Actualité Economie Mondiale

Rappel du premier message :

USA/GB: accord sur les faillites bancaires

Citation :

L'un des régulateurs bancaires aux Etats-Unis, la FDIC, et la Banque d'Angleterre ont annoncé vendredi la signature d'un accord de coopération sur les risques de faillite d'une institution financière multinationale.

Cet accord de principe vient en compléter un autre, datant de 1996 et amendé en 1998, entre les trois principaux régulateurs bancaires américains (Réserve fédérale, FDIC et OCC) et l'autorité de régulation britannique du secteur financier, la FSA.

Il prévoit un échange d'informations pour prévenir un risque de ce genre, de préparer "les outils de gestion d'une crise traversant les frontières", et de prévoir entre autres les moyens de coordination et la répartition des tâches.

La présidente de la FDIC Sheila Bair, citée dans un communiqué, a salué "un pas vers la mise en oeuvre des recommandations du groupe de résolution des crises internationales du Comité de Bâle", un forum de régulateurs bancaires de 27 pays.

Si la Banque d'Angleterre n'est plus régulateur bancaire aujourd'hui, elle reste chargée de gérer les crises bancaires, a rappelé son gouverneur Mervyn King. La FDIC est quant à elle l'autorité de régulation de plus de 5.000 banques, en plus d'être l'agence fédérale de garanties des dépôts bancaires.

AFP

Si ca continue comme ca on va droit à la catastrophe...

Citation :

Impasse sur la dette américaine (Cantor)
AFP
23/06/2011 | Mise à jour : 17:14 Réactions (3)
Eric Cantor, chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants américaine, a annoncé jeudi qu'il se retirait des discussions cruciales avec la Maison Blanche sur le relèvement du plafond de la dette.

Tout en notant que des progrès avaient été enregistrés dans les discussions, M. Cantor a souligné dans un communiqué qu'il y avait une "impasse" sur la question des hausses d'impôts, dont les républicains ne veulent pas.

"Je ne participerais (donc) pas à la réunion aujourd'hui et je crois qu'il est temps que le président (Barack Obama) s'exprime clairement et trouve une solution à ce problème", a-t-il ajouté.

La dette brute de l'Etat fédéral, de quelque 14.300 milliards de dollars , a atteint à la mi-mai le plafond autorisé par le Congrès.

La pression n'a cessé depuis de s'accentuer au Congrès, les élus ayant jusqu'au 2 août pour trouver un accord sur le relèvement de ce plafond. Passé ce délai, selon le département du Trésor, les Etats-Unis pourraient se trouver en défaut de paiement.Les négociations menées depuis plusieurs semaines sous la houlette du vice-président Joe Biden n'ont encore rien donné.

A noter que l'opération QE2 lancer par la FED pour financer l'endettement américain arrive a son terme le 30 juin, c'est a dire la semaine prochaine. Si d'ici la les USA ne relance pas QE2 ou lance un QE3. Ils n'arriveront plus a financer l'endettement.
L'Europe est empétrer avec la dette de ses membres. Le Japon a était ravager par le tsunamie ( et la cat nucléaire) et rappatrie ses sous pour se reconstruire. La Chine avec ses problème inflation ( la surchaufe de la croissance chinoise est malheuresement arriver) a d'autre chat a fouetté...

Si cet été les USA font faillite, et que se soit suivie ou en meme temps que la faillite de pays européen ( Gréce, mais aussi le Portugal et l'Irlande, voir des faillite surprise comme la Belgique, l'Italie ou l'Espagne)
Ce sera un APOCALYPSE Financier

Qui sera suivie d'une explosion sociale qui prendrait des proportions biblique

Vive la déréglementation ! Vive le libéralisme !
L'économie physique, productrices des réelles richesses, c'est archaïque, n'est-ce pas ? Jouer au casino-bourse, avec l'argent des déposants, et se faire payer ses pertes par les contribuables, ça c'est la modernité

Opération QE2 est terminé comme prévue
il ne sera pas renouveller
maintenant pour financer l'endettement des USA, reste plus que les autres pays :
La Chine se desengage de plus de plus, le Japon rapatrie ses sous pour se reconstruire, l'Europe garde les siens pour se sauvé elle-même, les Pays du Golfe grade aussi leurs tunes pour se sauvé d'une révolution et financer leurs " Sainte Alliances" ( CCG + Jordanie + Maroc)
Je vois vraiment pas ou il trouverons l'argent...
Et si début Aout au Congré il y a rien qui se fait pour déplafonner la dette
Les USA seront officiellement en défaut de paiement

Citation :

Iraq, Afghanistan Wars Cost US Nearly $4 Trillion

A new report issued by Brown University says the cost of America’s wars in Iraq and Afghanistan - and operations in Pakistan - will cost the country nearly $4 trillion. The report's total is more than three times higher than U.S. President Barack Obama’s estimate in a recent speech.

When Obama recently announced a drawdown of U.S. troops from Afghanistan, he said America's wars have cost the country $1 trillion dollars.

But a report by Brown University’s Watson Institute for International Studies estimates the total cost at $3.7 trillion.

The study includes spending on wars in Iraq and Afghanistan, as well as operations in Pakistan. Catherine Lutz is one of the study’s co-authors.

“The reasonable estimate is approximately $4 trillion for the war, up to... today and including some of the future costs that we are obligated to pay for veterans care," said Lutz. "In addition, another $1 trillion in interest payments on the debt, we estimate will be required through 2020.”

Lutz said costs such as long-term care of wounded veterans, and projected war spending from 2012 through 2020, were included in the figures. Report co-author, Boston University Political Science Professor Neta Crawford, said other costs include lost opportunities because money was spent on war materiel.

“So if you think about the annual budget of these wars, let us say it averages $130 billion each year for the last 10 years, then you get more than 900,000 jobs in education that could have been created," said Crawford.

The human costs also are also high. The report says between 224,000 and 258,000 people have died directly from warfare, with 125,000 of them civilians in Iraq.

Even with the president’s planned drawdown of 33,000 troops, there will still be almost 70,000 troops in Afghanistan at an estimated cost of $1.2 million each. (VOA/David Byrd)

defpro

Citation :

Brazil's biggest oil finds in 2010

There were more than 10 significant oil discoveries in Brazil last year, making the southern American country one of the world’s most exciting new frontiers. Here are some of the biggest:

2:51PM BST 30 Jun 2011

Brazil has discovered billions of barrels of oil in the last few years, mostly in deep, pre salt fields off its south-eastern coast.

The finds have pushed the nation up in the oil producer rankings, with around half of all new finds made in Brazil.

Others significant finds in 2010 include Iran, Russia, Oman, Iraq and the US.

