messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Mer 9 Mai 2012 - 16:02
Rappel du premier message :
nouveau topic sur l'actualité européenne dans tous les domaine (économique, politique scientifique etc ...)
Citation :
Merkel travaille sa contre-offensive face à Hollande
Des ministres du gouvernement allemand reprochent au président français de ne pas avoir les moyens de sa politique. Angela Merkel peaufine sa contre-offensive face à François Hollande. La chancelière allemande, qui continue de dominer la politique européenne, où elle a imposé sa stratégie fondée sur la discipline budgétaire dans la lutte contre la crise de la dette, n'a aucune intention de céder aux pressions du président français. Plusieurs ministres de son gouvernement sont montés au créneau pour rappeler la France à ses engagements et tacler le nouveau président socialiste, lui reprochant de ne pas avoir les moyens de sa politique.
Lundi, Merkel avait fermement réitéré son refus de renégocier le pacte de stabilité budgétaire, comme le souhaite son nouveau partenaire. La chancelière, qui a adressé mardi un message de félicitations au nouveau président français, a laissé entrevoir clairement à Hollande quelles concessions il pourrait obtenir de Berlin: la formulation d'un nouveau pacte de croissance et l'augmentation des moyens de la Banque européenne d'investissement en font partie. Mais elle rejette catégoriquement tout programme de stimulation de la conjoncture qui creuserait la dette.
«L'Allemagne n'est pas là pour financer les promesses électorales des socialistes, a lancé plus brutalement son lieutenant, le ministre de l'Écologie et vice-président de la CDU, Norbert Röttgen. Le gouvernement fédéral défend clairement la poursuite de la politique de discipline budgétaire.» Au bout du compte, si la croissance est financée par de nouvelles dettes, ce sera à l'Allemagne de payer pour «la victoire des socialistes français», tranche-t-on à Berlin, où l'on rappelle qui tient les cordons de la bourse en Europe.
Réduction des déficits budgétaires Merkel mise sur une double stratégie. «L'économie de la France et les finances du pays demeurent dans un état précaire, décrypte Peter Altmaier, dirigeant du groupe parlementaire CDU au Bundestag et fidèle de la chancelière. Tout pays qui essaierait de mener une politique de l'offre en accroissant ses déficits se mettrait très vite les marchés à dos et verrait ses taux d'intérêt augmenter. La France n'a aucune marge de manœuvre.»
Berlin déplore notamment qu'Hollande ait promis pendant sa campagne d'augmenter le salaire minimum, de créer des postes de fonctionnaires et de revenir sur le recul de l'âge de la retraite. Altmaier juge qu'une fois les élections législatives françaises terminées, il sera possible pour Berlin de parvenir à un compromis avec Paris pour réaffirmer «une fois pour toutes» que la réduction des déficits budgétaires est la seule voie possible pour l'Europe.
Berlin juge crucial pour Hollande de prendre à bras-le-corps les réformes nécessaires pour que la France retrouve sa compétitivité. Si Hollande s'entête dans la voie tracée pendant sa campagne, Merkel entend désamorcer le soutien dont il jouit auprès des sociaux-démocrates et des Verts, qui se sentent portés par la victoire des socialistes français, en faisant d'eux un épouvantail en Allemagne. Elle n'hésitera pas à dénoncer les «recettes archaïques» d'un François Hollande accusé d'aller dans le mur, pour laisser entendre que les sociaux-démocrates veulent expérimenter la même politique en Allemagne s'ils remportaient les législatives de septembre 2013. La stratégie de Merkel a ses limites. Si Hollande parvient à inverser le rapport de force dans la zone euro en mobilisant contre la politique d'austérité allemande, la chancelière ira au compromis avant de plonger dans l'isolement.
Lefigaro
Citation :
Europe: les Bourses demeurent angoissées par Athènes.
Les Bourses européennes ne parviennent pas à se remettre de leur séance déprimante de la veille, les graves incertitudes liées au blocage politique de la Grèce continuant d'angoisser les investisseurs.
Francfort grappille certes 0,1%, mais Londres perd 0,3%, Milan 0,6%, Zurich 0,7% et Madrid dévisse de 2,5%. Sur Euronext, Amsterdam recule de 0,4%, Paris et Lisbonne de 0,6%, et Bruxelles de 0,8%. Wall Street a cédé 0,6% mardi.
