Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
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| Économie marocaine | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 19 Fév - 3:48 | |
| Rappel du premier message : - Citation :
- La Chine devient le 3e partenaire commercial du Maroc
2011-02-14 08:28:06 xinhua Malgré les effets de la crise financière mondiale, la coopération maroco-chinoise mutuellement bénéfique s'est élargie, à l'occasion de la visite de travail effectuée, les 13 et 14 février au Maroc, par le ministre chinois du Commerce, M. Chen Deming.
Selon un communiqué du ministère marocain du Commerce extérieur, cette visite de deux jours est l'occasion pour les deux pays de poursuivre les discussions qu'ils ont engagées au cours de leur rencontre à Pékin en octobre 2009, afin de renforcer les échanges commerciaux et le partenariat.
Au cours de cette visite, des conventions vont être signées en vue de promouvoir le commerce et l'investissement entre le Maroc et la Chine, précise la même source.
Les relations commerciales maroco-chinoises sont régies par l'accord commercial et économique du 28 mars 1995. La Chine devient le 3e partenaire commercial du Royaume en 2010, après la France et l'Espagne, avec des échanges de 26,8 milliards de dirhams (MMDH), soit 6% des échanges de marchandises réalisés par le Maroc avec l'étranger, relève le communiqué.
Selon l'Office des changes, les exportations de la Chine vers le Maroc ont enregistré, au cours des cinq dernières années, une progression soutenue, passant de 11MMDH en 2006 à plus de 20 MMDH en 2009. Les exportations de la Chine vers le Maroc comprennent l' électroménager, le textile, les articles de haute technologie, le thé, le café, le fer, le plastique..La Chine importe du Maroc des pièces détachées, des engrais chimiques, des articles de cuivre, des produits aquatiques, l'uranium, des agrumes et des fruits secs.
Aussi, la coopération bilatérale dans les secteurs de la pêche maritime, des télécommunications et des infrastructures connaît-elle une évolution très positive. Les investissements chinois réels au Maroc ont atteint 170 millions de dollars. Aujourd'hui, plusieurs entreprises chinoises oeuvrent à étendre leur présence au Maroc sans oublier les experts agronomes envoyés par Pékin pour la mise en oeuvre du programme de coopération agricole avec le Maroc.
Les deux pays tentent de développer les relations bilatérales dans le domaine de la culture du riz, de l'irrigation, de la mécanisation agricole et du dessalement de l'eau. L'industrie automobile chinoise est très présente au Maroc. Des véhicules chinois y sont introduits: des camions, des camionnettes et des voitures. Cette initiative est appréciée par le consommateur marocain. Le coût est moins élevé et la qualité est assurée. Les articles chinois sont toujours compétitifs car moins chers.
Par ailleurs, le nombre de touristes chinois ayant visité le Maroc en 2009, s'est établi à 4660. Selon l'Office national marocain du Tourisme (ONMT), à l'horizon 2020, le potentiel de touristes chinois, susceptibles d'être approchés par la destination Maroc pourrait se situer entre 2,5 et 3,1 millions.
La Chine est aujourd'hui la 4e destination la plus prisée des touristes étrangers, dont le nombre a augmenté ces dix dernières années, passant de 8 à 48 millions annuellement.
http://french.cri.cn/621/2011/02/14/301s238152.htm |
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Auteur | Message |
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leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 10/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 28 Oct - 5:37 | |
| - moroccan-soldier a écrit:
- Aussi,nous ne pouvons pas nier que la production et exportation d'huile d'argan au Maroc est en développement continu
c'est long depuis l'indépendance on a eu 60 an pour faire des miracles , la corée elle est 7eme puissance économique /6eme exportateur au monde elle a commencé bien apres nous , on a suivit le blabla lkhaoui et on a laissé le travaille , ya pas que nous les européens aussi aime le luxe _________________ Pro rege, saepe, pro patria semper اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة | |
| | | IDRISSPARIS Caporal chef
messages : 159 Inscrit le : 27/08/2010 Localisation : PARIS Nationalité :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 28 Oct - 7:45 | |
| bonsoir a tous on va pas quand meme en faire une autre principal force de devise il faut viser une industrie de masse pourquoi on essaye pas les batterie electrique pour les voitures et moto pour les camion est leur marchandises les mettres sur fret juste pour suprimer cette factue energetique qui gonfle a chaque fois | |
| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 28 Oct - 8:18 | |
| Bonne nouvelle - Citation :
- Automobile
Automobile : 12% des exportations du pays !
Elles ont progressé de 26.5% par rapport à 2010.
S’il est un des huit «métiers mondiaux» du Maroc, tels que définis par le Plan Emergence, qui est en vue actuellement, c’est bien celui de l’automobile. En attestent les ventes à l’étranger de la branche industrielle automobile qui ont totalisé à fin septembre dernier 16,3 milliards de DH, en hausse de 26,5% par rapport à la même période de l’année dernière. Ce chiffre représente 12% des exportations totales du pays (à fin septembre).
Le secteur automobile dépasse désormais deux autres secteurs qui représentent une bonne partie de nos exportations, en l’occurrence les phosphates bruts et le textile (vêtements confectionnés) qui réalisent chacun près de 10 milliards. De même que les exportations du secteur automobile frôlent ce que rapportent les expéditions totales du groupe «produits alimentaires, boissons et tabac» qui réalise 17,9 milliards.
Cette performance n’est pas le fruit du hasard. Les exportations du secteur automobile sont en progression constante depuis plus de deux ans. A fin septembre 2009, elles se situaient à seulement 7,74 milliards de DH. Le câblage est en grande partie à l’origine de la hausse avec 11,5 milliards de DH d’exportations.
Les activités «construction automobile» et «sièges et coiffes de sièges» y ont également contribué avec respectivement 1,9 et 1,3 milliard, la première ayant progressé grâce aux ventes de voitures industrielles et de voitures de tourisme qui ont plus que doublé leurs exportations. Et visiblement le meilleur est à venir. Le démarrage de la production de l’usine de Renault à Tanger Med en janvier prochain va booster les exportations de cette branche industrielle.
