actualité européenne : Economie, politique, diplomatie...

Rappel du premier message :

nouveau topic sur l'actualité européenne dans tous les domaine (économique, politique scientifique etc ...)

Citation :

Merkel travaille sa contre-offensive face à Hollande



Des ministres du gouvernement allemand reprochent au président français de ne pas avoir les moyens de sa politique.
Angela Merkel peaufine sa contre-offensive face à François Hollande. La chancelière allemande, qui continue de dominer la politique européenne, où elle a imposé sa stratégie fondée sur la discipline budgétaire dans la lutte contre la crise de la dette, n'a aucune intention de céder aux pressions du président français. Plusieurs ministres de son gouvernement sont montés au créneau pour rappeler la France à ses engagements et tacler le nouveau président socialiste, lui reprochant de ne pas avoir les moyens de sa politique.

Lundi, Merkel avait fermement réitéré son refus de renégocier le pacte de stabilité budgétaire, comme le souhaite son nouveau partenaire. La chancelière, qui a adressé mardi un message de félicitations au nouveau président français, a laissé entrevoir clairement à Hollande quelles concessions il pourrait obtenir de Berlin: la formulation d'un nouveau pacte de croissance et l'augmentation des moyens de la Banque européenne d'investissement en font partie. Mais elle rejette catégoriquement tout programme de stimulation de la conjoncture qui creuserait la dette.

«L'Allemagne n'est pas là pour financer les promesses électorales des socialistes, a lancé plus brutalement son lieutenant, le ministre de l'Écologie et vice-président de la CDU, Norbert Röttgen. Le gouvernement fédéral défend clairement la poursuite de la politique de discipline budgétaire.» Au bout du compte, si la croissance est financée par de nouvelles dettes, ce sera à l'Allemagne de payer pour «la victoire des socialistes français», tranche-t-on à Berlin, où l'on rappelle qui tient les cordons de la bourse en Europe.

Réduction des déficits budgétaires
Merkel mise sur une double stratégie. «L'économie de la France et les finances du pays demeurent dans un état précaire, décrypte Peter Altmaier, dirigeant du groupe parlementaire CDU au Bundestag et fidèle de la chancelière. Tout pays qui essaierait de mener une politique de l'offre en accroissant ses déficits se mettrait très vite les marchés à dos et verrait ses taux d'intérêt augmenter. La France n'a aucune marge de manœuvre.»

Berlin déplore notamment qu'Hollande ait promis pendant sa campagne d'augmenter le salaire minimum, de créer des postes de fonctionnaires et de revenir sur le recul de l'âge de la retraite. Altmaier juge qu'une fois les élections législatives françaises terminées, il sera possible pour Berlin de parvenir à un compromis avec Paris pour réaffirmer «une fois pour toutes» que la réduction des déficits budgétaires est la seule voie possible pour l'Europe.

Berlin juge crucial pour Hollande de prendre à bras-le-corps les réformes nécessaires pour que la France retrouve sa compétitivité. Si Hollande s'entête dans la voie tracée pendant sa campagne, Merkel entend désamorcer le soutien dont il jouit auprès des sociaux-démocrates et des Verts, qui se sentent portés par la victoire des socialistes français, en faisant d'eux un épouvantail en Allemagne. Elle n'hésitera pas à dénoncer les «recettes archaïques» d'un François Hollande accusé d'aller dans le mur, pour laisser entendre que les sociaux-démocrates veulent expérimenter la même politique en Allemagne s'ils remportaient les législatives de septembre 2013. La stratégie de Merkel a ses limites. Si Hollande parvient à inverser le rapport de force dans la zone euro en mobilisant contre la politique d'austérité allemande, la chancelière ira au compromis avant de plonger dans l'isolement.

Lefigaro

Citation :

Europe: les Bourses demeurent angoissées par Athènes.

Les Bourses européennes ne parviennent pas à se remettre de leur séance déprimante de la veille, les graves incertitudes liées au blocage politique de la Grèce continuant d'angoisser les investisseurs.

Francfort grappille certes 0,1%, mais Londres perd 0,3%, Milan 0,6%, Zurich 0,7% et Madrid dévisse de 2,5%. Sur Euronext, Amsterdam recule de 0,4%, Paris et Lisbonne de 0,6%, et Bruxelles de 0,8%. Wall Street a cédé 0,6% mardi.

