Économie marocaine

Rappel du premier message :

Citation :

La Chine devient le 3e partenaire commercial du Maroc
2011-02-14 08:28:06 xinhua
Malgré les effets de la crise financière mondiale, la coopération maroco-chinoise mutuellement bénéfique s'est élargie, à l'occasion de la visite de travail effectuée, les 13 et 14 février au Maroc, par le ministre chinois du Commerce, M. Chen Deming.

Selon un communiqué du ministère marocain du Commerce extérieur, cette visite de deux jours est l'occasion pour les deux pays de poursuivre les discussions qu'ils ont engagées au cours de leur rencontre à Pékin en octobre 2009, afin de renforcer les échanges commerciaux et le partenariat.

Au cours de cette visite, des conventions vont être signées en vue de promouvoir le commerce et l'investissement entre le Maroc et la Chine, précise la même source.

Les relations commerciales maroco-chinoises sont régies par l'accord commercial et économique du 28 mars 1995. La Chine devient le 3e partenaire commercial du Royaume en 2010, après la France et l'Espagne, avec des échanges de 26,8 milliards de dirhams (MMDH), soit 6% des échanges de marchandises réalisés par le Maroc avec l'étranger, relève le communiqué.

Selon l'Office des changes, les exportations de la Chine vers le Maroc ont enregistré, au cours des cinq dernières années, une progression soutenue, passant de 11MMDH en 2006 à plus de 20 MMDH en 2009. Les exportations de la Chine vers le Maroc comprennent l' électroménager, le textile, les articles de haute technologie, le thé, le café, le fer, le plastique..La Chine importe du Maroc des pièces détachées, des engrais chimiques, des articles de cuivre, des produits aquatiques, l'uranium, des agrumes et des fruits secs.

Aussi, la coopération bilatérale dans les secteurs de la pêche maritime, des télécommunications et des infrastructures connaît-elle une évolution très positive. Les investissements chinois réels au Maroc ont atteint 170 millions de dollars. Aujourd'hui, plusieurs entreprises chinoises oeuvrent à étendre leur présence au Maroc sans oublier les experts agronomes envoyés par Pékin pour la mise en oeuvre du programme de coopération agricole avec le Maroc.

Les deux pays tentent de développer les relations bilatérales dans le domaine de la culture du riz, de l'irrigation, de la mécanisation agricole et du dessalement de l'eau. L'industrie automobile chinoise est très présente au Maroc. Des véhicules chinois y sont introduits: des camions, des camionnettes et des voitures. Cette initiative est appréciée par le consommateur marocain. Le coût est moins élevé et la qualité est assurée. Les articles chinois sont toujours compétitifs car moins chers.

Par ailleurs, le nombre de touristes chinois ayant visité le Maroc en 2009, s'est établi à 4660. Selon l'Office national marocain du Tourisme (ONMT), à l'horizon 2020, le potentiel de touristes chinois, susceptibles d'être approchés par la destination Maroc pourrait se situer entre 2,5 et 3,1 millions.

La Chine est aujourd'hui la 4e destination la plus prisée des touristes étrangers, dont le nombre a augmenté ces dix dernières années, passant de 8 à 48 millions annuellement.

http://french.cri.cn/621/2011/02/14/301s238152.htm

Spartan a écrit:

Il nous manque ce petit truc, qui nous permettrait de passer à 7-8%... investir massivement dans le savoir, et surtout l'éducation multiplier les universités et les partenariats avec de grandes écoles ! et surtout mieux manager ce pays...

La caisse de compensation à réformer, les budgets de fonctionnement de l'état à revoir, taxer les riches, réduire le déficit de la balance commerciale : par exemple réduire nos importations de pétrole, en développant les moyens de transport verts (il faut proposer une alternative sérieuse aux gens qui tuilisent leurs voitures et cibler toutes les classes sociales le transport est un droit, pas un luxe !) et inciter les gens à acheter hybride et électrique (les offices publiques doivent avoir des parcs auto qui donnent l'exemple fini le partner qui pollue et qui a 10ans) à utiliser les transports en commun propres... et surtout produire plus de nos besoins en éléctricité !
Devenir auto-suffisant puis exportateur dans le domaine alimentaire pour certaines denrées.
Inciter les gens à consommer local, surtout la classe moyenne qui achète des voitures étrangères, que l'on achète du made in morocco, surtout que les futurs produits de l'usine de Tanger vous verrez, correspondent aux besoins des Marocains et le tout pour un prix adapté à la classe moyenne.

Ne nous voilons pas la face, des pays comme la tunisie, et la jordanie font mieux que nous en terme d'INDH et de classement en terme d'investissement... et on est vraiment loin d'eux, alors de là à viser les pays développer... nous ne pourrons jamais prétendre être un pays emergent si nous restons cloitrer aux 3-4-5% !

Ce ''petit truc'' qui nous manque tant et que tu as si bien disséqué, Spartan, ça s'appelle l'audace. Par ailleurs, et afin de réduire les importations de sucre brut, notre gouvernement a jugé utile de :

Citation :

Morocco raises prices for locally-grown sugar beet and cane

Wednesday November 02 2011

THE Moroccan government has agreed to raise prices paid to local farmers of sugar beet and cane to reduce reliance on raw sugar imports and encourage planting after heavy rain marred the previous two campaigns, industry sources told Reuters on Tuesday.

Sugar beet farmers will obtain dirhams80 ($9.77) per tonne - or close to a 20% increase - spread over two years starting in 2012, said three farmers, including Ahmed Ouayach who chairs the Moroccan Confederation of Agriculture.

http://www.agra-net.com/portal2/home.jsp?template=newsarticle&artid=20017915775&pubid=ag047

Ichkirne a écrit:

Citation :

Morocco raises prices for locally-grown sugar beet and cane

Wednesday November 02 2011

THE Moroccan government has agreed to raise prices paid to local farmers of sugar beet and cane to reduce reliance on raw sugar imports and encourage planting after heavy rain marred the previous two campaigns, industry sources told Reuters on Tuesday.