Hakim Challot. La Vie éco www.lavieeco.com
2011-10-28 _________________ Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 28 Oct - 14:50 | |
| - leadlord a écrit:
- c'est long depuis l'indépendance on a eu 60 an pour faire des miracles , la corée elle est 7eme puissance économique /6eme exportateur au monde elle a commencé bien apres nous , on a suivit le blabla lkhaoui et on a laissé le travaille , ya pas que nous les européens aussi aime le luxe
Je suis d'accord,malheureusement,le Maroc a réveillé plus tard,jusqu'à l'arrivée de sa majesté le Roi M6,mais grâce à Dieu,nous vivons aujourd'hui dans un développement économique etc..,que de nombreux pays à travers le monde rêvent d'avoir. |
| | | ready Capitaine
messages : 945 Inscrit le : 21/07/2010 Localisation : loin !! Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 28 Oct - 16:29 | |
| - Ichkirne a écrit:
-
- Citation :
- [color=red]
http://www.lavieeco.com/news/economie/une-vision-2020-en-preparation-pour-la-formation-professionnelle-20478.html - Citation :
- [b]Centres d’appels/10 ans après
Le marché pourrait tripler d’ici 2 ans
Un chiffre d’affaires potentiel de 12 milliards de DH
Forte concentration sur l’offshoring francophone (90%)
Carrefour des call-centers et eldorado de la relation client à distance, le Maroc se positionne aujourd’hui comme une destination offshore par excellence. Il y a un peu plus de 10 ans, le pays ne comptait pas de vrais centres d’appels, mais quelques gros standards téléphoniques qui avaient zéro valeur ajoutée. Depuis 2000, de nouvelles structures ont vu le jour et se sont positionnées en spécialistes de la relation client. Pour l’heure, le marché compte plus de 250 opérateurs spécialisés dans le télémarketing et l’outsourcing. Ils sont installés dans différentes régions, mais surtout concentrés sur l’axe Casablanca-Rabat (environ 80% des sites). Le reste est réparti entre Tanger, Fès, Marrakech, Agadir. Parmi les nouveaux entrants, le marché compte désormais avec Téleperformance, une entreprise française spécialisée en relation client à distance. Genpact, leader mondial dans la prestation de services en management de l’entreprise, vient également de s’installer au Maroc. Il y a aussi Solutions 30, leader européen d’assistance à l’utilisation des nouvelles technologies numériques. Ce groupe vient d’ailleurs de confirmer son implantation au Maroc après avoir quitté la Tunisie, suite au printemps arabe. «C’est un segment à la fois mature et dynamique en termes de croissance, de taille, de création d’emplois et dans les métiers de l’offshoring, de Business process outsourcing (BPO) et de backoffice», tient à préciser Youssef Chraïbi, président de l’Association marocaine de la relation client (AMRC). Pour preuve, l’activité a permis la réalisation d’un chiffre d’affaires de plus 4 milliards de DH à l’export en 2010. Ce qui a permis d’assurer une croissance annuelle de l’ordre de 20%, maintenue depuis 3 ans. Ainsi, le chiffre d’affaires est passé de 2 milliards de DH en 2008 à plus de 3,3 milliards en 2009 avant de dépasser les 4 milliards l’an dernier. Côté emploi, «l’activité a contribué à la création de 35.000 postes en 2011 contre 33.000 l’an dernier. En 2010 uniquement, le secteur a généré quelque 6.000 emplois supplémentaires», rappelle Chraïbi. C’est d’ailleurs l’un des rares secteurs qui a maintenu un niveau important d’employabilité et ce, dans une conjoncture difficile marquée par un repli des donneurs d’ordre dans la région. D’autant plus que le marché de l’emploi souffre d’un déficit en termes de ressources qualifiées. Fort de la dynamique enclenchée, le site Maroc mise sur son expérience de 10 ans et sa proximité à la fois géographique et culturelle pour séduire des donneurs d’ordre. Ainsi, la faiblesse du coût de la main-d’œuvre, les incitations fiscales, les degrés de qualification et la proximité ont joué en faveur de la compétitivité du secteur. La conjoncture européenne est venue confirmer les atouts du site Maroc. Sur ce point, les professionnels sont unanimes. La morosité qui caractérise le marché européen a plutôt plaidé pour des délocalisations et externalisations vers le Maroc. Pour l’heure, la logique veut que le Maroc soit l’attraction des francophones majoritairement. «Le plus gros de notre activité est concentré sur l’offshore francophone, soit 90%. Les deux principales langues représentées dans le marché de l’export sont le français et l’espagnol, puisque la France et l’Espagne sont les premiers donneurs d’ordre», affirme Hicham Boutaleb, DG d’Access Téléservices. D’où l’effort impératif de diversification vers des marchés anglophones et arabophones. «L’anglophone représente moins de 10% du chiffre d’affaires», précise Boutaleb. Si le Maroc met l’accent sur le marché francophone, principalement dans le BPO et le CRM, c’est aussi parce que ces segments représentent le potentiels le plus important à l’horizon 2013. La stratégie nationale Maroc Numeric 2013 mise gros sur ce potentiel. Selon une étude réalisée par la direction des études et prévisions financières(DEPF), citant Datamonitor, le chiffre d’affaires potentiel de ce segment est de 12,6 milliards de DH, dont 87% concernent le marché francophone. Quant au nombre d’emplois potentiels du secteur, il est estimé à près de 70.000 postes dont 60.000 sur le marché francophone uniquement.
Concurrence
Le climat favorable à l’expansion de l’externalisation en Europe attire d’autres destinations ciblant le marché francophone et rivalisant ainsi avec le Maroc. Parmi les concurrents redoutables, figure la Roumanie dont le potentiel humain est hautement qualifié et les niveaux de salaires plus bas. Autre concurrent de taille, la Tunisie. Un pays qui profite aussi de la proximité avec l’Europe et dispose de ressources qualifiées, mais les infrastructures sont jugées insuffisantes dans le domaine des télécoms. Le printemps arabe et le manque de visibilité des donneurs d’ordre sur ce pays ont brimé l’élan des implantations dans ce pays. Il y a aussi l’Ile Maurice qui a d’excellentes infrastructures et de ressources de qualité. D’autres pays commencent à émerger sur la carte de l’offshore, tels que l’Algérie, le Sénégal ou encore Madagascar.
http://www.leconomiste.com/article/887904-centres-d-appels10-ans-apresbrle-marche-pourrait-tripler-d-ici-2-ans J'étais à cette conférence de presse ou on été interviewé Chraibi et Boutaleb (Morning Meeting organisé par Vocalcom) !! Le journaliste est nul les discution sont allé beaucoup plus loins que ce qu'il raconte, il y avait nottament un journaliste Français qui à longuement débattu avec chraibi ... CT très interressant ! | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 14/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 29 Oct - 1:34 | |
| - ibnbattuta a écrit:
Si les exportations marocaines vers la Chine concernent essentiellement des pièces détachées, des engrais chimiques, des articles de cuivre, des produits aquatiques, de l'uranium et des agrumes... le Maroc importe quant à lui de l'électroménager et des articles de haute technologie chinois ainsi que du textile. http://www.leblogfinance.com/2011/10/maroc-banque-centrale-populaire-yuan.html j´ai raté quelquechose? _________________ | |
| | | yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 29 Oct - 2:28 | |
| - Yakuza a écrit:
- ibnbattuta a écrit:
Si les exportations marocaines vers la Chine concernent essentiellement des pièces détachées, des engrais chimiques, des articles de cuivre, des produits aquatiques, de l'uranium et des agrumes... le Maroc importe quant à lui de l'électroménager et des articles de haute technologie chinois ainsi que du textile. http://www.leblogfinance.com/2011/10/maroc-banque-centrale-populaire-yuan.html j´ai raté quelquechose? Il y avait une convention en 2007 avec AREVA pour commencer l'extraction depuis le phosphate avec de nouvelles méthodes mais delà à commencer la production ... | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 14/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 29 Oct - 2:43 | |
| c´etait meme pas pour commencer,mais seulement..etude..de viabilité..de l´extraction ...et depuis walou le cooperation a stopé! mtn que je lis qu´on exporte ca c´est du new pour moi,mais vu que le site n´est pas marocain je dirai faute de la journaliste _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 29 Oct - 10:56 | |
| Le gouvernement marocain a t-il une feuille de route pour comblé le déficit commercial? |
| | | leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 10/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 29 Oct - 11:12 | |
| - Baybars a écrit:
- Le gouvernement marocain a t-il une feuille de route pour comblé le déficit commercial?
pour l'instant le gouvernement est a la porte ya que des spéculation électorale on verra avec le prochain gouvernement d'ici un mois . _________________ Pro rege, saepe, pro patria semper اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 29 Oct - 12:09 | |
| Le seul plan pour lequel le Maroc a opté, c'est de doper ses exportations afin de ré-équilibrer la balance commerciale... avec un retour prévu à l'équilibre en 2014 selon mezouar... cela dit je ne vois pas comment il va faire, il aurait fallut lancer les stratégies sectorielles une décennie plus tôt... Je ne vois pas comment il veut y arriver, d'ailleurs apparemment il est le seul à y croire ! Vous me direz à moins d'ouvrir 3 autres usines comme celle de Renault, produire des trains et des tramways, produire des autocars et des camions pour Mercedes & Man, d'avoir un chantier navale, avoir le grand frère de Tanger Med qui est Nador West Med, exporter de l'uranium, construire des batteries pour véhicules electriques, et des usines samsung, nokia qui produisent pour le monde entier d'ici 2014... c'est quasiment utopique |
| | | leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 10/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 29 Oct - 14:20 | |
| - Spartan a écrit:
- Le seul plan pour lequel le Maroc a opté, c'est de doper ses exportations afin de ré-équilibrer la balance commerciale... avec un retour prévu à l'équilibre en 2014 selon mezouar... cela dit je ne vois pas comment il va faire, il aurait fallut lancer les stratégies sectorielles une décennie plus tôt...