'Le résultat indécis des élections grecques ce week-end a conduit à une incertitude renouvelée sur les perspectives du plan de sauvetage grec à court terme et, plus généralement, sur l'appartenance du pays à la zone euro', indique un économiste de Crédit Suisse.

Ce dernier considère cependant que l'échec vraisemblable de la formation d'un gouvernement conduira à de nouvelles élections le mois prochain, probablement le 17 juin, qui pourraient déboucher sur un gouvernement d'unité nationale destiné à renégocier le plan de sauvetage.

'La situation demeure volatile et cela devrait rendre les investisseurs prudents et nerveux après la relative période de stabilité que nous avons connue depuis le début de l'année, comparativement à 2011', estime pour sa part Cameron Peacock, chez IG Markets.

Sur le plan des données économiques, l'Allemagne a dégagé un excédent commercial stable à 13,7 milliards d'euros en mars, tandis que la France a vu son déficit baisser à 5,7 milliards contre 6,3 milliards en février.

En hausse de 2,5% à 5,1 euros, ING Group prend la tête de l'AEX à Amsterdam, l'établissement financier néerlandais ayant observé une certaine amélioration de ses résultats au premier trimestre 2012 par rapport aux trois derniers mois de 2011.

De même, Commerzbank figure dans le haut de classement sur le DAX, prenant 3,1% à près de 1,6 euro, grâce à des résultats illustrant une amélioration de sa solidité financière malgré un contexte de marché pénalisant pour son segment BFI.

E.On recule par contre de 1,4% à 15,4 euros à Francfort, bien que les résultats trimestriels du groupe énergétique aient pu résister à la baisse des prix électriques européens et de la production nucléaire allemande.

Carlsberg s'adjuge 3,3% à 488 couronnes danoises sur l'OMX, malgré des résultats en baisse au premier trimestre pour le brasseur, du fait du déstockage opéré en Russie et de ses investissements en marketing.

Lefigaro

Citation :

L'Europe sous la pression des extrêmes

Le contraste entre le dénouement du scrutin présidentiel français, dimanche 6 mai, ouvrant la voie à une alternance ordonnée et incontestée à la tête de l'Etat, et le chaos créé par le résultat des élections législatives en Grèce, où, trois jours plus tard, aucune perspective de gouvernement ne se dessine encore, ne doit pas faire oublier la tendance commune révélée par ces deux scrutins : la montée de mouvements minoritaires, mais de plus en plus vocaux, contestant l'ordre établi par les partis traditionnels. Cette tendance est de plus en plus sensible à travers l'Europe.

En France, 18 % des électeurs ont choisi d'exprimer, au premier tour de l'élection présidentielle, leur rejet de l'Europe et de l'immigration en votant pour Marine Le Pen. En Grèce, le 6 mai, 7 % des électeurs ont envoyé au Parlement 21 députés du parti néonazi Aube dorée, dont le programme prévoit de miner la frontière avec la Turquie pour bloquer l'immigration. En Italie, les "antipolitiques" du mouvement "5 étoiles" du comique Beppe Grillo ont réalisé une percée aux élections municipales, en dénonçant la corruption et l'austérité.

Dans un autre genre, le Parti pirate, militant du téléchargement gratuit sur Internet, a fait une irruption spectaculaire dans la politique allemande et parvient à inquiéter les grands partis à la veille d'une importante élection partielle, le 13 mai.

Ces mouvements ont peu de chose en commun. Il est difficile, par exemple, de rapprocher la vague des jeunes indignados espagnols, née il y a un an à Madrid, des mouvements xénophobes et anti-islam que l'on voit monter depuis des années dans le nord de l'Europe ou en Autriche.

Pourtant, qu'ils soient d'extrême droite, d'une gauche radicale qui conteste l'orientation actuelle de la politique européenne ou totalement à la marge du système, ces mouvements bousculent les formations traditionnelles, et en particulier les grands courants politiques qui ont pris en charge le projet européen depuis des décennies. Ils les bousculent d'autant plus que la crise économique et la question de la dette ont créé une problématique commune à l'ensemble du paysage politique européen.

L'Europe politique existe, et chaque élection nationale résonne beaucoup plus que par le passé dans les autres pays de l'UE.

La tentation est grande, pour les partis traditionnels, de réagir en incorporant certains des thèmes des contestataires. L'inflexion donnée par Nicolas Sarkozy à sa campagne présidentielle sous la pression de l'ascension du Front national, par exemple sur la question des frontières, a parfaitement illustré les risques de cette dynamique.

