Économie marocaine

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maroc-comment-lindustrie-corrige-la-balance-commerciale

http://www.h24info.ma/economie/maroc/maroc-comment-lindustrie-corrige-la-balance-commerciale/23221

Citation :

L’entreprise chinoise Shangai Electric devrait investir 2 milliards de dollars au Maroc dans le domaine de la production d’énergie.

Un autre géant chinois au Maroc? Après l’installation du géant de la métallurgie Shandong Shangang dans la Tanger Automative City (TAC), en juillet, l’entreprise Shangai Electric prévoit d’investir au Maroc. Selon le site d’information Hespress, la multinationale spécialisée dans la production d’énergie et dans l’équipement électronique prévoit d’investir 2 milliards de dollars au royaume sur une période de trois ans.

Essor des relations Maroc-Chine

Cet investissement fait suite à l’obtention d’un prêt de 16,5 milliards de dollars accordé par la Banque chinoise de développement en juin dernier. Cet emprunt devrait servir au financement de projets dans le domaine de la production d’énergie dans sept pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord (MENA) parmi lesquels le Maroc. Ces investissements permettront la production de 3,5 Mégawatts d’électricité dans la région.

Les relations économiques entre le Maroc et la Chine ont connu un certain essor depuis le forum d’investissement entre les deux pays qui s’est tenu à Rabat le 31 mars. Celui-ci a été suivi de l’installation du géant de la métallurgie chinois Shandong Shangang dans la zone franche de Tanger. L’entreprise investira 1,3 milliards de dirhams sur une période de trois ans et créera 228 emplois dans le royaume. Autre signe de la volonté chinoise d’investir au royaume, les déclarations de Yue Yi, vice-président exécutif de Bank of China, qui indiquait vouloir créer une succursale de l’organisme financier au Maroc. A noter que le roi Mohammed VI devait effectuer une visite en Chine au mois de juin mais celle-ci a été reportée à l’automne prochain.

Tel Quel

Citation :

Inauguration de la mine d’argent Zgounder : 193 millions de dirhams d’investissement

Le ministre de l’Energie, des mines et de l’environnement, Abdelkader Amara a inauguré samedi la mine d’argent Zgounder, située dans la commune rurale Askaoun (140 km environ au nord-est de Taroudant)

Cette mine faisait l’objet d’une exploitation par le BRPM (l’actuel Office national des hydrocarbures et des mines- ONHYM) et la Compagnie minière de Touissit durant la période 1982-2002.

Actuellement, cette mine est exploitée en vertu d’une convention de partenariat conclue en janvier 2012 entre la société canadienne Maya Gold & Silver (85 %) et l’ONHYM (15 %).

Ce projet a nécessité un investissement de 193 millions de dirhams ayant permis la réouverture et la mise à niveau de la mine et la création de 170 emplois directs et qui atteindront 200 en juin 2015.

www.challenge.m

Voila le concret

Citation :

Investissements : Mitsubishi Electric opte pour le Maroc pour sa 1ère usine hors Japon


infomediaire.ma- Mitsubishi Electric et le Groupe Schiele Maroc, leader marocain dans les secteurs de l’électricité, l’énergie et de l’électronique, présidé par Salaheddine Kadmiri (par ailleurs Vice-président de la CGEM), ont décidé de renforcer leur alliance stratégique (conclu depuis 2010) à travers de nouveaux investissements visant à renforcer la couverture nationale et à se développer en Afrique de l’Ouest. Ainsi, selon une information parvenue à Infomédiaire Maroc, les 2 groupes envisagent un investissement industriel, le 1er pour le groupe nippon hors Japon, dont l’objet est de développer les solutions d’équipement électriques et électroniques de Mitsubishi Electric au Maroc afin d’alimenter de manière compétitive les marchés Afrique du Nord et de l’Ouest, Italie, Espagne, France, Grèce, Portugal, et Moyen-Orient.
A suivre !

Autre bonne nouvelle du jour :

Citation :

Industrie: «SAMR» prospecte au Maroc


La société française, Société d’application du métal rouge (SAMR), spécialisée dans le secteur de la pétrochimie, la sidérurgie ainsi que le ferroviaire, prévoit d’investir au Maroc.
FerLa Société d’application du métal rouge (SAMR) prospecte au Maroc. En effet, le spécialiste des pièces métalliques en moyennes et petites séries envisage d’investir dans le royaume en optant pour l’ouverture d’une usine. La Société d’application du métal rouge est une société basée en France, qui fabrique et répare des coussinets de paliers lisses, bagues, butées, patins et toutes pièces de frottement pour machines tournantes comme les moteurs notamment. La SAMR concentre son action plus particulièrement en Amérique latine ainsi qu’en Afrique du Nord, laquelle dernière activité pousse l’entreprise à envisager un investissement au Maroc. Rappelons que le dernier investissement dans l’industrie métallurgique au Maroc a été fait par le chinois «Shandong Shangang Group», spécialisé dans la fabrication des produits en acier pour un montant total de 1,3 MMDH.

