messages : 174 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mer 5 Juin 2013 - 22:14
Rappel du premier message :
y'a eu une centaine de personne qui ont manifester accompagner du front de gauche et de tous les autres parties d’extrême gauche, c'est navrant. Nous somme vraiment dans un pays poubelle du monde, j'espere que plus tard la TURQUIE ne fera pas les même erreur sur l’immigration que la France, je suis plus en faveur du modele Japonais.
Hyundai investira 1,1 milliards $ dans l'usine d'Izmit afin de produire le I10. Les exportations turcs de la marque augmenteront de 1 milliard a 3 milliards $.
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Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 27 Juin 2013 - 22:52
Le gouvernement propose deux lois concernant l'armée turque..
1 - L'armée n'aura plus le droit juridique d'intervenir ou de mener un coup d'état contre le gouvernement en place et de maintenir l'ordre à l'intérieur du pays. Le projet de loi propose une réaction de l'armée face aux menaces extérieurs et le maintien de la paix à l'extérieur du pays sous l'ordre du parlement. Le projet de loi interdit aux soldats d'avoir une opinion politique.
2 - Les citoyens turcs à l'étranger payeront 6 000 euros au lieu de 10 000 pour être exempté du service militaire. Clin d'oeil à Inanç.
L'armée est vraiment rentrée dans les casernes.
Citation :
Erdogan: amender la charte des forces armées
Le gouvernement AKP de Recep Tayyip Erdogan a proposé aujourd'hui d'amender la charte des forces armées turques invoquée dans le passé par les généraux pour justifier leurs coups d'Etat à répétition au nom de la défense de l'ordre public.
Depuis son arrivée au pouvoir en 2002, Erdogan, qui vient d'être confronté à un mouvement de contestation de rue sans précédent, s'est employé à mettre au pas une armée qui se veut l'ultime rempart de la laïcité kémaliste. Les généraux turcs sont à l'origine de quatre putsches en 40 ans, le dernier en 1997 contre le gouvernement dirigé par l'islamiste Necmettin Erbakan.
Des centaines d'officiers supérieurs et généraux ont été mis aux arrêts ces dernières années dans le cadre de complots supposés visant Recep Tayyip Erdogan. Ce dernier est accusé par ses adversaires politiques de dérive autoritaire et de chercher à islamiser "en douceur" les institutions et la société turques.
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 28 Juin 2013 - 2:35
Baybars a écrit:
Le gouvernement propose deux lois concernant l'armée turque..
1 - L'armée n'aura plus le droit juridique d'intervenir ou de mener un coup d'état contre le gouvernement en place et de maintenir l'ordre à l'intérieur du pays. Le projet de loi propose une réaction de l'armée face aux menaces extérieurs et le maintien de la paix à l'extérieur du pays sous l'ordre du parlement. Le projet de loi interdit aux soldats d'avoir une opinion politique.
2 - Les citoyens turcs à l'étranger payeront 6 000 euros au lieu de 10 000 pour être exempté du service militaire. Clin d'oeil à Inanç.
L'armée est vraiment rentrée dans les casernes.
Citation :
Erdogan: amender la charte des forces armées
Le gouvernement AKP de Recep Tayyip Erdogan a proposé aujourd'hui d'amender la charte des forces armées turques invoquée dans le passé par les généraux pour justifier leurs coups d'Etat à répétition au nom de la défense de l'ordre public.
Depuis son arrivée au pouvoir en 2002, Erdogan, qui vient d'être confronté à un mouvement de contestation de rue sans précédent, s'est employé à mettre au pas une armée qui se veut l'ultime rempart de la laïcité kémaliste. Les généraux turcs sont à l'origine de quatre putsches en 40 ans, le dernier en 1997 contre le gouvernement dirigé par l'islamiste Necmettin Erbakan.
Des centaines d'officiers supérieurs et généraux ont été mis aux arrêts ces dernières années dans le cadre de complots supposés visant Recep Tayyip Erdogan. Ce dernier est accusé par ses adversaires politiques de dérive autoritaire et de chercher à islamiser "en douceur" les institutions et la société turques.
