messages : 174 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mer 5 Juin 2013 - 22:14
Rappel du premier message :
y'a eu une centaine de personne qui ont manifester accompagner du front de gauche et de tous les autres parties d’extrême gauche, c'est navrant. Nous somme vraiment dans un pays poubelle du monde, j'espere que plus tard la TURQUIE ne fera pas les même erreur sur l’immigration que la France, je suis plus en faveur du modele Japonais.
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juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
La Turquie a pris l'avant sur tous les informations internationale plus que la Syrie, le Liban, l'irak sur CNN, msnbc, fox et dans toutes les chained nationale us.
Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Imaginons que je vis en Turquie, je suis un fanatique AKP, je le montre partout, je suis membre du parti, sur les réseaux sociaux, je mets la photo de RTE en avatar etc.
Un jour je suis en procès avec quelqu'un pour un X raison et je perds le procès.
Je suis furieux (à tort ou à raison) et je fais une conf. publique :
"Je n'accepte pas le jugement de ce juge, pour moi, il n'est pas objectif, il fait partie d'une organisation infiltrée dans la justice, il sait que je suis pro-AKP, il agit contre moi car il a des directives, je veux un autre juge".
Voilà l'état du pays aujourd'hui on ne peut même pas faire confiance à la justice.
Dommage
PS : L'argument est recevable car le Premier Ministre en personne l'utilise.
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Inanc I think the only way to smooth the things out RTE must walk out,if not the situation will get worse.La machine est huile et en marche elle ne va pas s'arreter malheuresement,just an observation
Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Un nouveau député AKP démissionne pour protester contre la gestion de l'affaire de corruption par son parti, selon lui, le gvt veut étouffer l'affaire.
"Allah birliklerini bozsun/Que Dieu brise leur union" (Hodja Efendi).
Je crois que ça fait 7 démissions pour les affaires de corruption.
Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 2 Jan 2014 - 15:45
La crise économique au pire ou grandes difficultés économiques au mieux devrait être pour 2014.
Pas de chance pour l'AKP qu'on rentre dans une période électorale.
QE à 75 milliards de $ pour la FED, 7 réunions cette année, devrait diminuer de 10 après chaque réunion donc fin 2014, QE à 0.
Pour simplifier, c'est comme enlever son héroïne à un drogué.
On se débarrassera bientôt de l'AKP si Dieu veut.
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 2 Jan 2014 - 16:39
Citation :
Sur fond de scandale politico-financier, la livre turque s'effondre
La monnaie turque a chuté jeudi 2 janvier à son plus bas niveau historique face au dollar, à 2,18 livres pour un billet vert. La monnaie turque est victime du scandale politico-financier qui éclabousse le gouvernement islamo-conservateur du premier ministre, Recep Tayyip Erdogan. La livre turque, également en recul face à l'euro, et la Bourse d'Istanbul ont subi la semaine dernière une sévère dégringolade, victimes de la crise qui secoue l'Etat turc après l'incarcération d'une vingtaine de personnalités réputées proches du pouvoir pour des faits de corruption et la démission de trois ministres.
Lire l'analyse (édition abonnés) : Le premier ministre turc s’en prend à ses alliés occidentaux
UN SCANDALE À 100 MILLIARDS DE DOLLARS
Le vice-premier ministre en charge de l'économie, Ali Babacan, s'est efforcé une nouvelle fois de rassurer les marchés, en assurant que cette crise n'était que passagère. « C'est une situation temporaire. Elle est liée à des considérations politiques », a-t-il déclaré.
M. Babacan a également maintenu, malgré la tempête provoquée par cette affaire, sa prévision de croissance à 4 % pour l'année 2014, en dépit de l'inquiétude de nombreux patrons qui redoutent son impact négatif sur l'économie. Le porte-parole du gouvernement, Bülent Arinç, avait évalué à « plus de 100 milliards de dollars » les pertes subies par l'économie turque depuis le début du scandale.
Déjà malmenée par les décisions de la Réserve fédérale américaine (Fed) qui affectent tous les pays émergents et leurs devises, la livre turque cumule désormais une baisse de 22,5 % face au dollar depuis un an.
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 2 Jan 2014 - 19:47
Le procureur général d'Ankara ouvre une enquête contre le Cemaat.. Par cet enquête seront visé les agents du Cemaat à l'intérieur de l'appareil judiciaire..
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 2 Jan 2014 - 19:54
Baybars a écrit:
Le procureur général d'Ankara ouvre une enquête contre le Cemaat.. Par cet enquête seront visé les agents du Cemaat à l'intérieur de l'appareil judiciaire..
Turquie: Erdogan veut reprendre le contrôle sur la justice
Menacé par une vaste enquête anticorruption, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a lancé l'offensive pour reprendre le contrôle de l'institution judiciaire qu'il accuse d'être noyautée par la confrérie Gülen, à l'aube d'une année électorale cruciale.