Here's are some ofBrazil's biggest discoveries:

Libra – October (Petrobras, National Agency of Petroleum)

In October, Brazil said its Libra oil field may hold “gigantic” reserves of as much as 15bn barrels, with the lower end of estimates starting at 3.7bn. The find made it the biggest discovery in the Americas in more than three decades, when Mexico found the giant Cantarell field in the Gulf of Mexico.

Franco – May (Petrobras, National Agency of Petroleum)

Brazil's Franco field was estimated to hold 4.5 bn barrels of oil. "It seems that this is one of the highest potential wells ever drilled in the country," said ANP general director Haroldo Lima at the time of discovery.

Cernambi 1.8bn barrels – December (Petrobras, BG and Galp)

Formerly called Iracema, the Cernambi field - Portuguese for mollusk - was estimated to hold 1.8bn barrels.

Waimea and Fuji – May (OGX Petroleo)

Located around 50 miles off the coast of Rio de Janeiro, the Fuji field, together with its neighbouring Waimea field was estimated to hold 600m to 1.1bn barrels of oil.

1-OGX-3-RJS - February (OGX Petroleo)

The catchily named 1-OGX-3-RJS oil field was estimated to hold between 500m and 900m barrels of oil when it was discovered in February last year.

http://www.telegraph.co.uk/finance/newsbysector/energy/oilandgas/8608602/Brazils-biggest-oil-finds-in-2010.html


les réserves pétrolières du brésil pourrait passer à 100 milliards de barrels dans les années à venir http://www.bloomberg.com/news/2011-01-19/brazil-oil-fields-may-hold-more-than-twice-estimated-reserves.html

AH ouai, quand même !! Cela fait une réserve stratégique énorme pour les année a venir le temps de développer les énergie renouvelable

Citation :

« Le système européen est pourri jusqu’à la moelle. Rien ne lui permettra de survivre. La seule question est de savoir si l’effondrement aura lieu pendant la nuit, ou quelques temps après », a déclaré Lyndon LaRouche suite au vent de panique qui a saisi toute la zone euro.

« C’est la fin du système ; et si nous faisons un faux pas, un mauvais choix, c’est l’ensemble du monde qui, bientôt – c’est une question de jours – sombrera dans un effondrement global.

« Maintenant, c’est moi le fossoyeur de telles folies et ce n’est pas une pelle que j’utiliserai », pour le réformer « mais un rouleau compresseur ». a ajouté LaRouche faisant référence à sa longue lutte contre ce système, et pour le retour d’un système de crédit productif public.

« On ne peut pas accroitre la dette inutile, dont le poids viendrait écraser l’économie physique. On doit éliminer des montants importants de la dette actuelle. Éliminer, bien évidemment, la partie qui est inutile, totalement parasitaire ; et l’un des ingrédients que nous utiliserons sera la loi Glass-Steagall. Cette loi prendrait essentiellement toutes les ordures ménagères, toute la dette toxique en Europe, et la donnerait aux banques d’affaires en leur disant : ‘c’est la votre ; elle est toute à vous ! Vous la vouliez ? Nous vous la donnons ! Super ! Vous ne savez pas à quel point nous sommes gentils avec vous ; vous n’avez pas encore assimilé ce que je compte faire, mais bientôt, avec notre aide, vous allez rire !

« Le temps est venu pour cela », a continué LaRouche, « car si l’Europe s’effondre, les Etats-Unis suivront. Et si les Etats-Unis s’effondrent, l’Europe suivra. Ils n’ont donc pas le choix. Être à la hauteur ou mourir ; c’est la seule option. Il n’y a pas d’autre remède, pas d’autre solution, à moins d’être tenté par la dictature. Mais une tentative de dictature finirait en fiasco ; car toute bousculade pour y arriver provoquera le chaos et la confusion et finirait par plomber cette option.
Établir un système de crédit

« A ce point, si nous avons la volonté et la capacité, nous allons changer le monde. Le temps est venu ! Ce n’est pas le nombre [des combattants] qui compte ; mais le fait d’avoir une politique qui représente une solution ! »

« La première chose à faire est une déclaration politique permettant de faire face à la crise mondiale qui explose – venant du président des États-Unis et synchronisée avec la crise en Europe, la plus mortelle qu’elle ait connue depuis la fin de la IIe Guerre Mondiale. Et c’est maintenant qu’a lieu la crise ; cette nuit et demain ; les tambours sonnent, c’est la fin de partie et nous savons, je sais, ce qu’il faut faire.

« Ce que nous devons faire est remplacer l’actuel système, par un système de crédit à l’échelle mondiale ». Mais avant cela, l’Europe doit mener une action de type Glass-Steagall, a souligné LaRouche, qui permettra de séparer les actifs toxiques, des avoirs réels que nous voulons défendre, et à ce moment, faire passer les premiers à la trappe. Car « la plupart des avoirs sont frauduleux. C’est du papier qui ne correspond pas à une valeur réelle, autrement que par le pillage et l’élimination des populations en Europe et ailleurs. Vous avez le choix : voulez-vous tuer des gens, vous livrer à des éliminations massives pour tenter, inutilement de défendre ces valeurs ?

« Si vous ne voulez pas faire cela l’Europe devra alors déclarer faillite.(…) Quel est donc le remède ? La solution est celle d’Alexander Hamilton telle qu’elle a été incorporée à la Constitution des États-Unis. Nous éliminons les ordures, nous honorons la dette légitime, et nous créons un système de crédit auquel nous transférons la dette des États, comme cela a été prévu à la conception de la Constitution américaine. Il s’agit là du vrai système américain d’économie politique. (…) A ce point, il nous reste une entité qui n’est pas de l’argent. C’est la dette d’un système de crédit et non d’un système monétariste. La dette des États-Unis ne dépend plus de l’argent ; c’est la différence entre le système américain et celui de l’Europe.

« Maintenant, si les États-Unis se soumettent à la réforme Glass-Steagall, si l’Europe a aussi la sienne, nous pouvons alors sauver la région transatlantique de manière très simple. A ce point là, nous devrons créer un système des taux de change fixes, celui de Roosevelt. Et nous devrons tous nous mettre au travail, car nous devrons commencer à produire pour couvrir notre endettement. L’obligation que nous avons est celle de maintenir les fonctions essentielles de la nation ; tout le reste n’est qu’une question secondaire.

Il faut ensuite investir dans une économie à haute intensité de technologie, a expliqué Larouche. « Si nous augmentons nos investissements dans l’énergie nucléaire, nous pourrons avoir plus de crédit ; encore plus, si nous développons l’énergie thermonucléaire, et si nous entrons dans la production des réactions matière/antimatière – alors là, nous pourrons avoir une quantité fabuleuse de crédit. Car, la productivité par tête, et par km 2 du territoire des Etats-Unis, et de l’Europe, gonflerait soudain ! Nous pouvons financer presque tout, à condition de fournir des améliorations technologiques, des investissements de productivité de cette nature.

