messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Actualité Economie Mondiale Sam 23 Jan 2010 - 0:07
Rappel du premier message :
USA/GB: accord sur les faillites bancaires
Citation :
L'un des régulateurs bancaires aux Etats-Unis, la FDIC, et la Banque d'Angleterre ont annoncé vendredi la signature d'un accord de coopération sur les risques de faillite d'une institution financière multinationale.
Cet accord de principe vient en compléter un autre, datant de 1996 et amendé en 1998, entre les trois principaux régulateurs bancaires américains (Réserve fédérale, FDIC et OCC) et l'autorité de régulation britannique du secteur financier, la FSA.
Il prévoit un échange d'informations pour prévenir un risque de ce genre, de préparer "les outils de gestion d'une crise traversant les frontières", et de prévoir entre autres les moyens de coordination et la répartition des tâches.
La présidente de la FDIC Sheila Bair, citée dans un communiqué, a salué "un pas vers la mise en oeuvre des recommandations du groupe de résolution des crises internationales du Comité de Bâle", un forum de régulateurs bancaires de 27 pays.
Si la Banque d'Angleterre n'est plus régulateur bancaire aujourd'hui, elle reste chargée de gérer les crises bancaires, a rappelé son gouverneur Mervyn King. La FDIC est quant à elle l'autorité de régulation de plus de 5.000 banques, en plus d'être l'agence fédérale de garanties des dépôts bancaires.
AFP
Auteur
Message
leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 6 Oct 2011 - 3:33
Citation :
Décès de Steve Jobs : Avalanches d'hommages
AFP . les affaires.com . 05-10-2011
Tags : Apple, iPad, iPhone, Steve Jobs
Le cofondateur d'Apple Steve Jobs, ex-patron visionnaire du groupe à la pomme croquée, dont il a orchestré tous les récents succès jusqu'à en faire une des plus grosses sociétés du monde, est décédé mercredi à 56 ans, provoquant une avalanche de réactions attristées.
"Apple a perdu un visionnaire et un créateur de génie, et le monde a perdu un être humain incroyable", a réagi l'actuel directeur général du groupe, Tim Cook, dans un courrier électronique à ses employés et rendu public.
"Profondément attristé", Bill Gates, le fondateur de Microsoft, a jugé que l'influence qu'a eu sur le monde Steve Jobs se ressentirait "encore pendant plusieurs générations". Robert Iger, patron du géant des loisirs Walt Disney, a quant à lui estimé que "le monde (avait) perdu un être original rare".
Le conseil d'administration du fabricant des ordinateurs Mac, du baladeur iPod, du smartphone iPhone ou encore de la tablette iPad avait annoncé peu avant la nouvelle dans un bref communiqué.
"Nous sommes profondément attristés d'annoncer que Steve Jobs est décédé aujourd'hui", a indiqué le message.
"Le caractère brillant, la passion et l'énergie de Steve ont été la source d'innovations innombrables qui enrichissent et améliorent nos vies à tous", avait ajouté le groupe de Cupertino, en Californie.
Né à San Francisco le 24 février 1955, Steve Jobs souffrait de graves problèmes de santé depuis plusieurs années. Il a été atteint en 2004 d'une forme rare de cancer du pancréas et a subi une transplantation du foie en 2009.
En congé maladie depuis janvier dernier, il avait annoncé sa démission de son poste de directeur général le 24 août, cédant les rênes à son numéro deux Tim Cook.
"Steve est mort en paix aujourd'hui entouré de sa famille", a indiqué sa famille dans un communiqué distinct. "Dans sa vie publique, Steve était connu comme un visionnaire. Dans sa vie privée, il chérissait sa famille", est-il ajouté.
Un site internet sera mis à la disposition de ceux qui veulent rendre hommage à M. Jobs, précise sa famille.
A Soho, au coeur de Manhattan, à New York, des fans de la marque à la pomme commençaient mercredi soir à déposer des fleurs devant le magasin Apple, a constaté un journaliste de l'AFP.
"Steve laisse derrière lui une société que seul lui pouvait avoir bâtie, et son esprit sera pour toujours la fondation d'Apple", a estimé Tim Cook.
Steve Jobs avait confondé l'entreprise dans un garage en 1976 avec Steve Wozniak. Il avait démissionné en 1985 au terme d'une lutte de pouvoir interne et le groupe avait périclité jusqu'à son retour aux commandes en 1997.
Il avait depuis orchestré le lancement des produits vedettes de la marque à la pomme croquée: de l'ordinateur iMac en 1998 à la tablette iPad en 2010, en passant entretemps par le baladeur numérique iPod (2001) ou le téléphone multifonctions iPhone (2007).
En 2011, Apple est devenue temporairement la plus grosse société au monde, pesant environ 350 milliards de dollars en Bourse, se disputant depuis la première place avec le géant pétrolier ExxonMobil.
La marque à la pomme croquée a présenté mardi la nouvelle génération de son smartphone vedette, l'iPhone 4S, plus puissant et doté de plusieurs innnovations, dont des commandes vocales.
C'était alors Tim Cook qui s'était retrouvé maître de cérémonie, en l'absence remarquée de Steve Jobs, qui avait pris l'habitude de présenter ses produits lors de véritables shows qu'il orchestrait sur scène avec son style décontracté, portant souvent jeans, col roulé et ses habituelles lunettes rondes.
La santé de Steve Jobs inquiètait régulièrement les investisseurs, tant le succès d'Apple apparaissait indissociable de son patron.
_________________
Pro rege, saepe, pro patria semper
اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة
Invité Invité
Sujet: GLOBAL ECONOMIC CRISIS NEW WORLD ORDER ALIEN TOTAL DICTATORSHIP Ven 7 Oct 2011 - 0:15
EDIT Modération :Post supprimé
Johann,
les posts sans queue ni tête relevant de la science fiction seront supprimés. Si encore, tu agrémentais tes posts d'une quelconque explication/contextualisation.
PGM
Dernière édition par johann le Ven 7 Oct 2011 - 1:20, édité 3 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Ven 7 Oct 2011 - 0:45
x-files
leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Ven 7 Oct 2011 - 1:50
encore de retour lol
_________________
Pro rege, saepe, pro patria semper
اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة
sorius Commandant
messages : 1139 Inscrit le : 18/11/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Ven 7 Oct 2011 - 9:18
Citation :
crise L' aide aux banques est la nouvelle priorité
Pour aider les Etats, il faut aider… les banques. C'est le message qu'ont lancé, hier, les responsables de la zone euro. Alors que la France et la Belgique sont au chevet de Dexia, la première grande victime financière de la crise de la dette, de nouvelles mesures ont été prises hier pour soutenir les banques.