Depuis le spectaculaire coup de filet du 17 décembre, la guerre des mots est déclarée entre le gouvernement islamo-conservateur et la justice turque.
Le duel, inédit sur la place publique, est quotidien. Aux accusations de "complot", de "mini-coup d'Etat" ou de "tentative d'assassinat" lancées par le pouvoir répondent les plaintes pour "violation de la séparation des pouvoirs" des magistrats.
Dans une rare sortie publique, un des procureurs d'Istanbul en charge de l'enquête a distribué un communiqué sur les marches du palais de justice accusant la police judiciaire d'avoir délibérément refusé, malgré sa demande, d'interpeller une trentaine de personnalités proches du pouvoir et de l'avoir dessaisi du dossier.
Deux des plus hautes institutions judiciaires, le Haut-conseil des juges et magistrats et le Conseil d'Etat, sont sorties de leur réserve pour dénoncer les pressions et accusations du pouvoir sur la justice et de la police dont plusieurs dizaines des plus hauts gradés ont été écartés.
Sûr du soutien d'une majorité des électeurs, M. Erdogan s'est fait à plusieurs reprises menaçant contre les juges. "Nous sommes à la fois l'exécutif et le judiciaire", a-t-il proclamé devant ses partisans.
"Soit M. le Premier ministre ne sait pas ce qu'est la séparation des pouvoirs. Soit, ce qui est plus dramatique, il est gêné par l'Etat de droit dans l'ensemble", commente Metin Feyzioglu, le président de l'Union des barreaux (TBB).
La bataille qui oppose le Parti de la justice et du développement (AKP), au pouvoir depuis 2002, à l'organisation du prédicateur musulman Fethullah Gülen est au coeur de ce conflit entre pouvoir politique et pouvoir judiciaire.
M. Erdogan soupçonne ce mouvement, longtemps son allié, de profiter de cette affaire et d'instrumentaliser la justice et la police -où il dispose de puissants relais- pour prendre sa revanche sur son gouvernement. Ce dernier a décidé de supprimer les écoles de soutien scolaire privées qui sont une source de revenus importante de la confrérie Gülen.
Remise au pas
Dans la perspective des élections municipales de mars et présidentielle d'août, cruciales pour son avenir politique, le Premier ministre a décidé, selon les médias turcs, de reprendre le contrôle politique de la justice.
Dans sa ligne de mire, le Haut-conseil des juges et magistrats (HSYK), déjà réformé en 2010 pour y réduire l'influence des tenants de "l'ancien régime" kémaliste et laïque.
"Nous avons fait une erreur au sujet du HSYK, nous allons y remédier", a lancé M. Erdogan, en promettant de présenter un amendement constitutionnel pour rogner les ailes de cette institution.
Mais cette mise au pas s'annonce délicate, l'AKP ne disposant pas de la majorité des deux tiers à l'Assemblée nécessaire pour modifier la loi fondamentale.
Et l'opposition a déjà annoncé qu'elle s'y opposerait catégoriquement. "L'Etat de droit est un principe que nous sommes tous tenus de respecter et de protéger", a souligné Atilla Kart, député du principal parti d'opposition, le Parti républicain du peuple (CHP).
Le chef de l'Etat Abdullah Gül pourrait également s'y opposer. Réputé proche de la confrérie Gülen, le président a fait plusieurs fois entendre sa différence avec le Premier ministre ces derniers mois, notamment lors de la vague de manifestations sans précédent qui a fait tanguer le pouvoir en juin dernier.
"Nous devons nous abstenir de toutes positions et comportements pouvant nuire à notre Etat de droit démocratique", a-t-il souligné mercredi lors de ses voeux pour la nouvelle année.
A trois semaines de sa visite à Bruxelles, censée marquer la relance du processus d'adhésion de la Turquie à l'Union européenne (UE), celle-ci a aussi rappelé à quel point elle tenait à une justice "transparente et impartiale".
Un tribunal d'Istanbul a rejeté jeudi la demande de mise en liberté d'une dizaine de personnalités incarcérées dans le cadre de la "conspiration du 17 décembre", selon les termes de M. Erdogan. Le bras de fer continue.
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Sam 4 Jan 2014 - 0:58
Nouvelle publicité pour Turkish Airlines avec Kobe Bryant et Lionel Messi.. Vidéo vu 135 millions de fois sur youtube depuis 1 mois.
Citation :
Faut-il avoir peur de Turkish Airlines ?
Si j’étais le patron d’une compagnie européenne, j'aurais peut être tendance à faire comme tout le monde et à ne jurer que par la qualité d’Emirates. Mais autant le dire je serais dans le faux. Certes, la compagnie du Golfe a des atouts mais elle a aussi un marketing surdimensionné, une sorte de méthode Coué qui, depuis son lancement, va au-delà de la réalité. C'est bien sûr une bonne compagnie mais, selon moi, moins efficace que Singapore Airlines en matière d’accueil du client et sans aucun doute moins performante que des compagnies plus récentes sur le marché international comme Turkish Airlines. Et je dois dire que si je devais avoir peur, c’est bien de cette dernière.
