Update: La nouvelle Egypte de l´apres-révolte.

Rappel du premier message :

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Égypte: 15.000 manifestants au Caire



Selon les premières estimations des services de sécurité, quelque 15.000 personnes participaient mardi après-midi au Caire aux manifestations pour des réformes politiques et sociales, inspirées par l'exemple tunisien.

Les manifestations qui ont débuté dans le centre-ville près des bâtiments de la Cour suprême se sont étendues au quartier de Mohadessine, dans l'ouest de la capitale où 2 à 3.000 personnes se sont rassemblées, et à d'autres parties de la ville. De 20 à 30.000 policiers étaient mobilisés au Caire. Certains d'entre eux ont tiré des gaz lacrymogènes contre des milliers de manifestants dans le centre du Caire.

Des rassemblement étaient également signalés en province, notamment à Alexandrie (nord), la deuxième ville du pays, à Assouan et Assiout (sud), dans plusieurs villes du delta du Nil, à Ismaïliya (sur le Canal de Suez) ou dans le nord du Sinaï, selon des témoins et des correspondants de l'AFP.

Ces manifestations à l'appel de mouvements pro-démocratie, très actifs notamment via les réseaux sociaux sur internet, réunissaient de très nombreux jeunes.
Les manifestants lancent des slogans en faveur de réformes économiques et politiques, mais aussi certains comme "La Tunisie est la solution", directement inspirés par la révolte tunisienne qui a chassé le président Ben Ali du pouvoir.

lefigaro

La situation est tres calme, seul la place Tahrir fait exception. Dans le sud rien a signaler.

l'Egypte va voir partir le reste d'investisseurs qui restent encore dans ce pays ...

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Egypte: la situation sur la place Tahrir en direct International Egypte: la situation sur la place Tahrir en direct

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Vingt-deux morts après les affrontements en Egypte

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7S7 mise à jour Les affrontements opposant la police et des manifestants réclamant la chute du pouvoir militaire depuis trois jours en Egypte ont fait 22 morts, la quasi-totalité au Caire, a annoncé lundi un responsable d'une morgue au Caire, revoyant leur bilan à la baisse.


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© reuters "Onze des corps sont ceux de personnes tuées dans des circonstances n'ayant aucun lien avec les affrontements sur la place Tahrir", a déclaré ce responsable, qui avait précédemment fait état de 33 morts depuis samedi.

Le ministère de la Santé a de son côté fait état de 22 décès et de centaines de blessés.

Un jeune homme a été tué samedi à Alexandrie, tandis que 21 personnes sont décédées au Caire, touchées par des balles réelles ou mortes d'asphyxie en raison des nombreux tirs par la police de grenades lacrymogènes.

Les heurts se sont poursuivis lundi matin entre la police qui tirait des grenades lacrymogènes sur des centaines de manifestants répartis en petits groupes sur la place et aux alentours. Ces derniers répondaient en jetant des pierres.

Ces affrontements se déroulent à une semaine du début, le 28 novembre, des premières élections législatives depuis la chute en février du président Hosni Moubarak, poussé au départ par une révolte populaire.

Les manifestants réclament la fin du pouvoir militaire qui s'est installé depuis la chute de M. Moubarak. Les slogans visent en particulier le maréchal Hussein Tantaoui, chef du Conseil suprême des forces armées (CSFA) et premier dirigeant de fait du pays. (belga)

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21/11/11 11h29

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Un manifestant inanimé balancé dans les ordures (vidéo)

Les images choc d'un policier égyptien qui jette le corps d'un manifestant, inanimé, dans les ordures font scandale sur le net.

Cette vidéo a été tournée au Caire en Egypte où les violences ont repris de plus belle ce dimanche. A quelques jours à peine des premières élections depuis le renversement du président égyptien Hosni Moubarak, le peuple a repris son combat contre la répression policière. Des centaines de manifestants ont envahi la désormais célèbre place Tahir pour montrer leur mécontentement.

Mais cette lutte ne se passe pas sans violence. Vingt personnes au moins ont déjà trouvé la mort en un jour. Une vidéo choc diffusée par la chaîne arabe Al Jazeera montre d'ailleurs la violence et l'indifférence envers les personnes blessées qui règnent actuellement au pays.

