Révolte en Syrie.

Rappel du premier message :

@rafi

Je te trouve bien irrationnel aujourd'hui.

Les échanges avec l'Irak augmentent considérablement en faveur des Turcs.

La Libye ? 50% de + en avril dans les exportations, oui le CNT achète volontiers Turc et tout ça sans avoir tiré un seul GBU dans leur pays.

L'invocation de l'article 5 a peut-être été maladroit mais ça a pour but de bloquer les Russes quand il faudra intervenir ce qui va être inévitable au bout d'un moment.

Où sont les Occidentaux si humanistes en Libye alors que tant de gens en Libye ? Le sang syrien ne vaut-il pas le sang libyen ?

Il y a une branche syrienne dans le pkk.

Certaines villes abandonnés par assad sont entre les mains du pkk avec sa benediction.

Un Etat Kurde sans l'accord de la Turquie n' est pas viable dans cette région.

Quelques vrai foto prise par les journalistes Adem Demir et Salih Bilici.

Tskfanatik a écrit:

Assad distribue des armes aux terroristes du pkk

reponse du berger a la bergere

rafi a écrit:

Plus ils crieront fort qu'il faut libérer Jérusalem ou je ne sais quel bout de terre, plus ils passeront pour des extrémistes prêts à tout

a bon ? reclamer la liberation de Jerusalem est de l'extremisme? J'espere que je t'ai mal compris...

Citation :

J'espere que je t'ai mal compris

ca c´est sure!
si tout autour dans cette region finit a demander jerusalem et blabla et finit en chaos...israel serait alors favorisée dans son traitement de ces pays de la facon qu´elle le voudrait,en legitime defense alors.c´est le seul pays qui sortira vaincoeur de cette situation,mais apparement,l´euphorie pour les tele-tubbies qataris cache bien le decor

Yakuza a écrit:

Citation :

J'espere que je t'ai mal compris

ca c´est sure!
si tout autour dans cette region finit a demander jerusalem et blabla et finit en chaos...israel serait alors favorisée dans son traitement de ces pays de la facon qu´elle le voudrait,en legitime defense alors.c´est le seul pays qui sortira vaincoeur de cette situation,mais apparement,l´euphorie pour les tele-tubbies qataris cache bien le decor

1- Sa fait 64 ans que le monde musulman plus une bonne partie du monde non-musulman reclame la liberation de la Palestine. Si c'est de l'extremisme, vive l'extremisme alors.

2- Israel n'a jamais, depuis sa creation, ete en manque de pretexte. De plus, avec ces revoltes, les sionistes ont la paix pour de nombreuses annees. Les consequences des revolutions sont connues.

Citation :

PKK/PYD checkpoints in northern Syria

Citation :

More Kurdish Cities Liberated As Syrian Army Withdraws from Area

20/07/2012 21:12:00 RUDAW

ERBIL, Kurdistan Region -- On the second day of events in Syrian Kurdistan, several more cities have fallen into the hands of Kurdish groups.

Fawzi Shangal, the leader of the Kurdish Accord Party in Syria told Rudaw that the city of Amude and Efrin fell on Friday and they expect Derek city liberated within hours.

Shangal maintained that the Kurdish cities fell without any major clashes. The forces of the Assad regime withdrew from the area, he said.

“According to the Erbil agreement [signed between Syrian Kurdish political factions] On June 11, the Kurdish National Council and the Council of Western Kurdistan have formed a joint leadership to run those cities,” he said.

Members of the Democratic Union Party [PYD] raised the Kurdish flag alongside the official flag of the Kurdistan Workers Party [PKK] on all government buildings in the newly liberated cities on Friday.

Kobane, in the province of Halab [Aleppo], was the first Kurdish city near the Turkish border to be liberated yesterday.

On Thursday PYD stopped soldiers of the Free Syrian Army [FSA] from entering Kobane as the news of the liberation reached other parts of the country.

“The Kurdish forces rejected a request by the FSA and told them that they [Kurds] can control their own areas,” Hussein Kochar, a PYD official told Rudaw.

Kurdish leaders are preparing for the full liberation of Syrian Kurdistan and the responsibility of restoring peace and order in those cities.

Ismail Hama, the current head of the Kurdish National Council said achieving an agreement between the different factions wasn’t easy, but it was necessary.