« Changé d'avis »D'abord à la Banque centrale européenne, l'organisme qui veille à la stabilité des prix. Son président, Jean-Claude Trichet, a annoncé que la BCE fournirait de « la liquidité à long terme » aux établissements qui en font la demande. En clair, il s'agit de fournir assez de cash aux banques pour leur permettre de continuer à financer l'économie, et éviter ainsi une crise du crédit. Même credo à Berlin, où la chancelière allemande Angela Merkel a lancé un avertissement solennel : il ne faut « pas hésiter » à recapitaliser les banques, quitte à passer par une aide de l'Etat, car toute faillite des banques pourrait causer « des dégâts de grande ampleur » pour toute l'économie européenne.
« Les dirigeants européens ont changé d'avis », éclaire l'économiste Gunther Capelle-Blancard. « Pour faire face à la crise, ils ont d'abord tenté d'aider directement les Etats proches de la faillite. On l'a vu avec la Grèce et l'Irlande : c'est un échec. » La zone euro choisit donc maintenant une deuxième solution : « un soutien aux créanciers, c'est-à-dire aux banques, pour les aider à supporter les pertes éventuelles », poursuit l'économiste. Cette mesure sera une nouvelle tentative pour apporter un peu de stabilité aux Bourses. Mais elle devra être acceptée par les actionnaires. « Si un Etat entre dans le capital d'une banque, les actionnaires auront une part du gâteau moins grande », prévient Gunther Capelle-Blancard
Sujet: Science fiction?? hahahahahha this story is real, though not official Sam 8 Oct 2011 - 0:09
Science fiction?? hahahahahha this story is real, though not official
-IS SCIENCE FICTION THE GLOBAL ECONOMIC CRISIS????? NOT,THIS IS HAPPENING NOW -WAS SCIENCE FICTION THE ATTACKS OF THE TWIN TOWERS OF NEW YORK AND THE MISSIL TOMAHAWK IN THE PENTAGON?? NOT,IT HAPPENED
-ARE SCIENCE FICTION THE MISSILE SHIELD IN EUROPE RUSSIA,CHINA,AND AMERICA????? NOT,IT IS REAL IS HAPPENING NOW -IS SCIENCE FICTION THE INVASION TO LIBYA FOR OIL??NOT IT HAS BEEN HAPPENING THE LAST MONTHS
IF YOU DO NOT BELIEVE THIS STORY
Why are building missile shields in Europe, USA, CHINA, JAPAN AND RUSSIA???
This happened in 2003 this was the famous shuttle columbia whole crew (astronauts) died
the media the famous US missile over california is spectacular evidence
US military AND ENGINEER PHIL SCHNEIDER KILLED(CAN YOU SEE IN WIKIPEDIA PHIL SCHNEIDER MILITARY)
US AND NATO SHAPE GENERAL BOB DEAN 2008
NATO MISSILE DEFENSE
leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 8 Oct 2011 - 3:52
si tu tiens a raconté ces truc ya un topic pour sa tu peux parlé tant que tu veux laba
_________________
Pro rege, saepe, pro patria semper
اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة
Invité Invité
Sujet: Expert urges caution in Sinopec, Daylight Energy deal Mar 11 Oct 2011 - 20:27
Citation :
Expert urges caution in Sinopec, Daylight Energy deal
CBC.ca
Citation :
A Calgary expert in strategic issues is urging the federal government to be careful about permitting a Chinese company to buy Calgary-based Daylight Energy Ltd.
Beijing-based Sinopec International, owned by the Chinese government, has made an offer to buy the local oil and gas producer for $2.2 billion.
Rob Huebert, associate director of the Centre for Military and Strategic Studies at the University of Calgary, said this is part of an ongoing long-term Chinese strategy to ensure they can control significant energy companies across the world.
“First and foremost we have to be careful, this is a difficult one to handle,” he said.
Earlier this year the federal government — which has the ultimate say in approving the sale — rejected a much bigger foreign buy out in the potash industry in Saskatchewan.
With fears protectionism is on the rise in international trade, especially in North America, Huebert wonders if it’s even an option for the prime minister to turn the Chinese down.
“There is going to be enormous pressure for him not to,” said Huebert.
He added it’s also important not to let too much of Canada’s energy sector go to the control of Chinese interests.
It may be a difficult decision for leaders in Ottawa, but not for Daylight Energy. The Chinese are offering more than twice the current price for shares and the company is urging shareholders to accept.
It is estimated China has acquired $28 billion worth of Canadian energy resources in the last five years.
farewell Général de corps d'armée (ANP)
messages : 2468 Inscrit le : 13/02/2011 Localisation : ****** Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 12 Oct 2011 - 17:27
Citation :
Les Etats-Unis préparent des sanctions contre le yuan faible
A.K.A: les elections approchent il faut faire le clown devant le Tea Party
Citation :
Is China a currency manipulator?
Oct 11th 2011, 14:17 by The Economist online
The yuan/dollar exchange rate and America's trade deficit with China
ON OCTOBER 11th the Senate is due to vote on a bill that would lead to sanctions being taken against countries whose currencies are "misaligned". One currency in particular—the yuan—is on the minds of legislators. But as the chart below suggests, the recent relationship between China's currency and America's trade deficit with China is not what China hawks in the Senate think it is. Rather than a cheap yuan leading to a flood of Chinese imports, the yuan has actually strengthened as the deficit has widened. There are many things American companies dislike about the way business is done in China: intellectual-property theft, the impossibility of winning government contracts, baffling rules on corporate ownership and so on. However the place for fixing these things is the World Trade Organisation, not Congress. President Obama's administration has already passed on two opportunities to label China a currency manipulator, out of a well-founded fear of sparking a trade war. Senators should do the same (while hoping that China responds to their sabre-rattling by letting the yuan rise a little more, as happened the last time the Senate came close to passing a similar measure, in 2005).
The Economist
Meme si le yuan agmentait par rapport au USD, les delocalisations se feraient vers d'autres pays qui deviendraient plus competitifs que la Chine. Et cela ne changera en rien le mode de vie des americains qui veulent se payer a creadit tout, en demesure... :/
Sauf si les US veulent favoriser d'autres pays a recevoir leurs manufacture? (Inde, Vietnam?) ou a manipuler la valeur des dettes US que detient la Chine?