'Le résultat indécis des élections grecques ce week-end a conduit à une incertitude renouvelée sur les perspectives du plan de sauvetage grec à court terme et, plus généralement, sur l'appartenance du pays à la zone euro', indique un économiste de Crédit Suisse.
Ce dernier considère cependant que l'échec vraisemblable de la formation d'un gouvernement conduira à de nouvelles élections le mois prochain, probablement le 17 juin, qui pourraient déboucher sur un gouvernement d'unité nationale destiné à renégocier le plan de sauvetage.
'La situation demeure volatile et cela devrait rendre les investisseurs prudents et nerveux après la relative période de stabilité que nous avons connue depuis le début de l'année, comparativement à 2011', estime pour sa part Cameron Peacock, chez IG Markets.
Sur le plan des données économiques, l'Allemagne a dégagé un excédent commercial stable à 13,7 milliards d'euros en mars, tandis que la France a vu son déficit baisser à 5,7 milliards contre 6,3 milliards en février.
En hausse de 2,5% à 5,1 euros, ING Group prend la tête de l'AEX à Amsterdam, l'établissement financier néerlandais ayant observé une certaine amélioration de ses résultats au premier trimestre 2012 par rapport aux trois derniers mois de 2011.
De même, Commerzbank figure dans le haut de classement sur le DAX, prenant 3,1% à près de 1,6 euro, grâce à des résultats illustrant une amélioration de sa solidité financière malgré un contexte de marché pénalisant pour son segment BFI.
E.On recule par contre de 1,4% à 15,4 euros à Francfort, bien que les résultats trimestriels du groupe énergétique aient pu résister à la baisse des prix électriques européens et de la production nucléaire allemande.
Carlsberg s'adjuge 3,3% à 488 couronnes danoises sur l'OMX, malgré des résultats en baisse au premier trimestre pour le brasseur, du fait du déstockage opéré en Russie et de ses investissements en marketing.
Lefigaro
Citation :
L'Europe sous la pression des extrêmes
Le contraste entre le dénouement du scrutin présidentiel français, dimanche 6 mai, ouvrant la voie à une alternance ordonnée et incontestée à la tête de l'Etat, et le chaos créé par le résultat des élections législatives en Grèce, où, trois jours plus tard, aucune perspective de gouvernement ne se dessine encore, ne doit pas faire oublier la tendance commune révélée par ces deux scrutins : la montée de mouvements minoritaires, mais de plus en plus vocaux, contestant l'ordre établi par les partis traditionnels. Cette tendance est de plus en plus sensible à travers l'Europe.
En France, 18 % des électeurs ont choisi d'exprimer, au premier tour de l'élection présidentielle, leur rejet de l'Europe et de l'immigration en votant pour Marine Le Pen. En Grèce, le 6 mai, 7 % des électeurs ont envoyé au Parlement 21 députés du parti néonazi Aube dorée, dont le programme prévoit de miner la frontière avec la Turquie pour bloquer l'immigration. En Italie, les "antipolitiques" du mouvement "5 étoiles" du comique Beppe Grillo ont réalisé une percée aux élections municipales, en dénonçant la corruption et l'austérité.
Dans un autre genre, le Parti pirate, militant du téléchargement gratuit sur Internet, a fait une irruption spectaculaire dans la politique allemande et parvient à inquiéter les grands partis à la veille d'une importante élection partielle, le 13 mai.
Ces mouvements ont peu de chose en commun. Il est difficile, par exemple, de rapprocher la vague des jeunes indignados espagnols, née il y a un an à Madrid, des mouvements xénophobes et anti-islam que l'on voit monter depuis des années dans le nord de l'Europe ou en Autriche.
Pourtant, qu'ils soient d'extrême droite, d'une gauche radicale qui conteste l'orientation actuelle de la politique européenne ou totalement à la marge du système, ces mouvements bousculent les formations traditionnelles, et en particulier les grands courants politiques qui ont pris en charge le projet européen depuis des décennies. Ils les bousculent d'autant plus que la crise économique et la question de la dette ont créé une problématique commune à l'ensemble du paysage politique européen.