Sur ces images, on peut voir une personne couchée au sol. Elle ne bouge plus. Un policier se dirige alors vers le corps mais au lieu de tenter de la réanimer ou d'appeler les secours, l'agent de police prend la victime par les pieds et la tire jusqu'à un tas d'ordures. La vidéo filmée par un témoin qui a assité à cette scène depuis son balcon quelques mètres plus loin n'est pas sans rappeler les images choc également filmées en Syrie où plus de 3.500 personnes ont déjà perdu la vie depuis le début de la répression. (CB)
https://www.youtube.com/watch?v=Fr2-VlldcuE&feature=player_embedded

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L'armée refuse la démission du gouvernement égyptien

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7S7 mise à jour Le gouvernement égyptien a présenté lundi soir sa démission au Conseil suprême des forces armées (CSFA) au pouvoir depuis le départ du président Hosni Moubarak en février, a annoncé son porte-parole Mohamed Hijazi, cité par l'agence officielle Mena. Une démission refusée par le Conseil suprême des forces armées au pouvoir.

Le Conseil suprême des forces armées (CSFA), au pouvoir en Egypte depuis la chute du président Hosni Moubarak en février, a refusé lundi soir la démission du gouvernement, a rapporté la télévision publique égyptienne, citant une source militaire. Plus tôt, le porte-parole du cabinet, Mohamed Hijazi, avait annoncé que le gouvernement avait présenté sa démission "au vu des circonstances difficiles que traverse actuellement le pays", selon des propos rapportés par l'agence officielle Mena.

Lundi matin, le ministre égyptien de la Culture, Emad Abou Ghazi, avait déjà annoncé sa démission pour protester contre la réaction du gouvernement face aux violences entre manifestants et forces de l'ordre. Depuis samedi, des affrontements meurtriers opposent la police à des milliers de manifestants, notamment sur l'emblématique place Tahrir au Caire. Vingt-quatre personnes ont officiellement péri dans ces heurts qui touchent plusieurs villes du pays, où une révolte populaire a poussé M. Moubarak au départ le 11 février.

Ces violences, qui ont également fait plusieurs centaines de blessés, interviennent à une semaine du début des premières élections législatives depuis la chute de M. Moubarak, prévues le 28 novembre et qui doivent s'étaler sur plusieurs mois. Les manifestants réclament la fin du pouvoir militaire qui s'est installé au départ de M. Moubarak, qu'ils accusent de vouloir rester à la tête de l'Etat et de perpétuer le système répressif en place sous l'ancien président. M. Charaf, nommé à la tête du gouvernement en mars, était très populaire à son arrivée parmi les militants pro-démocratie, mais son image s'est ensuite ternie en raison du peu de pouvoir de son gouvernement face à la tutelle de l'armée et de la lenteur de la mise en oeuvre de réformes. (afp)


21/11/11 20h22

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Les Frères musulmans boycottent la manifestation

© reuters
Les Frères musulmans d'Egypte, la force politique la mieux organisée du pays, ont annoncé qu'ils ne participeraient pas à la manifestation massive prévue mardi à la place Tahrir au Caire contre le pouvoir militaire.

Le Parti de la liberté et la justice, issu des Frères musulmans, a annoncé que cette décision émanait du "souci de ne pas entraîner le peuple vers de nouveaux affrontements sanglants avec des parties qui cherchent davantage de tensions", selon un communiqué posté lundi soir sur son site internet.

Il faisait référence aux trois jours d'affrontements meurtriers entre forces de l'ordre et manifestants hostiles au pouvoir militaire en place depuis la chute du président Hosni Moubarak, qui ont fait 26 morts dans le pays, notamment sur la place Tahrir.

Le Parti de la liberté et de la justice a appelé le Conseil suprême des forces armées (CSFA), au pouvoir depuis la chute de M. Moubarak, à poursuivre les auteurs "des horribles crimes" commis et à arrêter "l'effusion de sang".

Le gouvernement égyptien a présenté sa démission au CSFA à la suite des violences qui rappellent celles qui ont émaillé le soulèvement populaire contre Hosni Moubarak en début d'année.
Des mouvements égyptiens à l'origine du soulèvement ont appelé à une manifestation massive mardi pour réclamer la fin du pouvoir militaire et la formation d'un "gouvernement de salut national", à moins d'une semaine des premières législatives tenues depuis la chute de M. Moubarak. (belga)
22/11/11 09h14

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Les Frères musulmans vont dialoguer avec l'armée égyptienne

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Les Frères musulmans d'Egypte, la force politique la mieux organisée du pays, ont annoncé qu'ils allaient participer à une réunion de dialogue auquel a appelé le pouvoir militaire, après trois jours de violences entre manifestants et police.

