Armée Saoudienne / Armed Forces of Saudi Arabia

Sujet: Armée Saoudienne / Armed Forces of Saudi Arabia Jeu 29 Nov 2012 - 14:37

Rappel du premier message :

inanc a écrit:

Citation :: WASHINGTON, November 28, 2012 – The Defense Security Cooperation Agency notified Congress November 26 of a possible Foreign Military Sale to the Kingdom of Saudi Arabia for technical services to recertify the functional shelf life of up to 300 PATRIOT Advanced Capability-2 (PAC-2) (MIM-104D) Guidance Enhanced Missiles and associated equipment, parts, training nd logistical support for an estimated cost of $130 million.
The Government of Saudi Arabia has requested a possible sale of technical services to recertify the functional shelf life of up to 300 PATRIOT Advanced Capability-2 (PAC-2) (MIM-104D) Guidance Enhanced Missiles (GEM), modernization of existing equipment, spare and repair parts, support equipment, U.S. Government and contractor representatives logistics, engineering, and technical support services, and other related elements of logistics and program support. The estimated cost is $130 million.
This proposed sale will contribute to the foreign policy and national security of the United States by helping to improve the security of an important partner which has been, and continues to be, an important force for political stability and economic progress in the Middle East.
The proposed recertification program will allow the Royal Saudi Air Defense Forces to extend the shelf life of the PAC-2 missiles in its inventory for an additional twelve years.
The proposed recertification program will not alter the basic military balance in the region.
The principal contractor will be Raytheon Corporation in Andover, Massachusetts. The recertification process will be performed by Letterkenny Army Depot in Chambersburg, Pennsylvania. There are no known offset agreements proposed in connection with this potential sale
Implementation of this proposed sale will require one contractor representative to travel to the Missile Assembly Disassembly Facility in Jeddah, Saudi Arabia on an extended basis for missile assembly/disassembly support, system checkout, training and technical and logistics support.
There will be no adverse impact on U.S. defense readiness as a result of this proposed sale.

http://www.dsca.mil/PressReleases/36-b/2012/Saudi_Arabia_12-65.pdf

bizarre…. Seulement recertification program ?
Après les commandes des voisins et surtout la dernière commande d’avant hier pour le C4I je m’attendais plutôt à une commande THAAD ou PAC3…bizarre

Invité

C'est Mouhammad Abdou, je me rappel de ce nasheed étant petit..

Je pensais qu'un nasheed c'était l'équivalent d'un ilahi.

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Site perso : http://defense-turque-infos.com/

Invité

Inanç a écrit:: Je pensais qu'un nasheed c'était l'équivalent d'un ilahi.

Nasheed veut dire chant en arabe.. C'est aussi l'équivalent des ilahi (nasheed al-islamiya)..

Citation :: François Hollande en Arabie Saoudite pour discuter de très gros contrats de défense

Michel Cabirol | 26/12/2013, 8:40

Le président français sera en Arabie Saoudite les 29 et 30 décembre. François Hollande évoquera dans ses discussions avec le roi Abdallah notamment deux contrats : Mark 3 (4 milliards d'euros) et Sawari 3 (entre 15 et 20 milliards d'euros).

C'est une visite d'Etat à très, très gros enjeux pour l'industrie de défense française. Tout le secteur aura les yeux tournés vers l'Arabie Saoudite où François Hollande se rendra les 29 et 30 décembre pour une visite officielle de 24 heures dominée par la situation régionale et les enjeux économiques. Une visite expresse du Chef de l'Etat, qui doit rencontrer le roi Abdallah et qui pourrait réjouir lors des fêtes de fin d'année une industrie touchée par la baisse des budgets de défense, dont celui de la France.

Au menu des discussions entre Paris et Ryad, deux méga-contrats, qui font tourner toutes les têtes de l'industrie de défense : l'un portant sur le renouvellement de la défense aérienne (Air defence) de courte portée du royaume (Mark 3) pour un montant de 4 milliards d'euros, dont une première tranche de 2,5 milliards, l'autre sur la modernisation de la flotte de surface et la création d'une flotte sous-marine, une commande estimée entre 15 et 20 milliards d'euros, selon des sources concordantes. Le premier fait l'objet depuis des mois et des mois d'une guerre en coulisse où tous les coups sont permis entre Thales d'un côté et MBDA/EADS de l'autre. Le second génère en revanche un consensus général dans toute l'industrie. Normal, tous les groupes ou presque y trouvent leur intérêt. "C'est pour cela qu'il n'y a pas de snipers dans ces négociations", explique un des industriels concernés.

