Économie marocaine

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maroc-comment-lindustrie-corrige-la-balance-commerciale

http://www.h24info.ma/economie/maroc/maroc-comment-lindustrie-corrige-la-balance-commerciale/23221

Citation :

Automobile
La piste chinoise des équipementiers

«Engagements concrets» avec des opérateurs

Ecosystèmes: Le concept séduit les IDE

Automobile La piste chinoise des équipementiers

Les équipementiers intègrent de plus en plus la logique d’écosystème. De nouveaux contrats d’investissement sont déjà dans le pipe. Faurecia, filiale du groupe PSA, est l’un des principaux acteurs installés sur le marché local

La dernière visite des opérateurs économiques en Chine n’a pas été vaine pour le secteur automobile. De nouveaux équipementiers seraient annoncés pour s’installer sur le marché marocain, selon des sources de l’Association marocaine de l’industrie et le commerce de l’automobile (Amica). «Nous avons obtenu quelques engagements concrets, aussi bien pour la filière des équipements que pour celle de la fabrication», annonce Hakim Abdelmoumen, président de l’Amica. La voie est déjà ouverte à l’industrie chinoise avec l’implantation cette année, d’une unité industrielle du géant de l’acier Shangdong-Shangdang à Tanger Automotive City. Coût du projet: 150 millions de dollars (un peu plus de 1,3 milliard de dirhams) sur trois ans, dont 60% financés en fonds propres par le groupe chinois. Les 40% restants seront assurés par le fonds d’investissement sino-africain China Africa Development Fund (CADF). La livraison du site et le démarrage de la production sont programmés pour le dernier trimestre de 2015. De nombreuses supputations entourent l’arrivée prochaine, sur le marché local, de géants industriels du secteur comme Ford, Volkswagen ou encore Toyota. Si les négociations semblent bien avancées avec certains constructeurs, d’autres sont encore en train d’étudier les opportunités industrielles. La mise en place des écosystèmes, un concept défendu par Moulay Hafid Elalamy, ministre de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie numérique, est parmi ces chantiers qui devraient améliorer l’attractivité aux investissements du secteur. L’objectif est d’approfondir l’intégration industrielle au sein même du secteur automobile, à travers la création de pôles de compétences et de production d’équipements. «Une quinzaine d’écosystèmes ont déjà été identifiés dans ce secteur», explique My Hafid Elalamy. «Les opérateurs eux-mêmes découvrent les capacités offertes par cette politique. Je pense que l’industrie marocaine avait besoin de ce déclic». Cinq nouveaux contrats d’écosystèmes ont été signés en marge du dernier salon Automotive Meetings à Tanger, pour les filières sièges, batteries, emboutissage, câblages, électronique embarquée, etc. S’y ajoute plus d’une dizaine de nouveaux contrats d’investissement avec plusieurs équipementiers, d’un montant global de plus d’un milliard de dirhams. Parmi eux, figurent Faurecia, Lear et Delphi. Le secteur automobile part sur de bonnes bases. Il est déjà confortablement bien installé dans le top trois des premiers exportateurs du pays, avec un chiffre d’affaires de plus de 30 milliards de dirhams à fin 2013. Au total, 160 unités industrielles y opèrent pour 85.000 emplois créés.

Safall FALL

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En même temps si tout est fait de travers, c'est la tête du wali qui risque de tomber lors de la futur visite royale comme à Fes...

RED BISHOP a écrit:

En même temps si tout est fait de travers, c'est la tête du wali qui risque de tomber lors de la futur visite royale comme à Fes...

