TUNISIE - Actualités et avenir

Rappel du premier message :

Je vous propose d'ouvrir une nouvelle page ou seront traitées l'actualité ainsi que les perspectives politiques Tunisiennes.

PGM

mourad27 a écrit:

ils auront du mal a s'en relever même le tourisme algerien va se calmer   la hawla wa la qowata illa billha

ne t'inquiète pas pour ça, les algériens ressortirons le discours de tous les ans "nous avons sauvé la saison touristique tunisienne".
il y a eu ces derniers jours une alerte sur l'incursion par la frontière algérienne de 3 ou 4 terroristes...

RIP

La communauté FARMAROC exprime ses condoléances et sa Solidarité avec le peuple tunisien frère en cette période

c est un signe de nervosité  ces assassinats   RIP

RIP au peuple Tunisien et a ses victimes.
C'est triste quand meme ,mais dans quel monde l'on vis....

Mes condoléances aux familles des victimes tunisiens et touristes..ils ont l'âme noir ces bêtes ! qu'est ce qu'elle a la Tunisie a part son tourisme ? l'Egypte encore ça va, mais la pauvre tunisie ? ils ont raison de vouloir le le lyncher le terro

Je me demande a quoi sert la "coopération" anti terroriste entre les tunisiens et les algeriens érigée en cooperation strategique ! Depuis que ils cooperent ensemble nos amis tunisiens ne connaissent que malheurs sur malheurs soldats egorges assasinat de politicien et le drame d'aujourd'hui . Quand on collabore avec des incapables impuissant depuis des decennies de regler leur problèmes securitaires  qui vivent la même chose chez eux et bien sa donne sa . Les Tunisiens doivent revoir leurs cartes securitaires au plus vite , on bosse pas avec le dernier de la classe quand on veux etre le premier ...

bien triste pour ce pays.

pour l instant 22 morts dont 20 touristes et 2 tunisiens.

tous les pays qui ont l'Algérie à leur frontière sont directement exposé aux actes terroristes. et encore plus quand il y a "coopération antiterroriste" . comme si l'Algérie pénetrait le système sécuritaire des pays coopérant pour mieux exfiltrer les terroristes.

RIP aux victimes

Merci d eviter de polluer tout les topics avec la sempiternelle guéguerre algerie/maroc

les deux assaillants neutralisés +18

Spoiler:

à part ça conformation à l'instant par le quai d'orsay de deux victimes françaises et un blessé grave

Alloudi a écrit:

RIP aux victimes

Merci d eviter de polluer tout les topics avec la sempiternelle guéguerre algerie/maroc

@alloudi c'est pas une question de gueguerre il n' pas tout a fait tord ils ont pas mal de fouteur de merde grace a leurs décenie noir et tout leurs voisins ont morflé et ce n'est pas de l'imagination ou de la haine mais la on peux dire il est vrai que le calme précaire en tunisie et la guerre civile en libye fait que un petit pays comme la tunisie a des soucis c'est un exploits qu'il n'y ai pas eu plus de dégât depuis 4 ans

RIP aux victimes, la Tunisie paie à la fois sa situation géographique et les lacunes de son système de renseignement...
C'est une claque énorme que vienne de prendre les forces de sécurité du pays! Un attentat à côté du parlement ...

Ils ont un déficite en matière de renseignement. Je serai curieux de savoir si il y avait un plan vigipirate comme en France ou au Maroc avant l'Attentat....

c'est vrai qu'ils ont été pris de court mais la pagailles des forces de sécurité autour du musée (que fait le poste de commandement opérationnel ?) montre que nos amis tunisiens ont des progrès à faire en matière de gestion de situations de crises majeures . en tout cas RIP aux victimes. nous sommes tous Bardo

Fahed64 a écrit:

RIP aux victimes, la Tunisie paie à la fois sa situation géographique et les lacunes de son système de renseignement...
C'est une claque énorme que vienne de prendre les forces de sécurité du pays! Un attentat à côté du parlement ...

