Actualités Algeriennes

Rappel du premier message :

ils veulent acheter la tunisie avec un pret de 100 millions $ et quelques roquette pour combattre daech

Khalida toumi l'islamophobe qui assume. Je pense lire quelque part que son grand pére était un soldat français.

Normalement une autoroute c'est fait pour gagner du temps, mais pas ""la-bas""

http://www.tsa-algerie.com/20151109/autoroute-est-ouest-sur-le-troncon-de-la-mort-des-embouteillages-monstres/ a écrit:

Autoroute Est-Ouest : sur le tronçon de la mort, des embouteillages monstres

La plupart des automobilistes vous le diront : ce trajet est devenu infernal. Des heures d’embouteillages, des accidents mortels… C’est ce qui vous attend si vous empruntez l’autoroute Est-Ouest entre Alger et Bouira. Cette parcelle d’autoroute est un véritable casse-tête, notamment le tronçon de 33 km reliant Lakhdaria à Bouira. Depuis mai 2013 les travaux de réhabilitation de la route se poursuivent avec une échéance finale qui n’arrive pas.

Pourtant cette autoroute est très fréquentée, le trafic y est important au quotidien. Les transporteurs, les routiers, ou les automobilistes qui l’empruntent régulièrement ne cessent de dire leur souffrance et parfois leur peur de passer par cette portion d’autoroute.

Pour éviter de se retrouver coincer dans les bouchons, il faut prendre la route très tôt le matin. Sinon, le risque de passer une demi-journée pour faire les 120 km séparant Alger de Bouira est extrêmement élevé. Normalement, avec l’autoroute, la capitale ne devrait être qu’à une heure de Bouira !

« Lorsque vous démarrez d’Alger par exemple à midi vous arrivez à Bouira vers 16h voire 17h. Il y a même des personnes qui ont dû passer la nuit sur la route. La circulation est complètement bloquée au niveau de Lakhdaria », explique Hafidh Bessaoudi, habitant de la région de Bouira qui se rend régulièrement à Alger. « Il y a certains tronçons qui sont bidirectionnels, ce n’est plus une autoroute mais une nationale, voire une départementale », se plaint Hafidh.

Travail cassé

Ce ne sont pas seulement les particuliers qui s’en plaignent, les professionnels dont la route est leur terrain de travail sont désolés de ce gâchis. Pour les nombreux transporteurs qui empruntent cette voie quotidiennement, la lassitude et l’appréhension sont donc devenues leurs compagnes de route. Dans le reportage vidéo suivant les automobilistes, chauffeurs de taxi collectif ou encore de bus évoquent leurs trajets quotidiens. Ils y décrivent le danger mais aussi le mal que font ces éternels travaux à leur travail.

A l'image de l'ensemble du pays = zéro! Une honte franchement..

Allah yzidhoum, Longue vie à Bouteflika  J'espère qu'ils vont le cryogéniser et qu'il gouvernera par la télépathie  Inch'Allah

Citation :

Rebrab, Peugeot, droit de préemption : ce qu’a dit Bouchouareb à la commission des finances de l’APN

Le ministre de l’Industrie Abdeslam Bouchouareb a été présenté, ce dimanche 8 novembre, un exposé sur son secteur devant la commission des finances de l’APN. La rencontre a eu lieu à huis clos.

Selon un membre de cette Commission, Bouchouareb a été interrogé sur plusieurs sujets notamment l’affaire Rebrab, le projet Peugeot, les importations de véhicules, l’usine Renault, la détérioration du climat des affaires, le droit de préemption, les importations de véhicules…

« Sur Rebrab, le ministre a affirmé qu’il maintenait ses accusations. Il n’a rien dit de plus », confie notre source. Concernant le droit de préemption, Abdeslam Bouchouareb a expliqué aux députés qu’il n’a pas été supprimé, comme l’affirme Louisa Hanoune.

Droit de préemption

« Le droit de préemption est maintenu et renforcé », a dit le ministre, selon la même source. Sur le marché du véhicule, Abdeslam Bouchouareb a expliqué aux députés que les mesures prises par son département ont « permis jusque-là d’économiser un milliard de dollars et de réduire de 50 000 le nombre de véhicules importés ».