Mark 3 défendu par l'Elysée

François Hollande repartira-t-il avec un pactole ou cette visite sera-t-elle un énième coup d'épée dans l'eau ? Depuis 1995, la France a fait un flop en Arabie Saoudite dans le domaine de la défense. Depuis, Paris, dont les intérêts géostratégiques se sont rapprochés de ceux défendus par Ryad, remonte en flèche dans l'estime des Saoudiens, qui ont septembre débloqué le contrat LEX portant sur la modernisation d'une partie de la flotte de la marine saoudienne (1 milliard d'euros). La France profite également des relations tendues entre Washington et le Royaume.

Pour cette visite, l'Elysée a une nouvelle fois tranché en faveur de Thales. François Hollande, qui sera accompagné par le PDG du groupe d'électronique Jean-Bernard Lévy, défendra la proposition de l'électronicien pour renouveler le parc de systèmes de défense aérienne avec des Crotales NG, selon des sources concordantes. "La priorité, c'est ce dossier", explique-t-on à La Tribune. Au grand dam de MBDA et EADS, qui souhaitaient inclure dans l'offre française des VL-Mica et le système SAMP/T.

Avec l'aval de l'Arabie Saoudite, François Hollande abordera le contrat de Sawari 3, qui portent sur la vente de six frégates multimissions Fremm de DCNS et la création d'une force sous-marine. Soit entre 15 et 20 milliards d'euros . "Il existe une forte volonté de Ryad d'avancer rapidement sur ce dossier, assure-t-on à La Tribune. C'est en plus un projet fédérateur pour la France et les groupes DCNS, Thales, EADS et MBDA".

Syrie, Liban, Iran au centre des discussions

Le président français, qui s'était déjà rendu dans le royaume un an plus tôt, le 4 novembre 2012, s'entretiendra de nouveau avec le roi Abdallah avec lequel il devrait évoquer ces questions régionales (Iran, Liban, Syrie....). "L'Arabie saoudite est un partenaire de confiance et de référence pour la France au Moyen-Orient et il s'agit de conforter cette relation excellente", souligne-t-on à l'Elysée.

Au cours de cette visite, plusieurs accords commerciaux devraient être signés et des perspectives d'investissements saoudiens en France évoquées. La France a également développé une coopération institutionnelle avec le Royaume en matière judiciaire, universitaire, de santé ou culturelle.

La Tribune

Wow 6 FREMM d'un coup mais ils sont fou ces saoudiens Armée Saoudienne / Armed Forces of Saudi Arabia - Page 10 197650

Et ont parle aussi de 6 Scorpene , elle est juste énorme leur capacité d'achat . Bon , si sa se concrétise bien sur .

Cela fait un moment qu'ils s'interessent aux SM, de meme que des Destroyers.

Mais la 6 c'est un peu beaucoup 4 auront largement suffit, du coup pour les SM ce n'est plus du type 209, mais du scorpene..

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الله الوطن الملك

Nous juste une seule , derna fdiha Armée Saoudienne / Armed Forces of Saudi Arabia - Page 10 Icon_big

On parait pathétique avec notre FREMM devant eux (je me projette)

Walahila.. lol!

C'est vrai que les notres auront pu faire un effort la dessus. Armée Saoudienne / Armed Forces of Saudi Arabia - Page 10 Icon_big

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الله الوطن الملك

j'ai l'impression que les manifestation d'interets saoudiennes pour du matos germanique ont fait long feu, entre l'interet pour le leo 2A7 (plusieurs centaines) et celle pour les SM (214), je pense que Ryad a définitivement tranché en faveur de la France. la decision de Paris d'honorer les futures commandes libanaises, leur position sur la Syrie (et contre l'Iran), ainsi que la qualité de l'accueil d'Hollande, laissent clairement transparaitre un retour de la France sur les grosses commandes saoudiennes. Ils en sont privé depuis plus de 10 ans.
y a un coup a jouer niveau SM santa

PGM

Hum... je reste mefiant car hollande est revenu bredouille......
Qui vivra verra.
Les Saoudiens ne parlaient pas de LCS passé un moment. Question

