, est
aujourd’hui leader mondial du GPS. Il emploie près de 3 500 personnes
dans le monde et a réalisé en 2009 un chiffre d’affaires de 1,5 milliard
d’euros.


La Vie Echo
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeVen 14 Mai 2010 - 23:14

http://www.lesoir-echos.com/2010/05/14/equipementiers-les-investissements-redemarrent/

Citation :
Equipementiers : Les investissements redémarrent


  • Cette industrie comptent plus de 70 entreprises employant près de 28.000 personnes.


  • A l’horizon 2015, près de 14 milliards d’euros d’équipements et de matières premières seront produits au Maroc, selon le cabinet Mc Kinsey.


  • Le démantèlement tarifaire prévu en 2012 devrait alléger les coûts de production des équipementiers.

Le méga projet du groupe Renault à Tanger attire déjà des équipementiers étrangers. D’autres devraient suivre et enclencher une nouvelle dynamique dans la région.

Le secteur des équipementiers automobiles a encore de beaux jours devant lui. Après Valéo, Faurecia, Delphi, Lear Automotive, Yazaki… d’autres enseignes ont suivi ces derniers mois : l’équipementier CIE Automotive, le canadien Alcoa Fixations, le japonais Denso et le portugais Pinto. Mieux : l’un des principaux fournisseurs mondiaux de technologies de pointe, systèmes et composants, Denso, a décidé d’investir au Maroc (Tanger) dans la fabrication des systèmes de climatisation automobile. L’enveloppe consacrée au projet s’élève à 11,4 millions d’euros. Sur une superficie de 6.300 m2, l’unité de production, dont les travaux de construction sont en cours devrait être opérationnelle en décembre 2011.

Denso Thermal Systems Maroc table sur un chiffre d’affaires de 12 millions d’euros dès 2013. L’afflux ces derniers temps de nombre d’équipementiers de classe mondiale vers le Maroc explique l’importance prise par le secteur de la sous-traitance automobile. Selon les chiffres disponibles, cette activité compte plus de 70 entreprises employant près de 28.000 personnes. L’industrie automobile a drainé un chiffre d’affaires de 53 milliards de dirhams, représentant ainsi près de 3% du PIB et procuré à l’Etat plus de 5 milliards de dirhams de recettes fiscales. 1,3% de la population active totale est employée par le secteur. La performance est d’autant plus remarquable que l’implantation des équipementiers automobiles au Maroc est récente. Les premiers vrais investissements remontent à 1996, avec le début de la production de la voiture particulière dite économique Fiat déclinée en trois modèles : Uno, Palio et Sienna.


  • D’après l’étude de Mc Kinsey, le Maroc pourra se positionner comme plateforme pour fournir 28 sites d’assemblage en France, en Espagne et au Portugal.

L’arrêt d’activité en 2003 de Fiat Maroc a suscité de grandes inquiétudes auprès des équipementiers qui ont accompagné ce projet quant au sort réservé à leurs projets. Ce n’est qu’à partir du lancement de la nouvelle stratégie industrielle, Plan Emergence, qu’on peut parler d’un véritable essor de l’industrie de l’équipement automobile. Il a démarré en 2005 avec la production de la Logan destinée au marché local et à l’exportion. La nouvelle division internationale du travail a poussé en effet le Maroc à identifier les secteurs économiques à forte valeur ajoutée et dans lesquels il pourrait se positionner. L’industrie automobile en est un. C’est aussi l’un des six métiers qualifiés de mondiaux du Maroc. D’après l’étude réalisée par Mc Kinsey, le Maroc pourra se positionner comme plateforme pour les équipementiers internationaux pour fournir 28 sites d’assemblage en France, en Espagne et au Portugal. À l’horizon 2015, près de 14 milliards d’euros d’équipements et de matières premières seront produits. Ces sites ont la capacité de produire 500.000 véhicules et en équiper les 7 millions assemblés annuellement en Europe. Outre ces sites, le Mégaprojet Renault Tanger Méditerranée d’un investissement global de l’ordre de 1,2 milliard d’euros qui a une capacité de production de 400.000 véhicules par an, dont près de 90% destinés à l’exportion. Pour atteindre un tel objectif, deux zones y ont été dédiées celle de Tanger (Automotive city) et la zone industrielle de Kénitra (Atlantic Free Zone). Les atouts dont dispose le Maroc, pour attirer les équipementiers mondiaux, sont la proximité géographique, l’économie des coûts de transport et d’achat mais aussi le faible coût de la main-d’œuvre locale, faisant du pays une destination de délocalisation. En outre la mise en place d’incitations financières, du Fonds Hassan II, et fiscales confirment la volonté de l’Etat d’ériger l’industrie de la sous-traitance automobile en levier de croissance.

Enfin le démantèlement tarifaire, prévu pour 2012, devrait lui aussi alléger les coûts de production. Une raison de plus pour séduire de nouveaux investisseurs.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeLun 17 Mai 2010 - 22:37

Citation :

Maroc : Un très bon exemple face à la crise

L’économie diversifiée du Maroc
lui a permis de mieux résister face à la crise financière mondiale. Ce
constat a été fait par Dominique Strauss-Kahn, directeur général du
Fonds monétaire international (FMI), dans un entretien accordé au
journal égyptien "Al Ahram Hebdo".


Économie marocaine - Page 19 7c5d5b5ddb0ec24e519c15e886369e98_thumb
DSK sur Canal + le 25 novembre
2009 à Paris, AFP


Dominique Strauss-Kahn a confirmé une analyse de la Banque africaine de développement (BAD). Cette dernière avait annoncé que les pays à économies diversifiées, comme le Maroc, ont mieux résisté et pourraient même retrouver rapidement un taux de croissance supérieur à 5 %.

En période de crise, les pays ayant des économies les plus diversifiées s'en sortent mieux contrairement à ceux qui ont une économie insuffisamment diversifiée, ou même basée
entièrement sur un seul produit, par exemple énergétique. Dans ce cas de
figure, "le Maroc est un très bon exemple. Ce pays a très bien traversé
la crise. Il va retrouver une forte croissance", a affirmé le patron du
FMI, un entretien publié mercredi par l’hebdomadaire Al Ahram (N°818 du
12 au 18 mai 2010).

