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Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 27 Nov 2010 - 17:06
Rappel du premier message :
suite au post d´Aslan..y´aura des degats,l´Allemagne aussi alertée
Citation :
Le monde se prépare à de nouvelles révélations par WikiLeaks, Washington appréhende
(AFP) – Il y a 11 heures
WASHINGTON — Des gouvernements du monde entier se préparaient en ce début de week-end à de nouvelles révélations par WikiLeaks, sous la forme d'un tourbillon de câbles diplomatiques américains potentiellement embarrassants pour les Etats-Unis et leurs partenaires.
L'administration Obama avait annoncé dès mercredi que ses services diplomatiques avaient entrepris de préparer des gouvernements étrangers à la publication prochaine de documents secrets susceptibles de créer des "tensions" avec eux.
Dans un entretien sur CNN qui sera diffusé dimanche dont l'AFP a obtenu la retranscription vendredi, le chef d'état-major interarmées américain, l'amiral Michael Mullen, a estimé que les agissements de WikiLeaks étaient "extrêmement dangereux", notamment pour la sécurité des soldats américains, appelant les responsables du site à renoncer à ces révélations.
De son côté, le porte-parole du département d'Etat Philip Crowley a déclaré que les Etats-Unis se préparaient au "pire scénario". Le département d'Etat avait indiqué plus tôt s'attendre à la publication de documents diplomatiques concernant "un large éventail de dossiers et de pays".
Le porte-parole a spécifié que parmi les pays contactés par la secrétaire d'Etat Hillary Clinton figuraient l'Allemagne, l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Grande-Bretagne, la France, l'Afghanistan.
A Moscou, le quotidien Kommersant a affirmé que les fuites comportaient des appréciations "désagréables" qui pourraient blesser Moscou.
Ces révélations "peuvent provoquer une brouille entre les Etats-Unis et la Russie", tout comme avec la moitié des pays de la planète, écrit le quotidien.
A Rome, le ministre des Affaires étrangères Franco Frattini a été prévenu par Washington que des documents concernaient l'Italie.
Le Canada a indiqué que son ambassade à Washington "s'occupe actuellement de cette question avec le département d'Etat".
A Bagdad, l'ambassadeur des Etats-Unis, James Jeffrey, avait affirmé plus tôt que sa mission était "inquiète" face à des révélations susceptibles de saper "des discussions de confiance".
Le site spécialisé dans la révélation de documents confidentiels a promis lundi de mettre en ligne sept fois plus de documents confidentiels que les 400.000 récemment publiés sur la guerre en Irak.
Les premières fuites de WikiLeaks, en juillet sur l'Afghanistan, contenaient peu d'importantes révélations, et celles émanant d'Irak se concentraient en majorité sur des exactions commises entre différentes factions irakiennes.
Washington pourrait être plus embarrassé par la divulgation de documents rédigés par ses diplomates, en particulier s'ils mettent en cause des partenaires étrangers des Etats-Unis.
Selon le ministère finlandais des Affaires étrangères, l'ambassade américaine dans ce pays pense que cette publication allait être "la plus grave".
Selon un haut responsable israélien, Israël, dont Washington est le plus important allié, a été informé que ces fuites de câbles diplomatiques pourraient porter sur des rapports confidentiels adressés par l'ambassade américaine à des responsables israéliens.
A Ankara, un diplomate turc de haut rang a indiqué que la Turquie avait également été mise au courant.
Selon des informations de presse, les nouvelles révélations porteraient notamment sur une aide de la Turquie aux militants d'Al-Qaïda en Irak et un soutien des Etats-Unis aux rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), réfugiés en Irak.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a ensuite jugé qu'il serait "hors de question" de tolérer des actes terroristes "ayant la Turquie pour origine et visant un pays voisin". Il a aussi insisté sur "la coopération étroite" entre Washington et Ankara face au PKK.
Des responsables en Grande-Bretagne, Norvège et Danemark ont aussi indiqué que leurs pays avaient été informés par les Etats-Unis.
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Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 17:38
FAMAS a écrit:
ça doit être un concurrent de l'Ona.... je n'en vois pas mille
Chaâbi peut être!! Il rallait trop notement contre les investisseurs bédoins et leurs supposés protecteurs fantômatiques. A ne pas oublier que la trés républicaine nadia yassine est aussi une habituée des cercles diplomatiques.....
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Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 18:22
concernant la bmce ils ont repris un article de nini à la lettre
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 18:38
Je rappelle qu'il faut prendre tous les câbles de wiki avec de grosses pincettes , a la fin ce n'est que des ragots et potins entre diplomates , malheureusement il n'y pas de documents concret ou de preuves matériels qui sont fournis avec ses câbles pour les rendre un peu plus crédibles. Et j’imagine mal les hommes d'affaires marocains raconter leurs mésaventures au diplomates US .
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Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 19:41
Citation :
Samedi 4 décembre 2010 Wikileaks: l’opacité de la transparence
Wikileaks
Moins d’une semaine après le début de la publication des télégrammes du département d’Etat américain par un certain nombre de médias, je vous propose un bilan provisoire du « cablegate »:
Rappel des faits. A l’exception du New York Times qui les a reçu du quotidien britannique The Guardian, quatre médias (The Guardian, Der Spiegel, El Pais et Le Monde ) ont été choisis par Wikileaks pour recevoir les 251 287 télégrammes diplomatiques du département d’Etat américain couvrant une période allant de 2004 à mars 2010 pour 90 % d’entre eux, les autres remontant jusqu’à 1966.
Un peu plus de la moitié de ces documents ne sont pas classifiés, 40 % sont classés « confidentiels », environ 7 % (16 652) sont classifiés « secrets ». 3 802 documents ont été envoyés depuis la France. Aucun mémo n’est « Top secret », le plus haut degré de classification aux Etats-Unis. En vertu de la législation américaines, les documents classés « confidentiel » auraient été accessibles au bout de 10 ans, ceux classés « secret » dans un délai de 20 ans. Quelque 900 000 employés du gouvernement américain ont accès aux documents classés « secret ».
Ces cinq publications décident au fur et à mesure de la publication de leurs articles et de la sélection des télégrammes mis en ligne par leurs sites et par Wikileaks. Les mémos destinés à être publiés sont édités ensemble afin de protéger les identités des individus qui pourraient être menacés. Wikileaks s’est engagé à ne publier les télégrammes qui ne seront pas utilisés par les cinq journaux qu’ultérieurement, une fois toutes les idenités protégées par ses soins.
Bradley Manning. Wikileaks n’a pas révélé l’identité du ou des individus qui lui ont fournir les documents. Le suspect numéro un se nomme Bradley Manning, un soldat américain agé de 23 ans, arrêté et incarcéré après avoit été dénoncé au FBI par le hacker américain Adrian Lamo. Depuis Bagdad, cet analyste de renseignement militaire s’était vanté, au cours d’une discussion en ligne, d’avoir copié des documents secrets explosifs sur un disque, en prétendant écouter Lady Gaga. « Hillary Clinton et des milliers de diplomates à travers le monde auront une attaque cardiaque quand il se réveilleront un matin et découvriront que la totalité de la banque de documents classifiés de politique étrangère a été mise à la disposition du public, sous un format accessible… Partout où il y a un poste diplomatique américain, il y a un scandale qui sera révélé… C’est super, et effrayant ».
Potins diplomatiques. Qu’avons nous appris jusque là ? Quelques surprises, beaucoup de confirmations et aucun scandale. Beaucoup de « potins » diplomatiques sur des personnalités en vue, de Nicolas Sarkozy au colonel Kadhafi, en passant par Silvio Berlusconi, Robert Mugabe, le leader tchétchène Ramzan Kadyrov, Vladimir Putin ou le Prince Andrew. Au delà de cet aspect trivial, les télégrammes reflètent avant tout le travail de diplomates professionnels dans l’exercice normal de leurs fonctions: collecte d’informations auprès de leaders étrangers et analyse, recherche d’actions communes, pression sur les alliés et les adversaires.
Une révélation embarassante. C’est l’instruction donnée par le département d’Etat à ses diplomates de collecter les « données biométriques », y compris les « empreintes, photos d’identité, l’ADN et les scans rétiniens » de dirigeants africains et de récolter, y compris à l’Onu, les mots de passe, clés de chiffrement personnelles, numéros de cartes de crédits, comptes de voyageurs fréquents et autres données personnelles de leurs homologues diplomates.
Des confirmations. Ce que disent en privé les responsables politiques ne correspond pas toujours, on peut s’en douter, à leurs déclarations publiques. Sur le fond, rien de fondamentalement nouveau dans le fait que le programme nucléaire iranien rende les leaders sunnites des pays du Golfe aussi nerveux que les dirigeants israéliens, sachant que tout rapprochement entre les Etats-Unis et l’Iran modifierait l’équation stratégique de la région et menacerait leurs relations privilégiées avec Washington. Rien d’étonnant, non plus, dans le fait que le roi saoudien Abddallah n’apprécie pas le Premier ministre irakien chiite Nouri al-Maliki, que le président yéménite revendique la paternité des frappes aériennes américaines contre al Qaeda dans son propre pays ou que le gouvernement chinois se trouve derrière la cyberattaque contre Google en 2009.
La diplomatie américaine mise à mal. La divulgation est en elle-même plus importante que le contenu. La publication des télégrammes porte un coup significatif au prestige et à la crédibilité de la diplomatie américaine, perçue comme incapable de protéger la confidentialité de ses analyses et de ses évaluations. Les fuites compliqueront le travail des diplomates du département d’Etat avec leurs alliés et partenaires. Dans leurs échanges et les comptes-rendus qui en seront fait, la prudence, la méfiance et l’autocensure risquent de prendre le pas sur la confiance et le franc-parler. De peur d’être exposés et rendus vulnérables, certains pourraient devenir plus méfiants dans leur coopération avec les Etats-Unis.
Première victime des fuites, Helmut Metzner, chef de cabinet du ministre des affaires étrangères allemand Guido Westerwelle, a donné jeudi sa démission, après avoir été identifié comme la source d’information de l’ambassade américaine au moment des négociations entre chrétiens démocrates et libéraux pour la formation du gouvernement. William Crosbie, ambassadeur du Canada en Afghanistan, a offert la sienne après la publication d’un télégramme relatant son point de vue sur le président Karzaï et sa famille.