“Things are changing in Syria and those changes affect us all,” he said. “We have to be united and it was those developments in Syria that made us put our differences aside and form this council.”

The Kurdish groups agreed last month to form three committees for foreign relations, peace and order and supervision of public services.

Meanwhile, Hama supported PYD’s policy of preventing the Free Syrian Army from reaching Kurdish areas.

“PYD’s stance against the FSA is rigid,” he said. “There are different parties behind the FSA, among them Turkey, Saudi Arabic and Jordan. Kurds are against those forces from coming to Kurdistan and we support PYD in that regard and believe a special Kurdish force has to be created.”

Mustafa Juma, the head of the Kurdistan Freedom Party [Azadi] said Kurdish groups faced many challenges to reach the agreement they signed in Erbil; therefore all sides have to respect and implement its articles.

“Kurds in western Kurdistan were very worried recently because despite our past sufferings, Kurdish groups were close to a civil war,” he said. “But that agreement makes everyone happy.”

The PKK-affiliated PYD is the dominant force in Syrian Kurdistan and their members run checkpoints on major roads and entrances to Kurdish cities.

But Nuri Brimo, spokesperson for the Kurdistan Democratic Party of Syria said on Thursday, to run the Kurdish areas all groups have to work together.

“PKK alone cannot run western Kurdistan,” he said. “There is no other way but unity and only that way can we achieve our goals.”

Qamishli, the largest Kurdish city in Syria is still under control of Syrian forces, but Kurdish leaders expect the army to pull out of the area, as fierce battles between rebel fighters and the Assad regime have been raging in the capital Damascus since Tuesday.

Citation :

Un groupe inconnu aurait enlevé des opposants syriens afin de les échanger avec les pèlerins libanais détenus en Syrie

olj.com | 23/07/2012 | 22h38

Des opposants syriens auraient été enlevé au Liban par un groupe nommé "les brigades de l'élu" (Siriyat al-mokhtar al-thakafi) afin de les échanger avec les pèlerins libanais enlevé par les rebelles syriens en Syrie, a rapporté la chaîne de télévision al-Mayadeen.

Les pèlerins libanais avaient été enlevés le 22 mai dernier dans la région d'Alep. L'Armée syrienne libre (ASL, dissidents) avait démenti toute implication dans l'affaire, mais un groupe jusqu'alors inconnu, les "Révolutionnaires de Syrie-Province d'Alep", a affirmé à la chaîne satellitaire al-Jazira, dans un communiqué diffusé fin mai, détenir les pèlerins.

Citation :