« Si vous croyez en l’argent et dans un système monétariste, alors nous sommes des hommes morts. Il faut lâcher Adam Smith, car avec ce système nous ne pouvons pas sauver le monde, le maintenir en vie. (…) Il faut aller vers une économie physique, dont la base sera la productivité physique, et l’équivalent par tête. Voilà l’essence même d’un système de crédit Hamiltonien, avec une banque nationale qui est son dépositaire. Et à partir de cette banque nationale, on développe et on soutient d’autres banques qui s’élèvent aux critères de vraies banques, de banques de dépôt. Et avec elles, on inclut d’autres types d’activités bancaires non rémunérés par des taux d’intérêts en tant que tels, au sens habituel de ce terme. »

« Nous allons faire une révolution, et soit, ils l’acceptent, soit ils meurent. Le temps est venu de faire une bonne révolution – celle que nous préconisons ici. Il faut un système global fondé sur de taux de changes fixes dans lequel la valeur est mesurée par la productivité physique par tête et par kilomètre carré. (…) Si vous produisez de la haute technologie, vous accroissez l’investissement et le développement de la population, de ses pouvoirs créateurs et productifs ; et là vous aurez un bonus. Le gouvernement fédéral devra ainsi juger de la productivité relative, de la productivité physique incorporée dans les investissements ; évaluer d’avance la valeur de ces investissements pour un système de crédit. Et vous découvrirez, que par tête, vous augmenterez certes le montant total de la dette ; mais que votre productivité augmentera plus vite permettant de dépasser le niveau d’équilibre..
La question de l’immortalité

Nous devons cependant aller au-delà. Nous ne pouvons pas avoir un système qui mesure uniquement la valeur de ce que quelqu’un a fait durant sa vie. Il faut évaluer l’immortalité de son âme, c’est-à-dire, l’accroissement des pouvoirs productifs du travail, la valeur de l’individu telle qu’elle s’exprime dans ses pouvoirs créateurs, et dans la valeur qu’il représente pour le futur, quand il sera déjà mort, pour avoir contribué à ce que ce futur ait été possible. Ainsi, il y a l’héritage légué à ceux qui doivent encore naître, par ceux qui sont encore au travail. Voici ces questions élémentaires ; elles impliquent une compréhension plus profonde de la technologie et de comment elle fonctionne.

http://www.solidariteetprogres.org/Lyndon-LaRouche-La-seule-chance-de-survie-pour-l-Europe_07907

Quelqu'un pourrait-il m'expliquer quelles sont les implications?

"U.S. caught China buying more debt than disclosed"
http://www.reuters.com/article/2011/06/30/us-usa-china-treasuries-idUSTRE75T2MI20110630

Citation :

Thu, Jun 30 2011

By Emily Flitter

NEW YORK (Reuters) - The rules of Treasury auctions may not sound like the stuff of high-stakes diplomacy. But a little-noticed 2009 change in how Washington sells its debt sheds new light on America's delicate balancing act with its biggest creditor, China.

When the Treasury Department revamped its rules for participating in government bond auctions two years ago, officials said they were simply modernizing outdated procedures.

The real reason for the change, a Reuters investigation has found, was more serious: The Treasury had concluded that China was buying much more in U.S. government debt than was being disclosed, potentially in violation of auction rules, and it wanted to bring those purchases into the open - all without ruffling feathers in Beijing.

Treasury officials then worked to keep the reason for the auction-rule change quiet, with the acting assistant Treasury secretary for financial markets instructing subordinates to not mention any specific creditor's role in the matter, according to an email seen by Reuters. Inquiries made at the time by the main trade organization for Treasury dealers elicited the explanation that the change was a "technical modernization," according to a document seen by Reuters. There was no mention of China.

The incident calls into question just how clear a handle the Treasury has had on who is buying U.S. debt. Chinese entities hold at least $1.115 trillion in U.S. government debt, and are thought to account for roughly 26 percent of the paper issued by Washington, according to U.S. government data released on June 15.

China's vast Treasury holdings are both a lifeline and a vulnerability for Washington - if the Chinese sold their Treasuries all at once, it could undermine U.S. markets and the economy by driving interest rates higher very quickly. Scenarios of this sort have been discussed in Washington defense-policy circles for at least a year now. Not knowing the full extent of these holdings would make it even more difficult to assess China's political leverage over U.S. finances.

The Treasury has long said that it has a diversified base of investors and isn't overly reliant on any single buyer to digest new U.S. Treasury issuance. Evidence that China was actually buying more than disclosed would cast doubt on those assurances.

THE 'GUARANTEED' BID

The United States sells its debt to investors through auctions that are held weekly - sometimes four times per week - by the Treasury's Bureau of the Public Debt, in batches ranging from $13 billion to $35 billion at a time. Investors can buy the bonds directly from the Treasury at auctions, or through any of the 20 elite "primary dealers," Wall Street firms authorized to bid on behalf of customers. The Treasury limits the amount any single bidder can purchase to 35 percent of a given auction. Anyone who bought more than 35 percent of a particular batch of Treasury securities at a single auction would have a controlling stake in that batch.

By the beginning of 2009, China, which uses multiple firms to buy U.S. Treasuries, was regularly doing deals that had the effect of hiding billions of dollars of purchases in each auction, according to interviews with traders at primary dealers and documents viewed by Reuters.

Using a method of purchases known as "guaranteed bidding," China was forging gentleman's agreements with primary dealers to purchase a certain amount of Treasury securities on offer at an auction without being reported as bidders in that auction, according to the people interviewed. After setting the amount of Treasuries the guaranteed bidder wanted to buy, the dealer would then buy that amount in the auction, technically on its own behalf.

To the government officials observing the auction, it would look like the dealer was buying the securities with the intent of adding them to its own balance sheet. This technicality does not preclude selling them later in the secondary market, but does influence the outcome of bidding in the auction, by obscuring the ultimate buyer. In fact, the dealer would simply pass the bonds on immediately to the anonymous, guaranteed bidder at the auction price, as soon as they were issued, according to the people interviewed.

The practice kept the true size of China's holdings hidden from U.S. view, according to Treasury dealers interviewed, and may have allowed China at times to buy controlling stakes - more than 35 percent - in some of the securities the Treasury issued.

The Treasury department, too, came to believe that China was breaching the 35 percent limit, according to internal documents viewed by Reuters, though the documents do not indicate whether the Treasury was able to verify definitively that this occurred.