L'Europe politique existe, et chaque élection nationale résonne beaucoup plus que par le passé dans les autres pays de l'UE.
La tentation est grande, pour les partis traditionnels, de réagir en incorporant certains des thèmes des contestataires. L'inflexion donnée par Nicolas Sarkozy à sa campagne présidentielle sous la pression de l'ascension du Front national, par exemple sur la question des frontières, a parfaitement illustré les risques de cette dynamique.
De toute évidence, ce n'était pas la bonne stratégie. Le défi, pourtant, reste à relever : aucune institution, aucun mouvement à l'échelle européenne ne paraît en mesure aujourd'hui de répondre aux questions posées par ce front du refus. C'est un chantier auquel doivent s'atteler d'urgence les grands partis, sous peine de se voir déborder.
Lemonde
Citation :
Barroso : "Il n'y aura pas de renégociation du pacte budgétaire"
Renégocier le pacte de discipline budgétaire : voila qui figure dans le programme du président élu François Hollande. Mais le président de la Commission ne l'entend pas de cette oreille. Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a estimé mercredi qu'il n'y aurait pas de renégociation du pacte de discipline budgétaire qui a été signé en mars par 25 pays de l'UE, contrairement au souhait du nouveau président français, François Hollande.
Interrogé lors d'un colloque au Parlement européen à Bruxelles pour savoir s'il y aurait renégociation du pacte budgétaire, M. Barroso a simplement répondu "non", sans étayer sa réponse. Egalement présent, le président du Parlement européen, Martin Schulz, a apporté la même réponse à cette question.
Les deux responsables politiques se sont en revanche montrés ouverts à la mise en place d'un autre pacte économique européen qui ne soit pas uniquement consacré à la discipline budgétaire. Interrogé sur un tel scénario, ils ont répondu positivement. "Parlez-vous de nouveau traité ou de contrat politique ? Si vous me dites un contrat politique, je vous dis oui", a affirmé M. Barroso. Il n'a pas donné de précision sur le format que pourrait prendre ce contrat et s'est contenté de dire qu'il ne serait pas financé par de nouvelles dettes ou par l'inflation, en réponse à une question lors de ce colloque sur l'avenir de l'Europe au Parlement européen.
Le socialiste François Hollande, qui a été élu dimanche président de la république française, souhaite "renégocier" ou "compléter" le pacte budgétaire par des mesures censées doper la croissance, mais se heurte au non catégorique de la chancelière allemande Angela Merkel sur ce point.
Mardi, un membre du directoire de la Banque centrale européenne, Jörg Asmussen, a également affirmé que la France devait appliquer le pacte "tel quel". M. Hollande et Mme Merkel doivent se rencontrer le 16 mai, au lendemain de la prise de fonction de du nouveau président français, et ce sujet sera au coeur d'âpres discussions avant un dîner informel des dirigeants européens le 23 mai, consacré à la croissance et à l'emploi.
Discours intéressant de la MAE allemande a la patronat de son pays. Utiliser google translate https://www.auswaertiges-amt.de/de/newsroom/wirtschaftstag/2550254
Donc ils feront un partenariat avec la Namibie pour l'hydrogéné vert...Sur le plan industrielle je pense que si on joue bien nos cartes il y'aura quelque chose à gratté...
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.
Shugan188 Modérateur
messages : 5662 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Analysis: Pyrenees pipeline puts EU energy divisions in stark relief September 13, 202210:40 AM UTCLast Updated ago 6 - 8 minutes
Summary Companies
Germany, Spain pushing for gas pipeline project France says the Pyrenees link redundant, not green Berlin and Madrid considering bypassing France
PARIS/MADRID/BERLIN, Sept 12 (Reuters) - French scepticism about a new gas pipeline across the Pyrenees highlights the competing visions for Europe's future energy mix as the continent urgently confronts a power crisis.
MidCat would be a third gas connection between France and Spain which its main backers, Madrid, Lisbon and more recently Berlin, say would help Europe reduce its Russian gas reliance.
But French President Emmanuel Macron has bluntly told his partners he sees no case for the multi-billion euro project. Register now for FREE unlimited access to Reuters.com
France says MidCat would take too long to build to ease the looming energy crunch, be costly for France and go against ambitions to shift towards a green economy.