Les clients directs de la Société d’application du métal rouge gravitent au sein de la pétrochimie, la sidérurgie, le ferroviaire, le naval, le militaire et plus généralement tous les secteurs industriels où sont implantées des machines tournantes dans le domaine de l’industrie. Outre la production métallique industrielle, la société propose également plusieurs services, notamment l’étude, le conseil, l’expertise en amont, la fabrication et la réparation des produits, le réglage et l'ajustage ainsi que la maintenance des produits finaux. SAMR emploie près de 35 collaborateurs et fournit aussi les entreprises industrielles qui utilisent des compresseurs, des turbines, des pompes et des réducteurs. Ladite société dispose d’une usine intégrée avec une fonderie d’alliages cuivreux (métal rouge), une fonderie de régules (métal blanc), une ligne de traitement électrolytique, un atelier complet d’usinage, un bureau de métrologie ainsi qu’un bureau d’étude. SAMR a réalisé un chiffre d’affaires en 2013 de 2,5 milliards d'euros en hausse par rapport à l’année 2012 (2,1 milliards d'euros) avec un résultat annuel en progression de 128 millions d'euros (2012) à 243 millions d'euros en 2013.

les echos ma

Fahed64 a écrit:

Voila le concret

Citation :

Investissements : Mitsubishi Electric opte pour le Maroc pour sa 1ère usine hors Japon


infomediaire.ma- Mitsubishi Electric et le Groupe Schiele Maroc, leader marocain dans les secteurs de l’électricité, l’énergie et de l’électronique, présidé par Salaheddine Kadmiri (par ailleurs Vice-président de la CGEM), ont décidé de renforcer leur alliance stratégique (conclu depuis 2010) à travers de nouveaux investissements visant à renforcer la couverture nationale et à se développer en Afrique de l’Ouest. Ainsi, selon une information parvenue à Infomédiaire Maroc, les 2 groupes envisagent un investissement industriel, le 1er pour le groupe nippon hors Japon, dont l’objet est de développer les solutions d’équipement électriques et électroniques de Mitsubishi Electric au Maroc afin d’alimenter de manière compétitive les marchés Afrique du Nord et de l’Ouest, Italie, Espagne, France, Grèce, Portugal, et Moyen-Orient.
A suivre !

ça c'est du heavy.
Un deuxieme qui s'interesse au Maroc, s'il franchit le pas on aura un gros nippon et un gros ricain en meme temps.

Citation :

Nous nous intéressons beaucoup au Maroc, dans la mesure où il représente pour nous un pays idéal pour l’investissement.
Jeffrey Immelt, PDG de General Electric.

http://www.aufait.ma/2014/09/22/general-electric-en-mission-seduction-au-maroc_629492

finalement ce plan d'accélération industriel de MHE marche...

En tout cas, c'est comme cela qu'il faut agir pour que le plan marche. Les investisseurs ne viennent pas de leur plein gré. C'est la prospection, les visites, les invitations qui les amènent à considerer un pays.

Morocco Invest devrait passer toute l'année dans un avion à aller d'un pays à l'autre et inviter des CEO à investir au Maroc.

Le truc de Mitsubishi ressemble plus à une plateforme de distribution (mais c'est déjà ça) par contre GE m'intrigue. Si c'est pour construire des centrales thermiques... on fait des appels d'offres pour ça et GE est toujours trop cher...

Si Immelt est venu, c'est qu'il y a quelque chose qui se prépare. Je penche plus vers un gros projet d'infrastructure Marocain qu'un investissement de GE au Maroc. On verra

alphatango a écrit:

...
Le truc de Mitsubishi ressemble plus à une plateforme de distribution (mais c'est déjà ça) par contre GE m'intrigue. Si c'est pour construire des centrales thermiques... on fait des appels d'offres pour ça et GE est toujours trop cher...

Si Immelt est venu, c'est qu'il y a quelque chose qui se prépare. Je penche plus vers un gros projet d'infrastructure Marocain qu'un investissement de GE au Maroc. On verra

Pour Mitsubishi, ca parle plutot d'un investissement industriel, le premier du genre hors du japon !!! ca m'etonnerait beaucoup
que ca soit une simple plateforme de distribution surtout que ce genre de plateformes Mitsubishi doit en avoir a la pelle
un peu partout dans le monde.
Pour GE Immelt etait clair

Citation :

...pays idéal pour l’investissement

maintenant est ce qu'il va vraiment franchir le pas? et jusqu'ou peut il aller ? that's the question.