De toute évidence, ce n'était pas la bonne stratégie. Le défi, pourtant, reste à relever : aucune institution, aucun mouvement à l'échelle européenne ne paraît en mesure aujourd'hui de répondre aux questions posées par ce front du refus. C'est un chantier auquel doivent s'atteler d'urgence les grands partis, sous peine de se voir déborder.

Lemonde

Citation :

Barroso : "Il n'y aura pas de renégociation du pacte budgétaire"



Renégocier le pacte de discipline budgétaire : voila qui figure dans le programme du président élu François Hollande. Mais le président de la Commission ne l'entend pas de cette oreille.
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a estimé mercredi qu'il n'y aurait pas de renégociation du pacte de discipline budgétaire qui a été signé en mars par 25 pays de l'UE, contrairement au souhait du nouveau président français, François Hollande.

Interrogé lors d'un colloque au Parlement européen à Bruxelles pour savoir s'il y aurait renégociation du pacte budgétaire, M. Barroso a simplement répondu "non", sans étayer sa réponse. Egalement présent, le président du Parlement européen, Martin Schulz, a apporté la même réponse à cette question.

Les deux responsables politiques se sont en revanche montrés ouverts à la mise en place d'un autre pacte économique européen qui ne soit pas uniquement consacré à la discipline budgétaire. Interrogé sur un tel scénario, ils ont répondu positivement. "Parlez-vous de nouveau traité ou de contrat politique ? Si vous me dites un contrat politique, je vous dis oui", a affirmé M. Barroso. Il n'a pas donné de précision sur le format que pourrait prendre ce contrat et s'est contenté de dire qu'il ne serait pas financé par de nouvelles dettes ou par l'inflation, en réponse à une question lors de ce colloque sur l'avenir de l'Europe au Parlement européen.

Le socialiste François Hollande, qui a été élu dimanche président de la république française, souhaite "renégocier" ou "compléter" le pacte budgétaire par des mesures censées doper la croissance, mais se heurte au non catégorique de la chancelière allemande Angela Merkel sur ce point.

Mardi, un membre du directoire de la Banque centrale européenne, Jörg Asmussen, a également affirmé que la France devait appliquer le pacte "tel quel". M. Hollande et Mme Merkel doivent se rencontrer le 16 mai, au lendemain de la prise de fonction de du nouveau président français, et ce sujet sera au coeur d'âpres discussions avant un dîner informel des dirigeants européens le 23 mai, consacré à la croissance et à l'emploi.

lalibre.be

Les russes y sont liés j'en suis sur et certain , ils n'ont jamais digérer la volonté de Pashinian de se rapprocher de l'OTAN (ce qui était une erreur) , mais comme vous le dite Ssi RED c'est logique vu la raclée qu'ils ont prise dans le conflit du Haut karabagh

Dédicaces à alphatango

Les français et les allemands supplient mes citoyens de prendre du AZ

Article Lapresse

Fahed64 a écrit:

Dédicaces à alphatango

Les français et les allemands supplient mes citoyens de prendre du AZ

Article Lapresse

ont peut les en soulager s'ils veulent bien

https://www.consilium.europa.eu/en/meetings/fac/2021/03/15/

Citation :

Informal video conference of foreign affairs and home affairs ministers,
15 March 2021

Live streaming
Live streaming
15 March 2021
17:15 Press conference
Estimated schedule
Agenda highlights

Foreign affairs and home affairs ministers will will hold a debate on the external aspects of the EU’s migration policy, under the new pact on migration and asylum.

Ministers will focus in particular on:

migration as a core element in bilateral relations with key third countries
identifying ways to enhance cooperation and coordination among EU countries, institutions and agencies

Agenda https://www.consilium.europa.eu/media/48666/20210315-jha-fac-agenda.pdf
Background brief https://www.consilium.europa.eu/media/48810/background-brief-en.pdf

Dans le cadre de droit de l'homme w dakchi ..

| الشرطة الهولندية ..

اعتدت على متظاهرين باستعمال الكلاب والعصي ونشرت عناصر أمن لتفريق محتجين مناهضين للحكومة خرجوا في لاهاي، يوم الأحد 14 مارس 2021، عشية انطلاق عملية تصويت في الانتخابات التشريعية.