Toutefois, Dominique Strauss-Kahn a tenuà nuancer les performances de l'économie marocaine. Le cas du Maroc, a-t-il rappelé, est particulier car sa croissance dépend beaucoup "des pluies et de la partie agricole, et il se trouve que ça s’est bien
passé cette année".

L’ancien ministre français de l'Économieet des Finances, a également salué les politiques menées par le gouvernement marocain et la solidité du secteur financier du pays.

Rappelons que la dette marocaine en devise vient d’être porté à "Investment
grade" par l’agence internationale de gestion des finances publiques, Standard & Poor's Ratings Services.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeMar 18 Mai 2010 - 16:56

Citation :
Économie marocaine - Page 19 10_100472

Immobilier

Holmarcom enclenche la vitesse supérieure

· Un investissement de 3 milliards de DH dans le nord

· Le groupe affiche de solides ambitions pour ce marché

L’activité immobilière d’Holmarcom est désormais en ordre de bataille. L’enseigne présidée par Mohamed Hassan Bensalah n’est certes pas un nouveau venu sur ce marché, mais le groupe y est en train de changer d’échelle et a donné hier un tour concret aux nouvelles ambitions affichées à travers son projet CapTingis. Holmarcom a en effet décidé d’ériger un véritable pôle avec comme périmètre l’immobilier résidentiel, comme en témoigne CapTingis, mais aussi d’autres réalisations en cours dans le domaine de l’habitat intermédiaire à travers le label «Manazil». Ces nouveaux fronts servent bien entendu les synergies au sein du groupe et cette diversification doit assurer de nouveaux gisements de croissance dans un secteur en pleine effervescence, l’immobilier. Le pari étant d’en faire l’un des fleurons d’Holmarcom au cours des prochaines années. Mais au préalable, il faut assurer la logistique financière, technique et surtout les RH. Comme pour les autres secteurs du groupe, l’idée étant de développer des compétences pointues pour être le prestataire de référence dans la niche choisie. Près de 15 personnes ont été déployées à l’échelle de la direction immobilière avec à sa tête Hakim Cherradi, un ex-haut cadre chez Alliances.
Pour sa première sortie remarquée, la structure se positionne sur un chantier d’envergure. CapTingis mobilisera près de 3 milliards de DH, ce qui fera sans doute l’un des gros investissements immobiliers de ces dernières années. Pour le montage de l’opération, une structure dédiée, Jawharat Chamal, a été créée à cet effet, capitalisée à 240 millions de DH et détenue par Holmarcom (50%), la SCR (30%) et la Sanad (20%). Concrètement il s’agira de construire sur 60 hectares, sur un terrain donnant sur la baie de Tanger, des villas, des appartements R+3, une galerie commerciale ainsi qu’un hôtel de 25 étages.
Les travaux de terrassement des plateformes et des voiries ont été réalisés. Ceux des gros oeuvres de la résidence 1 ont démarré en octobre dernier. Sa commercialisation commence le 17 mai prochain et concerne 306 appartements divisés en 3 tranches ainsi que 4 courts de tennis et 3 piscines. La livraison est prévue le 4e trimestre 2011, les autres composantes du projet devant être achevées en 2012 pour la résidence 2 et en 2013 pour les villas et autres résidences. Derrière des considérations purement économiques, se cache en effet un projet d’une réelle ambition, structurant l’offre immobilière et touristique sur le nord. Un soin particulier a été apporté au design, à l’architecture ainsi qu’à la composante paysagère, ce qui en fera sans doute l’un des atouts majeurs. Le casting de groupes ayant travaillé sur ce volet compte plusieurs stars, en plus de Aziz Lazrak, comme les cabinets AGA (aéroport de Marrakech), CR architecture (Stade de France), P. Génard & Associés (Twin Center) ou encore Patrick Collier.

Mohamed Benabid


Citation :
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M. Mohamed Alami Nafakh-Lazrak, PDG du Groupe Alliances./DR

Malgré une croissance moins soutenue du marché de l'immobilier, le Groupe Alliances a enregistré une croissance du chiffre d'affaire consolidé de 279%, passant de 597 MDH à 2.265 MDH. Le résultat net s'est vu amélioré de 45%, passant de 250 MDh en 2008 à 364 MDh l'année suivante.

Cette réussite témoigne de la réactivité importante dont le promoteur immobilier a fait preuve. Ciblant la demande intérieure, le Groupe Alliance a, par exemple, signé un accord de partenariat pour l'aménagement de la zone Sindibad de Casablanca. En tant que partenaire du Plan Azur, Alliances inscrit également son action dans le cadre du renforcement des capacités d'accueil touristique et affirme sa forte implication en tant qu'investisseur et développeur de la station de Port Lixus.

Le Groupe compte créer un nouveau pôle Construction qui lui permettra de compléter sa gamme de services tout en les positionnant dans les meilleurs standards internationaux.

H.F
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeMer 19 Mai 2010 - 18:16

Citation :
Le Maroc en tête des pays de l'Afrique du Nord en termes de performances économiques (Rapport)


Addis-Abeba, 18/05/10 - Le rapport économique sur
l'Afrique (ERA-2010) a classé le Maroc, en termes de performances
économiques, en tête des pays de l'Afrique du Nord, qui a
"relativement" bien résisté à l'impact de la crise économique mondiale,
comparée à d'autres régions du Continent.