Ils ont un déficite en matière de renseignement. Je serai curieux de savoir si il y avait un plan vigipirate comme en France ou au Maroc avant l'Attentat....

je ne dis pas qu'il y a pas eu de défault dans le renseignement mais un type assez determiné qui ne laisse pas trop de trace même la CIA peux pas le prévoir

Ok certe mets deux soldats +1 policier en faction devant le musée, des patrouilles armée sur les grande artère de la ville, au endroit important et stratégique, au abord des lieux visité et fréquenté et ton terroriste se retrouve pris rapidement et fixer dans une fusillade....La après s'être fait barrer la route, ils sont tranquillement aller visiter le musée à leur manière

J'espère que le Maroc va dynamiser sa coopération avec ce pays

arsenik a écrit:

Alloudi a écrit:

RIP aux victimes

Merci d eviter de polluer tout les topics avec la sempiternelle guéguerre algerie/maroc

@alloudi c'est pas une question de gueguerre il n' pas tout a fait tord ils ont pas mal de fouteur de merde grace a leurs décenie noir et tout leurs voisins ont morflé  et ce n'est pas de l'imagination ou de la haine  mais la on peux dire il est vrai que le calme précaire en tunisie et la guerre civile en libye  fait que un petit pays comme la tunisie a des soucis c'est un exploits qu'il n'y ai pas eu plus de dégât depuis 4 ans

Sans etre parano ou complotiste et Je ne dis bien sur pas que c'est un coup d'alger, mais il est evident qu'une transition démocratique reussie en tunisie est plus que genante pour la junte d'alger vis à vis de son opinion publique à qui elle a réussit à faire accroire que les algériens n'avaient le choix qu'entre les generaux ou le chaos islamiste.

WRANGEL a écrit:

arsenik a écrit:

Alloudi a écrit:

RIP aux victimes

Merci d eviter de polluer tout les topics avec la sempiternelle guéguerre algerie/maroc

@alloudi c'est pas une question de gueguerre il n' pas tout a fait tord ils ont pas mal de fouteur de merde grace a leurs décenie noir et tout leurs voisins ont morflé  et ce n'est pas de l'imagination ou de la haine  mais la on peux dire il est vrai que le calme précaire en tunisie et la guerre civile en libye  fait que un petit pays comme la tunisie a des soucis c'est un exploits qu'il n'y ai pas eu plus de dégât depuis 4 ans

Sans etre parano ou complotiste et Je ne dis bien sur pas que c'est un coup d'alger, mais  il est evident qu'une transition démocratique reussie en tunisie est plus que genante pour la junte d'alger vis à vis de son opinion publique à qui elle a réussit à faire accroire que les algériens n'avaient le choix qu'entre les generaux ou le chaos

Le niveau est vraiment bas, vous faites de l'apologie du terrorisme la.🙈🙉🙊ce genre d'intervention va nuir a la réputation du forum

@wrangel :Pour une fois c est plaisant de te lire (partie transition démocratique)

Fahed64 a écrit:

Ok certe mets deux soldats +1 policier en faction devant le musée, des patrouilles armée sur les grande artère de la ville, au endroit important et stratégique, au abord des lieux visité et fréquenté et ton terroriste se retrouve pris rapidement et fixer dans une fusillade....La après s'être fait barrer la route, ils sont tranquillement aller visiter le musée à leur manière

J'espère que le Maroc va dynamiser sa coopération avec ce pays

il est certains qu'il u a un déficite en matière de sécurité en Tunisie, mais l'economie du pays va mal, ce qui implique moins d'embauche dans la fonction public et la police est touché directement.

concernant la coopération séciritaire avec le Maroc, je crois que celle-ci dépend du bon vouloir d'alger. Je ne dit pas que la Tunisie a vendu son âme au diable, mais l'aide financière d'alger, ainsi que les fournitures en armes sont conditionné. et c'est là que le Maroc se fait court-circuité. Alger profite de la faiblesse tunisienne pour la tenir éloigné du Maroc.
J'éspère que cet attentat va rappeler à la Tunisie que sa sécurité ne se marchande pas.

Le problème c'est qu'avec la révolution il y a eu des purges au Ministère de l'Intérieur, ainsi les responsables sécuritaires ont été mis à l'écart et les services de renseignements dissous.
Sans parler de la guerre ou les politiques voulait mettre leurs hommes dans ces postes clefs.