Baybars I applaud you,your governement and the Turkish people.Mission accomplished.
Invité Invité
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 28 Juin 2013 - 16:52
La police monte en puissance, l'armée perds ces soldats.
Si on doit resumer la situation, on peut la résumer ainsi...
2 500 élèves officiers ont quitté leur poste en 5 ans. Alors que la police turque a reçu 65 000 de demande d'inscription. La Gendarmerie passera totalement du ministère de l'intérieur. Renforcera la force des services de sécurité.
Dernière édition par Baybars le Ven 28 Juin 2013 - 21:50, édité 1 fois
charly Colonel-Major
messages : 2420 Inscrit le : 25/05/2011 Localisation : Aquitaine Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 28 Juin 2013 - 20:36
Un exemple a suivre !!!!!
Citation :
Les autorités sportives turques ont élargi à une trentaine de noms la liste des athlètes olympiques qu'elles soupçonnent de dopage, a rapporté vendredi la presse turque.
La Fédération turque d'athlétisme a ainsi été récemment informée qu'une quinzaine de sportifs avaient été convaincus d'utilisation de produits dopants, parmi lesquelles Esref Apak, médaille d'argent du lancer du marteau aux Jeux olympiques d'Athènes (2004), écrivent les journaux Hürriyet et Vatan.
Toutes disciplines confondues, la liste des athlètes turcs concernés pourrait dépasser les trente noms, ont ajouté les deux quotidiens.
La Fédération turque d'athlétisme avait déjà exclu en avril la médaille d'or du 1.500 m aux JO de Londres, Asli Cakir Alptekin, la championne d'Europe du 100 m haies, Nevin Yanit, et trois autre athlètes de sa sélection pour les Jeux méditerranéens qui se déroulent actuellement à Mersin (sud de la Turquie) sur des soupçons de dopage.
Leurs noms figurait sur une liste d'athlètes turcs contrôlés positifs par l'Agence internationale de lutte contre le dopage.
Contactée par l'AFP, la Fédération turque d'athlétisme s'est refusée à tout commentaire.
Une première infraction aux règles sur le dopage en 2004 avait déjà écarté Asli Cakir Alptekin des pistes pendant deux ans, alors qu'elle n'était que junior.
Nevin Yanit, 5e du 100 m haies aux JO de Londres à Londres et championne d'Europe de la distance à Barcelone (2010) et Helsinki (2012), est également dans le collimateur de sa fédération.
Ces dossiers ont été révélés alors qu'Istanbul est candidate à l'organisation des Jeux olympiques d'été 2020.
Après deux semaines de manifestations durement réprimées, une enquête d'opinion réalisée par un institut proche du pouvoir révèle un net fléchissement de la cote de popularité du Premier ministre.
Sa brutalité et ses outrances verbales ont transformé un sit-in de citoyens soucieux de préserver la place Taksim, à Istanbul, de ses fantaisies urbanistiques en un vaste mouvement de contestation populaire. Deux semaines de manifestations durement réprimées par sa police ont fait 4 morts et 7 800 blessés. Les arrestations se multiplient. Et Recep Tayyip Erdogan, qui dénonce un complot géant (« terroristes », « finance internationale », médias étrangers, réseaux sociaux, gauchistes, etc.), voit pour la première fois depuis dix ans son étoile pâlir.
Une réalité que confirme MetroPOLL, un institut de sondage très proche du pouvoir, dans une enquête nationale menée entre le 3 et le 12 juin auprès d'un échantillon de 2 818 personnes. Celle-ci révèle des failles dans la mécanique jusque-là bien huilée de l'AKP, qui avait obtenu près de 50 % des voix aux législatives de 2011. En effet, 49,9 % des personnes interrogées (contre 36 %) jugent le gouvernement islamo-conservateur de plus en plus « autoritaire et répressif », tandis que 54,4 % se disent exaspérées qu'il « interfère dans leur mode de vie ».
