Armée Française / French Armed Forces

Rappel du premier message :

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16/03/2015

ALAT : deux AS352 modernisés de plus !



La Direction Générale pour l'Armement française (DGA) a pris livraison de deux nouveaux Airbus Helicopters AS532 « Cougar » modernisé destiné à l’ALAT. Trois AS532 « Cougar » ont été mis à jour en 2013 et cinq autres en 2014 et un sept aéronefs supplémentaires seront livrés en 2015.

La mise à jour comprend, en particulier, une nouvelle suite avionique et un pilote automatique exceptionnelle similaire à celle de la H225M (anciennement l'EC725) qui apporte une interface homme-machine similaire entre les deux aéronefs, un réel avantage opérationnel pour l’équipage. De plus, les « Cougar » disposent désormais d’une nouvelle planche de bord dotée d’écrans EFIS. Les appareils ont également reçu un FLIR optronique sous le nez. De plus, un système d’autoprotection, qui comprend un détecteur d’alerte radar et d’alerte missile et installé et couplé à un lance-leurres.  

A signal au passage, que le premier «  Cougar » modernisé a participé avec succès à son premier déploiement opérationnel au Mali dans le cadre de l'Opération Barkhane aux côtés du « Tigre » et a déjà démontré d'excellentes capacités. Airbus va moderniser 19 AS352 pour l’ALAT.

Photo : AS352 modernisé lors de la cérémonie de remise @ Airbus Helicopters

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2015/03/16/alat-deux-as352-modernises-de-plus-858418.html

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1er régiment de spahis

Prise d'armes de commémoration du centenaire aux pieds des châreaux d'eau de Valence

PHOTOS:

Merci pour le partage jf16. Inutile de préciser l'origine du régiment

Vous avez remarqué les selles des chevaux : des selles marocaines (avec dossier) comme celles de la garde royale, totalement différentes des selles européennes

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Modernisation de la force océanique stratégique : le SNLE Le Triomphant équipé du M51


Mise à jour : 12/08/2015  

Le 4 août 2015, la Marine a repris la pleine responsabilité et le commandement effectif du sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) Le Triomphant. Ce transfert de responsabilité marque un jalon important dans l'indisponibilité pour entretien et réparation (IPER) de modernisation et d’adaptation au missile stratégique M51 débutée en mai 2013. Le bâtiment va désormais reprendre les essais avant son retour dans le cycle opérationnel.

Le Triomphant était revenu à l’île Longue le 14 avril 2015, après 20 mois de travaux au bassin n° 8 de Brest consacrés notamment à la refonte des tubes lance-missile pour passer de la génération des M45 à celle des M51. Le sous-marin a aussi été doté du système de combat tactique SYCOBS (système de combat commun Barracuda/SNLE) et d'un système global de navigation plus performant (SGN-3E). Enfin, cette indisponibilité périodique constitue une étape importante pour LeTriomphant puisqu’il s’agit de son IPER à mi-vie.

Le Triomphant est le second SNLE adapté au M51 au cours d'une IPER dite "d'adaptation". Le Vigilant avait subi la même transformation entre 2010 et 2013. Le prochain et dernier à bénéficier de cette refonte sera le SNLE Le Téméraire, à partir de 2016.

A l'issue de cette IPER, les 4 SNLE français seront au standard M51 puisque Le Terrible, admis au service actif en 2010, a été équipé du système d'armes de dissuasion M51 dès sa construction.

Ces IPER d'adaptation n’ont aucun impact sur la permanence à la mer de la dissuasion océanique qui reste assurée avec le même nombre de SNLE. Elles constituent en revanche, une étape importante du programme Cœlacanthe de modernisation de la composante océanique de la dissuasion dont elles contribuent à garantir la crédibilité.

http://www.defense.gouv.fr/marine/actu-marine/modernisation-de-la-force-oceanique-strategique-le-snle-le-triomphant-equipe-du-m51

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Quotidiens différents mais esprit commun : le SNLE Le Terrible et le Régiment d'Infanterie Chars de Marine se jumellent.  


© Marine nationale

Dernière mise à jour : le 11 Août 2015

Un décor inhabituel surprend les acteurs habituels de l'île Longue ce mercredi 24 juin 2015. Un AMX10 RC et un véhicule blindé léger sont positionnés le long du quai où est amarré le SNLE Le Terrible. En effet, celui-ci accueille le Régiment d’Infanterie Chars de Marine (RICM) pour une cérémonie de jumelage.

Cette journée de rencontre est ponctuée par une prise d’arme effectuée en présence du capitaine de vaisseau d’Ornano, commandant l’Escadrille des SNLE. Après avoir salué le drapeau du RICM et les fanions des Terrible Bleu et Rouge, puis passé en revue les troupes, les commandants effectuent une brève évocation historique de leurs unités avant de prononcer l’ordre du jour.

Le RICM, régiment le plus décoré de France, a été présent sur tous les champs de bataille de l’Armée Française au cours de ce dernier siècle. Présents à Douaumont durant la première guerre mondiale, Dien Bien Phu, l’Oranais et Tyr durant les années de décolonisation, en Irak pour la Guerre du Golfe, à Sarajevo, en Afghanistan et au Mali, les marsouins accompagnent l’histoire nationale. Une histoire où les hommes ont toujours su se dépasser au service de la France, parfois jusqu'au sacrifice ultime.

Le nom « Terrible » a aussi son histoire. Du premier Terrible, bâtiment de 68 canons lancé à Brest en 1690 qui participa aux guerres de Hollande sous les ordres du vice-amiral d’Estrées, au SNLE de type Redoutable qui a effectué 67 patrouilles au profit de la dissuasion, les onze bâtiments qui ont porté ce nom ont servi la France sur les mers du globe dans de nombreuses campagnes navales. Le croiseur léger Le Terrible s’illustra à plusieurs reprises au cours de la seconde guerre mondiale, en particulier en Adriatique et lors du débarquement de Provence. L’équipage actuel du Terrible, 12e bâtiment porteur du nom, a donc l’honneur de porter la fourragère de la Croix de Guerre 39-45, et reçu en héritage cet état d’esprit pugnace.