Je ne vois pas comment il veut y arriver, d'ailleurs apparemment il est le seul à y croire ! Vous me direz à moins d'ouvrir 3 autres usines comme celle de Renault, produire des trains et des tramways, produire des autocars et des camions pour Mercedes & Man, d'avoir un chantier navale, avoir le grand frère de Tanger Med qui est Nador West Med, exporter de l'uranium, construire des batteries pour véhicules electriques, et des usines samsung, nokia qui produisent pour le monde entier d'ici 2014... c'est quasiment utopique malgré l'augmentation des exportations marocaine je crois 26% celle année si ma mémoire est bonne , le déficit n’arrête pas d'augmenté lui aussi , mais c'est a cause des prix du pétrole , il représente la grande majorité de importation marocaine la part du lion va a l'énergie d’où la nécessité d'avoir 2 chose de l’énergie renouvelable en masse et des centrales nucléaire _________________ Pro rege, saepe, pro patria semper اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة | |
| | | Ichkirne Capitaine
messages : 826 Inscrit le : 19/08/2011 Localisation : Paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 29 Oct - 20:29 | |
| - Citation :
- Morocco Agribusiness Report Q4 2011
Business Monitor International's Morocco Agribusiness service provides proprietary medium term price forecasts for key commodities, including corn, wheat, rice, sugar, cocoa, coffee, soy and milk; in addition to newly-researched competitive intelligence on leading agribusiness producers, traders and suppliers; in-depth analysis of latest industry developments; and essential industry context on Morocco's agribusiness service.
BMI View: New official figures and data from the USDA and the FAO have encouraged BMI to make further changes to their production forecasts for Morocco's agribusiness sector. In the case of wheat and barley, production growth based on the harvest ending June 2011 outperformed government expectations. Although relatively weak production growth is expected for Morocco's livestock and dairy sectors in 2011, growth in all sectors will remain positive and is predicted to accelerate from 2012. Production growth will be especially strong for wheat, barley and poultry owing to the steady expansion of Morocco's economy and rising GDP per capita ratios.
Social unrest and the recent terrorist attack in Marrakech previously led BMI to revise down their growth forecasts for 2011. However, they now believe that increased government spending will prevent a more pronounced downturn. Between 2011 and 2015, BMI predict that Morocco's annual GDP growth will average 4.7%. BMIs five-year forecasts continue to envisage strong growth in the consumption of poultry, beef, dairy produce and sugar. Demand growth in these segments will benefit from rising living standards and by an expanding population.
Key Forecasts
- Wheat production growth to 2014/15: 46% to 7.11mn tonnes. Wheat is a staple food in Morocco. Production growth will reflect growing demand for wheat as well as ongoing investments in the sector. - Wheat consumption growth to 2014/15: 19% to 9.91mn tonnes. Morocco is expected to remain highly dependent on wheat imports to satisfy overall demand. - Barley and corn consumption growth to 2014/15: 25% to 3.82mn tonnes and 26% to 2.52mn tonnes respectively. Consumption of both grains will be driven by increasing demand for animal feed. - Poultry and beef production growth to 2014/15: 24% to 644,700 tonnes and 20% to 202,300 tonnes respectively, fuelled by strong domestic demand for meat as well as government support for modernisation and expansion initiatives. - Dairy production growth to 2014/15: Milk: 16% to 2.19mn tonnes; Cheese: 15% to 46,360 tonnes; Butter: 17% to 32,110 tonnes. Growth will be fuelled by rising consumption demand, especially in the case of higher-value dairy products. Production will also benefit from the adoption of more productive technology and the introduction of higher-yielding, quality producing cows. - Sugar production growth to 2014/15: 10%. This growth is from a weak base and reflects a recent period of negative and stagnant output. Longer-term growth should benefit from targeted support for initiatives such as irrigation, improved farming methods and greater access to inputs such as fertilisers. - Morocco real GDP growth 2012: 5.1%, up from 4.1% in 2011. Over the longer term, we forecast GDP growth to average 4.7% between 2011 and 2015. - Morocco private consumption growth 2012: 2.0%, unchanged from 2011. The main driver of headline inflation is food, which accounts for 40% of the consumer price basket. - Morocco unemployment rate 2012: 8.5%, down from 8.8% in 2011.
Industry Developments
In light of the relative importance of agriculture to Morocco's economy, the agribusiness sector will continue to benefit from substantial levels of investment. In December 2010, Morocco signed a MAD780mn (US$93mn) financing agreement with the EU to support Moroccan agricultural sector policy. The investment will help back the implementation of the Green Morocco Plan, a package of reforms targeted specifically at rural areas. The programme aims to gradually improve the bovine meat, date palm and olive grove sectors, along with other products including local truffles.
In July, the US Grains Council (USGC) signed separate agreements with Morocco's red meat producers' association and poultry association to continue working on projects to expand both sectors. BMI maintains its view that Morocco's livestock industry - especially the poultry and beef sectors - offers considerable opportunity for further investment and development. In recent years, livestock production has already benefited from increased investment as producers look to address growing demand. Demand for poultry has been notably high, with consumption growth reflecting an expanding population and rising GDP per capita. A growing number of fast-food outlets are also boosting demand for processed meats.
Although demand for poultry and beef will partially be met through imports, domestic production also stands to benefit. Value-added dairy products are also seen as offering opportunities for investment. Over the next few years, demand for cheese, butter and yoghurt is expected to show strong growth. Average annual milk yields are low in Morocco, highlighting investment opportunities in improving dairy production efficiency. Meanwhile, despite concerns about the rising price of major commodities, BMI believes that government interventions in the form of subsidies and stockpiling should help to ensure that consumption demand for basic food products remains steady.
Over the longer term, Morocco has potential to emerge as a key investor in agribusiness elsewhere in Africa. In March, the country's state-run phosphate monopoly OCP revealed that it had started work on a new fertiliser plant as part of a long-term plan to strengthen its presence and sales to Africa's underproductive agricultural sector. Although it had been focusing its business development effort on partnerships in Africa. The development and use of fertilisers is viewed as a potential growth area for the next 20-30 years, despite obstacles such as perceived corruption.
http://www.researchandmarkets.com/research/211578/morocco_agribusine | |
| | | Ichkirne Capitaine
messages : 826 Inscrit le : 19/08/2011 Localisation : Paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 30 Oct - 0:09 | |
| - Citation :
- Paypal, enfin au Maroc
Un nouveau mode de paiement est finalement proposé au consommateur marocain pour faciliter et sécurisé ses transactions en ligne. Il s'agit du PAYPAL.
Ce nouveau mode de paiement vient s'ajouter à la multiplicité des modes de paiement déjà existants au Maroc.
Premièrement, c'est quoi le PAYPAL:
Le PAYPAL est un mode de paiement en ligne, le plus sécurisé dans le monde. C'est une solution professionnelle bien connue, destinée à tous ceux qui vendent et achètent sur Internet avec des volumes faibles.
D'après les derniers chiffres fournis par le Centre Monétique Interbancaire (CMI), on constate que le commerce électronique au Maroc est en train de se développer et les transactions réalisées en ligne sur les différents sites marchands marocains sont en progression.
