Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

zapbox a écrit:

....mais le maroc aura plus a perdre que a gagné en fesan ca donc le maroc le fera jamais

peux-tu développer ta phrase???

dans quel pays ?

Viper a écrit:

dans quel pays ?

Mallorque, Espagne

http://hespress.com/politique/54867.html

bonsoir

jespere que le personnelle est sain est sauf

ou ete la securite devant le consulat .

une vingtaine de personne sa ce voit quand meme .

Quel honte, n'y a-t'il pas de marocains a Majorque dans le pays où les marocains sont une des plus grande communauté etangere (si ce n'est la plus grande) ?

Les assaillants ont bien sur ete liberes, je me demande s'ils auraient liberes les assaillants d'un consulat d'un autre pays...

entre temps la presse des chiens aboient à tous sens, ca montre le degré de rage qu'ils ont contre nous, notre roi et notre pays

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Une presse à l'image du peuple qu'il représente de toute façon, tu attendais quoi ?!

Fremo a écrit:

Une presse à l'image du peuple qu'il représente de toute façon, tu attendais quoi ?!

je m'attendais à ce que nos responsables cessent de tendre la main naivement à ces traitres rageux, et que notre presse soit à la hauteur et déchire ces fils de PPP..... non à la bonne foie messieurs les responsables marocains, BASTA..

Citation :

25 janvier 2012

Une histoire meconnue et oubliee: le Sahara Occidental (Extrait de mon carnet de voyage)

Saint–Exupéry, pilote de l’Aéropostale, faisait escale au Maroc, à Villa Cisnéros, aujourd’hui appelée Dakhla, sur la route de Dakar, mais aussi à Cap Juby, actuelle Tarfaya, où il a été chef d’escale et où il a écrit Courrier Sud. Là où le pilote-écrivain posait son avion au milieu de quelques maures nomades, sur la côte de sable, là où le désert meurt dans l’océan, aujourd’hui se dressent des villes comme Laayoune (200 000 habitants) ou Dakhla (40 000 habitants) sans oublier Boujdour ou Tarfaya. Rappelons, pour situer la région que Dakhla se trouve à plus de 1750 km au sud de Casablanca, et à 350 km au nord de la frontière mauritanienne.

Comment s’est faite la mutation de cette région désertique dont les frontières avec l’Algérie et la Mauritanie étaient encore très floues il y a une quarantaine d’années ?

Cette région était, en fait, occupée par les troupes espagnoles « régnant » sur presque 300 000 km2 de sable (l’erg) et de cailloux (le reg). En 1975, l’Espagne, aux prises avec des, difficultés politiques et économiques, a retiré ses troupes, abandonné la région ; et, le Maroc, pour des raisons politiques (il s’agissait de dynamiser l’identité nationale du royaume chérifien), organise, sous l’égide du souverain marocain, « la marche verte », gigantesque manifestation de 350 000 « marcheurs » dont la mission, suscitée par le monarque (Hassan II), était de revendiquer l’autorité légitime du royaume sur ces territoires et de les « annexer » ou les retrouver car, c’est là, qu’intervient l’Histoire ; mais une histoire qui est complexe et que chacun des protagonistes interprète à sa façon, selon ses intérêts géopolitiques. La présence de la MINURSO (Mission des Nations Unies pour le Sahara Occidental), sur ces territoires, traduit cette complexité géopolitique.

Le Sahara Occidental est « miné » par un conflit régional entre les populations qui occupaient traditionnellement ces lieux (ce sont les Saharouis), populations « épaulées » dans leurs revendications territoriales, par l’Algérie qui verrait probablement d’un très bon œil une ouverture sur l’Atlantique depuis sa province de Tindouf. Ces populations locales se sont, à cet effet, organisées en République arabe saharaouie démocratique (RASD).

Le Maroc affirme sa légitimité à « exister » sur ces territoires, par les anciennes allégeances des populations aux sultans marocains qui se sont succédé ; alors que dans le même temps les populations autochtones se déclarent seules légitimes à occuper ce territoire. Des conflits armés entre les différents belligérants (Algérie, Maroc, saharaouis) ont conduit l’ONU, en accord avec les autorités marocaines, à proposer un référendum d’autodétermination auquel seules les tribus, pouvant justifier d’une ancienne présence dans ces territoires, devaient être susceptibles de se prononcer sur l’avenir du territoire saharien. Le problème est rapidement devenu de savoir quelles tribus étaient concernées et pouvaient légitimement revendiquer une participation à ce referendum.