La conscience d’œuvrer pour la même mission, le service de la France, et l’importance des valeurs communes transmises par l’histoire de leurs unités, réunissent aujourd’hui marins et marsouins. Mais au cours des échanges, ils peuvent rapidement s’apercevoir que si leur quotidien et leur environnement sont radicalement différents, c’est bien la même confiance mutuelle qui doit s'établir dans un équipage de char, dans un GTIA1 en manœuvre comme à bord d'un sous-marin.

Logique des unités opérationnelles, dans les prochains mois ces deux unités seront toutes les deux déployées, sur des théâtres radicalement différents. Au retour, le partage des expériences vécues entre marsouins et marins de tout grade sera enrichissant. A travers ces fructueux échanges, ce jumelage permettra à chacun d’élargir sa vision des armées et, en en donnant une meilleure compréhension, consolider encore leur engagement au service de la Défense.


1 Groupement tactique interarmes


Source: Marine nationale
Droits: Marine nationale

http://www.colsbleus.fr/articles/7260

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Armée française - opérations militaires OPEX (page officielle) a ajouté 6 nouvelles photos.


Au cours du mois de juillet 2015, les sections de combat du groupement tactique interarmes (GTIA) des Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) ont effectué des exercices d’évacuation de ressortissants. Appuyées par le détachement d’intervention lagunaire, chaque soldat s’est familiarisé avec le milieu nautique tout en intégrant les particularités du combat embarqué et les procédures de « plageage ».

Les FFCI assurent la protection des ressortissants français et entretiennent la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire. En tant que base opérationnelle avancée, elles constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade Ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

PHOTOS:

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 152e Régiment d'Infanterie - officiel

LIBAN : Exercice Steel Storm
Le vendredi 14 août a Naqoura, une section de la compagnie VBCI de la Force Commander Reserve (FCR) débute l'exercice bi annuel
Steel Storm. Face à la mer, les Diables Rouges actuellement au Liban depuis 5 mois, s'exercent au tir sur des cibles pouvant aller de
100 mètres pour les armes légères a 1000 mètres pour les véhicules blindés. Cet exercice conjoint avec l'armée libanaise, organisé
par le contingent français aura permis à plus de 200 autres bérets bleus de s'entrainer.

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French Navy Missile Range Instrumentation Ship Monge (A601) Operational Following Major Refit

The Missile Range Insrumentation Ship Monge (A601) is back in the Marine Nationale (French Navy) fleet following a major refit started in May. Missile Range Instrumentation Ships are fitted with antennas and electronics to support the launching and tracking of missiles and rockets.


Tuesday, 18 August 2015 09:39


Naval Forces News - France





French Navy Missile Range Instrumentation Ship Monge (A601) Operational Following Major Refit

The Missile Range Insrumentation Ship Monge (A601) is back in the Marine Nationale (French Navy) fleet following a major refit started in May. Missile Range Instrumentation Ships are fitted with antennas and electronics to support the launching and tracking of missiles and rockets.

The Missile Range Insrumentation Ship Monge (A601) is back in the Marine Nationale (French Navy) fleet following a major refit started in May. Missile Range Instrumentation Ships are fitted with antennas and electronics to support the launching and tracking of missiles and rockets.
The Monge in dry dock for major refit. French Navy picture

In addition to the installation of a new kitchen, the Monge refit was use to:
- replace the entine satellite communication (SATCOM) system. The Monge is now compatible with "Syracuse III", the latest standard of French military secure SATCOM system;
- conduct the maintenance of diesel alternators and propulsion engines;
- conduct the maintenance of various pumps and compressors.

his major refit was also used to test the on-board LIDAR (Light Detection And Ranging) system. It can fire six laser beams vertically that characterizes the air density, temperature and humidity up to 100 km in altitude.

As planned, the Monge was released from the dry dock on July 27. It then started trails at sea to test the new propulsion and Syracuse III SATCOM system.




The Monge is the largest vessel (in length) in the French Navy fleet following aircraft carrier Charles de Gaulle. was laid down in March 1990, launched in October 1990 and commissionned with the French Navy in November 1992. It is used to test and analyse various missile systems (including the new SLBM M51) in conjonction with the French procurement agency (DGA). While its primary mission remains missile test monitoring, the Monge may participate in other missions such as monitoring a space rocket launches or satellite tracking. It may also participate in the monitoring and protection of maritime approaches or support training of maritime forces.



http://www.navyrecognition.com/index.php?option=com_content&task=view&id=3010

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mardi 18 août 2015
 
Deux Rafale aux Etats-Unis


Le centre d'expertise aérienne militaire (CEAM) de Mont-de-Marsan va envoyer deux de ses Rafale au prochain exercice Bold Quest aux Etats-Unis, le mois prochain. Ce rendez-vous traditionnel de l'air land integration (ALI) qui regroupe le gotha du domaine, notamment les forces spéciales, pourra ainsi découvrir les capacités de ces deux appareils, un monoplace et un biplace doté d'un nouvel outil de ciblage air-sol, l'OCAD (outil connecté d'appui à la décision) dans sa V2.

L'OCADV2 utilise tous les moyens de communications (notamment un SATCOM, la liaison 16 et un modem IDM) et les capteurs de l'avion pour optimiser ces ressources et renforcer les capacités de ciblage du Rafale, interconnecté avec les équipes de ciblage au sol.
L'OCAD a été développé en interne par les experts du CEAM à un coût annoncé comme dérisoire. Ces mêmes experts ont déjà été distingués plusieurs fois pour leur travail dans le domaine de l'ALI, particulièrement en appui des forces spéciales.