Au Maroc, Le taux de bancarisation reste faible malgré toutes les efforts menés par les différentes institutions financières. Mais cela ne présente pas un frein au développement du e-commerce dans notre pays, au contraire, les transactions sont en progression, les sites marchands aussi et la confiance entre le consommateur et les entreprises commence à s'établir.
Avec un compte PAYPAL le consommateur marocain pourra:
- Acheter sur Internet, - Recevoir de l'argent dans son compte PAYPAL, - Vendre sur son site e-commerce,
En partenariat avec Maroc Télécommerce, PAYPAL devient accessible au Maroc.
Est ce qu'il va ajouter un plus au autres modes de paiement déjà existants ?!
Et quel sera son apport au e-commerce au Maroc ?!
http://www.come4news.com/paypal,-enfin-au-maroc-89871 | |
| | | atlasonline Colonel-Major
messages : 2010 Inscrit le : 22/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 30 Oct - 0:38 | |
| - Ichkirne a écrit:
-
- Citation :
- Paypal, enfin au Maroc
Un nouveau mode de paiement est finalement proposé au consommateur marocain pour faciliter et sécurisé ses transactions en ligne. Il s'agit du PAYPAL.
Ce nouveau mode de paiement vient s'ajouter à la multiplicité des modes de paiement déjà existants au Maroc.
Premièrement, c'est quoi le PAYPAL:
Le PAYPAL est un mode de paiement en ligne, le plus sécurisé dans le monde. C'est une solution professionnelle bien connue, destinée à tous ceux qui vendent et achètent sur Internet avec des volumes faibles.
D'après les derniers chiffres fournis par le Centre Monétique Interbancaire (CMI), on constate que le commerce électronique au Maroc est en train de se développer et les transactions réalisées en ligne sur les différents sites marchands marocains sont en progression.
Au Maroc, Le taux de bancarisation reste faible malgré toutes les efforts menés par les différentes institutions financières. Mais cela ne présente pas un frein au développement du e-commerce dans notre pays, au contraire, les transactions sont en progression, les sites marchands aussi et la confiance entre le consommateur et les entreprises commence à s'établir.
Avec un compte PAYPAL le consommateur marocain pourra:
- Acheter sur Internet, - Recevoir de l'argent dans son compte PAYPAL, - Vendre sur son site e-commerce,
En partenariat avec Maroc Télécommerce, PAYPAL devient accessible au Maroc.
Est ce qu'il va ajouter un plus au autres modes de paiement déjà existants ?!
Et quel sera son apport au e-commerce au Maroc ?!
http://www.come4news.com/paypal,-enfin-au-maroc-89871 C'est une bonne nouvelle, mais il reste beaucoup de choses à clarifier : * Est ce que la liaison avec le compte Paypal se fera avec la carte visa/mastercard marocaine ou la carte visa internationale ? * Les achats se feront que dans les sites marocains ou aussi les sites étrangers ? * Pourquoi Maroc Telecommerce garde toujours le monopole des paiements en ligne, plusieurs sociétés marocaines n'ont pas eu l'autorisation et les facilités pour rentrer dans ce domaine, c'est louche. * Est ce que cette annonce signifie qu'on pourra enfin rapatrier le solde Paypal reçu de l'étranger ? Jusqu'à maintenant, si tu reçois l'argent dans ton compte Paypal, tu ne peux pas l'utiliser !! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 30 Oct - 0:48 | |
| - Ichkirne a écrit:
-
- Citation :
- Paypal, enfin au Maroc
Un nouveau mode de paiement est finalement proposé au consommateur marocain pour faciliter et sécurisé ses transactions en ligne. Il s'agit du PAYPAL.
Ce nouveau mode de paiement vient s'ajouter à la multiplicité des modes de paiement déjà existants au Maroc.
Premièrement, c'est quoi le PAYPAL:
Le PAYPAL est un mode de paiement en ligne, le plus sécurisé dans le monde. C'est une solution professionnelle bien connue, destinée à tous ceux qui vendent et achètent sur Internet avec des volumes faibles.
D'après les derniers chiffres fournis par le Centre Monétique Interbancaire (CMI), on constate que le commerce électronique au Maroc est en train de se développer et les transactions réalisées en ligne sur les différents sites marchands marocains sont en progression.
Au Maroc, Le taux de bancarisation reste faible malgré toutes les efforts menés par les différentes institutions financières. Mais cela ne présente pas un frein au développement du e-commerce dans notre pays, au contraire, les transactions sont en progression, les sites marchands aussi et la confiance entre le consommateur et les entreprises commence à s'établir.
Avec un compte PAYPAL le consommateur marocain pourra:
- Acheter sur Internet, - Recevoir de l'argent dans son compte PAYPAL, - Vendre sur son site e-commerce,
En partenariat avec Maroc Télécommerce, PAYPAL devient accessible au Maroc.
Est ce qu'il va ajouter un plus au autres modes de paiement déjà existants ?!
Et quel sera son apport au e-commerce au Maroc ?!
http://www.come4news.com/paypal,-enfin-au-maroc-89871 ???! maroctélécommerce n'y est pour rien, paypal est disponible depuis pas mal d'années sauf qu'avant 2011 les particuliers n'avaient accès à une carte internationale qui est nécessaire pour la validation d'un compte paypal suite au circulaire de l'office des changes fin décembre 2010 autorisant aux particuliers une dotation en devises dédiée à l'e-commerce avec un plafond de 10 000dhs/an (hors la dotation touristique) qui sera vu à la hausse dans les années à venir, plusieurs banques proposent ce produit: BMCE: E-Pay Attijariwafa Bank: Pay Web SGMB: e-c@rte CIH: E-Shopping |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 30 Oct - 1:05 | |
| en fait le fameux "maroc télécommerce" dont parle l'article est "e-commerce conseil" il n'y a aucun lien entre ces deux entreprises!! cette derniere est sans aucun historique et le directeur MENA de paypal en personne à nier tout partenariat exclusive avec!! pour s'inscrire sur paypal c'est: paypal.com/ma attention "e-commerce conseil" est une simple boite de développement qui intègre le module paypal aux webmasters débutants qui le souhaitent, en retour en vous parrainant il touche des commissions sur vos transactions paypal... pour plus d'infos: https://fr-fr.facebook.com/ovpaypalmaroc (Mouvement "On veut Paypal au Maroc") |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 30 Oct - 1:53 | |
| - leadlord a écrit:
malgré l'augmentation des exportations marocaine je crois 26% celle année si ma mémoire est bonne , le déficit n’arrête pas d'augmenté lui aussi , mais c'est a cause des prix du pétrole , il représente la grande majorité de importation marocaine la part du lion va a l'énergie d’où la nécessité d'avoir 2 chose de l’énergie renouvelable en masse et des centrales nucléaire Il serait judicieux de taxé le pétrole et les produits de luxe. |
| | | metkow Adjudant
messages : 390 Inscrit le : 22/06/2008 Localisation : inconnu Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 30 Oct - 2:07 | |
| je ne savais pas qu'on exportait autant pour le câblage!!, mais je pense que le 11 Milliard englobe aussi les exportations du secteur aéronautique. en tout cas ça augure bien pour l'avenir - Citation :
- Exportations. Au royaume de l’automobile
Pour la première fois dans l’histoire du pays, les exportations de phosphates ont été distancées par une autre branche industrielle. Il ne s’agit pas du textile, ni de l’agroalimentaire, secteurs où l’on pense être les champions de la région, mais de…l’automobile. Oui, cette industrie pourtant nouvelle a réalisé sur les neuf premiers mois de l’année quelque 16,3 milliards de dirhams de chiffre d’affaires à l’export. Son poids dans l’ensemble des ventes du pays à l’international pèse désormais pour près de 12%, contre moins de 11% pour les phosphates. Le plus gros du flux à l’export a été ainsi réalisé par l’activité câblage (11,5 milliards de dirhams), suivie de très loin par la construction pure et dure, boostée par le succès grandissant de la Logan made in Morocco, en Tunisie et en Egypte notamment. Mais ce n’est pas tout. Les chiffres de l’industrie automobile risquent encore de nous surprendre l’année prochaine, avec le démarrage effectif de l’usine tangéroise du constructeur français Renault. M.M.
| |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 11/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 30 Oct - 2:10 | |
| @ Baybars, Le litre d'essence est déjà très cher et une augmentation pénalisera d'abord les plus faibles. L'état a introduit une augmentation significative des vignettes ou les véhicules puissants sont très taxés. Tu paies en fonction de la puissance du vehicule. Mais bien d'accord sur la taxation a un niveau supérieur des produits de luxe. Et un ISF serait le bienvenu. Notre problème est que nous ne créons pas assez de richesse. Pas assez de transformation en produits finis et surtout pas assez d'audace de notre classe entrepreunariale trop habituée a la rente.