Si 46,7 % des sondés « ont peur » de donner leur opinion, ils sont malgré tout 51,2 % à souhaiter que les chefs de la police soient démis ; 62,9 % (dont 41,6 % des électeurs AKP) à s'opposer au réaménagement de Taksim ; et 49,6 % (contre 31,4 %) à qualifier Erdogan de « provocateur et agressif ».
Revers
Rude coup pour la propagande du Premier ministre : seulement 3,2 % attribuent ce mouvement à « des ennemis intérieurs ou à des puissances étrangères », 1,8 % à des agents provocateurs et 0,6 % aux médias ou aux réseaux sociaux. En revanche, ils sont 37 % à imputer à Erdogan la responsabilité de la crise, seuls 9,5 % l'attribuant au chef de la principale formation d'opposition. Le parti au pouvoir perd 11 points de popularité en un an, et Erdogan 7 points d'opinions favorables en un mois. Revers pour lui : une majorité de sondés (43 %, contre 30,9 %) se disent hostiles à l'instauration du système présidentiel auquel il aspire à l'occasion du scrutin de 2014.
Certes, le mouvement de contestation, hétéroclite et acéphale, ne fait pas le poids face à un pouvoir qui conserve de solides assises dans les milieux défavorisés et la bourgeoisie provinciale. Mais si, en l'absence d'opposition crédible, l'AKP reste assuré de remporter les prochaines élections, les intentions de vote en sa faveur ne sont plus que de 35,3 %. Plus inquiétant pour lui, 41,7 % des sondés souhaitent la formation d'un nouveau parti.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Turquie : Recep Tayyip Erdogan sanctionné par les sondages | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique Follow us: @jeune_afrique on Twitter | jeuneafrique1 on Facebook
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 30 Juin 2013 - 13:31
Félicitations à nos champions/nnes dans les Jeux Méditerranéens
C'est un record.
Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 30 Juin 2013 - 14:56
Comme on disait au temps des Ottomans :
Magrur olma padisahim, senden buyuk Allah var/Ne soi pas hautain mon Sultan, plus grand que toi il y a Allah.
Le pouvoir lui est monté la tête à RTE ...
Citation :
Erdoğanism
Ten years ago, when Recep Tayyip Erdoğan came into power, we all thought that Erdoğan, with the help of the EU accession process, would remove the elements of old dictatorial regimes and establish full-fledged democratic institutions. In fact, in the first few years of his administration, he did a very good job in terms of the democratization of the country. However, since 2009 and particularly after his decisive victory in 2011, Erdoğan changed his policy orientation from democratization to authoritarianism. He takes steps that help him sustain his own authority and not democratize the country. For instance, he has borrowed all the restrictions from various European countries but has never borrowed liberal examples from European countries. From banning the sale of alcohol after 10 p.m. to not tolerating opposition rallies, there are many examples that indicate that indeed Turkey is heading toward some form of authoritarianism that I call Erdoğanism.
There are certain steps that are being taken to establish Erdoğanism as an authoritarian ideology.
1) Pragmatism: Erdoğan and the people around him consider him as a divine leader who was sent to save the Muslim world from Western oppression. Therefore, staying in power is a necessity for his ultimate goal of saving the Muslim world. No one around Erdoğan discusses such an idealistic goal, but people who are close to him do not hesitate to talk about such an “idealism” of Erdoğan and his close associates.
In order for Erdoğan to fulfill his God-given goal, he needs to stay in power, which requires him to be pragmatic. Thus his version of pragmatism is not the typical pragmatism of a politician but pragmatism for an undeclared holy war to save the Muslim world from Western oppression.
Palestine and Gaza are an important landmark for Erdoğan and his close associates to save first in his mission. Therefore, for Erdoğan and his associates, the demands of the people in Gaza are more important than the demands of people in Gezi Park in İstanbul.
2) Muslim youth: Just like any authoritarian regime, Erdoğan too dreams of creating a generation of youth that will carry out his vision. For this, Erdoğan aims to groom a Muslim youth that shares the ideal of establishing a unified Middle East under the leadership of Muslim Turkey. In order to create such a youth, Erdoğan established institutions such as foundations, schools, etc., to carry on his dream even after he is removed from power in a democratic way.