Guaranteed bidding wasn't illegal, but breaking the 35 percent limit would be. The Uniform Offering Circular - a document governing Treasury auctions - says anyone who wins more than 35 percent of a single auction will have his purchase reduced to the 35 percent limit. Those caught breaking auction rules can be barred from future auctions, and may be referred to the Securities and Exchange Commission or the Justice Department.

The Treasury Department generally does not comment on specific investors but a source in the department said China was not the only Treasury buyer striking guaranteed bidding deals.

People familiar with the matter named Russia as being among the guaranteed bidders. But Russia's total Treasury holdings, while significant, represent 2.8 percent of outstanding U.S. debt, versus one-fourth for China's.

CHANGING THE RULE

Traders at primary dealers did not have the same diplomatic concerns about the level of Chinese buying. But they did have reasons to dislike guaranteed bidding, and they began clamoring for a change. One trader said in an interview he first brought the issue to the attention of Treasury officials in 2007.

Some primary dealers began expressing concern that the deals were opaque in a way akin to the Salomon Brothers Treasury trading scandal in the early 1990s. In that case, traders from the securities firm submitted false bids under other bidders' names in Treasury auctions in order to more closely control the results, and their bids altered the auction prices. The idea that unseen bidders were again influencing auction prices raised similar concerns among traders.

There were also commercial concerns: Dealers say that knowing that the practice was going on at other firms made them less confident they could see and understand overall patterns of buying in the Treasury market. Such visibility can be one of the greatest benefits of being a primary dealer, since the service itself often doesn't pull in big profits directly.

Some traders at primary dealers say they simply refused to do the deals and ended up turning away customers, including China. That irked sales colleagues who were promising clients guaranteed bidding deals.

At the beginning of 2009, Treasury officials began discussing the issue of guaranteed bidders, with a focus on China's behavior, internal documents seen by Reuters show. The culmination of their efforts was a change to the Uniform Offering Circular published on June 1, 2009 that eliminated the provision allowing guaranteed bidding.

Treasury Secretary Timothy Geithner was in Beijing that day meeting with Chinese government officials on his first formal visit to China since taking up his cabinet post. There is no evidence he discussed the rule change with Chinese officials there.

A spokeswoman for the Treasury Department said: "We regularly review and update our auction rules to ensure the continued integrity of the auction process. The auction change made in June 2009 eliminated some ambiguity in auction rules and increased transparency, which ultimately benefits taxpayers and investors."

The rule change had an immediate impact.

In the first auctions conducted after guaranteed bidding was banned, a key metric rose sharply: the percentage of so-called indirect bidders, those who placed their auction bids through primary dealers. Indirect bidders are seen as a proxy measure for foreign central bank buying, because foreign central banks most often bid through primary dealers. With the elimination of the guaranteed bidder provision, far more buyers were put in this class in reports to the Treasury Department.

The seven-year U.S. Treasury note, which was sold in sizes of between $22 billion and $28 billion once a month from February 2009 to September 2009, had an average indirect bid percentage of 33 percent from February through May. But from June to September the average indirect bid rose to 63 percent.

(Graphic: r.reuters.com/hyn42s)

BIDDERS REACT

Shortly after the Treasury revised the auction rules, U.S. officials learned from dealers that some bidders were seeking to continue using guaranteed bids. According to a Treasury document, a large client asked one primary dealer whether the Treasury might make an exception to the new rule for them. Neither the client nor the dealer were named.

Deutsche Bank, Goldman Sachs, JPMorgan, RBS Securities and UBS all received calls from clients asking for secret bid arrangements immediately after the rule change went into effect, according to the internal Treasury document, a summary of inquiries received seeking guidance from dealers after the rule change.

Deutsche Bank, according to the document, said their client canceled a bidding deal. Goldman told Treasury that a large client would be going to other dealers who in the past had done the deals after Goldman turned them away, the document said.

JPMorgan asked if there were any exceptions to the new prohibition on guaranteed bids. RBS said it actually struck a deal with a customer for a guaranteed bid after the rule change, but it used a different structure and wanted to know what was legal. UBS told the New York Fed that its former guaranteed-bidder client would now change its behavior and buy Treasuries in the secondary market directly after an auction, according to the document.

Spokespeople for Goldman Sachs and UBS declined to comment for this story. Deutsche Bank, RBS, and JPMorgan did not respond to requests for comment.

The change came at a delicate time in U.S.-Chinese financial relations. China, long a major buyer of American government securities, was at the time snapping up huge amounts of debt as Washington was suffering a sharp drop in tax revenue during a crushing recession.

Almost all of the business of buying Treasuries on behalf of the Chinese government is conducted by China's State Administration of Foreign Exchange (SAFE), an arm of the Chinese central bank which manages China's currency reserves, which include large amounts of U.S. Treasury bonds.

SAFE, for its part, was facing heat in China over the extent of its U.S. holdings. SAFE was hit hard by the collapse of Lehman Brothers, the doomed investment bank that was SAFE's trading counterparty in the U.S. overnight-lending market. And the potential losses SAFE faced upon the collapse of the U.S.-backed mortgage titans Fannie Mae and Freddie Mac whipped up such a storm in China that Chinese officials publicly berated the Americans for lapses in financial stewardship. (For more, click on link.reuters.com/qec28r )

SAFE officials in Beijing did not respond to a request for comment.

After evidence mounted that China was disconcerted by the auction-rule change, U.S. officials moved to tweak the system, to offset some of the pinch of the stricter bidding rules. The move gave big buyers a way to maintain some anonymity, by increasing the amount of securities it was possible to buy at a single auction without having to declare the purchase in a letter to the New York Fed.

The old requirement stipulated that any purchase of $750 million in Treasury securities had to be declared by the buyer in a letter to the New York Fed. Officials increased the threshold to $2 billion.

'TECHNICAL MODERNIZATION'

The official explanation for eliminating guaranteed bidders did not mention foreign central banks at all. It focused instead on "technical modernization" of auction rules.

One government official warned others in a written message "not to include the words 'China' or 'SAFE' in email subjects." The Securities Industry and Financial Markets Association, the main trade organization for Treasury dealers, asked the Treasury in early June 2009 to explain the change. The Treasury's response: It had found that a detail in its auction rules no longer applied to the way auctions were conducted, and so the rule was changed, according to an internal Treasury memo.

Separately, the Treasury's acting assistant secretary for financial markets, Karthik Ramanathan, told subordinates in an email: "Please let's stick to the 'Modernization of Auction Rules' when outside requests come in on the (rule) change. Please DO NOT emphasize the guaranteed bid portion, or mention any specific investors."

Ramanathan, who left the Treasury in March of 2010 and is now senior vice president and director of bonds at Fidelity Investments in Merrimack, New Hampshire, declined to comment.

