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| TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Sam 26 Fév 2011 - 23:29 | |
| Rappel du premier message : - Citation :
- Les çiftçi sont en galère. Ils n'ont pas de subventions comme en Europe.
faux ... totalement faux. Pour avoir de la famille qui exploite des champs je peux te dire qu'ils se portent très très bien. Idem j'ai de la famille qui a des troupeaux de mouton.. Ils sont blindés alors qu'il y a 10 ans ils n' avaient que 5 moutons... |
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Auteur | Message |
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Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mer 24 Aoû 2011 - 8:13 | |
| c´est une photo pleine de sens/message,"le Führer qui guide le pays,et sa femme a coté",ils ont de tres bons conseillers PR.rien au hasard _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mer 24 Aoû 2011 - 18:31 | |
| - Yakuza a écrit:
c´est une photo pleine de sens/message,"le Führer qui guide le pays,et sa femme a coté",ils ont de tres bons conseillers PR.rien au hasard
C'est vrai, que si il continue comme ça, il sera là pour longtemps. Il lui reste une chose, régler le problème du Pkk. |
| | | Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 25 Aoû 2011 - 0:36 | |
| Siemens le TGV ? _________________ | |
| | | farewell Général de corps d'armée (ANP)
messages : 2468 Inscrit le : 13/02/2011 Localisation : ****** Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 25 Aoû 2011 - 2:03 | |
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http://www.1info2.com/ouverture-de-la-2ieme-ligne-de-tgv--543.html
_________________ "Les belles idées n'ont pas d'âge, elles ont seulement de l'avenir" | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 25 Aoû 2011 - 22:41 | |
| - Citation :
Turquie : l’armée marque le pasEt si la haute hiérarchie militaire était en train de perdre l’interminable bras de fer qui l’oppose au gouvernement islamo-conservateur ? Tous les jours, ils en prennent un peu plus pour leur grade. Arrestations, inculpations, révélations dans la presse… Rien ne leur est épargné, pas même les critiques visant leurs compétences professionnelles. Depuis les années 2007-2008, les militaires turcs sont tombés de leur piédestal. Aujourd’hui, deux cent cinquante officiers, dont quarante et un généraux d’active, croupissent derrière les barreaux en attendant d’être jugés pour complot contre le gouvernement.
On a d’abord découvert l’existence d’Ergenekon, un gang dans lequel une partie de l’establishment militaire frayait avec des notables laïcs, des hommes de main et des mafieux. On a ensuite éventé toute une série de machinations qui visaient à déstabiliser le pays afin de créer les conditions propices à un coup d’État. On a enfin découvert les sinistres activités du Jitem, une unité de gendarmerie spécialisée dans l’assassinat de militants prokurdes. Pas de quoi parader…
Et pourtant, il n’y a pas si longtemps, l’armée était l’institution la plus respectée du pays. Qu’elle donne publiquement son avis sur tous les sujets de politique intérieure, ou même étrangère, n’étonnait (presque) personne. C’était une si vieille habitude… Auteure de quatre coups d’État (1960, 1971, 1980 et 1997) et d’une Constitution lui permettant de régenter les gouvernements civils, elle inspirait la crainte. Mais son rôle de garante de l’unité et de la laïcité de la République lui valait aussi une certaine reconnaissance. Bref, tout se passait comme si le pays ne s’estimait pas assez mûr pour s’offrir le luxe d’une vie démocratique à part entière.
Le décor change en 2002 avec la victoire du Parti de la justice et du développement (AKP) aux législatives. Fini les fragiles coalitions ! L’AKP gouverne seul et se heurte aussitôt au camp laïc, qui l’accuse d’islamisme rampant et ne lésine sur aucun moyen pour l’abattre. Mais l’AKP tient bon. Il s’enracine dans un électorat pieux et conservateur qui fait des affaires et s’embourgeoise d’autant plus vite que l’économie est en plein boom. Les crises politiques orchestrées par l’état-major tournent à l’avantage d’un parti qui tient sa légitimité des urnes et se renforce à chaque scrutin : 34,2 % aux législatives de 2002, 46,5 % à celles de 2007 et 49,9 % à celles de juin dernier.