Les gouvernements resserrent les boulons. Wikileaks affirme que ses fuites rendront les gouvernents plus ouverts. C’est tout le contraire qui se passe. L’administration Obama a annoncé une révsion des procédures de sécurité de l’information dans toutes les agences fédrales et les administrations. Le partage des informations mis en place après les attentats du 11 septembre 2001 entre le Pentagone et le département d’Etat a été suspendu: les télégrammes diplomatiques stockés sur la base de données du département d’Etat ne sont plus distribués sur le réseau internet du Pentagone. En France, les autorités vont redéfinir les modalités de transmission des documents diplomatiques. Des Etats réputés démocratiques trouveront dans cette affaire une raisson supplémentaire de réglementer et surveiller Internet de plus près.
La fuite en avant de Julian Assange. Le fondateur mégalomane et autocratique de Wikileaks se veut le champion de la transparence totale. « L’histoire gagnera. Le monde sera meilleur » disait-il hier sur le site internet du Guardian. Pour cet ancien hacker australien, informaticien surdoué, élevé par sa mère en marge de la société, le recours aux fuites massives de données numériques s’inscrit dans un combat de l’individu contre le système, une mission messianique contre les méfaits des gouvernements et des institutions. « Dans un texte daté du 2 décembre 2006, intitulé « De la conspiration comme mode de gouvernance », il affirme vouloir ainsi perturber les lignes de communication internes des régimes autoritaires dont les élites conspirent au détriment du « peuple ». Un « mouvement social » exposant leurs secrets peut « faire tomber de nombreux gouvernements fondés sur la dissimulation de la réalité, y compris le gouvernement des Etats-Unis ». « L’Amérique est une société de plus en plus militarisée et une menace contre démocratie » affirmait-il, en octobre dernier, à Londres.
Drapé dans son personnage de chevalier blanc de l’information, engagé dans un combat singulier contre le Pentagone, le département d’Etat et les banques américaines, Julian Assange alimente la paranoïa conspirationniste d’un grand complot américain, à l’oeuvre aux quatre coins du monde. Déjà, en Russie, en Turquie et en Iran, -pour ne citer que quelques exemples-, des responsables politiques accusent les Etats-Unis et/ou Israël d’être derrière les fuites de Wikileaks.
Son statut de fugitif, visé par un mandat d’arrêt d’Interpol dans le cadre d’une enquête pour « viol et agression sexuelle » en Suède, contribue à entretenir son image de « Robin des bois » de la toile. Légalement difficile, toute action en justice engagée contre lui par les Etats-Unis le transformerait immédiatement en héros planétaire, »martyr » de de la cause des « geeks ».
Paradoxe éclatant, Wikileaks, entreprise apatride et nomade, échappant à tout contrôle et à toute juridiction, reste une organisation parfaitement opaque dans son fonctionnement et son financement.
Jouissance auto-destructrice. La jouissance à contribuer ainsi à accélérer l’affaiblissement de la puissance américaine sur la scène mondiale me semble malsaine et infantile. Quel en sera le bénéfice pour le citoyen des démocraties, dites libérales, du monde occidental ? Qu’y gagnerons-nous sur la scène internationale, dans les négociations avec la Corée du Nord, l’Iran ou en Afghanistan ? En quoi cette « transparence » favorisera-t-elle la négociation d’un accord israélo-palestinien ?
Internet n’est qu’un outil. Les citoyens, internautes ou non, bénéficieront-ils des fuites massives orchestrées par Wilkileaks ? Internet peut favoriser la transparence en facilitant l’accès aux documents administratifs ou gouvernementaux et le contrôle des élus par les citoyens. En même temps, Internet peut devenir un instrument d’opacité et de manipulation pour des citoyens forcément inégaux dans leur capacité à décrypter une quantité sans cesse décuplée de données disponibles, à déméler le vrai du faux, le réel du virtuel. Loin d’annoncer le « grand soir » des internautes contre les « puissants », l’entreprise Wikileaks pourrait bien ajouter à la confusion générale des esprits qui caractérise nos sociétés médiatiques.
La transparence n’est pas une vertu absolue. La fuite de données classifiées peut servir l’intérêt général, la démocratie et l’Etat de droit, si elle révèle des abus de pouvoir, des conflits d’intérêts, des affaires de corruption, des crimes de guerre ou des crimes contre l’humanité. En revanche, à quoi sert la transparence si elle ne préserve pas le respect de la vie privée et paralyse l’action publique ?
Le secret peut être utile et nécessaire dans l’exercice de nombreuses activités, publiques ou privées. Les hommes politiques et les diplomates n’ont-ils pas droit à, au même titre que les avocats, juges, médecins, psychologues, psychanalistes, experts comptables et journalistes à bénéficier d’une part de confidentialité dans leur travail ?
L’utopie d’une politique menée dans la transparence n’est pas nouvelle. Après la première guerre mondiale, Woodrow Wilson avait mené une croisade contre la diplomatie « secrète » qui, selon lui, avait mené au carnage de la guerre de 14-18. En 1917, le 2e congrès des soviets avait adopté un « décret sur la paix » abolissant la diplomatie secrète et proclamant son intention de « mener les pourparlers en toute franchise, devant le peuple entier ». « L’histoire montre que le secret est une composante essentielle de toute négociation » rappelle l’historien Paul W. Schroeder, aucune fusion de société, aucun règlement juridique complexe, divorce à l’amiable ou compromis politique sérieux, ne pourront jamais être conclu sans un sérieux degré de confidentialité »
Wikileaks et la presse « de qualité ». Pour la deuxième fois consécutive, Wikileaks partage l’exclusivité, en amont de leur publication, des documents en sa possession avec des médias « traditionnels ». Un mode opératoire très efficace. Les grands journaux choisis par Julian Assange lui apportent leur caution d’expertise et de qualité et une forme de couverture légale. Leur participation assure à la divulgation des documents un retentissement que n’aurait jamais eu une simple mise en ligne sur le site Wikileaks. Ces médias ont-il fait leur travail de sélection et de hiérachisation comme ils l’affirment ? Au besoin, en décidant, après examen, de ne pas participer à la publication de documents classés qui ne servirait pas l’ intérêt public ? Ou ont-ils succombé à la tentation d’entretenir un feuilleton médiatique au long cours, produit du « buzz » et de la « peoplisation », avec des retombées inespérées pour la fréquentation de leurs sites ?
« La décision de déballer telle ou telle archive plutôt qu’une autre a fait l’ojet, on les sait, d’une négociation: entre les pirates et la presse, puis entre celle-ci et les gouvernants » écrivait récemment Elisabeth Roudinesco dans Libération. »Dans cette partie à trois, les premiers sont des voleurs d’archives, les seconds imposent une sélection au nom d’une déontologie qui leur est propre et les troisièmes négocient avec les seconds pour rester maîtres d’un évènement qu’ils ne contrôlent pas ».
Question: Qui a instrumentalisé qui, dans le couple infernal du hacker et du journaliste, de Wikileaks et de la presse « de qualité » ?
messages : 1885 Inscrit le : 24/02/2008 Localisation : Tatooine Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 20:52
Youben a écrit:
Je rappelle qu'il faut prendre tous les câbles de wiki avec de grosses pincettes , a la fin ce n'est que des ragots et potins entre diplomates , malheureusement il n'y pas de documents concret ou de preuves matériels qui sont fournis avec ses câbles pour les rendre un peu plus crédibles. Et j’imagine mal les hommes d'affaires marocains raconter leurs mésaventures au diplomates US .
Ce n'est pas wikileaks qu'il faut critiquer en premier lieu mais l'abominable utilisation que certaine press est entrain de faire. D'un autre cete certains responsables marocains doivent demissiones et laisser la place a d'autres generations. Comment peux tu t'assoir et negotier avec tes semblables apres ca. Les plus hautes instances du pays doivent aussi prendre les mesures necessaires pour changer l'image du pays niveau pauvrete et surtout corruption.
Leo Africanus General de división (FFAA)
messages : 1885 Inscrit le : 24/02/2008 Localisation : Tatooine Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 21:23
Fremo a écrit:
Trés Trés intéréssant le cable concernant la visite des israéliens au Maroc 1/ vers un reconstitution de nos relations diplomatiques 2/ une forte relation bilatérale 3/ un support israélien dans tous les questions et les sujets concernant le Maroc 4/ des ennemis commun 5/ une information trés importante, c'est que 60000 israéliens visitent le Maroc chaque année !!
on apprend aussi que les relations ont connu un regression aprés les guerre de gaza .. donc on a bien "réchauffer" nos relations bien avant ... aprés 2001
Oui fremo j'ai bien aime la phrase suivante:
Citation :
Shlein-Michael indicated that she was not surprised by the delay, commenting that Moroccan diplomats frequently express their agreement with Israel but then do not complete what they have promised. "They like to talk a lot, but never deliver," she concluded.
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 22:24
Alger le 03/03/2008:
Citation :
S E C R E T SECTION 01 OF 02 ALGIERS 000261 SIPDIS SIPDIS E.O. 12958: DECL: 03/01/2023 TAGS: PREL PGOV PTER KDEM AG SUBJECT: ALGERIAN LEADERSHIP TOWS WESTERN SAHARA LINE WITH A/S WELCH REF: 07 ALGIERS 1069 Classified By: Ambassador Robert S. Ford; reasons 1.4 (b) and (d). ¶1. (S) SUMMARY: In February 26 and 27 meetings with NEA Assistant Secretary C. David Welch, President Abdelaziz Bouteflika and Prime Minister Abdelaziz Belkhadem emphasized their familiar line on self-determination for Western Sahara, as well as the need to find a way out that would allow Algeria to "save face." Bouteflika said that relations with Morocco were "brotherly" and that Western Sahara was the only issue standing between them. Because the U.S. was unburdened by the colonial past of France in the region, Bouteflika felt it was ideally placed to serve as an informal referee in resolving the dispute. Although he said he understood Morocco felt threatened by the prospect of Western Saharan independence, Bouteflika said that Morocco only had itself to blame for the current situation, as it had proceeded in a "clumsy" manner. With a more "elegant" touch, he said, Morocco could have encouraged "a Puerto Rico" outcome, where Sahrawis would happily choose to remain a part of Morocco in some form. Welch underlined to the Algerian officials that the U.S. sought a practical approach that could help the current negotiations make progress, and the Moroccan autonomy proposal offered such a possibility. END SUMMARY.