في إطار الديمقراطية وحرية التعبير في منطقة الريف وذاكشي pic.twitter.com/ixQFZ9UGYq

— H A S S A N (@HMeghribi) March 15, 2021

Oui mais eux on le totem d’invincibilité

https://www.state.gov/nord-stream-2-and-potential-sanctionable-activity/

Citation :

Nord Stream 2 and Potential Sanctionable Activity

- United States Department of State
As the President has said, Nord Stream 2 is a bad deal — for Germany, for Ukraine, and for our Central and Eastern European allies and partners. The Department is tracking efforts to complete the Nord Stream 2 pipeline and is evaluating information regarding entities that appear to be involved.

As multiple U.S. administrations have made clear, this pipeline is a Russian geopolitical project intended to divide Europe and weaken European energy security. The sanctions legislation Congress passed in 2019 and expanded in 2020 has significant support from a bipartisan Congressional majority.

The Biden Administration is committed to complying with that legislation. The Department reiterates its warning that any entity involved in the Nord Stream 2 pipeline risks U.S. sanctions and should immediately abandon work on the pipeline.

Actualité de l'Europe Centrale :

Crise entre la Rep Tcheque et la Russie

Prague expulse 18 agents de l'ambassade du Russie en Rep Tcheque. Ils sont accusés d'etre dans une explosion d'un stock de munition de l'armée tcheque ( sans doute destinée a l'Ukraine)

Moscou promet des sanctions contre la Rep Tcheque

Rq : Il y a deja eu des tensions avec des expulsions de diplomates l'année dernière entre d'un coté la Russie et de l'autre la Rep Tcheque et la Slovaquie

Aprés la Rep Tcheque, sa soeur jumelle, la Slovaquie expulse 3 diplomates russes en solidarité avec Prague

cette fois ci les tchèque expulse près de 70 employés de l’ambassade russe

https://fr.sputniknews.com/international/202104221045508578-la-republique-tcheque-expulse-pres-de-70-employes-de-lambassade-russe-moscou-promet-une-reponse/

Ça monte crescendo ... si Poutine a reculé c’est qu’il sait que les démocrates sont très sérieux dans leur volonté de guerre avec eux !

Je pense que les exercices militaires russes ont 2 objectifs :
- Repondre aux exercices "Defender Europe 21 " ( D'ailleurs dans la video promotionnel de Defender Europe la Mer Noire est clairement visé). D'ailleurs l'exercice "Swift Response" qui se déroulera en Estonie-Roumanie et Bulgarie devraient commencé dans 3 semaines
- Le retrait c'est de montrer que la Russie n'est pas un pays agressif contrairement a l'OTAN.

Rq : African Lion fait partie du programme Defender Europe

tout le monde s'éloigne d'eux .... ils finiront seuls dans leurs maison de retraite, à raconter à leur pieds, qu'ils sont la civilisation supérieure ...

Les origines civilisationnelles de la supériorité des valeurs occidentales ...

The New York Times a écrit:

A Forgotten Genocide: What Germany Did in Namibia, and What It’s Saying Now

The German government agreed to recognize the killings of two ethnic groups in Namibia as genocide. What happened more than 100 years ago, why was it forgotten, and what is Germany doing to atone?

Namibian schoolgirls in 2017 near a memorial in Windhoek, the capital, that honors the Herero and Nama people whom German forces killed in the early 20th century.

It has been called the first genocide of the 20th century, the “forgotten genocide’’ and the genocide that was the precursor of the Holocaust. Tens of thousands of Africans were killed between 1904 and 1908 by German soldiers in what is now Namibia, a vast, arid country northwest of South Africa.

German soldiers targeted people of two ethnic groups — the Herero and the Nama — because they had resisted land grabs by German settlers. Africans were shot, hanged, abandoned in the desert and died in concentration camps. Descendants of the Herero and Nama, marginalized groups within Namibia itself, kept alive the stories of their genocide through oral tradition and cultural events.

A push to recognize the genocide began after Namibia’s independence in 1990, and grew stronger with the 100th anniversary of the atrocities in 2004. In recent years — with researchers and left-leaning politicians pushing Germany to come to terms with its rarely examined colonial history — the process gained momentum.

