@Baybars: ca peut durer des dizaines d'années sans aucun resultat postitif.. +vous n'avez plus le choix .. et l'otan vous laissera seuls avec vos propres betises, vous avez tres bien fait le role d'une barriere pendant la guerre froide en mer noire mais maintenant c'est fini.. en ce qui concerne tes idées fascistes je dirai peut importe qui guidera ces plans peut etre un jour.. il sera pas mieux que moussoulini et Hitler Je te dirai la verite , parfois tu me fait rire surtout quand tu commences a parler d'une invasion turque en syrie et d'annexer le pays a la turquie , comme si la planete entiere va commencer a applaudir et crier bravo les turques vous etes des braves hommes .. vous vous croyez qui?? vous etes rien.. vous avez un PBI semblable aux pays bas avec 17 millions de personnes.. quelques bases d'otan qui avaient but de faire face a l'URSS c'est tout.. je sais pas ce qui te donne le sentiment d'avoir Super-Power, si l'histoire et la langue te donne ca je recommende quelques goutres d'heroin pour toi, c'est efficace
Nous sommes les Turcs .!!!
Vous n’êtes plus que l'ombre de vos ancêtres. Vous avez joué au poker dans la région et vous étiez les plus mauvais bluffeur, il est venu le temps du démantèlement de la Turquie et la finalité sera obligatoirement la création d'un état Kurde, Erdogan ne fait que retardé l’inévitable
18 employés Turcs d'une entreprise de BTP ont été enlevés aujourd'hui à baghdad.
Et voila ,maintenant cela se confirme que les turques de rte travaillaient ensemble avec daech avant.Maintenant qu'ils sont force de les combattre daech retourne la monaie.
Turquie : le PKK libère 20 travailleurs turcs enlevés le mois dernier
AFP 08/09/2015
Les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ont libéré mardi vingt ressortissants turcs, dont douze agents des douanes, qu'ils avaient capturés le mois dernier à la faveur de combats avec les forces de sécurité dans l'est du pays, a-t-on appris de sources officielles turques.
Ces personnes, détenues dans les bases arrières du PKK dans le nord de l'Irak, ont été remises entre les mains d'ONG, d'élus kurdes de Turquie et de représentants du gouvernement autonome du Kurdistan irakien, ont précisé à l'AFP plusieurs sources des services de sécurité turcs. Le groupe, douze agents des douanes et huit salariés d'une entreprise de travaux publics, devait regagner la Turquie via le poste-frontière d'Habur en fin de journée.
Le ministre turc des Douanes et du Commerce Cenap Asci a confirmé la libération de ses agents "à l'initiative de l'Etat", sans autre détail. Interrogé par l'AFP, un porte-parole du PKK a expliqué que la libération de ces otages avait été retardée de deux jours en raison de l'intense campagne de frappes aériennes turques qui visent les camps du mouvement dans le nord de l'Irak. "Nous avons libéré 20 travailleurs turcs ce matin (...) dans un village du secteur d'Al-Amadiyah", a ajouté Bakhtiar Dogan.
Le commandement de l'armée turque avait annoncé le 23 août dernier l'enlèvement des douze agents des douanes dans la province de Van, non loin de la frontière avec l'Iran, quelques jours après celui de huit autres ouvriers dans le même secteur.
Depuis la fin juillet, des affrontements meurtriers ont repris entre le PKK et les forces de sécurité turques, faisant voler en éclat les fragiles discussions de paix engagées par le gouvernement islamo-conservateur d'Ankara avec le groupe rebelle à l'automne 2012. Ces deux derniers jours, 30 soldats et policiers ont été tués dans des embuscades tendues par le PKK dans l'est de la Turquie. L'armée de l'air turque a mené en représailles des frappes aériennes contre ses bases en Irak.
Turquie: acquittement requis pour des participants aux émeutes de 2013
AFP 11/09/2015
La justice turque a requis vendredi l'acquittement de 35 supporteurs du club de football du Besiktas d'Istanbul accusés de "tentative de coup d'Etat" pour avoir participé aux violentes émeutes antigouvernementales de 2013, ont rapporté les médias.
Le procureur a estimé devant le tribunal que les preuves recueillies contre les membres du "Carsi", le club des partisans de l'équipe stambouliote, étaient insuffisantes pour les condamner, a rapporté l'agence de presse Dogan.
Ce procès inédit s'est ouvert en décembre 2014. Trente-cinq supporteurs y comparaissent, poursuivis pour avoir constitué une "bande criminelle" et "tentative de coup d'Etat". Ils risquaient la prison à vie. Au fil des audiences, leurs avocats ont démonté tout le dossier monté par le parquet, dénoncé comme une "parodie ridicule" par l'ONG Human Rights Watch. "Il est ridicule de penser qu'on peut organiser un coup d'Etat avec 35 personnes", a ironisé vendredi devant le tribunal un des avocats, Ersan Sen, cité par Dogan.