« À la fin de l’année, nous allons économiser 1,5 milliard de dollars et réduire les importations de 150 000 véhicules par rapport à 2014 », a-t-il dit, en affirmant que les nouvelles mesures exigent des concessionnaires de s’approvisionner directement auprès des constructeurs. « Il n’y aura plus de sociétés écrans et les intermédiaires », a expliqué le ministre, en affirmant que certains concessionnaires ont « surfacturé jusqu’à 80% »  leurs importations. M. Bouchouareb n’a pas donné de noms.

Renault et Peugeot

Sur les projets d’assemblage de Renault et Peugeot, Bouchouareb a expliqué qu’un accord a été trouvé avec Renault pour faire venir des sous-traitants. Renault réalisera « la totalité de l’emboutissage » destinée à l’usine d’Oran en Algérie, a dit Bouchoureb. « Pour Peugeot, le ministre a dit que la capacité de son usine algérienne sera limitée pour éviter une situation de monopole et qu’il a exigé du constructeur français d’installer un réseau de sous-traitance »   , ajoute notre source. Devant les députés, Abdeslam Bouchouareb s’est vanté de faire de l’Algérie le troisième pôle d’intérêt de Peugeot en Afrique, après l’Égypte et l’Afrique du Sud. Il a une nouvelle fois taclé la politique industrielle du voisin de l’ouest. « Le ministre, poursuit notre source, a dit qu’au Maroc, l’usine Peugeot sera implantée dans une zone franche, ce qui n’a rien à voir avec l’Algérie. »

Interrogé sur le rachat d’ArcelorMittal et « le remboursement des investissements réalisés », le ministre de l’Industrie n’a pas donné de réponses aux députés. « Il a dit qu’il va répondre ultérieurement », ajoute notre source.

Pourquoi les investisseurs boudent l’Algérie

Sur la détérioration du classement de l’Algérie au Doing Business, Bouchouareb a reconnu que l’investissement était difficile dans notre pays, selon notre source. « Les gens n’arrivent pas à investir et ils préfèrent aller dans des zones où il est plus facile de le faire. On n’applique pas le Code de l’investissement », a expliqué Bouchouareb aux députés et devant lesquels il s’est défendu de favoriser les étrangers. Il s’est également prononcé contre l’article 52 du projet de Loi de finances  2016 qui prévoit la cession des concessions attribuées dans le cadre de l’investissement touristique.

http://www.tsa-algerie.com/20151108/rebrab-peugeot-droit-de-preemption-ce-qua-dit-bouchouareb-a-la-commission-des-finances-de-lapn/

Alors plus gros et plus grand que celle du voisin ou pas

Citation :

Grande mosquée d’Alger : la hauteur du minaret pose problème

Le rêve du président Bouteflika de construire la troisième plus grande mosquée au monde à Alger risque de ne pas se réaliser. Selon des sources proches du dossier, des problèmes techniques pourraient obliger l’Algérie à revoir ses ambitions à la baisse en réduisant la hauteur du minaret.

Au ministère de l’Habitat, tout le monde sait qu’il faut réduire la hauteur du minaret pour finir le projet rapidement. « Mais qui osera le dire au président de la République qui accorde beaucoup d’importance à ce projet ? Il lui a été présenté dans le détail, ce qui n’est pas le cas des autres projets », explique une source proche du dossier.

Interrogé par notre journaliste ce lundi en marge de la visite du Premier ministre à Blida, le ministre de l’Habitat, Abdelmadjid Tebboune, a répondu : « Le minaret reste à 270 m ».

Mais si aucune décision de réduire la hauteur du minaret n’a été prise, des doutes planent sur la faisabilité d’un édifice aussi haut sur un terrain argileux et marécageux. « Les réassureurs boudent le projet en raison justement des risques liés à l’instabilité du minaret qui pourrait devenir une tour de Pise bis dans quelques années », explique notre source.