Pour augmenter ses chances d’obtenir un résultat favorable à ce référendum, le Maroc a organisé un transfert de populations du nord du pays et, surtout, a créé presque ex-nihilo, en un temps record, des villes et des infrastructures qui font, maintenant, du Sahara Occidental, une partie du royaume marocain : les villes sont modernes et offrent de grands espaces publics qui malheureusement finissent par se dégrader faute d’entretien, alors que la conception initiale était fonctionnelle et agréable, bien intégrée dans les couleurs environnantes. Laayoune, Dakhla, Boujdour en sont de bons exemples.

Pendant quelques décennies cette région a été structurée « sans taxes » afin de favoriser le peuplement et de faire bénéficier des meilleures conditions d’installation des habitants qui devaient prendre part au référendum d’autodétermination qui, selon toute vraisemblance aujourd’hui, n’aura pas lieu du fait des transformations géopolitiques qui sont intervenues à la fois dans les rapports entre les pays voisins et, finalement, l’acceptation de fait, par le Polisario (organe politique du RASD), de la réalité de la situation sociologique : la population marocaine y est la plus nombreuse et ses avantages économiques, pour tous, y compris les saharaouis, sont « trop intéressants » pour conduire à refuser le statut de ces territoires : l’autonomie dans la dépendance au Maroc.

Dans le discours politique d’Etat, relayé par les populations, ces territoires seraient riches en ressources minières et en pétrole (ce qui reste à démontrer !) ; mais il est exact, par ailleurs, que la ressource halieutique est très importante et prometteuse ainsi que les perspectives touristiques (les kit-surfeurs du monde entier apprécient les conditions météo et de la mer de cette

région). Il faut noter également que dans la lagune de Dakhla (région tropicale), l’ostréiculture et la conchyliculture qui ont fait leur apparition il y a peu de temps (trois ans à peine), et du fait de la richesse en plancton de cette lagune, offrent de fortes et prometteuses perspectives économiques nouvelles. Les huîtres de Dakhla qui ont une bonne réputation s’exportent bien.

Ceci dit, quelques réflexions s’imposent :

1) « la marocanisation » de ces territoires, justifiée par l’histoire – pour le Maroc – et considérée comme une annexion par les populations nomades installées ici, semble, actuellement, trouver une solution pérenne et ne laisse de faire penser à la situation de la Palestine et de ses territoires annexés par l’État et les colons israéliens. Ici, au Sahara Occidental, les populations, de quelque origine qu’elles soient, sont musulmanes et un conflit sur des bases religieuses comme en Palestine, semble maintenant exclu alors qu’au Moyen-Orient l’exacerbation des conflits semble fondée sur des réalités religieuses pour une très grande part.

2) Cette « marocanisation » du Sahara Occidental offre aussi une réflexion sur des différences ethniques : les populations autochtones ont une origine berbère et les saharaouis sont « cousins » des Touaregs qui perpétuent les traditions d’un nomadisme politique et économique. Un dicton touareg ne dit-il pas : « Là où est ma tente, là est ma patrie ! ».

La sédentarisation des populations nomades qui se réalise maintenant peu à peu, détruit le fondement même de ces structures sociales et politiques. Le Maroc a réussi l’islamisation de l’ensemble des populations et n’a pas partout pu accomplir leur arabisation. Les différences culturelles fondées sur l’origine sont toujours un des facteurs des conflits identitaires. Les Arabes devenant plus nombreux et probablement plus conquérants contribuent à modifier les structures politiques sahariennes. L’Algérie et le Maroc ne sauraient aujourd’hui entrer dans un conflit armé. Il faut dire que ces régions sahariennes sont extrêmement contrôlées par des forces militaires et policières qui assurent une sécurité incontestable et, pour un touriste, très rassurante. Par ailleurs il faut indiquer qu’un mur de mines sépare les deux pays.