Le CPA10, dont sont issus une partie de ces experts, est par ailleurs un habitué de Bold Quest : ses équipes de ciblage ont été mises à profit ces dix dernières années, en Afghanistan, en Libye, dans la BSS et en Centrafrique, tant au profit du COS que des forces conventionnelles.  

http://lemamouth.blogspot.fr/2015/08/deux-rafale-aux-etats-unis.html#more

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Remplacement du P4 français par des véhicules américains : il y aura un appel d’offres

L’acquisition de 1.000 Ford Ranger était "liée à l’urgence du besoin".

18/08/2015


Répondant à un courrier de Jean-Michel Villaumé, député de Haute-Saône, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense apporte quelques précisions sur la vente de 1 000 véhicules tout-terrain Ford Ranger à l’armée de terre française.

Cette opération avait, au printemps dernier, suscité une levée de bouclier sur notre site et bien au-delà du pays de Montbéliard. Deux entreprises, Poclain Véhicules et la SAS Nedey s’étaient positionnées au plan local pour proposer une version Dacia Duster de Renault adaptée aux besoins de l’armée de terre.

Sur les trois modèles proposés, dont les coûts d’acquisition étaient – précise le ministre – similaires, « seul le Ford Ranger proposait une charge utile satisfaisante répondant au besoin exprimé ». Jean-Yves Le Drian rappelle que le cahier de charges précisait que ledit véhicule devait transporter « jusqu’à 5 soldats équipés et 1 tonne de matériel ».

Une précision qu’Alain Pilarski, directeur général de la SAS Nedey, dont le siège social se trouve à Montbéliard (Doubs), affirme ne pas connaître. « On nous avait parlé de 5 hommes équipés, mais sûrement pas d’une tonne de matériel à embarquer dans un Dacia Duster, en capacité de transporter une charge utile de 1,6 tonne ».

« Je ne comprends pas – ajoute Alain Pilarski – que l’armée de terre nous ait fait passer des tests à trois reprises sachant que le véhicule transformé que nous proposions ne répondait pas au cahier de charges évoqué par le ministre de la Défense. Au terme de ces trois essais, la seule remarque qui avait été faite par l’armée de terre concernait le volume du coffre jugé insuffisant de ce Dacia Duster ».

Et le directeur général de la SAS Nedey de conclure que « Si on nous avait annoncé clairement les choses, nous n’aurions pas passé autant de temps et investi dans cette affaire ».

Un programme ouvert aux constructeurs français

Une affaire qui, en tout état de cause, n’est pas terminée. Jean-Yves Le Drian précise que l’acquisition de ces 1 000 véhicules tout terrain « liée à l’urgence du besoin, n’est pas la solution retenue pour assurer le remplacement du parc de Peugeot P4 à long terme. Pour ce faire un programme d’armement portant sur la livraison à partir des années 2020 d’un véhicule léger tactique polyvalent (VLTP) est en cours de définition. Il devrait comporter une première commande de 2 450 exemplaires suivie d’une deuxième d’environ 2 000 unités. Ce marché, comme tous les programmes d’armement, – conclut le ministre de la Défense fera l’objet d’un appel d’offres auquel les constructeurs français pourront bien évidemment répondre ».

Jacques BALTHAZARD


http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/08/18/remplacement-du-p4-il-y-aura-un-appel-d-offres  

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jeudi 20 août 2015

   
Il s'appellera "ville de Cambrai"  


Après Toulouse, Orléans et Lyon, c'est la ville de Cambrai qui a été retenue pour nommer un des
Atlas de l'escadron 1/61 Touraine.
Cambrai a longtemps accueilli une base aérienne, avant de la perdre dans les restructurations.
La cérémonie doit se dérouler le 5 septembre.
L'armée de l'air détient sept Atlas et continue à augmenter leur participation en soutien des opérations et des forces de souveraineté.
L'un d'eux à notamment amené des personnels du 13e RDP à La Réunion, la semaine dernière.


Les personnels du transit de La Réunion au travail sur le
MSN19, la semaine dernière. (Photo Jean-Marc Tanguy)  


http://lemamouth.blogspot.fr/2015/08/il-sappellera-ville-de-cambrai.html#more

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jeudi 20 août 2015
 
Des escadres, mais pas toutes


L'armée de l'air met en place de nouvelles escadres. Saint-Dizier hébergera la 4e escadre de chasse sur Rafale (nucléaire), Cazaux, la 8e escadre de chasse sur Alpha Jet et Luxeuil, la 2e escadre de chasse (sur un unique escadron de Mirage 2000-5). La 30e escadre de chasse sera créée à Mont-de-Marsan, d'abord avec le 2/30 Normandie Niémen. Puis un deuxième escadron le rejoindra : les traditions du 1/7 Provence partiront pour les EAU, tandis que celles du 3/30 Lorraine iront à Mont-de-Marsan, sur le matériel du 1/7.

De son côté, le 1/7 actuel laissera à Saint-Dizier la place à RAF2nuc, le deuxième escadron nucléaire qui doit être opérationnel pour 2018.
Evreux disposera d'une 64e escadre composite associant Transall et Casa 235, ainsi qu'un escadre de commandement et de conduite projetable.
Sans surprise, la 61e escadre est mise sur pied à Orléans, sur Atlas.
Restera donc notamment à mettre sur pied une 7e escadre de chasse, trouver une solution pour les hélicos (la 67e, multi-sites ?). Et à affirmer l'identité des forces spéciales air : elles qui, finalement, pourraient bien aligner le plus gros volume de personnel opérationnel, avec le CPA10, un éventuel commando spécialisé qui attend aussi toujours un numéro, l'escadron de transport 3/61 Poitou et peut-être l'escadron 1/67 Pyrénées, puisqu'il est une capacité déclarée du COS depuis le 2 juin.
La même question se posant pour une éventuelle escadre de renseignement/reconnaissance, avec l'escadron de drones 1/33 Belfort, et l'escadron Dunkerque.
Quelques travaux de peinture sont donc à prévoir ici et là sur les fuselages des aéronefs, et quelques tonnes de documents de représentation (cartes de visites, lettres à en-têtes, etc) devront être remplacées.  

http://lemamouth.blogspot.fr/2015/08/des-escadres-mais-pas-toutes.html

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Quand la DGA reparle du "robot tactique polyvalent" et de sa fonction MULE


Un avis de ce 21 août porte sur une "évaluation de la fonction Mule du Robot Tactique Polyvalent pour le compte du DGA/SCA". On l'avait un peu oublié, ce RTP, depuis 2013.