LOVE FOR BAKER PLAN DIES HARD -----------------------------
¶2. (S) In response to A/S Welch's assertion that the Moroccan plan served to move a frozen situation forward in the absence of any alternative, Bouteflika asserted that the plan of former Secretary of State James Baker was such an alternative. He told A/S Welch that if another option was necessary, "self-determination is that alternative" and the Baker Plan should be discussed. A/S Welch replied that the Baker plan is dead because it, too, failed to generate progress. In Bouteflika's view, Baker failed because it was not given a chance, and he blamed the U.S. for "not taking its UN Security Council responsibilities seriously." Bouteflika said the Moroccan plan offered less autonomy for Western Sahara than an Algerian province currently enjoys (reftel). He conceded that Algeria does have influence in Western Sahara, but swore he would not use it to violate what he sees as international law.
MOROCCAN "CLUMSINESS" TO BLAME ------------------------------
¶3. (S) Prime Minister Abdelaziz Belkhadem told A/S Welch on February 26 that the stability of Morocco was in Algeria's interest, and that attempting "to transform an anti-colonial issue" was not the right path to take and was potentially destabilizing to the region. Bouteflika, meanwhile, said that he understood Morocco felt threatened by the prospect of independence for Western Sahara, but stressed that the Moroccans only had themselves to blame for current Sahrawi determination. Bouteflika explained, saying that Morocco could have easily used a more "elegant" approach to produce a Western Sahara independence that could be controlled or supervised. Instead, he said, "they want Anschluss like Saddam Hussein with Kuwait." Bouteflika said he easily could have imagined an outcome in which Western Sahara chose to remain a part of Morocco after seeing the benefits of Moroccan rule, in much the same way "as Puerto Rico chose to remain part of the U.S." According to Bouteflika, Morocco needs to offer the Polisario something, since "you cannot ask concessions from people who have nothing in their pockets." Had it not been for Morocco's "clumsy" approach, Bouteflika said "they could have gotten what they wanted."
ON FRANCE AND U.S. ------------------
¶4. (S) Burdened by its colonial history in the Maghreb, France is unable to play a constructive role in resolving the Western Sahara dispute, according to Bouteflika. France "has never really accepted Algerian independence," Bouteflika said, and he claimed that France was trying to settle scores with Algeria by interfering in Western Sahara in support of Morocco. In contrast, Bouteflika said the U.S. was an ideal counterweight to balance Morocco, as none of the parties involved had any bone of contention with the U.S. Bouteflika complained that the U.S. treats Algeria as "second class" compared to the preferential treatment it gives to Tunisia and Morocco. He said the U.S. should understand Algeria better, as "you also paid a price for your independence." Belkhadem told A/S Welch of Algeria's admiration for U.S. positions on the independence of East Timor and Kosovo. "Why don't you share the same views on Western Sahara?" asked Belkhadem, "it leaves us wondering what our U.S. friends want." With both Algerians, A/S Welch underlined that the U.S. sought practical approaches that would advance the Western Sahara negotiations forward. The Moroccan proposal, he noted, offered a possibility. He urged the Algerians to consider what they could do to help the current negotiations make concrete progress.
COMMENT: NEED TO SAVE FACE --------------------------
¶5. (S) Bouteflika repeated to A/S Welch several times the need for Algeria to get itself out of the Western Sahara dispute in a way that allowed it to "save face." He reiterated that Algeria "has no claim" at stake, and spoke of looking towards positive future relations with Morocco, as "one day we will need to get beyond this." In a February 27 meeting with Foreign Minister Mourad Medelci, A/S Welch invited the Algerian delegation to visit Washington immediately following the next round of negotiations at Manhasset, to continue the discussions.
¶6. (U) This cable has not been cleared by A/S Welch. FORD
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Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 22:30
Il y avait un cable qui parle de l'etat de santé de ce sieur ... ...
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Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 23:00
Mr Faicel Jelloul, démontre erreurs et les fausses infos dans le cable de wikileaks concernant la rupture des relations entre le Royaume chérifienne et le régime iranien :
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Adam Modérateur
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Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 23:23
Alger le 06/12/2009:
Citation :
S E C R E T ALGIERS 001077 SIPDIS E.O. 12958: DECL: 12/06/2019 TAGS: PREL PGOV PTER PBTS KPAL KWBG US IR IZ IS AF, XA SUBJECT: BOUTEFLIKA TO WARD: WE WANT A STRATEGIC RELATIONSHIP Classified By: Charge d'Affaires a.i. William Jordan; reasons 1.4 (b) and (d).
Summary -------
¶1. (C) U.S. Africa Command (AFRICOM) Commander General William Ward met Algerian President Abdelaziz Bouteflika November 25, during Ward's first visit to Algeria since assuming command of AFRICOM. Ward said AFRICOM's strategy was to assist African nations in providing for their own security needs, not do the job for them. The U.S. recognized Algeria's leadership in the region, and AFRICOM was prepared to assist Algeria and its neighbors combat terrorism. Bouteflika said Algeria wanted to be a strategic partner, not an adversary. Our military relationship already included training and technical cooperation. End-use-monitoring requirements infringed on Algeria's national sovereignty and therefore imposed some limits on military engagement. But the U.S. and Algeria shared a common goal in combating terrorism. Terrorism in the region had taken a dangerous form, and Sahel countries were prepared to address the problem jointly. More needed to be done to ensure the participation and commitment of Mali's political leadership in the regional struggle. Bouteflika told Ward the Malian president needed to understand he could not be friends with both the thieves and their victims at the same time. Trans-Sahara heads of state still planned to convene a security and development summit in Bamako but had yet to set a firm date. Bouteflika also reviewed Egyptian-Algerian tensions in the aftermath of a World Cup qualifying match, Western Sahara, the negative repercussions of Israeli settlement activities, Iran, Iraq and Afghanistan. On the soccer issue, he made a point of telling Ward that the king of Morocco -- in contrast to the strain with Egypt -- had sent him a very warm congratulatory message after the game. At the end of the meeting, Bouteflika invited Ward to return to Algeria in the near future. End summary.
Addressing Common Challenges ----------------------------
¶2. (C) Visiting Africa Command (AFRICOM) Commander General William Ward met with Algerian President Abdelaziz Bouteflika November 25 at the presidential residence. With Bouteflika were Chief of Staff of the Algerian National Popular Army (ANP) Lieutenant General Ahmed Gaid-Salah, Ministry of National Defense (MND) Director of External Relations and Cooperation General Nourredine Mekri, ANP Chief of Organization and Logistics Major General Abdelhamid Ghriss and a translator. The Ambassador, General Ward's foreign policy advisor, Dr. Raymond Brown, the DATT and Poloff (notetaker) accompanied General Ward to the meeting, which lasted two hours. Ward emphasized that his visit to Algiers was symbolic of our countries' growing bilateral relationship. Africa Command's mission was to assist African nations address their own security challenges, not to do it for them. The purpose of his visit, Ward said, was to listen to Algeria's perspective on enhancing our cooperation as we seek ways to work together to address common challenges in Africa. Ward recognized that these challenges were complex and required development and political solutions, not just military intervention. Going forward, we sought to cooperate in areas that Algeria determines are priorities. AFRICOM welcomed the regional counterterrorism efforts Algeria has engaged in with neighboring Sahel countries. Algeria is leading the effort; we will work with Algeria and its neighbors to assist in eliminating the terrorist threat in the region.
¶3. (C) President Bouteflika said that the United States and Algeria shared a common objective and the will to work cooperatively in the fight against terrorism. Bouteflika noted the U.S. and Algeria started to work more closely together during the Clinton administration when both sides came to realize they were fighting the same problem. Bouteflika underscored that after 9/11, Algeria was the first Arab and Muslim country to send a message of solidarity to President Bush . Subsequently, despite the unpopularity of some Bush policies, political and economic relations between our countries improved. Today, relations were excellent, he said, noting that Algeria was the United States' second largest trading partner in the Middle East after Saudi Arabia and our largest trading partner in Africa. President Obama's new approach to U.S. foreign policy was "a breath of fresh air" and well regarded by developing world countries. But this meant there were also high expectations for his administration. Bouteflika predicted that our bilateral relationship would continue in a positive direction. He commented that the U.S. and Algeria were moving forward with cooperation, recognizing the value of dialogue across all leadership levels. In this regard, Bouteflika declared he was ready to assist Ward and invited him to visit Algeria again.
Military Cooperation --------------------
¶4. (S) Bouteflika attached importance to Algeria's military-military cooperation with the United States but noted that U.S. end-use monitoring requirements contravened Algeria's national sovereignty. Nonetheless, we had made progress on training and technical cooperation. Bouteflika said the capabilities of U.S. and Algerian forces were well understood in the region. Bouteflika argued that frank, direct talks were the key to a successful military dialogue, as well as recognizing that, in some cases, there would be limits on the extent of cooperation. "Tell us what you want, and we will tell you what we can do." Algeria, he continued, wanted to be a strategic partner for the U.S. in the region, not an adversary.
¶5. (S) General Ward thanked Bouteflika for his candid assessment of our mil-mil relationship. He said the President, secretaries of State and Defense, and US Joint Chiefs of Staff, all recognized the value of the US-Algeria partnership. Bouteflika responded that he would help us to consolidate that partnership. Ward argued that to enhance our partnership, Algeria needed to tell us how we can contribute best to achieve mutual objectives. Despite the bad things sometimes said about AFRICOM, Ward said with a smile, his command had not been created to take over Africa. Without missing a beat, Bouteflika replied with an even bigger smile that he had been unsure about this himself until Ward came. Ward said that, as we continue our military dialogue, we want to do the things Algeria tells us are important. Ward affirmed Algeria had long recognized the challenge of extremism and demonstrated its ability to fight back. AFRICOM would do its part to support Algeria and its neighbors in this effort. Addressing Bouteflika's point on end-use-monitoring requirements, Ward suggested focusing our efforts in areas where cooperation was possible, i.e., training and equipping. He acknowledged that some U.S. laws and regulations may preclude for now Algeria's participation in other forms of engagement.
Civil-Military Relations ------------------------
¶6. (S) Bouteflika underscored that Algeria's military "absolutely" respected the authority of civilian leadership. "This is not at all like Turkey," he said. Bouteflika asserted that the army was forced to take drastic measures during the violence of the 1990s in order to save the country. This was a difficult period, but constitutional rule had been restored. "The house is now in order," he stressed, "and I can tell you that the army obeys the civilians. There is one constitution and all obey it." Bouteflika acknowledged, however, that the problems of the past still haunted the country. He cited foreign press reports referring to Algeria as a dictatorship and argued that the term was sometimes used carelessly. The Algerian constitution had established the rule of law. In 2004 it was decided that there was no more historical "revolutionary legitimacy". The only legitimacy was the constitution. "Anyone can be a candidate for election, in accordance with the constitution, even a general." He paused, then grinned and said, "but the generals realize the difficulties and none has been a candidate yet."