The Federal Reserve Bank of New York, which interacts directly with primary dealers on Treasury auctions, issued a strongly worded letter on June 23, 2009, dealers say, urging them to "comply with the spirit as well as the letter of this recent auction rule clarification."

"That was how we knew they wanted us to tell them who was buying what," said a trader at one primary dealer.

(Additional reporting by Kristina Cooke and Benjamin Kang Lim; Editing by Michael Williams and Claudia Parsons)

Samyadams a écrit:

Débat déplacé ! Ici, nous ne sommes pas H.S
Qu'est-ce que tu as contre les gauchistes, AO ? Je rigole, je ne suis plus gauchiste depuis que j'ai découvert Friedrich List Je ne répudie pas la lecture de Marx, Engels, Luxembourg, Lénine and co, c'est toujours très instructif, mais il n'y a pas que le libéralisme ou le socialisme Avec List et Carey, j'ai découvert qu'il existe une autre conception de politique économique.
Les Salafistes auraient immanquablement traité le compagnon du prophète Abou Dhar El Ghifari de communiste, et l'auraient condamné et assassiné Ces mêmes Salafistes qui n'ont jamais critiqué le fait que l'A.S n'a ni budget d'Etat, ni comptes en banque L'A.S est la propriété privée des Al Saoud et les Salafistes n'ont trouvé aucune "soura" ou "hadith" à ce sujet pour les traiter aussi de "kouffars"
Je n'oublierai jamais l'ouvrage d'un chiîte iranien, Ali Shari3ati, "La religion contre la religion". Sa théorie est que les pires ennemis de toute religion sont les représentants de cette religion ! Je n'ai pu que la vérifier jusqu'à présent !

L'économie islamique n'est ni une économie libérale ou une économie communiste/socialiste.

Le capital, et les biens sont sacro-sainte pour l'Islam, mais la solidarité et la zakat sont là pour réguler et balancer l'écart entre le riche et le pauvre.

Les banques islamiques existent depuis belle lurette en Turquie (Al-Baraka Türk, Kuveyt Türk, etc..), et ce sont les plus stables comparer à d'autre banque.

mirage a écrit:

Opération QE2 est terminé comme prévue
il ne sera pas renouveller
maintenant pour financer l'endettement des USA, reste plus que les autres pays :
La Chine se desengage de plus de plus, le Japon rapatrie ses sous pour se reconstruire, l'Europe garde les siens pour se sauvé elle-même, les Pays du Golfe grade aussi leurs tunes pour se sauvé d'une révolution et financer leurs " Sainte Alliances" ( CCG + Jordanie + Maroc)
Je vois vraiment pas ou il trouverons l'argent...
Et si début Aout au Congré il y a rien qui se fait pour déplafonner la dette
Les USA seront officiellement en défaut de paiement

Qu'ils arrêtent leur guerre.. Les empires en perte de puissance s'investissent dans les guerres.

Citation :

Crise : la note financière des Etats-Unis pourrait être abaissée



Barack Obama a deux jours pour parvenir à un accord avec les Républicains. Le président américain devait reprendre jeudi ses négociations avec l'opposition à propos de la dette fédérale. Le dialogue est dans l'impasse depuis dimanche, ce qui suscite l'impatience de la Fed. L'agence de notation Moody's menace de dégrader la note attribuée aux obligations du pays, ce qui pourrait provoquer une crise majeure.


Or, les réunions quotidiennes organisées depuis dimanche à la Maison Blanche n'ont abouti à aucun résultat concret. Ces négociations visent à relever le plafond de la dette fédérale autorisé par la loi, qui est déjà atteint. Les Républicains, majoritaires à la Chambre des représentants, refusent de voter en faveur de cette mesure, et demandent à régler le problème du déficit. La dette fédérale américaine atteint 14.294 milliards de dollars.

Barack Obama a proposé des coupes dans les dépenses sociales, mais les Républicains ne s'en satisfont pas, car le président américain souhaite également augmenter la fiscalité des plus riches.

Une crise mondiale en cas de défaut de paiement

«Vendredi n'est pas une date butoir absolue», mais «l'heure tourne et il faut conclure», a indiqué à la presse un collaborateur du parti démocrate. Selon des conseillers républicains et démocrates s'exprimant sous couvert de l'anonymat, le président s'est vivement impatienté mercredi, alors que le chef de la majorité républicaine à la Chambre, Eric Cantor, proposait de relever le plafond de la dette en plusieurs fois.

Mercredi, le président de la banque centrale américaine (Fed), Ben Bernanke, avait averti qu'un défaut de paiement créerait des «problèmes énormes» pour le pays et une «crise majeure» à l'échelle mondiale, alors qu'une crise économique menace aussi l'Europe. Si les agences de notation financière dégradaient la note attribuée aux obligations des Etats-Unis, la situation ne pourrait qu'empirer.

Mercredi, l'agence Moody's l'a placée «sous surveillance en vue d'un éventuel abaissement», arguant d'une «probabilité croissante» que le plafond de la dette ne soit pas relevée à temps. Pour le moment, la note est la meilleure possible avec «Aaa».

Jeudi, la Chine a demandé aux Etats-Unis d'«adopter des mesures (...) pour préserver les intérêts des investisseurs». En effet, Pékin a placé plus de mille milliards de dollars en bons du Trésor américain, soit plus d'un tiers de ses colossales réserves de change.

LP

Citation :

L'agence Standard & Poor's retire la note «AAA» des USA

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/08/06/04016-20110806ARTFIG00236-les-etats-unis-perdent-pour-la-premiere-fois-leur-aaa.php

Citation :

La Chine somme les États-Unis de réduire leur dette

Pékin, gorgée de bons du Trésor américain, durcit le ton face à Washington qui vient de perdre sa note triple A sur les marchés.


La Chine a pressé samedi les États-Unis d'affronter le problème de leur dette et mis en cause le statut de monnaie de réserve du dollar américain. Dans un commentaire sévère au ton très peu diplomatique, l'agence officielle Chine nouvelle exprime le sentiment de Pékin après la dégradation à AA+ de la note souveraine des États-Unis par Standard & Poor's.

Surveillance internationale du dollar
"La Chine, premier créancier de la seule superpuissance mondiale, est dorénavant dans son droit d'exiger des États-Unis qu'ils affrontent le problème de leur dette structurelle et assurent la sécurité des actifs chinois en dollars", écrit Chine nouvelle. "Il faut mettre en place une surveillance internationale sur la question du dollar américain et une nouvelle monnaie de réserve, stable et sûre, peut aussi être une option pour éviter qu'une catastrophe soit provoquée par un seul pays", ajoute Chine nouvelle. La Chine suggère à Washington de réduire ses dépenses militaires et sociales.