"Le Conseil suprême des forces armées (CSFA) a convoqué une réunion (de dialogue) aujourd'hui (mardi) et nous allons y participer", a affirmé Saad al-Katatny, secrétaire général du Parti de la liberté et la justice issu de la confrérie.

Lundi soir, le CSFA avait appelé à un dialogue "urgent" après que le gouvernement qu'il a mis en place a présenté sa démission sous la pression de la rue et des affrontements entre police et manifestants qui on coûté la vie à 26 personnes.

Les Frères musulmans avaient auparavant annoncé qu'ils n'allaient pas participer à la manifestation massive organisée mardi après-midi par plusieurs formations politiques pour réclamer la fin du pouvoir militaire.

Critiques eux aussi à l'égard du pouvoir militaire, les Frères musulmans sont hostiles à un report des premières législatives après la chute de Hosni Moubarak en février, pour lesquelles ils estiment être en position de force.

"Nos revendications sont l'organisation du scrutin à la date prévue (28 novembre) et la remise du pouvoir à une autorité civile à la mi-2012", entre autres, a réitéré M. Katatny.

Les militants rassemblés en nombre depuis vendredi sur l'emblématique place Tahrir au Caire revendiquent la remise immédiate du pouvoir à une autorité civile. (belga)

22/11/11 10h50

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Egypte: l'armée dialogue avec les partis politiques


Le Conseil suprême des forces armées égyptiennes a entamé un dialogue avec les représentants de différentes forces politiques afin de résoudre la crise actuelle, annonce mardi le correspondant de RIA Novosti.

La rencontre entre les militaires et les représentants de plusieurs partis politiques et ONG se déroule actuellement dans le bâtiment du ministère de la Défense.

Hier soir, le Conseil a exhorté tous les partis politiques au dialogue afin de déterminer les causes de la crise actuelle et de trouver une issue.

Les troubles que connaît la capitale égyptienne depuis le week-end dernier sont les plus violents depuis la chute de Hosni Moubarak en février dernier. Ils interviennent à quelques jours des élections législatives qui auront lieu en Egypte le 28 novembre.

Les manifestants exigent que le Conseil suprême des forces armées remette ses pouvoirs à un gouvernement civil. Les affrontements entre la police et les manifestants ont fait entre 24 et 35 morts et près de 2.000 blessés.

RIA Novosti

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Egypte : ElBaradei premier ministre ?

L'armée au pouvoir en Egypte a discuté aujourd'hui de la possibilité de nommer l'ancien haut fonctionnaire international Mohamed ElBaradei comme nouveau Premier ministre, a indiqué une source militaire.

L'ancien chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) remplacerait Essam Charaf, dont le gouvernement a présenté hier sa démission au Conseil suprême des forces armées (CSFA), qui n'a pas encore dit s'il l'acceptait ou non.

Le nom d'ElBaradei a été évoqué au cours d'une réunion entre le CSFA et diverses forces politiques, dont l'influent mouvement des Frères musulmans, selon cette source présente à la rencontre, qui s'exprimait sous couvert de l'anonymat.

Opposant résolu au président Hosni Moubarak, renversé en février dernier, Mohamed ElBaradei est aujourd'hui très critique de la politique menée par le CSFA.

lefigaro

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2 Egyptian policemen killed near border




Bedouin smugglers shoot, kill two Egyptian border guards trying to stop them from infiltrating Israel. Second border incident sees Golani forces pursue armed smugglers near border. IDF chief orders to increase border patrols


Cairo's media reported that two Egyptian soldiers were killed in two separate incidents near the Rafah border, and that both were killed by Bedouin smugglers.

According to information made available by the IDF, the evening's events began to unfold around 8 pm, when a group of drug smugglers attempting to infiltrate the border came across Egyptian policemen patrolling the fence.
The ensuing fire exchange left two Egyptian troops dead. Their bodies were evacuated from the scene by armored personnel carrier moments later.


IDF forces patrolling the area on the Israeli side of the border were aware of the incident, but in accordance with military protocol, refrained from interfering.



The Egypt-Israel border (Photo: AP)

Some 30 minutes later, suspected vehicles were spotted driving to and away from the border fence near Eilat. Around 9:30 pm, Golani Brigade forces from the elite Egoz Reconnaissance Unit spotted yet another infiltration attempt by armed drug smuggles.