Voilà donc le retour du RTP et de sa fonction MULE (Multifunctional Utility Logistics and Equipement). Le RTP est supposé avoir un triple champ d’action:
- éviter l’exposition du soldat aux dangers
- assister les troupes en cas de besoin,
- réaliser des tâches pénibles ou répétitives pour les humains.

Pour avoir une idée de ce type de RTP, on jettera un coup d'œil au "Baudet Rob" d'Effidence:



L'avis précise que: "Le Robot tactique polyvalent (RTP) est un concept de système robotisé multi-rôles défini par l'Etat-Major de l'Armée de Terre pour le combat de contact. La fonction Mule a pour mission le port de la charge des fantassins. Dans sa fonction Mule, le Robot tactique polyvalent est une plateforme robotisée semi-autonome capable de suivre un fantassin à pied, de suivre une trajectoire mémorisée ou d'être télépilotée à vue. La fonction première du Robot tactique polyvalent dans cette opération d'expérimentation réactive (OER) est de donc de permettre au fantassin de se décharger d'une partie de son paquetage, afin de gagner en mobilité. Toutefois, il peut aussi remplir des missions connexes comme procéder à un ravitaillement (munitions, alimentation ou autre) en allant s'approvisionner à un point connu en retrait, ou assurer une liaison entre deux groupes distants (liste non exhaustive).
L'objet de cette OER est de fournir un aperçu de l'état actuel des capacités industrielles à répondre à la problématique de la fonction Mule du RTP, que ce soit en termes de solidité de la plate-forme, de sa charge utile, de sa vélocité ou de son aptitude à se mouvoir de façon autonome pour suivre le fantassin ou assurer d'autres fonctions autonomes.
Le présent marché est un marché ordinaire. Il consiste en la préparation et la réalisation des expérimentations de la fonction Mule du RTP. L'administration participe à des expérimentations du RTP du titulaire : elle assure la mise en oeuvre du système, en présence et sous la responsabilité du titulaire qui assure par ailleurs le soutien du système.
Le marché est découpé en deux postes pour distinguer les différentes phases du projet de marché : un premier poste est lié à la préparation des expérimentations, le second poste est la réalisation des campagnes d'expérimentations. A titre indicatif, ces campagnes seront au nombre de 3 (d'une durée de 3 semaines chacune)."

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2015/08/21/quand-la-dga-reparle-du-robot-tactique-polyvalent-14582.html

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Chammal : Un Atlantique II effectue sa première frappe au-dessus de l'Irak


22 Août 2015

Rédigé par Loïc et publié depuis Overblog


Photo : (c) EMA - Une bombe air-sol GBU-12 guidée laser se tient face à un Atlantique II de la Marine Nationale.

Alors que l'on a pour habitude d'évoquer les frappes aériennes effectuées par les Mirage 2000D, 2000N, ou les Rafale, contre l'Organisation Etat Islamique au-dessus de l'Irak (uniquement), il va maintenant falloir s'habituer à évoquer les frappes réalisées par les Atlantique II de la Marine Nationale.

En effet, dans un communiqué publié hier Vendredi 21 Août 2015, l'Etat-Major des Armées a indiqué "qu'un avion de patrouille maritime Atlantique 2 a procédé à un tir de bombe guidée laser le 19 août 2015".

Cette première frappe aérienne a été effectuée dans le cadre d'une mission en coopération avec "une patrouille mixte de Mirage 2000'", aux alentours de 22h00 (heure française). Selon le communiqué, les aéronefs français "ont participé à une mission planifiée qui a permis la neutralisation d'un bâtiment du groupe terroriste Daech [ou Organisation Etat Islamique, NDLR], qui était utilisé pour des opérations de transit, de commandement et de contrôle de ses opérations".

Les Atlantique II de la Marine Nationale ont déjà réalisé des frappes aériennes dans le cadre de l'opération Serval au Mali, aujourd'hui transformée en opération Barkhane, qui a une vocation régionale. Si les Atlantique II ont la capacité de tirer les GBU-12, il n'en reste pas moins que ces appareils doivent évoluer aux côtés d'un aéronef porteur d'un désignateur laser (Mirage 2000, Rafale, drones), ou obtenir une liaison avec un JTAC (Joint Terminal Attack Controller) qui se trouve au sol et qui se chargera de désigner la cible avec un laser.

De plus, toujours dans ce même communiqué, l'Etat-Major des Armées a tenu à indiquer que "quelques jours plus tôt, le 17 Août 2015, les aéronefs français engagés dans Chammal ont réalisé la 200ème frappe française, après avoir dépassé les 1000 missions aériennes en juillet 2015".

Enfin, et c'est à relever, l'Etat-Major des Armées a indiqué, après avoir détaillé les différentes missions des aéronefs intégrés dans cette opération, que "si la devise de l'opération Inherent Resolve [est] Une mission, plusieurs nations (One mission, many nations), celles des moyens aériens français de Chammal pourraient être : une nation, plusieurs missions".


http://www.defens-aero.com/2015/08/chammal-atlantique-ii-premiere-frappe-au-dessus-irak.html

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NH Industries Delivered the 14th NH90 NFH Caiman Helicopter to the French Navy

NH Industries delivered the last NH90 NFH Caiman in "Step B" standard to the French Navy (Marine Nationale) on July 17, 2015. It is the fourteenth Caiman delivered out of the 27 on order by the French Navy.