Ce procès, inédit, a provoqué un tollé en Turquie et à l'étranger. La révolte de 2013 avait débuté fin mai par une mobilisation de militants écologistes opposés à la destruction d'un jardin public, le parc Gezi, sur la place Taksim d'Istanbul.
Après une violente intervention des forces de l'ordre, la mobilisation s'était muée en une contestation politique d'une ampleur sans précédent contre le Premier ministre islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan, aujourd'hui président, accusé de dérive autoritaire et islamiste.
Les manifestations avaient été sévèrement réprimées par la police. Huit personnes ont été tuées, plus de 8.000 blessées et des milliers d'autres arrêtées. Le club des supporteurs de Besiktas, politiquement classé à gauche, avait largement participé aux manifestations anti-Erdogan.
La justice turque a ouvert de nombreux procès contre les manifestants. En avril dernier, un tribunal d'Istanbul a acquitté les 26 chefs présumés de la révolte.
Turquie: la vie peine à reprendre à Cizre après la fin du couvre-feu
Par RFI Publié le 12-09-2015 • Modifié le 12-09-2015 à 11:17
Des soldats turcs au niveau d'un check-point sur la route principale reliant Mardin et Cizre, le 9 septembre 2015. REUTERS/Sertac Kayar
Le couvre-feu en vigueur depuis huit jours a été levé, ce samedi matin 12 septembre à Cizre, à la frontière syrienne et non loin de l'Irak. Cette mesure, assortie d’une interdiction de sortir dans la rue, n’avait plus été appliquée depuis le coup d’Etat de 1980. Elle visait à déloger d’éventuels rebelles du PKK cachés dans la ville et s’est soldée par la mort de plus d’une vingtaine de civils, dont plusieurs jeunes enfants. Mais elle a surtout suscité une réprobation dépassant les frontières de la Turquie.
Avec notre correspondant à Istanbul, Jérôme Bastion
L’annonce vendredi après-midi de la levée du couvre-feu ce samedi matin est intervenue quelques heures à peine après que le Conseil de l’Europe ait exigé d’Ankara que des observateurs soient autorisés à pénétrer dans la ville ; ce n’est certainement pas une coïncidence. Le gouverneur a en tous cas annoncé cette décision en se félicitant de ce que l’opération visant à effacer les tranchées et les barricades dressées par la population s’était achevée avec succès.
Mais la nuit dernière a encore été le théâtre de sérieux bombardements, et un homme a encore été abattu. Ce samedi matin, les habitants n’osaient pas descendre trop vite dans la rue, craignant d’être pris pour cible par des tireurs embusqués de la police, jusqu’à ce qu’une délégation du parti pro-kurde HDP entre dans la ville. Alors, la population, privée de tout pendant une semaine, et toujours sans électricité et sans eau, s’est précipitée vers le four à pain de la ville. Vendredi également, la maire de Cizre, élue avec 83 % de voix en mars 2014, a été démise par le ministre de l’Intérieur pour un « appel au soulèvement armé » qu’elle dément fermement.
Plus de 10.000 personnes dans les rues d'Ankara contre le terrorisme
A l'appel de plus de 200 ONG, plus de 10.000 personnes ont manifesté jeudi dans les rues d'Ankara pour dénoncer le "terrorisme". AFP PHOTO / ADEM ALTAN ALTAN
Turquie "Nous voyons tous les jours à la télé les enterrements de nos martyrs. Ces morts sont nos fils et nos frères, nous voulons la paix".
OLJ/AFP 17/09/2015
Plus de 10.000 personnes ont manifesté jeudi dans les rues d'Ankara pour dénoncer le "terrorisme", alors que des affrontements meurtriers ont repris depuis deux mois entre l'armée et les rebelles kurdes dans le sud-est de la Turquie.
Réuni à l'appel de plus de 200 ONG, syndicats et organisations professionnelles, le cortège a défilé dans le centre de la capitale jusqu'à l'ancien Parlement en déployant un drapeau turc, rouge frappé du croissant blanc, long de plusieurs centaines de mètres et en reprenant le slogan "oui à l'unité, non à la terreur".
"Nous voulons montrer l'unité et la fraternité des 78 millions d'habitants de ce pays sous le drapeau turc. Il n'y a aucun emblème politique, aucun insigne de parti", a expliqué à l'AFP Bendevi Palandoken, le président du syndicat TESK, un des organisateurs. "Nous sommes ici pour dénoncer le terrorisme et exiger qu'il cesse", a-t-il ajouté.