Sugar beet farmers will obtain dirhams80 ($9.77) per tonne - or close to a 20% increase - spread over two years starting in 2012, said three farmers, including Ahmed Ouayach who chairs the Moroccan Confederation of Agriculture.

http://www.agra-net.com/portal2/home.jsp?template=newsarticle&artid=20017915775&pubid=ag047

Enfin ils se décident de diminuer l'arnaque sur les prix de la betterave sucrière

Edit Fahed64: Jamais deux sans trois comme on dit

Une bonne nouvelle :

Citation :

Delphi Expands Assembly Operations in Morocco

Customer demand for advanced electrical / electronic distribution systems brings new investment and jobs to Morocco

Release Date: November 02, 2011

Tangier, Morocco — Delphi Automotive is substantially increasing its capacity in Tangier, Morocco, where it manufactures advanced wiring systems for vehicle manufacturers throughout Europe. Almost 1,200 new jobs were created since the beginning of the year and recruitment will continue into next year to support the growing demand for smaller, lighter, more efficient electrical/electronic distribution systems.

Delphi's first plant in Morocco was opened in Tangier in 1999 and a sister plant opened in the same city in 2008. Today, the two plants jointly employ over 7,200 people manufacturing electrical/electronic distribution systems in modern, purpose-built facilities. The new buildings will add 5,400 sqm for the manufacture of specialist sub-system harnesses and high-precision connection systems. The operations expect to manufacture full vehicle harnesses starting early next year.

The latest investment builds on Delphi's already substantial commitment to manufacturing in Morocco. New high-precision injection molding systems have been installed and the employee training program has been strengthened, providing a minimum of seven days of full-time training for machine operators and up to six months for more specialist positions. The new facilities will be integrated into the Delphi Enterprise Operating System, which has been optimized to ensure the consistently accurate and environmentally responsible manufacture of today's sophisticated electrical/electronic distribution systems.

"Electrical/Electronic Architecture (E/EA) systems are critical to the efficient operation of every vehicle system. The complexity of E/EA systems and sub-systems are driven up as more features are added to help reduce emissions, improve safety and provide more comfort and convenience," explains Pietro Ottavis, Managing Director, Delphi Electrical/Electronic Distribution Systems Europe, Middle-East and Africa. "The growth of our facilities in Tangier is a complement to the success of our people in developing and manufacturing compact, lightweight technologies that help vehicle manufacturers successfully address these requirements."

Delphi's investments in Morocco have also been supported by various government entities. "We have an excellent relationship with the government of Morocco. We have also received great support from ANAPEC, the National Agency for Promoting Employment and Skills, to develop world-class manufacturing facilities staffed by highly skilled local people," says Jose Carlos Jimenez, managing director, Delphi Packard Electrical/Electronic Architecture, Morocco.

Delphi also believes in using local suppliers wherever appropriate, so the company is expanding its supplier support program. "In areas such as training and maintenance, we are working with local companies and developing them to become important partners to our operations in Morocco," continues Jimenez. "We've been very impressed by the capability of local businesses and by their enthusiasm to work at world-class standards that help Delphi to be flexible, fast and reliable."

Delphi's achievements in Morocco were recently recognized with the "Ouissam Alaouite de l'Ordre d'Officier" award. The Royal Medal recognizes the company's contribution to the economic and industrial development of the Kingdom of Morocco.

Delphi-E/EA Technology

Delphi engineers use the Velocity Tool Suite™ to work closely with customers from the beginning of the design process to develop an E/E architecture uniquely suited to their needs. This complete system approach streamlines the process for OEMs and brings with it superior cost and engineering efficiencies.

Many of the systems manufactured by Delphi use the company's industry-leading lightweight wiring, introducing 0.13 mm2 ultra-thin wall cable as a replacement for traditional 0.35 mm2 cables where appropriate. By substantially reducing the size and weight of wiring harnesses, optimized E/EA systems help vehicle manufacturers improve fuel economy, reduce emissions and improve packaging. The use of alternative materials such as Delphi Aluminum Cable helps automakers reduce their susceptibility to the market fluctuations of copper.

About Delphi

Delphi is a leading global supplier of electronics and technologies for automotive, commercial vehicle and other market segments. Operating major technical centers, manufacturing sites and customer support facilities in 30 countries, Delphi delivers real-world innovations that make products smarter and safer as well as more powerful and efficient. Connect to innovation at www.delphi.com.

http://delphi.com/news/pressReleases/pr_2011_11_02_001

MErci pour toutes ces bonnes nouvelles les gars

Maintenant notre systeme educatif doit suivre, no seulement en formant les techniciens necessaires, mais en connectant ceux deja experimente vers un upgrade, par exemple vers de l'ingenieurie.

Je souhaite au Maroc une forte croissance comme la Turquie et la Chine. Le secret est de développé le commerce, commercé avec tout le monde, même les marsiens. Une élite qui à de l'audace et qui n'aura pas peur de ramené les produits Made in Morocco chez les eskimos et les indiens d'Amérique.

Merci Baybar, quand à notre élite, elle se préoccupe plus de savoir si il vont pouvoir rester en France après avoir fait de grande sup de co

Franchement ils vous font pas pitié nos chères petites têtes blondes (ou brunes pour certain ) lorsqu'ils manifestent devant leur lycée français pour pouvoir s'échapper de cet enfer qu'ils appellent "Maroc"

tshaashh a écrit:

Maintenant notre systeme educatif doit suivre, no seulement en formant les techniciens necessaires, mais en connectant ceux deja experimente vers un upgrade, par exemple vers de l'ingenieurie.