Following the usual maintenance operations before its induction, the maritime helicopter was transferred to the 33F flotilla (naval helicopter squadron) in Lanvéoc-Poulmic naval air station (Brittany) on August 12, 2015. This brings to five the number of Caimans in this flotilla.

NH90 helicopters belonging to 33F flotilla rountinely deploy with French Navy Aquitaine class Frigates (FREMM) and Forbin class Destroyer (Horizon).

The NH90 NFH boasts a state-of-the-art weapons system that combines – as part of a high-performance platform – a package of ultra-modern electronic, acoustic and optronic sensors as well as weapons loads adapted to anti-ship (ASuW) and anti-submarine (ASW) missions. The helicopter also performs SAR, amphibious, maritime surveillance and anti-piracy missions.

Earlier this year, French Navy Caiman crews passed some major qualification steps such as IOC for the release of counter measures and IOC for ASW with MU90 torpedo. In a march, an NH90 Caiman conducted the first ever operational deployement with Horizon class air-defence destroyer Chevalier Paul.

http://www.navyrecognition.com/index.php?option=com_content&task=view&id=3025

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Les études pour la prochaine version de l’hélicoptère d’attaque Tigre ont été lancéesPosté dans Forces terrestres par Laurent Lagneau Le 24-08-2015

Les hélicoptères d’attaque Tigre (EC-665) prochainement livrés à l’Aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) seront au standard Mk2 de la version HAD (Appui et destruction), c’est à dire qu’ils bénéficieront de logiciels améliorés, d’un viseur plus performant et d’une capacité d’emploi de la totalité des armements prévus pour les missions qu’ils auront à effectuer.

Pour autant, le standard Mk3 de cet hélicoptère est d’ores et déjà à l’étude. L’Organisation conjointe de coopération en matière d’armement (OCCAR) a en effet notifié, au nom de la France, de l’Allemagne et de l’Espagne, un contrat à Airbus Helicopters afin de déterminer les futures configurations de ce type d’appareil lors de sa mise à niveau à mi-vie (mid-life upgrade, MLU).

« L’objectif (…) est de s’assurer que le Tigre restera à la pointe des hélicoptères d’attaque dans le monde au cours des prochaines décennies », a expliqué l’OCCAR. Il s’agira ainsi d’évaluer les nouvelles fonctionnalités et d’identifier les innovations susceptibles d’améliorer sa maintenabilité, sa survie et sa fonctionnalité, en mettant l’accent sur « le coût du cycle de vie ».

En outre, l’OCCAR précise que ces travaux s’appuieront sur les retours d’expériences (RETEX) des engagement des hélicoptères Tigre au combat ainsi que sur les « dernières technologies disponibles ou en cours de développement ».

« La France, l’Allemagne, l’Espagne et l’OCCAR travaillent ensemble avec l’Australie pour établir un cadre commun de coopération qui sera utilisé pour la préparation et le développement futur du standard Mk3″, a fait valoir l’ organisation intergouvernementale européenne.

L’État-major des armées (EMA) et l’État-major de l’armée de Terre (EMAT) espèrent que l’entrée en service du Tigre Mk3 se fera à l’horizon 2023-2025.




« Nous souhaitons accroître encore les capacités d’observation et de tir du Tigre », avait expliqué le lieutenant-colonel Zouag, officier programme Tigre, dans le colonnes du mensuel Air Fan, en septembre 2014. « Le remplacement du missile Hellfire du HAD sera au coeur des préoccupations et le Multi-Role Combat Missile proposé par MBDA pourrait être le candidat idéal. Il autorise notamment des modes de tir collaboratifs/coopératifs avec désignation d’objectif par un moyen externe », avait-il ajouté.

Un autre axe à développer concerne l’autoprotection du Tigre, avec un système de détection des tirs d’armements légers, avait aussi indiqué le LCL Zouag.


http://www.opex360.com/2015/08/24/les-etudes-pour-la-prochaine-version-de-lhelicoptere-dattaque-tigre-ont-ete-lancees/

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Saisie en juillet par le ministre de la Défense, la DPID est officiellement créée… en aoûtPosté dans Sécurité par Laurent Lagneau Le 24-08-2015


En janvier, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, avait évoqué la création prochaine de la Direction de la protection des installations, moyens et acti­vités de la Défense (DPID).

Plus de 6 mois plus tard, suite au vol d’explosifs dans un dépôt du Service Inter-armées des Munitions (SIMu) à de Miramas (13), cette même DPID a été saisie par le ministre pour évaluer la sécurité de type d’établissements, hautement sensibles. Le 30 juillet, cette dernière a ainsi rendu sa copie, laquelle a servi à élaborer un « plan d’urgence » pour remédier aux lacunes alors constatées.

L’on aurait alors pu penser que cette DPID avait été officiellement créée entre-temps. Erreur! Signalé par le député François Cornut-Gentille (Les Républicains), le décret n°2015-1029 du 19 août relatif à la Direction de la protection des installations, moyens et activités de la défense n’a en effet été publié au Journal officiel que le 21 août.

« Le décret crée une direction de la protection des installations, moyens et activités de la défense, chargée d’assister le ministre de la défense dans l’exercice de ses attributions en matière de protection et de sécurité des personnes, des biens, des installations, des moyens et des activités intéressant la défense nationale », avance la notice explicative.

L’article n°1 du décret précise que la DPID est une « instance d’expertise, de direction et de coordination », qui a la mission « de garantir au ministre de la défense que les installations, les moyens et les activités de la défense sont protégés contre les actes malveillants ou hostiles, les atteintes au secret de la défense
nationale et la cybermenace ».