Flop. Parallèlement, dans le Sud-Est, la recrudescence de la guérilla indépendantiste kurde démontre que l’armée est impuissante à venir militairement à bout d’un problème dont elle bloque aussi l’issue politique. Pis, la hiérarchie est plusieurs fois accusée d’exposer la vie de jeunes recrues en les envoyant dans des zones à risques.
Discréditée et exaspérée de l’être, l’armée joue son va-tout le 29 juillet. L’avant-veille de la réunion du Conseil militaire suprême (YAS) – l’institution qui se réunit chaque année pour décider de la promotion des cadres –, le chef d’état-major et les patrons de l’armée de terre, de l’aviation et de la marine démissionnent en bloc. Pour exprimer leur indignation face au traitement, à leurs yeux injuste, que l’on réserve à leurs camarades inculpés – mais pas encore jugés et condamnés. Peu avant, le président, Abdullah Gül – issu des rangs de l’AKP –, avait averti qu’il ne signerait « aucun décret les yeux fermés ». Autrement dit, qu’il s’opposerait à l’avancement des présumés comploteurs. Mais cette démission collective, censée provoquer un électrochoc dans le pays, fait un flop. Le gouvernement réagit avec calme, nomme chef d’état-major le commandant de la gendarmerie, Necdet Özel, qui ne s’était pas joint au mouvement, et maintient la réunion du YAS à la date prévue, le 1er août. Dans les journaux et à la télévision, l’image passe en boucle. Pour la première fois, l’institution est présidée par Recep Tayyip Erdogan, seul. Tout un symbole : jusqu’ici, le Premier ministre siégeait à côté du chef d’état-major, coincé dans une forêt d’épaulettes et de képis…
Et puis, grâce aux procédures judiciaires en cours, le mouvement esquissé lors de la session 2010 du YAS se poursuit. Le gouvernement était alors parvenu à bloquer la nomination du général Igsiz à la tête de l’armée de terre – celui-ci a depuis été arrêté. Cette année, ses pairs qui auraient dû prendre la tête des armées de terre, de l’air et de la marine ont été contraints de passer leur tour. On les soupçonne eux aussi d’avoir trempé dans les projets de putsch. Avec un dixième des effectifs sur la sellette, les rangs sont tellement clairsemés qu’il ne s’est trouvé qu’un lieutenant-général pour hériter du commandement de l’aviation
Enturbannées. La nouvelle structure n’est pourtant pas, on s’en doute, favorable à l’AKP, à l’instar du général Kivrikoglu, désormais chef de l’armée de terre, qui s’était distingué en refusant d’accueillir Abdullah Gül et son épouse voilée lors d’une visite en République turque de Chypre du Nord. Simplement, certains des récents promus pourraient se montrer moins hostiles.
Pour symbolique qu’il soit, ce nouveau point marqué par l’AKP n’en est pas moins décisif. Le processus de démilitarisation du système politique progresse. Lentement mais sûrement. Qu’on en juge. En 2002, par exemple, l’état-major avait sommé le gouvernement d’exclure les personnels « non laïcs » de la fonction publique. En 2003, il s’était opposé frontalement aux réformes proeuropéennes et, de concert avec le président de la République (un laïc, à l’époque), boycottait les réceptions auxquelles participaient les épouses enturbannées des chefs de l’AKP.
Un pic avait été atteint en mai 2006, lorsqu’un extrémiste (prétendument islamiste, mais qui était en réalité un homme de main du gang Ergenekon) avait fait irruption au Conseil d’État, bastion laïc par excellence, et abattu un juge. Des manifestations géantes avaient été organisées « pour la défense de la laïcité ». Les hauts gradés et l’establishment kémaliste avaient pris la tête des cortèges, tandis que le chef d’état-major appelait les citoyens à rester « mobilisés en permanence ». Même scénario, au printemps 2007, pour empêcher Erdogan de briguer la présidence. Abdullah Gül s’y risque à sa place. Le 27 avril, l’armée publie un communiqué sur son site internet menaçant d’intervenir pour « protéger la République ». L’épreuve de force tourne au profit de l’AKP, qui provoque et remporte des législatives anticipées, puis fait adopter par référendum le principe de l’élection du président au suffrage universel direct.