C'est une révolution socio-culturelle qu'il faudrait d'abord mener, car la formation professionnelle est actuellement une impasse pour ratés. Les diplômes accordés n'offrent aucune perspective, tellement les responsables politiques ont la crainte de voir les gens pousser plus loin leurs études.
Première des choses, un prince de sang royal à inscrire dans un ISTA, ça permettra de valoriser socialement la formation professionnelle. Car personne n'a envie de voir ses enfants bloqués socialement à cause d'une profession dévalorisante. Comme c'est prendre les gens pour des cons que de leur dire, "faîtes ce que je dis, mais ne faîtes pas ce que je fais", la seule manière de débloquer cette situation, c'est de voir l'élite marocaine envoyer aussi ses enfants en formation professionnelle. Ce n'est pas pour rien que Benbarka avait demandé à feu Hassan II, alors prince héritier, de mettre la main à la pâte sur le chantier de la "Route de l'Unité". Rien ne vaut la force de l'exemple.
Deuxièmement, accorder des diplômes qui permettent aux plus doués d'avoir accès aux grandes écoles d’ingénierie sur concours. Car l'autre argument de cons selon lequel tout le monde voudra devenir ingénieur ne trompe que les idiots. Si c'était le cas, tous les Suisses seraient des ingénieurs. L'avantage serait d'encourager les jeunes à choisir des formations professionnelles sans avoir l'impression de se faire piéger dans une impasse, ce qui est effectivement le cas actuellement.
Troisièmement, verser de meilleurs salaires aux techniciens et aux ouvriers spécialisés. Tant qu'ils sont payés au lance pierre, il n'y a rien à attendre d'eux.

Fahed t'es à l'abris avec ta nationalité Fr par contre ceux qui ne l'on pas et qui veulent travailler une ou deux années avant de retourner au Maroc ba c'est foutu pour eux ( du moins ca va être difficile suivant les cas...) bon il disent que la circulaire sera corrigé mais c'est pas gagné

Samyadams a écrit:

tshaashh a écrit:

Maintenant notre systeme educatif doit suivre, no seulement en formant les techniciens necessaires, mais en connectant ceux deja experimente vers un upgrade, par exemple vers de l'ingenieurie.

C'est une révolution socio-culturelle qu'il faudrait d'abord mener, car la formation professionnelle est actuellement une impasse pour ratés. Les diplômes accordés n'offrent aucune perspective, tellement les responsables politiques ont la crainte de voir les gens pousser plus loin leurs études.
Première des choses, un prince de sang royal à inscrire dans un ISTA, ça permettra de valoriser socialement la formation professionnelle. Car personne n'a envie de voir ses enfants bloqués socialement à cause d'une profession dévalorisante. Comme c'est prendre les gens pour des cons que de leur dire, "faîtes ce que je dis, mais ne faîtes pas ce que je fais", la seule manière de débloquer cette situation, c'est de voir l'élite marocaine envoyer aussi ses enfants en formation professionnelle. Ce n'est pas pour rien que Benbarka avait demandé à feu Hassan II, alors prince héritier, de mettre la main à la pâte sur le chantier de la "Route de l'Unité". Rien ne vaut la force de l'exemple.
Deuxièmement, accorder des diplômes qui permettent aux plus doués d'avoir accès aux grandes écoles d’ingénierie sur concours. Car l'autre argument de cons selon lequel tout le monde voudra devenir ingénieur ne trompe que les idiots. Si c'était le cas, tous les Suisses seraient des ingénieurs. L'avantage serait d'encourager les jeunes à choisir des formations professionnelles sans avoir l'impression de se faire piéger dans une impasse, ce qui est effectivement le cas actuellement.
Troisièmement, verser de meilleurs salaires aux techniciens et aux ouvriers spécialisés. Tant qu'ils sont payés au lance pierre, il n'y a rien à attendre d'eux.

Flawless cher Samy

Une autre remarque, pour un pays comme le Maroc: changer de mentalite vis-a-vis de notre education-caste-pyramidale et la traiter comme des modules, avec, comme tu l'as dis, des concours pour passer d'etape a etape.

On est a l'age Khan Academy pour l'amour du Ciel et on peut encore avoir l'initiave sur certains points!

http://www.khanacademy.org/

Open course ware du MIT

etc etc...

Nano a écrit:

Fahed t'es à l'abris avec ta nationalité Fr par contre ceux qui ne l'on pas et qui veulent travailler une ou deux années avant de retourner au Maroc ba c'est foutu pour eux ( du moins ca va être difficile suivant les cas...) bon il disent que la circulaire sera corrigé mais c'est pas gagné

A l'abris de quoi? Du racisme? Du mépris de mes professeurs pour ma culture d'origine et parfois pour certain de ma religion? D'un système à double/triple/quatruple vitesse suivant la zone géographique ou l'on étudie

Contrairement à certain je suis pas un bien née, ni un privilégier, je suis un née al hamdoulilah et si je suis la ou je suis avec ma nationalité FR al hamdoulilah c'est grâce à ma tête et aux valeurs de travail qui m'ont été transmises.'

Ma remarque faisait référence à l'intervention de Pacha qui nous souhaitait un développement rapide avec l'aide de nos élites. Mais je persiste et signe certain élément de notre élite n'en n'ont rien à foutre du Maroc

Fahed est "né" en France, toute sa scolarité, du primaire à l'universitaire, il l'a faîte en France, il ne doit rien au Maroc. Par contre, ceux qui ont fait leur scolarité au Maroc, avant de mener des études universitaires en France, devraient directement rentrer chez eux. Ils doivent rembourser aux Marocains en nature l'argent qui a été investi pour leur formation.

Fahed64 a écrit:

Nano a écrit:

Fahed t'es à l'abris avec ta nationalité Fr par contre ceux qui ne l'on pas et qui veulent travailler une ou deux années avant de retourner au Maroc ba c'est foutu pour eux ( du moins ca va être difficile suivant les cas...) bon il disent que la circulaire sera corrigé mais c'est pas gagné

A l'abris de quoi? Du racisme? Du mépris de mes professeurs pour ma culture d'origine et parfois pour certain de ma religion? D'un système à double/triple/quatruple vitesse suivant la zone géographique ou l'on étudie

Contrairement à certain je suis pas un bien née, ni un privilégier, je suis un née al hamdoulilah et si je suis la ou je suis avec ma nationalité FR al hamdoulilah c'est grâce à ma tête et aux valeurs de travail qui m'ont été transmises.'