Y'a t-il des expert dans l'avion pour nous expliquer? llah yr7em biha lwalidine
Invité Invité
Sujet: BAE warns of uncertainty over US contracts Jeu 13 Oct 2011 - 18:20
Citation :
BAE warns of uncertainty over US contracts
BAE Systems warned of “significant uncertainty” over future levels of US military spending but the defence equipment manufacturer said it remained confident of winning orders in spite of constraints on government expenditure in many of its principal markets. The FTSE 100 company, which last month confirmed that it was planning to lay off 3,000 from its UK workforce of 40,000 in response to slackening demand for military aircraft, said it remained on track to deliver underlying earnings a share for the full year that would be “broadly similar” to 2010. BAE, in a trading update covering the period from July to October, said it would continue to implement big cost reductions to “address changes in customer priorities and, in some areas, reduced business activity”. BAE – the UK’s biggest manufacturer by sales and the world’s second-largest military equipment maker – has already cut 15,000 jobs globally in the past two years. Though BAE made delivery of the first of 24 Typhoon aircraft to the Royal Saudi Air Force during the period, an overall slowdown in government orders for the fighter jet was partly blamed for the job cuts at the company’s UK plants. More
ON THIS STORY Local pressure on defence groups’ global sales EADS to slow production of Typhoon jets AgustaWestland to shed 10% of workforce Babcock sees £8bn opportunity in MoD cuts BAE job losses reveal change in industry The uncertainty in the US over the future commissioning of defence equipment programmes is weighing most heavily on the company. Protracted political divisions in Congress over the authorisation of US government spending was also unwelcome, it said. “Some near-term disruption to trading is anticipated as the US administration again operates federal budgets under a Continuing Resolution,” it added. The company generated 43 per cent of its turnover in the US in the first six months of the year, followed by the UK on 27 per cent. Saudi Arabia was the company’s next largest market, accounting for 12 per cent of BAE’s sales, followed by Australia on 6 per cent. In spite of spending cuts in its main markets, BAE insisted it was well placed in pursuing “significant new business opportunities”. In August, BAE along with Northrop Grumman was awarded a $450m contract working on an armoured vehicle project for the US army. The award is being disputed by rival SAIC. The award of a $850m contract to operate an army ammunition plant in the US to BAE in May is also being disputed by the incumbent contractor. BAE added that it remained in discussions over the possible sale of Typhoon fighters to Oman while India was also considering buying the aircraft. The company, which is in the middle of a £500m share repurchase programme, added it planned to bring forward £157m of pension deficit funding in the final quarter of the year. Revised deficit funding agreements are expected to be finalised by the end of the year following triennial funding valuations on two of its largest UK pension schemes. The burden on a revised agreement could be exacerbated by recent falls in yields on UK government gilts that last month saw the aggregate shortfall of British corporate pension schemes near record levels. BAE shares, down 22 per cent over the year, fell 4.4p to 276.7p in early trading on Wednesday.
Citation :
Sky News prepares for crowded Arab market
In a familiar combination of lower and upper case Roman script set out boldly in red and blue, Sky News Arabiya’s logo apparently makes few concessions to the Middle East. Only Arabiya is spelt out in the language of the channel. The Arabic venture is clearly relying on the prestige of its English-language sibling, which is generally held to have soundly beaten its broadcast opposition, or at least its British rivals, in the speed and depth of its coverage of this year’s uprisings in the Arab world. More
ON THIS STORY Comment Gulf must act to stem heavy water use Companies count the cost of Arab uprisings Middle East M&A activity begins recovery Economic reform required to heal Arab world Debate over Gulf peg to dollar reignited Nart Bouran, head of news, and Scott Hicks, commercial director, say much thought has gone into the branding of the new Arabic-language news channel, which is based in Abu Dhabi and is due to launch in spring next year. “It brings in the heritage of the mother brand and it brings in the Arabic side as well,” Mr Hicks says. It is not, however, as though Arab viewers lack choice when it comes to television news. Besides well-known names such as Qatar’s Al Jazeera and Dubai-based Arabiya, the BBC, France 24 and Russia Today run Arabic-language news outlets. That is besides a series of national stations, each offering more or less independent versions of events but with increasingly high production values. Last month, Prince Alwaleed bin Talal, the Saudi billionaire investor, announced that he was launching Alarab, a news channel for which Bloomberg will provide several hours of economic and business coverage. Prince Alwaleed is himself a shareholder in Rupert Murdoch’s News Corp, which owns 39 per cent of BSkyB, parent of Sky News. “There is a lot of competition out there,” admits Mr Bouran. “[But] we shouldn’t really be worried in terms of numbers of channels and so on. The main thing for us is: are we able to provide the audience with something new and something different and something fresh?” Sky News Arabiya will operate from 13 bureaux including London, Washington and Riyadh. The station has had 13,000 applications, all of them via its website, for the 370 posts that will staff the operation. Mr Bouran joined from Thomson Reuters, where he was director of television. The intention is clearly to take on the opposition on the speed and accuracy of breaking news coverage. There will be no magazine programmes, documentaries or spots for media clerics. “It is very nice to have, [if] not a full template, then an idea of how they [Sky News] do things which we can import,” Mr Bouran says. “Do we have to use these five words? Can we use three? Can we be faster to get the point across? I think there are ways of doing it and [it] might be more appealing to a younger audience.” The channel is a joint venture with Abu Dhabi Media Investment Corporation, a privately held vehicle. Admic’s representatives on the board are Sultan al-Jaber, who heads Masdar, Abu Dhabi’s high-profile renewable energy initiative, and Abdulhamid Saeed, chairman of First Gulf Bank. Unlike some of its competitors, the venture must make money. Mr Bouran and Mr Hicks will not discuss numbers or break-even points to avoid providing ammunition for the competition, saying only that “there is a business plan”. Crucial to the success will be advertising revenues. In more developed markets, television executives can use set-top boxes to measure viewer numbers on which advertising rates can be based. These devices are only now being rolled out in the Arab world but the best estimate according to Sky News is that total advertising spending in the Arab world, where the population is roughly 300m, is less than that of Turkey with a population of 75m. “There are fundamental questions when it comes to the advertising market. Why is it so small? There is no data, there is no research, there are no real viewership numbers – it needs time,” Mr Bouran says. “There is no reason why per capita advertising should be so low as it is here in the Middle East. There is plenty of money to go around.”