Big business en uniforme Grâce à Oyak, premier fonds de pension privé du pays, les forces armées disposent d’un véritable pactole. Fondé en 1961, ce gigantesque conglomérat industriel et financier emploie 28 500 personnes dans 60 sociétés (sidérurgie, ciment, énergie, banque, assurance, etc.), pour un chiffre d’affaires de 14,763 milliards de dollars en 2010 (10,372 milliards d’euros, + 19,8 % par rapport à 2009). Fleuron du groupe, le joint-venture Oyak-Renault, premier exportateur de voitures du pays l’an dernier, peut produire jusqu’à 360 000 véhicules par an.
En 2008, le parti évite de justesse d’être dissous pour activités antilaïques. Alors que l’affaire Ergenekon bat son plein, le général Basbug, nouveau chef d’état-major, multiplie conférences de presse et menaces. Rien n’y fait. Ultime camouflet, l’une des dispositions du référendum constitutionnel de septembre 2010 prévoit que les militaires pourront être jugés par des tribunaux civils en temps de paix.
Malgré cette incontestable érosion, l’armée conserve de solides réseaux et deux instruments de contrôle. D’abord, le Conseil de sécurité nationale (MGK), devenu consultatif mais où les militaires continuent de siéger aux côtés du gouvernement. Ensuite, et surtout, le secrétariat du MGK, qui emploie 1 200 personnes et où se détermine la politique de l’armée. Aucun chef de gouvernement, ministre ou journaliste n’a jamais pu y pénétrer. Restent, enfin, les réunions hebdomadaires du chef d’état-major avec le Premier ministre et une puissance financière intacte. L’armée garde un contrôle discrétionnaire sur Oyak, son gigantesque fonds de pension, et sur le budget de la défense, dont une partie commence à être évaluée, avec d’infinies précautions, par une nouvelle Cour des comptes.
Réclamée par l’Union européenne, la normalisation de son rôle dans la vie publique est loin d’être achevée. Mais, si ce processus semble bien engagé, c’est aujourd’hui l’absence criante d’une opposition politique crédible et efficace qui devient préoccupante. Sans contre-pouvoirs hormis celui de l’armée, l’AKP, qui a infiltré un certain nombre d’institutions (université, police, justice, etc.), donne de plus en plus libre cours à sa tentation hégémonique et à un affairisme effréné. Pas sûr, dans ces conditions, que la démocratisation dont il promet l’avènement depuis près de neuf ans soit au bout du chemin.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Turquie : l’armée marque le pas | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 25 Aoû 2011 - 23:29 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 13:10 | |
| - Citation :
La Turquie expulse l'ambassadeur d'Israël
La Turquie a décidé d'expulser l'ambassadeur d'Israël à Ankara et de suspendre tous ses accords militaires avec Tel-Aviv, a annoncé vendredi 2 septembre le ministre des affaires étrangères turc Ahmet Davutoglu.
Il a ajouté que son pays s'apprétait à réduire ses représentations diplomatiques dans l'Etat hébreu : "Les relations entre la Turquie et Israël sont ramenées au niveau de deuxième secrétaire (d'ambassade). Tous les responsables ayant un rang supérieur à celui de deuxième secrétaire, comme l'ambassadeur, rentreront dans leur pays avant mercredi."
Le chef de la diplomatie turc avait déjà prévenu jeudi que son gouvernement mettrait en œuvre son "plan B" de sanctions si Israël ne présentait pas ses excuses à Ankara pour l'abordage de la flottille vers Gaza d'ici la publication d'un rapport de l'ONU sur le sujet. L'assaut, lancé par des commandos israéliens dans les eaux internationales en 2010 avait coûté la vie à neuf Turcs.
Après le raid qui s'était déroulé dans les eaux internationales, la Turquie avait rappelé son ambassadeur à Tel-Aviv. L'Etat hébreu s'est dit prêt à exprimer ses regrets et à verser des fonds "à titre humanitaire" aux parents des victimes, mais a refusé de s'excuser pour ne pas exposer ses soldats à des poursuites judiciaires.