Pgm | |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 30 Oct - 4:32 | |
| - PGM a écrit:
- @ Baybars,
Le litre d'essence est déjà très cher et une augmentation pénalisera d'abord les plus faibles. L'état a introduit une augmentation significative des vignettes ou les véhicules puissants sont très taxés. Tu paies en fonction de la puissance du vehicule. Mais bien d'accord sur la taxation a un niveau supérieur des produits de luxe. Et un ISF serait le bienvenu. Notre problème est que nous ne créons pas assez de richesse. Pas assez de transformation en produits finis et surtout pas assez d'audace de notre classe entrepreunariale trop habituée a la rente.
Pgm +100 PGM. La vieille clique entrpreunarial a delegue a la nouvelle bad habits. Je le dis en etant la bas une fois pour parler avec qq proprietaire d'entreprises marocaine pour etudier l'export vers les USA leur reponse etait" hamduillah on a le marche marocains et en plus on n'est pas tres grand comme vous aux USA" j'allais presque me suicider.Il y avait walmart ,target ,sam, cosco etc des poids lourds.Ce qu'il leur faut a ces somnombulant proprietaire marocains c'est les eradiques avec une agressive competitions en laissant les companies de l'exterieure commercialises les memes produits comme cela ils bougeront leur feneant cus. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 30 Oct - 6:11 | |
| - juba2 a écrit:
- PGM a écrit:
- @ Baybars,
Le litre d'essence est déjà très cher et une augmentation pénalisera d'abord les plus faibles. L'état a introduit une augmentation significative des vignettes ou les véhicules puissants sont très taxés. Tu paies en fonction de la puissance du vehicule. Mais bien d'accord sur la taxation a un niveau supérieur des produits de luxe. Et un ISF serait le bienvenu. Notre problème est que nous ne créons pas assez de richesse. Pas assez de transformation en produits finis et surtout pas assez d'audace de notre classe entrepreunariale trop habituée a la rente.
Pgm
+100 PGM. La vieille clique entrpreunarial a delegue a la nouvelle bad habits. Je le dis en etant la bas une fois pour parler avec qq proprietaire d'entreprises marocaine pour etudier l'export vers les USA leur reponse etait" hamduillah on a le marche marocains et en plus on n'est pas tres grand comme vous aux USA" j'allais presque me suicider.Il y avait walmart ,target ,sam, cosco etc des poids lourds.Ce qu'il leur faut a ces somnombulant proprietaire marocains c'est les eradiques avec une agressive competitions en laissant les companies de l'exterieure commercialises les memes produits comme cela ils bougeront leur feneant cus. +1 totalement d'accord ! La culture "entrepreunariale" au Maroc n'existe pas. Le but de tout à chacun c'est d'engrenger des profits le plus vite possible, en suivant les autres sur un secteur porteur... a vrai dire, je les comprend un peu ! beaucoup d'investisseurs ont peur au Maroc, car la loi est du côté du celui qui a le plus d'argent, et alors pour obtenir des autorisations c'est le parcours du combattant même pour des grandes sociétés alors ne parlons pas des TPE & PME ! Il faut favoriser la création des PME-PME, créatrices d'emplois et de richesses ! |
| | | Ichkirne Capitaine
messages : 826 Inscrit le : 19/08/2011 Localisation : Paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 31 Oct - 3:16 | |
| - Citation :
- Internet : Amazon.com ouvre un centre d'appel au Maroc
- Spoiler:
Avec moins de 100 personnes au départ, le centre d'appel devrait compter, en vitesse de croisière, un effectif de 400 téléopérateurs.
Le technopolis de Rabat s'apprête à accueillir début novembre un client de marque. Le site américain de commerce électronique et de services web Amazon.com va y installer un centre d’assistance téléphonique pour ses clients. Avec moins de 100 personnes au départ, le centre d’appel devrait compter, en vitesse de croisière, un effectif de 400 téléopérateurs. Pour le moment, on ne connaît pas les clients à destination desquels la prestation du centre sera dédiée, mais il y a fort à parier que le marché français, pour lequel Amazon a établi un site spécifique (amazon.fr), sera en première ligne. Pour rappel, Amazon c’est 19 milliards de dollars de chiffre d’affaires et 17 000 employés dans le monde. Il opère aussi bien dans la vente en ligne que dans le stockage de données sur internet (cloud computing).
[url=http://www.lavieeco.com/actualite/amazon.com-ouvre-un-centre-d-appel-au-maroc-6178.html
http://www.lavieeco.com/actualite/amazon.com-ouvre-un-centre-d-appel-au-maroc-6178.html[/quote][/spoiler[/url]] - Citation :
- Textile : Les exportations du textile augmentent de 9.8% à fin septembre
Le chiffre d'affaires de septembre a augmenté de 25% par rapport au même mois de 2010. La confection et la maille ont progressé au même rythme.
Soulagement chez les industriels du textile. Alors qu’ils s’attendaient à une fin d’année difficile compte tenu du manque de visibilité dû au prolongement de l’été et à la baisse de la consommation sur les marchés européens, les chiffres officiels du mois de septembre semblent les rassurer. Les exportations ont marqué une progression de 25% par rapport au même mois de l’année dernière. Sur les neuf premiers mois de l’année, la hausse est de 9,8% pour un chiffre d’affaires de 24,5 milliards de DH. Si le rythme de croissance est maintenu, les revenus pourraient dépasser sensiblement la barre des 30 milliards de DH cette année. Cette évolution a concerné aussi bien la confection (+9,3%) que la maille (+9,8%). La répartition par marchés des exportations n’est pas encore disponible, mais l’on estime que la reprise a concerné les principaux clients du Maroc. Les entreprises avaient-elles alors raison de tirer, il y a un mois, la sonnette d’alarme ? La panique était, selon un industriel, légitime car «les entreprises sont encore traumatisées par la crise de 2008 et encore affaiblies par leur manque de trésorerie». De plus, toutes n’ont pas bénéficié de l’augmentation des commandes. Un sondage réalisé par le Comité de veille de l’Association marocaine des industries du textile et de l’habillement (Amith) auprès d’une centaine d’entreprises représentatives des diverses régions et filières du secteur révèle que plusieurs entreprises ont été affectées par la baisse de la consommation et en particulier les spécialistes du fast-fashion qui exportent sur le marché français. Faute de n’avoir pas anticipé le prolongement de la saison estivale, les donneurs d’ordre français n’ont pas pu placer les commandes de réassort qui alimentent les carnets de commandes des entreprises du fast-fashion.