Financial Times
Citation :
UTC's Pratt to buy Rolls share of engine venture
* Pair set venture for next-generation midsize jets
* Other IAE partners may share in new venture
By Karen Jacobs and Tim Hepher
Oct 12 (Reuters) - Pratt & Whitney said on Wednesday that it will spend $1.5 billion to buy Rolls-Royce Holding Plc's share of the International Aero Engines consortium that produces the engine that powers the Airbus A320 plane family.
The two engine makers also said they will form a partnership to develop engines for mid-size aircraft that in future years will replace new, revamped versions of the Airbus A320 and Boeing 737 narrow-body jets.
Pratt, a unit of United Technologies Corp and Britain's Rolls Royce will hold an equal share in this new venture, which will focus on geared turbofan technology and study open rotor technology and other engine configurations.
"The buyout of Rolls-Royce is not unexpected; the stunning part of this announcement is the creation of a new joint venture to go for the heart of the market with an initial focus on the geared turbofan," said Seattle-based aerospace analyst Scott Hamilton.
The move crystallizes a spat between the two leading members of one of two transatlantic alliances that have quietly dominated the market for aircraft engines for more than a quarter of a century.
International Aero Engines, founded in 1983 and based in Glastonbury, Connecticut, brought together Rolls-Royce and Pratt & Whitney and German and Japanese partners to provide a four-nation alternative to CFM International, a French-American joint venture between General Electric Co and Snecma, now part of French state-controlled group Safran .
The two alliances compete to power Airbus A320 passenger jets, while CFM has a monopoly on Boeing's rival 737, the world's most-sold aircraft. Such aircraft are the backbone of most airline fleets, generating many thousands of engine sales and a thriving long-term spare parts business.
But Pratt & Whitney and Rolls-Royce disagreed over the next step as Pratt took a gamble on a new engine known as the Geared Turbofan.
Airbus's decision to offer the new Pratt geared turbofan engine and a competing CFM model on a revamped version of its A320, called the neo, produced a surge of sales and prompted Boeing this year to announce plans to sell a "re-engined" version of its 737 called the MAX. But Rolls vetoed the engine being sold through IAE.
NO DIVORCE
Both companies, however, denied that IAE, which has more than 4,500 engines in service and about 2,000 on order, had ended in divorce.
"IAE has not resulted in divorce. Rolls-Royce is going to remain a very full partner of IAE for the next 15 years at least," said Mark King, president of civil aerospace at the U.K. company.
"The two companies are saying we want to work together in the future despite the fact that we are not participating in the (A320) neo," he told reporters on a conference call.
As part of the IAE restructuring, Rolls-Royce will continue to make engine parts and assemble 50 percent of the V2500 engine that powers the A320 family. Rolls will also get payment for each hour flown by the current fleet of V2500-powered aircraft for 15 years.
"We have found a way to continue working together currently and then plan for the future," said Todd Kallman, president for commercial engines and global services at Pratt & Whitney.
Rolls-Royce and Pratt & Whitney have set out different visions of what the next generation of engines to be seen from the middle of next decade might look like, with the U.S. company expressing little interest in the Open Rotor or unducted fan concept favored by Rolls-Royce. This would see engines with twin rows of visible fan blades rather than powerplants that are fully encased inside engine housings.
Rolls and CFM both believe such engines will mark a clean break from current technology and will be far more efficient, but they say about a decade of work is needed to develop the required technology and overcome problems like noise.
Though the buyout makes Pratt the majority shareholder in IAE, the company said it intends to offer a portion of the Rolls shares it is buying to its other IAE partners: Germany's MTU Aero Engines and Japanese Aero Engines Corp.
"This looks like a good deal for both parties, allowing them to focus on their current engine priorities (the Geared Turbofan for Pratt, and the Trent for Rolls), whilst laying the groundwork for the successor to the V2500 on the next generation of narrow bodies in the middle of the next decade," RBC Capital Markets analyst Robert Stallard wrote to clients.
Rolls-Royce will also make a "modest financial investment" in the Pratt geared turbofan that is an option for the Airbus A320 neo narrowbody.
Pratt's geared turbofan engine, which also powers the all-new Bombardier CSeries jet, has secured more than 1,000 orders.
Reuters
Invité Invité
Sujet: Largest rare earths producer halts output Mer 19 Oct 2011 - 16:46
Largest rare earths producer halts output
Financial Times
Citation :
China’s largest rare earths producer, Baotou, has suspended production for one month in an effort to prop up falling prices, in the clearest signal yet that Chinese producers are intent on supporting prices at high levels. China is the world’s biggest producer of rare earths, but tightening government controls and stockpiling has sent rare earths prices rocketing this year, with prices for some minerals increasing more than eight times during the first half of the year. More
Rare earths prices have been sliding since their peak in July, but the slide has accelerated during the past week. Neodymium, which is used in magnets, has fallen 9 per cent, while Lanthanum, which is used in fuel catalytic converters, has fallen 12 per cent, according to prices from Shanghai Metals Market. Baotou’s move suggests that Chinese efforts to control rare earths prices could be greater than previously thought. Traders have complained since last year that Chinese customs officials were forcing contracts to be rewritten to conform with a “secret list” of acceptably high rare earths prices, but that had less influence on the market during a time when prices were uniformly going up. Rare earths are 17 metals critical to everyday life, with uses that range from fluorescent lightbulbs to BlackBerry vibrators and military radar systems. Although rare earths are not technically rare, China produces more than 95 per cent of the world’s rare earths, after cheap Chinese mines sent other rare-earths miners out of business during the 1980s. After cutting export quotas last year, Beijing has this year focused on cleaning up the rare earths industry at the source, closing illegal mines and processing centres that were previously sources of pollution. Those in the industry believe that the rare earths reforms have also been aimed at increasing state control over the previously fragmented sector. In May, the government announced that three state-owned groups would take the lead in reshaping the industry in the fragmented southern sector. Baotou, which controls about 40 per cent of China’s rare earths production through mines in Inner Mongolia, said on Tuesday that it was suspending operations at all of its rare earths processing facilities in a bid to “stabilise the market and balance supply and demand”. It is the second time in recent weeks that Baotou has tried to prop up prices, after very publicly purchasing neodymium at above-market prices last month. Baotou said the suspension, which begins on Wednesday, would also cut supplies of unprocessed rare earths to processing plants that buy from Baotou. Shanghai share prices for Baotou fell 5.8 per cent on Tuesday, against a broader market decline of 2.4 per cent.