La compagnie d’assurance Cash, en charge de l’assurance du projet, peine en effet à trouver un réassureur étranger pour la Grande mosquée d’Alger. Interrogé ce lundi par TSA, son PDG a refusé de s’exprimer sur le sujet.

Les problèmes techniques liés à la construction du minaret ont déjà poussé le gouvernement à résilier le contrat, l’été dernier, avec le bureau d’études allemand en charge du suivi du projet.

« Les Allemands ont soulevé des problèmes techniques et demandé du temps pour les résoudre. Ils ont émis des doutes sur la stabilité d’un minaret de 270 m de hauteur. Des solutions techniques existent, mais leur mise en œuvre nécessite du temps. Cependant, les Algériens et les Chinois sont pressés de finir le projet qui accuse déjà beaucoup de retard », ajoute notre source.

Depuis le départ des Allemands, le ministère de l’Habitat n’a pas recruté un autre bureau d’études pour le suivi des travaux de réalisation, ce qui est extrêmement risqué pour un édifice conçu pour accueillir 120 000 fidèles.

La future Grande mosquée d’Alger, en construction à Mohammadia en face de la baie d’Alger (à l’est de la capitale), sera le troisième édifice religieux musulman au monde après les mosquées de Médine et de La Mecque, en Arabie Saoudite.

Le projet comprend 12 bâtiments indépendants disposés sur un terrain d’environ 20 hectares avec une surface brute de plus de 400 000 m².

La grande mosquée d’Alger sera également dotée d’une salle de conférences, d’un musée d’art et d’histoire islamiques, d’un centre de recherches sur l’histoire de l’Algérie, de locaux commerciaux, d’un restaurant, de bibliothèques et d’un parking de 6 000 places.

http://www.tsa-algerie.com/20151109/grande-mosquee-dalger-la-hauteur-du-minaret-pose-probleme/

Rêve bizarre que j'ai vue cette nuit. J'ai vue que Bouteflika était mort et qu'une fitna avait commencée en Algérie.

il faut le pardonner le pauvre voici le cv de bouchouareb :le punk du gouvernement du rigolo sellal !

Citation :

Né en 1952 dans la wilaya de Oum el Bouaghi, Abdeslam Bouchouareb est ministre de l’Industrie et des Mines dans le gouvernement Sellal.

Au premier regard, ce n’est pas flagrant : Abdeslam Bouchouareb, c’est le punk du gouvernement. Né le 3 juin 1952 à Ain M’lila, l’homme est issu d’une famille aisée. Après son baccalauréat, il se lance dans des études en sciences médicales et humaines. Très vite happé par Paris, le jeune étudiant se laisse séduire par la vie de bourgeois-bohême.

Artiste dans l’âme, il rejoint un groupe de rock en tant que bassiste et réunit des fonds pour lancer une maison d’édition spécialisée dans la bande dessinée. Une passion qui l’anime encore à ce jour. C’est à l’époque qu’Abdeslam Bouchouareb rencontre sa première femme. De cette union naîtront deux filles.

La trentaine bien entamée, le futur ministre se lance dans les affaires. Il crée en Algérie une entreprise de fabrication et distribution de chips et purée. « C’était le seul sur le marché, il a amassé avec cela une fortune colossale », racontent ceux qui le connaissent bien. De l’argent qui lui aurait permis de financer les projets de grands industriels actuels. La liste est tenue secrète. En 1989, il fonde et préside la première confédération patronale algérienne : la CGEOA.

Sa biographie officielle ne précise pas comment Abdeslam Bouchouareb s’est retrouvé, en 1994, à la présidence du Conseil national économique et social. Là, il plaide pour une Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes, devenue depuis un acronyme célèbre : l’ANSEJ. Fasciné par la chose politique, l’homme connaît une ascension fulgurante. Deux ans plus tard, le voilà ministre de l’Industrie dans le gouvernement d’Ahmed Ouyahia. Relégué au poste de commissaire auprès du chef du gouvernement pour la promotion de l’emploi des jeunes en 1998 avant de se voir proposer le ministère délégué à l’emploi en 2000.