Counterterrorism ----------------
¶7. (C) Bouteflika said terrorism in Africa had taken a dangerous form. The situation in Somalia was hopeless, he commented. Meanwhile, the Sahel region presented a complex set of issues. Fortunately, most Sahel countries were determined to cooperate and have the capability to fight the threat if they work together. Mauritania expressed a clear commitment as did Niger, although Bouteflika recognized U.S. concerns with President Tandja. Mali's full cooperation remained elusive, however. Mali's policies have failed to create stability in the north. The result is a lawless environment in which smuggling, along with arms and drug trafficking, enable terrorism. Bouteflika said the region was prepared to tackle this problem, and bilateral and regional efforts were already underway. In this regard, Algeria was closely monitoring U.S. military assistance to Mali and Niger.
¶8. (S) Ward told Bouteflika that he planned to visit Bamako after Algiers and would encourage Mali's leaders to cooperate in the region's counterterrorism efforts. The U.S. was providing military assistance to Mali, and we hoped it complemented the work Algeria was doing. Ward emphasized that, ultimately, defeating terrorism was the responsibility of the region. Bouteflika expressed his appreciation for U.S. assistance to Mali and said Algeria also provided aid, including some equipment. Bouteflika urged the U.S. to tell Malian President Amadou Toumani Toure that "he cannot be a friend to the thieves and victims at the same time." Many in Mali's security services shared the same concern, Bouteflika asserted. In the past, he said, Algeria has waited for the chance to debrief terrorist suspects held in Mali, only to find out later that Malian officials were conducting negotiations for the terrorist's release back to the terrorist organizations at the same time. "It is difficult to cooperate in these conditions," he said. Despite difficulties, Bouteflika said regional leaders still planned to convene a security and development summit in Bamako. All agreed on the need for the summit, he said, but there was still no set date. Bouteflika said that Algeria would be open to sharing information with the U.S. regarding Algeria's cooperation with its neighbors. General Ward said AFRICOM would do the same for Algeria regarding U.S. initiatives in the region.
Egypt and Soccer ----------------
¶9. (C) Bouteflika shared his perceptions of Egypt's anti-Algerian nationalism following the November 18 World Cup qualifying match. Bouteflika said the Egyptian media had overreacted to the situation and that Algeria did not plan to respond. Algeria could not afford to confuse its historical relationship with Egypt (past, present and future) with the outcome of a soccer match. He said Algeria and Egypt had a number of common political and economic interests and that his country had no desire to have a political crisis over the results of a soccer match. Some have urged Bouteflika to respond publicly to Egyptian claims. "I understand the Egyptians are responding to local conditions," he said, "but we won't take the same tack." Arab League Secretary General Amr Moussa, Bouteflika asserted, asked to visit Algiers to mediate the issue. Bouteflika told Moussa there was nothing to discuss in Algiers and suggested Moussa might best mediate tensions by working with Cairo to influence Egyptian opinion.
¶10. (C) Bouteflika noted that the aftermath of the game had been interesting. Moroccan King Mohamed VI sent Bouteflika a very warm message congratulating Algeria on its victory. Bouteflika said he chose not to publicize the letter, in order not to create problems for Morocco in its relations with Egypt. He said Arab political frustrations were sometimes expressed through soccer. Algeria would continue to support Egypt's reconciliation efforts with the Palestinians. No one expects a change in Netanyahu's approach to negotiations, he said. Thus, now was an opportune time to work on reconciliation and encourage Palestinians to speak with one voice. Algeria also supported Egypt's position on Gaza, which was dictated by Egypt's proximity to Gaza and its domestic political environment. "If we were in their position, we would have applied the same policy." Bouteflika said he would prefer to see Egypt concentrate its energies on these issues "rather than against us."
Palestine ---------
¶11. (C) Bouteflika noted that Senator Mitchell had said the U.S. was committed to the peace process because it was in the U.S. interest. It was important not to confuse U.S. interests with Israeli interests -- although the two sometimes overlapped -- or Arab interests. Bouteflika lamented current settlement activities, which, he said, undermined peace negotiations. Before negotiations could succeed, settlement activity had to stop first. He added that this included Jerusalem. Any solution that did not take Jerusalem into account would certainly produce future conflict with the Arab and Muslim world. Bouteflika commended President Obama for trying his best to start a new process for negotiations. But President Abbas' and PM Netanyahu's meetings in Washington failed to reinvigorate the process. Bouteflika regretted that no serious negotiation effort has been produced since Oslo, and current efforts in Washington seemed to have no impact.
Western Sahara --------------
¶12. (C) Bouteflika commented that U.S. policy on Western Sahara was inconsistent. Some problems dated back to the Clinton administration, there was improvement under President Bush, but now the State Department seemed to be backsliding. The U.S., Bouteflika argued, was a moral authority and had to show consistency in the principles its foreign policies reflected. "You cannot have one set of principles for Palestine and another set for Western Sahara," he cautioned. Bouteflika remarked that the principle in question -- the right to self-determination -- was clear-cut. UNSYG Personal Envoy Christopher Ross was in charge of finding a solution based on this principle, he said. Now was not the time to adopt a position favoring Morocco's autonomy plan as the solution to the issue. Bouteflika recounted his support for the Baker Plan, and subsequent disappointment when U.S. policy appeared to shift in favor of the Moroccan position on autonomy. Trust was essential, he urged. Algeria wanted a frank, loyal relationship with the United States. It did not want to be a competitor but a full-fledged partner in contributing to solutions in Africa, the Middle East and the Muslim world.
Iran ----
¶13. (C) Bouteflika declared that the U.S. and Algeria shared the same position on Iran, the only difference being that Algeria believed we need to first ensure Iran's efforts are peaceful but then let them pursue peaceful use of nuclear energy without constraints. He had no doubt that the U.S. was capable of reaching a peaceful agreement with Iran and believed the U.S. was in a better position to deal with Iran than either France or Britain. Bouteflika said Algeria appreciated President Obama's patient approach with Iran and had no interest in seeing Iran's influence in the Muslim and Arab world increase.
Iraq/Afghanistan ----------------
¶14. (C) In Iraq, Bouteflika appreciated U.S. and Arab efforts, which were making some progress. Algeria's interest was in the unity of the Iraqi people, ensuring Iraq's sovereignty and maintaining the country's territorial integrity. Bouteflika remarked that a difficult road lay ahead in balancing these priorities and questioned whether the U.S. would have enough time before leaving Iraq to see if a democracy or dictatorship takes root. He recounted an anecdote of a vulture that picks up a snake, struggles to keep the snake from strangling it and finally decides to let the snake go. "The same is true in Iraq," he said. "Sometimes it's best to leave things alone."
¶15. (C) Afghanistan was a different matter. Bouteflika said the world has noted the amount of time President Obama has taken to consider his next step in Afghanistan. Any decision, Bouteflika acknowledged, will be a thorny and difficult one. If President Obama decides to send an additional 40,000 troops, he will need some guarantee he can win. Bouteflika commented this option was plagued by too many unknowns, and the U.S. could find itself in the same position as the Russians. On the other hand, Bouteflika continued, if Obama sends fewer troops and fails, he will be blamed for not doing enough. A decision to withdraw from Afghanistan might trigger a conflict between the administration, Congress and the American people. Bouteflika believed whatever decision the U.S. makes will influence the debate on Afghanistan in partner nations. Meanwhile, questions concerning stability in Pakistan and control of that country's nuclear arsenal further complicated matters. Peace in the region, he concluded, concerned all nations and, therefore, Afghanistan was an international problem.
Comment -------
¶16. (S) The Ward-Bouteflika meeting was significant in a number of respects. The Algerian president spoke repeatedly of his readiness to build a strategic relationship with the US. He transmitted clear readiness for closer coordination and contact on Sahel counter-terrorism issues. The simple fact of the meeting with the president was itself a green light to the military bureaucracy on stepped-up bilateral military cooperation. Not least, the warm and high-level official reception provided a powerful antidote to the persistent negative mythology about Africa Command since the command's rollout. It was also noteworthy that, in the presence of three generals, including the chief of staff, Bouteflika spoke assertively to Ward about civilian control of the military. He described the revolutionary origins of military influence in Algeria, said this so-called revolutionary legitimacy ended in 2004, and the military now obeys the civilians and they all obey the constitution. In the course of his regional political review, Bouteflika delivered Algeria's views on Western Sahara in familiar terms. But in doing so, he also struck an unusually positive note about Morocco and the king's message. Clearly, in the context of the high emotions stirred in Algeria over the controversial World Cup contest with Egypt, Mohammed VI's message of congratulations struck a chord with Bouteflika. JORDAN m ...
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
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Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 23:37
le Maroc dilapident les richesse du sahara
le cable plus haut confirme ce qu ont dit depuis des lustres et contredit par la meme certaines rumeur parlant de pillage par le maroc des ressources du sahara
le sahara doit apporté dans les 200 million par ans
et plus de 2?5 milliards y sont investie par ans
1300 milliards de DH injecté depuis le retour a la mere patrie
et un niveau d equipement et de devellopement superieur au villes du nord !
pareille pour l aspect droit de l homme.... beaucoup de rumeurs qui volent en eclat.
Fremo Administrateur
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Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Sam 4 Déc 2010 - 23:47
même l'IDH des régions Sud est beaucoup plus élevé que celui du nord, et même d'une ville comme casa ..
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Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Dim 5 Déc 2010 - 0:03
Fremo a écrit:
même l'IDH des régions Sud est beaucoup plus élevé que celui du nord, et même d'une ville comme casa ..
c est l une des region les plus devellopé d afrique Fremo (mieu que certaine region en Algerie IDH 0,677 ou en Afds egypte ...etc)
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Dim 5 Déc 2010 - 10:32
si on doit batir l´UMA par l´humeur ou le sens d´humour,feu Hassan 2 et M.Chadhli n´auraient jamais depassé leur ego pour les décisions courageuses qu´ils ont prises. selon le principe de ce machin dit president,Helmut Kohl qui ne s´appreciait guere avec feu Miettrand,n´auraient jamais mis la main dans la main pour batir l´UE,ni le grand geste de feu W.Brandt devant le ghetto de Varsovie aurait precipité la réconciliation entre Allemagne et Pologne.
on reconnait bien de ces cables,qui veut vraiment le futur des populations maghrebines,et qui nage encore dans la rancune des vieux miniscules que l´histoire oublira,mais gardera comme une honte pour l´Algerie!