Syrie: Damas brandit la menace des armes chimiques en cas d'agression étrangère

DAMAS (AFP) - 23.07.2012 20:14
Le régime syrien a reconnu lundi pour la première fois posséder des armes chimiques et menacé de les utiliser en cas d'intervention militaire occidentale mais jamais contre sa population, suscitant une réaction cinglante des Etats-Unis.
e régime syrien a reconnu lundi pour la première fois posséder des armes chimiques et menacé de les utiliser en cas d'intervention militaire occidentale mais jamais contre sa population, suscitant une mise en garde virulente des Etats-Unis.
Sur le terrain, l'armée syrienne semblait avoir repris le contrôle de la plus grande partie de Damas après une semaine de violents combats inédits, les rebelles adoptant désormais une stratégie de harcèlement.
Les autorités syriennes ont rejeté sans surprise une proposition arabe d'un départ négocié du président Bachar al-Assad pour éviter la poursuite de la répression et des combats qui ont coûté la vie à plus de 19.000 personnes en 16 mois de révolte selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Face à l'escalade des violences qui ont encore fait lundi au moins 54 morts à travers le pays, le président russe Vladimir Poutine, un allié de Damas, a mis en garde contre une guerre civile de longue durée en Syrie si M. Assad était destitué du pouvoir de manière "inconstitutionnelle".
L'Union européenne a renforcé ses sanctions contre le régime notamment celles liées à l'embargo sur les armes, et s'est dite également prête à évacuer ses ressortissants de Syrie "si la situation se détériore encore plus".
Reconnaissant pour la première fois posséder un arsenal chimique, le porte-parole des Affaires étrangères syriennes Jihad Makdessi a prévenu que ces armes non conventionnelles "stockées et sécurisées sous la supervision des forces armées (...) ne seront utilisées qu'en cas d'agression étrangère".
Mais M. Makdessi a assuré, lors d'une conférence de presse à Damas, qu'elles ne "seront jamais, jamais, utilisées contre nos citoyens, quelle que soit l'évolution de la crise".
Condamnations internationales
Les condamnations internationales ne se sont pas fait attendre.
Le président américain Barack Obama a prévenu le régime Assad qu'il commettrait une "erreur tragique" et devrait rendre des comptes s'il utilisait ses armes chimiques. Pour le Pentagone, les Syriens "ne devraient même pas penser une seule seconde à faire usage d'armes chimiques".
Berlin a qualifié cette menace de "monstrueuse" et Londres l'a jugée "inacceptable".
Le chef de l'ONU, Ban Ki-moon, a jugé qu'un recours aux armes chimiques par la Syrie serait "répréhensible". Israël a, quant à lui, prévenu qu'il ne pouvait pas "accepter" que des armes chimiques tombent aux mains du Hezbollah libanais, allié du régime syrien.
Mais pour le chef du Conseil national syrien (CNS), principale coalition de l'opposition, Abdel Basset Sayda, "un régime qui massacre les enfants et viole les femmes peut aussi bien utiliser des armes chimiques". Il a appelé la communauté internationale à empêcher une telle éventualité.
Après une semaine de violents combats à Damas, des opposants de l'intérieur et les autorités, déterminées à en finir avec la révolte lancée en mars 2011, ont affirmé que l'armée avait repris le contrôle de la plus grande partie de Damas.
"Malheureusement, l'armée du régime a repris le contrôle de la quasi-totalité de la capitale", a affirmé à l'AFP l'un des opposants, notant que des accrochages se poursuivaient dans le sud de Damas.
Les opérations de l'armée se résument désormais à des perquisitions "à la recherche de terroristes cachés", d'après une source de sécurité.
Bombardements d'Alep, obus sur le Golan
Les exactions se sont multipliées à Damas avec au moins 23 personnes, en majorité âgés de moins de 30 ans, "exécutées sommairement" par balles dimanche par les forces régulières, selon l'OSDH qui décrit des victimes à la tête écrasée par des véhicules ou les corps parfois transpercés par des baïonnettes.
Amnesty international a appelé les protagonistes à épargner les civils, alors que l'organisation War Child a accusé la communauté internationale d'avoir échoué à protéger les enfants, victimes directes du conflit.
A Alep, deuxième ville du pays dans le nord, les combats se poursuivaient, avec un "grand mouvement d'exode", selon l'OSDH.
En soirée, un responsable du conseil militaire rebelle a affirmé que les insurgés avaient "libéré" plusieurs quartiers d'Alep. "C'est la première étape vers la libération de la ville", a affirmé le colonel Abdel Jabbar al-Oqaidi à l'AFP via Skype.
Il a toutefois souligné que de violents combats se poursuivaient à la périphérie de ces quartiers et que les chars et les hélicoptères du régime bombardaient et mitraillaient de l'extérieur.
Après le lancement des "batailles de libération" de Damas et d'Alep par la rébellion, le CNS a estimé que le régime "vacillait" mais "ne se rendra pas facilement".
Dans la région de Homs (centre), un hélicoptère a mitraillé en soirée la localité de Boueida, détruisant plusieurs maisons, selon un correspondant de l'AFP.
Enfin, un obus de mortier tiré lors des combats s'est abattu à 400 mètres de la frontière avec Israël, sur le plateau du Golan.
© 2012 AFP

quand je vois les visages des gars de l'als et les soldats de bachar
j'ai plus confiance en l'armée libre comme a dit le bon dieu "simahom fi woujouhihim"

vipsdesvips a écrit:

rafi a écrit:

Plus ils crieront fort qu'il faut libérer Jérusalem ou je ne sais quel bout de terre, plus ils passeront pour des extrémistes prêts à tout

a bon ? reclamer la liberation de Jerusalem est de l'extremisme? J'espere que je t'ai mal compris...