While Germany indicated early on that it was ready to recognize the atrocities as a genocide, there was a stumbling block: money, not only the amount to be given, but what any payment would be called.
On Friday, Germany formally described the killings as a genocide, agreed to issue an apology and committed to providing $1.35 billion toward reconstruction and development projects. The Namibian government hailed the agreement, and some Namibians welcomed it.

But Herero and Nama leaders dismissed the deal as a “public relations coup” because it did not include funds deemed “reparations.”

What happened in Namibia more than a century ago?


An undated photo showing a soldier with prisoners, taken sometime during Germany’s effort from 1904-1908 to exterminate the Herero and Nama ethnic groups.

Germany was a minor colonial power in Africa, especially compared to Britain and France. But among its few possessions, Namibia — then called South-West Africa — was its most prized African colony. Thousands of German settlers grabbed land and cattle from local residents. Even today, many German tourists visit Namibia, especially Swakopmund, a city on Namibia’s Atlantic coast, where the restaurant menus serve German food and beer, and where well-preserved colonial-era buildings line streets named after German chancellor Otto von Bismarck.

German settlers encountered the fiercest resistance from two ethnic groups: the Herero, traditional cattle herders, and the Nama. To quell the opposition, Germany dispatched Lothar von Trotha, a military commander who had earned a fierce reputation in Germany’s possessions in Asia and East Africa. In Namibia, he led what was known as the “Schutztruppe,” or protection force.
He issued a warning in 1904 that “Every Herero, with or without rifles, with or without cattle, will be shot.” He also warned that he would no longer take in women or children, but “drive them back to their people or have them shot.” The following year, he issued a similar warning to the Nama, the second ethnic group targeted for extermination.

Of a population totaling 100,000, about 80 percent of all Herero are believed to have died, according to historians. German soldiers shot Herero, hanged them, drove them into the desert and sealed off watering holes to stop survivors from returning. Prisoners were held, and died, in concentration camps.

About 10,000 people from the Nama ethnic group — about half the total population at the time — are also believed to have died.

German experts believe that the genocide of the Herero and Nama foreshadowed Nazi ideology and the Holocaust. In their African colony, German colonial officers studying eugenics, a discredited belief in improving the human race through selective breeding, are believed to have developed ideas about racial purity and the mixing of races. Hundreds of skulls of victims were sent to Germany for examination. In recent years, some have been returned to Namibia in one of the most emotional and contentious aspects of the history of the genocide.

Why didn’t the world pay attention?

Germany’s efforts to atone for the Holocaust are well known. But it took Germany more than a century to acknowledge Namibia’s genocide, which occurred decades before the systematic murder of Europe’s Jews. Many Germans remain unaware of what happened in their former African colony, although it has more recently entered the history curriculum in schools.

Many see overt racism in how Germany has dealt with the two genocides.

But there are other complex reasons this genocide fell into obscurity.
Germany’s defeat in World War I led to its losing Namibia and its other African colonies. Namibia effectively became another colony, this time of neighboring, white-ruled South Africa. Talk of the genocide became taboo in Namibia until 1990, when the end of the Cold War and the impending end of apartheid in South Africa brought independence to Namibia.

But even after independence, the Herero and Nama were frustrated that their country’s new rulers were just as uninterested in examining the past. Namibia’s liberation party — South West Africa People’s Organization, or Swapo — took over and governs to this day.

Swapo is dominated by the country’s main ethnic group, the Ovambo. The Herero and Nama remain marginalized, often living in remote, unproductive areas on reservations that were originally set up by the German colonizers.

In a country with a small economy long dominated by a white Afrikaner and German minority, the Swapo-led government depended greatly on foreign aid — especially from its biggest donor, Germany — and had little incentive to bring up the genocide.

In Namibia today, monuments and cemeteries commemorating dead German soldiers, including the Schutztruppe, still outnumber those honoring the Herero and Nama victims of genocide.

Distrustful of their own government, the Herero and Nama had pushed to negotiate directly with the German government, convinced that any compensation would never reach them.

Did Germany just apologize for its actions?

Not yet. On May 28, Germany formally announced that it recognized that the brutal killings constituted a genocide. The German foreign minister plans to travel to Namibia in coming weeks to sign an agreement between the two governments that their leaders hope will establish the language for a common narrative of their shared history.

Ruprecht Polenz, a retired lawmaker who negotiated the deal for Berlin, said that this initial agreement was necessary before Germany could make a formal apology. “We wanted to apologize, but for what? We first needed to reach a common understanding of what happened in 1904 to 1908,” he said in an interview.