Il ressort de ce rapport, présenté mardi au siège de la Commission
économique pour l'Afrique (CEA) à Addis-Abeba, que le Produit intérieur
brut du Maroc a progressé en 2009 de 5,3 pc, contre 4,7 pc pour
l'Egypte, 3 pc pour Tunisie, 2,3 pc pour la Mauritanie, 2,1 pc pour
l'Algérie et 1,8 pc pour la Libye.
Les auteurs de l'ERA-2010 estiment que la croissance économique a
reculé en Afrique du Nord, mais à un rythme resté "modeste au regard
des normes continentales et internationales".
Le PIB de la région a progressé de 3,5 pc en 2009 contre 4,1 pc en
2008, ce qui reflète largement la capacité d'adaptation remarquable des
économies marocaines et égyptiennes.
Au Maroc et en Egypte, le recul de la demande extérieure a été
largement compensé par demande intérieure forte, "stimulée par des
mesures budgétaires anticycliques bien ciblées et l'assouplissement des
conditions monétaires", fait remarquer le rapport.
Du côté de l'offre, la production agricole exceptionnellement a dopé
la croissance au Maroc, tandis que l'intensification des activités dans
les secteurs de la construction et des télécommunications a stimulé
l'expansion économique en Egypte.
Intitulé "Promouvoir la croissance durable de haut niveau pour réduire
le chômage en Afrique", l'ERA-2010 estime que la crise économique
mondiale actuelle offre aux pays africains l'occasion de jeter les
bases pour un développement durable, un emploi intensif et des taux
élevés de croissance économique.
Le rapport plaide aussi en faveur d'une diversification économique et
une redistribution équitable des fruits de la croissance en vue de
faire reculer la pauvreté et d'atteindre d'autres objectifs de
développement social.
"Les perspectives de croissance à long terme en Afrique et la capacité
de créer d'importantes opportunités d'emplois et de réaliser un
développement social dépendent de la réussite de la diversification
économique", selon les auteurs du rapport.
Scindé en deux parties, le document traite des faits économiques
survenus dans le monde et leurs répercussions sur l'Afrique ainsi que
les défis posés par la récente crise économique mondiale qui constitue
une occasion de mettre au point et d'exécuter des politiques qui
conduisent à la transformation structurelle des économies africaines.



MAP



Citation :
Aéronautique: L’industrie marocaine dans l’A350 d’Airbus


• 70% du câblage de ce gros porteur sera réalisé par nos industries

• La main-d’oeuvre compte jusqu’à 45% dans la structure de coût



Le rideau de la 2e édition du salon aéronautique, Aeroexpo, est tombé
hier dimanche 31 janvier, libérant le tarmac de la base militaire de
Marrakech-Ménara. Les 300 participants qui ont exposé leurs produits
durant 4 jours ont plié bagages satisfaits. Le public de professionnels
et de civils était au rendez-vous, ce qui laisse espérer une
redynamisation du secteur durement malmené par la crise.

Ce salon d’exposition, comme son nom l’indique, et non pas de vente a
tenu toutes ses promesses. Le groupe Safran, l’un des leaders mondiaux
du secteur aéronautique, qui a déployé son potentiel sur le Hall A, via
ses différentes filiales présentes au Maroc, «en a eu pour son argent».


Le responsable des opérations de sa filiale Aircelle Maroc, Gilles
Delahoullière se dit heureux de pouvoir exposer «le savoir-faire
marocain en aéronautique». L’inverseur de poussée, une sorte de
soucoupe renversée, de la taille d’une turbine d’un gros porteur fait
la fierté de l’entreprise.

Objet de curiosité, les responsables présents sur ce stand de 56 m2 se
sont relayés pour expliquer leur «objet», conçu et réalisé pour
l’avionneur canadien, Bombardier. La capacité du Maroc à développer une
plateforme dédiée à l’industrie aéronautique ne fait plus de doute. La
déferlante des grands donneurs d’ordre du secteur, présents à ce salon,
particulièrement sur les zones de l’Aéropôle à Nouaceur et de Tanger
Free Zone, en atteste. Les entreprises installées sont en majorité des
filiales de groupes français, opérant comme sous-traitants pour le
compte de donneurs d’ordres basés en Europe et en Amérique, tels
Airbus, Bombardier, Boeing, Dassault ou encore Eurocopter.

De toute évidence, ce rendez-vous de l’aéronautique, désormais
considéré comme une charnière logistique pour doper encore plus le
secteur, vient confirmer la volonté des pouvoirs publics de faire de ce
secteur une locomotive industrielle de premier plan. Pour le ministre
de tutelle, Ahmed Réda Chami, il suffit de s’inspirer du deal entre les
Etats-Unis et le Mexique, qui lui sert de plateforme industrielle.
D’autant plus que cette collaboration donne plus de compétitivité à
l’ensemble.

De même, «l’Europe peut gagner en compétitivité grâce au Maroc»,
répète-t-il à l’envi aux potentiels investisseurs du Vieux continent.
Réagissant aux questions des journalistes dans le stand de la nouvelle
Agence de l’investissement, le ministre a rappelé que toutes les
productions n’ont pas vocation à être sous-traitées. «Les entreprises
sous-traiteront en fonction du faible caractère stratégique de leur
production et du potentiel de réduction des coûts lié à une production
en pays low-cost», explique-t-il. Autrement dit,
le Maroc développe son offre de sous-traitance en fonction de ses
points forts: proximité géographique et culturelle, coût de la
main-d’œuvre….

D’où peut-être la forte présence sur le salon de fabricants de pièces
composites (Daher, Souriau, Creuset, Le Piston français...). L’industrie aéronautique nationale est fortement positionnée sur la fabrication de ces pièces.
Plus précisément, Chami indique que «leur process de fabrication
rappelle ceux du tissage où la main d’œuvre compte jusqu’à 45% dans la
structure de coût». Autre niche industrielle,

le
câblage. C’est également un axe fort de développement: 70% du câblage
de l’A350 d’Airbus sera réalisé par les industriels marocains. Comme
filières et métiers stratégiques, le Maroc a également identifié la
maintenance, l’usinage et l’assemblage de pièces de moteurs…


Avantages


Maintenant, il n’y a plus qu’à aller chercher les investisseurs. Pour
les inciter à s’installer au Maroc, Chami souligne qu’«une entreprise
de 480 personnes du sud de l’Europe qui s’installerait au Maroc verrait
sa masse salariale, charges comprises, passer de 30, 6 millions à 12,6
millions d’euros par an». En y ajoutant les exonérations fiscales et
les coûts logistiques, l’économie annuelle atteindrait 19,5 millions
d’euros. Difficile de faire mieux.