Un prestigieux cabinet de mode invité pour aider à la préparation des collections de l'hiver 2013
En revanche, le sondage laisse apparaître que les opérateurs qui ne se sont pas limités au fast-fashion ont continué à travailler normalement durant les mois de septembre et d’octobre et ont été, par conséquent, moins affectés. Globalement, le sondage de l’Amith démontre que l’évolution et le comportement de l’activité des entreprises varient en fonction du positionnement de celles-ci. C’est pourquoi aujourd’hui, malgré le manque de visibilité, le secteur poursuit ses projets structurants afin de donner aux entreprises les moyens d’anticiper pour ne pas rester otage des aléas climatiques ou de la conjoncture économique. Ainsi, on notera le lancement de l’appel à manifestation d’intérêt pour la mise en place des converteurs, agrégateurs et des distributeurs. Par ailleurs, l’Amtith poursuit son travail d’executive marketing pour permettre aux entreprises du secteur de mieux se positionner et surtout, explique l’association professionnelle, de «ne pas se confiner dans une concurrence de prix seulement». La bataille se jouera dorénavant sur le terrain de l’innovation et de la création. C’est pourquoi l’Amith a invité, dans le cadre du salon Maroc Sourcing et Maroc In Mod, qui se tiendra du 16 au 18 novembre prochain à Marrakech, un prestigieux cabinet de mode pour préparer les collections de l’hiver 2013. Plus globalement, les entreprises du secteur feront jouer les diverses mesures de soutien mises en place par les pouvoirs publics, notamment l’appui financier de 5 MDH au profit des entreprises réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 10 MDH, pour pouvoir payer les prestations de cabinets de design ou encore d’ouvrir des bureaux commerciaux à l’étranger.
Promotion : Maroc In Mode et Maroc sourcing : deux salons en un
C’est pour mieux présenter et mettre en valeur l’offre marocaine que l’Amith a décidé, cette année, de regrouper ses deux manifestations phare, Maroc Sourcing et Maroc In Mode, en un seul salon dont l’objectif premier est de répondre parfaitement aux besoins des enseignes étrangères. Se tenant du 16 au 18 novembre à Marrakech, ce salon réunira 200 exposants. Si pour Maroc Sourcing, l’Amith a aussi ouvert les portes aux exposants étrangers, notamment italiens, allemands et britanniques, pour Maroc In mode, l’association le veut exclusivement marocain afin de présenter au mieux l’offre textile nationale. En marge du salon, il est prévu des ateliers animés par des experts étrangers qui feront un focus sur les dernières évolutions de la consommation et de la distribution. Ils aborderont également les perspectives de consommation par marché en 2012 et les stratégies d’approvisionnement des enseignes et des marques internationales.
http://www.lavieeco.com/news/economie/les-exportations-du-textile-augmentent-de-9.8-a-fin-septembre-20576.html - Citation :
- Finances Publiques : Recettes fiscales : +6.2%, vive les importations !
143 milliards de DH ont été collectés, dont 84.3 milliards par la DGI et 58,5 milliards par l'Administration de la douane.
Malgré un contexte économique toujours difficile, les recettes fiscales se portent bien cette année. Elles ont progressé de 6,2% à fin septembre par rapport à la même période de l’année dernière, sachant que tout au long de 2010, elles n’avait crû que de 3,4%. Le Trésor a ainsi encaissé 142,8 milliards de DH sur les neuf premiers mois de 2011, grâce aussi bien à la bonne progression des impôts collectés par l’Administration de la douane qu’à celle des prélèvements de la Direction générale des impôts (DGI). Désormais, la TVA sur les importations est le premier pourvoyeur de fonds pour l’Etat. La taxe a rapporté 33 milliards de DH jusqu’à fin septembre, un montant en hausse de 15% par rapport à la même période en 2010. Cette performance s’explique essentiellement par l’appréciation des volumes et des prix des produits pétroliers importés (+38%) et par la hausse des importations des biens d’équipement (+13%), les demi-produits (+22%) et surtout les produits alimentaires (+38%), «ainsi que par le renforcement et l’efficacité des contrôles» précise Abdelmajid Bourra, chef de la division des études à l’ADII. Et c’est grâce à cette taxe que les recettes globales de la douane ont progressé de 6% depuis le début de l’année pour atteindre 58,5 milliards de DH. Il faut dire que la progression des volumes et des valeurs d’importation est telle que les recettes douanières continuent d’augmenter malgré la baisse continue des droits d’importation. A fin septembre, le Maroc a en effet importé des marchandises d’une valeur totale de 263,5 milliards de DH, en hausse de 20% par rapport à septembre 2010. Un record qui aggrave certes le déficit de la balance commerciale, mais qui a permis tout de même d’augmenter les recettes fiscales collectées par la douane.
Les produits énergétiques rapportent 17,3 milliards de DH
La Taxe intérieure de consommation (TIC) a également contribué à cette amélioration puisque, par son biais, l’Administration a collecté 16,3 milliards de DH, un montant en légère augmentation de 2,8%. Pour l’introduction sur le marché national de produits énergétiques, les opérateurs ont dû débourser 9,7 milliards au titre de cette taxe de la TIC. Si on y ajoute les recettes de la TVA, ces produits, pour lesquels l’Etat consacre des sommes importantes en guise de subvention au profit des consommateurs, auront rapporté à l’Etat quelque 17,3 milliards de DH par la voie de la douane. Autres produits qui ont contribué à la hausse des recettes de la TIC, les tabacs manufacturés. Ces derniers ont rapporté à la douane 5,5 milliards de DH. Idem pour la TIC sur les boissons qui a connu une augmentation en 2011. Ses recettes se sont appréciées de 10% pour atteindre un peu plus d’un milliard de DH, dont l’essentiel provient des boissons alcoolisées. Ce montant est cependant loin des prévisions de l’Administration de la douane, qui espérait collecter un montant beaucoup plus conséquent suite à sa décision de doubler le montant de cette TIC. Il faut dire que ce relèvement, conjugué à l’instauration d’une taxe pour marquage fiscal s’est traduit automatiquement par une baisse sensible de la consommation et de l’importation de ces produits. Seules recettes douanières qui n’ont pas connu la même tendance haussière, celles relatives aux droits d’importation qui se situent à 7,67 milliards de DH, en baisse de 17,5%. Une évolution jugée normale par M.Bourra «en raison de l’entrée en vigueur cette année de la troisième tranche de la réforme tarifaire qui a ramené le plafond des droits d’importation pour le régime commun à 30% au lieu de 35%». A cela s’ajoute la suspension des droits d’importation sur le blé qui était adoptée par les pouvoirs publics tout au long des six premiers mois de 2011 pour assurer un approvisionnement normal du marché local en ce produit de première nécessité.
13 950 nouveaux assujettis à l'IS en 9 mois
Les impôts collectés par la DGI ne sont pas en reste. Après une année 2010 mitigée, les recettes de cette administration repartent à la hausse. A fin septembre, elles se sont élevées à 84,3 milliards de DH, en progression de 6,4% grâce notamment aux fonds collectés au titre de l’Impôt sur les sociétés (IS). Après deux années successives de baisse, ils ont atteint 32,6 milliards, en hausse de 11,2%. Ce montant aurait pu être plus important s’il n’y avait pas ce manque à gagner de 1,23 milliard de DH généré, comme le souligne la DGI, par la mesure de réduction de l’IS pour les PME qui ont opéré une augmentation de leur capital.Trois facteurs sont à l’origine de cette reprise. D’abord elle est due à «l’importance des versements effectués par les sociétés qui ont clôturé leur bilan avec des bénéfices, et ensuite à l’action de l’Administration fiscale en matière de contrôle fiscal et de sensibilisation des contribuables», explique un responsable de la DGI. L’élargissement de l’assiette fiscale explique également cette performance puisque l’effectif des assujettis à l’IS est passé à 169 555 contre 155 605 un an auparavant, soit 13 950 nouveaux contribuables. Les recettes de l’Impôt sur le revenu (IR) ont également repris. Après une année 2010 maigre, marquée justement par un recul de 3,4%, cet impôt supporté en majorité par un peu plus de 4 millions de salariés et fonctionnaires a rapporté aux caisses de l’Etat 20,1 milliards de DH, soit une hausse de 5,8%. Cette progression s’explique principalement par «l’augmentation des versements effectués par les entreprises et celle des salaires décidée à l’issue du dialogue social entre le gouvernement et les syndicats», précise-t-on auprès de la DGI. Certes, avec 20 milliards de DH à fin septembre, il est très peu probable d’atteindre d’ici la fin de l’année le record de l’IR enregistré en 2008 et qui était de 46 milliards de DH. Mais il n’en demeure pas moins que cet impôt évolue favorablement, surtout après trois baisses de taux consenties par le gouvernement au cours des quatre dernières années.