Ma remarque faisait référence à l'intervention de Pacha qui nous souhaitait un développement rapide avec l'aide de nos élites. Mais je persiste et signe certain élément de notre élite n'en n'ont rien à foutre du Maroc

T'es allé un peu trop loin, à l'abri simplement de la circulaire Guéant visant les étudiant étrangers... C'est tout ce que je dis. Pour le reste tu as tout à fais raison

Fahed64 a écrit:

Nano a écrit:

Fahed t'es à l'abris avec ta nationalité Fr par contre ceux qui ne l'on pas et qui veulent travailler une ou deux années avant de retourner au Maroc ba c'est foutu pour eux ( du moins ca va être difficile suivant les cas...) bon il disent que la circulaire sera corrigé mais c'est pas gagné

A l'abris de quoi? Du racisme? Du mépris de mes professeurs pour ma culture d'origine et parfois pour certain de ma religion? D'un système à double/triple/quatruple vitesse suivant la zone géographique ou l'on étudie

Contrairement à certain je suis pas un bien née, ni un privilégier, je suis un née al hamdoulilah et si je suis la ou je suis avec ma nationalité FR al hamdoulilah c'est grâce à ma tête et au valeur de travail qui m'ont été transmise.'

Ma remarque faisait référence à l'intervention de Pacha qui nous souhaitait un développement rapide avec l'aide de nos élites. Mais je persiste et signe certain élément de notre élite n'en n'ont rien à foutre du Maroc

Alors faites comme l'AKP, ils ont changé l'élite qui vieillissait, incompétent économiquement par une élite très conservatrice et qui à du mené un combat offensif pour exporté les produits made in Turkey, un capitalisme islamique (Tout en respectant les principes de l'Islam, et le développement des banques islamiques, à priori), c'est pour cela qu'on les appelle "Tigres d'Anatolie", souvent représenté par le MUSIAD.

Les grands groupes élitiste travail dure que sa soit du camp laïc ou islamique:

http://www.musiad.org.tr/en/
http://www.tusiad.org.tr/

Samyadams a écrit:

Fahed est "né" en France, toute sa scolarité, du primaire à l'universitaire, il l'a faîte en France, il ne doit rien au Maroc. Par contre, ceux qui ont fait leur scolarité au Maroc, avant de mener des études universitaires en France, devraient directement rentrer chez eux. Ils doivent rembourser aux Marocains en nature l'argent qui a été investi pour leur formation.

Pas facile, je connaissais un algérien, ingénieur, lorsque je lui demandais, pourquoi ne pas retourné en Algérie? Il m'a dit que les salaires sont très bas et que l'état ne lui accorde une perspective pour son avenir.

Il y a aussi cette maladie dans les pays maghrébins, d'accordé une très grande importance à l'Europe, comme si, c'était le paradis, j'avais rencontré un maghrébin, tu sais ce qu'il me disait?! "Je préfère dormir dans la rue à Paris que d'avoir une belle maison au bled".

Lorsque j'étais au Maroc, des femmes ont proposés à ma femme, d'être co-épouse, pour que je les ramène en Europe ou de cherché des gens en Europe pour les épousées, surtout lorsque je dis que je suis Turc (Image erroné de Mouhannad, d'une beauté utopique). Je ne veux pas salir l'image de la femme maghrébine (Puisque ma femme est d'origine marocaine), mais, il y a une image utopique de l'étranger. Il faudrait déjà corrigé ça.

Edit Fahed64: HS au topic, retour au sujet économie marocaine et non comment un mec t'a frustré avec une belle voiture qu'il a loué en contre parti de bouffer du riz toute l'année

Samyadams a écrit:

tshaashh a écrit:

Maintenant notre systeme educatif doit suivre, no seulement en formant les techniciens necessaires, mais en connectant ceux deja experimente vers un upgrade, par exemple vers de l'ingenieurie.

C'est une révolution socio-culturelle qu'il faudrait d'abord mener, car la formation professionnelle est actuellement une impasse pour ratés. Les diplômes accordés n'offrent aucune perspective, tellement les responsables politiques ont la crainte de voir les gens pousser plus loin leurs études.
Première des choses, un prince de sang royal à inscrire dans un ISTA, ça permettra de valoriser socialement la formation professionnelle. Car personne n'a envie de voir ses enfants bloqués socialement à cause d'une profession dévalorisante. Comme c'est prendre les gens pour des cons que de leur dire, "faîtes ce que je dis, mais ne faîtes pas ce que je fais", la seule manière de débloquer cette situation, c'est de voir l'élite marocaine envoyer aussi ses enfants en formation professionnelle. Ce n'est pas pour rien que Benbarka avait demandé à feu Hassan II, alors prince héritier, de mettre la main à la pâte sur le chantier de la "Route de l'Unité". Rien ne vaut la force de l'exemple.
Deuxièmement, accorder des diplômes qui permettent aux plus doués d'avoir accès aux grandes écoles d’ingénierie sur concours. Car l'autre argument de cons selon lequel tout le monde voudra devenir ingénieur ne trompe que les idiots. Si c'était le cas, tous les Suisses seraient des ingénieurs. L'avantage serait d'encourager les jeunes à choisir des formations professionnelles sans avoir l'impression de se faire piéger dans une impasse, ce qui est effectivement le cas actuellement.
Troisièmement, verser de meilleurs salaires aux techniciens et aux ouvriers spécialisés. Tant qu'ils sont payés au lance pierre, il n'y a rien à attendre d'eux.

samy +1000 c'comme cela que le space programme a la nasa a commence dans le annees 50 et 60 la je m' connais.

Citation :

Le salon Casa Industries, en novembre à Casablanca

"Le salon Casa Industries, organisé conjointement par la Chambre française de commerce et d’industrie du Maroc (CFCIM) et la Chambre de commerce et d’industrie Marseille Provence (CCIMP), prévu du 22 au 24 novembre 2011 au Centre international de conférences et d’expositions de Casablanca, sera l’occasion pour les professionnels de l’industrie marocaine de se rencontrer, d’échanger et de générer des affaires avec leurs homologues internationaux (plus de 50 entreprises étrangères présentes).

D’après les initiateurs de cet évènement, la manifestation, qui se veut un outil d’accompagnement du Pacte national pour l’émergence industrielle, permettra aux participants de bénéficier d’un réel partage d’expériences.

Considérée comme une nouvelle vitrine professionnelle, l’exposition, sur 4000 m² bruts, devra permettre au Maroc de tirer pleinement profit de ses avantages comparatifs en matière d’offshoring, d’automobile, d’aéronautique, d’agroalimentaire ou d’électronique.