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Fremo Administrateur
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Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Dim 5 Déc 2010 - 13:43
Citation :
WikiLeaks : les conditions gênantes de l'exécution de Saddam Hussein
Approuvée par une forte majorité d'Irakiens, l'exécution de Saddam Hussein, le 30 décembre 2006, a longtemps laissé un goût amer dans la bouche de ceux qui l'ont organisée. La date choisie, les cris de haine, les images prises au téléphone portable par des gardes, et les insultes lancées au pied de la potence à l'adresse d'un homme qui allait mourir ont embarrassé, notamment les Américains qui ont organisé le procès de l'ancien dictateur.
Le 6 janvier 2007, moins d'une semaine après l'exécution, l'ambassadeur américain, Zalmay Khalilzad, reçoit Monqith Al-Faroun, le procureur adjoint du Haut tribunal irakien qui a prononcé la sentence. Le magistrat raconte, selon des télégrammes diplomatiques obtenus par WikiLeaks et révélés par Le Monde, les derniers moments du condamné. Après son transfert, par hélicoptère américain, de sa cellule située près de l'aéroport de Bagdad sous garde américaine, jusqu'à une prison de la capitale où il va être pendu, Saddam Hussein est pris en charge par les Irakiens. Les Américains, qui "ont construit la plateforme d'exécution", se retirent tous. Le condamné, rapporte le magistrat, "est cagoulé, les mains liées dans le dos et il tremble, involontairement". On lui délie les mains. Le juge, présent sur les lieux avec 13 autres dignitaires irakiens autorisés, lui lit la sentence. "A ce moment-là, Saddam s'agite et commence à parler, comme s'il était toujours président". L'un des dignitaires présents lui demande s'il a peur de mourir. "Saddam a répondu que non. Qu'il a ‘anticipé ce moment' depuis sa prise de pouvoir, sachant, dit-il, qu'un président a toujours 'beaucoup d'ennemis'." DEUX OFFICIELS PRENNENT DES PHOTOS AVEC LEUR PORTABLE L'ancien dictateur demande qui va remettre le Coran qu'il tient en main à sa famille. Al-Faroun prend le livre saint et promet de s'en occuper, ce qu'il fera. Un garde rattache les mains du condamné dans le dos, un autre lui lie les chevilles. Saddam Hussein, qui a aperçu les quelques marches qui montent vers la potence, demande qui va l'aider à les monter. Quelqu'un crie "Va en enfer !". Le vice-procureur avertit alors tout le monde que nul n'a le droit de parler au condamné. Il aperçoit à ce moment "deux officiels du gouvernement qui prennent des photos avec leur portable". Deux gardes aident le condamné à monter à la potence. Saddam Hussein, droit et digne, prie. Le bourreau lui demande s'il accepte d'être cagoulé. Il refuse. Le bourreau explique que "son cou risque d'être coupé" lors de l'ouverture de la trappe. "Il offre de lui passer un linge autour du cou pour prévenir une éventuelle douleur." Saddam accepte et reprend sa prière à voix basse. C'est alors qu'un autre garde hurle "Moqtada ! Moqtada !", le nom du jeune prêcheur chiite radical Al-Sadr aujourd'hui basé en Iran, et dont le père et plusieurs membres de la famille ont été assassinés par des affidés de l'ancien régime. La trappe s'ouvre. "Saddam Hussein meurt instantanément", explique le magistrat. On place son cadavre dans un sac. Plus tard, "un religieux s'assurera qu'il a été rituellement lavé". "C'EST VOTRE AÏD, PAS LE MIEN" Sachant que le président de la République, Jalal Talabani, n'a pas donné son accord à l'exécution, l'ambassadeur américain relaie "les interrogations de certains sur la légalité" de toute l'affaire. Le vice-procureur répond que les sentences du Haut tribunal pénal n'étant pas susceptibles d'être abrogées "par quiconque", chef de l'Etat compris, son accord n'était pas nécessaire. Mais la date, demande encore M. Khalilzad. "Pourquoi avoir choisi le jour de l'Aïd ?" Le magistrat répond que des docteurs de la religion ont été consultés et que la fête islamique ne commençait réellement qu'une heure après la pendaison à l'aube. Lors d'un entretien, le 4 janvier, avec le vice-président sunnite de la république, Tarek Al-Hashemi, le diplomate américain a eu un début d'explication sur le choix de cette date. M. Hashemi a lui-même posé la question au premier ministre : "Pourquoi le jour de l'Aïd ? Selon lui, Nouri Al-Maliki aurait répondu : ‘c'est votre Aïd, pas le mien'". Les chiites, partout dans le monde, célèbrent généralement les fêtes musulmanes à des dates légèrement différentes de celles des sunnites. Résultat, pour Tarek Al-Hashemi, "Saddam a été exécuté non pas comme un dictateur mais comme un sunnite". Pour lui, cette exécution s'apparente "à une vengeance du Daawa", le parti religieux chiite dont M. Maliki est aujourd'hui le chef incontesté. Patrice Claude
Le Monde
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Leo Africanus General de división (FFAA)
messages : 1885 Inscrit le : 24/02/2008 Localisation : Tatooine Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Dim 5 Déc 2010 - 14:08
Bush pere et fils, Blair, Aznar et les autres et tous leurs equipes d'experts, conseillers, analystes, etc... ne peuvent pas etre plus idiots et estupides... ils ont fait le dirty job pour que l'Iran puisse prendre controle de l'Irak sans versser une goutte de sang iranien. Tous ces despotes iraquien seront ballayer du pouvoir par les ordes de Moqtada Assadr quand le temps soit convenable pour l'Iran.
Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Dim 5 Déc 2010 - 22:18
Selon des cables de wikileaks, Youssef Sila, membre du front national pour la defense de la démocratie, aurais penser et préparer pour tuer Oueld Abdelaziz ... Youssef Sila demander l'aide logistique de la part des américains et israéliens, mais aussi l'aide politique européen, et financier algérien. L'un des principaux chef du Front, Ahmed Oueld moloud, aurais lui aussi préparer un coup d'Etat contre Oueld Abdelaziz, aprés qu'il sortira de la présidence et l'institut militaire.. Ouel Moloud, pensait à s'alier avec Général Ouel El ghezouani, un des amis de Oueld Abdelaziz, et Chef d'EM de l'armée, en lui promant de lui donner le post de minitre de defense avec un large champs de manoeuvre ...
Aprés la publication de ces cables, l'Ambassadeur US à Nouakchotte, a déclaré que les avis des ambassadeurs, non rien à voir avec la politique appliqué par l'Adminisration américaine.
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mox Capitaine
messages : 949 Inscrit le : 27/07/2010 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Dim 5 Déc 2010 - 23:11
Leo Africanus a écrit:
Youben a écrit:
Je rappelle qu'il faut prendre tous les câbles de wiki avec de grosses pincettes , a la fin ce n'est que des ragots et potins entre diplomates , malheureusement il n'y pas de documents concret ou de preuves matériels qui sont fournis avec ses câbles pour les rendre un peu plus crédibles. Et j’imagine mal les hommes d'affaires marocains raconter leurs mésaventures au diplomates US .
Ce n'est pas wikileaks qu'il faut critiquer en premier lieu mais l'abominable utilisation que certaine press est entrain de faire. D'un autre cete certains responsables marocains doivent demissiones et laisser la place a d'autres generations. Comment peux tu t'assoir et negotier avec tes semblables apres ca. Les plus hautes instances du pays doivent aussi prendre les mesures necessaires pour changer l'image du pays niveau pauvrete et surtout corruption.
En matiére de corruption on y travail, certe se n'est que le début avec l'appartion de l'Instance Central de la Lutte Contre la Corruption mise en place en 2008, avec une sensibilisation des l'écoles . La mise en place d'un mécanisme de dénonciation annonyme"www.stopcorruption.ma", il est vrai que se fléau est trés bien installer dans la mentaliter et les habitudes Marocaine, je parle essentielment du peuple et des "petit pouvoir", concernant des hauts décideur, je croie qu'il n'y a aucun pays au monde qui y est à l'abris, en France on appel ça les rétro-commission, au USA les dessous de tables, pour obtenire les marcher, ou cadeaux en nature bref un tas d'autre terme mais ça reste de la corruption.
Pour la pauvreté cette lutte est aussi prise au sérieux, mais hélas du fait que le Maroc posséde peut de richesse naturel, cela prendra aussi du temps, mais nous somme quand même en bonne voie et avec tous les projet réaliser, ceux qui sont en cour de réalisation et les projet avenire (Free Zone, Industrie, Télècomunication, énergie prope......) on peut dire, "je pense que d'içi quelques années cette pauvreter ne sera qu'un lointains souvenire".
Nous revenont de loin il fut un temps ou le Maroc était synonyme de Pays d'Agricultures et maintenant à voire le nombre d'entreprise de pointe qui on choisie le Maroc pour développer leurs activiter, nous démontre que nous somme sur la bonne voie, continuons de la sorte on finira par voire le bout du tunel.
Invité Invité
Sujet: Re: Wikileaks,fuites et révélations Dim 5 Déc 2010 - 23:24
Pour ce qui est de Sadam , je me suis toujours dit que la peine de mort est inconcevable avec notre religions.
Qui dans ce bas monde a le droit de prendre la vie a un mec capturé??
Lors d'une guerre, tu n'as pas le choix, mais là, sa m'avait ecoueurais de voir une personne mourrir avec une telle humiliations...
Sadam était un monstre, mais de la a lui prendre sa vie...seul Allah peut lui prendre la vie, et non les Hommes..
J'aurais préférer qu'il soient en prison a perpétuité jusqu'à ce qu'il meurt...
Selon un câble de wikileaks ,la chaîne qatarie Aljazeera n'est qu'un moyen de pression et de négociation utilisé par le Qatar sur les autres pays de la région ! Le Maroc doit exiger des explications de Doha !