The German government also agreed to establish a fund worth 1.1 billion euros, to be distributed over three decades, as part of the accord. Germany said the funds are part of a gesture of reconciliation and reconstruction.

Namibia had pressed for describing the money as “reparations.” But Germany rejected the term, which would have amounted to acknowledging guilt under the 1948 United Nations Convention on Genocide. The Germans argued that the convention cannot be applied retroactively to past genocides. Reparations could have also made Germany — and other former European colonial powers — liable to claims from other former colonies.

Money from the fund will be targeted to projects focused on energy, water, education and vocational training in the regions where large populations of Herero and Nama live, Germany’s foreign ministry said.

President Frank-Walter Steinmeier of Germany intends to travel to Namibia later this year to issue a formal apology before the country’s Parliament.

How have Namibians reacted to the German statement?

While some of the groups representing the Herero and Nama agreed to the terms of the deal, others are not willing to accept it and think the German president should not come.

“He might as well stay in Germany. We are not going to accept his apology as long as he doesn’t see us as human beings, as long as he doesn’t come down to our leaders and apologize,” said Sima Luipert, a descendant of Nama victims of the genocide, who lives on a reservation in southern Namibia.

In a joint statement, two groups that represent descendants of the victims argued that the genocide was committed against their people, who they argued should have been the main negotiators with Germany, instead of the Namibian government.

“Germany’s bilateral agreement with Namibia is nothing but a construct of a racist mind-set on the part of Germany and neocolonial subservience on the part of Namibia,” Vekuii Rukoro, the leader of the Ovaherero Traditional Authority, and Gaob J. Isaack, head of the Nama Traditional Leaders Association said in the joint statement.

Each government selected its delegation. Mr. Polenz said that representatives from each of the ethnic groups had been represented in the negotiations from the start, but that some “very loud” members who were not included in the process had been against the efforts from the outset — including filing lawsuits that slowed the process.

Mr. Polenz insisted that any agreement had to take place at the state level, comparing it to post-World War II pacts between Germany and its neighbors France and Poland.

But many among the Herero and Nama see a contrast between how Germany approached this genocide and how it handled reparations with the Jews after World War II. Germany has negotiated with the Jewish Claims Conference, founded by representatives of 23 Jewish groups, to provide indemnification worth $80 billion since 1952 to Jews from around the globe.
“Germany spoke to many different Jewish groups after the Holocaust. They didn’t say they will only speak to Israel,” said Ms. Luipert, the descendant of Nama victims. “Why is Germany now saying, when it comes to the Nama and Herero we are not willing to talk to a dozen different groups? Is it because we are Black?”

Eux qui définissent l’an 0 d’un pays

Et pour les autres .... des miettes !

15 milliards c’est pour qui ? Turquie et Balkan ?

Et on donnera aux tunisiens des vedettes et à nous des Land Rover pour courir derrière les migrants

https://www.20minutes.fr/monde/3054603-20210604-coronavirus-ue-soutiendra-levee-brevets-vaccins-omc?utm_term=Autofeed&xtref=twitter.com&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1622816438 a écrit:

L'UE (qui rappelons le : aucun de ces pays membres n'a trouver ni de vaccins ni de traitement) refuse la levée des brevets pour les vaccins... L'histoire s'en souviendra

https://www.lepoint.fr/monde/le-royaume-uni-conclut-un-accord-post-brexit-avec-trois-pays-europeens-04-06-2021-2429636_24.php?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1622822666#xtor=CS1-32-%5BEchobox%5D a écrit:

Les british ont signé 3 accords commerciaux post-Brexit avec 3 pays : Norvège,Islande et Liechtenstein...

Ya Rabi l'implosion de ce machin pour le bien de l'humanité.

Citation :

Primauté du droit européen: Bruxelles ouvre une procédure d’infraction contre l’Allemagne


La Commission européenne a annoncé, mercredi, avoir décidé d’adresser une lettre de mise en demeure à l’Allemagne pour violation des principes fondamentaux du droit de l’UE.
Dans un communiqué, la Commission précise qu’il s’agit des principes d’autonomie, de primauté et d’effectivité et d’application uniforme du droit de l’UE, ainsi que du respect de la compétence de la Cour de justice de l’Union européenne.