Citation :: Hollande en Arabie saoudite : de très gros contrats d'armements en discussion

Comment annoncer une nouvelle désagréable à un très bon client ? C’est la difficulté à laquelle va être confronté François Hollande lors de sa visite officielle en Arabie saoudite. Parlant des Saoudiens, un homme du renseignement résume la situation : « Il va bien falloir qu’on se résolve à leur dire la vérité sur la Syrie ». C’est-à-dire que la France, comme les Etats-Unis, retire ses billes du terrain et se désengage progressivement du soutien à la Coalition nationale syrienne, l’opposition modérée, battue militairement et vaincue politiquement par les forces du régime et celles des islamistes radicaux. Or, Paris et Riyad avaient, depuis des mois, tissé une alliance très solide dans la lutte contre Bachar el-Assad. Et François Hollande, tout en réaffirmant haut et fort la « nécessité de poser les bases d’une transition politique » en Syrie, va devoir expliquer aux dirigeants saoudiens que, finalement, ça va être un peu plus compliqué que prévu et qu’il faudra sans doute moins compter sur un engagement concret de la France...

Exercice délicat alors que le même François Hollande va demander à ses interlocuteurs de signer de très gros contrats - qui ne seront pas annonçés au cours de ce déplacement. L’Elysée rappelle qu’entre les deux pays, « les échanges économiques commerciaux ont doublé en cinq ans et qu’ils peuvent encore se développer », en particulier dans le domaine de l’énergie nucléaire et solaire. Mais si l’Elysée évoque laconiquement « une coopération en matière d’armement », c’est bien dans ce dernier domaine que les résultats les plus palpables sont attendus par la partie française.

« L’Arabie saoudite demeure notre premier client sur la période 2003-2012 », devant l’Inde, le Brésil ou les Emirats arabes unis, indiquait le dernier rapport au Parlement sur les exportations d’armement de la France. Sur les dix dernières années, elles se sont élevées à 7 milliards d’euros. En octobre 2013, un contrat d’un montant d’un milliard, portant sur la modernisation de la marine, a été conclu, mais ce n’est que roupie de sansonnet comparé aux discussions en cours.

Un premier contrat, dit Mark 3, portant sur la modernisation de la défense aérienne du royaume, pourrait rapporter près de 4 milliards. Deux entreprises françaises sont en concurrence, Thales et MBDA, mais l’Elysée semble avoir tranché pour la première, afin d’éviter une guérilla franco-française qui profiterait aux concurrents étrangers. Mais c’est un autre contrat (Sawari 3) qui fait rêver l’Elysée et les industriels du secteur naval : il se traduirait par la vente de six frégates multimissions (Fremm) – des bateaux ultramodernes dont la Marine nationale commence à peine à s’équiper – et cinq ou six sous-marins à propulsion classique. Avec une base navale, la formation des équipages et la maintenance, c’est une affaire de 15 à 20 milliards d’euros ! Soit plus de trois années du montant total des exportations françaises d’armement.

Une société discrète, ODAS, spécifiquement chargée des contrats d’Etat à Etat entre les deux pays, est au cœur de cette discussion. Elle devrait d’ailleurs changer prochainement de PDG, avec la nomination à ce poste de l’amiral Edouard Guillaud, aujourd’hui chef d’état-major des armées, qui succédera à un autre amiral, Alain Oudot de Dainville, ancien chef d’état-major de la Marine, dans ses bureaux installés à côté du tunnel de Saint-Cloud (92).

Un autre homme est impliqué dans cette négociation, l’indéboulonnable ambassadeur de France en Arabie saoudite, l’arabisant Bertrand Besancenot, en poste depuis 2007. Son excellente connaissance de la région – il a été auparavant ambassadeur au Qatar – comme de la famille royale saoudienne devrait lui permettre d’arrondir les angles. Car ceux-ci risquent d’être quand même assez saillants. Certes, Riyad préfère de beaucoup la politique de François Hollande à celle d’Obama, voué chaque jour aux gémonies par les Saoudiens. L’accord intérimaire avec l’Iran sur le nucléaire, le recul quant aux frappes contre la Syrie, les critiques du régime militaire égyptien, tout cela passe mal à Riyad où l’on apprécie les positions plus dures de la France. D’autant que les socialistes au pouvoir ont eu le bon goût de renoncer à la lune de miel quasi exclusive de la France avec le Qatar, l’émirat détesté par les Saoudiens.