Une centaine d’exposants profiteront de la présence de 4000 visiteurs, dont les acteurs majeurs des grands projets industriels, pour valoriser leurs offres et répondre aux défis technologiques de demain.

A noter qu’en complément de cette exposition, de nombreux événements associés valoriseront les entreprises présentes, à savoir des conférences thématiques, des rendez-vous « B-to-B », des récompenses (trophée du meilleur stand et trophée de la meilleure innovation industrielle). "

http://www.lesafriques.com/maroc/le-salon-casa-industries-en-novembre-a-casablanca.html?Itemid=67?articleid=30155

Citation :

Capital Invest veut lever un milliard de DH pour Capital north Africa venture II

La BEI a donné son accord de principe pour 110 MDH. Le fonds vise des PME marocaines, algériennes et tunisiennes à fort potentiel de développement.

C apital Invest, filiale d’Argan Invest, pôle fonds d’investissement du groupe FinanceCom, est bien partie pour boucler le tour de table d’un troisième véhicule, douze ans après Capital Morocco qui était d’une taille de 25 millions de dollars (l’équivalent de près de 250 MDH en taux de change de l’époque). Cette fois-ci, Capital Invest vise un capital d’un milliard de DH pour Capital north africa venture II (CNAV II) et peut s’enorgueillir déjà d’avoir obtenu l’accord de principe d’une mise de 10 millions d’euros (près de 110 MDH) de la part la Banque Européenne d’Investissement (BEI), un de ses bailleurs de fonds habituels. Avec un track-record (historique des performances d’investissement) assez positif, notamment pour CNAV I, Capital Invest a toutes les chances de convaincre les investisseurs de le suivre dans cette nouvelle aventure.

La cession de certains actifs retardée par la morosité de la Bourse

La politique d’investissement reste quasi identique : le fonds vise des sociétés marocaines à fort potentiel de développement, et accessoirement algériennes et tunisiennes. Le ticket moyen envisagé se situe entre 20 MDH et 100 MDH.
Après Maroc Invest qui vient de boucler le tour de table d’un fonds de taille comparable (MPEF III), Capital Invest confirme le changement de palier réalisé par les capital-risqueurs marocains les plus en vue et ce non seulement pour les véhicules dédiés à l’infrastructure ou le tourisme qui sont par nature plus imposants vu les tickets d’investissement y correspondants. Rappelons que Capital Invest qui a réalisé de belles plus-values sur les participations du CNAV I, notamment Univers Motors en 2010, compte encore quelques actifs très prometteurs dont la cession a été un peu contrariée par la léthargie de la Bourse de Casablanca. Il en est ainsi de Mobilia, Buzzichelli Maroc et Prominox. Ce qui tranche avec les difficultés rencontrées depuis 2009 par ses consœurs au sein d’Argan Invest que sont Actif management et Actif Invest qui gèrent conjointement les fonds dédiés au tourisme et à l’immobilier et qui auront beaucoup de mal à tendre à nouveau la sébile à leurs actionnaires pour créer de nouveaux véhicules tant la confiance a été sérieusement ébranlée entre les deux camps.

http://www.lavieeco.com/news/economie/capital-invest-veut-lever-un-milliard-de-dh-pour-capital-north-africa-venture-ii-20599.html

Pour plus d'informations : http://www.lesafriques.com/actualite/le-capital-investissement-au-maroc-dans-son-rythme-de-croi.html?Itemid=89?articleid=29766

Citation :

Exploitation du sable : le milliard de DH qui échappe aux caisses de l'Etat

Les professionnels ont fait une estimation des taxes non payées au regard des 20 millions de m3 que consomme le Maroc chaque année. Les collectivités locales perdent 117 MDH au titre des taxes communales.



On le savait. L’exploitation du sable, particulièrement celui du littoral, provoque d’importants dégâts écologiques. Mais ce que l’on sait moins, c’est que cette activité, très rentable pour ses opérateurs, rapporte très peu à l’Etat. En ces temps difficiles où les pouvoirs publics s’emploient à serrer la ceinture et à s’assurer des revenus sûrs, ils se voient privés d’un pactole de plus d’un milliard de DH par an. Cette somme est l’équivalent de toutes les éventuelles recettes fiscales dont devaient s’acquitter les exploitants de cette matière naturelle.
Le constat est établi par l’Association des professionnels du sable (APS), une organisation qui regroupe le peu d’entreprises qui opèrent dans le circuit formel de ce secteur. Celle-ci évalue les pertes subies par l’Etat et les communes à exactement 1,16 milliard de DH, dont 646 millions émanant de l’exploitation du sable des dunes littorales.
La TVA représente 40% du total de cette évasion fiscale, soit 464 MDH. Quant aux recettes de l’IS qui échappent au Trésor, elles sont estimées à 361 MDH. A cela s’ajoute un manque à gagner de 228 MDH en termes de TVA sur le transport lié à cette activité. Les communes sont également lésées puisqu’elles se voient privées de 117 MDH au titre des taxes qui leur seraient dues.

Le coût de revient du m3 est de 70 DH pour le secteur formel et 15 DH pour l’informel

L’Etat et les communes ne sont pas les seuls perdants dans cette affaire. Les professionnels qui opèrent de manière formelle et conformément à la réglementation pâtissent également de cette évasion fiscale à grande échelle. «C’est toute notre activité qui est en péril en raison de cette concurrence déloyale», prévient Hassan Jaï, président de l’APS. Selon cette organisation professionnelle, les opérateurs du secteur formel notamment du sable de concassage et de dragage supportent un coût de production qui va au-delà de 70 DH/m3 tandis que le sable issu des dunes accède au marché à un prix de revient qui ne dépasse pas les 15 DH. Autant dire que la marge de bénéfices est très élevée sachant que la majorité de ces exploitants commercialisent leurs produits dans une fourchette de prix similaire à celle du secteur formel, et qu’ils sont exempts de charges fiscales et sociales. Pour les responsables de l’APS, cette situation est d’autant plus rageante que l’application du nouveau code de la route a creusé l’écart des marges entre les deux protagonistes puisque, comme l’explique M. Jaï, «les opérateurs formels se sont conformés au respect du tonnage des cargaisons tandis que les exploitants informels ont continué à transgresser la loi dans ce domaine».