3) La MINURSO : Laayoune est la métropole régionale de ces territoires sahariens et c’est surtout dans cette ville de 200 000 habitants que l’on voit les nombreux véhicules 4×4 blancs marqués « U.N.» (United Nations) de l’ONU. Les personnels de la MINURSO, mission qui existe ici depuis longtemps sont installés dans les hôtels de standing que comporte la ville en assurant, pour la plus grande partie, le fonctionnement de ces hôtels. Pour l’économie de cette hôtellerie, en effet, c’est une bonne chose ; mais la question du coût d’une telle mission, depuis trente ans, pour les Nations Unies, donc pour les pays membres, n’est pas à négliger. En dehors de ce questionnement économique, l’objet même de la mission commence à être discuté voire à être contesté : les sahraouis reprochent à la mission de ne plus assurer exactement la fonction de préparation du référendum prévu. Les aspects politiques du travail et du rôle de cette mission, conduisent à proposer une réflexion relative à la destinée des institutions, de toutes les institutions. Leur fondement est généralement légitimé par une nécessité politique d’intérêt public ou humain. Sur ces bases se mettent en place les logistiques afférentes ; puis, peu à peu ou bien trop souvent, ce qui a fondé l’institution est dénaturé, oublié, abandonné. Toute institution cherche à survivre et il n’est donc par surprenant que des dérives puissent être observées sous la forme d’inacceptables pérennisations. L’institution qui, au départ, prétendait être au service de l’homme « récupère » les hommes pour sa propre survie

C’est un piège bien connu des sociologues de la politique. Alors, faut-il s’appuyer sur les experts dont on voit qu’ils vont séduire, au début, mais qui en confisquant le pouvoir légitime aux politiques forgent des alibis commodes – ceux d’un savoir - pour maintenir l’homéostasie des systèmes politiques et sociaux qui leur garantit leur pouvoir ? Restaurer le pouvoir politique aux dépens des experts – mais avec leur aide – devrait contribuer à renouveler les capacités des décideurs à prendre précisément les décisions adaptées aux besoins des populations et, ainsi, garantir que l’intérêt général ne saurait jamais être confisqué.

4) Fruits de mer et tomates au Sahara. Ce point de vue commence par un oxymore: comment peut-il avoir des fruits de mer et des tomates là où, en principe, il n’y a rien et où l’environnement est hostile ? J’ai évoqué ci-dessus l’existence, à Dakhla, d’ostréiculture et de conchyliculture dans la lagune. Mais il faut ajouter l’existence à l’entrée de cette ville de gigantesques serres de production de tomates par une entreprise franco-marocaine (Azura) dont l’activité a pu concerner quelques milliers de personnes dans la région : tous les débouchés commerciaux étaient essentiellement les pays nordiques qui, s’apercevant qu’ils aidaient ainsi financièrement un pays « occupant », le Maroc, ont arrêté leurs relations commerciales relatives à la tomate ; façon de contester ce qu’il considèrent comme une occupation illégitime de ce territoire. Il est donc clair que si 46 Etats dans le monde ont reconnu la RASD (mais pas un seul État occidental ou même l’ONU), les tomates du désert – tomates de la discorde – représentent un symbole des refus d’occupation voire d’annexion de territoires. Mais au-delà de cet aspect géopolitique il est à observer que ces fruits de mer et ces tomates peuvent être considérés comme la capacité des pays émergeants – tel le Maroc – à entrer de façon efficace dans les circuits économiques mondiaux par la mise en place de structures nouvelles rentables. Le Sahara recèle beaucoup d’eau dans son sous-sol et ne pourrait-il devenir un lieu prometteur de productions alimentaires autosuffisantes pour les populations africaines ? Quelques aménagements hydrauliques peu coûteux pourraient favoriser des mutations politiques, économiques et sociales nécessaires et attendues. Lors d’un précédent séjour dans ce sud marocain, en effet, j’avais pu observer qu’avec l’aide d’une ONG, un forage avait été réalisé, qui à l’aide de pompes photovoltaïques, fournissait aux nomades locaux et à leur bétail, une eau abondante, alors qu’aux alentours les puits traditionnels étaient totalement taris ou ensablés. Les ressources existent, peuvent exister ; il suffit d’une volonté politique pour que les populations autochtones puissent rester sur leurs terres et conserver, pour un certain nombre de gens, leurs coutumes ancestrales. L’ethnologue qui n’est plus aujourd’hui un allié du colonisateur sait qu’il faut peu de choses pour ne pas « vider » ces cultures de leur contenu et qu’il est possible de stimuler la recherche d’un projet qui ne soit pas dévastateur des structures sociales, même si l’on considère que ces populations ont droit à la modernité. Un autre débat serait de confronter la technique le progrès et la sagesse. Comme dans tous les pays du monde, en effet, les populations migrent vers les villes ou abandonnent leurs espaces ruraux délaissant peu à peu, ainsi, leurs coutumes qui font leur identité.