Il y a déja la vente à Nareva des éoliennes.
Ensuite je ne sais pas, ils ont investie en Algérie pour la fabrication de turbine électrique, peut etre un truc de ce genre la.

Oui, ils vont fabriquer des turbines à gaz en Algérie, mais en contrepartie ils ont acheté pour 2 milliards donc ils ont du négocier un offest.
On va peut être faire la même chose, ils viennent récemment de fournir des éoliennes pour le parc d'Akhfennir.

Dans le domaine electrique, une plateforme de distribution est une unité industrielle. Il s'agit de monter des solutions complexes et de les conditionner.

J'espère me tromper et voir un investissement plus conséquent que les 20m USD que couterait une plateforme de distribution

Citation :

Eau : Le Maroc annonce un plan de... 27 milliards de dollars
Dans une interview accordée à la chaîne américaine Bloomberg, la ministre marocaine chargée de l'eau, Charafat Afilal, a détaillé le plan national de l'eau lancé par le Maroc pour réduire les pénuries d'eau. Doté d'une enveloppe de 27 milliards de dollars, il doit pouvoir contribuer à réhausser de 3 à 5 milliards de m3 la quantité d'eau disponible au Maroc d'ici 2030 et à économiser la consommation d'eau. A noter que, à cet effet, le Maroc prévoit d'accorder des concessions à long terme à des entreprises privées qui prendront donc en charge le dessalement des eaux et les projets d'irrigation gourmands en eau. Et pour favoriser la réduction de la consommation, le Royaume prévoit une réorganisation et une modernisation des systèmes d'irrigation, ainsi que l'interdiction de certaines cultures qui affectent les aquifères. A suivre !


infomédiaire

Citation :

Morocco Courts Private Capital for $27 Billion Water Plan

Morocco will let private capital take the lead in developing desalination and irrigation projects as part of a $27 billion plan designed to lessen the stress on its water resources, Minister Charafat Afilal said.

The National Water Plan provides for an additional 5 billion cubic meters in water resources by 2030, as much volume as what flows over Niagara Falls in 24 days, the water minister said in an interview at her office in Rabat.

“The plan aims to address an expected rise in the national water deficit from 3 billion to 5 billion cubic meters in 2030,” Afilal said Sept. 19. The investment will maintain Morocco’s annual average for water availability at its current 700 cubic meters per capita as the population increases.

“Morocco has always had a water deficit, which explains how aquifers have been subject to abuse over the last few years,” said Afilal, a hydraulics engineer and one of five women in the 39-member cabinet of Islamist Prime Minister Abdelilah Benkirane.

The plan, whose cost is almost twice the total public investment budgeted for 2014, will rely mostly for financing on long-term concessions open to private operators.

Wasteful irrigation practices have been blamed for some inefficiencies and loss in the country’s agricultural industry.

“The government will raise the amount of its annual contribution to the water sector but operators will be shouldering a greater proportion of the costs incurred under this plan, whether it’s the investment or the running cost of the facilities they develop,” Afilal said.

‘Pay for Water’

Consumers “should pay for the water they use,” she said.

The government subsidizes the cost of drinking water by 2.3-2.5 dirhams per cubic meter but only for households whose monthly consumption is less than six cubic meters.

The subsidy is above what some regional independent utilities, such as in the resort of Marrakesh, charge households for up to 8 cubic meters but barely covers two-thirds the tariff in the drier eastern city of Oujda.

Morocco, where tourism has doubled since 2000, is prone to drought and heavily dependent on rainfall. Its agricultural industry employs almost 40 percent of the 11 million workforce. Pressure on water resources in such places as Marrakesh led to clashes in 2012 over rising costs.

“The water plan was elaborated in close cooperation with the agriculture department, which accounts for 80-90 percent of total water usage in Morocco. They agree on the need to shift to less thirsty crops but there is also a need to revamp the predominantly wasteful irrigation systems,” Afilal said.

No Watermelons

The growing of watermelons for instance was banned last week in the southern desert region of Zagora by her department and the agriculture ministry after aquifers fell to such levels it affected the salinity and quality of the water, she said.

Half of the 5 billion cubic meters Morocco hopes to gain from the plan will be through economies in consumption mostly by modernizing agricultural irrigation systems.