Cette procédure d’infraction intervient à la suite d’un arrêt de la Cour constitutionnelle allemande en mai 2020 qui avait remis en cause la primauté du droit européen sur le droit national.


Dans son arrêt sur le programme d’achats d’actifs du secteur public de la Banque centrale européenne (BCE), la Cour avait jugé ce programme constitutif d’un excès de pouvoir, “en outrepassant ses compétences“, indique l’exécutif européen.

La Cour constitutionnelle allemande a également refusé de se plier à l’avis de la Cour de justice de l’Union européenne, qui avait validé fin 2018 le programme de la BCE, ajoute-t-on.

“C’est la raison pour laquelle cette procédure d’infraction est engagée”, explique la Commission européenne, notant que l’arrêt de la Cour constitutionnelle allemande constitue “un grave précédent“, tant pour la pratique future de la Cour constitutionnelle allemande elle-même que pour les tribunaux et les cours suprêmes et constitutionnelles d’autres États membres.

L’Allemagne dispose à présent d’un délai de deux mois pour répondre aux préoccupations soulevées par la Commission, selon l’exécutif européen.


https://maroc-diplomatique.net/primaute-du-droit-europeen-bruxelles-ouvre/

Ils vont retourner alors à la case de départ, c'est à dire que les pays de l'Europe vont s'entretuer économiquement entre eux, et ont pourra alors négocier avec chaque pays à part

ralek1 a écrit:

Ya Rabi l'implosion de ce machin pour le bien de l'humanité.

Citation :

Primauté du droit européen: Bruxelles ouvre une procédure d’infraction contre l’Allemagne


La Commission européenne a annoncé, mercredi, avoir décidé d’adresser une lettre de mise en demeure à l’Allemagne pour violation des principes fondamentaux du droit de l’UE.
Dans un communiqué, la Commission précise qu’il s’agit des principes d’autonomie, de primauté et d’effectivité et d’application uniforme du droit de l’UE, ainsi que du respect de la compétence de la Cour de justice de l’Union européenne.

Cette procédure d’infraction intervient à la suite d’un arrêt de la Cour constitutionnelle allemande en mai 2020 qui avait remis en cause la primauté du droit européen sur le droit national.


Dans son arrêt sur le programme d’achats d’actifs du secteur public de la Banque centrale européenne (BCE), la Cour avait jugé ce programme constitutif d’un excès de pouvoir, “en outrepassant ses compétences“, indique l’exécutif européen.

La Cour constitutionnelle allemande a également refusé de se plier à l’avis de la Cour de justice de l’Union européenne, qui avait validé fin 2018 le programme de la BCE, ajoute-t-on.

“C’est la raison pour laquelle cette procédure d’infraction est engagée”, explique la Commission européenne, notant que l’arrêt de la Cour constitutionnelle allemande constitue “un grave précédent“, tant pour la pratique future de la Cour constitutionnelle allemande elle-même que pour les tribunaux et les cours suprêmes et constitutionnelles d’autres États membres.

L’Allemagne dispose à présent d’un délai de deux mois pour répondre aux préoccupations soulevées par la Commission, selon l’exécutif européen.


https://maroc-diplomatique.net/primaute-du-droit-europeen-bruxelles-ouvre/

Il faudrait mettre fin au deutsche mark déguisé en euro, cela obligerait les allemands à mettre de l'eau dans leur vin bière

Si vous voulez détruire l’Europe ( ce que veulent les russes) il faut supporter les souverainistes ( bizarrement les groupes avec qui ont s’entend le mieux).

Eux sont pro exit

Fahed64 a écrit:

Si vous voulez détruire l’Europe ( ce que veulent les russes) il faut supporter les souverainistes ( bizarrement les groupes avec qui ont s’entend le mieux).

Eux sont pro exit

Tu te rappelle quand il le disait WRANGEL? Quand les marocains résidant en Europe votent pour les partis socialistes, il votent pour leur petit confort quotidien mais c'est contre les intérêts long terme de leur pays! Quel paradoxe!!

Oui +1 sauf que la sauce monte en Europe.

Les MRE vont être des neo-andalous obligé de partir et à leur arriver ils vont donner un nouveau souffle à notre pays ( bagage culturel, financier, compétences etc)

Lorsque je lisais Baybar alias Kurdas en parler il y a 10 ans j’y croyais moyen mais plus sa monte plus je me dis c’est réalisable en deçà d’une generation.