"Le gouvernement américain doit se résigner à un état de fait douloureux : le bon vieux temps où il n'avait qu'à emprunter pour se tirer du pétrin qu'il avait lui-même créé est terminé", écrit l'agence officielle.

Impact pour les réserves chinoises

Les économistes chinois estiment que la dégradation de la note américaine pose un risque important pour les marchés financiers et s'attendent à ce que la Chine, qui détient plus de 1 000 milliards de dollars de dette américaine, accélère la diversification de ses actifs.

"Ce sera le chaos sur les marchés financiers internationaux au moins à court terme. L'impact le plus direct pour la Chine concernera ses réserves. La valeur des investissements en dollar de la Chine va chuter", dit Li Jie, directeur d'institut à l'Université centrale de la finance et de l'économie. "La Chine va devoir envisager d'autres investissements. Les bons du Trésor américain ne sont plus sûrs. Il y a sur les marchés des types d'actifs plus risqués que les (obligations) AAA, mais moins risqués que les AA+. La Chine n'y pensait pas auparavant, mais va devoir le faire", ajoute-t-il.

Pour Ding Yifan, directeur adjoint d'un groupe de réflexion associé au Conseil d'État chinois, les États-Unis vont devoir encore assouplir leur politique monétaire, ce qui pourrait passer par une troisième opération de 'quantitative easing', consistant pour la Réserve fédérale à racheter des bons du Trésor. "Si les États-Unis lancent vraiment un QE3, cela va sans aucun doute ajouter de l'incertitude à l'économie mondiale et faire grimper les prix des matières premières", dit-il.

http://www.lepoint.fr/economie/la-chine-somme-les-etats-unis-de-reduire-leur-dette-06-08-2011-1360131_28.php

Spoiler:

Avec la nouvelle donne des finances americaines, et le discours tres dur et surtout sascastique de l'agence offcielle xinua, je me demande ce que la Chine va essayer de negocier avec les US, notamment pour l'influence dans le Pacifique (taiwan, japon, les zones meritimes disputee avec tous ses voisins) et meme plus, l'Afrique.

Le texte orginal est ahurissant http://news.xinhuanet.com/english2010/indepth/2011-08/06/c_131032986_2.htm

Citation :

...International supervision over the issue of U.S. dollars should be introduced and a new, stable and secured global reserve currency may also be an option to avert a catastrophe caused by any single country...

Il s'agit litteralement de tentative d'ingerence dans les affaires interieures dans une pays souverain (que l'on aime ou que l'on deteste).

Ce qui me fait peur, est que cet article montre en clair le vrai visage de la Chine: un empire global camoufle sous l'apparence de sagesse millenaire et de calme calcule.

Les Mayas avaient raison en fin de compte: 2012 va etre une annee interessante

ben les chinois ne font que rendre la politesse,question d´ingerence.
les uns essayent tout le temps avec les "droits de l´homme",les autres retorquent par finances,ce qui fera plus mal
un réequilibrage des forces (en premier temps)entre les 2 ne serait que benefique,ils ne peuvent pas etre plus pires que l´etaient les US

Yakuza a écrit:

ben les chinois ne font que rendre la politesse,question d´ingerence.
les uns essayent tout le temps avec les "droits de l´homme",les autres retorquent par finances,ce qui fera plus mal
un réequilibrage des forces (en premier temps)entre les 2 ne serait que benefique,ils ne peuvent pas etre plus pires que l´etaient les US

Yaku, dans l'absolu je suis tout a fait d'accord.

Ce qui me derange est que:

- les Chine est beaucoup plus dans le tord, objectivement, que les US: Le registe des droits de l'homme est un probleme reel, qui concerene le monde entier tot ou tard (immigration, refugies), la question de taiwan que la chine veux resoudre par la force , le maintiens de la coree du nord comme epouvantail, la volonte d'hegemonie sur la pacifique meme contre les autres pays (vietnam, philippines)

-Le probleme de la "triche economique" : piratage, salaires escalavagistes, vol de rpopriete intelelctuelle, control de change pour un pays a l'aspiration internationale

-maitiens du status tiers-monde pour ses avantage tout en reclamanet un respect digne d'un pays "developpe", ce qui implique etre artificilelement un "puissance" (consumerisme, pollution, puissance militaire) tout en echappant aux responsabilitees qui vont avec (consimmation d'aides, non allocation d'aides, non negociation sur des question d'ordre global)

-La Chine, surtout, est un empire officcieusement mono-racial (les Han seulement partout meme la ou ils etaint miniritaires historiquement comme au Tibet ou Turmenistan-xinjian), non immigrationniste (le raisonnement economique n'est pas la seule excuse). L'implication, pour moi, n'est pas d'ordre "moral" (gentil vs. mechant) mais cause un desequuilibre profond dans les relations de n'importe quel pays avec la Chine: le reste du monde n'aura AUCUN point de pression raisonnalbe, aucune contre partie a l'influence Chinoise.

Exemple: les mois precedent la Chine s'est mise encoire plus du cote pakistanais (contre les US), allant meme jusqu'a declarer qu'une attaque americaine contre le pakistan serait prise comme contre la chine. Ce mois ci. apres les emeutes en turkmenistant, qui est en train de subire, tout comme le Tibet, la mongolie du nord et meme le reste de la Chine un formatage total, la choine a pointe du doit officillemnt des element terro arme et entraine au pakistan, nommant le pakistan, tout comme le ferait l'Inde.

Les US ne sont pas des enfants de coeur, loin de la. Mais la nature meme des systemes "democratique libereux" est qu'ils sont fragiles et permeables. Ce qui veut dire qu'il est possible de negocier avec ces pays en se servant de quelque chose de concret (lois, medais, argent). Avec des pays tels que la Chine ou le feu URSS , c'est "ce qui est a moi est a moi (voir les terres rares, le marche de consommation interne etc...), ce qui est a toi est negociable".

EDIT: autre exmple vivant: au Canada, les compagnies chinoises continuex d'aquerir des compagnies de sable bitumineux et d'uranieum, de l'energie donc, que ce soit en clair ou sous le radar. Vu que les aquereurs sont des compagnies etatiques, elles sont hors d'atteinte du marche: elle ne peuvent etre achetee, meme plus tard, par des compagnie canadiennes/ Ce qui veut dire que les territoires strategiques vendues sont perdues a jamais pour un prix derisoire, considerant la faiblaisse de negociation du gouvernemnt canadien. Ce qui veut dire aussi que les recours pour les question ecologiques ne seront pas posees de la meme maniere pour ces compagnies. Comment un pays dont ses industries strategiques sont toujous sous controle d'un gouvernement totalitaire peut t-il donner la moindre lecon a qui que ce soit?!

tshaashh a écrit:

Yakuza a écrit:

ben les chinois ne font que rendre la politesse,question d´ingerence.
les uns essayent tout le temps avec les "droits de l´homme",les autres retorquent par finances,ce qui fera plus mal
un réequilibrage des forces (en premier temps)entre les 2 ne serait que benefique,ils ne peuvent pas etre plus pires que l´etaient les US

Yaku, dans l'absolu je suis tout a fait d'accord.