C’est donc en terrain conquis que François Hollande serait arrivé si la France avait les moyens de sa politique. Car, bon gré mal gré, elle doit se résoudre à s’aligner sur les choix américains, que ce soit sur l’Iran ou la Syrie. Dans les deux cas, la Maison Blanche est décidée à ne pas faire la guerre, préférant une solution négociée avec la Russie. La France doit suivre Obama : en Syrie, cela passe par un soutien de plus en plus ténu aux affidés de la monarchie saoudienne. François Hollande espère que les Saoud comprendront. Et mettront la main au portefeuille

http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/hollande-en-arabie-saoudite-tres-gros-contrats-d-armements-en-discussion-7645

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Gémini a écrit:: Hum... je reste mefiant car hollande est revenu bredouille......
Qui vivra verra.
Les Saoudiens ne parlaient pas de LCS passé un moment.

Non ca a du échoué avec l'allemagne, les Saouds ne sont pas trop clients des Allemands..

De plus ils sagit de batiments et SM, pour les batiments les US peuvent casser le deal.

De toute facon dans les années avenir faudra s'y attendre a de gros contrats du coté UAE/AS. Armée Saoudienne / Armed Forces of Saudi Arabia - Page 10 Icon_sal

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الله الوطن الملك

Citation :: France tries to supplant US as Saudi Arabia's arms supplier

Three issues are on the desk of French President Francois Hollande and Saudi King Abdullah: Lebanon, Syria and Iran.

The top priority of the French president, who's visiting Saudi Arabia Dec. 29-30, is to conclude an unprecedented arms deal with Saudi Arabia, thus exploiting the chill in US-Saudi relations and entering the oil region’s largest arms market, which has spent more than $70 billion during in one decade to accumulate the region’s largest arsenal.

Hollande wishes to gradually supplant America in this market in case America keeps retreating from the crises of the Middle East and Central Asia, and if America’s nuclear understanding with Tehran is consecrated.

Listening to one of Elysee’s advisers review the French rapprochement with Saudi Arabia helps one understand the nature of future expectations, and how the two countries are working together to tackle upcoming events, not only in Lebanon, but also in French-Arab relations.

A French source said the focus of the discussion with King Abdullah on Lebanon will be about protecting Lebanon’s stability, maintaining its constitutional institutions and their work, and activating the work of the Friends of Lebanon group, which was a French initiative launched during the UN General Assembly last September.

In Lebanon, the practical translation of Hollande’s visit concerns extending President Michel Suleiman’s term, which has become a Saudi-French point of intersection. The Lebanese presidential election is an important factor in Lebanon’s stability and is a priority item on the agenda of the meeting between the French president and the Saudi monarch.

An official at the Elysee said, “We don’t see how Saudi Arabia can pressure March 14 to facilitate the formation of a government, for example. The pressure should be exercised on Hezbollah first and foremost.”

When the Syrian war started, the French abandoned their centrist position with regard to Lebanon. Now they need a strong ally to compensate for losing the ability to talk to everyone, as they were able to do in the past.

Paris took a side in the war against Hezbollah and Syria by putting Hezbollah’s military wing on the European terrorism list, by supporting the Syrian opposition, by taking a more radical stance toward Iran and one-upping the American position in order to appease Israel and Saudi Arabia.

The French likely found in Saudi Arabia the required energy to reverse the declining French presence and to intervene in files that were no longer accessible to France because of its ongoing economic crisis and its inability to control regional conflicts, except for in its African backyard, where chaos is spreading.

NATO worked to bring down the Libyan regime, thus liberating al-Qaeda and allowing the jihadists to spread. South Libya and the Sabha area have become a base to supply weapons and fighters to the jihadist crescent extending from Afghanistan to Pakistan, Iraq, Syria, Lebanon, North Africa and ending in the Sahara, Mali and Chad.

Regarding Syria, a source at the Elysee said the French president will discuss with Saudi officials the two countries' agreement that "there’s no political solution in Syria if President Bashar al-Assad stays at his post.” But realism and the balance of forces on the ground forces one to recognize that “the matter is no longer possible at the moment, and that [Assad] would probably leave before the start of the transitional stage."