Erdoğan thinks that one of the jobs of state institutions is to help “improve” the youth. Thus he encourages state institutions to develop the youth through various programs. Ironically, it was also a Kemalist state policy to promote youth programs to create a Kemalist youth with the help of the state's power. Erdoğan came to power to change the Kemalist practices but he did not change the state practices. He just altered them. Instead of grooming a Kemalist youth, Erdoğan uses state institutions to groom a Muslim youth. In substance, both have the tendency to sustain authoritarian regime practices for generations.
3) The media: It is now obvious that the Turkish media are under heavy pressure from the government. The government does not even hide the appointment of its supporters after a media group came under the control of the government. Erdoğan himself challenges the media outlets. When he sees opposition in media outlets, he immediately makes a phone call to the owners of the media group and complains about the journalists or columnists. There are only few media outlets left that are able to resist Erdoğan's pressure. Such media outlets, of course, are under heavy economic pressure from government institutions to give up their opposition.
These are the steps that are being taken to establish Erdoğanism in Turkey. Of course there are many more steps, such as economic steps or cultural ones, that can be added to these, but I think the three examples are enough to show the path toward Erdoğanism. I will try to outline the major components of Erdoğanism in my next article.
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 30 Juin 2013 - 15:16
Yakuza a écrit:
ca y est,d´etat semi-militaire ca se transforme en etat policier
Bien que l'Armée a été pacifié dans sa chaine de Commandement, les officiers des académies sont encore formés avec le concept d'Etat-Nation Kémaliste, défenseur du sécularisme.
Depuis quelques années, on signale des irrégularités dans les examens d'entrée dans la fonction publique (KPSS) et le mouvement Guleniste disposant d'un large réseau d'écoles spécialisés (dershane) et d'étudiants est soupçonné de triches, vols de questions pour favoriser ses étudiants, ainsi les placer dans l'appareil de l'Etat.
Pour faire simple, les institutions régaliennes (police + justice) sont remplies d'éléments Guleniste, pour ça qu'il y a des procès aux opposants avec bcp de preuves trafiquées.
RTE compte sur la police car ils ont des idéologies proches bien que certains Guleniste lancent des pics sur la manière dont RTE gouverne (cf. article plus haut).
Fahed64 Administrateur
messages : 25539 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Turquie: la justice bloque le projet de rénovation de la place Taksim
Un tribunal administratif a annulé un projet de rénovation de la place Taksim à Istanbul, à l'origine d'un vaste mouvement de contestation, début juin, contre le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan.
Ce tribunal a jugé que le projet violait les règles de l'urbanisme et portait atteinte à l'identité du lieu, selon un avocat de plaignants. Cette décision constitue un revers pour le Premier ministre, qui est venu à bout par la force du mouvement de contestation.
Recep Tayyip Erdogan a annoncé le 14 juin qu'il attendrait la décision finale de la justice turque, une fois tous les recours épuisés, avant d'engager la rénovation de la place Taksim. Les manifestations contre ce projet se sont rapidement transformées en une contestation générale du gouvernement issu de la mouvance islamiste.
Typiquement la génération "I believe I can fly ..." que je décrivais.
Cet homme, journaliste pro-AKP (connais plus son nom), il dit :
"Pendant 80 ans, on nous a dit, ne vous mêlez pas des affaires des Arabes, intéressez vous à la Turquie, moi je suis petit fils d'Ottoman, ce qui se passe en Egypte, c'est du ressort du Ministre de l'Intérieur Turc parce que 82 Le Caire, 83 Damas, 84 Bagdad, 85 La Mecque 86 Medine".
Pour que vous compreniez, la Turquie a 81 provinces
J'ai aucun problème avec le fait de nouer des relations avec les pays de la région mais faut arrêtez d'être dans un esprit néo-Ottoman quand tu te fais dicter ta politique par DC ...