Ce qui me derange est que:

- les Chine est beaucoup plus dans le tord, objectivement, que les US: Le registe des droits de l'homme est un probleme reel, qui concerene le monde entier tot ou tard (immigration, refugies), la question de taiwan que la chine veux resoudre par la force , le maintiens de la coree du nord comme epouvantail, la volonte d'hegemonie sur la pacifique meme contre les autres pays (vietnam, philippines)

-Le probleme de la "triche economique" : piratage, salaires escalavagistes, vol de rpopriete intelelctuelle, control de change pour un pays a l'aspiration internationale

-maitiens du status tiers-monde pour ses avantage tout en reclamanet un respect digne d'un pays "developpe", ce qui implique etre artificilelement un "puissance" (consumerisme, pollution, puissance militaire) tout en echappant aux responsabilitees qui vont avec (consimmation d'aides, non allocation d'aides, non negociation sur des question d'ordre global)

-La Chine, surtout, est un empire officcieusement mono-racial (les Han seulement partout meme la ou ils etaint miniritaires historiquement comme au Tibet ou Turmenistan-xinjian), non immigrationniste (le raisonnement economique n'est pas la seule excuse). L'implication, pour moi, n'est pas d'ordre "moral" (gentil vs. mechant) mais cause un desequuilibre profond dans les relations de n'importe quel pays avec la Chine: le reste du monde n'aura AUCUN point de pression raisonnalbe, aucune contre partie a l'influence Chinoise.

Exemple: les mois precedent la Chine s'est mise encoire plus du cote pakistanais (contre les US), allant meme jusqu'a declarer qu'une attaque americaine contre le pakistan serait prise comme contre la chine. Ce mois ci. apres les emeutes en turkmenistant, qui est en train de subire, tout comme le Tibet, la mongolie du nord et meme le reste de la Chine un formatage total, la choine a pointe du doit officillemnt des element terro arme et entraine au pakistan, nommant le pakistan, tout comme le ferait l'Inde.

Les US ne sont pas des enfants de coeur, loin de la. Mais la nature meme des systemes "democratique libereux" est qu'ils sont fragiles et permeables. Ce qui veut dire qu'il est possible de negocier avec ces pays en se servant de quelque chose de concret (lois, medais, argent). Avec des pays tels que la Chine ou le feu URSS , c'est "ce qui est a moi est a moi (voir les terres rares, le marche de consommation interne etc...), ce qui est a toi est negociable".

EDIT: autre exmple vivant: au Canada, les compagnies chinoises continuex d'aquerir des compagnies de sable bitumineux et d'uranieum, de l'energie donc, que ce soit en clair ou sous le radar. Vu que les aquereurs sont des compagnies etatiques, elles sont hors d'atteinte du marche: elle ne peuvent etre achetee, meme plus tard, par des compagnie canadiennes/ Ce qui veut dire que les territoires strategiques vendues sont perdues a jamais pour un prix derisoire, considerant la faiblaisse de negociation du gouvernemnt canadien. Ce qui veut dire aussi que les recours pour les question ecologiques ne seront pas posees de la meme maniere pour ces compagnies. Comment un pays dont ses industries strategiques sont toujous sous controle d'un gouvernement totalitaire peut t-il donner la moindre lecon a qui que ce soit?!

a chacun son ennemi historique...

AL 3azz

Citation :

Andrew Michler
Russia Green Lights $65 Billion Siberia-Alaska Rail and Tunnel to Bridge the Bering Strait!

http://inhabitat.com/russia-green-lights-65-billion-siberia-alaska-rail-and-tunnel-to-bridge-the-bering-strait/

http://www.timesonline.co.uk/tol/news/world/europe/article1680121.ece

http://www.worldarchitecturenews.com/index.php?fuseaction=wanappln.projectview&upload_id=17317

Les Russes misent sur l'économie physique, la seule à créer des richesses palpables, alors que les Américains ont laissé l'économie financière phagocyter la première et sont noyés maintenant dans du tas de papier sans valeur
A travers les mégas projets de ce genre, ce n'est pas seulement l'économie d'un pays qui en est booster et des milliers d'emplois crées, c'est aussi l'amélioration du savoir faire technique des entreprises et des compétences individuelles des travailleurs, qu'ils peuvent faire valoir par la suite sur le marché

Samyadams a écrit:

Les Russes misent sur l'économie physique, la seule à créer des richesses palpables, alors que les Américains ont laissé l'économie financière phagocyter la première et sont noyés maintenant dans du tas de papier sans valeur
A travers les mégas projets de ce genre, ce n'est pas seulement l'économie d'un pays qui en est booster et des milliers d'emplois crées, c'est aussi l'amélioration du savoir faire technique des entreprises et des compétences individuelles des travailleurs, qu'ils peuvent faire valoir par la suite sur le marché

+1000.

l'economie "financiere" est par definition une fraude: un des socles de l'economie est le Principe de la Rarete. Meme l'information (pourtant consideree virtuelle) est rare (le temps et le genie et le hasard que ca prend pour trouver, inveter, decouvrir).

Mais baser une "economie" sur de la paperasse "monetaire" imprimee?!

Christine Lagarde appelle à des mesures de relance économique

Citation :

BERLIN (Reuters) - Christine Lagarde demande à l'Europe et aux Etats-Unis de prendre des mesures de relance pour stimuler la croissance économique, dans les cas où c'est possible, pour répondre à la crise de confiance qui affecte l'économie mondiale.

"Si les Etats-Unis lancent un programme crédible d'ajustement à moyen terme, il y a sans doute de la marge pour abandonner les mesures d'austérité à court terme et présenter des mesures pour soutenir la croissance", déclare la directrice générale du Fonds monétaire international dans un entretien au Spiegel.

"En ce qui concerne l'Europe, nous recommandons aux pays d'ajuster leurs programmes d'austérité compte tenu d'une situation modifiée et d'envisager des mesures pour alimenter la croissance."

L'ex-ministre française de l'économie a suscité un tollé le week-end dernier en demandant aux resp onsables politiques de contraindre les banques européennes à renforcer leurs fonds propres, un appel qu'elle réitère dans l'interview accordé au Spiegel.

En ce qui concerne l'Allemagne, principale économie européenne, Christine Lagarde estime que ses finances publiques se redressent bien.