L’interdiction de sable de dunes sérieusement compromise

Les dégâts ne se limitent pas aux pertes financières pour l’Etat et la collectivité, et à la déconstruction d’un secteur névralgique pour l’économie nationale. Ils vont jusqu’à la remise en cause du plan ambitieux mis en place par les pouvoirs publics pour faire face aux dégâts écologiques provoqués par cette activité. En 2008, ces derniers avaient décidé de mettre fin à l’exploitation du sable de dunes à l’horizon 2012. Or, à quelques semaines de cette échéance, ce pari semble difficile, voire impossible, à réaliser. Et pour cause, jusqu’à présent, aucun indice ne laisse prévoir l’arrêt de cette activité, et ce, pour au moins trois raisons. D’abord les besoins du pays en sable sont toujours énormes. Ils sont estimés actuellement à plus de 20 millions de m3 et ils passeront à 30 millions à l’horizon 2015. Ensuite, les entreprises exerçant dans le secteur formel n’arrivent pas à s’imposer dans cette activité, puisqu’en dépit d’importants investissements consentis ces dernières années, elles ne parviennent pas à tenir leur engagement vis-à-vis des pouvoirs publics de relever leur niveau de production dans le domaine du dragage et du concassage, en raison de «la concurrence déloyale», selon certains de ces professionnels. Enfin et surtout, l’exploitation de sable de dunes est en expansion. Profitant d’une demande croissante pour ce produit vital pour les chantiers de construction en hausse, les exploitants de ce type de sable ont accentué l’exploitation abusive de quantités largement supérieures aux volumes pour lesquels ils sont normalement autorisés. A Larache, par exemple, les autorisations accordées portent sur 500 000 m3 par an, alors que «l’exploitation réelle atteint 1,5 million m3» , selon l’APS. A Mnasra, dans la région de Kénitra, le pillage s’opère de manière intensive et systématique, puisque les volumes extraits totalisent 3 millions de m3 contre 280 000 m3 seulement qui font l’objet d’autorisations. Idem à Safi où officiellement les autorisations sont gelées au moment où la mafia du sable fait main basse sur 3 millions m3 par an.
Et si l’on sait en outre que le sable issu des dunes assure 42,5% des besoins du pays en ce produit, on comprend que l’objectif de l’interdire en 2012 est quasiment irréalisable. D’autant que seulement 20% de l’activité de l’exploitation du sable est assurée par le circuit formel. Autant dire que l’informel continuera à imposer sa loi dans ce secteur, puisque l’approvisionnement du pays en ce produit vital dépend en grande partie de lui.

Réglementation : Ce n'est pas faute de lois...

Le gouvernement avait promulgué en 2002 la loi 08-01, relative à l’exploitation des carrières. Mais la loi n’a jamais pu être appliquée sur le terrain faute de texte d’application. Ce n’est qu’en juin 2010 qu’une circulaire du Premier ministre est diffusée pour combler le vide dans ce domaine. Celle-ci stipule que les demandes d’exploitation des carrières de sable doivent être destinées et traitées par les services du ministère de l’équipement et du transport qui examine les dossiers avant d’attribuer les autorisations préalables sur la base d’un cahier des charges. La circulaire prévoit également la rationalisation de l’exploitation des carrières de sable ainsi que la mise en place d’outils de contrôle et de suivi des activités des exploitants de carrières. Elle met enfin en place des mesures visant à interdire les carrières sauvages et à prévenir le pillage du sable. Une commission nationale ainsi que des commissions provinciales veillent théoriquement au respect des cahiers de charges à travers les visites de prospection qu’elles sont censées effectuer régulièrement.

http://www.lavieeco.com/news/economie/exploitation-du-sable-le-milliard-de-dh-qui-echappe-aux-caisses-de-l-etat-20600.html

Citation :

Ahmed Reda Chami

J'ai eu le plaisir de signer hier une Convention avec le groupe français THALES, leader mondial des systèmes d’information critiques sur les marchés de la défense et de la sécurité, de l’aérospatial et du transport. THALES a choisi le Maroc pour établir son siège régional du continent africain, confirmant notre position de "hub" régional pour les grandes multinationales.
Les achats du Groupe ont totalisé un montant de 15 millions d’euros sur la période 2008-2010. Ce montant sera multiplié par 6 pour la période 2012-2016 pour atteindre 90 millions d’euros. L’aéronautique et la sécurité seront les principaux secteurs concernés.

facebook

Spartan a écrit:

Citation :

Ahmed Reda Chami

J'ai eu le plaisir de signer hier une Convention avec le groupe français THALES, leader mondial des systèmes d’information critiques sur les marchés de la défense et de la sécurité, de l’aérospatial et du transport. THALES a choisi le Maroc pour établir son siège régional du continent africain, confirmant notre position de "hub" régional pour les grandes multinationales.
Les achats du Groupe ont totalisé un montant de 15 millions d’euros sur la période 2008-2010. Ce montant sera multiplié par 6 pour la période 2012-2016 pour atteindre 90 millions d’euros. L’aéronautique et la sécurité seront les principaux secteurs concernés.

facebook

C'est important que de grosses structures comme celle-ci choisissent le Royaumes pour leur opérations en Afrique !! C'est de très bonne augure !

Citation :

Des smartphones low cost made in Maroc

Des GSM assemblés par DataPlus

Ils seront vendus entre 200 et 500 DH départ usine


Le site de production de DataPlus est basé
au Parc industriel de Bouskoura.
Il s’étend sur une superficie de 1.300 m2
avec une capacité journalière de 350 unités


Le Maroc s’apprête à produire des smartphones. Data Plus, producteur de PC et distributeur de matériels et logiciels informatiques se lance dans l’intégration et le montage de GSM de dernière génération. Des produits destinés aux trois opérateurs télécoms (IAM, Méditel et Inwi). Le GSM devra révolutionner et démocratiser l’accès du marché local de la téléphonie mobile puisque les smartphones seront écoulés entre 200 et 500 DH, prix usine.

La production sera notamment effectuée dans un site qui s’étend sur une superficie de 1.300 m2 avec une capacité journalière de 350 unités. Deux sites de stockage d’une surface globale de 1.600 m² et un volume de stockage global de 2.800 m3 sont également dédié à la production.