Le câble : http://www.guardian.co.uk/world/us-embassy-cables-documents/235574
L'article du Guardian :
Citation :
Al-Jazeera change de couverture en fonction de la politique étrangère du Qatar (Traduction de Google)
Un mémos de l'ambassade américaine insiste sur la contradiction de la chaîne satellitaire arabe selon laquelle elle est éditorialement indépendante tout en étant fortement subventionné par l'Etat du Golfe
Robert Booth ,The Guardian , Lundi 6 Décembre 2010
Le Qatar utilise la chaîne arabe al-Jazeera comme monnaie d'échange dans les négociations de politique étrangère en adaptant sa couverture pour répondre à d'autres dirigeants étrangers et de proposer de cesser les transmissions critique en échange d'importantes concessions, revendique un câble de l'ambassade américaine publié par la Wikileaks.
Les notes de service en contradiction totale avec l'insistance d'Al-Jazeera que c'est l'indépendance éditoriale tout en étant fortement subventionnés par l'Etat du Golfe.
Ils seront aussi intensément embarrassant pour le Qatar, qui la semaine dernière controverse a gagné le droit d'accueillir la Coupe du Monde 2022 après en se présentant comme l'état le plus ouvert et moderne du Moyen-Orient.
Dans le passé, l'émir du Qatar a publiquement refusé les demandes des États-Unis à user de son influence pour tempérer rapports d'Al-Jazeera.
Mais un câble écrit en Novembre 2009 a prédit que la station pourrait être utilisé " comme un outil de négociation pour réparer les relations avec d'autres pays, en particulier ceux aigri par-Jazira diffuse al, y compris les États-Unis "au cours des trois prochaines années.
Basée à Doha, Al-Jazeera a été lancée en 1996 et est devenu le satellite regardé la télévision dans la station la plus au Moyen-Orient . Il a été considéré par beaucoup comme relativement libre et ouvert dans sa couverture de la région, mais le contrôle du gouvernement sur ses rapports semble diplomates américains à être direct qu'ils ont dit de sortie du canal était devenu "une partie de nos discussions bilatérales - comme il l'a été à l'effet favorable entre le Qatar et l'Arabie saoudite, la Jordanie, la Syrie et d'autres pays ".
En Février, l'ambassade américaine à Washington rapporté comment «les relations [entre le Qatar et l'Arabie saoudite] sont généralement l'amélioration de Qatar après atténué la critique de la famille royale saoudienne sur al-Jazeera". En Juillet 2009, l'ambassade des États-Unis a déclaré que le canal " s'est révélée un outil utile pour la vie politique chefs de gare de la ".
Dans une dépêche, l'ambassadeur américain, Joseph LeBaron, a indiqué que le premier ministre qatari, Hamad bin Jassim al-Thani, avait plaisanté dans une interview que Al-Jazira avait causé les maux de tête Etat du Golfe de telle sorte qu'il pourrait être préférable de la vendre. Mais l'ambassadeur a déclaré: "Ces déclarations ne doivent pas être prises à leur valeur nominale." Il a ajouté:.. «La capacité d'Al-Jazira à influencer l'opinion publique dans toute la région est une source importante de levier pour le Qatar, l'un où il est peu probable que de renoncer En outre, le réseau peut également être utilisé comme une puce pour améliorer les relations, par exemple , une couverture plus favorable al-Jazira de la famille royale d'Arabie saoudite a facilité le rapprochement du Qatar et l'Arabie saoudite au cours de la dernière année. "
Bien que LeBaron a noté que la couverture de la station du Moyen-Orient était "relativement libre et ouvert", at-il ajouté: "En dépit des protestations GOQ au contraire, al-Jazira du Qatar demeure l'un des plus précieux outils politiques et diplomatiques."
allégations américaines de manipulation de contenu d'Al-Jazeera à des fins politiques également contredire l'affirmation de Qatar à soutenir une presse libre. "Le gouvernement prétend Qatar à la liberté de presse champion ailleurs, mais n'est généralement pas le tolérer à la maison », l'ambassade américaine a dit après que le directeur français du Centre de Doha pour la liberté des médias a démissionné en Juin 2009, citant des restrictions sur le centre de la liberté de fonctionner.
Dans un exemple clair de la chaîne de nouvelles régionales exploitées à des fins politiques, l'ambassade de Doha affirmé cheikh Hamad (HBJ) a dit au sénateur américain John Kerry qu'il avait proposé un «pacte avec le président égyptien, Hosni Moubarak, qui implique l'arrêt des émissions en Egypte en échange d'un changement de position du Caire sur les négociations israélo-palestiniennes.
"HBJ avait dit à Moubarak», nous nous arrêtions al-Jazeera pour une année s'il était d'accord dans ce laps de temps pour fournir une solution durable pour les Palestiniens ", selon une dépêche confidentielle de l'ambassade américaine à Doha en Février. "Moubarak n'a rien dit en réponse, selon HBJ."
Les États-Unis a bénéficié, aussi. "L'évidence anecdotique suggère, et l'ancien Jazeera al-membres du conseil ont affirmé, que les Etats-Unis a été décrite de façon plus positive depuis l'avènement de l'administration Obama, "un câble en Novembre 2009 a dit. "Nous prévoyons que la tendance à poursuivre et à développer davantage les relations américano-qatari améliorer."
En 2001, l'émir, Hamad bin Khalifa al-Thani , a refusé une demande américaine d'arrêter al-Jazeera donner beaucoup de temps d'antenne afin d'Oussama ben Laden et d'autres personnalités anti-américaine, en disant: «La vie parlementaire exige que vous ayez un et crédible des médias libres , et c'est ce que nous essayons de faire.
"Al-Jazeera est l'un des [stations de télévision] plus regardée dans le monde arabe en raison de son indépendance éditoriale." L'état du Golfe a souvent eu lieu jusqu'à al-Jazeera comme preuve de son ouverture relative. Le site web est indépendant Visitez Qatar: «Ce qui rend al-Jazeera comme une chaîne unique dans le Moyen-Orient est son indépendance éditoriale.
"Cela a été considéré par beaucoup comme une preuve que le Qatar est l'un des pays les plus libéraux et démocratiques de la région, et qui garantit la liberté de presse et d'expression."
Qatar maintient une relation de travail avec l'Iran, et l'ambassade des États-Unis s'est dit préoccupé par l'absence de couverture d'Al-Jazeera des troubles civils en Iran après l'élection présidentielle contestée de l'été 2009.
«La couverture d'Al-Jazira de l'élection iranienne et ses conséquences ont été peu abondantes par rapport à d'autres sujets d'actualité dans la région, tels que la bande de Gaza", a rapporté l'ambassade à l'époque.
Al-Jazira "a prouvé qu'il était un outil utile pour les dirigeants politiques de la station", les câbles dit.
Les médias locaux sont également affectés par l'ingérence du gouvernement. «Au cours des trois dernières [visites] nous avons évalué le plus stable de l'absence de liberté de la presse générale au Qatar", a déclaré le câble Novembre.
"Bien que la censure directe et officielle n'est pas présent, l'auto et discret censure officielle continuera de rendre des médias Qatari domestiques apprivoisés et inefficace."
Al-Jazira la nuit dernière a rejeté les demandes. Un porte-parole de la station, a déclaré:. "C'est l'évaluation de l'ambassade des Etats-Unis, et il est très loin de la vérité Malgré toutes les pressions al-Jazeera a été soumis par les gouvernements régionaux et internationaux, il n'a jamais changé sa politique éditoriale audacieuse qui restent guidés par les principes d'une presse libre. " L'ambassade du Qatar à Londres a refusé de commenter la nuit dernière histoire.
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E.O. 12958: DECL: 1/29/2019 TAGS: PTER, PGOV, ASEC, EFIN, ENRG, KCIP SUBJECT: REQUEST FOR INFORMATION:CRITICAL FOREIGN DEPENDENCIES (CRITICAL INFRASTRUCTURE AND KEY RESOURCES LOCATED ABROAD)
REF: STATE 6461
PLEASE PASS TO RSO, POLOFF, ECON, and MANAGEMENT (GSO and IT).
Classified by S/CT DAS, Susan F. Burk, Reason: 1/4 (B), (D), (E), and (G)
1. (U//FOUO) This is an action request; see Para. 13.
2. (U//FOUO) Under the direction of the Department of Homeland Security (DHS), the National Infrastructure Protection Plan (NIPP) was written to provide the unifying structure for the integration of critical infrastructure and key resources (CI/KR) protection into a single national program. The overarching goal of the NIPP is to build a safer, more secure, and more resilient America by enhancing protection of the nation's CI/KR to prevent, deter, neutralize or mitigate the effects of deliberate efforts by terrorists to destroy, incapacitate or exploit them; and to strengthen national preparedness, timely response, and rapid recovery in the event of an attack, natural disaster or other emergency.
3. (U//FOUO) In addition to a list of critical domestic CI/KR, the NIPP requires compilation and annual update of a comprehensive inventory of CI/KR that are located outside U.S. borders and whose loss could critically impact the public health, economic security, and/or national and homeland security of the United States. DHS in collaboration with State developed the Critical Foreign Dependencies Initiative (CFDI)to identify these critical U.S. foreign dependencies -- foreign CI/KR that may affect systems within the U.S. directly or indirectly. State is coordinating with DHS to develop the 2009 inventory, and the action request in Para. 13 represents the initial step in this process.
4. (U//FOUO) The NIPP does not define CI/KR. Homeland Security Presidential Directive 7 (HSPD 7) references definitions in two separate statutes. In the USA Patriot Act of 2001 (42 U.S.C. 5195(e)) "critical infrastructure" is defined as systems and assets, whether physical or virtual, so vital to the United States the incapacitation or destruction of such systems and assets would have a debilitating impact on security, national economic security, national public health or safety, or any combination of those matters. In the Homeland Security Act of 2002 (6 U.S.C. 101(9)) "key resources" are defined as publicly or privately controlled resources essential to the minimal operations of the economy and government.
5. (U//FOUO) The NIPP identifies 18 CI/KR sectors: agriculture and food; defense industrial base; energy; healthcare and public health; national monuments and icons; banking and finance; drinking water and water treatment systems; chemical; commercial facilities; dams; emergency services; commercial nuclear reactors, materials, and waste; information technology; communications; postal and shipping; transportation and systems; government facilities; and critical manufacturing. Obviously some of these sectors are more likely to have international components than other sectors.
6. (U//FOUO) Department is surveying posts for their input on critical infrastructure and key resources within their host country which, if destroyed, disrupted or exploited, would likely have an immediate and deleterious effect on the United States. We expect posts, after consultation among all sections and agencies, will in many instances immediately recognize whether such CI/KR exist in their host country. Posts are not/not being asked to consult with host governments with respect to this request.
