Actualités au Moyen Orient

Rappel du premier message :

C'est un religieux...
Donne lui l'objectif, il te fournit le texte qui va bien.

Pgm

La Turquie, l'Arabie Saoudite et l'Iran veulent un jouer en Afrique de l'Ouest en terme de religion..

La Turquie et l'Arabie Saoudite ont multiplié les constructions de mosquées en Afrique de l'Ouest.

Ici par exemple en Côte d'Ivoire par la Turquie:



L'Iran, peut compté sur la petite communauté Chiite, au Nigéria, ils ont fondé le Heezb Afriqi. Ne soyez pas surpris si vous les voyez en Syrie ou Irak..

Boko Haram est excellent outil pour convertir les gens au chiisme

Ça fait des années qu'il y a une minorité chiite au Nigéria.

Le problème c’est l'iranisation des chiites.

Cyrax a écrit:

Le problème c’est l'iranisation des chiites.

+1 ce pays a pris en otage les chiotes et apr la même occasion veux leurs laver le cerveaux

Saud Al-Faysal (ex-ministre des affaires étrangères de l'Arabie Saoudite) vient de mourir.

Allah y rahmo

Ami du Maroc, alah yra7mou

qui sera ministre des AE maintenant ?

Amgala Winner a écrit:

Ami du Maroc, alah yra7mou

qui sera ministre des AE maintenant ?

C'est l'ancien ambassadeur d'Arabie Saoudite à Washington D.C. qui occupe ce poste depuis janvier.

Amgala Winner a écrit:

Ami du Maroc, alah yra7mou

pas du tout,tres froid meme

Yakuza a écrit:

Amgala Winner a écrit:

Ami du Maroc, alah yra7mou

pas du tout,tres froid meme

C'est surtout un ami de la Turquie, sa mère était turque (Iffat Al-Thunayan) et son père était le roi Faysal. Il a un frère, Turki Al-Faysal (directeur des services de renseignement saoudien de 1979 à 2001), démit de ses fonctions à cause à des rumeurs sur des soit disant lien avec Al-Qaida.

Saud Al-Faysal..

Yakuza a écrit:

Amgala Winner a écrit:

Ami du Maroc, alah yra7mou

pas du tout,tres froid meme

Il avait une villa au nord du Maroc, il était l'ami de Benaissa en tout les cas.

Yakuza a écrit:

Amgala Winner a écrit:

Ami du Maroc, alah yra7mou

pas du tout,tres froid meme

d'après le saudileaks il serai un des hommes payé par alger pour defendre ses interet en arabie

Source arsenik please.

Baybars a écrit:

Yakuza a écrit:

Amgala Winner a écrit:

Ami du Maroc, alah yra7mou

pas du tout,tres froid meme

C'est surtout un ami de la Turquie, sa mère était turque (Iffat Al-Thunayan) et son père était le roi Faysal. Il a un frère, Turki Al-Faysal (directeur des services de renseignement saoudien de 1979 à 2001), démit de ses fonctions à cause à des rumeurs sur des soit disant lien avec Al-Qaida.

Saud Al-Faysal..

Baybars c'est quoi avec votre president RTE qui aime donner a mager aux gens,un fetiche pour lui?,car dans la plupart des pays c'est de l'impolitesse et bsurtout a des grandes figures d'etat. Peut etre chez vous c'est ok mais il faut respecter.

juba2 a écrit:

Baybars a écrit:

Yakuza a écrit:

pas du tout,tres froid meme

C'est surtout un ami de la Turquie, sa mère était turque (Iffat Al-Thunayan) et son père était le roi Faysal. Il a un frère, Turki Al-Faysal (directeur des services de renseignement saoudien de 1979 à 2001), démit de ses fonctions à cause à des rumeurs sur des soit disant lien avec Al-Qaida.

Saud Al-Faysal..

Baybars c'est quoi avec votre president RTE qui aime donner a mager aux gens,un fetiche pour lui?,car dans la plupart des pays c'est de l'impolitesse et bsurtout a des grandes figures d'etat. Peut etre chez vous c'est ok mais il faut respecter.

il a raison le fric avant tout après on voit le reste c'est pas avec de belles paroles qu'on rempli le ventre

les pays du olf quand tu gonfle leurs egaux tu peux avoir une chance raisonable d'etre arosé en investissement ou en dons

Citation :

Actualité International Nucléaire : l'Iran et l'Occident ratent une (nouvelle) occasion

Les négociateurs iraniens et ceux des grandes puissances ont échoué à trouver un compromis dans la nuit, repoussant les chances d'un accord historique.PAR ARMIN AREFI

Une énième date butoir vient d'être dépassée sans accord sur le nucléaire iranien à Vienne. L'occasion était pourtant unique de mettre fin à une crise qui empoisonne les relations internationales depuis plus d'une décennie. Mais au bout de 13 jours de pourparlers marathon, l'Iran et le groupe des 5 + 1 (États-Unis, France, Royaume-Uni, Allemagne, Chine et Russie) ne sont, pour l'heure, toujours pas parvenus à arracher un compromis sur cet épineux dossier.