A noter que ce producteur de PC de bureau, PC portables et serveurs de la marque Olivetti, est également distributeur d’autres marques de matériel informatique notamment Hewlett Packard, Samsung, Sony, Toshiba ou encore Microsoft. D’ailleurs, il est certifié ISO 9001 version 2008 pour la production de matériel informatique sous la marque Olivetti et sa propre marque RMC. Au-delà de son activité principale, Data Plus commercialise des accessoires informatiques et des produits bureautiques. L’entreprise est également présente dans les télécommunications, à travers la commercialisation des accessoires télécoms. Un segment appelé à s’élargir après la grande opération des smartphones. Ce spécialiste IT cible les comptes des administrations, institutionnels, académies, universités et opérateurs télécoms… Il coopère avec des intégrateurs de solutions informatiques dans le cadre des appels d’offres et avec les enseignes de distribution à travers les partenariats commerciaux. À fin 2010, la société a tissé des liens avec plus de 100 revendeurs.

Sur un tout autre registre, Data Plus participe à l’incitation à l’équipement en ordinateurs et à l’utilisation d’internet par les acteurs de l’enseignement dans le cadre de plusieurs programmes d’équipement en matériel informatique. Parmi ses références, le programme Génie, qui vise la généralisation des TIC dans les établissements d’enseignement public au Maroc, le programme Nafida destiné au corps enseignant et le programme Injaz pour les étudiants du cycle ingénieur, des sciences et TI.
Créé en 1999, Data Plus a connu une croissance soutenue depuis son lancement et particulièrement après la montée des technologies d’information. Ainsi, durant la période 2007-2010, le chiffre d’affaires de Data Plus a enregistré un taux de croissance annuel moyen de 41,4%.

A long terme, la société entend développer de nouveaux produits et services et promouvoir l’export avec le renforcement de l’équipe commerciale et la prospection des marchés à l’international, notamment en Afrique et au Moyen-Orient. Les programmes gouvernementaux acquièrent également une attention particulière de la part de Data Plus, qui vise l’augmentation de ses parts de marché dans ce segment.

http://www.leconomiste.com/article/888415-des-smartphones-low-cost-made-maroc

Et si cela se décidait en notre faveur ?

Citation :

Bombardier examine également la possibilité d’implantations dans des pays à bas coûts, plus près de ses marchés européens. Le Maroc, la Tunisie et la Turquie sont les trois pays étudiés. M. Hachey a soutenu cependant qu’il faudra encore attendre avant que Bombardier fasse connaître sa décision finale.

Bombardier Aéronautique compte aujourd'hui 32 000 employés, dont 19 500 travaillent au Canada

http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/aeronautique-et-aerospatiale/bombardier-prevoit-encore-engager-au-mexique/537181

Citation :

Le FMI félicite le Maroc pour la "rigueur" de ses politiques macroéconomiques et ses réformes

Jeudi 3 Novembre 2011



Le Fonds monétaire international (FMI) a félicité, jeudi, le Maroc pour la "rigueur" de ses politiques macroéconomiques et les réformes structurelles et politiques mises en oeuvre, qui lui ont permis de bien résister à la crise mondiale et de "répondre à des besoins sociaux pressants".

"Plusieurs années successives de politiques macroéconomiques saines et de réformes politiques ont permis au Maroc de faire face à la crise internationale de 2008 et de satisfaire les exigences sociales manifestées dans le cadre du Printemps arabe", souligne le FMI dans une note d'information au public (NIP).

Dans cet environnement difficile, le Maroc a présenté de "bons résultats" économiques tout en améliorant ses indicateurs sociaux, se félicitent encore les administrateurs du FMI dans cette note publiée suite à la conclusion des consultations annuelles avec le Maroc conduite par le Conseil d'administration du Fonds conformément à l'article IV de ses statuts.

Malgré une reprise lente dans la zone euro, principal partenaire commercial du Royaume, la croissance globale du PIB devrait atteindre 4,5 à 5 %, soit l'un des taux les plus élevés de la région, chose qui dénote de la "forte croissance" du secteur non agricole, tourisme compris, ainsi que le rebond de la production agricole, relève le FMI.

http://www.atlasinfo.fr/Le-FMI-felicite-le-Maroc-pour-la-rigueur-de-ses-politiques-macroeconomiques-et-ses-reformes_a22336.html

Citation :

Logica ouvre un centre de compétences au Maroc



En installant un pôle de compétences au parc Technopolis de Rabat, Logica propose aux directions informatiques et métiers de fédérer et de sécuriser le volume de leurs données.

La SSII britannique Logica a choisi la ville de Rabat (Maroc) pour y ouvrir un centre de compétences dédié à la gestion des données. Situé au parc Technopolis, à trois heures d'avion de Paris, ce pôle d'expertise est conçu pour aider les directions informatiques et métiers (RH, achats, DAF et marketing) à maîtriser leurs données en termes de volume, d'accessibilité, de valorisation et de sécurité. Il soutient les approches muticanal, la mise en place de référentiel de données unique en cas de fusion/acquisition ou encore l'anonymisation des données.

Une législation sur la protection des données

« Le choix du Maroc n'est pas anodin », a commenté Mohamed Lakhlifi, directeur général de Logica Afrique du Nord, dans un communiqué. « Disposant de ressources aux compétences éprouvées et à coût maîtrisé, le Maroc a également adopté une législation de protection des données fondée sur le modèle européen. Des démarches sont en cours auprès de la Commission européenne pour garantir ce niveau de protection. »

Le centre de Logica est dédié aux référentiels de données partagées, à l'extraction et à la transformation des informations, aux architectures d'échanges et de services et au reporting. Il rassemble près de 150 collaborateurs.

http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-logica-ouvre-un-centre-de-competences-au-maroc-42481.html

Citation :

TTS ouvre une filiale au Maroc



Trafic Transport Sûreté (TTS), spécialiste de solutions de sûreté, annonce la création de T Security, sa filiale au Maroc. Dans un pays où les attentes en matière de sûreté son considérables, TTS apporte aux entreprises proximité et solutions sur mesure. Après avoir renforcé sa présence en France avec l’acquisition de ses filiales « Sud » et « Lyon », TTS poursuit ainsi son développement au-delà des frontières pour développer son savoir-faire.