Chef de cabinet et membre du bureau politique du RND – le Rassemblement national démocratique – Abdeslam Bouchouareb se fait élire député d’Oum el Bouaghi entre 2002 et 2007. Il est ensuite parachuté à Alger. Député toujours, ses pairs le désignent comme membre du bureau de l’Assemblée populaire nationale et vice-président chargé du suivi des affaires administratives et du contrôle financier.

La même année, en 2012, il est élu à Rome vice-président de l’International démocratique centriste. L’année de la consécration ? Pas tout à fait, puisque sur le plan judiciaire, les ennuis s’accumulent. On lui reproche d’être impliqué dans le scandale Khalifa. L’homme aurait indument bénéficié de fortes sommes de la banque Khalifa. La presse évoque tantôt un don de 40.000 dollars, tantôt un crédit illégal de 12 millions de dinars. Une plainte a été déposée. Il n’y a pas eu de suites judiciaires.

Proche de Saïd Bouteflika, Abdeslam Bouchouareb se voit proposer en 2014 la direction de la Communication de la campagne du président-candidat. Un défi de taille alors qu’Abdelaziz Bouteflika, diminué par la maladie, n’a prévu aucune apparition publique. L’élection passée, l’homme est chaleureusement récompensé. Il retrouve en mai 2014 un ministère qu’il connait bien, celui de l’Industrie.

http://www.tsa-algerie.com/20150505/abdeslam-bouchouareb-biographie/

En tous cas bsathoum, l'usine Renault d'Oran qui a produit en un an 14000 bagnoles (dont 12000 vendu) ( 4 fois moins que la Somaca et 18 fois moins que Tanger Renault)

soit 1,6 voiture par heure, pas terrible.

RadOne a écrit:

soit 1,6 voiture par heure, pas terrible.

Pour des mécano c'est pas mal Attend la super mega stratégie de leur visionnaire va porter c'est fruit il a dit:

Citation :

Il a une nouvelle fois taclé la politique industrielle du voisin de l’ouest. « Le ministre, poursuit notre source, a dit qu’au Maroc, l’usine Peugeot sera implantée dans une zone franche, ce qui n’a rien à voir avec l’Algérie. »

Puis apporté des précisions:

Citation :

"Peugeot viendra en Algérie avec sa filiale Faurecia pour prendre en charge la sous-traitance. Ce qui va nous permettre d'atteindre, dès le lancement de la production, un taux d'intégration appréciable", a déclaré M. Bouchouareb à la presse en marge d'une rencontre économique algéro-suisse.

Faurecia va venir, avec un taux d'intégration appréciable, j'attends de voir le taux en question. Sinon

Citation :

Sur ce dernier point, il a considéré que les nouvelles mesures d'encadrement du marché de l'automobile ont permis de diminuer le nombre de véhicules neufs importés de 100.000 unités, et de réduire leur facture de 1,565 milliards de dollars durant les dix (10) premiers mois de 2015.

Le ministre table, ainsi, sur une baisse des importations de 150.000 véhicules d'une valeur de 2 milliards de dollars au titre de l'année 2015.

Pour rappel 2014= 340 000 voiture importé si on en croit les information si dessus ils visent -150 K véhicule donc un marché de plus ou moins 200 000 unité vendu. Donc pas de quoi absorbé les capacité de production de leur atelier de boulonnage.... J'ai hâte de voir en quoi leur stratégie est si différente

En meme temps ce qu il ne dit pas c est que le marche automobile en Algerie est en baisse et oui il y a plus de sous...

Faurecia machin ne vas pas produire des pièces de tout bord pour les Peagot. dans n'importe quelle marché, il y'a une spécialisation, donc cette société vas produits une pièces ou deux.

Il te faut une pépinières d'entreprises pour avoir un taux d'intégration respectable et ses entreprises doivent exporter vers des marchés éxtèrieurs leurs pièces pour avoir un taux de rendement et avoir une marge de progrés.

donc cette Faurecia, sera lié financièrement par Peagot et doit absorber ses pertes, car on parle de 14000 voitures, pas de quoi faire tourner une entreprises de pièces.

en Réalité cette entreprises s'en chargera de l'importe de pièces avec une production d'une pièces ou deux pour avoir un fond de commerce politique.