The force began pursuing the smugglers, who fired at the soldiers. The soldiers returned fire, injuring at least one of the smugglers. A civilian vehicle, which was apparently en route to a rendezvous point with the smugglers, was spotted fleeing the scene.

According to the Egyptian media, officers Nas'at Muhammad and Mohamed Ahmed, both 22-years-old, were killed by Bedouin smugglers in Wednesday's incidents. Egypt's Al-Wafd website said that the remains of both men were transported to al-Arish to be autopsied. According to reports, the smugglers were able to flee the scene.

ynetnews.com

J'ai pas rencontré de problème en Egypte, la situation est stable au Caire et dans les autres villes, sauf, à quelques kilomètres à aux alentours de la place Tahrir.

Les islamistes rafleraient 70% des voix selon des rumeurs. 40% pour les frères musulmans et 30% pour les mouvements salafiya.

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Egypte/islamistes Bougrab inquiète


Jeannette Bougrab, secrétaire d'État à la Jeunesse, exprime aujourd'hui de manière virulente dans une interview au Parisien son inquiétude face aux succès des partis islamistes dans les urnes au Maroc, en Tunisie et en Egypte. "C'est très inquiétant", déclare Mme Bougrab, fille de harki. "Je ne connais pas d'islamisme modéré"..."Il n'y a pas de charia +light+".

Interrogée sur le fait de savoir si le discours de la diplomatie française devrait être plus ferme face aux islamistes portés au pouvoir par les urnes au Maroc, en Tunisie et en Egypte, la secrétaire d'Etat répond: "je ne suis pas ministre des Affaires étrangères. Je réagis en tant que citoyenne, en tant que femme française d'origine arabe".

"Ben Ali ou Moubarak avaient agité le chiffon rouge des islamistes pour obtenir le soutien des pays occidentaux", rappelle-t-elle. "Mais il ne faudrait pas tomber dans l'excès inverse. Moi, je ne soutiendrai jamais un parti islamiste. Jamais. Au nom des femmes qui sont mortes, de toutes celles qui ont été tuées, notamment en Algérie ou en Iran, par exemple, parce qu'elles ne portaient pas le voile."

"Je me refuse à croire qu'il y aurait une sorte de malédiction sur ces pays arabes, que le choix devrait se résumer entre les dictatures et l'islamisme, entre la peste et le choléra", insiste Mme Bougrab. Interrogée sur le caractère démocratique des victoires islamistes, elle n'hésite pas à affirmer: "parfois la dictature est venue des urnes." "Je fais partie de celles qui estiment qu'on peut interdire des partis politiques fondés sur des pratiques qui portent atteinte à une Constitution", conclut-elle.

lefigaro

Cette dame, qu'elle s'occupe déjà des problèmes de la jeunesse en France avant de ce croire à la place de M. Juppé. Je suis contre ces leçons de morales contre un pays indépendant et puissant comme l'Egypte!

Jeannette Bougrab perd en diffamation contre "Le Canard enchaîné" à propos de son salaire à la Halde...

http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/05/13/jeannette-bougrab-perd-en-diffamation-contre-le-canard-enchaine-a-propos-de-son-salaire-a-la-halde_1521700_823448.html

Baybars a écrit:

Cette dame, qu'elle s'occupe déjà des problèmes de la jeunesse en France avant de ce croire à la place de M. Juppé. Je suis contre ces leçons de morales contre un pays indépendant et puissant comme l'Egypte!

ils sont dum dum ces français, avec leurs propots anti-démocratique (islamistes = choix du peuple)
c'est normale qu'ils attirent les foudres des musulmans arabes !

pour la Bougrab dont je rappel qu'elle est fille de Harki
je comprent que dans son subconcient elle s'oppose a l'émancipation des peuples arabes
Son papa ( collabo des gens qui massacré son propre peuple) aller contre l'émancipation du peuple algériens
je comprent que sa fille soit dans le meme délire

Ensuite je ne comprent pas qu'une personne qui n'a jamais étais élus ( la seule fois qu'elle a essayer elle a perdu avec le plus mauvais score de la droite dans la circonscription...)
Donc une personne qui ne doit pas son poste a la démocratie mais au système ferait bien d'évité de critiquer des gens qui sont arrivé au pouvoir par la volonté du peuple...