Dans son rapport publié officiellement vendredi, l'ONU dénonce une opération de la marine israélienne "déraisonnable" et "excessive", mais reconnaît la légalité du blocus naval. Israël a déclaré qu'elle accepterait le document avec des "réserves ponctuelles".
http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/09/02/la-turquie-expulse-l-ambassadeur-d-israel_1566941_3218.html |
| | | Nano Colonel
messages : 1650 Inscrit le : 18/05/2009 Localisation : Brest - Rabat Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 13:19 | |
| Les turques ont plus à perdre militairement que les israéliens .... à mon avis sa "pue" pour les F35 turque si l’escalade continue...( rrjou3 llah les amis ) | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 14:04 | |
| C'est une bonne décision, on est un pays fort et un état fort qui à un passé millénaire et impérial.
Nano: On perdra rien du tout, on gagnera en autonomie et en force, il est temps de faire confiance à la puissance de l'état turc. |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 14:21 | |
| La Turquie est une République, vive la République! Laissons donc ce passé impérial de côté, car le moins que l'on puisse dire, c'est que cela ne lui a pas porté chance, même si cela a permis la création de l'Etat turc. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 14:29 | |
| - rafi a écrit:
- La Turquie est une République, vive la République! Laissons donc ce passé impérial de côté, car le moins que l'on puisse dire, c'est que cela ne lui a pas porté chance, même si cela a permis la création de l'Etat turc.
La république est la continuité de l'empire, même si certains nous ont fait croire le contraire. On peut pas mettre de côté ce passé impérial. Car plusieurs de nos ancêtres sont morts pour l'empire. C'est comme la France, la république est la continuité du Royaume de France. Les français sont fières de leur passé royal, que sa soit avec François 1er ou Louis XIV. Ou autre. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 14:42 | |
| Cela ne risque pas de freiner la cooperation des F-35 avec les Américains ? Les USA sentiront que le petit frere Israéliens sera menacé |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 14:57 | |
| Si la République turque représente bien une chose, c'est la cassure complète et totale d'avec une forme impériale de gouvernement, ou plutôt d'arbitraire, qui a fait que le pouvoir ottoman a même été se battre pour des intérêts qui n'étaient pas les siens, en vassal des allemands. Ce que les français peuvent admirer dans l'Empire ou dans tel ou tel roi, ce sont les victoires qui y sont associés, pas les défaites, et surtout pas le retour à l'ancien régime honni, or, en Turquie l'enterrement de l'Empire sonne l'avenement d'un Etat turc dans lequel chacun peut se reconnaître en un citoyen qui décide de son sort, et non plus en un sujet qui subit ce qu'on lui impose. | |
| | | yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 16:04 | |
| - snak-boss a écrit:
- Cela ne risque pas de freiner la cooperation des F-35 avec les Américains ?
Les USA sentiront que le petit frere Israéliens sera menacé Les poids ne sont plus les mêmes, s'il faut remplir les caisses ils vont pas se gêner sa sera même bénéfique pour leur 'petit frère'. _________________ ."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 16:12 | |
| Erdogan se sent assez fort pour toucher Israel je suis impatient de voir la suite |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 16:13 | |
| - Baybars a écrit:
- rafi a écrit:
- La Turquie est une République, vive la République! Laissons donc ce passé impérial de côté, car le moins que l'on puisse dire, c'est que cela ne lui a pas porté chance, même si cela a permis la création de l'Etat turc.
La république est la continuité de l'empire, même si certains nous ont fait croire le contraire. On peut pas mettre de côté ce passé impérial. Car plusieurs de nos ancêtres sont morts pour l'empire. C'est comme la France, la république est la continuité du Royaume de France. Les français sont fières de leur passé royal, que sa soit avec François 1er ou Louis XIV. Ou autre. Tu me fais peur la! |
| | | Cherokee Colonel
messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 17:51 | |
| Ceci devra mettre plus de pression sur le conseil Militaire Egyptien maintenant vis a vis des manifestants qui reclamment le depart de l’ambassadeur Israelien | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 18:09 | |
| je critiqué la Turquie sur le dossier libyens mais la rien a dire Des bonhommes... baybars va apprécier |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 18:19 | |
| les politiciens israéliens aussi ont la tête très dure je ne sais pas comment ils peuvent risquer leur relations avec un grand pays de la région comme la Turquie,pour une chose qui ne coûtera rien,des excuses pour une erreur qu'ils ont commis si les forces turques avaient tué quelques israéliens...qui auraient fait les israéliens ?
