Actualités Algeriennes

Rappel du premier message :

Le complexe textile , je crois que ce sont des sociétés turques.

Pour les grands groupes, je ne crois pas à leur viabilité. Ca va être des mammouths dirigés par des mammouths dans un système économique figé.
De plus, il ne suffit pas de fabriquer pour exporter. Pour vendre il faut non seulement être compétitif mais se battre pour décrocher des marchés. Ca ne se fait pas du jour au lendemain et ca ne s'improvise pas.

J'aimerai bien acheter la femme et la fille de M. HADDAD. Je verrai bien sa gueule.

Quand des enfants de notables algériens vont se fournir en drogue en France, se prennent des balles.
Les fils d'une avocate, d'un député, et d'un général algérien...

[size=42]http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/des-fils-de-notables-blesses-dans-la-fusillade-05-05-2015-4745877.php[/size]

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Des enfants de notables algériens blessés dans une fusillade en France
Par Le Matin | Il y a 11 heures 19 minutes (0)

Ces jeunes gens ont été touchés jeudi dernier dans une cité Emile-Cordon de Saint-Ouen réputée comme une plaque tournante du trafic de drogue
La cité Emile Cordon où a eu lieu la fusillade. La cité Emile Cordon où a eu lieu la fusillade.

Des enfants de la nomenklatura au cœur d’un affrontement à l'arme automatique. Voilà l’information rapportée par Le Parisien aujourd’hui. La fusillade a éclaté dans cette cité de Saint Ouen de la banlieue parisienne en plein après-midi. Les victimes de tirs sont tous trois des enfants du système : un fils de général, un fils de député et un fils d’une avocate du barreau d’Alger.

Les trois jeunes, âgés d’une vingtaine d’années, ont indiqué se trouver là pour des raisons touristiques. Deux d'entre eux ont reconnu être des consommateurs de cannabis. Hospitalisés dans un état jugé "sérieux", les deux blessés "plus gravement touchés" sont désormais hors de danger, annonce France 3.

Que venaient faire en Seine-Saint-Denis (Ile-de-France), sur un haut lieu de revente de cannabis, un fils d'un général de l'armée algérienne, celui d'un député de l'Assemblée populaire algérienne et celui d’une avocate ? Question sans réponse pour l’instant.

La police a procédé mardi à l'arrestation de quatre individus soupçonnés de trafic de drogue, indique France 3. Ces prévenus ont des antécédants judiciaires et sont connus pour trafic de drogue.

Yacine K.

Non mais franchement...même la dessus on voit l'Etat de délabrement du système algérien, la jeunesse dorée vont se chercher de la drogue dure dans des lieux luxieux, et eux vont se fournir dans la banlieux parisienne...

RED BISHOP a écrit:

Non mais franchement...même la dessus on voit l'Etat de délabrement du système algérien, la jeunesse dorée vont se chercher de la drogue dure dans des lieux luxieux, et eux vont se fournir dans la banlieux parisienne...

je vais pas dire qu'il ont merité de se retrouvé dans un e guerre de gang et d'etre blessé mais presque ...
apres apres

tu serai etonné de voir la jeunesse doré que c'est en francaise ou en arabie saoudite et meme peut etre maroc (personne n'est parfait) se debauché completement dans paris avec des soirée ou la drogue prostitution etc coule a flot

kabylius a écrit:

RED BISHOP a écrit:

Non mais franchement...même la dessus on voit l'Etat de délabrement du système algérien, la jeunesse dorée vont se chercher de la drogue dure dans des lieux luxieux, et eux vont se fournir dans la banlieux parisienne...

je vais pas dire qu'il ont merité de se retrouvé dans un e guerre de gang et d'etre blessé mais presque ...
apres apres

tu serai etonné de voir la jeunesse doré que c'est en francaise ou en arabie saoudite et meme peut etre maroc (personne n'est parfait) se debauché completement dans paris avec des soirée ou la drogue prostitution etc coule a flot

ce n'est pas de la debauche qu'il parle mais sur le faite qu'ils sont tellement qu'ils sont allé eux même cherché la drogue dans une cité de saint ouent et si c'est l'endroit que je crois ils sont doublement cons

saint ouen c'est pas le bronx non plus et en plus ca change quoi qu'il cherche eux meme ? si ils vivent a alger c'est pas 3 bougnoule en bas d'un hall qui va leur faire peur, c'est pas des gens du 16 ou de neuilly qui sont jamais depassé le peripherique

kabylius a écrit:

saint ouen c'est pas le bronx non plus et en plus ca change quoi qu'il cherche eux meme ? si ils vivent a alger c'est pas 3 bougnoule en bas d'un hall qui va leur faire peur, c'est pas des gens du 16 ou de neuilly qui sont jamais depassé le peripherique