Aprés on voit que madame parle de chose qu'elle ne sait pas, mise a part le fait qu'elle amalgame tous le monde ( charia, islamisme, salafisme, etc) alors que l'on sait que l'AKP n'a jamais instaurer la charia, et le PJD la refuse...

Enfin il y a quelque temps Madame a voulu se réconcilier avec les ex-ennemie de papa, et a Alger, nos amis du pouvoir algérienne qui s'acroche a leur poste ( la encore il ne le doivent pas au suffrage universelle) tire sur les nouveaux gouvernant et on le meme discours...

Comme quoi qui se ressemble s'assemble

Pas plus que le peuple d'Algérie n'était dans son ensemble pour l'indépendance du territoire, les harkis ne sont des collabos. Ce sont des gens qui avaient une opinion, un idéal, et il ne faut certainement pas les fustiger pour cela. Ce qui était condamnables, ce sont les débordements auxquels ils ont pu individuellement participer, et ces débordements ont été commis par tous les bords, sans exception, sans justice aucune, et au mépris de la vie humaine.

J'ai posté un lien qui montre qui est cette femme, je pense que cela suffit à la qualifier, sans qu'il ait besoin d'aller plus loin. Discréditée, elle peut bien dire ce qu'elle veut.

rafi a écrit:

Pas plus que le peuple d'Algérie n'était dans son ensemble pour l'indépendance du territoire, les harkis ne sont des collabos. Ce sont des gens qui avaient une opinion, un idéal, et il ne faut certainement pas les fustiger pour cela. Ce qui était condamnables, ce sont les débordements auxquels ils ont pu individuellement participer, et ces débordements ont été commis par tous les bords, sans exception, sans justice aucune, et au mépris de la vie humaine.

J'ai posté un lien qui montre qui est cette femme, je pense que cela suffit à la qualifier, sans qu'il ait besoin d'aller plus loin. Discréditée, elle peut bien dire ce qu'elle veut.

Discréditée, elle peut bien dire ce qu’elle veut, rafi ? Oui, si on veut ! Mais, hélas ! bien qu’elle soit discréditée, ce que je souligne, moi, c’est que l’on s’empresse à rapporter ce qu’elle veut dire. Nuance !

Mais sur ce qui précède, en diras-tu autant, ami rafi, des Vichystes et autres collabos de 40-44 ? Interchangeons, je te prie, Algérie par France, et le mot Harki par Vichyste, et voyons ce que ton intervention redevient :
« Pas plus que le peuple de France n'était dans son ensemble pour l’indépendance du territoire (ce qui revient à dire le départ des Nazis), les Vichystes ne sont des collabos. Ce sont des gens qui avaient une opinion, un idéal, et il ne faut certainement pas les fustiger pour cela.»

Ami rafi, conviendras-tu que cette logique égocentrée prête facilement le flanc à la critique ?

L’altérité, rafi, l’altérité, il faut savoir parfois la mettre à l’épreuve.

Par ailleurs :

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Les islamistes appellent au respect du choix des urnes en Egypte

LE CAIRE (Reuters) - Les Frères musulmans ont appelé samedi les partis rivaux à accepter le verdict des urnes après la première phase des législatives égyptiennes, où la confrérie islamique semble bien placée pour l'emporter.

Pour l'heure, seule une poignée de résultats a été dévoilée par la commission électorale et il est trop tôt pour dire si le parti Liberté et Justice, formé par les Frères, recueillera, comme il l'affirme sur son site, approximativement de 43% des sièges alloués à la proportionnelle.

Les rivaux islamistes des Frères, les salafistes, arriveraient en deuxième position, derrière les libéraux, illustrant la percée des islamistes dans les pays secoués par le "printemps arabe".

La confrérie islamique est le groupe politique le mieux organisé en Egypte. Il est très populaire au sein des milieux défavorisés, notamment parce qu'il a multiplié les oeuvres de bienfaisance. Officiellement interdit mais toléré dans les faits sous l'ère Moubarak, la confrérie islamique veut désormais jouer les premiers plans dans la nouvelle Egypte.

Mais les rivaux ont accusé Liberté et Justice d'avoir fait des dons de médicaments et de nourriture pour influencer les électeurs et d'avoir enfreint les règles électorales en exerçant des pressions à l'extérieur des bureaux de vote.

Les Frères musulmans ont rejeté ces accusations et ont demandé au contraire de respecter le résultat venu des urnes.