The French, like the Saudis, don’t seem too optimistic about the results of the Geneva II conference and questioned whether it would be held at all. The source said, “The conference should produce credible results, if it is held at all.”

French presidential advisers believe that Moscow would accept a deal that would sacrifice Assad upon finding an Alawite or Baathist replacement, securing a guarantee to preserve Russian interests and keep the Syrian state and the army united. The French believe that when such a person is found, it would be possible to talk to the Russians about a deal to be rid of Assad.

Former French Foreign Minister Alain Juppe spent the first year of the Syrian crisis repeating through his sources that the Russians seem flexible about making a deal on Syria. But then Moscow and Beijing used their UN veto three times consecutively to block UN Security Council resolutions against Syria and Assad.

With regard to Iran, the French-Saudi discussion will cover the Saudi concern about the US-Iran nuclear understanding. A French source said that the Saudis asked the French to “brief them on the progress of the negotiations on a final agreement with Iran. They are worried about the Iranian steps.”

It seems that the Saudis have come to rely on the French to follow what’s going on in the meetings between the P5+1 group and Tehran, rather than relying on the United States. The Americans may have shocked their historic Gulf allies by secretly negotiating with the Iranian delegation under Gulf noses in nearby Oman for eight months.

The US-Iran understanding resulted in the interim agreement in Geneva. At first, the French tried to block that agreement so Hollande wouldn’t have to go to Tel Aviv burdened with an agreement signed with Iran.

The Saudis wanted the final agreement delayed and for the United States to impose more restrictions on Iran’s nuclear program. But the United States let the Saudis down. So the Saudis pinned their hopes on the French, who in turn hope to take the Americans’ place.

The source said the Saudis had asked the French for guarantees from the six countries negotiating with the Iranians to ensure that Iran does not become a military nuclear power in the Gulf and that the final agreement gives guarantees that satisfy Riyadh.

During his 24-hour visit to Saudi Arabia, Hollande will have the ability to bargain over everything presented so far by Paris to Saudi Arabia, from diplomatic support in Syria and Lebanon, to the Iranian nuclear file.

The Elysee adviser said that visitors from Riyadh claimed that King Abdullah gave directives to grant France priority on economic deals. The value of those deals in the Saudi market is more than $550 billion over the next 10 years and include transporting nuclear reactors, weapons and infrastructure.

Before 2013 ends, Hollande wants to sign a deal with the Saudis that would save the French company Thales from certain crisis. The deal may involve the Saudis buying new Crotale missiles worth 2.7 billion euros, and a deal to maintain and rehabilitate rockets and border and air defenses, valued at 2.4 billion euros. The Saudis already agreed to this deal, but they were still hesitant to give their final signature.

The more important deal, which will be a test of Saudi preference of France, is the third generation of modern French Sawari frigates and submarines. The deal, which is estimated at between 15 to 20 billion euros, will test the French bet on Saudi credibility. It also grants Saudi Arabia its first submarine and a reliable ally in the confrontation with Iran and the Syrian regime.

http://www.al-monitor.com/pulse/security/2013/12/france-saudi-relations-replace-washington-arms.html

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Invité

Citation :: Mégacontrat : comment la France a été baladée par l'Arabie Saoudite

Michel Cabirol | 09/01/2014

Paris comptait beaucoup sur une signature, voire une promesse d'achat, de missiles de défense aérienne de courte portée proposés par Thales. Un contrat estimé au total à 4 milliards d'euros. Mais Ryad est resté silencieux sur Mark 3.

On en sait un peu plus sur ce qui s'est passé en Arabie Saoudite sur Mark 3, un programme de renouvellement des systèmes de défense aérienne, lors de la visite de François Hollande il y a plus d'une semaine maintenant. Plus précisément, il ne s'est rien passé. Selon des sources concordantes, la délégation française s'est fait balader sur ce dossier par les Saoudiens en dépit de la volonté de l'Elysée d'avancer sur Mark 3, qui était en haut de la pile des dossiers prioritaires de François Hollande... et des bonnes relations diplomatiques entre la France et l'Arabie saoudite.