Tu ne sais donc pas faire la différence entre ce que je pense et ce que je dis? Dans le monde occidental, là d'où je viens, et vous aussi pour la plupart, là où ça compte, la mouvance terroriste est entre autre associée à des revendications territoriales. Vous qui appréciez tant la force comme seule justification, la faisant primer sur le droit, comment pouvez-vous vous étonner qu'une telle association? j'ai écrit (en gros) : "à qui cela profite t-il?" tu ne sais pas ce que cela signifie une telle phrase, tu n'as pas une petite idée à ce sujet, tu crois que j'ai écrit cette phrase pour faire beau à la fin de la démonstration?

vipsdesvips a écrit:

rafi a écrit:

Il en va comme de ces "rebelles" qui pillent les convois turcs, le lâche les laisse faire, mais il a peur de qui ou de quoi, ce lâche là?

La lâcheté comme le courage est une question de circonstance.

Toujours les memes procedes trompeurs rafi...
Tu pars d'un cas isole pour generaliser sur toute l'als et la discrediter et imposer ton avis comme le bon.

Il n'y a rien de trompeur à constater que la loi ne signifie rien dans cette région. Ce n'est d'autant moins un cas isolé qu'une pratique "de tous les jours" selon ces routiers turcs cités par un journal d'assez bonne réputation. Ce qui est important ce n'est pas l'ALS, mais bien le gouvernement turc qui ne sait pas imposer à ces derniers l'obligation de respecter les intérêts commerciaux de ses citoyens.

Citation :

Syrie: le CNS accepte un "scénario yéménite"

L'opposition syrienne est prête à accepter qu'un membre de l'ancien régime dirige la Syrie pendant une période de transition, a annoncé mardi le porte-parole du Conseil national syrien (CNS) Georges Sabra, cité par les médias occidentaux.

"Nous sommes d'accord avec le départ d'Assad et le transfert de ses pouvoirs à une des personnalités du régime pour diriger une période de transition comme c'était le cas au Yémen", a indiqué M. Sabra.

La Syrie est secouée depuis plus de 16 mois par une crise politique sans précédent qui a fait, selon différentes données, 16.000 et 19.000 morts et quelque 230.000 refugiés. Damas dément ce chiffre et déclare que le pays est en proie à des terroristes financés par l'étranger.

Tandis que l'opposition intérieure essaie de régler la crise par le biais d'un dialogue national, le CNS (opposition basée en Turquie et soutenue par l'Occident) considère le départ d'Assad comme le préalable à toute autre démarche.

http://fr.rian.ru/world/20120724/195455688.html

Tskfanatik a écrit:

" je rappelle que les règles d 'engagement des TSK ont été changé ./ Si le régime syrien ne tire pas des leçons de ces événements et continue son approche comme ennemie , la Turquie n'hésiteras à répondre avec une force très forte"

RTE

Approche comme ennemie veut dire , attaque envers les TSK comme soutien au pkk comme tout ce que ce terme peut englober.

évitez d'envoyer vos F4 en première ligne comme la dernière fois , ils n'ont même pas retrouver les chaussettes des pilotes

On peut se passer de ce genre de messages .

Tu peux retourner sur ton cocotier .

Qui se bat en Syrie ? par Thierry Meyssan Alors que la presse occidentale présente l’Armée syrienne libre comme une organisation révolutionnaire armée, Thierry Meyssan affirme depuis plus d’un an qu’il s’agit au contraire d’une formation contre-révolutionnaire. Selon lui, elle serait progressivement passée des mains des monarchies réactionnaires du Golfe à celle de la Turquie, agissant pour l’OTAN. Une telle affirmation à contre-courant requiert une démonstration argumentée…

Tskfanatik a écrit:

On peut se passer de ce genre de messages .

Tu peux retourner sur ton cocotier .

les insultes ce sont les arguments des imbéciles mais je ne jouerais pas a ton jeu et je demande a la modération de bien vouloir sévir contre ce petit janissaire du clavier

Il faudrait déjà que tu apprenne ce que c est une insulte .

Il me semblait que la modération avait averti tout le monde qu'aucune provocation ne serait toléré . Apparemment certains se croient au dessus des règles .

édit PGM: en effet la modération ne veux plus de provocations. insinuer qu'un autre membre, tel un singe, n'aurait plus qu'a remonter sur son cocotier, en est une Tsk...donc charité bien ordonnée....tu connais la fin.