oui enfin si tu est pas de labas et qu'ils sont méfiant tu peux avoir un acceuil un peu spécial ,pour ce que tu as dis oui c'est vrai ici la sauvagerie n'atteindra jamais le niveau de l'autre côté de la méditéranée
eh bien quand tu va a ce genre de soirée tu as deja les fournisseur sur place c'est comme si tu avait un carrefour a 30 seconde et tu va a un autre de carrefour a 30 km

la commémoration des massacres du 8 mai 45

Ecoutez cette ane du president de setif football club qui melange la politique et du sport

pourquoi se prendre la tete avec quelqu'un qui porte hmar comme nom

lkalakh a l'etat pur ce mec, prototype de l'école de propagande algérienne khoroto , il mélange tout, traite les rajaouis de juifs (avoir pour insulte le mot "juifs" sa en dit long sur la mentalité du mec... ) , parle de polisario quel est le rapport dans tout sa ? fait une diarhée patriotique a la noix et jette des fleurs a son pays a la dérive totale , un attardé mental de premier plan .
Ils sont frustés ils bouillent de haine envers nous , ils suffit de rien pour qu'ils explosent et crache leur haine, a la limite c'est marrant et flatteur, sa montre que on les laisse pas dodo tranquillement.

Nous les marocains hamdoullah c'est une autre école , swab et la politesse on les accueille bien pas de vagues, on aurait jamais fait sa , nous quand on frappe ou qu'ont veut faire mal c'est autre chose, tu ne t'en rend meme pas compte

Il parle sans aucune preuve, il a dit que Boudrika a traité les algériens en fils de francais et turques , mais ou sont ses preuves ? peut être il a fait un tour au net.

apres la visite de 3 jours du president cubain Raoul Castto, le president Tanzanien vient de finir sa visite de 3 jour a Algere, arrivé demain de laurent fabius et la semaine prochaine de manuel macron, il sera aussi question de preparé la visite de francois hollande

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Fabius se rend en Algérie mardi pour inaugurer une usine mixte Alstom-Ferrovial
- Publié le 11/05/2015 à 13:59

Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius doit se rendre mardi en Algérie, où il inaugurera notamment une usine franco-algérienne détenue par Alstom et Ferrovial à Annaba (nord-est), selon le Quai d'Orsay.

M. Fabius se déplace à l'occasion d'une réunion de suivi du Comité mixte économique franco-algérien (COMEFA), dans le but de faire un "point d'étape" sur les projets lancés en novembre dernier et avant le prochain comité prévu en octobre 2015.

Il doit se rendre dans la matinée sur le site de production d'Annaba de la société mixte franco-algérienne Cital, détenue à 49% par Alstom Transport et à 51% par l'Etat algérien à travers les entreprises publiques Ferrovial et Metro d'Alger (EMA).

Cette usine d'assemblage et de maintenance de tramway est le fruit d'un accord signé en 2010. Elle doit produire près de 350 rames d'ici à 2025 et employer à terme 1.400 personnes.

Le ministre sera accompagné de chefs d'entreprises français. Une série de partenariats doivent aussi être discutés ou signés dans les secteurs du transport, du gaz industriel, du logement, du numérique, de la santé et de l'agriculture.

http://www.lepoint.fr/automobile/actualites/fabius-se-rend-en-algerie-mardi-pour-inaugurer-une-usine-mixte-alstom-ferrovial-11-05-2015-1927687_683.php

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Merzak Allouache : "La violence en Algérie est à fleur de peau"