Officials in Spain and Germany, speaking on condition of anonymity, told Reuters they believe that France is acting to protect its own ailing nuclear industry and fend off competition from Spain as a staging post for imported gas.
"Macron is under pressure at home from different groups, which don't like the pipeline project, the biggest is surely the nuclear power sector," a senior German government source said.
Spokespersons for the French energy ministry and EDF, which operates France's nuclear reactors, declined to comment.
Russia supplied 40% of Europe's gas before its invasion of Ukraine. Now, the region is scrambling to diversify its energy sources and MidCat was one of the projects EU ministers discussed at an emergency meeting in Brussels last week.
German Chancellor Olaf Scholz last month described the pipeline as "dramatically missing" from Europe's network, and last week raised the issue with Macron during a videocall.
Immediately afterwards, Macron said there was spare capacity in the pipes already linking Spain and France and MidCat could not be constructed swiftly enough to ease this winter's crisis.
"I do not understand what short-term problem this would solve," Macron said. read more
But while it may not provide immediate relief, Spain and Portugal say they have a solution with new gas routes and Madrid said it was ready to persuade Macron over MidCat.
Both have a large gas import capacity, with seven LNG terminals which convert tankers of liquefied natural gas (LNG) back into vapour form for use by industry and households if the infrastructure was in place for it to be piped to other countries such as Germany via France.
The French president has said he does not get all the fuss around MidCat, telling reporters last week: "I do not understand why we would jump around like Pyrenees goats on this topic".
This has led officials in Madrid to question if Macron may be angling for something in return, whether EU financing or backing for another project. And despite Macron's statements, French officials have left the door ajar to further discussions.
But in a sign of Spanish frustration, one source said France needed to demonstrate how it was contributing to European "energy solidarity", given half of its nuclear reactors are offline and it is relying on others to provide it with power.
Macron, however, has said that plans to reactivate a disused interconnector in eastern France so that Paris can pipe its own gas direct to Germany if required is evidence of its commitment.
It will allow France to deliver Germany up to 20 terawatt hours (TWh) of gas over the winter, roughly 2% of the gas needs of Europe's largest economy. A German official said the deal would not fix Germany's crunch but sent markets a message. read more COMPETING INTERESTS
A joint proposal for a new trans-Pyrenees pipeline that would have a capacity to more than double the volume of gas piped between Spain and France was rejected by energy regulators for both countries in 2019.
The project was proposed by Terega, a gas grid company owned partly by Italy's Snam (SRG.MI) and EDF (EDF.PA), and its Spanish counterpart Enagas (ENAG.MC) at an estimated cost of 3 billion euros.
While the French regulator said the economic benefits would be tilted towards Spain, Madrid says Russian moves to cut gas supplies mean that the upside of MidCat would now extend far beyond Spain's own borders.
However, France has terminals on its Atlantic and Channel shores and it too wants a slice of LNG imports.
"France has (LNG terminals) that can process gas for the whole of Europe," a French government source said.
But longer term, France is betting heavily on reviving its troubled nuclear industry in its drive for carbon neutrality, and Paris has questioned MidCat's green credentials.
It would be at least the end of the decade before MidCat could be finished, French energy ministry officials say.
"By that point, the priority will be de-carbonising the economy, not using more gas. So we're somewhat puzzled," one ministry official told Reuters. HYDROGEN OPTION
Berlin's primary interest in MidCat lies in green hydrogen rather than near-term LNG supplies, two senior German officials told Reuters.
Officials in Madrid and Berlin argue the pipeline could be repurposed to carry zero-emission hydrogen fuel made in the Sahara desert or elsewhere to Europe's industrial heartland.
But France would rather produce hydrogen locally than rely on imports. And it doubts the short-term feasibility, a French government source said, of Germany's vision for hydrogen, which is notoriously more difficult to transport than natural gas.
In the face of French resistance, Madrid and Berlin are exploring alternatives. Plan B could bypass France altogether and build a pipeline under the Mediterranean to Italy.
Madrid is accelerating a feasibility study for a pipeline from Barcelona to Livorno on the Tuscan coast. A Spanish official said it would take longer to build, but had the political backing of the outgoing Italian government.
A senior official from Spain's autonomous Catalonia region, a backer of MidCat, said a submarine pipeline to Italy would be more costly and carry greater environmental and other risks.