7. (U//FOUO) Building upon the initial survey completed in 2008, Department requests each post reassess and update information about infrastructure and resources in each host country whose loss could immediately affect the public health, economic security, and/or national and homeland security of the United States. This reassessment may include suggestions from posts for removing, modifying, or adding CI/KR to the list developed in 2008 (see the list of CI/KR identified in 2008 in Para. 15 below).
8. (U//FOUO) The following three categories should be considered when determining whether critical foreign dependencies exist in the host country: 1) direct physical linkages (e.g., pipelines, undersea telecommunications cables, and assets located in close enough proximity to the U.S. border their destruction could cause cross-border consequences, such as damage to dams and chemical facilities); 2) sole or predominantly foreign/host-country sourced goods and services (e.g., minerals or chemicals critical to U.S. industry, a critical finished product manufactured in one or only a small number of countries, or a telecom hub whose destruction might seriously disrupt global communications); and 3) critical supply chain nodes (e.g., the Strait of Hormuz and Panama Canal, as well as any ports or shipping lanes in the host-country critical to the functioning of the global supply chain).
9. (U//FOUO) Although they are important issues, Department is not/not seeking information at this time on second-order effects (e.g., public morale and confidence, and interdependency effects that might cascade from a disruption).
10. (U//FOUO) Posts do not need to report government facilities overseas managed by State or war fighting facilities managed by other departments or agencies.
11. (U//FOUO) The following general information should be addressed when nominating elements for inclusion, removal, or modification:
-- (U//FOUO) Name and physical location of the asset, system, or supply chain node.
-- (U//FOUO) Post's rationale for including, modifying, or removing an asset, system, or supply chain node.
-- (U//FOUO) Any information Post has regarding conditions in country causing Post to believe the CI/KR is an active target or especially vulnerable due to natural circumstances.
-- (U//FOUO) Any information Post has regarding CIP activities in country and who/what agency is responsible for those activities.
12. (U//FOUO) Questions can be directed to Sharri R. Clark in S/CT: ClarkSR@state.sgov.gov; ClarkSR@state.gov; 202-647-1514 begin_of_the_skype_highlighting 202-647-1514 end_of_the_skype_highlighting. Alternatively, questions can be directed to S. Gail Robertson in S/CT: RobertsonSG2@state.sgov.gov; RobertsonSG@state.gov, 202-647-3769 begin_of_the_skype_highlighting 202-647-3769 end_of_the_skype_highlighting.
13. (U//FOUO) ACTION REQUEST: Posts are requested to report by March 20, 2009 on CI/KR in their host country meeting the criteria outlined above and a brief explanation of why posts believes the asset meets the criteria. Due to the potential sensitivity of assets identified, posts are asked to consider the necessity of classifying their responses appropriately. Please note the list in its entirety is classified S/NF. If post determines there are no such CI/KR in its host country, a negative report is requested. Please send replies to the attention of Sharri R. Clark in S/CT and use the subject line "CI/KR Response for S/CT".
14. (U//FOUO) Posts' assistance with providing input to the first list created in 2008 was invaluable, and Department appreciates Posts' continuing cooperation.
15. (S//NF) Following is the 2008 Critical Foreign Dependencies Initiative (CFDI) list (CI/KR organized by region):
South Africa: BAE Land System OMC, Benoni, South Africa Brown David Gear Industries LTD, Benoni, South Africa Bushveld Complex (chromite mine) Ferrochromium Manganese - Battery grade, natural; battery grade, synthetic; chemical grade; ferro; metallurgical grade Palladium Mine and Plant Platinum Mines Rhodium
EAST ASIA AND THE PACIFIC
Australia: Southern Cross undersea cable landing, Brookvale, Australia Southern Cross undersea cable landing, Sydney, Australia Manganese - Battery grade, natural; battery grade, synthetic; chemical grade; ferro; metallurgical grade Nickel Mines Maybe Faulding Mulgrave Victoria, Australia: Manufacturing facility for Midazolam injection. Mayne Pharma (fill/finish), Melbourne, Australia: Sole suppliers of Crotalid Polyvalent Antivenin (CroFab).
China: C2C Cable Network undersea cable landing, Chom Hom Kok, Hong Kong C2C Cable Network undersea cable landing Shanghai, China China-US undersea cable landing, Chongming, China China-US undersea cable landing Shantou, China EAC undersea cable landing Tseung Kwan O, Hong Kong FLAG/REACH North Asia Loop undersea cable landing Tong Fuk, Hong Kong Hydroelectric Dam Turbines and Generators Fluorspar (Mine) Germanium Mine Graphite Mine Rare Earth Minerals/Elements Tin Mine and Plant Tungsten - Mine and Plant Polypropylene Filter Material for N-95 Masks Shanghai Port Guangzhou Port Hong Kong Port Ningbo Port Tianjin Port
Japan: C2C Cable Network undersea cable landing, Chikura, Japan C2C Cable Network undersea cable landing, Shima, Japan China-US undersea cable, Okinawa, Japan EAC undersea cable landing Ajigaura, Japan EAC undersea cable landing Shima, Japan FLAG/REACH North Asia Loop undersea cable landing Wada, Japan FLAG/REACH North Asia Loop undersea cable landing Wada, Japan Japan-US undersea cable landing, Maruyama, Japan Japan-US undersea cable landing Kitaibaraki, Japan KJCN undersea cable landing Fukuoka, Japan KJCN undersea cable landing Kita-Kyushu, Japan Pacific Crossing-1 (PC-1) undersea cable landing Ajigaura, Japan Pacific Crossing-1 (PC-1) undersea cable landing Shima, Japan Tyco Transpacific undersea cable landing, Toyohashi, Japan Tyco Transpacific undersea cable landing Emi, Japan Hitachi, Hydroelectric Dam Turbines and Generators Port of Chiba Port of Kobe Port of Nagoya Port of Yokohama Iodine Mine Metal Fabrication Machines Titanium Metal (Processed) Biken, Kanonji City, Japan Hitachi Electrical Power Generators and Components Large AC Generators above 40 MVA
Malaysia: Straits of Malacca
New Zealand: Southern Cross undersea cable landing, Whenuapai, New Zealand Southern Cross undersea cable landing, Takapuna, New Zealand
Republic of Korea: C2C Cable Network undersea cable landing, Pusan, Republic of Korea. EAC undersea cable landing Shindu-Ri, Republic of Korea FLAG/REACH North Asia Loop undersea cable landing Pusan, Republic of Korea KJCN undersea cable landing Pusan, Republic of Korea Hitachi Large Electric Power Transformers 230 - 500 kV Busan Port
Singapore: C2C Cable Network undersea cable landing, Changi, Singapore EAC undersea cable landing Changi North, Singapore Port of Singapore Straits of Malacca
Belgium: Germanium Mine Baxter SA, Lessines, Belgium: Immune Globulin Intravenous (IGIV) Glaxo Smith Kline, Rixensart, Belgium: Acellular Pertussis Vaccine Component GlaxoSmithKline Biologicals SA, Wavre, Belgium: Acellular Pertussis Vaccine Component Port of Antwerp
Denmark: TAT-14 undersea cable landing, Blaabjerg, Denmark Bavarian Nordic (BN), Hejreskovvej, Kvistgard, Denmark: Smallpox Vaccine Novo Nordisk Pharmaceuticals, Inc. Bagsvaerd, Denmark: Numerous formulations of insulin Novo Nordisk Insulin Manufacturer: Global insulin supplies Statens Serum Institut, Copenhagen, Denmark: DTaP (including D and T components) pediatric version
France: APOLLO undersea cable, Lannion, France FA-1 undersea cable, Plerin, France TAT-14 undersea cable landing St. Valery, France Sanofi-Aventis Insulin Manufacturer: Global insulin supplies Foot and Mouth Disease Vaccine finishing Alstrom, Hydroelectric Dam Turbines and Generators Alstrom Electrical Power Generators and Components EMD Pharms Semoy, France: Cyanokit Injection GlaxoSmithKline, Inc. Evreux, France: Influenza neurominidase inhibitor RELENZA (Zanamivir) Diagast, Cedex, France: Olympus (impacts blood typing ability) Genzyme Polyclonals SAS (bulk), Lyon, France: Thymoglobulin Sanofi Pasteur SA, Lyon, France: Rabies virus vaccine
Georgia: Baku-Tbilisi-Ceyhan Pipeline
Germany: TAT-14 undersea cable landing, Nodren, Germany. Atlantic Crossing-1 (AC-1) undersea cable landing Sylt, Germany BASF Ludwigshafen: World's largest integrated chemical complex Siemens Erlangen: Essentially irreplaceable production of key chemicals Siemens, GE, Hydroelectric Dam Turbines and Generators Draeger Safety AG & Co., Luebeck, Germany: Critical to gas detection capability Junghans Fienwerktechnik Schramberg, Germany: Critical to the production of mortars TDW-Gasellschaft Wirksysteme, Schroebenhausen, Germany: Critical to the production of the Patriot Advanced Capability Lethality Enhancement Assembly Siemens, Large Electric Power Transformers 230 - 500 kV Siemens, GE Electrical Power Generators and Components Druzhba Oil Pipeline Sanofi Aventis Frankfurt am Main, Germany: Lantus Injection (insulin) Heyl Chemish-pharmazeutische Fabrik GmbH: Radiogardase (Prussian blue) Hameln Pharmaceuticals, Hameln, Germany: Pentetate Calcium Trisodium (Ca DTPA) and Pentetate Zinc Trisodium (Zn DTPA) for contamination with plutonium, americium, and curium IDT Biologika GmbH, Dessau Rossiau, Germany: BN Small Pox Vaccine. Biotest AG, Dreiech, Germany: Supplier for TANGO (impacts automated blood typing ability) CSL Behring GmbH, Marburg, Germany: Antihemophilic factor/von Willebrand factor Novartis Vaccines and Diagnostics GmbH, Marburg, Germany: Rabies virus vaccine Vetter Pharma Fertigung GmbH & Co KG, Ravensburg, Germany (filling): Rho(D) IGIV Port of Hamburg
Russia: Novorossiysk Export Terminal Primorsk Export Terminal. Nadym Gas Pipeline Junction: The most critical gas facility in the world Uranium Nickel Mine: Used in certain types of stainless steel and superalloys Palladium Mine and Plant Rhodium
Spain: Strait of Gibraltar Instituto Grifols, SA, Barcelona, Spain: Immune Globulin Intravenous (IGIV) Maghreb-Europe (GME) gas pipeline, Algeria
Sweden: Recip AB Sweden: Thyrosafe (potassium iodine)
Iran: Strait of Hormuz Khark (Kharg) Island Sea Island Export Terminal Khark Island T-Jetty
Iraq: Al-Basrah Oil Terminal
Israel: Rafael Ordnance Systems Division, Haifa, Israel: Critical to Sensor Fused Weapons (SFW), Wind Corrected Munitions Dispensers (WCMD), Tail Kits, and batteries
Kuwait: Mina' al Ahmadi Export Terminal
Morocco: Strait of Gibraltar Maghreb-Europe (GME) gas pipeline, Morocco
Oman: Strait of Hormuz
Qatar: Ras Laffan Industrial Center: By 2012 Qatar will be the largest source of imported LNG to U.S.