Bachir THIAM
Source : leconomiste.com
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeMer 19 Mai 2010 - 19:34

Citation :
# MANAGEM : Signature d’une convention avec le Gouvernement gabonais pour l’exploitation de la mine aurifère de Bakoudou
bmce capital bourse
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeJeu 20 Mai 2010 - 0:55

Citation :
La Samir exporte son naphta

Le japonais Itochu a remporté un contrat auprès de la Samir pour l’achat de naphta (liquide issu de la distillation du pétrole). Le marché concerne près de 50.000 tonnes qui seront acheminées vers l’Asie en juin. Rappelons que la production du raffineur en naphta est excédentaire.

l'eco
Citation :
La Samir prospecte

La Samir se prépare à faire face au potentiel d’excédent de sa production, suite au renforcement de ses unités dédiées. Le raffineur prospecte actuellement de nouvelles opportunités d’exportation, mais aussi d’importation. Si l’on en croit son émissaire, Youssef Touijer, senior trader export, le raffineur est en recherche d’opportunités d’importation de pétrole brut et de produits pétroliers pour lesquels il affiche un déficit. Le groupe est en prospection avancée en Guinée Equatoriale, au Gabon, «c’est encore au stade de prise de contacts». Il cherche également des débouchés pour certains produits pétroliers finis ou semis-finis ou encore pour ses huiles de base, destinées à la production de lubrifiants.

l'eco

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeSam 22 Mai 2010 - 19:13

Citation :
Mostafa Terrab : "Réduire nos coûts de 30 % à 40 %" (OCP)

Économie marocaine - Page 19 020052010122419000000terrab

À la tête du numéro un mondial du phosphate, Mostafa Terrab, 54 ans, souhaite augmenter les capacités de production du groupe tout en diversifiant ses activités.
Jeune Afrique : Quel bilan tirez-vous de vos quatre premières années à la tête de l’Office chérifien des phosphates (OCP) ?
Mostafa Terrab :
Le Groupe OCP a vécu plusieurs transformations majeures. D’abord une mutation juridique, puisque l’Office chérifien des phosphates, initialement public, est devenu en 2008 une société anonyme, Groupe OCP. Notre situation financière s’est améliorée, et nous avons mis en place une nouvelle stratégie destinée à augmenter notre capacité de production dans les mines, la chimie et les engrais. D’ici à sept ans, nous passerons de 30 millions à 50 millions de tonnes de capacité d’extraction de phosphate par an. Et nous avons lancé un appel d’offres pour la construction de deux usines d’engrais à Jorf Lasfar [port marocain à partir duquel l’OCP exporte son phosphate, NDLR], pour lequel nous avons déjà une quinzaine de candidats.
La chasse aux coûts n’est-elle pas aussi l’une de vos priorités ?
Avec l’amélioration de la *productivité, l’utilisation de nouvelles techniques d’extraction et de nouveaux process de fabrication d’engrais, nous envisageons de réduire nos coûts de 30 % à 40 %. Notre objectif est d’arriver à moins de 10 dollars la tonne de phosphate, nous n’en sommes plus loin. Ces projets représentent des centaines de millions de dollars d’investissements.
Vous allez presque doubler votre capacité de production. N’est-ce pas trop risqué sur des marchés de matières premières aux cours très volatils ?
Nous allons ajuster notre stratégie de vente au marché du phosphate, car ce dernier est cyclique (la demande en engrais étant dépendante, par exemple, du climat ou de la culture des biocarburants). De temps en temps, il y a des pics de demande et il faut être réactif. Mais la stratégie qui consiste à utiliser toute notre capacité de production et à tout vendre est contre-productive car, parfois, la demande n’est pas au rendez-vous. À l’inverse, la flambée des prix de 2008 était due à un déséquilibre fondamental entre la demande et l’offre : ce déséquilibre venait d’un sous-investissement des producteurs depuis vingt ans, auquel nous souhaitons remédier.
Où en est votre superprojet de pipeline pour le transport du minerai des mines jusqu'au port de Jorf Lasfar ?
Les appels d’offres ont été lancés il y a quelques semaines. La mise en route du pipeline est prévue pour juin 2012. Il sera enfoui pour ne pas empêcher l’exploitation des terres agricoles en surface. En plein appel d'offres, il serait contre-productif d’indiquer l’enveloppe réservée à ce projet. Ce que je peux dire, c’est que l’on attend un retour sur investissement sur trois ou quatre ans.
Allez-vous privilégier les entrepreneurs marocains ?
Même en tant que plus grande entreprise du Maroc, nous avons compris que notre compétitivité dépendait de celle des entreprises locales. Le Groupe OCP doit donc leur donner les moyens d’accroître leur propre productivité en leur offrant des opportunités sur les marchés de la construction, de la sous-traitance ou de l’ingénierie industrielle pour qu’elles affinent leur savoir-faire et leur compétitivité.
Vous avez un projet de parc éolien, n’est-ce pas surprenant ?
Nous sommes effectivement en train de discuter avec des entreprises marocaines du secteur de l’énergie éolienne. Nous n'écartons pas l'idée de devenir nous-mêmes producteurs et d’ouvrir une filiale « Utilities », qui regrouperait les secteurs eau, énergie et environnement. Ce ne serait qu’une opération juridique puisque nous sommes déjà producteurs d’énergie, avec la récupération des vapeurs de nos usines, et d’eau, avec une usine de dessalement à Laayoune et deux autres projets à l’étude à Safi et à Jorf Lasfar.
Y a-t-il d’autres filialisations envisagées ?
La construction d'un nouveau port, à Safi, pourrait être l'occasion d’une diversification dans les opérations portuaires, ou du moins d'y être associé. Pour l'instant, nous sommes en discussion avec les autorités.
Propos recueillis à Rabat par Michael Pauron