Le décret précise que la DPID est constituée de 4 départements :

- « Politique de protection », en charge « d’élaborer la politique de protection et le référentiel ministériel des menaces ainsi que de préparer l’approbation des plans de sécurité des opérateurs
d’importance vitale »;

- « Moyen de protection », chargé de « traduire en termes capacitaires les mesures de protection à mettre en œuvre »;

- « État des lieux et conformité », chargé de « superviser la mise en œuvre de la politique de contrôle, d’audit et d’inspection »;

- « Analyse de la menace, expertise », chargé « d’exploiter les analyses des services de renseignement et de déterminer le niveau de vulnérabilité des installations, moyens et activités de la défense ».



http://www.opex360.com/2015/08/24/saisie-en-juillet-par-le-ministre-de-la-defense-la-dpid-officiellement-creee-en-aout/

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L’armée de l’Air va recréer 7 escadres de plus
Posté dans Forces aériennes par Laurent Lagneau Le 21-08-2015

Supprimées en 1994, les escadres sont en train de faire leur grand retour au sein de l’armée de l’Air. Il s’agit ainsi, dans le cadre du plan stratégique « Unis pour faire face », de regrouper les unités assurant une même mission dans une structure unique. Et cela afin de simplifier la chaîne de commandement pour la rendre plus claire et lisible.

L’an passé, 4 escadres ont été recréés : la 31e Escadre de ravitaillement en vol à Istres, avec la réunion du GRV 2/91 Bretagne et l’escadron des soutiens techniques spécialisés (ESTS) 15/93, la 36e Escadre de commandement et de conduite aéroportée (EC2A), l’Escadre sol/air de défense aérienne-1er régiment d’artillerie de l’air (ESADA-1er RAA) et, à Nancy, la 3e Escadre de chasse, avec le regroupement des escadrons 1/3 Navarre, 2/3 Champagne, 3/3 Ardennes, 2/7 Argonne et l’ESTA 5/3.

Cette année, dans un communiqué diffusé le 20 août, l’armée de l’Air a annoncé la réactivation de 7 nouvelles escadres, soit :

- La 8e Escadre de chasse sur la base aérienne (BA) 120 de Cazaux, le 25 août;

- La 4e Escadre de chasse sur la BA 113 de Saint-Dizier, le 26 août. Cela suppose le départ de l’escadron 1/7 Provence vers d’autres cieux et l’arrivée du 2/4 La Fayette quand il aura reçu ses Rafale B. Le général Mercier, le chef d’état-major de l’armée de l’Air (CEMAA) avait en effet avancé qu’il fallait « faciliter l’entretien des compétences et rassembler nos avions biplaces ».

- La 64e Escadre de transport sur la BA 105 d’Évreux, le 27 août

- L’Escadre aérienne de commandement et de conduite projetable, également à Évreux;

- La 61e Escadre de transport sur la BA 123 d’Orléans-Bricy, le 1er septembre;

- La 2e Escadre de chasse sur la BA 116 de Luxeuil, le 3 septembre;

- La 30e Escadre de chasse sur la BA 118 de Mont-de-Marsan, le 3 septembre.

« Dans un premier temps, il s’agira de finaliser le positionnement ou le repositionnement des unités. Ensuite, courant 2016, la numérotation des unités, l’immatriculation des aéronefs affectés et le transfert du patrimoine historique (drapeau, traditions et nom de baptême) seront mis en conformité avec les escadres d’appartenance », a expliqué l’armée de l’Air.

Aussi, quelques mouvements sont à prévoir. Ils concerneront les BA de Saint-Dizier, de Mont-de-Marsan et d’Al-Dhafra (Émirats arabes unis).

Selon une note du général Mercier diffusée en juillet, la 30e Escadre de chasse comptera, à terme, l’Escadron de chasse et d’expérimentation 1/30 « Côte d’Argent », l’EC 2/30 Normandie-Niémen, l’EC 3/30 Lorraine (qui quittera Al-Dhafra où il sera remplacé par l’EC 1/7 Provence) et l’ESTA 4/30.

Enfin, il y a quelques années, il avait été décidé que l’immatriculation des avions reprendrait le numéro de leur base d’appartenance. Une décision logique étant donné que les escadres n’existaient plus…

Désormais, il est question de revenir à l’ancienne immatriculation. Les 2 Rafale du Normandie-Niémen arrivés récemment à N’Djamena pour y assurer une relève y sont déjà passés (voir photo , où l’on peut voir 30-CU au lieu de 118-CU).

http://www.opex360.com/2015/08/21/larmee-de-lair-va-recreer-7-escadres-de-plus/

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Le 31e Régiment du Génie se réorganise
Posté dans Forces terrestres par Laurent Lagneau Le 25-08-2015


Si l’on en croit son chef de corps, le colonel Guillaume Venard, le 31e Régiment du Génie (RG), implanté à Castelsarrasin, aurait dû perdre deux compagnies de combat et plus de 200 sapeurs s’il n’y avait pas eu l’actualisation de la Loi de Programmation Militaire (LPM)2014-2019, votée avant le congé estival.

Pour rappel, cette dernière prévoit une moindre déflation des effectifs du ministère de la Défense et ainsi qu’un effort particulier en faveur de la Force opérationnelle terrestre (FOT), qui verra les siens passer de 66.000 à 77.000 militaires.

Ainsi, le 31e RG va donc garder ses effectifs et même compter jusqu’à 20 sapeurs de plus, d’après les condidences faites par le colonel Venard au quotidien La Dépêche. Pour autant, le régiment n’échappera pas à une réorganisation de ses structures.

Pour le moment, le 31e RG compte une compagnie de commandement et de logistique, une compagnie d’appui, trois compagnies de combat, une compagnie de production d’énergie, une compagnie d’aide au déploiement opérationnel et une unité de réserve d’intervention.

Le plan dévoilé par le colonel Venard prévoit de regrouper les 2 compagnies de production d’énergie de l’armée de Terre – et donc leurs spécialistes – au sein d’un seul et même régiment. Comme le 31e RG en dispose déjà d’une, il récupérera ainsi celle du 6e Régiment du Génie d’Angers, qui, en échange, gagnera une compagnie de combat en provenance de Castelsarrasin.