De violents affrontements ont repris depuis la fin du mois de juillet entre les forces de sécurité turques et le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Les attentats des rebelles et les opérations militaires de représailles se succèdent à un rythme quotidien, surtout dans le sud-est à majorité kurde du pays. Selon un bilan officieux, ces violences ont déjà fait plus de 120 morts dans les rangs de l'armée et de la police et plusieurs centaines de tués dans ceux du PKK. Cette escalade a mis un terme aux fragiles discussions de paix engagées fin 2012 par le gouvernement islamo-conservateur d'Ankara avec le PKK dans l'espoir de mettre un terme au conflit kurde, qui a fait quelque 40.000 morts depuis 1984.
Tout au long de leur parcours, de nombreux manifestants ont sévèrement condamné le mouvement rebelle, considéré comme une organisation terroriste par Ankara et de nombreux pays étrangers. "Les terroristes doivent être supprimés. Ça suffit !", a proclamé Sebahattin Sevinc, 58 ans. "Nous voyons tous les jours à la télé les enterrements de nos martyrs", a renchéri Leyla, 47 ans, "ces morts sont nos fils et nos frères, nous voulons la paix".
Dans le défilé, certains ont aussi mis en cause les opérations ordonnées par le gouvernement. "Le PKK est une organisation terroriste, brutale et illégitime, mais le combat contre le terrorisme doit être mené dans le cadre de la loi", a rappelé le président du barreau de Turquie, Metin Feyzioglu.
Le président Recep Tayyip Erdogan doit s'exprimer dimanche à Istanbul lors d'un autre grand rassemblement contre la "terreur", où sont attendus plusieurs dizaines de milliers de ses partisans. Les détracteurs du chef de l'Etat l'accusent d'attiser les tensions nées des combats entre l'armée et le PKK pour remporter les élections législatives anticipées du 1er novembre.
La Turquie a dépensé 6,6 mds d'euros pour les réfugiés syriens
Reuters 18/09/2015
La Turquie, qui abrite la plus grande population de réfugiés au monde, a dépensé 6,6 milliards d'euros pour la prise en charge des 2,2 millions de Syriens hébergés sur son territoire, a déclaré vendredi le vice-Premier ministre Numan Kurtulmus.
La Turquie, qui partage 900 km de frontière avec la Syrie en guerre depuis plus de quatre ans, ouvre grand sa porte aux réfugiés, dont une partie a pris la route de l'Union européenne.
Selon l'agence Frontex de contrôle des frontières de l'UE, plus de 500.000 migrants ont été détectés depuis le début de l'année, même si un grand nombre d'entre eux ont été comptabilisés deux fois, à leur arrivée en Grèce depuis la Turquie puis à leur entrée en Hongrie, via la Serbie.
D'après l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), près de 310.000 migrants sont arrivés en Grèce depuis le début de l'année à partir des côtes turques.
"Notre garde-côtes a secouru 53.228 personnes, tandis que 274 personnes sont décédées" dans les eaux turques, a déclaré Numan Kurtulmus, sans préciser à quand remontait ce décompte.
Turquie: Rassemblement à Istanbul avec Erdogan en tête d'affiche pour conspuer le "terrorisme"
AFP 20/09/2015
Environ 50.000 personnes se sont rassemblées dimanche dans un faubourg d'Istanbul pour dénoncer "le terrorisme" des rebelles kurdes, une manifestation aux allures de meeting politique pour le président islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan à six semaines des législatives anticipées du 1er novembre, a constaté l'AFP.
La manifestation de Yenikapi, district de la rive européenne de la mégapole, est organisée à l'appel d'un collectif d'ONG et d'organisations professionnelles. Le président Erdogan et le Premier ministre intérimaire Ahmet Davutoglu doivent s'exprimer devant la foule. D'ailleurs le chef de l'Etat a demandé à tous les citoyens d'y participer. Dans un message sur Twitter, M. Erdogan a dit: "J'invite tous les citoyens à s'unir, se rassembler et former une seule voix contre le terrorisme. Je vous invite à Yenikapi".
La place de Yenikapi réputée pour accueillir les manifestations géantes du parti de la justice et du développement (AKP), au pouvoir de MM Erdogan et Davutoglu, peut accueillir jusqu'à 1,5 millions de personnes. Les participants sont uniquement autorisés à porter le drapeau turc. Beaucoup portaient un bandeau rouge ceint autour de la tête avec l'inscription: "les martyrs ne sont pas morts, la patrie ne pourra pas être divisée". De nombreux slogans lancés par les organisateurs pouvaient aussi être entendus pour "chauffer" le public: "les Turcs et les Kurdes sont frères", "nous maudissons la terreur" mais aussi "Allah Akbar".