Quand François Hollande a évoqué le sujet avec le Roi Abdallah, ce dernier a conseillé aux Français d'aller en discuter avec le ministre de la Défense, Salmane ben Abdelaziz Al Saoud, qui lui-même a renvoyé sur le vice-ministre de la Défense, le prince Salmane ben Sultan. Pour finir, ce dernier aurait dit à la délégation française qu'il n'avait pas instruction sur ce dossier. Une très mauvaise surprise. Clairement une claque pour la France et son président ainsi que pour Thales. Au sein du groupe d'électronique, la déception était grande à l'issue de cette visite qui avait généré beaucoup d'espoirs. En partant d'Arabie Saoudite, François Hollande a toutefois demandé à l'ambassadeur, Bertrand Besancenot, de maintenir la pression sur Ryad sur ce dossier.

Un ordre royal pour Mark 3

Avant de s'envoler vers l'Arabie Saoudite, l'Elysée avait pourtant bien l'intention de revenir à Paris au mieux avec le contrat Mark 3 en poche estimé à 4 milliards d'euros en deux phases (2,5 puis 1,5 milliard d'euros), sinon avec une promesse du roi de le signer prochainement. L'Elysée avait donc bon espoir. Cet optimisme s'appuyait sur deux documents saoudiens, un ordre royal édicté en juin et un contrat signé par la partie française et saoudienne. Seule une signature manque pour que le contrat puisse être mis en vigueur, celle du prince héritier et ministre de la Défense.

Mais la préparation de la visite de François Hollande entre les deux pays avait généré des craintes sur ce dossier alors que début décembre les clignotants semblaient encore au vert. Des craintes qui ont été confirmées a posteriori. Seule bonne (?) nouvelle, les Saoudiens n'ont pas annoncé aux Français qu'ils ne voulaient plus de ce contrat. Mais certains observateurs de ce dossier et du royaume estiment que les Saoudiens ne disent jamais vraiment clairement qu'ils ne veulent pas d'un contrat. "Il faut comprendre certains signes", rappelle un industriel bon connaisseur de l'Arabie Saoudite.

Échec ou pas ?

Pour le moment, au sein de Thales, on reste prudent sur la façon d'interpréter la non décision de Ryad. Mais le travail de décryptage est nécessaire pour relancer ou pas une offre de Thales en Arabie Saoudite. Plusieurs raisons sont aujourd'hui avancées pour expliquer l'échec de la visite de François Hollande sur ce dossier. Les Américains ont-ils eu un pouvoir de nuisance sur la signature du contrat ? Depuis plus de six mois, Lockheed Martin fait le forcing pour fournir au royaume des missiles Patriot PAC-3. "Il est plus facile de faire dérailler un contrat que de l'obtenir", explique-t-on à La Tribune.

Ou est-ce des divergences dans la famille royale ? "L'Arabie Saoudite n'est pas la France où tout le monde est contraint de marcher en rang serré derrière l'Elysée une fois la décision prise", note un bon observateur de l'Arabie Saoudite, sous-entendant que la parole du roi peut être remise en cause au sein de la famille royale. Ou enfin est-ce que l'audit sur toutes les négociations en cours et les contrats à la signature lancé cet automne par le prince Bandar ben Sultan ben Abdelaziz Al Saoud, chef des services de renseignements, n'est pas achevé ? Ce qui aurait reporté la décision de l'Arabie Saoudite. Des questions pour le moment sans réponse.

Le missile Crotale en question ?

Des sources industrielles concurrentes de Thales interrogées estiment quant à elles que l'offre française ne correspond plus aux souhaits des Saoudiens. Clairement, assurent-elles, Ryad ne veut plus des Crotale NG, un missile de défense aérienne de courte portée. D'autres estiment enfin que Thales et ODAS, qui représente les intérêts commerciaux des groupes d'armement français dans le royaume, doivent revoir leur offre industrielle. A suivre.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20140108trib000808563/megacontrat-comment-la-france-a-ete-baladee-par-l-arabie-saoudite.html

Je me disais aussi....... Armée Saoudienne / Armed Forces of Saudi Arabia - Page 10 Icon_mrg

comme prevu,trop de mastrubation pour rien,Ryad ne franchit pas le rubicon.

le jour ou la tribune cesserait de prevoir des contrats partout avant signature,tous les noeuds sauteront..les indiscretions torpillent tout dans cette region.

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Les exercices "Morjan" prennent de l'ampleur année après autre .. un parfait exemple de ce que peut être une coopération militaire arabo-arabe

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devinez qui sera le client suivant

Citation :: Saudi eyeing Pakistan’s JF-17 fighter jet, modeled from U.S. F-16

ABU DHABI — Saudi Arabia has been examining the prospect of becoming a partner in Pakistan’s fighter jet program.
Officials said the Saudi Defense Ministry has been reviewing Pakistan’s JF-17 fighter jet program.