Jeune Afrique

Infos sur Terrab :
Titulaire en 1990 d'un doctorat d'État en Recherche Opérationnelle du Massachusetts Institute of Technology (MIT, Cambridge, USA), d'un masters en ingénierie dans le même institut (1982), M. Mostafa Terrab est également titulaire d'un diplôme d'ingénieur de l'École nationale des Ponts et Chaussées de Paris (1979). M. Mostafa Terrab a intégré Bechtel Civil (1983/85) et Minerals Inc, à San Fransisco en Californie, en qualité d'analyste en systèmes de transport où il était responsable des études planning pour le projet de construction de l'aéroport international de Damman (Arabie-Saoudite) et membre de l'équipe chargée des études économiques liées au projet de la liaison fixe à travers le détroit de Gibraltar. Il a été professeur assistant et chercheur au MIT de septembre 1986 à août 1989 et consultant au laboratoire Draper de Cambridge au Massachusetts de septembre 1989 à juillet 1993. Il a reçu en 1988 le prix Frederick C. Hennie III pour sa contribution exceptionnelle au programme d'enseignement du département d'ingénierie électrique et informatique du MIT. De 1990 à 1992, il a été professeur assistant au Rensselaer Polytechnic Institute, Troy à New-York, dans les départements des sciences de la décision et des systèmes d'ingénierie et d'ingénierie civile et environnementale. En 1992, M.Mostafa Terrab a été chargé de mission au Cabinet Royal. En 1995, il s'est vu confier le poste de secrétaire général au secrétariat exécutif du Sommet économique pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord. Membre du Groupe de réflexion auprès de Feu S.M. le Roi Hassan II, d'avril 1996 à juillet 1999, il a été nommé, le 9 février 1998, Directeur Général de l'Agence Nationale de Réglementation des Télécommunications (ANRT) avant de diriger le programme “Information pour le Développement” (Info Dev) et d'occuper la fonction de Principal spécialiste de la Régulation à la Banque Mondiale d'avril 2002 à février 2006. Il a été nommé Directeur Général de l'OCP le 15 février 2006. M. Mostafa Terrab est né le 19 octobre 1955 à Fès. Il est marié et père de trois enfants.
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MessageSujet: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 2:07

la logistique marocaine qui explose et passe a la taille XXL, 70 platformes d'ici 2030 deja 38 d'ici 2015, c'est un bon maroc en mouvement et integration des ses zones economiques clès ,donc pour moi heureux sont ceux qui vont y investire aujourd'huit ( j'aurais aimè voir des marocains entrepreneurs dans ce secteur vitale et pas tjrs des etrangers mais bon ) :

docu eclairages.

http://www.2m.ma/Programmes/Magazines/Economie/Eclairages/Le-secteur-de-la-logistique


je me demandais seulement combien cette operation va apporter au gouv de Mr ghelleb vu qu'il s'agit de vente de terrains publics, preparations de fonciers et formations a travers tous le royaume a plusieurs millions de DH Économie marocaine - Page 19 Suspect

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"  "تِلكَ الدَّارُ الآخِرَةُ نَجْعَلُها لِلَّذينَ لا يُريدُونَ عُلُوًّا فِي الأَرْضِ ولا فَسَادًا"
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 18:40

Citation :

Maroc , Après le plan solaire, l'éolien

Après le plan solaire, l'éolien

Une puissance projetée de 2 000 MW.


Le Maroc semble bien parti pour s’inscrire dans la trajectoire des énergies renouvelables. Le 2 novembre dernier, il lançait un méga projet solaire articulé autour de 5 centrales à installer en 10 ans et qui auraient une puissance 2 000 MW, soit la consommation annuelle d’une ville comme Casablanca.
Après le soleil, c’est le vent qui intéresse aujourd’hui l’Etat. Selon des sources sûres, l’Office national de l’électricité est en train de plancher sur un projet de parcs éoliens qui permettraient au Maroc, d’ici 2020, de disposer d’une puissance équivalente à celle qui serait fournie par le parc solaire. Calqué sur le modèle du plan solaire, celui de l’éolien repose sur la fourniture par l’Etat de sites aménagés qui pourraient recueillir les investissements privés. L’énergie produite serait ainsi soit injectée dans le réseau électrique national à travers la vente à l’ONE soit vendue directement aux opérateurs économiques. Une souplesse permise par le programme gouvernemental Energipro et consacrée par la loi 13-09 et qui vise à encourager la production à partir de sources d’énergies renouvelables et à libéraliser la commercialisation de l’électricité ainsi produite, à l’instar de ce que s’apprête à faire Nareva, filiale d’Ona qui s’est lancée dans un projet de trois parcs éoliens d’une capacité de 300 MW.
Il faut rappeler que jusqu’à présent, et hormis les initiatives privées, l’Etat a procédé, à travers l’ONE, à des investissements sur la base du mode BOT (built, operate, transfer) qui faisait de l’office le propriétaire d’installations données en concession. La nouvelle approche vise un désengagement de l’Etat en tant que producteur, tout en assurant aux investisseurs privés et bailleurs de fonds internationaux un environnement incitatif. La société d’investissement énergétique créée par l’Etat sera, bien entendu, de la partie.

lavieco





Citation :
MAROC-CAMEROUN : Vers un accord de libre-échange

MAROC-CAMEROUN : Vers un accord de libre-échange

Le marché camerounais est très porteur. Plusieurs secteurs offrent d’importantes opportunités d’investissements.
Les grands chantiers infrastructurels offrent d’importantes opportunités d’investissements.


Douala est la première escale de la deuxième Caravane de l’export en Afrique ; dans une tournée qui la mènera également à Malabo (Guinée équatoriale) et à Libreville(Gabon). Plus de cent entreprises marocaines ont fait le déplacement, opérant dans les secteurs de l’agroalimentaire, des biens d’équipements, des BTP, de l’énergie, des industries mécaniques, métallurgiques et électriques(IMME), des technologies de l’information(TIC), de la parachimie, de la pharmacie, de l’audit et du secteur bancaire. A lui seul, le secteur de l’électricité s’adjuge la part du lion avec plus de 25% des sociétés présentes. Cet afflux massif des électriciens trouve son origine dans le fait que le marché camerounais offre d’importantes opportunités de développement aux exportations des pays tiers. Quelque 50 autres opérateurs auraient dû prendre part à ce voyage d’affaires. Le chiffre est éloquent, confirmant ainsi la ferme volonté de nos exportateurs de se positionner à l’international. Abdellatif Maâzouz, ministre du Commerce extérieur, a invité son homologue camerounais à mettre en place un nouvel accord de coopération. «Ce nouveau cadre juridique, une fois instauré, insufflera une nouvelle dynamique à nos échanges commerciaux, lesquelles sont en deçà des potentialités de nos pays», a déclaré le ministre lors de la cérémonie inaugurale des travaux de ces rencontres B to B.