Pour s'assurer que la République islamique ne cherche pas à se doter de la bombe atomique, les grandes puissances souhaitent strictement limiter et encadrer le programme nucléaire iranien. De son côté, l'Iran, qui a toujours démenti vouloir se doter de l'arme nucléaire, entend poursuivre un programme civil, et surtout obtenir la levée des sanctions internationales adoptées en 2007 et qui étouffent son économie. Les deux camps devaient trouver un terrain d'entente avant 6 heures du matin ce vendredi pour que le Congrès américain puisse examiner le texte sous trente jours. Or, ce nouveau report est cette fois lourd de conséquences. Désormais, en cas d'accord, les sénateurs américains, majoritairement hostiles à une entente avec l'Iran, auront soixante jours – une éternité – pour faire torpiller le texte.

"Chaque pays a ses propres lignes rouges" (haut responsable iranien)

"Vu que les travaux sont extrêmement techniques et les enjeux très, très élevés, on ne se précipitera pas et on ne se laissera pas précipiter vers un accord", a déclaré jeudi soir le secrétaire d'État américain John Kerry devant le palais Coburg à Vienne, où se déroulent les négociations. Mais signe de l'exaspération iranienne à quelques heures de l'expiration du dernier délai, la délégation de la République islamique a, chose rare, convoqué la presse étrangère pour exprimer son désaccord.

"Nous constatons certains changements de position sur un grand nombre de questions malheureusement", a déclaré aux journalistes un haut responsable iranien ayant requis l'anonymat. "Chaque pays a ses propres lignes rouges... Une ligne rouge pour les États-Unis, une autre pour la Grande-Bretagne, une autre pour la France ou l'Allemagne", a dénoncé l'officiel iranien, faisant clairement porter le blocage des pourparlers sur le camp occidental. Des propos confirmés, en public cette fois, par le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, à la sortie d'une mosquée de Vienne.

Si l'échec des négociations n'est pas entériné, il sera néanmoins très difficile pour les deux parties de trouver un terrain d'entente d'ici les prochaines semaines, les ministres impliqués dans les pourparlers ayant multiplié au cours des quatorze derniers jours les allers-retours à Vienne pour forcer le résultat, en vain. "Il est clair pour tout le monde que prendre ces décisions dans une, deux, trois semaines ne sera pas plus facile, mais plus difficile pour tous", avait ainsi rappelé jeudi soir la chef de la diplomatie européenne, l'Italienne Federica Mogherini.

Rapprochement Iran-États-Unis

Pour l'heure, l'Iran rate son rendez-vous avec l'histoire. Car, au-delà du strict dossier du nucléaire iranien, la République islamique aurait signé son retour sur le devant de la scène internationale. Isolé du reste du monde depuis la Révolution islamique de 1979, et durement sanctionné par le Conseil de sécurité de l'ONU sous la présidence de l'ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad (2005-2013) après que ce dernier a relancé le programme iranien d'enrichissement d'uranium, l'Iran demeurait sur la voie d'un inexorable rapprochement avec le "Grand Satan" américain.

Ce "réchauffement diplomatique" a été rendu possible par la concomitance de l'arrivée au pouvoir à Washington d'un président démocrate – Barack Obama –– soucieux de "tendre la main" à la République islamique et de rompre avec l'hostilité de l'administration Bush, et de celle à la présidence iranienne d'un religieux "modéré" –– Hassan Rohani – déterminé à lever les sanctions internationales contre son pays et à tourner la page des diatribes enflammées de son prédécesseur ultraconservateur.

Négociations secrètes

Dès mars 2013, avant même l'élection à la présidence de Hassan Rohani, Barack Obama avait ainsi donné son aval à des négociations secrètes entre les "deux meilleurs ennemis" de la planète pour résoudre enfin la crise du nucléaire. Six mois plus tard, l'Iran et les grandes puissances reprenaient réellement les négociations sous l'égide du secrétaire d'État américain John Kerry et du ministre iranien des Affaires étrangères, le "modéré" Mohammad Javad Zarif.