« Avec cette nouvelle restructuration, le 31e va devenir un régiment spécifique dans l’aide au déploiement sans toutefois se couper de ce qu’il est aujourd’hui, un régiment de combat du génie vu que nous conservons deux de nos trois compagnies de combat », a commenté le colonel Venard. « Le régiment sera donc composé de deux structures : l’appui au déploiement avec deux compagnies d’énergie et la 973e pour l’infrastructure, de l’autre l’appui au contact avec nos deux compagnies de combat », a-t-il expliqué.

Cela étant, tout n’est pas encore « calé » car il reste à déterminer la compagnie qui partira à Angers. Un « vrai casse-tête » pour le chef de corps du 31e RG étant donné que les trois unités susceptibles d’être concernées doivent toutes partir prochainement en opération, notamment en Martinique, au Liban et en Côte d’Ivoire. En outre, une inconnue subsiste pour la 22e compagnie, celle qui regroupe les démineurs, les plongeurs du génie et les moyens de production en eau.

Quoi qu’il en soit, le 31e RG passera directement sous les ordres de la division qui sera installée à Marseille. « Dans cette entité, il y aura trois brigades sans que nous n’appartenions à aucune d’entre elle », a précisé le colonel Venard. Le régiment répondra à la fois aux besoins de ces trois brigades ainsi qu’à ceux « de toute l’armée de Terre, au vu de notre spécificité énergie », a-t-il ajouté.



http://www.opex360.com/2015/08/25/le-31e-regiment-du-genie-se-reorganise/

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PASSEX for French Navy ASW Frigate Montcalm and U.S. Navy Destroyer USS Porter

In mid-August , the French Navy (Marine Nationale) Georges Leygues-class anti--submarine warfare frigate Montcalm (D 642) and the U.S. Navy Arleigh Burke Flight II Class destroyer USS Porter (DDG 78) conducted a passing exercise (PASSEX) in the eastern Mediterranean sea.




The PASSEX was organized to commemorate the 71st Anniversary of Operation Dragoon (World War II Allied landing on Southern France) and during which French cruiser Montcalm provided accurate and effective coastal fire support.

During this PASSEX, the French frigate and American destroyer conducted joint training in:
- anti-submarine warfare
- tactical datalink
- anti-surface warfare (with main guns against floating targets).

These successfully conducted trainings are aimed to maintain the both navies ability to operate jointly and immediately should the need arises.

In addition, 10 French sailors were transferred aboard USS Porter while 10 US sailors got the chance to get aboard Montcalm.



http://www.navyrecognition.com/index.php?option=com_content&task=view&id=3039

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Fusillade à Roye: quatre morts dont un gendarme et trois blessés graves dans la Somme

http://www.huffingtonpost.fr/2015/08/25/fusillade-roye-morts-blesses_n_8038396.html

RIP

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La Force maritime des fusiliers marins et commandos a un nouveau patronPosté dans Forces navales, Forces spéciales par Laurent Lagneau Le 26-08-201


Le capitaine de vaisseau François Rebour a officiellement pris le commandement de la Force maritime des fusiliers marins (FORFUSCO), le 25 août, à Lorient. Il remplace ainsi le contre-amiral Olivier Coupry, qui occupait la fonction d’ALFUSCO depuis 3 ans.

Au cours de son mandant à la tête de la FORFUSCO, ce dernier a eu fort à faire, notamment au niveau de la forte sollicitation opérationnelles des marins placés sous son commandement.

« Nous avons entre 350 et 400 hommes hors de nos frontières. Près de 350 fusiliers marins sont déployés sur des missions de protection des bâtiments et sur les sites sensibles. Les unités des forces spéciales ont été de toutes les opérations », avait-il confié, en février 2013.

Par ailleurs, le contre-amiral Coupry a entrepris une réforme du corps des fusiliers marins afin de juguler une hausse des départs de la FORFUSCO.
« On a redynamisé les cycles d’activité pour briser la routine qui s’était installée. Aujourd’hui, on alterne entre un mois de service en protection de site et un mois d’entraînement, pendant huit mois. Après, les fusiliers marins sont projetés à l’extérieur, notamment sur des missions de protection embarquée qui sont importantes, compliquées et ambitieuses », avait-il expliqué, dans les colonnes de Ouest France, en mai dernier.

Son successeur pourra bénéficier d’une hausse de 500 recrutements de fusiliens marins supplémentaires en 2015. En outre, il aura à finaliser la mise sur pied d’un septième commando marine qui sera chargé de l’appui aux opérations spéciales (CAOS).

Le capitaine de vaisseau Rebour, diplômé de l’École navale (promotion 1983), est breveté commando et certifié nageur de combat. Il a par la suite été notamment affecté aux commandos Jaubert et Hubert ainsi qu’aux États-Unis, dans le cadre d’un échange avec les forces spéciales navales américaines (Navy Seals). Il a aussi servi à bord du bâtiment d’intervention sous-marine « Triton », de l’aviso escorteur « Amiral Charner » et du porte-hélicoptères Jeanne d’Arc.

Le nouvel ALFUSCO a également commandé le commando Hubert ainsi que le bâtiment de nageurs de combat Poséidon. Avant de prendre la tête des fusiliers marins et des 6 commandos marine, il occupait les fonctions d’adjoint pour la défense et la sécurité à l’État-major de la Marine nationale.

« Très clairement les demandes opérationnelles d’action commando et d’action de protection défense vont s’accroissant face aux menaces et aux risques qui se développent et mutent. Vous connaissez bien les exigences de sécurité qui valent aujourd’hui, tant sur le territoire national qu’à l’extérieur et ses interdépendances (…) Comme par le passé, la FORFUSCO devra rester particulièrement agile et inventive pour répondre au contexte stratégique et conserver en toutes circonstances l’excellence opérationnelle attendue d’elle », a déclaré le capitaine de vaisseau Rebour, lors de sa prise de commandement.