C'est on ne peut plus normal

la france recule économiquement au maghreb au profit de la chine et l'espagne selon un rapport récent de la douane francaise
http://lekiosque.finances.gouv.fr/fichiers/etudes/tableaux/ee_53.pdf

Citation :

Vers l'augmentation de la part du PIB industriel de 14 à 23%

Le Plan Emergence et le Pacte national pour l'émergence industrielle (PNEI) ont permis de réaliser un développement "significatif" pour les métiers mondiaux du Maroc (MMM), a affirmé le ministre de l'Industrie, du Commerce, de l'Investissement et de l'Economie numérique, Moulay Hafid Elalamy.
"Le Plan Emergence, lancé en 2005, et le PNEI, initié en 2009, ont permis de réaliser un développement significatif pour les MMM, mais ont abouti à une segmentation forte du tissu industriel marocain", a estimé le ministre, qui intervenait lors d'une rencontre organisée par le Collège d'études stratégiques et développement économique, relevant de l'Académie Hassan II des sciences et techniques, sous le thème "Politique industrielle et stratégie de développement économique".
Dans ce contexte, le ministre a tenu à présenter les grandes lignes de la stratégie d'accélération industrielle 2014-2020, qui succède au PNEI, dont la création d'un fonds de développement industriel, qui sera doté de 3 milliards de dirhams dans la loi de Finances 2015 (20 MMDH d'ici 2020), l'augmentation de la part du PIB industriel de 14 à 23% du PIB global et la création de 500.000 emplois, alors que les industries de substitution aux importations seront soutenues.
A cet égard, M. Elalamy a souligné l'importance du développement des écosystèmes industriels qui, à ses yeux, sont placés au coeur du chantier industriel lancé par le Maroc, citant l'exemple de la construction des morceaux d'avions dans le domaine de l'aéronautique au lieu de se contenter du montage, ou juste la simple fabrication des pièces élémentaires.
Le ministre a, dans ce cadre, rappelé que le Maroc est signataire de 56 accords de libre-échange, notant l'impératif de les exploiter avec "intelligence" pour tirer le meilleur de leurs avantages au profit d'un développement économique durable et soutenable au Maroc, et ce à travers une stratégie claire, ciblée et avec des objectifs précis.
M. Elalamy a également souligné l'importance que revêtent les secteurs de l'enseignement supérieur et de la formation professionnelle dans l'accompagnement du développement du secteur industriel marocain, et ce en offrant des formations adaptées aux besoins des entrepreneurs industriels marocains et étrangers qui s'installent au Maroc. "La TVA sociale pour la faillite des PME n'est pas prévue jusqu'à aujourd'hui par le gouvernement", a précisé le ministre, en réponse à une question adressée par un participant.
Pour sa part, le ministre de l'Education nationale et de la Formation professionnelle, Rachid Belmokhtar, a souligné la place centrale qu'occupe la formation professionnelle pour le secteur industriel marocain, notant que son département a mis en œuvre plusieurs mesures visant l'adéquation de la formation des jeunes par rapport aux attentes des opérateurs industriels et l'incitation de l'entrepreneuriat.
Le ministre a, dans ce sens, rappelé le lancement en 2015 d'un baccalauréat professionnel, qui va concerner au début les secteurs de l'automobile, l'aéronautique et de l'exploitation agricole, pour s'élargir à d'autres domaines en 2016.
De son côté, Larbi Belarbi, du Conseil économique, social et environnemental (CESE), a présenté un exposé sur "le rôle du leadership dans le développement industriel de long terme", dans lequel il a passé en revue les différentes politiques industrielles adoptées par le Maroc depuis l'indépendance jusqu'aux années 1995, notant qu'elles" avaient un caractère plus politique qu’industriel.

"On n’a pas eu une réelle politique industrielle avant les années 1995", a-t-il lancé, assurant que le Maroc dispose de potentiels et de capacités nécessaires pour relever le défis de l'industrialisation de l'économie marocaine avec "succès".


Le responsable a fait savoir que le vrai leadership devrait croire en les capacités de la nouvelle génération de contribuer au développement économique du pays, en l’encourageant à innover et à être créative.