One problem is the flammability of hydrogen, which also leaks more easily than gas because its molecules are smaller, while it can make also some grades of steel brittle, the official said.
Bruce Wayne, Fox-One, Fahed64 et QuickShark aiment ce message
Shugan188 Modérateur
messages : 5662 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Curieux de voir sa position sur notre Sahara, à noter qu'elle était très très proche de Steve Bannon (généralement proche des mouvement d'extrême droite Européenne)
Je ne savais pas, je disais ça parce qu’elle est proche de salvini et Berlusconi qui on des tendances pro russe et pour l’OTAN elle a fait une annonce sur une indépendance militaire de l’Italie dans le sens où confier sa sécurité ne se fait pas sans contrepartie
Fox-One aime ce message
pyromane Colonel-Major
messages : 2363 Inscrit le : 22/06/2011 Localisation : Ailleurs Nationalité : Médailles de mérite :
c'est quoi un "post-fasciste " dans la bouche des journalistes camemberts ?? ... ?
Le maire communiste d'Ivry ou le député communiste JP leccoq , soutiens du polizbel en france, sont-ils donc des post-staliniens , par exemple ?
ah non !! ce sont des grands démocrates qui n'ont rien à voir avec Staline, le petit père des peuples ...
Peut etre à cause de ca ?
https://www.youtube.com/watch?v=XuoXr-zjqas
La fascination des marocains pour l'ED européenne me fait halluciner, vous n'imaginez même pas le bellicisme que pourrait avoir une Europe majoritairement d'ED. Sans parler des théorie racialistes et suprémacistes. S'il y en a qui peuvent être de notre côté sur certains dossier, ils nous vouent tous une haine viscérale.
c'est quoi un "post-fasciste " dans la bouche des journalistes camemberts ?? ... ?
Le maire communiste d'Ivry ou le député communiste JP leccoq , soutiens du polizbel en france, sont-ils donc des post-staliniens , par exemple ?
ah non !! ce sont des grands démocrates qui n'ont rien à voir avec Staline, le petit père des peuples ...
Peut etre à cause de ca ?
https://www.youtube.com/watch?v=XuoXr-zjqas
La fascination des marocains pour l'ED européenne me fait halluciner, vous n'imaginez même pas le bellicisme que pourrait avoir une Europe majoritairement d'ED. Sans parler des théorie racialistes et suprémacistes. S'il y en a qui peuvent être de notre côté sur certains dossier, ils nous vouent tous une haine viscérale.
Oui c'est vrai moi aussi personnellement je préfère toujours quand c'est la droite au moins avec la droite tu sais à quoi t'attendre mais la gauche c'est toujours un double jeu
Socket-error General de Division
messages : 6767 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Curieux de voir sa position sur notre Sahara, à noter qu'elle était très très proche de Steve Bannon (généralement proche des mouvement d'extrême droite Européenne)
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
Bruce Wayne et sraboutibada aiment ce message
jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Sam 1 Oct 2022 - 23:43
Citation :
01.10.2022
Trois pays européens dont la France vont aider la Norvège à sécuriser son secteur pétrogazier
La Norvège, devenue le premier fournisseur de gaz naturel de l'Europe, a accepté des contributions militaires française, allemande et britannique pour sécuriser son secteur pétrogazier.
"Nous sommes en discussion avec nos alliés pour augmenter la présence (militaire, ndlr) dans les eaux norvégiennes et avons accepté des contributions allemande, française et britannique", a déclaré le Premier ministre norvégien, Jonas Gahr Støre, lors d'une conférence de presse. Il a précisé que sa marine avait déjà déployé trois bâtiments qui patrouillent dans les champs pétroliers et gaziers norvégiens.
Cette annonce survient quelques jours après la détection de quatre fuites, précédées d'explosions, sur les gazoducs Nord Stream qui relient la Russie à l'Allemagne sous la mer Baltique, un incident généralement considéré comme un acte de sabotage.