Comme en toute chose TSK, si tu t'estimes insulté, tu ne te fais pas justice toi meme. Sinon on n'en sort pas. Je ne vais rechercher qui de la poule ou de l'oeuf comme pour les gamins de l'école.
Il existe une fonction "éditer un rapport", pour justement ne pas avoir a se faire justice soi meme. Si vous ne faites pas usage de la palette de "moyens" offert par la maison pour vous rétablir dans vos droits, inutile de venir se plaindre quand la modération agit. Je ne vais rentrer dans des discussions byzantines de qui a commencer et de la charge d'insulte que peut comporter tel ou tel mots

Pgm

Laisse tomber j' en ai rien à faire en faite..

Lorsqu'on a aucun respect pour la mémoire de 2 pilotes qui viennent de mourir en mission on a aucun respect pour personne. Même pas pour soi même.
Alors s'estimer insulté par mes écrits c'est l hôpital qui se fout de la charité...

Citation :

évitez d'envoyer vos F4 en première ligne comme la dernière fois , ils n'ont même pas retrouver les chaussettes des pilotes Very Happy

Comparé celui qui a posté cela avec un singe serait une insulte pour le singe... Le singe lui respecte son prochain. Il ne se réjouit pas de la mort d'autrui, comme certains ici..

Allons les amis c'est ramadan,berredou , Calmos

Citation :

Syrie: les rebelles accusent Damas d'avoir transféré des armes chimiques

DAMAS (AFP) - 24.07.2012 13:38
Les rebelles syriens ont accusé le régime d'avoir transféré des armes chimiques près des frontières du pays au lendemain de la menace de Damas de s'en servir en cas "d'agression extérieure".
Les rebelles syriens ont accusé le régime d'avoir transféré des armes chimiques près des frontières du pays au lendemain de la menace de Damas de s'en servir en cas "d'agression extérieure".
Sur le plan politique, l'opposition syrienne s'est dite prête à accepter qu'une "personnalité du régime" de Bachar al-Assad dirige le pays durant une période de transition après le départ du président contesté, affirmant toutefois que "toutes les options sont sur la table".
Entretemps de nouveaux combats ont éclaté à Alep (nord), deuxième ville du pays où un nouveau front s'est ouvert après celui de la capitale Damas, reprise en majorité par l'armée syrienne après une semaine d'affrontements inédits.
Le régime syrien a reconnu lundi pour la première fois posséder un arsenal chimique, prévenant que ces armes non conventionnelles "stockées et sécurisées" "ne seront utilisées qu'en cas d'agression étrangère" et "jamais" contre la population, suscitant immédiatement des mises en garde cinglantes de la communauté internationale.
"Nous au sein du commandement conjoint de l'Armée syrienne libre (ASL) à l'intérieur, savons parfaitement l'endroit où se trouvent ces armes et leur positionnement", ont réagi les rebelles mardi.
"Nous révélons qu'Assad a transféré certaines de ces armes et des équipements de mélange de composantes chimiques vers des aéroports à la frontière", poursuit leur communiqué sans préciser quelle frontière et s'il s'agissait d'aéroports civils ou militaires. La Syrie dispose de nombreux aéroports militaires dans tout le pays.
Le régime syrien a reconnu lundi pour la première fois posséder des armes chimiques et menacé de les utiliser en cas d'intervention militaire occidentale mais jamais contre sa population, suscitant immédiatement des mises en garde internationales.
Le président des Etats-Unis Barack Obama a prévenu le régime qu'il commettrait une "erreur tragique".
Abdel Basset Sayda, président du Conseil national syrien (CNS) -la principale coalition de l'opposition syrienne-, a estimé qu'un "régime qui massacre les enfants, qui viole les femmes peut aussi bien utiliser des armes chimiques".
Le chef de l'ONU, Ban Ki-moon, a jugé qu'un recours aux armes chimiques par la Syrie serait "répréhensible". Israël a, quant à lui, prévenu qu'il ne pouvait pas "accepter" que des armes chimiques tombent aux mains du Hezbollah libanais, allié du régime syrien.
Berlin a qualifié cette menace de "monstrueuse" et Londres l'a jugée "inacceptable".
Alep au centre des combats
Pour la cinquième journée consécutive, de violents combats ont éclaté dans la nuit de lundi à mardi dans plusieurs quartiers à Alep (nord), capitale économique du pays.
Mardi matin, des manifestations ont été organisées pour réclamer une fois de plus la chute du régime, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), selon qui les quartiers rebelles de la ville étaient mitraillés par des hélicoptères.
Un responsable du conseil militaire rebelle a affirmé lundi soir que les insurgés avaient "libéré" plusieurs quartiers d'Alep. "C'est la première étape vers la libération de la ville", a indiqué le colonel Abdel Jabbar al-Oqaidi à l'AFP via Skype.
Et dans la nuit de lundi à mardi, huit prisonniers ont été tués dans la répression d'une mutinerie dans la prison centrale de cette ville, selon le CNS.
Les violences ont fait mardi 19 morts dans le pays, selon un premier bilan de l'OSDH. La veille, cette ONG a recensé 116 morts dont 64 civils.
Après une semaine de violents combats à Damas, les autorités, déterminées à en finir avec la révolte lancée en mars 2011, ont affirmé que l'armée avait repris le contrôle de la plus grande partie de Damas, malgré quelques accrochages persistants.
Le journal al-Watan, proche du régime titrait mardi: "la vie reprend à Damas, l'armée continue de pourchasser les hommes armés". Mais selon l'OSDH, des accrochages se poursuivent toujours dans deux quartiers du sud de la capitale, Hajar el-Aswad et Qadam, notamment "dans les rues où sont encore retranchés les rebelles".
Les autorités syriennes ont rejeté sans surprise une proposition arabe d'un départ négocié du président Assad pour éviter la poursuite de la répression et des combats qui ont coûté la vie à plus de 19.000 personnes en 16 mois de révolte selon l'OSDH.
"Nous sommes d'accord pour le départ d'Assad et le transfert de ses pouvoirs à une des personnalités du régime pour diriger une période de transition à l'instar de ce qui s'est passé au Yémen", a réagi mardi Georges Sabra, porte-parole du CNS.
Selon lui, "la Syrie dispose de personnalités patriotiques même au sein du régime et certains officiers de l'armée syrienne peuvent jouer un rôle" dans la transition.
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a estimé lundi soir que l'opposition au président syrien Bachar al-Assad était "plus proche que jamais de la victoire" et a prévenu que la Turquie était prête à "rendre la pareille" en cas d'acte hostile de Damas à son encontre.
Pour le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, "Assad va tomber, simplement c'est une question de temps". "Le plus vite sera le mieux", a-t-il affirmé à la chaîne de télévision France 2.
2012 AFP