Bref il y a eu une instabilité et une perte seche de compétence qui a fait du tort à la Tunisie.
Maintenant que des institutions stables ont été mis en place on peut (re)construire des services de renseigenements efficaces...tout en sachant que cela prend du temps.

Les deux assaillants été tout deux originaires du Sud tunisien ... il y a aussi des facteurs économiques et sociaux , on a presenter pendant des années la Tunisie comme l'exception un pays avec un peuple cultivé très peu de pauvreté et une société juste et equitable . Et puis est venu la révolution qui a tout montrer , avec justement ce Sud de la Tunisie complètement sous développé par rapport au nord ou se trouve les elites éduquée . Ce Sud la de tout temps a été le terreau du terrorisme tunisien les populations de cette region on toujours gardé un islam plutot rigoriste , rien a voir avec les grandes villes du nord axée sur ma vie dans le mode laicards et bobo . Cette précarité a créer de la frustration et des inégalités qui ont mené a radicalisations d'une jeunesse désoeuvré .

De plus n'oublions pas les années du Benalisme ou un simple citoyen qui faisait la prière été raffler et on torturait a tour de bras dans les geoles tunisienne . Ce n'est pas un hasard si 3000 tunisien combattent actuellement dans les rang de l'EI ma main a couper que ils sont tous passer par la case prison torture et tout ce qui s'en suit et se sont radicalise pour donner ce resultat dramatique . Parce que presenter l'islamisme radical ok mais il faut aussi critiquer les regimes arabes de type laics qui ont au nom de leurs ideaux ont torturés des milliers de personnes pour leur seule conviction religieuses musulmanes même pas extrémiste , aujourd'hui ils en payent le prix cash et cher .

BOUBOU a écrit:

mourad27 a écrit:

ils auront du mal a s'en relever même le tourisme algerien va se calmer   la hawla wa la qowata illa billha

ne t'inquiète pas pour ça, les algériens ressortirons le discours de tous les ans "nous avons sauvé la saison touristique tunisienne".
il y a eu ces derniers jours une alerte sur l'incursion par la frontière algérienne de 3 ou 4 terroristes...

C est le contraire, il sont entre en algerie a partir de la tunisie, et faut pas oublié que pour in amenas il y avait une majorité de tunisien et aucun algerien dans les terroriste. C'est etinant que sur ce forum vous savait mieux que les service de securite et les politique tunisien qu'il ferai mieux de ne pas cooperer avec nous. Nous leur livront des armes et un financement au tunisien. Ils savent que notre cooperation est importante. Vous voyer le monde que au travers vous alors vous perdé votre objectivité.

On fait des constats Mr kabylius et des constats sur le terrain , on s'en fou que vous leur livrez des armes ou des patates ou que les terroristes été tunisien ou martiens , ce sont les resultats concrets securitaire de cette cooperation que on veux voir et ils ne sont pas la . Ni du côté tunisien ni du côté algérien .
Oui on voit notre region sous notre angle de vue et comme notre pays est sur hamdoullah , tout ce qui se passe autour de nous parait incroyable , justement notre objectivité est bien présente c'est pas de la critique gratuite .

Citation :

Tunis : les dessous d'une opération très bien préparée

Le Point - Publié le 19/03/2015 à 08:59 - Modifié le 19/03/2015 à 10:08

Les terroristes ont voulu frapper l'économie tunisienne, l'opinion internationale et galvaniser les djihadistes. Ils n'ont rien laissé au hasard.

De NOTRE CORRESPONDANT À TUNIS BENOÎT DELMAS
Les rescapés de l'assaut mené par les trois terroristes montrent du doigt la façade, se refont le film d'un après-midi qui a tourné au drame pour dix-sept touristes et deux Tunisiens. Ils sont une douzaine, groggy. Ils racontent être arrivés à l'aube au port de La Goulette. Une croisière. Au menu : la Tunisie en quelques heures. Sitôt arrivés, les touristes embarquent, qui en bus, qui en taxi. Direction Sidi Bou Saïd, ses venelles pentues et ses maisons blanches aux portes bleu azur. Puis le souk, porte de France, au coeur de l'avenue Bourguiba à Tunis. Sept bus prennent enfin la direction de la verdoyante enceinte du Bardo situé à quelques kilomètres du centre de la capitale. Côte à côte, l'Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Louvre tunisois. Peu après midi, un jeune homme ouvre le feu sur un premier bus. De face. Puis, il arme de nouveau sa kalachnikov et mitraille le côté. Premier bilan : six morts.