Les entreprises de pièces auto ne s'implante pas que si l'usine tourne à un certain chiffre et en plus vite ils dépasse le besoin locale, ce qui les pousse à exporter, ex Maroc.

Fahed arrette avec les chifres tu vas donne a l'homme hrik erras,doucement,tu vas trop vite pour lui.

Citation :

Répondant à une question d’El Watan, M. Sonilhac a précisé que la société qu’il dirige «escompte atteindre le taux de 42% d’intégration durant la deuxième phase qui sera lancée en 2019». «Nous avons mis en place un groupe qui travaille sur l’intégration locale. D’autres entreprises vont nous équiper», affirme le premier responsable de l’usine d’Oued Tletat.  «Depuis le lancement de l’usine, près de 12 000 Symbol Dernaha Djazairia ont été vendues, dont 95% représentent des ventes à des clients particuliers.

Renault Symbol Algérie se positionne à la seconde place du marché tous segments confondus au cumul de cette année», révèle M. Josselin. «A fin octobre 2015, 14 000 Renault Symbol Dernaha Djazairia ont été fabriquées. D’ici la fin de l’année, nous atteindront 20 000 véhicules assemblés», prévoit quant à lui, M. Sonilhac. Les responsables de Renault évoquent «un succès commercial».

Il n' y a que chez la junte qu'on peut entendre ce genre de conneries:

- Avec 4 sous traitent, on peut atteindre 42% de taux d'intégration.

- On a fabriqué!!! (monté) 14 000 voitures, mais on a vendu 12 000 voitures??? l'industrie automobile ne fais pas de stock, on fabrique pas des bonbons. Le plus souvent, on fonctionne en flux tirés en industrie automobile, si c'est en flux poussés, il devrait y avoir des prévisions presque exacte avec des marges d'erreurs proche de 0.

- à fin octobre 14 000 voitures montés, à la fin d'année, c'est à dire d'ici 2 mois, 20000 voitures seront montés

Ils prennent les responsables algériens pour des attardés mentaux

Il y a pas la masse critique surtout que le marché automobile algérien est en replis, et que le pouvoir d'achat ne suit pas, le pouvoir algérien voulait une Symbole Haut de Gamme pour se différencier des Logan qui sortent de la Somaca, cependant les Algériens n'ont pas les moyens de l'acheter...lol
De toute façon, il est clair que l'équilibre financier sera dure a atteindre (d'ailleur il n'en parle pas...) et ca sera encore la boite noire du régime, j'ai nommé la Sonatrach qui devra payer la note...

Un an après le lancement de la Symbol: Le gouvernement algérien et Renault reviennent sur terre

Citation :

Le gouvernement algérien et Renault reviennent sur terre.

mardi 10 novembre 2015 | Par Yacine Babouche (TSA)

http://www.tsa-algerie.com/20151110/le-gouvernement-lgerien-et-renault-reviennent-sur-terre/

Il y a un an déjà, le 10 novembre 2014, l’usine de production Renault Symbol "Made in Algérie" était inaugurée à Oran. Dire que l’inauguration de la Symbol s’était faite en grande pompe est un euphémisme. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le ministre de l’Industrie, Abdesslam Bouchouareb, les ministres français Laurent Fabius et Emmanuel Macron, respectivement ministres des Affaires étrangères et de l’Économie, le PDG du groupe Renault… Tous étaient présents pour inaugurer la première voiture algérienne, sous le slogan « Dernaha Djazaïria ».
Un an après son lancement, le premier anniversaire de la Renault Symbol « Made in Algeria » est par contre célébré avec une modération et discrétion manifestes, tant pour Renault que pour le pouvoir algérien.
Renault a marqué l’occasion par la publication d’un communiqué vantant le « véritable succès commercial » de la voiture, qui s’est vendue à près 12 000 unités sur les 14 000 fabriquées. Elle a aussi fêté l’anniversaire en lançant une série limitée nommée « Miladi », écrit en arabe.
Malgré les bons résultats commerciaux de la Symbol, aucune grande cérémonie, où auraient été conviés les ministres algériens et français pour célébrer le « véritable succès » du véhicule, n’a été organisée par Renault. Même le ministre de l’Industrie, Abdesslam Bouchouareb, d’habitude si prompt à chanter les louanges de la Renault Symbol « made in Algérie », n’a pas fait le déplacement.