Saudi Arabia: Abqaiq Processing Center: Largest crude oil processing and stabilization plant in the world Al Ju'aymah Export Terminal: Part of the Ras Tanura complex As Saffaniyah Processing Center Qatif Pipeline Junction Ras at Tanaqib Processing Center Ras Tanura Export Terminal Shaybah Central Gas-oil Separation Plant
Tunisia: Trans-Med Gas Pipeline
United Arab Emirates (UAE): Das Island Export Terminal Jabal Zannah Export Terminal Strait of Hormuz
Yemen: Bab al-Mendeb: Shipping lane is a critical supply chain node
Brazil: Americas-II undersea cable landing Fortaleza, Brazil GlobeNet undersea cable landing Fortaleza, Brazil GlobeNet undersea cable landing Rio de Janeiro, Brazil Iron Ore from Rio Tinto Mine Manganese - Battery grade, natural; battery grade, synthetic; chemical grade; ferro; metallurgical grade Niobium (Columbium), Araxa, Minas Gerais State (mine) Ouvidor and Catalao I, Goias State: Niobium
Chile: Iodine Mine
Canada: Hibernia Atlantic undersea cable landing Halifax , Nova Scotia, Canada James Bay Power Project, Quebec: monumental hydroelectric power development Mica Dam, British Columbia: Failure would impact the Columbia River Basin. Hydro Quebec, Quebec: Critical irreplaceable source of power to portions of Northeast U. S. Robert Moses/Robert H. Saunders Power, Ontario: Part of the St. Lawrence Power Project, between Barnhart Island, New York, and Cornwall, Ontario Seven Mile Dam, British Columbia: Concrete gravity dam between two other hydropower dams along the Pend d'Oreille River Pickering Nuclear Power Plant, Ontario, Canada Chalk River Nuclear Facility, Ontario: Largest supplier of medical radioisotopes in the world Hydrofluoric Acid Production Facility, Allied Signal, Amherstburg, Ontario Enbridge Pipeline Alliance Pipeline: Natural gas transmission from Canada Maritime and Northeast Pipeline: Natural gas transmission from Canada Transcanada Gas: Natural gas transmission from Canada Alexandria Bay POE, Ontario: Northern border crossing Ambassador Bridge POE, Ontario: Northern border crossing Blaine POE, British Columbia: Northern border crossing Blaine Washington Rail Crossing, British Columbia Blue Water Bridge POE, Ontario: Northern border crossing Champlain POE, Quebec: Northern border crossing CPR Tunnel Rail Crossing, Ontario (Michigan Central Rail Crossing) International Bridge Rail Crossing, Ontario International Railway Bridge Rail Crossing Lewiston-Queenstown POE, Ontario: Northern border crossing Peace Bridge POE, Ontario: Northern border crossing Pembina POE, Manitoba: Northern border crossing North Portal Rail Crossing, Saskatchewan St. Claire Tunnel Rail Crossing, Ontario Waneta Dam, British Columbia: Earthfill/concrete hydropower dam Darlington Nuclear Power Plant, Ontario, Canada. E-ONE Moli Energy, Maple Ridge, Canada: Critical to production of various military application electronics General Dynamics Land Systems - Canada, London Ontario, Canada: Critical to the production of the Stryker/USMC LAV Vehicle Integration Raytheon Systems Canada Ltd. ELCAN Optical Technologies Division, Midland, Ontario, Canada: Critical to the production of the AGM-130 Missile Thales Optronique Canada, Inc., Montreal, Quebec: Critical optical systems for ground combat vehicles Germanium Mine Graphite Mine Iron Ore Mine Nickel Mine Niobec Mine, Quebec, Canada: Niobium Cangene, Winnipeg, Manitoba: Plasma Sanofi Pasteur Ltd., Toronto, Canada: Polio virus vaccine GlaxoSmithKile Biologicals, North America, Quebec, Canada: Pre-pandemic influenza vaccines
French Guiana: Americas-II undersea cable landing Cayenne, French Guiana
Martinique: Americas-II undersea cable landing Le Lamentin, Martinique
Mexico: FLAG/REACH North Asia Loop undersea cable landing Tijuana, Mexico Pan-American Crossing (PAC) undersea cable landing Mazatlan, Mexico Amistad International Dam: On the Rio Grande near Del Rio, Texas and Ciudad Acuna, Coahuila, Mexico Anzalduas Dam: Diversion dam south of Mission, Texas, operated jointly by the U.S. and Mexico for flood control Falcon International Dam: Upstream of Roma, Texas and Miguel Aleman, Tamaulipas, Mexico Retamal Dam: Diversion dam south of Weslaco, Texas, operated jointly by the U.S. and Mexico for flood control GE Hydroelectric Dam Turbines and Generators: Main source for a large portion of larger components Bridge of the Americas: Southern border crossing Brownsville POE: Southern border crossing Calexico East POE: Southern border crossing Columbia Solidarity Bridge: Southern border crossing Kansas City Southern de Mexico (KCSM) Rail Line, (Mexico) Nogales POE: Southern border crossing Laredo Rail Crossing Eagle Pass Rail Crossing Otay Mesa Crossing: Southern border crossing Pharr International Bridge: Southern border crossing World Trade Bridge: Southern border crossing Ysleta Zaragosa Bridge: Southern border crossing Hydrofluoric Acid Production Facility Graphite Mine GE Electrical Power Generators and Components General Electric, Large Electric Power Transformers 230 - 500 kV
Je viens de parcourir de nombreux cables de wikileaks, concernant maroc/algerie/france/espagne, et franchement je suis déçu par le niveau d'analyse du département d'état. Les scoops sont rares et les constats d'évidences nombreux (kaddafi est parano, poutine autoritaire....), bref rien que l'on ne sache déjà ou que l'ont a suputés largement. Les approxiamations sont nombreuses et les erreurs factuels ne manquent pas. Ceci dit, il faut les replacer dans le cadre des télégrammes d'ambassade avec un niveau de sécurité faible. Ce ne sont pas les messages cryptés de la CIA ou les analyses de l'attaché militaire auprès de l'ambassade (autrement plus sensibles), ou même le regard du Pentagone. Traditionnellement, le renseignement US lorsqu'il est d'origine humaine (Humint) est plutot faiblard (par rapport au Signint ou ils excellnt) et se compose essentiellement de données issus des thinks thanks. Ces thinks thanks etant eux mêmes sous influence (lobbies), les analyses qu'ils développent est rarement objective et distante. Ces cables sont le reflets du regard des diplomates US dont l'ouverture sur le monde et la connaissance de celui-ci est plutot limitées. A l 'évidence, l'époque des Kinssinger et autre brezinski est bien révolue...
PGM
marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Paris prêt à fournir au Brésil les codes informatiques du Rafale, selon WikiLeaks
(AFP) – Il y a 23 heures PARIS — La France est prête à fournir au Brésil les codes informatiques de l'avion de combat Rafale si celui-ci est acheté par les Brésiliens, assure un télégramme diplomatique américain de novembre 2009 diffusé par WikiLeaks et cité dimanche par le journal Le Monde. Avec le Rafale, jamais vendu jusqu'à présent à l'étranger, la France "espère écarter les avions américains F/A-18 Super Hornet et le Suédois Grippen", rappelle ce mémo. "Les Français ont depuis le début garanti aux Brésiliens qu'ils livreraient les codes informatiques du Rafale qui sont le coeur numérique de l'appareil, un geste que d'autres concurrents ont été réticents à accorder", ajoute l'ambassade dans ce document. "Quand Lula s'est plaint auprès de Sarkozy du +prix absurde+ des Rafales, à 80 millions de dollars chacun, le président français lui a envoyé, selon des sources au ministère des Affaires étrangères, une lettre personnelle soulignant que la France était disposée à procéder à un +transfert sans restrictions+ de renseignements technologiques", précise l'ambassade. "Si la vente du Rafale s'effectue, Dassault (son constructeur) pourrait devoir demander aux Etats-Unis des licences de contrôle d'exportation, pour les parties de l'avion construites avec de la technologie américaine", relève aussi le télégramme américain. Le 11 novembre dernier, Jean-Marc Merialdo, directeur de la filiale Brésil de Dassault, avait pour sa part affirmé à l'AFP que toutes les technologies liées au Rafale appartenaient à la France. Ce n'est pas le cas de la Suède pour le Grippen et, pour le F-18, le Congrès américain doit donner son feu vert, avait-il ajouté. Selon le mémo américain, citant des sources militaires à Brasilia, le Brésil "veut non seulement acheter le Rafale, mais produire l'avion sur son territoire et éventuellement le vendre à travers l'Amérique latine à l'horizon 2030". Le marché visé par la France porte sur la fourniture de 36 avions de combat multirôles, un contrat de plusieurs milliards de dollars.
Les seuls info concernants le Maroc porte su le sahra, et les relations avec l'Algérie soeur. Rien que l'on ne sache pas déja, ce n'est que la confirmation de l'hypocrisie de la junte au pouvoir a Alger. Dans tous les articles d'entretients avec les algériens, on retrouve les mêmes dialogues et discours de la part des algériens, ils financent, entrainent, hébergent le polisario, mais ils n'ont aucun probleme avec le Royaume, au contraire, a les écouter...
L'Algérie se permet même de comparer la réccupération de nos provinces Sud a l'invasion du Kowëit par Feu Saddam. (alors que l'on se rappel sa position a l'époque) Moi je compare les les diplomates algériens a Coluche...Lui commencait ses blagues par: c'est l'histoire d'un mec, et les algériens par: c'est l'histoire d'un bled...
bref, les diplomates US ont dû bien se marrer lors de ces rencontres avec les diploumates algériens...
j'attend la sortie du DVD
_________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.