Le trio de tueurs s'engouffre dans le musée après avoir jeté un explosif qui laisse un léger cratère. La prise d'otages n'est en fait qu'une chasse à l'homme. Les kalachnikovs crachent pour tuer. La BAT, la brigade antiterroriste, et l'USGN, l'Unité spéciale de la garde nationale, sont alors chargées d'intervenir. En zone urbaine, en cas d'opérations exceptionnelles, les deux unités collaborent. L'assaut sera mené très rapidement afin de stopper la tuerie en cours. Deux des assassins sont abattus. Un troisième arrêté, qui n'aurait pas tiré. Reste désormais à démanteler le réseau qui a méticuleusement préparé l'opération. Choix de la date : l'ARP étudiait la loi antiterroriste et la croisière faisait halte. Choix de l'heure : à l'arrivée de la grande vague de touristes. Choix du lieu : les symboles du pouvoir et de la culture. Des pans entiers de l'histoire nationale y sont exposés au sein d'un bâtiment vaste de 23 000 mètres carrés. Un cadre idéal pour implanter la cause djihadiste dans la capitale. Et ce, à deux jours de l'anniversaire de l'indépendance...

Feuille de température du terrorisme

Toute proportion gardée, le Bardo est à la Tunisie ce qu'In Amenas fut à l'Algérie en janvier 2013. Lorsqu'un commando téléguidé par Mokhtar Belmokhtar s'empara du site gazier et fit trente-neuf victimes parmi les étrangers y travaillant. In Amenas est le 11 Septembre de l'Algérie. Un maximum de nationalités touchées au coeur d'un fleuron industriel réputé pour être une forteresse. Le groupe des Signataires par le sang prouvait alors qu'il pouvait frapper où il le voulait, qui il voulait, quand il le voulait. Les événements qui ont ensanglanté le Bardo ce 18 mars 2015 ont le même profil : de multiples nationalités parmi les victimes (Japon, France, Italie, Pologne...), un haut lieu culturel du pays accolé au Parlement surveillé jour et nuit par les forces sécuritaires. Deux terroristes ont ainsi pu tuer dix-neuf personnes à cinquante mètres de l'enceinte où se réunissent les 217 députés de la IIe République tunisienne.

Mercredi 18 mars, 17 h 30. Devant l'entrée du Bardo, une grande grille en fer forgé, ambulances et véhicules sécuritaires vont et viennent. Les habitants du quartier et quelques curieux forment un silencieux cordon. À l'intérieur, une noria de journalistes se mêle à des dizaines d'uniformes. Ceux de la BAT, ceux de l'USGN, les costumes des cadres du ministère de l'Intérieur, les jeans des journalistes. Dans un étrange climat, on observe ce bus à l'arrêt que peu osent photographier. Ses passagers attendent de pouvoir quitter la scène de crime. Pas loin, une voiture de petite morphologie a ses vitres arrière explosées. Au sol, deux douilles. Un policier en costume noir les a disposées pour un photographe. Puis il les remet dans sa poche. Un cratère troue la dalle à l'entrée du musée. Un des deux terroristes y a jeté une grenade avant de s'engouffrer dans les salles chargées d'histoire. Un représentant d'une ambassade demande à un policier en costume gris clair s'il y a des victimes espagnoles. L'homme répond : "Tous les corps sont à l'hôpital." Le diplomate lui demande son nom. Sourire de l'homme qui appartient sans nul doute à la sûreté intérieure : "On se retrouvera..." Et demande à son interlocuteur d'apporter des photos des possibles victimes.