5) Immigration : pendant que l’Europe veut contrôler ses frontières pour empêcher une immigration, accusée de mettre en péril ses structures sociales, voire sa sécurité, le Sahara Occidental voit arriver des populations sub-sahariennes. À Dakhla et Laayoune, de nombreux ressortissants mauritaniens, sénégalais, ivoiriens, jeunes pour la plupart, espèrent trouver des ressources économiques que leurs familles attendent au pays. Mais nombreux sont ceux qui réalisent trop tard que l’immigration n’était qu’un rêve. Et il n’est pas exclu, du fait de cette immigration, que le Maroc rencontrera, dans les années qui viennent, les difficultés d’accueil ou d’intégration des populations étrangères que l’Europe connaît déjà. Il me semble que de ce fait les conventions euro-marocaines relatives au contrôle des populations sub-sahariennes ne sont en réalité que protectrices de l’Europe. Le Maroc le découvre.

Le blog de Jean-Pierre DESMOULINS

ALBATAL a écrit:

entre temps la presse des chiens aboient à tous sens, ca montre le degré de rage qu'ils ont contre nous, notre roi et notre pays

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J'ai posté dans la partie international section ennemi de l'est, tout les articles qui ont été postés sur le maroc en 1 seul jour, a vomir, plus de 10 articles en 1 seul jour sur le Maroc.
Le modérateur a malheureusement supprimé mon post.

Filmé par les polizero

ALBATAL a écrit:

ils sont parti quand il y avait personne au consulat

Le consulat est-il territoire marocain? que dis la loi dans ce cas?

tshaashh a écrit:

ALBATAL a écrit:

ils sont parti quand il y avait personne au consulat

Le consulat est-il territoire marocain? que dis la loi dans ce cas?

la police espagnole est l'unique responsable de la sécurité du consulat et des diplomates..

ALBATAL a écrit:

tshaashh a écrit:

ALBATAL a écrit:

ils sont parti quand il y avait personne au consulat

Le consulat est-il territoire marocain? que dis la loi dans ce cas?

la police espagnole est l'unique responsable de la sécurité du consulat et des diplomates..

Je suppose que cette meme police n'hesitera pas a casser du marocain si une manifestation similairese prenait pour cible la representation du polizario a madrid? est-ce al 'amnbassade d'algerie comme dans certains pays?

tshaashh a écrit:

ALBATAL a écrit:

tshaashh a écrit:

Le consulat est-il territoire marocain? que dis la loi dans ce cas?

la police espagnole est l'unique responsable de la sécurité du consulat et des diplomates..

Je suppose que cette meme police n'hesitera pas a casser du marocain si une manifestation similairese prenait pour cible la representation du polizario a madrid? est-ce al 'amnbassade d'algerie comme dans certains pays?

Si la police espagnole ne fout rien, il faut penser serieusement à constituer des milices de MRE bien entrainés, un peu partout en espagne et en europe pour contrer ces pédettes de polichiens et leurs mentors..faut être wlad zanka basta la bonne foie et la gentillesse..

Des milices qui donneront l'occasion aux extrémistes de droites de soulever une partie de la population espagnole que le chômage désœuvre contre tous les étrangers vivants dans le pays, je ne suis pas certain que ce soit une si bonne idée. Attendons de savoir ce qui s'est exactement passé, et demandons des comptes aux responsables.

rafi a écrit:

Des milices qui donneront l'occasion aux extrémistes de droites de soulever une partie de la population espagnole que le chômage désœuvre contre tous les étrangers vivants dans le pays, je ne suis pas certain que ce soit une si bonne idée. Attendons de savoir ce qui s'est exactement passé, et demandons des comptes aux responsables.