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Des Mirage au-dessus du cercle polaire


Posté dans Forces aériennes par Laurent Lagneau Le 26-08-2015  



L’an passé, l’armée de l’Air avait envoyé un détachement de 200 aviateurs et 11 Rafale en Norvège, précisément à Banak, une base située au-delà du 70e parallèle Nord, en Norvège, pour une campagne de tirs air-sol appelée « Arctic Thunder ».

Cette année, l’expérience a été reconduite, avec cette fois 4 Mirage 2000N de l’Escadron 2/4 La Fayette d’Istres et autant de Mirage 2000D de la base aérienne de Nancy-Ochey. Ces deux types d’appareils évoluent désormais ensemble pour des missions de frappes.

En effet, le Mirage 2000D emporte le pod qui permet de guider les bombes conventionnelles larguées par le Mirage 2000N, dont la mission principale est la frappe nucléaire. Il s’agit ainsi d’économiser le potentiel du premier, très sollicité, ces derniers temps, lors des opérations menées par la France.

En Norvège, les aviateurs français bénéficient de conditions idéales : le champ de tir de Halkavarre, situé à 20 km de Banak, présente un vaste choix de cible et, comme le souligne l’armée de l’Air, « les faibles restrictions en termes de survol, leur permettent de s’exercer dans des conditions proches de celles rencontrées en déploiement lors d’une opération extérieure ».

La campagne de tir a commencé le 24 août. Les Mirage 2000D/N utilisent des munitions dites « bonnes de guerre », dont des bombes GBU-49 dotées de kits de guidage laser ou GPS, GBU-12 et Mk.82.


http://www.opex360.com/2015/08/26/des-mirage-au-dessus-du-cercle-polaire/

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DCNS-Built OPV L’Adroit Confirms its Operational Capacities with the French Navy

L’Adroit, an offshore patrol vessel (OPV), built by DCNS on its own funds and placed at the disposal of the French Navy since October 2011, returned at the start of July after 4 months of intense operations around the African continent. Its commander, frigate captain Luc Régnier, talks about the operational capacities and availability of the vessel, which demonstrated its reliability to carry out fisheries policing and maritime security missions. The partnership developed between DCNS and the French Navy can therefore be considered a veritable success.



What missions did you carry out during this deployment?
“The four months of mission for the OPV L’Adroit were extensive and intense. After a patrol in the Mediterranean in March, the vessel was sailed to the Red Sea at the start of April to participate in the Atalante European anti-piracy mission around the Horn of Africa. But the conflict in Yemen between the Houthi rebels and the Yemenite president’s forces changed this programme. Over a period of two weeks, together with the frigate Aconit, L’Adroit played a major role in the evacuation of some one hundred French citizens from Aden, then escorted Djibouti boutres between the Yemenite ports of Al-Moka and Djibouti for the evacuation of several hundred Djiboutian citizens and foreign refugees. L’Adroit then returned to participate in the Atalante operation along the Somalian coast up until the end of May, after which the mission continued in the French exclusive economic zone of the Mozambique canal to ensure fisheries monitoring and maritime security. Last but not least, after a stopover in Cape Town, the patrol vessel sailed to the West African coast and participated in several weeks of intense exchanges with the navies of the Gulf of Guinea region, in support of the Corymbe support operation.”

What are the strong points of L’Adroit?
“During these missions, the offshore patrol vessel demonstrated exceptional endurance and availability. The vessel’s low fuel consumption allows the spacing out of re-supply stopovers and L’Adroit is simple to operate and maintain… It is a great success! Furthermore, the integrated innovations make it a vessel that is entirely suited to its monitoring and rapid intervention missions.
Most of our work is done visually. The high bridge with panoramic visibility therefore represents an advantage and increases operations safety as the helicopter and boats are clearly visible.



In addition, L’Adroit is equipped with modern systems for communications, radar surveillance and electronic warfare, integrated into the Polaris® mission management system. This software system merges gathered information to support navigation and allows sharing with other vessels. It was presented to the navies of the Gulf of Guinea region within the frame of our cooperation, which includes in particular the exchange of information at sea with the land-based regional control centres.
The Camcopter® S-100 airborne drone that equips L’Adroit is also connected to the Polaris® system. It was not possible to use this drone during the recent operations of L’Adroit but over the last two years of testing, it represented a clear advantage. With a flight autonomy of five hours, it can send real-time images whilst remaining discrete, with a low fuel consumption and without exposing personnel to risks.
Last but not least, L’Adroit has very high-performance rapid boats and a launch ramp on the rear platform allowing a discrete launch in thirty seconds. This acceleration of operations speed was greatly appreciated in Aden, in particular.”

Has the partnership developed between the French Navy and DCNS since 2011 worked well?
“Yes, as it allowed the French Navy to test an innovative and reliable patrol vessel whilst at the same time giving DCNS and its industrial partners a floating shopwindow. On the one hand, the French Navy was able to better define its needs in view of the renewal of its patrol vessel fleet in the frame of the future BATSIMAR (maritime surveillance and intervention vessels) programme.
On the other hand, L’Adroit represented an effective promotional tool for DCNS and its partners. Each year, the French Navy and DCNS jointly defined export-support missions performed by L’Adroit to promote this vessel with foreign navies during stopovers and missions at sea.
Since the launch of this OPV, built using its own funds, DCNS created – in 2013 – together with the Piriou naval shipyard, which also participated in the construction of L’Adroit, a joint company, Kership, which markets offshore patrol vessels and specialist ships: L’Adroit, whose generic name is OPV 90, served as an experimental tool to prepare a range of armed vessels of 40 to 95 metres intended for State maritime intervention missions. Further to the feedback received from the French Navy, certain types of equipment, such as the single integrated mast and the rear launch system, were introduced on smaller OPVs and other DCNS vessels. With this range of vessels, DCNS is solicited to respond to calls for tender in several countries that used L’Adroit as inspiration for drafting their specifications. The commercial future of this OPV and its derived vessels is therefore very promising!”

http://www.navyrecognition.com/index.php?option=com_content&task=view&id=3050