La porte automatique qui permet de pénétrer au sein du musée est à moitié ouverte. Un simple ruban jaune en barre l'accès. Les différents services de police présents ont terminé le travail à l'intérieur du bâtiment. Le bilan s'est considérablement alourdi : on a évoqué entre seize et dix-huit morts. À intervalles réguliers, de puissants 4 x 4 déposent des huiles sécuritaires. De brefs conciliabules se tiennent à quelques mètres des journalistes. La volonté de tout montrer est patente. À l'extérieur de l'enceinte, la petite foule applaudit les forces de l'ordre, le porte-parole du ministère de l'Intérieur, puis le bus des survivants qui quitte enfin les lieux.

Et maintenant, place aux questions

À l'intérieur : stupéfaction face à cette salve. Moins de cinq heures après que la première rafale a été tirée, on peut fouler l'entrée d'une scène de crime dont le périmètre serait de 23 000 mètres carrés. Un gradé, trois étoiles sur les épaulettes, dit spontanément sa tristesse. Il s'excuse presque. L'heure n'est pas à la vengeance, comme ce fut le cas en 2012 au soir de la mise à sac de l'ambassade des États-Unis. Certains grands flics disaient avec un sourire carnassier que "ça ne resterait pas impuni". Le 14 septembre 2012, aux Berges du lac, on dénombrera quatre morts parmi les assaillants de la représentation diplomatique nord-américaine. Deux ans et demi plus tard, ce sont dix-neuf personnes qui ont été exécutées par un groupe composé de deux jeunes hommes. L'un provenait de Kasserine (le centre du pays), l'autre de la cité populaire Ibn Khaldoun à Tunis. Quant aux commanditaires, on attend encore leur communiqué de victoire. Parmi les dix-neuf morts, une femme de ménage tunisienne, "agent d'entretien" au musée depuis plusieurs années.

Après le recueillement, beaucoup de questions se poseront. Un habitant du quartier, véhément, explique : "La sécurité, c'est zéro ici !" Et d'ajouter que, malgré les vacances scolaires et les touristes liés aux premiers beaux jours, "la sécurité n'a pas été renforcée au musée". Ni à l'intérieur ni à l'extérieur. Pas de caméras de surveillance. Pas de filtrage. C'est ainsi que de jeunes hommes ont pu entrer "kalach à la main", selon l'épicier qui fait face à l'entrée. Un autre commerçant pointe les défaillances de la sécurité dans les lieux publics : "Tu vas à Géant ou Carrefour, tu verras qu'il n'y a aucune précaution de prise !" Ces deux lieux drainent des milliers de Tunisiens tous les jours. À part des détecteurs de métaux, rien d'autre. À 48 heures de l'anniversaire de l'indépendance, les gens sont inquiets. Dans les cafés, les écrans plats diffusent les plateaux organisés en urgence par les télévisions. Et diffusent des images du Bardo en boucle. Le secteur du tourisme compte pour 7 % de l'économie nationale.

Depuis la révolution, on dénombre 57 morts parmi les forces de l'ordre et près de 200 blessés. Les groupes armés qui agissent dans le Nord-Ouest (Kasserine), aux frontières libyennes et algériennes, ont hier mis le cap vers le Nord. À Tunis. L'État communique abondamment via le porte-parole du ministère de l'Intérieur, l'ineffable monsieur Laroui, sur les arrestations quotidiennes de présumés terroristes, de cellules dormantes, de groupes djihadistes... Une vidéo, présentée par le porte-parole, a même montré la police procédant à des arrestations. Sans enquête ni justice, trois jeunes gens étaient présentés aux téléspectateurs comme de dangereux terroristes. Cette séquence fournie clé en main par le ministère de l'Intérieur a été diffusée à l'automne. Malgré les milliers d'arrestations dont se vante le ministère de l'Intérieur (près de 3 000 en 2013, plus de 1 500 depuis le début de l'année), l'assaut mené hier par trois jeunes hommes démontre la vulnérabilité du système.

http://www.lepoint.fr/monde/la-mort-dans-tunis-une-operation-minutieusement-preparee-19-03-2015-1914051_24.php

petit hs.
de manière général, on remarquera que Kalashnikov est fortement associé à terrorisme. Les médiats veulent nous faire croire que le kalash vient de naître et qu'il est le seul à tuer des innocents.