D’accord les salaires turcs sont moins élevés qu’en France… Mais cela ne suffit pas à créer une compagnie de classe internationale. Pour y arriver, il faut trois chose : de l’envie, encore de l’envie, toujours de l’envie ! Turkish en déborde. Du personnel au sol à celui en cabine. Dans la course au toujours plus de la business, Turkish a trouvé un juste équilibre. Un accueil soigné, un service quasi parfait et un équipage qui montre son plaisir à être à bord. Ce n’est pas grand-chose, et c’est tout à la fois. D’autant qu’il faudra bien trouver le clap de fin de cette course à la business mieux que celle de l’autre! A force d’investir, on finira par oublier que le but de l’avion est d’aller d’un point à un autre, le plus vite possible et avec un rapport prix/confort de qualité. C’est cette vision qu’a adoptée Turkish Airlines. Du raisonnable de très bonne tenue mais pas de superflu.
Commençons par le service. On le retrouve au sol au hub d’Istanbul. Sans doute l’un des meilleurs au monde en ce moment et qui rivalise aisément avec l’excellent salon business de Qatar Airways ou d’Emirates. Bref, une sorte de juste ton entre le trop et le pas assez. Mais au-delà, tout voyageur sait que la santé d’une compagnie se juge à la fréquentation de son hub. Celui d’Istanbul, justement, vers 23 heures est une ruche qui conduit aux quatre coins du monde. Une mini ville avec ses commerces et ses restaurants.
Deuxième enseignement, il faut oser pour réussir. La frilosité est la pire ennemie du transport aérien. Turkish ne manque pas d'ambition et veut s'imposer, visant notamment à être une alternative crédible aux compagnies du Golfe pour se rendre en Asie. Pour la province, tout est bon pour éviter le hub de Paris ! Mais il faut toujours raison garder, et au-delà de ce qui est visible, ce sont les résultats financiers qui servent de juge de paix. Ceux de la compagnie turque s’annoncent bons dans un monde aérien encore bousculé par la crise. Le resteront-ils face aux coups de boutoirs des concurrents ? Seule une boule de cristal bien réglée pourrait nous le dire. D’ici là, une compagnie comme Turkish marque des points sur la qualité face à Air France ou Lufthansa. Est-il difficile de s’en inspirer ?
Turkish Airlines continue son expansion, exerce des options pour 7 Airbus A321neo
Turkish Airlines a décidé d’exercer sept options concernant des Airbus A321neo en commande ferme, selon un rapport public publié par la compagnie le 27 décembre. Les appareils sont attendus en 2018. Turkish Airlines avait passé une très importante commande de monocouloirs Airbus en mars dernier, qui comprenait 82 appareils fermes et 35 options pour un montant global dépassant les 13 milliards de dollars. L’exercice de ces options porte désormais à 60 le nombre d’A321neo attendus par la compagnie turque. Turkish Airlines a par ailleurs dévoilé ses objectifs pour l’année 2014. La compagnie va ainsi accroître son réseau avec 16 nouvelles lignes, portant ainsi à 259 le nombre de destinations prévues pour l’année prochaine. Elle devrait transporter 59,5 millions de passagers en 2014 (32,3 sur ses vols internationaux), contre près de 50 millions en 2013. Son trafic cargo devrait quant à lui faire un bond de 23%. Sa flotte atteindra les 267 appareils (204 monocouloirs, 54 gros-porteurs de transport de passagers et 9 avions tout cargo) contre 208 aujourd’hui. Pour ce faire, la compagnie va notamment faire appel à des contrats de location pour développer sa flotte long-courrier, ayant par exemple révélé avoir signé un contrat dans ce sens avec la compagnie indienne Jet Airways pour pouvoir utiliser trois de ses A330-200 pour une période de six ans. Turkish Airlines et Jet Airways avaient déjà signé un contrat similaire pour un même nombre de Boeing 777-300ER. La compagnie turque a également signé un contrat de leasing sur 8 ans avec AerCap pour 5 autres A330.
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Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 5 Jan 2014 - 23:36
Le procureur de la République (Zekeriya Öz) qui s'occupe des dossiers de corruptions des personnes proche d'Erdogan aurait voyager a Dubaï avec l'argent d'une société de BTP appartenant à l'un des accusés de l'affaire qu'il mène, le montant du voyage s'élève a 33 000 £ turque.. Il y a des rumeurs poursuite contre lui pour abus de pouvoir et corruption.. Et Jackpot!
45 policiers des renseignements démis de leur fonction par le ministère de l'intérieur..
Inanç Genelkurmay Başkanı
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