Trois ans après "Le Repenti", Merzak Allouache est de retour avec "Les Terrasses", un film unanimement salué par la critique. Sélectionné au 70e Festival de la Mostra de Venise, il a reçu le Grand prix du film arabe au Festival d'Abu Dhabi, ainsi que le prix de la critique internationale. Rencontre avec un réalisateur qui regarde en face la société algérienne.
Au rythme des cinq prières de l'islam, le temps d'une journée, le dernier film de Merzak Allouache invite le spectateur à découvrir cinq quartiers d'Alger à travers cinq terrasses, chacune donnant à voir une histoire particulière. Le réalisateur, pour qui la ville natale est une source inépuisable d'inspiration, livre dans son oeuvre un regard désabusé sur la société algérienne, "malade de ses contradictions". Interview.
Jeune Afrique : Pourquoi avoir choisi de tourner uniquement sur des terrasses pour ce film ?  
Merzak Allouache : À Alger, mais aussi à Oran et dans les grandes villes d'Algérie, il y a beaucoup de terrasses sur les immeubles. Elles jouent un rôle dans la ville, un rôle qui a changé. Avant elles étaient considérées comme le lieu des femmes. Dans la casbah ou dans les villes européennes d'Algérie, les femmes s'y retrouvaient fréquemment. Mais depuis quelque temps, à cause du surpeuplement, les gens logent là où ils peuvent, et ils se sont mis à habiter sur les terrasses, dans les caves. Et finalement tourner sur ces terrasses me paraissait intéressant, il s'agissait pour moi d'un studio à ciel ouvert où je pouvais raconter mes histoires, tout en gardant une vue sur Alger. J’essaie d’observer la société algérienne dans ses traditions, ses mutations. J’essaie de porter un regard sur les gens qui font partie de cette société.  
De quoi vous êtes-vous inspiré ?
Je m'inspire comme dans tous mes films de la réalité algérienne. Quand je suis en Algérie, j'apprends plein de choses. Il y a  des milliers d'histoires qui sont racontées,  des rumeurs qui circulent. Et malgré l'immobilisme de la société, il y a des choses incroyables qui se passent. Alors je lis, je regarde autour de moi. En général, je retravaille pour la fiction des histoires qui ont existé, qu’on m'a racontées, que j'ai vues. Donc il y a bien sûr une grande part de réalité. D'ailleurs, lors de la projection du film à Toulon, récemment, il y a avait des Algériens dans la salle, dont certains m'ont dit que le film leur rappelait des choses qu'ils avaient vu ou connu en Algérie.    
Entre les scènes de torture, les coups, les meurtres, le film déborde de violence. À l'image de la société algérienne ?
Nous avons vécu des années terribles et nous n’avons pas réglé les problèmes de cette décennie noire. La violence qu’on a vécue a été une violence suprême, incroyable. Les choses ne peuvent pas disparaître comme cela. La société algérienne n’est pas stabilisée, après ce qu’elle a vécu. Or il  y a aujourd'hui une amnésie qui s’est installée, une sorte de chape de plomb, ça n’a pas l’air de bouger. Les jeunes générations se plaignent, veulent partir, ne trouvent pas leur compte dans cette société. Oui Alger est très belle, mais on s'y ennuie beaucoup. La violence en Algérie est à fleur de peau. Et ce n'est pas seulement à cause de l'islamisme. II y aussi la question de savoir ce que nous sommes, où nous allons. Il faut dans toute société un projet. Mais en Algérie, le seul projet, c’est le commerce informel, les épiceries, les gens qui vendent, qu'ils soient barbus ou non. On a l'impression d'un vide qui se ressent d'autant plus fortement dans la vie culturelle. Il n'y a pas d'infrastructures, pas de moyens de distraction, il n'y a que des commerces et des habitations.  
Votre regard sur la société algérienne est donc pessimiste…  
Disons que, dans mon observation actuelle, je suis pessimiste, je regarde la société d'un œil critique. Et quand vous allez en Algérie, beaucoup de gens sont pessimistes, se plaignent de quelque chose qui est là, latent, de cette société qui stagne sans projet. Quand vous allez en Algérie, vous croisez dans les rues des commerçants, des gens qui marchent, sans savoir pourquoi. On ne sait pas où on en est, ce n’est donc pas un tableau réjouissant.  
La vraie censure, c’est qu’on ne montre pas nos films au public. Il n'y a pas de salle.
Quel a été l’accueil réservé au film en Algérie?  
J'ai présenté le film au Festival du film maghrébin qui a eu lieu à Alger. Les gens du milieu sont venus. Il y a un microcosme de culture à Alger. Ils ne sont pas nombreux, mais à eux seuls, ils ont rempli la salle (rires). Quant à la presse, elle n'aime pas mes films. Je ne sais pas pourquoi. Beaucoup de journalistes algériens me reprochent de tourner des films sur l'Algérie alors que je n'y vis plus. C'est une presse qui se proclame indépendante, mais dont on sait qu'elle n'a au fond aucune indépendance. C'est un ensemble de gens qui ne travaillent pas sur la crise de la culture et de la production artistique, qui s’instituent critiques de cinéma sans qu'on sache d'où ils viennent. Ils se contentent de flatter les films officiels, les films sur la guerre d'indépendance. Mais j'accepte bien sûr toutes les critiques. Quand je tourne un film, je pars du principe qu'il appartient à tout le monde, chacun écrit ce qu'il veut, mais personnellement, je ne prends pas en compte la presse algérienne.  
On vous a aussi reproché de ne pas boycotter Israël, d'où vient cette polémique ?
C'était au moment où le film a été sélectionné au festival de la Mostra de Venise. Des journalistes m'ont sorti une histoire selon laquelle parce qu'il y avait également un film israélien sélectionné [Ana Arabia, de Amos Gitai, NDLR], je devais retirer mon film en guise de symbole de boycott d'Israël. J'ai évidemment refusé car c'est n'importe quoi sauf un bon motif…
Dans quelles mesures les réalisateurs algériens sont-ils confrontés à la censure?    
La vraie censure, c’est qu’on ne montre pas nos films au public. Il n'y a pas de salle. On en arrive au point où un film tourné en Algérie n’a de sens d’exister que s'il est présenté dans des festivals ou qu'il est diffusé à l'étranger. On a des films officiels, des professionnels du milieu qui viennent les voir, et on s'arrête là. Il n'y a pas de vie culturelle. C'est ma grande frustration. Il y a des cinéastes qui se complaisent dans cette situation, qui trouvent cela normal. À cette censure indirecte liée à l'absence de diffusion en Algérie, s'ajoute parfois une censure directe sur le scénario qu'on dépose. J'en ai payé les frais lors de mon film Le Repenti pour lequel je n'ai reçu aucune aide financière au motif que les autorités n'étaient pas d'accord avec le sujet de mon film. Cette censure peut amener les cinéastes à faire de l’autocensure. Tristement, c'est le cas dans le monde arabe : les cinéastes connaissent les lignes rouges qu'il ne faut pas dépasser. Et cette autocensure amoindrit les choses qu’on raconte dans un film ou une pièce de théâtre.