La démarche entreprise par le Maroc est une démarche de développement et non de business comme l’a bien explicité Saâd Benadddellah, directeur de Maroc Export. Mais ce qui est important dans toutes ces démarches de partenariat Sud-Sud et «sûr sûr» c’est d’assurer la continuité. Et c’est là justement où le bât blesse, selon Saâd Benabdellah.

Le marché camerounais est très porteur. Plusieurs secteurs offrent d’importantes opportunités d’investissements : tourisme avec la construction de nouvelles unités hôtelières ; le logement social ; les NTIC ; l’exploitation minière ; la grande distribution ; la banque et les assurances…bref, tous les grands chantiers d’infrastructures.

La plus importante des démarches de partenariat Sud-Sud est la continuité.

En plus de sa proximité géographique et culturelle avec le Maroc, le Cameroun est l’un des pays les plus prospères de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale(CEMAC), avec un PIB par an et par habitant de l’ordre de 2300 dollars. Mieux encore : le pays applique des tarifs douaniers ne dépassant pas 30% aux produits en provenance de pays tiers et la plupart de notre offre exportable vers ce pays n’est taxée qu’à 10%. Réviser ce taux à la baisse est un atout pour le partenariat maroco-camerounais.

Cette orientation stratégique vers l’Afrique subsaharienne, dont le potentiel de croissance est étonnant , dénote l’importance, surtout en ces temps de globalisation et de concurrence, de la complémentarité économique Sud-Sud. «La crise par laquelle passe actuellement notre secteur d’activité nous a poussés dans une certaine mesure à rejoindre cette Caravane de l’export pour venir prospecter le marché camerounais, en quête de nouvelles opportunités d’investissements», affirme au Soir échos Mohamed Oubaha, PDG de la société Matisol, opérant dans le secteur du BTP. Au terme de l’exercice 2009, son chiffre d’affaires a totalisé près de 30 millions de dirhams, soit une amélioration de l’ordre de 5% en comparaison avec 2008.

Il n’empêche que nombres d’obstacles sont dressés devant ce partenariat «gagnant-gagnant».

A leur tête le transport et la logistique. Actuellement la RAM assure une seule liaison entre le Maroc et le Cameroun. A souligner enfin qu’une convention de partenariat a été signée entre la Fédération nationale de l’électricité et de l’électronique, FENELEC, et l’Association des entreprises d’électricité et d’électronique du Cameroun ASEELEC.

l'économiste
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 22:21

Citation :
Equipementiers auto

Des Allemands préparent leur implantation


· Une quinzaine de chefs d’entreprises et d’hommes d’affaires intéressés par le site Maroc

· Projets de joint-ventures pour tester le marché


L’intérêt des équipementiers allemands pour le Maroc n’est plus à démontrer. Une quinzaine de chefs d’entreprises et d’hommes d’affaires se sont rendu, la semaine dernière, à Tanger et Casablanca. Objectif: détecter les opportunités d’affaires, étudier les modalités d’investissement et trouver des relais de croissance au Maroc. FEP Fahrzeugelektrik Pirna, Freudenberg & Co, Langendorf Textil, Wilhelm Karmann, Mann+Hummel, Eurotriade… sont autant d’entreprises allemandes de premier rang qui ont été représentés lors de cette mission de prospection.
Tout un programme a été concocté pour optimiser le déplacement: visite d’usines, du complexe Somaca à Casablanca, Polydesign et Yazaki à Tanger… «Ce voyage a aussi été l’occasion de rendre visite à nos clients au Maroc», affirme Jaume Cane, PDG de Freudenberg & Co (firme qui produit les joints, les composites anti-vibrations, les fibres, les garnissages de compartiments moteurs ainsi que les agents de séparation). Outre les visites d’usines, le site en chantier de Renault Melloussa a été l’une des étapes les plus importantes du programme. Fournisseurs, sous-traitants, partenaires, infrastructures, plateformes logistiques… la situation de l’ensemble de la filière a été passée en revue par les industriels. En termes de bilan, un satisfecit général se dégage de la visite, précise-t-on auprès de l’Association marocaine de l’industrie pour le commerce automobile (Amica). En effet, le dynamisme que connaît le secteur des équipements et l’effet d’entraînement de l’usine de Renault Tanger (RTM) suscitent l’intérêt des investisseurs, toutes branches confondues.«Nous envisageons très sérieusement d’étendre notre activité à cette région, une joint-venture devrait nous permettre, assez rapidement, d’être présents sur la plateforme marocaine», annonce Walter Kuhnert, DG de Wilhelm Karmann (entreprise spécialisée dans la production de housses en cuir et tissus). Parmi les clients de Wilhelm Karmann, figurent Air France, Alsthom, Lufthansa, Bentley…
Pratiquement l’ensemble des entreprises allemandes, ayant fait le déplacement, n’excluent pas l’option d’une implantation au Maroc. Mais toute démarche dans ce sens devra être déclinée par étapes, via des partenaires logistiques et des joint-ventures dans un premier temps, tient-t-on à préciser. A ce titre, le principal argument en faveur de la destination Maroc reste le réseau de sous- traitants de plus en plus dense. A cela s’ajoutent les différentes possibilités qu’offre désormais la zone franche de Tanger Med. D’ailleurs, les industriels mettent l’accent sur l’importance des services à l’entreprise et le rôle déterminant des plateformes logistiques. Parmi les activités représentées, figure la production de raccordements, interrupteurs, canaux de câblages, particules de matières… Un portfolio, produits de FEP Fahrzeugelektrik Pirna qui est à 65% orienté à l’export.