The officials said representatives of the ministry as well as the Royal Saudi Air Force were examining the feasibility of procuring JF-17 as part of cooperation with Islamabad.

“This project could provide the kingdom with technology that could be used in future projects,” an official said.
On Jan. 20, Saudi Deputy Defense Minister Prince Salman Bin Sultan visited Pakistan and toured the JF-17 project, modeled after the U.S.-origin F-16 and which entered production in late 2013. Salman, hosted by Pakistani Chief of Staff Gen. Raheel Sharif, was said to have focused on enhanced defense cooperation, including training and an exchange of expertise.

“During the meeting, matters of mutual interest, regional security and
enhanced bilateral defense collaboration including training exchange program
were discussed,” an official statement said.

Pakistan has been deemed the leading strategic ally of Saudi Arabia.
Western diplomats said Pakistan, with assistance from China, has provided
ballistic missiles and non-conventional weapons expertise to the Gulf
Cooperation Council kingdom.

Officials said Pakistan has offered to supply the Saudi military with
aircraft, main battle tanks and submarines. They said the offer included
technology transfer as well as co-production in Saudi Arabia.
“The expectation is that Saudi purchases from Pakistan will increase
over the coming year,” the official said.

http://www.worldtribune.com/2014/01/23/saudi-eyeing-pakistans-jf-17-fighter-jet-modeled-from-u-s-f-16/

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Quand même pas, ils ne vont pas se retrouvé avec 4 vecteurs..

A moins qu'ils le commande pour le compte d'un autre pays.. Armée Saoudienne / Armed Forces of Saudi Arabia - Page 10 Icon_mrg

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الله الوطن الملك

ils visent assemblage at home ça sera une grande commande

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Northrop a écrit:: Quand même pas, ils ne vont pas se retrouvé avec 4 vecteurs..

A moins qu'ils le commande pour le compte d'un autre pays..

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FAMAS a écrit:: ils visent assemblage at home ça sera une grande commande

C'est ce que je pensais, ca sera sera surement une version upgrade, mais les saouds viseront surtout la licence de prod..

C'est vrai que cet appareil offre l'avantage d'être produit at home.

@ Zaymo;

Tu a deviné toi aussi. Armée Saoudienne / Armed Forces of Saudi Arabia - Page 10 Icon_big

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الله الوطن الملك

Northrop : si AS finance un contrat de JF 17 pour nous , whay not Cool

Pour remplacer les F5

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Qui nous finance la licence de production surtout..

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الله الوطن الملك

Citation :: Un accord de coopération entre l’Arabie Saoudite et l’Indonésie

L’Indonésie et l’Arabie Saoudite ont signé cette semaine un accord de coopération de défense. C’est la première fois que ces deux Etats signent un accord bilatéral dans le domaine militaire.
L’accord a été formellement signé à l’occasion d’un déplacement du numéro deux de la défense saoudienne, le prince Salman bin Sultan Abdulaziz Al Saud, avec le général indonésien Sjafrie Sjamsoeddin. Cette nouvelle coopération comprend plusieurs volets d’entraînements mutuels et de formation en matière antiterroriste. Les industries de défense saoudienne et indonésienne doivent également, dans ce cadre, accroître leurs échanges.
Concrètement, les Forces Spéciales saoudiennes et indonésiennes doivent organiser des exercices conjoints. Chacun des deux pays disposant d’une expérience propre en matière de lutte antiterroriste contre des groupes islamistes.
Pour l’Indonésie, il s’agit de la coopération la plus forte avec un pays du Moyen-Orient. Le pays entretenait déjà des relations diplomatiques avec Riyad depuis 1950. L’Arabie Saoudite a quant à elle intensifié ses relations avec le Pakistan. Riyad est effectivement intéressé par le chasseur JF-17, de conception chino-pakistanaise. Islamabad a déjà proposé un contrat de vente à l’armée de l’air saoudienne incluant des transferts de technologie et une clause de production en Arabie Saoudite.

http://www.infosdefense.com/un-accord-de-cooperation-entre-larabie-saoudite-et-lindonesie-44200/

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