Serait-ce une response au bloquage de Huawei le f;leuron des telecom chinois, ou juste une ocntre attaque contre le battage de tambours anti-chinois au Congres?
Huawei goes on attack against US restrictions
Citation :
Huawei, the Chinese telecoms company, has launched an aggressive counter-offensive against the US government, saying it is high time the US detail “unsubstantiated” national security concerns in the wake of a decision to block the business from building a national emergency communications network. “Stop the manufactured fear. If you have something to say, substantiate it,” said William Plummer, Huawei’s vice-president of external affairs. The comments represent the most assertive response the company has made since the US began systematically blocking the company from acquiring US assets in 2008.
The group has, in effect, been barred from acquiring two companies over the past four years by the US government, which also intervened in a separate attempt by Huawei to bid for a big contract with Sprint, a big US telecommunications operator. In that instance, according to a person familiar with the matter, the government was also contemplating actions that would have barred Huawei from importing into the US, but stopped short of doing so. Huawei had formerly maintained a fairly deferential tone in its dealings with the government. But it is now demanding answers from the US Department of Commerce after officials blocked it from getting involved in the building of a national wireless emergency communications network. “We have seen multiple instances where we are being asked for transparency. Well, the shoe is on the other foot. We would like to see some accountability and transparency associated with this decision. Where is the due process?” said Mr Plummer. The Department of Commerce said Huawei would not take part in building the new network due to “US government national security concerns”. A department official added that the deliberations leading to the decision had been thorough and made in consultation with other relevant US agencies. Under the World Trade Organisation, countries are exempted from some trade rules in the event of national security concerns. The US government has never publicly acknowledged its precise concerns about Huawei. But people who follow the company’s dealings in Washington say US officials have been persistently irritated by what they view as a lack of transparency. Huawei failed earlier this year to alert a US security panel that vets foreign takeovers of sensitive assets about its purchase of a small California-based technology company, even after it pledged to defence officials that it would be more forthcoming. The deal was later reviewed and unwound. A recent unclassified US intelligence report obtained by the Financial Times quotes national Chinese media stating that Huawei’s Sun Yafang, its chairwoman, once worked for the ministry of state security and that she used her “connections” at the ministry to help Huawei through financial difficulties at “critical moments”. Huawei has persistently denied it has a close relationship with the Chinese government. Mr Plummer said the intelligence report was “just innuendo and suggestion”. “It is not intelligence. At the very best, it is a Reader’s Digest of media reports,” he said. He added it was “ironic” that the commerce department was seeking to block Huawei at the same time that the US government was trying to encourage foreign investment.
FT.
Huawwei, qui n'est pas encore une "publicly traded company" et qui dont n'a aucune obligation a divulger ses informations est soupconnee depuis une decennie par les US d'etre de connivance avec le PLC a cause du fondateur et de sa femme entres autres. info ou intox.
rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Lun 24 Oct 2011 - 19:11
Citation :
Renflouement (des banques) de la zone euro : « Vers un fascisme européen ? »
C’est la question posée par le site internet HaOui.net, qui vient de réaliser la première traduction française du projet de traité établissant le Mécanisme européen de stabilité, ce nouveau fonds de renflouement qui doit succéder à l’actuel FESF. Déjà, sous pression des banques, avec la City de Londres à la manœuvre, le FESF doit être quintuplé pour atteindre 2000 milliards. Mais pour le MES, comme nous l’avions dénoncé après les fuites dans la presse allemande début septembre, il s’agit d’établir un fonds de renflouement permanent grâce à l’engagement « irrévocable et inconditionnel » des Etats-membres, et qui jouira d’une immunité juridique totale !
Extraits :
(...)
1. Le capital social s’élève à 700 milliards d’euros (EUR 700 000 000 000). (...)
Les Membres du MES, irrévocablement et inconditionnellement, s’engagent à payer sur demande l’appel de capital effectué par le Directeur Général conformément au présent paragraphe, cet appel devant être payé dans les sept (7) jours suivant la réception de ladite demande. (…)
[Le Conseil des Gouverneurs] peut décider du changement du capital social et de la modification de l’article 8 et l’annexe 2 en conséquence. (…)
Le statut juridique du MES, les immunités et privilèges
(...)
2. Le MES a la pleine personnalité juridique, il doit avoir la pleine capacité juridique :
(A) pour acquérir et aliéner des biens immobiliers et mobiliers ;
(B) pour contracter ;
(C) pour ester en justice et
(D) pour entrer dans un accord cadre et / ou des protocoles nécessaires pour s’assurer que ses statuts, privilèges et immunités sont reconnus et mis en vigueur.
3. Le MES, ses biens, fonds et avoirs, où qu’ils se trouvent et quel qu’en soit le détenteur, jouissent de l’immunité de toute forme de procédure judiciaire, sauf dans la mesure où le MES renonce expressément à son immunité dans le but de toute procédure ou par les conditions de tout contrat, y compris la documentation sur les instruments financiers.
4. La propriété, le financement et les actifs du MES, où qu’ils se trouvent et quel qu’en soit le lieu, sont exempts de perquisition, réquisition, confiscation, expropriation ou de toute autre forme de saisie, de prise ou forclusion par action de l’exécutif, judiciaire, administrative ou législative.
5. Les archives du MES et en général, tous les documents lui appartenant ou détenus par elle, sont inviolables.
6. Les locaux du MES sont inviolables.
7. Les communications officielles du MES accorderont à chaque Membres du MES et à chaque Etat qui a
reconnu le statut, les privilèges et immunités du MES, le même traitement qu’il accorde aux communications officielles d’un Etat qui est un Membre du MES.
8. Pour mener à bien les activités prévues dans ce traité l’ensemble des biens, fonds et avoirs du MES devront nécessairement être exempt de restrictions, réglementations, contrôles et moratoires de toute nature.
9. Le MES est exempté de toute obligation d’être autorisé ou agréé en tant qu’établissement de crédit, de
services d’investissement ou toute autre entité autorisée sous licence ou réglementée en vertu de la législation de chaque Membres du MES.
(...)