selon la BBC, assad utilise l 'aviation pour bombarder Halep. Les avions seraient entrés en service apres que l' ASL ait abattu un heliko.

de bonne guerre,il a le devoir de nettoyer/proteger son pays des terroristes infiltrés.

Yakuza a écrit:

de bonne guerre,il a le devoir de nettoyer/proteger son pays des terroristes infiltrés.

A-t-on une preuve de ces soi disant infiltrations ? Pas vraiment.

AU lieu d' utiliser l' aviation pour bombarder des civils, il devrait plutôt contrôler ses frontières et empêcher ces soi disant terroristes de s'infiltrer.
Je ne savais pas qu'on pouvait entrer en Syrie comme dans un moulin.. Qui plus est lorsqu'on est un terroriste islamiste d' alqaida..

D'autant plus que la syrie est une base arrière des alqaida qui posent des bombes en Irak.. non ?? Alors comment se ferait il que les terros que assad a soutenu et utiliser se seraient soi disant retournés contre lui ?

Elle tient pas debout cette histoire de terroristes... D' autant plus que les plus de 100 000 refugiés seraient donc les familles de ces terros et non pas de simple civils syriens si on en croit ton raisonnement...

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Lan,si t´as 4 hommes qui surveillent ta villa,et que tu as le feu a l´interieur de la maison,est ce qu´ils resteront a garder le jardin ou vont ils se precepiter a combattre le feu?
si les voisins de la syrie avaient de la bonne foie,et une vision long terme pour ne pas se trier la balle aux pieds,ils auraient fait en sorte de garder eux aussi leurs frontieres impenetrabales et ne pas destabiliser le voisin en feu en lui envoyant des convois de "combattants de la liberté".
malheureusement dans cette region chacun fait les memes fautes qu´il aurait du eviter apres les avoir fait avant,la notion de vengeance et poignard caché regne tellement que toute cette region ne pourra que s´eclatter un jour ou l´autre en un grand fireball a la champignon.