http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20150511115821/

La Sale Guerre continue

Citation :

Quatre patriotes tués puis brûlés par des terroristes à Batna

13:23 mardi 12 mai 2015 | Par Hadjer Guenanfa @hadjerguenanfa | Actualité

Quatre patriotes ont été tués dans une embuscade tendue par des terroristes entre la commune de Merouana et Hidoussa, sur la Route nationale RN 77 qui relie Batna à Setif, a-t-on appris de sources concordantes.
Trois d’entre eux ont été tués à l’intérieur de leur voiture. Un quatrième, militant du FLN, a été assassiné alors qu’il tentait de fuir. Les terroristes ont ensuite mis le feu aux quatre cadavres.

TSA Algérie

RED BISHOP a écrit:

La Sale Guerre continue

Citation :

Quatre patriotes tués puis brûlés par des terroristes à Batna

13:23  mardi 12 mai 2015 | Par Hadjer Guenanfa @hadjerguenanfa | Actualité  

Quatre patriotes ont été tués dans une embuscade tendue par des terroristes entre la commune de Merouana et Hidoussa, sur la Route nationale RN 77 qui relie Batna à Setif, a-t-on appris de sources concordantes.
Trois d’entre eux ont été tués à l’intérieur de leur voiture. Un quatrième, militant du FLN, a été assassiné alors qu’il tentait de fuir. Les terroristes ont ensuite mis le feu aux quatre cadavres.

TSA Algérie

Incroyable , le terrorisme et la violence refusent de quitter l'algérie.

RIP

Amgala Winner a écrit:

RED BISHOP a écrit:

La Sale Guerre continue

Citation :

Quatre patriotes tués puis brûlés par des terroristes à Batna

13:23  mardi 12 mai 2015 | Par Hadjer Guenanfa @hadjerguenanfa | Actualité  

Quatre patriotes ont été tués dans une embuscade tendue par des terroristes entre la commune de Merouana et Hidoussa, sur la Route nationale RN 77 qui relie Batna à Setif, a-t-on appris de sources concordantes.
Trois d’entre eux ont été tués à l’intérieur de leur voiture. Un quatrième, militant du FLN, a été assassiné alors qu’il tentait de fuir. Les terroristes ont ensuite mis le feu aux quatre cadavres.

TSA Algérie

Incroyable , le terrorisme et la violence refusent de quitter l'algérie.

c'est la guerre mon ami ! les civile armée (patriote) son des cible facile . paix a leur ame , le combat continue.
la guerre elle doit pas se faire que sur le terrain militaire mais aussi arreté son financement et le recrutement.

rip

On va bientôt vous ramener la démocratie.

RIP

RIP

inchallah la Kabylie sera indépendante, inchallah.

Amgala Winner a écrit:

RED BISHOP a écrit:

La Sale Guerre continue

Citation :

Quatre patriotes tués puis brûlés par des terroristes à Batna

13:23  mardi 12 mai 2015 | Par Hadjer Guenanfa @hadjerguenanfa | Actualité  

Quatre patriotes ont été tués dans une embuscade tendue par des terroristes entre la commune de Merouana et Hidoussa, sur la Route nationale RN 77 qui relie Batna à Setif, a-t-on appris de sources concordantes.
Trois d’entre eux ont été tués à l’intérieur de leur voiture. Un quatrième, militant du FLN, a été assassiné alors qu’il tentait de fuir. Les terroristes ont ensuite mis le feu aux quatre cadavres.

TSA Algérie

Incroyable , le terrorisme et la violence refusent de quitter l'algérie.

le terrorisme est à l'Algérie ce que l'arbre centenaire est à la terre.
Même coupé les racines sont trop profondes pour le faire disparaître.