Immunités des personnes
1. Gouverneurs, Gouverneurs suppléants, Directeurs, Directeurs suppléants, le Directeur Général et Membres du personnel doivent être à l’abri de poursuites à l’égard des actes accomplis par eux dans leur qualité officielle et jouissent de l’inviolabilité à l’égard de leurs papiers officiels et documents, sauf lorsque le Conseil des Gouverneurs renonce expressément à cette immunité.
Traduction réalisée par HaOui. Traduction originale disponible sur http://www.haoui.net/newsletter/2011/octobre18/exclusivite/index.html
Un tel statut à l’abri des droits nationaux montrent que tout le monde à Bruxelles sait bien que le renflouement des banques avec l’argent des Etats, et sans contrôle des représentants du peuple, est une violation totale des Constitutions.
messages : 2468 Inscrit le : 13/02/2011 Localisation : ****** Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 26 Oct 2011 - 22:36
Citation :
EN DIRECT. Dette : les 27 d'accord sur la recapitalisation des banques
http://news.google.fr/nwshp?hl=fr&tab=wn
_________________
"Les belles idées n'ont pas d'âge, elles ont seulement de l'avenir"
farewell Général de corps d'armée (ANP)
messages : 2468 Inscrit le : 13/02/2011 Localisation : ****** Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 26 Oct 2011 - 23:45
Citation :
Vers une décote dépassant 50% en Grèce et un FESF démultiplié
http://news.google.fr/nwshp?hl=fr&tab=wn
_________________
"Les belles idées n'ont pas d'âge, elles ont seulement de l'avenir"
yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 27 Oct 2011 - 10:04
Solution trouvée :
Citation :
L'Europe sollicite l'aide des pays émergents
De grands pays émergents, Chine en tête, ont répondu favorablement mercredi 26 octobre à un appel de la zone euro à lui venir en aide, traduisant l'incapacité de l'Europe à régler seule la crise de la dette.
Après avoir assuré qu'ils se sortiraient seuls de l'ornière, les Européens se sont rendus à l'évidence : ils s'avouent incapables de créer à eux seuls un pare-feu assez grand pour contenir l'incendie avant qu'il ne se propage à l'Italie et embrase toute l'Union monétaire.
En démultipliant au maximum par leurs propres moyens la puissance de feu du Fonds européen de stabilité financière (FESF), ils ne comptent parvenir qu'à 1 000 milliards d'euros dans un premier temps, soit en deçà des besoins potentiels et des attentes des marchés.
FONDS SPÉCIAL
Les dirigeants de la zone euro ont donc décidé mercredi, durant leur sommet, la création d'un fonds spécial adossé au FMI et accueillant les contributions de pays émergents comme la Chine et la Russie. Le sujet est politiquement très sensible et impossible en l'état à chiffrer.
La Chine et la Russie avaient fait état de leur intérêt plus tôt dans la journée et le chef de l'Etat français, Nicolas Sarkozy, a prévu de s'entretenir de ce sujet avec le président chinois, Hu Jintao, jeudi. Le directeur du FESF, Klaus Regling, se rendra en Chine vendredi, puis au Japon.
Des sources diplomatiques ont indiqué à Bruxelles que la Chine était prête à "abonder le fonds" européen. Et Pékin a dit avoir "une attitude ouverte" et entend "discuter avec les Européens des multiples manières de coopérer".
UNIQUEMENT À TRAVERS LE FMI
La Chine, qui détiendrait déjà quelque 500 milliards de dollars de dette publique européenne, selon des experts français et allemands, serait bien placée pour développer ses positions européennes. D'autant qu'elle souhaite diversifier son énorme matelas de 3 200 milliards de dollars de réserves de change, qui sont essentiellement libellées en dollars.
Les principaux pays émergents ont proclamé ces dernières semaines leur soutien à la zone euro. Le Brésil et la Russie ont notamment fait part de leur volonté de participer à l'effort, mais uniquement à travers le FMI, et pas forcément pour acheter directement de la dette européenne.
Selon une source proche du dossier, il n'est "pas surprenant" que les Brics préfèrent passer par l'institution de Washington : "Il y a un instrument connu de tous, le FMI, avec une gouvernance bien définie, et à côté un machin encore flou. C'est normal que les émergents veuillent un peu de garanties." Reste à définir précisément le rôle du FMI, qui ne peut mettre directement de l'argent dans le fonds européen car ses statuts ne l'autorisent à aider que des Etats.
Les grandes puissances se sont donné rendez-vous au sommet du G20, la semaine prochaine à Cannes, pour faire le point sur l'adéquation des ressources du fonds aux besoins liés à la crise. Mais les Etats-Unis, premier contributeur, risquent de bloquer toute velléité de renforcement des moyens du FMI.
Sa rappel l’après WW2
Dernière édition par yassine1985 le Jeu 27 Oct 2011 - 10:06, édité 1 fois (Raison : L,L)
marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 27 Oct 2011 - 10:12
attention, il ne faut pas mélanger les choses ...
la Chine a besoin du consommateur Européen , c'est le moteur de son économie ..
si l'européen réduit ses dépenses , le chinois est très mal , va perdre de l'argent et son emploi .. c'est aussi simple que çà ..
par ailleurs, les Chinois veulent que l'Euro garde une valeur forte car c'est tout bénéfs pour leurs exportations , vis à vis du Yuan et son positionnement vis à vis du dollar ..toute ses creances sont en dollars et là c'est l'occasion de diversifer
et pour finir, bien garder en tête que la richesse moyenne d'un européen est 10 fois plus importante que celle du chinois ...
le plus pauvre de l'affaire est le Chinois moyen et non l'Européeen moyen qui reste l'habitant qui vit le mieux sur cette planété ...
yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 27 Oct 2011 - 10:22
marques a écrit:
attention, il ne faut pas mélanger les choses ...
la Chine a besoin du consommateur Européen , c'est le moteur de son économie ..
si l'européen réduit ses dépenses , le chinois est très mal , va perdre de l'argent et son emploi .. c'est aussi simple que çà ..
par ailleurs, les Chinois veulent que l'Euro garde une valeur forte car c'est tout bénéfs pour leurs exportations , vis à vis du Yuan et son positionnement vis à vis du dollar ..toute ses creances sont en dollars et là c'est l'occasion de diversifer
et pour finir, bien garder en tête que la richesse moyenne d'un européen est 10 fois plus importante que celle du chinois ...
le plus pauvre de l'affaire est le Chinois moyen et non l'Européeen moyen qui reste l'habitant qui vit le mieux sur cette planété ...