Malgré cette fenêtre de tir inespérée, les deux "meilleurs ennemis" de la planète ne sont, pour l'heure, pas parvenus à s'entendre. Or un échec aurait de lourdes conséquences pour l'Iran. Il entraînerait le maintien de la majeure partie des sanctions internationales qui asphyxient l'économie iranienne, alors que celle-ci attendait avec impatience le retour des investisseurs étrangers à Téhéran.

Guerre commune contre l'État islamique

Sur le plan politique, le président "modéré" Hassan Rohani, qui mise toute sa crédibilité sur un accord avec les grandes puissances, en sortirait considérablement affaibli. Face à lui, les conservateurs iraniens, déjà détenteurs de la majorité des pouvoirs en Iran (guide suprême, justice, Gardiens de la révolution) et qui demeurent hostiles à une entente avec l'Occident, auraient tout le loisir de miner la fin de mandat de Rohani, et ses nombreuses promesses de réformes.

Sur le plan international, surtout, un fiasco à Vienne entraverait la possibilité d'une véritable collaboration militaire entre l'Occident et l'Iran contre l'organisation État islamique (EI). Bien qu'elle ne fasse pas partie de la coalition internationale contre l'EI, la République islamique demeure sur le terrain le premier pays étranger combattant les djihadistes en Irak. Ainsi, la plupart des observateurs soulignent qu'une guerre contre les "soldats du califat" sera vaine sans l'aide effective de Téhéran. Sans conteste, l'échec de la nuit dernière à Vienne éloigne encore plus cette perspective.

http://www.lepoint.fr/monde/nucleaire-l-iran-et-l-occident-ratent-une-nouvelle-occasion-10-07-2015-1943390_24.php

Hassan Nasr dans son derniers discours retransmis sur un écran géant comme à l’accoutumée.
"Le chemin vers al Qods passe par les Qalamouns, Zabadani, Homs, Alep, Suweida et al Hasakah" Faisant allusion aux fronts où participe le hezb en Syrie.
"On ne peut être avec la Palestine que si l'on est avec l'Iran" et "L'Iran le seul espoir après Dieu pour reprendre la Palestine."

Ces jours sont compté ,lui et son gang .

Selon des sources rebelles le Hezbolat utiliserait des AGTM milan (sans doute livrer par l'armée libanaise) dans les combats a Zabadanie .

Articles sur Saud al Faisal qui entre dans l'histoire comme l'un des ministre des affaires étrangères les plus expérimenté et à la plus longue carrière dans le monde.
Connu pour avoir défendu les cause musulmanes et arabes dans les forums internationaux.
Il aura servi 4 rois durant l'exercice de ses fonctions.

Citation :

http://www.thedailybeast.com/articles/2015/07/10/prince-saud-al-faisal-the-saudi-who-was-washington-s-wisest-ally.html

Citation :

http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Mort-de-Saoud-al-Faycal-visage-de-la-diplomatie-saoudienne-2015-07-10-1333343

Citation :

‘If we had a man like Prince Saud Al-Faisal, Soviet Union would not have disintegrated’

http://www.arabnews.com/saudi-arabia/news/774321

La prière funéraire aura lieu la soirée de ce samedi au Msjid al Haram à la Mecque où il sera enterré.

Citation :

http://english.alarabiya.net/en/News/middle-east/2015/07/11/Body-of-Saudi-Prince-Saud-Al-Faisal-arrives-in-Jeddah.html

L'arrivée du cercueil à l'aéroport de Jeddah.




L'AS aurait refoulé l'avion de Maliki qui venait assister aux funéraille de Saud al Faisal.



Il semblerait qu'il soit de venu persona non grata après ses crimes en Irak et ses propos insultants envers les Compagnons du Prophète (falsification du Coran, propagation de la terreur).

Cyrax a écrit:

Hassan Nasr dans son derniers discours retransmis sur un écran géant comme à l’accoutumée.
"Le chemin vers al Qods passe par les Qalamouns, Zabadani, Homs, Alep, Suweida et al Hasakah" Faisant allusion aux fronts où participe le hezb en Syrie.
"On ne peut être avec la Palestine que si l'on est avec l'Iran" et "L'Iran le seul espoir après Dieu pour reprendre la Palestine."

Venant d'al Qods en réponse à Hassan.

Les Kurdes Irakiens jouent avec le feu, attention, l'été risque d'être chaud... Il n'y aura pas de Kurdistan en Turquie.

Damn le quart de la turquie est menacé.

Amgala Winner a écrit:

Damn le quart de la turquie est menacé.

L'Iran, l'Irak, la Syrie.. Ils sont jusqu'à la mer alors qu'il n'y a pas de Kurdes dans cette région ou très peu.

La chaleur du sud de la Turquie risque d'être plus torride que les 49-51 degrés de Bagdad.