Quant à Noureddibne El Aoufi, professeur à Université Mohammed V de Rabat, il a noté que le thème choisi pour cette rencontre s'inscrit dans le cadre d'un programme de recherche qui mobilise une trentaine de chercheurs sur l'axe de l'industrialisation et sa relation avec le développement économique.
Cette journée d'étude vise à faire le point sur la politique industrielle à l'œuvre au Maroc, son contenu et son impact sur le développement économique et social, à analyser ses composantes sectorielles et son redéploiement territorial en relation à la fois avec la compétitivité externe et l'exigence d'intégration interne, et à mettre en évidence les nouveaux ressorts de l'impulsion du développement par l'industrialisation, notamment le savoir, la recherche et développement, l'innovation et l'inclusion sociale, a-t-il ajouté.

http://www.libe.ma/Vers-l-augmentation-de-la-part-du-PIB-industriel-de-14-a-23_a56975.html

c'est une stratégie qui privilégie les créneaux industriels à forte valeur ajoutée technologique (constructions automobiles et aéronautique, semi-conducteurs, industries légères de substitutions aux importations etc) elle semble prendre la bonne voie pour un développement économique qui se base sur la création de richesses durables

Citation :

Statut avancé: le Maroc et l'UE dressent le bilan à Bruxelles

Une année après l'adoption formelle du nouveau Plan d'Action relatif à la mise en œuvre du Statut avancé pour la période 2013-2017 entre le Maroc et l’Europe, les deux parties se donnent rendez-vous, mardi 16 décembre 2014 à Bruxelles.



Objectif : faire le point sur leurs relations de coopération et examiner la vision future de leur partenariat.

Le temps de la réunion du 12ème conseil d'association, la plus haute instance politique de suivi de mise en œuvre de l'Accord d'association liant le Maroc et l'UE, Marocains et européens dresseront le bilan d'une année de coopération dans ses diverses dimensions politique, stratégique, économique et sociale.



La première session de cette importante réunion annuelle sera consacrée au dialogue politique restreint. Il est question d'échanger les vues sur des sujets d'intérêt commun aux niveaux bilatéral, régional et international. 

Les discussions porteront notamment sur la question du Sahara marocain, l'intégration maghrébine, la situation au Sahel, les derniers développements en Libye et en Syrie, le processus de paix au Moyen-Orient, et la coopération dans le cadre de l'ONU et de l'Union pour la Méditerranée (UpM).



Par la suite, lors de la session plénière élargie aux Etats membres de l'UE, les deux parties aborderont divers sujets liés essentiellement à l'évolution politique et économique au Maroc et dans l'UE, l'état d'avancement des relations bilatérales ainsi qu'aux perspectives de renforcement du Partenariat privilégié Maroc-UE.

http://www.aujourdhui.ma

Citation :

Déficit commercial : Le Maroc gagne plus de 12 milliards de dollars


(www.infomediaire.ma) - Les échanges extérieurs du Maroc ont été marqués, à fin novembre, par une amélioration du solde commercial de 12,4 milliards de dirhams (MMDH), soit un allégement du déficit commercial de 6,8% par rapport à la même période de l'année dernière, selon l’Office des changes.

Le déficit commercial s'est établi à 170 MMDH à fin novembre 2014, contre 182,4 MMDH un an auparavant, explique l’Office des changes.

Et dans ce sillage, l'Office a relevé que le taux de couverture des importations par les exportations a atteint 51,5% contre 48,2% à fin novembre 2013, alors qu'en dehors des importations de produits énergétiques, ce taux s'établit à 72,6% à fin novembre 2014 contre 68,7% un an auparavant.

Il faut comprendre 12 Mds dh et non $ comme écrit.

Si seulement le baril resté a ce niveau.. il a gagné 4 dollars rien qu'aujourdhui..

dan a écrit:

Si seulement le baril resté a ce niveau.. il a gagné 4 dollars rien qu'aujourdhui..

On pourrait gagner entre 2 et 5 points de pib inch'ALLAH

2 autres bonnes nouvelles significatives à mon sens

http://economie.jeuneafrique.com/regions/maghreb-a-moyen-orient/23754-coface-decroche-lagrement-dassurance-credit-au-maroc.html a écrit:

Coface décroche l'agrément d'assurance-crédit au Maroc

Le groupe Coface, installé au Maroc depuis 2007, a obtenu l'agrément d'assurance et de réassurance qui lui permet de proposer directement ses solutions aux entreprises marocaines.

http://www.leconomiste.com/article/963547-commerce-exterieur-le-maroc-bipe-dans-les-radars-japonais a écrit:

Commerce extérieur: Le Maroc bipe dans les radars japonais

L’Agence japonaise pour le commerce extérieur (Jetro) ouvre un bureau à Rabat aujourd’hui. C’est le 77ème de son réseau et le premier au Maghreb. Son directeur Daisuke Mizuno, expose sa stratégie pour dynamiser les échanges entre les deux pays.