"Nous appelons tout le monde, et tous ceux qui s'associent aux règles de la démocratie, à respecter la volonté du peuple et accepter leur choix", a déclaré la confrérie dans un communiqué après la première phase du marathon électoral, où la participation s'est élevée à 62% des inscrits, du jamais vu dans le pays.

"Ceux qui n'ont pas connu le succès (...) devraient plutôt travailler durement pour recevoir le soutien des gens la prochaine fois", ajoutent la confrérie, dont la création remonte à 1928.

PAS DE TRACTATIONS

La communauté internationale suit avec beaucoup d'intérêt les élections qui devraient déterminer la voie que va suivre l'Egypte, le pays arabe le plus peuplé, jusqu'ici un allié sûr des Etats-Unis, qui a signé la paix par traité avec Israël et qui combat l'islamisme armé.

Les adversaires des Frères musulmans agitent eux le chiffon rouge, estimant qu'ils veulent imposer la "charia" dans un pays qui abrite en outre une importante minorité chrétienne, les Coptes.

La confrérie islamiste se défend de vouloir imposer de strictes règles islamiques. Elle assure que son principal objectif est de lutter contre la corruption et de relancer l'économie, non pas d'interdire l'alcool ou d'imposer le voile aux femmes.

La répartition des sièges à la chambre basse du Parlement ne sera connue qu'à l'issue du marathon électoral le 10 janvier.

La première phase, lundi et mardi, concernait 17 des 50 millions d'électeurs inscrits dans neuf gouvernorats, dont Le Caire, les villes d'Alexandrie, Port-Saïd et Damiette dans le nord du pays, ainsi qu'Assiout et Louxor dans le Sud.

Au total, 498 sièges sont en lice, dont les deux tiers sont alloués à la proportionnelle sur la base de listes présentées par les partis, le dernier tiers revenant à des candidatures individuelles.

Les partis libéraux, qui manquent d'une assise populaire dont bénéficient les islamistes, tentent d'éviter une victoire écrasante des partis religieux avant des votes au second tour prévus lundi et des deux prochaines phases des législatives, qui durent six semaines.

Ainsi, le Bloc égyptien, une alliance de partis libéraux, a publié de nombreuses publicités dans les journaux samedi pour convaincre les électeurs. "Ne réduisez pas votre soutien au courant modéré et civil, afin de former un Parlement comportant des tendances qui représentent le peuple égyptien, et n'abandonnez pas vos droits", indique le message.

Avec le score des Frères musulmans et des salafistes ultra-conservateurs, les journaux s'interrogent sur la possibilité d'une alliance entre les deux forces.

Nader Bakkar, porte-parole du parti des salafistes Al Nour, a dit au Al Dustour que les tractations pour former une coalition avec les Frères musulmans étaient pour l'heure prématurées et qu'il fallait connaître les résultats définitifs.

Un porte-parole du Gama'a al Islamiya, un groupe salafiste qui n'appartient pas à Al Nour, a toutefois dit au journal al Dustour que l'on ne se dirigeait pas vers une coalition islamiste au Parlement.

"Toutes les indications montrent que les Frères musulmans ne veulent pas former une alliance avec les forces islamiques, mais plutôt s'allier avec les libéraux et les laïques", a dit Asem Abdel Maged.

http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/les-islamistes-appellent-au-respect-du-choix-des-urnes-en-egypte-03-12-2011-1403461_240.php

Les harkis ont fait un choix, frère Ichkirne, celui de maintenir le territoire où ils sont nés dans un ensemble politico-historique appelé France. En soit, ce n'est pas un crime, rien qui ne déroge à la loi. Les harkis n'ont pas été collaborateurs des gens qui ont massacré leur propre peuple, bien que certain individuellement aient pu commettre des crimes au service de l'armée qui était la leur et au mépris de la loi, la différence est de taille. Ce sont donc les individus responsables de leurs actes qui doivent subir un légitime châtiment que la loi et la justice leur imposera pour ce qu'ils ont fait de mal, pas l'ensemble d'une communauté. Si crime il y a, ce ne sont donc pas les français dans l'assertion généraliste du terme, ni les harkis, qui sont responsables, mais bien Pierre, Paul, Mohamed, ou Jacques. Ceci vaut tout autant pour ceux qui ont été à la base de la création de l'Etat algérien.