Je comprend ce que tu dis mais on parle de qui est en position de force pour l'instant et il se trouve que c'est la Chine c-à-d le plus influant dans les sous contrats qu'on ne nous dira pas. les chinois connaissent très bien la situation ds marchés et ils travaillent (à la chinoise) pour transformer le marché interne pour le transformé ... et sa change vite avec les tinois
Invité Invité
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 27 Oct 2011 - 16:29
yassine1985 a écrit:
marques a écrit:
attention, il ne faut pas mélanger les choses ...
la Chine a besoin du consommateur Européen , c'est le moteur de son économie ..
si l'européen réduit ses dépenses , le chinois est très mal , va perdre de l'argent et son emploi .. c'est aussi simple que çà ..
par ailleurs, les Chinois veulent que l'Euro garde une valeur forte car c'est tout bénéfs pour leurs exportations , vis à vis du Yuan et son positionnement vis à vis du dollar ..toute ses creances sont en dollars et là c'est l'occasion de diversifer
et pour finir, bien garder en tête que la richesse moyenne d'un européen est 10 fois plus importante que celle du chinois ...
le plus pauvre de l'affaire est le Chinois moyen et non l'Européeen moyen qui reste l'habitant qui vit le mieux sur cette planété ...
Je comprend ce que tu dis mais on parle de qui est en position de force pour l'instant et il se trouve que c'est la Chine c-à-d le plus influant dans les sous contrats qu'on ne nous dira pas. les chinois connaissent très bien la situation ds marchés et ils travaillent (à la chinoise) pour transformer le marché interne pour le transformé ... et sa change vite avec les tinois
Tout a fait.
Comme l'a dit Sammy plusieurs fois, Le chinois sont assez intelligents pour savoir que la vrai economie, celle des hommes, de leurs muscles, cerveaux et tout ce qui supporte ces deux infrastrcutures fondamentales (bien etre, qualite de vie, decoulant de l'education et formation par exemple, matieres premieres etc...) c'est celle qui perdure bon gre mal gre. Les autrespeuvent garde leurs papiers toilettes hachakoum en cas de crise majeure, et celle ci va arriver.
Maintenant c'est dollars contre savoir-faire et technologie pour les uns, roubles contre "silence" pour les autres.
Pour revenir casser de l'americain avec de la techno europeenne
Invité Invité
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 27 Oct 2011 - 18:25
Citation :
Bangkok se noie, l'industrie mondiale tangue
Dans la capitale, l'avancée des eaux, désormais inéluctable, a contraint les habitants contraints à se mettre à l'abri. Les inondations ont déjà fait 400 morts et des milliards d'euros de dégâts. La paralysie menace les industries automobile, informatique et agroalimentaire bien au-delà des frontières thaïlandaises.
La Thaïlande est en proie ces dernières semaines aux inondations les plus dévastatrices de son histoire, marquées par un lourd bilan humain et matériel loin d'être définitif [près de 400 personnes ont déjà péri et les dégâts se chiffrent en milliards d'euros]. Le pays occupe une place centrale dans le commerce et l'industrie planétaires, et les conséquences de la catastrophe se feront sentir dans les magasins d'alimentation et les concessionnaires automobiles un peu partout dans le monde. De fait, ce pays de 67 millions d'habitants est depuis longtemps une plaque tournante pour de nombreux secteurs industriels mondiaux, du textile à la construction automobile en passant par l'électronique. Les inondations risquent fort de causer des centaines de millions de pertes aux entreprises qui dépendent d'usines et de fournisseurs installés en Thaïlande. Selon le ministère du Travail thaïlandais, la catastrophe touche 14 818 lieux de travail et 678 227 travailleurs. Les analystes économiques estiment que les inondations, les pires depuis un demi-siècle, feront reculer de deux points les prévisions de croissance du PIB pour 2011. Les dernières estimations en date, qui chiffrent les dégâts à six milliards de dollars, pourraient doubler si Bangkok se retrouve entièrement sous les eaux.
Sur place déjà, certaines chaînes d'approvisionnement sont rompues et des usines ont dû fermer. L'industrie automobile est l'une des plus durement touchées. Toyota, Honda, Nissan et Ford enregistrent tous des perturbations dans leur production. Toyota, le premier constructeur automobile présent en Thaïlande, avec 630 712 véhicules sortis l'année dernière de ses trois sites dans le pays, a annoncé une suspension des activités sur ses lignes de montage au moins jusqu'à la fin octobre. Bien que ses sites de production ne soient pas directement touchés par les inondations et même si le constructeur dispose, dit-on, de stocks suffisants pour maintenir ses ventes durant un mois, c'est l'approvisionnement d'autres usines en centaines de pièces détachées fabriquées dans des sites frappés par les inondations qui est en rupture [les usines du constructeur nippon en Amérique du Nord ont annoncé devoir ralentir leur cadence].
Apple, Sony, Canon et Toshiba ont également fermé leurs sites respectifs à Ayutthaya, l'une des villes les plus gravement frappées, au nord de Bangkok. Le PDG d'Apple Tim Cook a reconnu la semaine dernière que les inondations entraînaient des retards dans l'approvisionnement de certains composants entrant dans la fabrication des ordinateurs Mac. Chez Seagate Technologies, on annonce pour les mêmes raisons des perturbations au cours de ce trimestre dans la production de disques durs [dont une grande partie à l'échelle de la planète sont produits en Thaïlande].
L'industrie agroalimentaire n'est pas épargnée. La Thaïlande a, il est vrai, la réputation d'être "la cuisine du monde". Charoen Pokphand Foods, le premier producteur et exportateur thaïlandais de viande et d'aliments pour animaux, anticipe une hausse du prix de la viande. Les inondations ont causé d'importants dégâts sur les élevages de poulets et de porcs, et la baisse des approvisionnements va faire grimper les prix. Si cela promet une augmentation du chiffre d'affaires pour Charoen Pokphand, les consommateurs mondiaux, eux, vont payer plus cher leurs produits carnés. Les inondations, qui ont submergé 12,5 % des terres cultivées dans le royaume, menacent aussi l'agriculture. La Thaïlande est un gros exportateur en la matière, et numéro un mondial des exportations de riz. "On ne dispose pas encore d'estimations des dégâts sur les cultures, mais c'est la principale récolte de riz, actuellement dans une phase de croissance critique, qui risque d'être le plus affectée", annonce la FAO, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture. Et ces dégâts pourraient s'aggraver à mesure que les barrages devront relâcher de l'eau. Les pays qui importent du riz thaïlandais devraient donc le payer plus cher l'année prochaine. Dans le secteur du tourisme, plusieurs gouvernements ont déjà émis des mises en garde à l'attention de leurs ressortissants se rendant actuellement en Thaïlande, notamment le Japon et les Etats-Unis, qui font partie des dix premiers pays d'origine des touristes [les autorités estiment de 500 000 à un million de touristes sur les 19 millions prévus vont changer de destination].