Interrogés l'EMA et le cabinet du ministre des Armées ont précisé que "des contacts son en cours entre états-majors" et que "la confirmation des moyens engagés aura lieu une fois les contacts achevés".
messages : 5662 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Jeu 20 Oct 2022 - 19:52
Citation :
Communiqué conjoint entre la France, le Portugal et l'Espagne. 3 - 4 minutes
Le Président de la République française, M. Emmanuel MACRON, le Président du gouvernement espagnol, M. Pedro SANCHEZ, et le Premier ministre portugais, M. António COSTA, se sont rencontrés à Bruxelles ce jeudi 20 octobre 2022.
Leur entretien a porté sur la situation actuelle en matière de sécurité en Europe et sur l'importance d'accélérer la construction d'interconnexions énergétiques au sein de l'UE, en particulier celles reliant le Portugal et l'Espagne à la France et au reste de l'Europe.
Ils sont convenus que l'accélération du développement des interconnexions énergétiques contribuera à l'achèvement du marché de l'énergie de l'UE et au renforcement de la transition énergétique dans le cadre du Pacte vert, notamment en facilitant l'accès à des sources et à des voies d'énergie alternatives pour l'Europe.
Dans ce contexte, les trois dirigeants se sont mis d'accord sur quatre points concernant les interconnexions énergétiques entre le Portugal, l'Espagne et la France.
Ils ont décidé d'abandonner le projet MidCat et de créer, en priorité, un corridor énergétique vert reliant le Portugal, l'Espagne et la France au réseau énergétique de l'UE.
À cet égard, ils sont convenus : — de finaliser les interconnexions de long-terme de gaz renouvelable entre le Portugal et l'Espagne, à savoir la connexion de Celourico da Beira et Zamora (CelZa) ; — d’avancer sur un gazoduc maritime reliant Barcelone à Marseille (BarMar), option la plus directe et la plus efficace pour relier la péninsule ibérique à l'Europe centrale ; — que ces infrastructures d'hydrogène doivent être techniquement adaptées pour transporter d'autres gaz renouvelables, ainsi qu'une proportion limitée de gaz naturel comme source d'énergie temporaire et transitoire.
En ce qui concerne l'électricité, ils ont exprimé leur plein soutien à l'accélération des efforts pour finaliser la nouvelle connexion électrique à travers le Golfe de Gascogne. Ils sont convenus d'identifier, d'évaluer et de mettre en œuvre de nouveaux projets d'interconnexions électriques reliant la France et l'Espagne, afin d’aboutir à une Europe électriquement connectée.
Les trois dirigeants sont convenus de se réunir à nouveau à Alicante le 9 décembre, pour décider du calendrier, des sources de financement et des questions de coûts liées à la mise en œuvre de la composante BarMar du corridor énergétique vert entre le Portugal, l'Espagne et la France. Leurs ministres de l'énergie respectifs commenceront immédiatement les travaux préparatoires sur ces questions, ainsi que sur le renforcement des interconnexions électriques entre l'Espagne et la France ; ils travailleront en étroite collaboration avec la Commission européenne.
kolopoi12, Bruce Wayne et Fahed64 aiment ce message
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Sam 26 Nov 2022 - 18:56
Citation :
Le ministre biélorusse des Affaires étrangères est mort, selon Belta
reuters.com | 26/11/2022, 18:03
(Crédits : Pool)
(Reuters) - Le ministre biélorusse des Affaires étrangères, Vladimir Makeï, est mort à l'âge de 64 ans, a rapporté samedi l'agence de presse Belta. "Le ministre des Affaires étrangères, Vladimir Makeï, s'est éteint soudainement", écrit Belta. Il était en poste depuis 2012. Après avoir assisté cette semaine à Erevan, en Arménie, à une réunion de l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), alliance militaire regroupant plusieurs anciennes républiques soviétiques, Vladimir Makeï devait rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov lundi. Avant l'élection présidentielle de 2020 et la répression du mouvement de contestation contre la réélection d'Alexandre Loukachenko, Vladimir Makeï a été l'un des artisans des tentatives d'amélioration des relations entre la Biélorussie et les pays occidentaux, quitte à se montrer critique à l'égard de la Russie de Vladimir Poutine. Il a toutefois complètement changé de position après les premières manifestations, affirmant qu'elles étaient le fruit d'une manipulation des services secrets occidentaux.
(Rédaction de Reuters, version française Bertrand Boucey)
Le ministre biélorusse des Affaires étrangères est mort, selon Belta (latribune.fr)