Je ne met jamais tout le monde dans le même panier, le faire c'est à coup sûr se tromper. Les places de résistants et de collaborateurs sont interchangeables selon les circonstances, ce sont les sièges éjectables de l'histoire.

La France se cherche des coupables, la porte est donc grande ouverte dans les médias à celles et ceux qui en fournissent. Stigmatiser les autres au lieu de regarder dans sa propre maison est, en temps de crise, une façon de faire. Mais nous avons encore un droit, c'est celui de commenter un article par exemple en s'inscrivant si nécessaire à la page internet qui le demande, ou plus souvent en donnant un nom et une adresse mail, et ainsi rappeler que la dame qui commente d'une façon si tranchée ce qui se passe dans le monde arabe n'a peut-être pas la moralité qu'il faut pour le faire.

C'est bien que tu détailles ainsi ton point de vue, frère rafi, car c'est un plaisir de te lire.

Citation :

Israël juge que l'Egypte n'a pas d’autre choix que la paix

Israël a fait part ce samedi de ses inquiétudes quant à la poussée électorale des islamistes en Egypte tout en invitant Le Caire à estimer qu'il n'a pas d'autre choix que de respecter son accord de paix avec l'Etat hébreu.

«C'est très, très inquiétant», a déclaré Ehud Barak, ministre israélien de la Défense, à propos de la victoire annoncée des Frères musulmans lors de la première phase, lundi et mardi, des élections législatives en Egypte. «Il est prématuré de prédire comment les changements qui s'annoncent vont se terminer. Ils pourraient se révéler positifs dans un contexte historique. Dans l'immédiat, ils sont problématiques», a-t-il indiqué sur la deuxième chaîne de télévision israélienne.

«J'espère beaucoup que quel que soit le prochain gouvernement égyptien, quelle que soit la prochaine Constitution, on comprendra ...) qu'il n'existe pas d'alternative au maintien du cadre des accords internationaux, y compris les accords de paix passés avec nous», a ajouté le ministre. Pour lui, ce cadre aiderait «l'économie égyptienne à fonctionner et l'Etat à continuer à apporter aux Egyptiens les services de base».

http://www.20minutes.fr/ledirect/835758/israel-juge-egypte-dautre-choix-paix

Merci.

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investiture du gouvernement

Le nouveau gouvernement égyptien dirigé par le premier ministre Kamal el-Ganzouri a prêté serment mercredi devant le chef du conseil militaire au pouvoir, le maréchal Hussein Tantaoui, a annoncé la télévision d'Etat.

Kamal el-Ganzouri, nommé par l'armée le 25 novembre dernier, a fait face à de multiples difficultés pour former son équipe, notamment pour trouver un ministre de l'Intérieur. Agé de 78 ans, il fut premier ministre de 1996 à 1999, sous Hosni Moubarak.

lefigaro

Les frères musulmans et les Salafistes seraient coudes à coudes.

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Egypte: les islamistes toujours en tête aux législatives


LE CAIRE - Les formations islamistes étaient toujours largement en tête dans les législatives égyptiennes, dont une nouvelle étape s'est déroulée mercredi et jeudi dans un tiers du pays, selon des indications préliminaires rapportées par la presse gouvernementale.

Le quotidien al-Ahram a fait état d'une concurrence serrée entre le parti de la Liberté et de la Justice (PLJ), issu des Frères musulmans, et le parti Al-Nour (La Lumière), première formation des fondamentalistes salafistes, sans toutefois donner de chiffre précis. Les résultats officiels sont attendus dans les prochains jours.

Le PLJ a pour sa part affirmé sur son site internet être en tête dans les provinces de Sohag (centre) et de Guizeh, dans l'ouest du Caire.

Il reconnaissait en revanche arriver derrière Al-Nour à Suez (est), avec 25% des voix contre 45% aux salafistes.

Le PLJ et al-Nour avaient recueilli respectivement 36 et 24% des voix lors de la première phase du vote dans un premier tiers du pays fin novembre, les islamistes remportant dans leur ensemble 65% des suffrages.

La principale alliance de partis libéraux, le Bloc égyptien, semble de son côté avoir obtenu un score moindre que les quelque 13% des suffrages enregistrés lors de la première phase, assure al-Ahram.

Le vote pour la chambre des députés (Assemblée du peuple) se déroule dans trois zones géographiques successives, chacune votant sur deux tours.