“The scope for broadening the use of drip irrigation is huge in Morocco where farming irrigation is generally traditional and wasteful,” she said.

The other 2.5 billion cubic meters will come from a half-dozen new desalination plants in build-operate-transfer partnerships between private operators and the state utility Office National de l’Eau et l’Electricite.

ONEE, which hitherto dominated the production of drinking water, signed a partnership in June for the first of the desalination plants with a consortium that includes Abengoa SA (ABG) of Spain and InfraMaroc, an affiliate of Rabat-based Caisse de Depot et de Gestion, Morocco’s biggest pension fund.

The agreement allows the group for 20 years to sell to ONEE the water it produces from a 100,000-cubic-meter a day desalination unit near Agadir it’s building.

North-South Canal

Another major project is a north-south waterway that Afilal said may carry 800 million cubic meters of water each year from the wetter north mostly to Casablanca, the biggest city and industrial center, as well as farming areas in the Rhamna region.

“It will cost 30 billion dirhams. We had a preliminary study and are currently in the phase of detailed studies which can take up to five years,” Afilal said.

Prime Minister Benkirane has described the canal project as “huge and strategic” and said once completed it would exempt Morocco from the need to import wheat.

http://www.bloomberg.com/news/2014-09-23/morocco-courts-private-capital-for-27-billion-water-plan.html

on parle beaucoup d'industrie navale en ce moment entre le ministre de l'économie roumain et espagnol mais quel genre ?

Militaire... Pour patrouilleurs et corvettes LM

Citation :

Espagne : Un partenariat stratégique de co-développement


Le ministre de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie Numérique, Moulay Hafid Elalamy, a eu, lundi à Rabat des entretiens, avec le ministre espagnol de l’Industrie, de l’Energie et du Tourisme, José Manuel Soria, axés notamment sur le développement du partenariat dans les secteurs de l’automobile, des énergies renouvelables, de l’industrie navale, et des centres techniques industriels.

Lors de cette réunion, les deux parties se sont félicitées de « l’évolution positive » des relations économiques bilatérales, « caractérisées par une forte synergie et par le rôle privilégié des deux pays en tant que partenaires stratégiques au niveau des rives nord et sud de la Méditerranée ».

L’Espagne s’est positionnée en 2013 en tête des fournisseurs du Maroc avec 51,45 milliards de DH d’importations et a constitué son 2ème client avec 34,83 milliards de DH d’exportation.

http://www.challenge.ma

Mitsubishi Electric et le Groupe Schiele Maroc, leader marocain dans les secteurs de l’électricité, l’énergie et de l’électronique, présidé par Salaheddine Kadmiri, par ailleurs vice-président de la CGEM, ont décidé de renforcer leur alliance stratégique conclue depuis 2010 à travers de nouveaux investissements visant à renforcer la couverture nationale et à se développer en Afrique de l’Ouest. Ainsi, les 2 groupes envisagent un investissement industriel, le 1er pour le groupe nippon hors Japon, dont l’objet est de développer les solutions d’équipement électrique et électronique de Mitsubishi Electric au Maroc afin d’alimenter de manière compétitive les marchés Afrique du Nord et de l’Ouest, Italie, Espagne, France, Grèce, Portugal, et Moyen orient
http://www.lesafriques.com/maroc/mitsubishi-electric-opte-pour-le-maroc-pour-sa-1ere-usine-hors.html?Itemid=320

Citation :

Capital Economics: De bonnes nouvelles pour l’économie marocaine dans les années à venir


Londres : Capital Economics est un cabinet britannique de conseil et de recherche économique, basé à Londres. Il a produit une note destinée aux investisseurs internationaux sur l’évolution future de l’économie marocaine.


En effet, Capital Economics a prédit que le Maroc se dressera dans les années à venir, comme étant l’économie puissante la plus performante d’Afrique du nord.

Dans une note produite le 1er octobre et dont les contenus sont détaillés par le site du quotidien économique britannique, The Financial Times, Capital Economics a indiqué que la force motrice future de l’économie marocaine sera incontestablement, son industrie automobile.

Selon le cabinet de conseil londonien, les autres secteurs d’activité économiques (Agriculture, agro-industrie, aéronautique, tourisme et services financiers) constitueraient des compléments de revenus pour l’économie marocaine autour de son tronc futur qui sera composé majoritairement de l’industrie automobile (voiture et équipements).

‘‘Le secteur automobile du pays aidera à booster la croissance du PIB de 4,5 à 5 pour cent en 2015-2016, contre les 2,5 pour cent de cette année 2014’’ a expliqué Capital Economics.