"Tout dépend des circonstances, naturellement. Si les exportations, sur lesquelles repose l'économie allemande, s'effondrent, le gouvernement pourrait contrebraquer."

"Si l'Allemagne stimule la demande intérieure, c'est bon pour l'économie allemande et pour les pays voisins", ajoute-t-elle en réponse à une question en ce sens.

Financial Times:

Berlin prepares to take stake in EADS

Citation :

The German government is preparing to take a stake in European aerospace company EADS after no buyers for part of Daimler’s holding came forward.

Berlin has been seeking buyers for the 7.5 per cent stake – a third of the holding controlled by the carmaker – since February, but a senior official has now admitted the ongoing search is “hopeless”.

The government views Daimler’s holding as a counterweight to the 22.5 per cent held by the French government and media group Lagardère – and a guarantee that production will stay in Germany as well as France.

Daimler first suggested the government step in in February after it could find no buyer. While Chancellor Angela Merkel’s Christian Democrats were in favour, their free-market Free Democrat partners demanded another search.

The government recently widened the hunt to include financial investors alongside strategic ones. But even one senior Free Democrat admitted to the Financial Times that the “KfW-option” was now “the most likely”.

To maintain Germany’s stake, KfW, the state-run development bank, would spend about €2.5bn buying Daimler’s 7.5 per cent and a further 7.5 per cent that the carmaker has indicated that it wants to sell next year. A third of its stake is currently held by banks who have the right to sell it back to Daimler next year.

Dieter Zetsche, Daimler’s chief executive, demanded in June that Berlin halt the “endless discussions” about the stake, indicating he wanted a deal before year-end – a deadline Berlin is now working towards.

Over the past few years, Daimler and successive governments have failed to rouse Germany’s biggest companies, many of whom are wary for historical reasons of getting into the defence business.

But even proponents of the KfW-option view it as fraught, and at best temporary. With a third of EADS in state hands, the company could find selling defence equipment to other governments tough. Berlin also fears losing Daimler’s expertise with the reduction of its stake.

Officials expect Lagardère to sell its 7.5 per cent stake after next spring’s French presidential election, freeing up Daimler to follow suit.

Louis Gallois, EADS chief executive, said in June it was time to reform the shareholder structure. EADS needed “a solution that is sustainable in the long term”, which could include a bigger free float.

German officials said they would like to use Daimler cutting its stake as a first step towards a “more sustainable ownership structure”, though it is not clear what they might have in mind.

Germany and France in past years have looked at creating a golden share for each government. But they ditched the idea, fearing it would contravene legal rules in the Netherlands, where EADS is incorporated.

Citation :

Le projet de loi rétablissant le Glass-Steagall Act de Franklin Roosevelt vient de recevoir de nouveaux soutiens. Quatre députés démocrates viennent de joindre leur nom à la liste officielle des co-présentateurs de la loi HR 1489, portant le nombre de soutien à 39 députés en plus de l’initiatrice Marcy Kaptur. Il s’agit de Yvette Clarke de New York, Chellie Pingree et Michael Michaud du Maine et Henry Johnson de Géorgie.

Par ailleurs, ce week-end, l’assemblée populaire des citoyens new-yorkais, qui appelle à l’occupation de Wall Street dès ce samedi à la façon des indignés européens, a placé « le rétablissement de la loi Glass-Steagall » au cœur de ses revendications. Comme y appelle le Comité d’action politique de Lyndon LaRouche, le retour intégral à la loi de Franklin Roosevelt démantèlerait de fait Wall Street, éliminerait l’ensemble des actifs financiers pourris et des dettes fictives qui sont le moteur de l’effondrement de l’économie mondiale.

Notons également que lundi, l’AFL-CIO de Virginie occidentale est devenue la 8e fédération de la confédération syndicale américaine à adopter une résolution exigeant de leurs députés qu’ils se battent pour rétablir Glass-Steagall :
Résolution en soutien à HR 1489 « The Return to Prudent Banking Act »

Attendu que, un système monétaire et bancaire efficient est essentiel au fonctionnement de l’économie ;

Attendu que, un tel système doit fonctionner dans l’intérêt public, sans partialité ;

Attendu que, depuis 1933, le Federal Banking Act (connu sous le nom de Glass-Steagall Act) protégeait l’intérêt public en matière de régulation des banques de détail et des banques d’affaires, ainsi que des compagnies d’assurances et des sociétés de titres ;

Attendu que, la loi Glass-Steagall fut abrogée en 1999, permettant au secteur financier d’exploiter le système à son propre avantage et au mépris de l’intérêt public ;

Attendu que, la Chambre des représentants et le Sénat ont mené un effort pour rétablir les protections de la loi Glass-Steagall ;

Attendu que, la députée Marcy Kaptur a introduit le projet de loi HR 1489 « Return to Prudent Banking Act » consistant à rétablir Glass-Steagall ;

Attendu que, l’AFL-CIO nationale soutient cette législation :

Il est résolu que, l’AFL-CIO de Virginie occidentale soutient l’adoption de HR 1489 et presse les membres de la délégation de l’Etat à la Chambre – Rahall, Capito, McKinley – de signer et voter pour ce projet de loi rétablissant les protections de la loi Glass-Steagall ;

Il est également résolu que, une copie de cette résolution soit envoyée aux représentants de la Virginie occidentale au Congrès ainsi qu’à Marcy Kaptur.

http://www.solidariteetprogres.org/Etats-Unis-Indignes-deputes-et-syndiques-pour-Glass-Steagall_08091

Citation :

Molycorp : investit dans Boulder Wind Power

(Boursier.com) -- Molycorp, producteur d'oxydes de terres rares et plus gros producteur d'OTR hors de Chine, a annoncé sa décision d'investir massivement dans Boulder Wind Power, société ayant conçu un générateur d'éolienne alimenté par des aimants en terres rares capable de produire de l'électricité à un prix bas record de 0,04$ par kilowattheure.

Le CCG à la rescousse des Banques françaises !

Citation :

Le Qatar discute d'une prise de participation dans BNP Paribas

LEMONDE.FR avec Reuters | 21.09.11 | 22h12


Le Qatar est en discussions avec BNP Paribas sur une possible prise de participation dans la première banque française, a confié mercredi 21 septembre à Reuters une source basée au Qatar.

Le pays a également discuté avec d'autres banques françaises sur un investissement du même type, ajoute cette source. "Ils parlent à différentes banques en France, vu leurs très importants besoins en capital", a-t-elle souligné sous couvert d'anonymat. Aucun commentaire n'a pu être obtenu dans l'immédiat auprès de BNP Paribas.

Les banques françaises ont vu leur cours de Bourse chuter depuis l'été sur des craintes liées à d'éventuels besoins de recapitalisation

PGM