Déjà présent au Maroc avec des références comme la Ville de Casablanca ou le tunnel d’Oudayas, c’est tout naturellement que TTS a choisi Rabat pour installer sa nouvelle filiale.

http://www.info.expoprotection.com/?IdNode=1308&Zoom=fa13eae0617b5f03f8e7fe584bad966e&xtor=RSS-7&KM_Session=51ce73292653f3c94a8051629f68ba37

Citation :

IOM Programme Addresses the Socio-Economic Reintegration Needs of Marginalized Moroccan Youth

GENEVA, Switzerland, November 4, 2011

An IOM programme seeking to tackle the pressing socio-economic reintegration needs of underprivileged and at-risk young people in the northern Moroccan cities of Tangier and Tétouan has assisted more than 9,000 vulnerable individuals over the past year.

This USAID-funded pilot programme, which is carried out by IOM in partnership with the Mohammed VI Foundation for the Reintegration of Detainees, has provided direct assistance to young people looking for employment in the private sector, to ex detainees requiring assistance to start small businesses and to families seeking to re-enrol children who have dropped out of school.

As part of the two-year programme, young people who have dropped out of school have also benefited from vocational training courses.

Awareness raising activities have also been carried out in primary and secondary schools in marginalized neighbourhoods to promote the values of education and vocational training.

Special emphasis was put on health awareness activities, including on the risks of tobacco and drug addiction. Issues relating to citizenship education, the risks of delinquency and irregular migration were also addressed.

Some of the needs of young people in detention centres and prisons are also being addressed through recreational activities such as weekly drama and theatre workshops. Literacy programmes are also offered Foundation to young detainees, as well as vocational training in gardening, hairdressing, computer maintenance, woodwork, masonry-work, plumbing and electricity workshops.

"This initiative also seeks to address the needs of detained and recently released young people through the provision of supportive services provided by a team of young IOM social workers," says Anke Strauss, IOM's Chief of Mission in Morocco. "We also work very closely with NGOs and governmental institutions to help them better respond to the many needs of vulnerable youth."

Tangier, on the Straits of Gibraltar and Tétouan, which lies close to the Spanish enclave of Ceuta, have over the years become gateways for irregular migration into Europe.

The Mohammed VI Foundation for the Reintegration of Detainees was set up in January 2002 to promote the successful reintegration of former detainees into their communities.

http://www.starafrica.com/en/news/detail-news/view/iom-programme-addresses-the-socio-econom-200408.html

Et ceci pour promouvoir encore plus notre artisanat auprès des Anglais :

Citation :

Moroccan market in city centre: The souk of Peterborough

A caravan of Moroccan craftsmen have set up camp in the city centre to tempt shoppers with exotic wares.

During its three month tour, the market is travelling through 15 British cities, including Liverpool, Leicester and Oxford, to promote the North African country.

http://www.peterboroughtoday.co.uk/lifestyle/lifestyle-leisure/moroccan_market_in_city_centre_the_souk_of_peterborough_1_3215127

En outre, Leoni, déjà présente à Casablanca, compte ouvrir d'autres succursales au Maroc :

Citation :

Furthermore, there will be additional production halls in Brazil, Mexico, Morocco, Tunisia and Serbia among other places.

http://evertiq.com/news/20755

Citation :

EMX Express se lance dans la messagerie nationale

200 millions de DH investis en trois ans pour constituer une flotte de véhicules, former les chauffeurs et concevoir un système de localisation à distance. Elle compte s'attaquer au transport des matières dangereuses.



EMX Express, entreprise spécialisée dans le transport et la logistique par voie aérienne, créée en 2007, se lance dans la messagerie nationale par voie terrestre. Le créneau n’est certes pas inoccupé, puisque de nombreuses entreprises l’ont investi depuis assez longtemps. Mais, selon My Omar Zehraoui, président du groupe, ce dernier va mettre tous les moyens pour devenir rapidement leader de la messagerie nationale, notamment grâce à un investissement de 200 MDH sur trois ans et en portant l’effectif à plus de 100 personnes. Cette enveloppe a servi en premier lieu à acquérir une soixantaine de véhicules neufs et une partie a été consacrée à la formation des chauffeurs et à l’acquisition de locaux d’entreposage.

Pour se démarquer de ses concurrentes, EMX Express a équipé sa flotte d’un système de localisation à distance qui permet de localiser et de suivre en temps réel le déplacement et la position des véhicules sur tout le territoire. Cette technique, très appréciée par les grandes entreprises, a été développée en collaboration avec une entreprise informatique française spécialisée. Autre originalité, l’entreprise veut développer des niches logistiques encore peu développées comme le transport d’urgence (hand carry) qui consiste à mettre à la disposition du client un employé chargé d’accompagner le colis et le remettre en mains propres à son destinataire au Maroc et à l’étranger. De même, elle a décidé de s’attaquer au transport de matières et de produits dangereux.

Pour servir d’appui à son réseau de véhicules, l’entreprise s’appuie sur sa flotte aérienne qui compte 3 Fokker 27, en plus des appareils qu’elle loue en cas de besoin pour desservir plus de 50 pays. A cet égard, soulignons qu’elle compte déjà parmi ses clients des groupes d’envergure comme Yazaki, Delphi, Jaguar et Renault pour le transport de pièces détachées ou de câblages.

Rappelons que la messagerie nationale, activité relativement récente, est dominée par quelques entreprises dont Al Amana, la Voie Express, la CTM qui est adossée à son réseau de transport de voyageurs, la SDTM, ainsi que d’autres transporteurs qui ont développé à une moindre échelle cette activité. L’activité a aujourd’hui le vent en poupe grâce au développement de pôles industriels et de services, et à la volonté affirmée des pouvoirs publics de créer des zones logistiques. Mais comme d’autres secteurs, elle souffre de la concurrence de l’informel qui accapare, d’après certaines estimations, 40% de l’activité.

http://www.lavieeco.com/news/economie/emx-express-se-lance-dans-la-messagerie-nationale-20632.html