La première comprenait notamment la capitale Le Caire et la deuxième ville du pays, Alexandrie, la deuxième notamment les gouvernorats de Suez, Ismaïliya (nord-est) et de Guizeh (ouest du Caire). La troisième zone, qui comprend notamment le Sinaï, votera début janvier.

Le futur Parlement devra former une commission chargée de rédiger la nouvelle Constitution de l'Egypte, le pays le plus peuplé du monde arabe avec plus de 80 millions d'habitants.


(©AFP / 16 décembre 2011 14h45)

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Des incidents ont éclaté vendredi au Caire entre des manifestants et la police militaire, faisant quinze blessés, selon des médias locaux citant le ministre égyptien de la Santé. Environ 300 personnes s'étaient rassemblées après la diffusion via Internet d'images présentées comme celles d'un activiste arrêté et battu par les forces de l'ordre. "La rumeur court qu'ils l'ont sévèrement battu et qu'il a été hospitalisé", a dit un médecin s'occupant sur place de manifestants blessés. "C'est ce qui a conduit des gens à sortir manifester", a-t-il ajouté.

Des affrontements ont eu lieu dans la matinée, et les abords du siège du gouvernement et du Parlement étaient jonchés de débris. Des soldats et des policiers en civil ont jeté des projectiles du toit des édifices publics vers les manifestants, qui ont répliqué en lançant des pierres. Des dizaines de soldats sont arrivés sur les lieux, ont tiré en l'air et mis en place des cordons de sécurité. Des voitures étaient en feu et un bâtiment public a partiellement brûlé. Un adjoint du ministre égyptien de la Santé a indiqué que 15 personnes avaient été blessées lors des violences, selon le site internet du journal al-Ahram.

Selon l'agence officielle de presse Mena, des appels à se rassembler de nouveau sur la place Tahrir, symbole de la révolution de l'hiver dernier contre Hosni Moubarak, courent parmi les cercles militants.

http://www.lepoint.fr/monde/en-direct-du-caire-une-manifestation-tourne-a-l-affrontement-16-12-2011-1409379_24.php

MAATAWI a écrit:

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Egypte/islamistes Bougrab inquiète


Jeannette Bougrab, secrétaire d'État à la Jeunesse, exprime aujourd'hui de manière virulente dans une interview au Parisien son inquiétude face aux succès des partis islamistes dans les urnes au Maroc, en Tunisie et en Egypte. "C'est très inquiétant", déclare Mme Bougrab, fille de harki. "Je ne connais pas d'islamisme modéré"..."Il n'y a pas de charia +light+".

Interrogée sur le fait de savoir si le discours de la diplomatie française devrait être plus ferme face aux islamistes portés au pouvoir par les urnes au Maroc, en Tunisie et en Egypte, la secrétaire d'Etat répond: "je ne suis pas ministre des Affaires étrangères. Je réagis en tant que citoyenne, en tant que femme française d'origine arabe".

"Ben Ali ou Moubarak avaient agité le chiffon rouge des islamistes pour obtenir le soutien des pays occidentaux", rappelle-t-elle. "Mais il ne faudrait pas tomber dans l'excès inverse. Moi, je ne soutiendrai jamais un parti islamiste. Jamais. Au nom des femmes qui sont mortes, de toutes celles qui ont été tuées, notamment en Algérie ou en Iran, par exemple, parce qu'elles ne portaient pas le voile."

"Je me refuse à croire qu'il y aurait une sorte de malédiction sur ces pays arabes, que le choix devrait se résumer entre les dictatures et l'islamisme, entre la peste et le choléra", insiste Mme Bougrab. Interrogée sur le caractère démocratique des victoires islamistes, elle n'hésite pas à affirmer: "parfois la dictature est venue des urnes." "Je fais partie de celles qui estiment qu'on peut interdire des partis politiques fondés sur des pratiques qui portent atteinte à une Constitution", conclut-elle.

lefigaro

boughrab qu'elle aille s'occuper de halde son ministère et compagnie etre une fille de harki (et donc d'origine maghrébine) ne lui donne pas le droit et aucune légitimité de parler sur le monde arabe.

Le chef de cabinet du 1er ministre(Fillon) l a immédiatement appelée pour lui dire de se la boucler car elle allait semer la-
zizanie entre la France et plusieurs pays arabes,et il lui a meme signifié que ce qu elle tente de faire peut meme relever de
la haute trahison envers la France.Bref on lui a dit de s occuper de son GRAB (en arabe:gourde)