Othmane ARIDE
l'économiste
http://www.leconomiste.com/article.html?a=100662


Dernière édition par amine222 le Lun 24 Mai 2010 - 22:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 22:43

Citation :
Caravane de l’export

Les opérateurs gabonais séduits

DNES au Gabon, Bachir THIAM

· L’offre exportable marocaine jugée «recevable»

· La touche diplomatique a donné plus d’envergure à la Caravane


LE Gabon, dernière étape de la deuxième édition de la Caravane de l’export en Afrique, est de loin la plus fructueuse des trois opérations. L’apport de la filiale gabonaise UGB du groupe Attijariwafa bank, qui a mis à disposition ses équipes commerciales et ses fichiers clients, et le soutien du patronat gabonais ont contribué à faire de cette étape (21 et 22 mai) la mieux réussie. La plénière de l’étape, présidée par le Premier ministre gabonais, a consolidé la nouvelle approche B to G (Business to Gouvernement) de Maroc Export.
La phase protocolaire de l’étape passée, les opérateurs marocains ont dû recourir au tri sélectif pour rencontrer les meilleurs profils, tant la demande pour les B to B était importante.
De belles perspectives de business sortiront des ces rencontres. Concrètement, Insoft/Saphir, éditeur de logiciels et spécialiste de la MFS (mobile finances services) a été approché par un opérateur gabonais de premier rang. Selon les toutes premières informations, le deal en perspective porte sur un projet de création d’une joint-venture, sur la base de la technologie développée par le groupe marocain. Objectif: satisfaire les besoins du plan d’expansion du l’opérateur gabonais, qui est de pénétrer une quinzaine de marchés de la région. Au-delà, tous les contacts ont été intéressants. Les entreprises de l’agroalimentaires ont fait partie du voyage, notamment Tria dont le directeur à l’export, Idrissa Sow, se dit satisfait de la qualité des potentiels partenaires rencontrés, qui plus est, «connaissent nos produits». De plus, le directeur Export de Tria est rentré en contact avec l’un des plus grands réseaux de distribution du pays. Pour Khalid Dbbarh, DGA d’Involys, en charge du développement des marchés, «ce genre de mission permet de capitaliser sur l’image dont jouit le Maroc dans la région». Allusion faite à l’énorme intérêt que le ministre équato-guinéen des TP a accordé à la présentation de l’offre Involys. Ils ont tous fait «bonnes affaires», OCP, Samir, Onapar, Zinelc, Fabrilec, Dalia, ES Data, IB Maroc, CBI, BFive, Pharma 5, GFI… ainsi que la dizaine d’entreprises de la Fédération de l’électricité. C’est l’avis aussi de Hakim Rocham, directeur chez Oge (groupe Cohors). Rocham admet qu’il y a «un gros potentiel de développement de partenariats industriel et commercial», mais il va falloir «être réactif pour ne pas laisser retomber l’engouement des pouvoirs publics et des opérateurs des pays traversés», tient-t-il à préciser.
Les représentants des 90 entreprises du voyage, sauf une encore, se sont acquittées de leur ticket d’entrée, fixé à 22.500 DH dont 80% pris en charge par Maroc Export, donc remboursés aux entreprises après constitution de dossiers dédiés selon la procédure en vigueur.
Revenant au business, Ali Sekkat, directeur associé de Bfive Consulting, se dit persuadé des opportunités d’affaires qu’offrent ces pays où «tout est encore à faire dans certains domaines», notamment les services devant accompagner les stratégies naissantes de développement. Il dit ressentir la même atmosphère du marché marocain au début des années 90. Mais il craint que le concept de caravane, «une approche révolutionnaire, ne soit in fine qu’une opportunité de one short». Pour Sekkat, il fallait d’abord procéder à des études de ces marchés (voire études sectorielles) avant de les affronter un peu à tâtons. Le cabinet Mazars, qui a des filiales et/ou des bureaux de représentation dans de nombreux pays du continent, participait pour la première fois à la caravane de l’export en Afrique, en la personne de son directeur associé, Abdou Diop. Le cabinet d’audit et de conseil casablancais est déjà présent dans ces marchés en accompagnant plusieurs entreprises marocaines dans leur développement sur cette partie du monde. Le groupe Zine, spécialisé dans l’eau et l’énergie, qui participait pour la deuxième fois à la caravane avec ses deux entreprises Novelli (fabrication de pompes immergées et de surface) et Zinelec (ingénierie électrique et hydraulique) a de belles perspectives. En plus des nombreux contacts de partenariat commercial noués au fil des étapes, ses représentants, Youssef Mohadab et Ahmed Berrada, ont exposé à leurs potentiels partenaires leur expérience de centrale d’achat d’eau et électricité, un GIE de 9 entreprises marocaines. L’idée, selon Mohadab, est de recruter plusieurs PME et regrouper ainsi leurs besoins d’achat de sorte à minimiser les coûts.
La touche politico-diplomatique a donné plus d’envergure à la Caravane. En Guinée équatoriale par exemple, c’est au niveau de la présidence de la République que la Caravane est gérée. Le passage obligé par Bata (capitale économique et fief du président) après Malabo, a été jugé «étape de trop», mais «nécessaire et stratégique», selon Daniel Tobias, directeur export de Laprophan. Mais précisons que dans ces pays, c’est l’Etat qui tient les marchés.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 22:47

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· AWB compte créer une banque d’affaires au Gabon

Plus que quelque derniers réglages pour que la première banque d’affaires d’Attijarifa Bank, en Afrique subsaharienne voit le jour. De sources sûres, Attijari Finance Corp prévoit dans les tout prochains jours l’envoi d’une équipe pour la mise en place d’une banque d’affaires à Libreville au Gabon.
L’un des objectifs: répondre aux
besoins de sécurisation des investisseurs marocains sur le continent où, en
plus de la capillarité du réseau d’Attijariwafa Bank déjà importante, la Guinée équatoriale, le Togo, et plus récemment encore le Tchad sont dans le viseur de la banque.