Au bout du compte, ces inondations monstres, comme bien d'autres phénomènes météorologiques exceptionnels ailleurs dans le monde, mettent en lumière les nouvelles menaces qui pèsent sur la sécurité économique des pays. Les Etats et les multinationales ne devraient plus se laisser prendre au dépourvu par les catastrophes naturelles. Les conséquences de ces phénomènes se sont elles aussi mondialisées. Car le manque d'anticipation et de prévention des risques menace d'avoir des conséquences sur les relations avec les autres pays, et pas seulement dans le domaine commercial.
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 27 Oct 2011 - 21:17
Scientific American
Why Economic Models Are Always Wrong Financial-risk models got us in trouble before the 2008 crash, and they're almost sure to get us in trouble again
Citation :
When it comes to assigning blame for the current economic doldrums, the quants who build the complicated mathematic financial risk models, and the traders who rely on them, deserve their share of the blame. [See “A Formula For Economic Calamity” in the November 2011 issue]. But what if there were a way to come up with simpler models that perfectly reflected reality? And what if we had perfect financial data to plug into them?
Incredibly, even under those utterly unrealizable conditions, we'd still get bad predictions from models.
The reason is that current methods used to “calibrate” models often render them inaccurate.
That's what Jonathan Carter stumbled on in his study of geophysical models. Carter wanted to observe what happens to models when they're slightly flawed--that is, when they don't get the physics just right. But doing so required having a perfect model to establish a baseline. So Carter set up a model that described the conditions of a hypothetical oil field, and simply declared the model to perfectly represent what would happen in that field--since the field was hypothetical, he could take the physics to be whatever the model said it was. Then he had his perfect model generate three years of data of what would happen. This data then represented perfect data. So far so good.
The next step was "calibrating" the model. Almost all models have parameters that have to be adjusted to make a model applicable to the specific conditions to which it's being applied--the spring constant in Hooke's law, for example, or the resistance in an electrical circuit. Calibrating a complex model for which parameters can't be directly measured usually involves taking historical data, and, enlisting various computational techniques, adjusting the parameters so that the model would have "predicted" that historical data. At that point the model is considered calibrated, and should predict in theory what will happen going forward.
Carter had initially used arbitrary parameters in his perfect model to generate perfect data, but now, in order to assess his model in a realistic way, he threw those parameters out and used standard calibration techniques to match his perfect model to his perfect data. It was supposed to be a formality--he assumed, reasonably, that the process would simply produce the same parameters that had been used to produce the data in the first place. But it didn't. It turned out that there were many different sets of parameters that seemed to fit the historical data. And that made sense, he realized--given a mathematical expression with many terms and parameters in it, and thus many different ways to add up to the same single result, you'd expect there to be different ways to tweak the parameters so that they can produce similar sets of data over some limited time period.
The problem, of course, is that while these different versions of the model might all match the historical data, they would in general generate different predictions going forward--and sure enough, his calibrated model produced terrible predictions compared to the "reality" originally generated by the perfect model. Calibration--a standard procedure used by all modelers in all fields, including finance--had rendered a perfect model seriously flawed. Though taken aback, he continued his study, and found that having even tiny flaws in the model or the historical data made the situation far worse. "As far as I can tell, you'd have exactly the same situation with any model that has to be calibrated," says Carter.
That financial models are plagued by calibration problems is no surprise to Wilmott--he notes that it has become routine for modelers in finance to simply keep recalibrating their models over and over again as the models continue to turn out bad predictions. "When you have to keep recalibrating a model, something is wrong with it," he says. "If you had to readjust the constant in Newton's law of gravity every time you got out of bed in the morning in order for it to agree with your scale, it wouldn't be much of a law But in finance they just keep on recalibrating and pretending that the models work."
ABOUT THE AUTHOR(S) David H. Freedman, a freelance writer, is author of Wrong: Why Experts Keep Failing Us--and How to Know When Not to Trust Them.
Invité Invité
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 27 Oct 2011 - 22:02
L'effondrement du système économique mondial mènera à la troisième guerre mondiale !
farewell Général de corps d'armée (ANP)
messages : 2468 Inscrit le : 13/02/2011 Localisation : ****** Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 27 Oct 2011 - 23:36
carrément...
_________________
"Les belles idées n'ont pas d'âge, elles ont seulement de l'avenir"
marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Ven 28 Oct 2011 - 10:48
moroccan-soldier a écrit:
L'effondrement du système économique mondial mènera à la troisième guerre mondiale !
il n'y a ni effrondement , ni walou !!
tout va très bien sauf que les benefices de certains progressent moins vite qu'avant
par ailleurs, faire peur aux gens est toujours le meilleur moyen d'augmenter leurs impots, de reduire leurs retraites et de ls oriente vers la recherche de "boucs emissaires" ..
et comme d'habitude les occidentaux continuent de diriger le monde , hier , aujourdhui et demain ...
yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Ven 28 Oct 2011 - 10:54
marques a écrit:
moroccan-soldier a écrit:
L'effondrement du système économique mondial mènera à la troisième guerre mondiale !
il n'y a ni effrondement , ni walou !!
tout va très bien sauf que les benefices de certains progressent moins vite qu'avant
par ailleurs, faire peur aux gens est toujours le meilleur moyen d'augmenter leurs impots, de reduire leurs retraites et de ls oriente vers la recherche de "boucs emissaires" ..
et comme d'habitude les occidentaux continuent de diriger le monde , hier , aujourdhui et demain ...
Demain ? tu es devin ? sache qu'un ralentissement dans l’avancement est un retour en arrière, aucun système n'est éternel et le monde change plus vite qu'on ne le croit.
Par ailleurs les "occidentaux" dirigent le monde des plus faible qu'eux pour le moment.