Les droits d'enregistrement toujours dopés par l’immobilier
Quant aux recettes de la TVA à l’intérieur, elles ont totalisé 21,9 milliards de DH, en quasi stagnation par rapport à septembre 2010 (+0,7%). Ces recettes auraient pu enregistrer une évolution un peu plus importante si ce n’était les montants importants que le Trésor était amené à restituer, durant cette période, aux contribuables. A fin septembre 2011, le montant transféré par la DGI aux entreprises porte sur 1,55 milliard de DH, soit 560 MDH de plus par rapport à la même période de l’année dernière. Notons enfin que les recettes liées aux droits d’enregistrement et de timbre ont bien progressé. Elles ont totalisé 10,5 milliards de DH, soit une hausse de 9,6%. Et aussi paradoxal que cela puisse paraître, ce sont les transactions immobilières qui ont contribué à cette performance malgré le tassement enregistré dans ce secteur. In fine, si la hausse des recettes fiscales n’est pas à mettre au seul actif des importations, la hausse de ces dernières entre TVA et TIC supplémentaire a généré un surplus de recettes d’environ 4 milliards de DH, soit la moitié de la hausse des recettes fiscales !
Tendance : 70% des recettes de l'IS et de la TVA réglés par télépaiement
Le paiement des impôts par voie électronique est en train de se généraliser. A fin septembre, les recettes de l’IS et de la TVA ont été essentiellement réglées par télépaiement, ce canal ayant généré 70% du total. Ce sont les grandes entreprises qui ont le plus eu recours à ce mode de paiement. Et pour cause, l’obligation pour les sociétés réalisant un chiffre d’affaires de plus de 50 millions de DH de passer par ce mode de paiement pour le règlement de leurs impôts. Selon la DGI, 2 800 sociétés sont adhérentes au système électronique. Quant aux PME et TPE, elles pourront bientôt y accéder. La DGI compte rabaisser le seuil de 50 MDH pour les obliger à passer par le télépaiement.
http://www.lavieeco.com/news/economie/recettes-fiscales-6.2-vive-les-importations--20569.html - Citation :
- Doing Business : comment le Maroc a fait pour gagner 21 places dans le classement
Un travail mené par le Comité national pour l'environnement des affaires et qui a commencé il y a près de trois ans. Objectif : rendre visibles les réformes effectuées par le Royaume.
Par le passé, le Maroc contestait très souvent les classements effectués par les institutions internationales, que ce soit au niveau de la lutte contre la corruption, du climat des affaires ou de la promotion des investissements... Mais, jeudi 20 octobre, le discours des responsables gouvernementaux, qui accueillaient avec grande joie l’obtention de la 94e place dans le classement Doing Business 2012 de la Banque mondiale, a radicalement changé. L’allégresse du gouvernement, et surtout du ministre chargé des affaires générales et économiques, Nizar Baraka, trouve son origine dans le fait que le Maroc a gagné 21 places dans ce classement qui scrute les législations et le climat des affaires de 183 pays. Comment le pays a pu obtenir la meilleure progression dans ce palmarès, qui lui a d’ailleurs valu le titre de meilleur réformateur de l’année 2012 ? Tout a commencé en 2008, lorsque le département de Nizar Baraka s’est arrêté sur certains constats. Le premier : «D’ambitieux projets de réformes sont engagés et ils sont initiés par plusieurs départements ministériels ; il manquait juste une certaine coordination et une mobilisation susceptibles d’accélérer l’exécution de ce processus», se rappelle un cadre du ministère des affaires économiques et générales.
Nouvelle approche méthodologique
Deuxième constat : une grande partie des intervenants du monde des affaires (opérateurs économiques, cabinets d’affaires…) n’était souvent pas au courant des nouveaux dispositifs réglementaires en cours d’élaboration ou mis en place par le gouvernement. C’est à partir de là que le Comité national pour l’environnement des affaires (CNEA), présidé par le chef du gouvernement, a vu le jour en 2009 sous la houlette de ce même ministère. Sa mission est d’assurer la coordination entre tous les intervenants impliqués dans le monde des affaires en vue, entre autres, de simplifier les procédures administratives et de moderniser le droit des affaires, ainsi que de sensibiliser les parties concernées sur l’importance des chantiers de réformes. Une approche méthodologique nouvelle a été adoptée. Il s’agissait de se baser sur l’association du public et du privé pour mettre en place un plan d’action susceptible de faire aboutir les chantiers de réformes. Le secrétariat du CNEA, qui regroupe une équipe de jeunes issus du privé et dont l’approche de travail est empreinte d’une pratique managériale, s’est lancé dans une série de rencontres et d’enquêtes sur le terrain avec les différents intervenants, avocats d’affaires, représentants d’opérateurs économiques dans les différentes régions du pays, responsables des ministères et organismes publics, etc. «Les contacts ont été multipliés en vue de rapprocher le cadre juridique national en matière des affaires avec les meilleurs standards internationaux, de le perfectionner et le rendre plus attractif», explique Brahim Qermane, membre du secrétariat. En même temps, les projets de loi (délais de paiement, protection des consommateurs…) ont fait l’objet d’examen et de suivi de manière à favoriser l’accélération de la procédure d’élaboration.
Les experts de la Banque mondiale ont passé 7 jours au Maroc en avril dernier
Le processus de réformes étant engagé, il était donc temps de voir comment rendre visible cet effort pour améliorer l’image du Maroc qui constitue l’une des priorités du CNEA. «C’est dans ce sens qu’on a commencé à mener notre action pour renforcer notre classement au Doing Business», précise Seloua Benmbarek, membre du secrétariat permanent du CNEA, qui tient à souligner que cela n’est pas une finalité en soi mais plutôt la consécration de ce travail de réformes de fond. A partir de ce moment-là, l’approche contestataire qui a prévalu jusque-là dans la position du Maroc vis-à-vis de cet exercice a cédé la place à celle de l’implication. «Il était primordial pour nous de s’y adapter d’autant qu’on a été souvent interpellé dans les forums mondiaux par les investisseurs sur ce classement et que ses résultats font la une des magazines internationaux spécialisés», souligne Rabie Leouifoudi, membre du secrétariat. Aussi une délégation du CNEA regroupant le secteur public et privé a été mandatée par le chef du gouvernement pour préparer un rapport d’activité à destination de la Banque mondiale. Une fois élaboré, il a été remis à cette institution qui a ensuite accepté d’effectuer une mission de vérification du système marocain en matière de climat des affaires. En avril dernier, celle-ci a passé 7 jours au Maroc où elle a passé au peigne fin les procédures, les statistiques, les législations et tout ce qui a un rapport avec le monde des affaires auprès des intervenants de l’administration, de la CGEM, des cabinets d’affaires... «Nous avons été sollicités pour examiner les indices juridiques et sur tout ce qui vise la simplification des procédures», se souvient Me Mehdi Kettani, avocat d’affaires, qui a fait partie de cette délégation. Trois mois plus tard, la même délégation a été reçue à la Banque mondiale. Sa commission qui avait effectué la visite au Maroc avait entre-temps rendu son verdict aux responsables chargés du Doing Business. Mais la décision finale n’a été rendue publique que le 19 octobre dernier, c’est-à-dire à la veille de l’annonce officielle des résultats. Entre-temps, le suspense aura duré jusqu’au bout.
http://www.lavieeco.com/news/economie/doing-business-comment-le-maroc-a-fait-pour-gagner-21-places-dans-le-classement-20571.html | |
| | | Ichkirne Capitaine
messages : 826 Inscrit le : 19/08/2011 Localisation : Paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 31 Oct - 4:56 | |
| - Citation :
- Maroc : Les nouveaux segments, leviers de croissance du marché de l’immobilier
Au cours des deux premiers trimestres de 2011, les prix de l’immobilier ont fortement progressé en glissement annuel et plusieurs importants projets immobiliers devraient confirmer la tendance d’ici la fin de l’année prochaine, alors que le logement social continue de susciter une forte demande.