Dernière édition par moroccan-soldier le Ven 2 Sep 2011 - 18:21, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 18:21 | |
| - rafi a écrit:
- Si la République turque représente bien une chose, c'est la cassure complète et totale d'avec une forme impériale de gouvernement, ou plutôt d'arbitraire, qui a fait que le pouvoir ottoman a même été se battre pour des intérêts qui n'étaient pas les siens, en vassal des allemands. Ce que les français peuvent admirer dans l'Empire ou dans tel ou tel roi, ce sont les victoires qui y sont associés, pas les défaites, et surtout pas le retour à l'ancien régime honni, or, en Turquie l'enterrement de l'Empire sonne l'avenement d'un Etat turc dans lequel chacun peut se reconnaître en un citoyen qui décide de son sort, et non plus en un sujet qui subit ce qu'on lui impose.
Tu parle comme certains qui rejeter l'empire, non, la république est la continuité de l'empire, il y a juste eu un changement de régime qui était devenu obligatoire. L'empire n'arrivait plus à être gérer, c'est ce qui à eu un coup de pouce pour la République. Les empires et la république forme un seul état, que sa les seldjoukides, les ottomans, la République, ou autres... La Turquie à aussi durcit le ton face à Chypre, les navires de guerres patrouilleront et empêcheront tout recherche de pétrole sans l'accord de la Turquie. Les opérations seraient en cours de préparation en Irak du Nord. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 18:23 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 18:39 | |
| - Alloudi a écrit:
- Erdogan se sent assez fort pour toucher Israel
je suis impatient de voir la suite Bizarre, mais cette décision vient juste après l'accord entre la Turquie et les Usa pour l'installation de système AA de l'Otan, le radar sera en Turquie et ainsi que les missiles. Les Usa ont l'air de pas être gêné par cette situation. |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 18:49 | |
| L'expulsion de la famille impériale, l'abolition du Califat, l'adoption d'une constitution, l'adoption de l'alphabet latin, l'adoption du code civil, l'interdiction de la polygamie, l'instauration du mariage civil, l'adoption du code pénal, la création de partis d'opposition, l'enseignement obligatoire, l'adoption de la loi obligeant les Turcs à prendre des noms de famille, l’interdiction de porter l'habit religieux en dehors des lieux de culte, la promotion du costume et du chapeau, l'adoption du dimanche, au lieu du vendredi, comme jour de repos hebdomadaire, l'amendement constitutionnel qui officiellement définie la Turquie comme un État laïc. Ce qui est arrivé à la Turquie moderne ne résulte donc d'une transformation de l’Empire ottoman, mais bien d'une transformation en profondeur du pays, d'une profonde rupture de l'ancien monde vers un État républicain.
Dernière édition par rafi le Ven 2 Sep 2011 - 18:51, édité 1 fois | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 18:50 | |
| et ca vient peu avant la declaration de l´etat palestinien a l´ONU ce geste me parrait comme une carte a jouer,si les US bloquent l´appel palestinien,la Turquie fera le reste(plus de representation israelienne meme 2eme secretaire,plus rien) si par contre l´US ne bloque pas,ce qui me parraitrai apres un peu comme conclu avec la Turquie ce coup,alors la la Turquie retirera sa decision et l´ambassadeur reviendra,mais israel sera affaiblie avec l´etat palestinien crée,ce qui renforcera la Turquie
just my 2 cents _________________ | |
| | | FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 2 Sep 2011 - 18:52 | |
| @rafi: l'accès au pouvoir d'un parti islamique, retour du voile à l'université, des mosquées au sein des casernes de l'armée, une nouvelle politique régionale pas très pro-israel ne s'agit ils pas d'un retour à l'empire sous une autre forme _________________ "La stratégie est comme l'eau qui fuit les hauteurs et qui remplit les creux" SunTzu
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