Super !
Il est aussi a rappeler qu'AWB possède 55% des agences bancaires en Afrique de l'Ouest et Centrale donc il étendra la conversion au yuan dans tout son réseau

RED BISHOP a écrit:

Super !
Il est aussi a rappeler qu'AWB possède 55% des agences bancaires en Afrique de l'Ouest et Centrale donc il étendra la conversion au yuan dans tout son réseau

+1 je ne l'ai pas vu de cet angle,

Les chinois nous utilisent un peu comme un cheval de Troie (certaines puissances ne le verront pas d'un bon oeuil )  , en passant par nous l'afrique de l'ouest sera accessible pour leur yuan , notre présence bancaire dans la région est effective et mature depuis des années comme chacun sait . 
Je pense que sa sera du win win le Maroc ne fait rien par hasard on parle de la premiére puissance mondiale en PPA tout de meme , le Maroc sera bien vu par les dirigeants chinois comme étant un pays qui accompagne leur conquete de l'afrique sur le plan financier , et plusieurs avantages en découleront pour nous (investissement , ristournes diverses maybe sur deal d'armement et autres ) . 
La visite de SM sera le clou , les accords seront ratifié , la coopération entre les deux pays va voir un nouveau jour et sur tout les plans   selon mezzouar tout chinois qui veux se rendre au Maroc on va lui délivrer le visa entre 3 et 5 jours maxi ! je pense c'est un record a notre niveau . Moi je dit vive la coopération maroco-chinoise , les pays occidentaux sont hasbeen sur tout les plans , l'avenir est en asie de nos jours .

L'Occident est du passé, l'avenir se trouve en Orient.

Baybars a écrit:

L'Occident est du passé, l'avenir se trouve en Orient.

Oui, mais dangereux....ils sont cash......

c'est pas un jeu a somme nul.
il y a aussi renforcement des liens avec USA, UE et pays du Golfe

Baybars a écrit:

L'Occident est du passé, l'avenir se trouve en Orient.

türk dünyası ......

atlas a écrit:

Baybars a écrit:

L'Occident est du passé, l'avenir se trouve en Orient.

Oui, mais dangereux....ils sont cash......

ils sont tous dangereux les occidentaux ont aussi des points noir

FAR SOLDIER a écrit:

Les chinois nous utilisent un peu comme un cheval de Troie (certaines puissances ne le verront pas d'un bon oeuil )  , en passant par nous l'afrique de l'ouest sera accessible pour leur yuan , notre présence bancaire dans la région est effective et mature depuis des années comme chacun sait . 
Je pense que sa sera du win win le Maroc ne fait rien par hasard on parle de la premiére puissance mondiale en PPA tout de meme , le Maroc sera bien vu par les dirigeants chinois comme étant un pays qui accompagne leur conquete de l'afrique sur le plan financier , et plusieurs avantages en découleront pour nous (investissement , ristournes diverses maybe sur deal d'armement et autres ) . 
La visite de SM sera le clou , les accords seront ratifié , la coopération entre les deux pays va voir un nouveau jour et sur tout les plans   selon mezzouar tout chinois qui veux se rendre au Maroc on va lui délivrer le visa entre 3 et 5 jours maxi ! je pense c'est un record a notre niveau . Moi je dit vive la coopération maroco-chinoise , les pays occidentaux sont hasbeen sur tout les plans , l'avenir est en asie de nos jours .

Cette histoire de mise a disposition de yuan sans passer par le dollars n'est pas anodine. jE NE SUIS PAS ASSEZ CALé en economie pour voir tout ce que cela implique mais je suis sur que c'est un doigt d'honneur du Maroc aux usa et que cela va les enerver

(regardez ce qui se passe quand un pays annonce qu'il ne vas plus libeller ses exportations en dollars. Là c'est pas la meme chose mais ca va dans ce sens)