Selon l’indice des biens immobiliers de la Bank Al Maghrib, qui repose sur les données de l'Agence nationale de la conservation foncière, du cadastre et de la cartographie (ANCFCC), les prix des ventes au Maroc ont progressé au cours des deux premiers trimestres de 2011 de 5 et de 1.9 %, par rapport à l’exercice précédent. Toutefois, durant le deuxième trimestre de 2011, les prix ont reculé de 1.6 % par rapport à ceux des trois premiers mois de l’année.
Les prix enregistrés au cours du deuxième trimestre ont progressé en glissement annuel dans l’ensemble des principales villes marocaines, à l’exception de Fès et de Tanger. Kénitra est le centre urbain où les prix de l’immobilier ont connu la plus forte augmentation (23 %). Casablanca, la capitale économique et la plus grande ville du pays, a sans surprise concentré la majorité des ventes (34 %), suivie de Marrakech (24 %) et de Meknès (12 %).
La hausse enregistrée au deuxième trimestre a été stimulée par le segment résidentiel, qui a représenté près de 66 % des ventes. L’immobilier résidentiel a progressé de 3.8 % au cours du deuxième trimestre de 2010, porté par une augmentation de 5.4 % des prix des appartements. Les ventes d’appartements ont représenté la majeure partie des ventes résidentielles et 60 % des ventes immobilières, et ce, malgré une chute du volume de ventes de 25 % en glissement annuel.
Une étude du marché de l’immobilier à long terme permet de dégager une tendance haussière dans la quasi-totalité des principales zones urbaines, depuis la première publication de l’indice des biens immobiliers de la Bank Al Maghrib en 2006. La ville orientale d’Oujda a connu la plus forte hausse (+ 22 % par rapport en 2006), suivie de Meknès (+16 %) et de Rabat (+14 %). A Casablanca et dans la ville touristique de Marrakech, les prix de l’immobilier ont augmenté respectivement de 4 et 3 %.
En outre, plusieurs projets de développement immobilier de grande envergure sont en voie d’achèvement. Par exemple, le 15 septembre dernier, les promoteurs du projet Bab Al Bahr d’une valeur de 563 millions d’euros et d’une superficie de 75 hectares réalisé dans la vallée du Bouregreg, à proximité de la capitale, ont annoncé que les unités résidentielles dans la marina du Bouregreg seraient livrées au cours du premier trimestre de 2012. Ils ont également précisé que la livraison des unités situées à la Cité des arts était prévue, quant à elle, pour le mois de juin.
Les 306 premières unités du projet Cap Tingis, mené par le groupe marocain Holmarcom, seront également prêtes à être livrées aux clients en juin. Situé à l’ouest de Tanger, au Cap Malabata, ce complexe de 2 milliards de dirhams (179 millions d’euros) s’étend sur un terrain de 60 hectares. A Tanger même, Inveravante est à la tête du projet de Tanger City Centre qui se compose de bureaux, d’appartements, d’hôtels et d’un centre commercial de 30 000 mètres carrés. Un représentant du groupe immobilier espagnol a déclaré que les premières livraisons auraient lieu en décembre 2012.
Le groupe ibérique réalise aussi un projet de développement multi-usage semblable à Casablanca. Situé dans le quartier Anfa, le projet AnfaPlace se composera d’un centre commercial de 36 000 mètres carrés.
Le très attendu Morocco Mall d’un montant de 2 milliards de dirhams (179 millions d’euros) devrait, quant à lui, ouvrir ses portes le 21 octobre prochain. D’une superficie de 200 000 mètres carrés, il sera le plus vaste centre commercial d’Afrique du Nord et du Moyen Orient, et figurera parmi les 20 plus grands centres commerciaux du monde. Le grand magasin français de la mode les Galeries Lafayette et la Fnac, spécialisée dans la distribution de produits électroniques, audiovisuels et de livres, se sont laissées séduire par le Morocco Mall et y ouvriront leurs premiers magasins d’Afrique du Nord.
Le segment des logements sociaux continue également de figurer parmi les principaux leviers de croissance du marché de l’immobilier. D’après les médias locaux, les ventes d’appartements ont rapporté jusqu’à 30 % de bénéfices aux promoteurs spécialisés dans le logement social ou à bas prix, et ce, en grande partie, grâce aux avantages fiscaux (exonération de l’impôt sur les gains en capital et des droits de succession) visant à stimuler le secteur.
Au cours des 18 derniers mois, les promoteurs immobiliers ont manifesté un intérêt à l’égard du logement social et se sont engagés à construire 810 00 unités. En outre, des contrats pour la vente de 736 000 unités ont déjà été signés. Le gouvernement, quant à lui, souhaite multiplier les solutions de logement à bas prix pour la population, ainsi que soutenir les progrès accomplis dans le cadre du programme « Villes sans bidonvilles ». Par conséquent, le segment du logement social devrait afficher de fermes signes de croissance au cours des prochaines années.
La demande en logements subventionnés est bel et bien présente au Maroc. Selon les médias locaux, au cours de l’été dernier, les ventes de logements sociaux et à bas prix ont été beaucoup plus fortes que les ventes enregistrées par les autres segments de l’immobilier. Début septembre, Addoha, le principal promoteur marocain, a indiqué qu’il vendait près de 150 logements à bas prix par jour depuis le début du ramadan (fin juillet) et que son carnet de commandes était rempli jusqu’en 2013.
Le secteur de l’immobilier devrait poursuivre sa tendance haussière compte tenu des projets de grande envergure en cours, et de la demande croissante en logements sociaux. Etant donné la solidité de divers segments du secteur de l’immobilier, le paysage urbain marocain devrait fortement se développer au cours de la prochaine année.
http://www.oxfordbusinessgroup.com/economic_updates/maroc-les-nouveaux-segments-leviers-de-croissance-du-march%C3%A9-de-l%E2%80%99immobilier | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 31 Oct - 5:15 | |
| Les Marocains investissent en France: - Citation :
- Koutoubia à la conquête de marché halal en France
La société marocaine Koutoubia, spécialisée dans l'agro-alimentaire, en particulier la charcuterie, envisage de s'implanter dans la ville française du Mans (ouest) à travers une unité de transformation de viande halal, rapporte lundi le journal français Les Echos. L'investissement avoisinerait les 20 millions d'euros pour une ouverture en 2013 avec une centaine de salariés, dans la perspective d'atteindre 250 employés à terme, selon le quotidien. “Des discussions sont en cours” avec la communauté d'agglomération du Mans au sujet de cette ouverture, prévue sur la zone industrielle agro-alimentaire de la ville, Vitaxis. Le marché halal est estimé à près de 5 milliards d'euros en France qui compte quelque cinq millions de musulmans, dont un million environ de Marocains. |
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| Sujet: Re: Économie marocaine | |
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| | | | Économie marocaine | |
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