Yigit Bulut, super libérale d'origine, conservateur aujourd'hui est devenu le conseiller principal du premier Ministre Erdogan pour les affaires économiques. C'est un très bon gars. Très intelligent et très travailleur.
b46reich Caporal chef
messages : 174 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : Paris Nationalité :
RTE doit être dans une situation difficile, il dénonce le coup d'Etat de l'armée Egyptienne (logiquement) mais l'AS soutient l'armée.
@Baybars
La Turquie est plus proche de l'AS ou du Qatar ? Tu es bien meilleur spécialiste que moi
Non, quand même pas..
Erdogan est proche du Qatar idéologiquement mais proche de l'Arabie saoudite économiquement et militairement. Il ne faut pas rêver, l'Arabie saoudite pèse beaucoup plus lourd que le Qatar dans la région. Lorsque les intérêts rentre en jeu, on ne regarde pas trop l'idéologie.
L'esprit d'État et les intérêts nous rapproche de l'Arabie saoudite. A vrai dire, il serait pas vrai de dire que la Turquie est proche de tel ou tel pays (Arabie saoudite & Qatar). Sa dépends du dossier en cours.
Pour la Syrie, on fait jeux égal, pour l'Égypte, on est pour le Qatar. Pour l'Irak, c'est l'Arabie saoudite.
Voici le Sehzade Albdulhamid Kayihan Osmanoglu (né en 1979), un des héritier de la dynastie ottomane et prince ottoman. Il habite actuellement en Turquie et son influence grandit de plus en plus dans la Turquie nostalgique de l'ère ottomane. Il est un homme d'affaire et veut rentrer dans la politique.
Son grand-père, le Sultan/Calife Abdulhamid:
Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Un économiste qui montre les augmentations incroyables sur les prix carburants(de 1.8 à 5 livres), électricité(+125%) et gaz naturel (+172%) sous le gouvernement AKP
Ca fait un peu peur quand même (de mémoire, les carburants les plus chers du Monde sont en Turquie)
Il y'a actuellement une pression sur la livre turc de la part des états unis et de l'israel, dans le but de rendre la livre turc une monnaie pas stable et donc de la faire perdre de la valeur, et donc de cassé la croissance du pays,car il me semble que la banque central turc investit beaucoup sur la livre turc et donc les reserve actuelle d'argent du pays sont en livre turc, si celle -ci venait à perdre trop de valeur comparé au dolars, la Turquie perdrais beaucoup d'argent à cause de la bourse :/ Même si en haut j'ai dit que c'est un phénomène qui touche la Turquie,elle touche en particulier les gros pays émergent comme la chine et le brésil
Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Il y'a actuellement une pression sur la livre turc de la part des états unis et de l'israel, dans le but de rendre la livre turc une monnaie pas stable et donc de la faire perdre de la valeur, et donc de cassé la croissance du pays,car il me semble que la banque central turc investit beaucoup sur la livre turc et donc les reserve actuelle d'argent du pays sont en livre turc, si celle -ci venait à perdre trop de valeur comparé au dolars, la Turquie perdrais beaucoup d'argent à cause de la bourse :/ Même si en haut j'ai dit que c'est un phénomène qui touche la Turquie,elle touche en particulier les gros pays émergent comme la chine et le brésil
RTE qui accuse "le lobby des intérets" d'être responsable des émeutes en Turquie, il appelle les citoyens à ne plus utiliser de carte de crédit
Y a 2 mois tout allez bien, on se préparait à des deals militaires avec l'Egypte (crédit de 250 millions de $), maintenant, je pense que tout est bouché
_________________ Site perso : http://defense-turque-infos.com/
RTE dis clairement a el Baradii qu'il n'a pas à discuter avec lui puisque personne ne l'a élu , il dit aussi qu Baradii disait toujours qu'il est contres les putsh et maintenant vu qu'il s'est vu donné par les putshistes le poste de premier ministre ou président il n'a pas hésité a accepter ...en Gros c'est ça pour les non arabophones .
Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Mer 5 Juin 2013 - 22:14
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