Pour le pouvoir, l’heure n’est clairement plus à l’autocongratulation et pour cause. Bien après le lancement de la Symbol algérienne en fanfare, le gouvernement algérien semble s’être clairement rendu compte qu’une usine d’assemblage comme celle d’Oran ne signifie pas grand-chose, surtout sans le développement d’une structure de sous-traitance locale. Alors qu’il eût fallu exiger cela dès les premières négociations, le gouvernement est récemment revenu vers Renault pour demander que ce dernier délocalise en Algérie ses sous-traitants.
Le groupe Renault, bien trop content de son partenariat avec l’Algérie où il ressort presque totalement gagnant, semble avoir accepté la requête algérienne sans broncher. Ainsi, trois nouveaux sous-traitants feront bientôt leur apparition pour « accompagner le développement de l’intégration locale ». Martur Algérie fournira les sièges du véhicule dès janvier prochain, Sitel fournira différents câblages à partir de 2016, tandis qu’il faudra attendre début 2017 pour que Sarel vienne fabriquer une trentaine de pièces plastiques pour la Symbol.
La collaboration entre le gouvernement et Renault pour établir une usine en Algérie aurait pu être un réel partenariat gagnant-gagnant si les choses avaient été faites correctement. Aujourd’hui, les différentes décisions semblent plutôt avoir pour principale motivation une volonté de sauver la face du gouvernement.
Le succès commercial de la Symbol « made in Algérie » risque cependant de perdurer, surtout avec le lancement du crédit à la consommation qui lui sera réservé exclusivement. La Renault Symbol a encore de beaux jours devant elle. Dernaha Djazaïria, après tout, non ?

http://www.presse-dz.com/revue-de-presse/un-an-apres-le-lancement-de-la-symbol-le-gouvernement-algerien-et-renault-reviennent-sur-terre

Allah i chafih. 
C'est triste que les généraux ne le laissent pas tranquille finir ses jours...

Les algériens ont un président a leur image

Je me demandes pourquoi El merrakchi en Italie et pas en France ou ils ont leurs habitudes.

et si Boutef vas au de là de la France, c'est qu'ils veulent éviter le débat, le clan Aziz Boutef prépare l'aprés et étouffe le débat de l'aprés boutef jusqu'à ce qu'il soit prêt.

Pourquoi chaque fois que M6 donne un discours fort boutef a une crise cardiaque ou bien il est evacue si vou vous rapelez,maintenant M6 est devenu dangereux avec ses discours il a mis le paquet en voyant le plzbel de abdelaziz aussi.la dose a augmente a 2.

Le Bouchouareb Show continue...tout a l'heure notre ami a dit a la TV Algérienne que l'Algérie pourrait devenir le premier producteur de phosphate en Afrique (rien que ca)
en effet pour lui, la production de phosphate en Algérie pourrait arriver a 10 millions de tonne (contre 2 actuellement) je ne sais pas par quel miracle il va multiplier par 5 la production mais qui vivra verra...
1er producteur de phosphate en Afrique ?
Oui car pour lui le voisin de l'Est (Tunisie) ne produit que 7 millions de tonne de phosphate
et le voisin de l'Ouest (Maroc) n'en produit que....8 millions !!!!!
Juste lui dire de révisé ses chiffres, l'OCP produit annuellement 30 millions de tonne !!!!! et devrait en produire 50 d'ici 2020....

Edit modération: Merci d'élever le niveau, les insultes pour insulter n'ont pas leur place ici

Red Bishop si tu as une source je suis preneur. Depuis 2005 j'attend le déploiement de leur super plan tourisme et phosphate

Journal Tv canal algerie je vais essayer de trouver une redifusion