Les milices du polizario il y'en a deja, ceux de l'extreme doite espagnole au vu et au su de leur policed idem.

les milices ne sont pas sense etre des casseurs ou des criminels.

Les milices n'existent que lorsque la situation se pourri au point que la solution de leur création paraisse acceptable, mais comme tu le dis si bien, les milices d’extrême droite, ça existe, alors autant ne pas pousser le bouchon en les faisant se battre les unes les autres.

rafi a écrit:

Des milices qui donneront l'occasion aux extrémistes de droites de soulever une partie de la population espagnole que le chômage désœuvre contre tous les étrangers vivants dans le pays, je ne suis pas certain que ce soit une si bonne idée. Attendons de savoir ce qui s'est exactement passé, et demandons des comptes aux responsables.

et les 20 petits voyous que t'as vu sur la vidéo c'est pas une milice????? il n'ya rien à attendre il faut mobiliser, l'heure est venue on a pris du retard par rapport à nos ennemis dans ce domaine.. alkhawf men allah wa hob alwatan men al imane

les milices de l'extreme droite existaient ca fait longtemps, et il n'ya aucun probleme s'ils veulent tenter leur chance contre des milices marocaines.. ce sont des pedettes ils sortent chasser quelques étrangers travaillant la nuit et non armés..

S'ils sont organisés, ces 20 voyous, et qu'ils recourent à la violence comme mode d'expression, c'est une association de malfaiteurs, et ils tombent alors sous le coup de la loi.

J'invite cordialement tous les polizeros a tenter le meme genre d'operations dans les representations marocaines de
Bruxelles, Amsterdam ou Paris. Mais avant qu'ils prennent rendez-vous chez un bon dentiste...

ALBATAL a écrit:

tshaashh a écrit:

ALBATAL a écrit:

la police espagnole est l'unique responsable de la sécurité du consulat et des diplomates..

Je suppose que cette meme police n'hesitera pas a casser du marocain si une manifestation similairese prenait pour cible la representation du polizario a madrid? est-ce al 'amnbassade d'algerie comme dans certains pays?

Si la police espagnole ne fout rien, il faut penser serieusement à constituer des milices de MRE bien entrainés, un peu partout en espagne et en europe pour contrer ces pédettes de polichiens et leurs mentors..faut être wlad zanka basta la bonne foie et la gentillesse..

C'est ce que je repete souvent.
Quelques face a face, quand ils auront pris des coups et des KO a chaque fois qu'ils se montreront a 10 et qu'on sera 30 en face d'eux, la ils ne bougeront plus jamais en Europe.
Je suis sur que plein de marocains seraient pret a y participer.

Ce ne sera qu'une association comme toute les associations, avec des militants et qui auront un service d'ordre ou de sécurité pret a défendre la cause si des sauvages tentent de faire les interessants.
Sa existe partout ce genre de choses.

vipsdesvips a écrit:

J'invite cordialement tous les polizeros a tenter le meme genre d'operations dans les representations marocaines de
Bruxelles, Amsterdam ou Paris. Mais avant qu'ils prennent rendez-vous chez un bon dentiste...

C'est ce que tu crois.
Ils le feraient meme a l'interieur du Maroc que personne ne bougerait.

General Dlimi a écrit:

C'est ce que tu crois.
Ils le feraient meme a l'interieur du Maroc que personne ne bougerait.

Well, we will agree to disagree on this one. Je te promets qu'ils gardent profils bas, mais alors tres bas en Belgique.
Meme pour un marocain, c'est parfois hardcore de se rendre au consulat du Maroc de Bruxelles...

General Dlimi a écrit:

vipsdesvips a écrit:

J'invite cordialement tous les polizeros a tenter le meme genre d'operations dans les representations marocaines de
Bruxelles, Amsterdam ou Paris. Mais avant qu'ils prennent rendez-vous chez un bon dentiste...

C'est ce que tu crois.
Ils le feraient meme a l'interieur du Maroc que personne ne bougerait.

Ils font la même chose dans le Rif ou a Casa, ils sont cuits grillés

Ils font ça a Fes, ils sont découpée en morceau oulad les quartiers populaires n'attendent que ça...