Selon ce dernier, le Maroc finira par s’affranchir de sa dépendance à sa productivité agricole, laquelle, les années de sécheresse, plombe ses indicateurs économiques. Le développement des capacités de productions automobiles, notamment le passage à l’allure supérieure de la production de l’usine Renault de Tanger (400.000 voitures par an) rapprochera le Maroc de son ambition stratégique, d’être une économie diversifiée, axée sur l'exportation, mettant à profit sa proximité avec l'Europe et les coûts relativement bas de sa main-d'œuvre.

Capital Economics a conclu que néanmoins, le royaume avait encore un long chemin à parcourir au niveau de l’équilibrage de son économie par le renforcement de ses offres et demandes internes, lesquelles sont encore fragilisées par les persistances de facteurs négatifs comme le chômage et la pauvreté qui réduisent considérablement la masse de consommateurs aux pouvoirs d’achats soutenus.

http://www.lemag.ma/Capital-Economics-De-bonnes-nouvelles-pour-l-economie-marocaine-dans-les-annees-a-venir_a86272.html

Agriculture au Maroc

Un article intéressant de Jeune Afrique sur l'expansion des entreprises marocaines en afrique

Citation :

http://economie.jeuneafrique.com/regions/maghreb-a-moyen-orient/23106-maroc-au-royaume-des-champions.html

Les grands groupes français commencent à s'intéresser aux entreprises marocaines qui ont pris une dimension africaine, histoire pour les français de récupérer indirectement le terrain perdu en afrique face aux marocains, ex l'assureur AXA qui est intéressé par Saham Assurance de MHE ministre de l'industrie

Citation :

Exclusif : Axa a voulu s'offrir le marocain Saham

Henri de CastriesHenri de Castries, le président d'AXA, a pensé à Saham pour renforcer la vocation africaine de sa compagnie. © Lionel Cironneau/AP/SIPA Moulay Hafid Elalamy ne souhaite pas pour l'instant vendre Saham, son groupe leader de l'assurance en Afrique, au français Axa. Pourtant le géant mondial du secteur était intéréssé a appris "Jeune Afrique". Explications.

Moulay Hafid Elalamy n'est pas vendeur." Voilà comment une source proche du fondateur du groupe Saham et actuel ministre du Commerce et de l'Industrie répond à la rumeur d'un éventuel rapprochement entre le holding marocain et l'assureur français Axa. Un on-dit qui tient en haleine les milieux africains des affaires depuis quelques semaines.

À son origine : une évaluation confiée cet été par l'actionnaire principal de Saham à la compagnie financière Edmond de Rothschild, et qui a abouti à une valorisation globale de 2 milliards d'euros du groupe marocain.

Lire aussi :

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Manoeuvres

"C'est cette mission qui a mis la puce à l'oreille à Henri De Castries, le PDG d'Axa, qui souhaite renforcer la vocation africaine de sa compagnie. Ce dernier a essayé de se rapprocher de Moulay Hafid Elalamy pour savoir s'il s'apprêtait à se désengager de Saham. Il est passé par l'intermédiaire de Wendel, la société d'investissement française qui détient 13,33 % de ce groupe, mais n'a eu aucun contact direct avec Elalamy", confie notre source.

Des manoeuvres qui en sont restées là, puisque le ministre a fait comprendre qu'il n'était pas (encore ?) vendeur. "La valorisation de Saham ne s'est pas faite dans une logique de cession, mais de développement. C'était une sorte de revue stratégique, qui visait surtout à valoriser les actifs africains du holding", insiste notre source.

http://economie.jeuneafrique.com/index.php?option=com_content&view=article&id=23213

ce monsieur doit resté dans les prochains gouvernement il est très compétent

super...ils auraient pu dire combien d'emploi serons crée

un article qu wall street journal sur les pays qui sont des portes vers d'autres marchés, avec une participation excellente du jeune ministre marocain mamoune Bouhdoud, quelque extraits



http://blogs.wsj.com/frontiers/2014/10/14/morocco-grabs-limelight-as-companies-focus-on-frontiers/

Ouch les russes menace d'inclure les pays qui réexporté les produit agricole european sous embargo sur le marcher russe, le Maroc la Turquie et la Pologne font partie des pays concerne!

Si les russes s'ont foute alors c'est Ok mais si il sont sérieux sur leur embargo alors il faut interdire cette pratique, car c'est tout simplement de la fraude! qui met en danger la production local des agriculture marocain au profit de l’Espagne!

Citation :

http://www.lemag.ma/Le-Maroc-risquerait-un-embargo-agricole-russe-a-cause-de-truanderies-espagnoles_a86501.html