Citation :
· BMCE primée en Afrique

BMCE s'est vu décerner le Prix de la meilleure stratégie régionale lors de la 2e édition de «Africa Banking Forum». Ce trophée récompense les institutions qui se sont distinguées dans l'univers de la banque en Afrique. Cet événement a eu lieu les 19 et 20 mai derniers à Marrakech, sous le thème "la dynamique bancaire post-crise". Il a été initié par "i-conférences", groupe d'organisation de conférences, spécialisé dans l'Afrique du Nord, du Centre et de l'Ouest, en partenariat avec la Banque africaine de développement.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 22:48

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· Pharma 5 va investir en Guinée équatoriale

Pharma 5 qui participait à la 2e Caravane de l’export en Afrique du 16 au 22 mai, est sur une belle affaire en Guinée équatoriale. Le laboratoire pharmaceutique marocain a eu l’accord de principe de la vice-ministre équato-guinéenne de la Santé pour créer à Malabo, la capitale politique, une grossisterie pour non seulement couvrir les besoins de ce petit pays (moins de 700.000 habitants), mais aussi de la sous-région. Elle dit attendre un bon business plan du laboratoire et promet de mettre gracieusement le foncier à sa disposition.
La Guinée équatoriale, un des pays les plus riches de la planète (PIB/habitant plus de 33.000 dollars) n’a pas de grossiste-répartiteur. Le pays est approvisionné depuis le Cameroun, la France et l’Espagne.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 19 Icon_minitimeLun 24 Mai 2010 - 22:50

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Somagec pousse ses pions en Guinée équatoriale

· L’entreprise marocaine y mène plusieurs chantiers

· 3.600 salariés dont près de 900 Marocains

· 1 portefeuille d’affaires de plus de 1,5 milliard d’euros


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L’HISTOIRE moderne, toute récente de la Guinée équatoriale, s’écrit sans conteste avec le Maroc. Dans ce petit pays d’Afrique centrale de 28.000 km2 pour moins de 700.000 habitants, le Royaume y est bien présent parmi les grands faiseurs de développement du monde. Dans plus d’un café sur trois, tenu par des équato-guinéens dans les principales villes du pays, le drapeau marocain y est hissé à hauteur celui de la Guinée équatoriale. En plus des très bonnes relations d’amitiés qu’entretiennent les chefs d’Etat des deux pays. «Le Maroc participe à la construction de notre pays», reconnaît Joakim, un chauffeur de taxi, qui nous ramenait à l’aéroport de Bata, la capitale économique. Il n’a pas tort. En seulement 5 ans de présence, le groupe marocain Somagec, spécialisé dans le génie civil, l’hydraulique et l’assainissement, s’est taillé une bonne réputation pour son savoir-faire dans ce pays où Américains, Français, Allemands, Italiens, Chinois, Egyptiens… se livrent une concurrence sans merci.
Le jeune directeur-adjoint des travaux de la filiale du groupe en Guinée équatoriale, Erb Georges, qui nous recevait à Bata(1) dans l’un des multiples sièges de l’entreprise, n’avait pas l’air plus inquiété face à cette concurrence. Somagec GE, c’est le nom de la filiale, est réputée pour être le bras constructeur de l’Etat équato-guinéen. Elle est présente dans tous les gros marchés publics du pays. Contrairement à la concurrence, que Gerges qualifie de «passage», Somage GE est une entreprise de droit équato-guinéen. «Les centaines de grues, de camions et autres machines de travaux publics, tout est acheté sous douane. Cela veut dire que ce matériel restera propriété de la Guinée équatoriale, alors que la concurrence plie bagages dès qu’un chantier est terminé». Il sait mieux que quiconque que le rythme effréné de la construction du pays s’arrêtera un jour, mais «quitte à nous convertir à de nouveaux métiers dont le pays aura besoin, nous y sommes, nous y restons». Voilà qui rassure les 3.600 salariés équato-guinéens de Somagec GE ; 1.100 sont expatriés dont 90% de Marocains. De toute façon, ils ont le temps de voir venir, tant il est vrai que ce pays que certains comparent déjà à «Dubaï de l’Afrique» en construction, est un chantier à ciel ouvert.
Outre les ports maritime et militaire de Malabo, la capitale politique, Somagec GE est engagée sur de nombreux chantiers en même temps. «Des chantiers stratégiques qui permettront à la Guinée équatoriale de diversifier son économie», souligne le vice-premier ministre en charge de l’Economie. L’entreprise est en train de construire le nouveau «paseo» de la capitale. Un aménagement du littoral sur 4 km de long et 30 mètres de large, semblable à celui réalisé à Bata par le français Bouygues. Entre autres chantiers importants, les travaux d’extension du port de Luba et la construction d’un quai pour accueillir un dog flottant (pour les réparations navales). A Bata, le groupe a débuté fin de 2008, en partenariat avec le français Veolia, les travaux de l’extension sur 35 km du réseau d’adduction d’eau ainsi que la construction d’une centrale d’épuration devant approvisionner 300.000 personnes. Dans cette même ville, Somagec GE a entamé les travaux d’extension du port avec 2 km de quai et 50 ha de terre plein, gagné sur la mer. Il aménage actuellement le littoral de l’ile de Sipopo, aux côtés de Bouygues qui y construit un hôtel. La région de Kogo, au sud, frontalière du Gabon, et la petite île d’Annobon de 230 habitants, bénéficieront également à terme d’infrastructures importantes. La première se verra doter d’un quai fluvial sur pieux et la seconde d’un port maritime et aéroport (une piste de 1,9 km et les infrastructures aéroportuaires qui vont avec). La piste de l’ile voisine, Corisco, de 3,12 km, sera réhabilitée également par Somagec pour accueillir de gros porteurs. Son portefeuille d’affaires en Guinée équatoriale a atteint plus de 1,5 milliard d’euros à fin 2009.

De notre envoyé spécial,
Bachir THIAM
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(1) La Guinée équatoriale était la 2e étape de la Caravane de l’export, partie de Casablanca le 16 mai. Le Cameroun et le Gabon constituaient la 1re et dernière étape.
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