De violents affrontements ont repris depuis la fin du mois de juillet entre les forces de sécurité turques et le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Les attentats des rebelles et les opérations militaires de représailles se succèdent à un rythme quotidien, surtout dans le sud-est à majorité kurde du pays. Cette escalade a mis un terme aux fragiles discussions de paix engagées fin 2012 par le gouvernement islamo-conservateur d'Ankara avec le PKK dans l'espoir de mettre un terme au conflit kurde, qui a fait quelque 40.000 morts depuis 1984.
Une manifestation similaire a réuni plus de 10.000 personnes la semaine dernière à Ankara. Les détracteurs du chef de l'Etat l'accusent d'attiser les tensions nées des combats entre l'armée et le PKK pour remporter les élections législatives anticipées du 1er novembre et renforcer ses pouvoirs présidentiels.
Notre Président Recep Tayyip Erdogan se rend en Russie demain. N'en déplaise à ceux qui, même ici, aimeraient voir la Turquie hors jeux dans sa sphère d'influence.
Au menu :
-Inauguration de la nouvelle mosquée de Moscou, dont la Turquie à participé à l'édification -rencontre bilatérale avec Mahmoud Abbas qui sera présent pour l' inauguration -discussion bilatérale avec Poutine sur : - la Syrie ( eh oui !!! sans la Turquie, rien ne peut se faire dans cette partie du monde ) - Turkish Stream - Turk de Crimée
il sera de retour au pays dans la nuit de mercredi à jeudi.
charly Colonel-Major
messages : 2420 Inscrit le : 25/05/2011 Localisation : Aquitaine Nationalité : Médailles de mérite :
Il va se faire taper sur les doigts, je pense que Poutine n a pas oublié le soutien à l ei du pays président Erdogan...
Vivement de voir la suite...
_________________ « Je voudrais que les Français renouent avec cette idée simple selon laquelle ce n’est pas seulement un territoire qu’il leur faut défendre (…) mais aussi une façon d’être, une langue, une civilisation. Bref, l’ensemble d’un patrimoine dont nous sommes les héritiers. Et s’ils venaient à oublier ou à refuser cette idée, alors je craindrais beaucoup pour l’avenir de mon pays », plaidait François Léotard, peu suspect de sympathie avec des idées extrêmes.
RecepIvedik Commandant
messages : 1147 Inscrit le : 25/10/2014 Localisation : FRANCE Nationalité : Médailles de mérite :
Oui . Je confirme. Erdogan va taper sur les doigts de Poutine.
Tu peux le prendre comme tu veux et le staff aussi.
SI tu tiens à essayer de débattre avec moi, je t'invite à reprendre les cours ( si un jour tu en a pris parce qu'on peut se poser la question ) d'histoire, de politique et géopolitique. Les débats de comptoir ne m' intéresse pas. Surtout que le niveau de réflexion dans tes interventions est bien en deçà de ce que je peux tolérer pour discuter avec quelqu'un.
charly Colonel-Major
messages : 2420 Inscrit le : 25/05/2011 Localisation : Aquitaine Nationalité : Médailles de mérite :
Tu es aveuglé par ton nationalisme et ta dévotion à ton président au point d oublier ce qui a été dit et d arriver par terminer tes interventions en pré justifiant l inacceptable.
_________________ « Je voudrais que les Français renouent avec cette idée simple selon laquelle ce n’est pas seulement un territoire qu’il leur faut défendre (…) mais aussi une façon d’être, une langue, une civilisation. Bref, l’ensemble d’un patrimoine dont nous sommes les héritiers. Et s’ils venaient à oublier ou à refuser cette idée, alors je craindrais beaucoup pour l’avenir de mon pays », plaidait François Léotard, peu suspect de sympathie avec des idées extrêmes.
jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Turquie: l'hymne électoral du parti au pouvoir interdit car jugé trop religieux
AFP
23/09/2015
Le haut-conseil électoral turc (YSK) a interdit l'hymne de campagne du parti islamo-conservateur du président Recep Tayyip Erdogan pour les prochaines législatives anticipées car jugé trop religieux, a annoncé mercredi un responsable du parti.
Saisi par un élu de l'opposition, le YSK a estimé que la chanson retenue par le Parti de la justice et du développement (AKP) "abuse d'un symbole religieux à des fins politiques", a rapporté un des vice-présidents de l'AKP, Bekir Bozdag, sur son compte Twitter.
Dévoilé lundi lors du lancement de la campagne du parti au pouvoir, ce spot publicitaire s'intitule "Haydi Bismillah !", "Au nom de Dieu, allons-y !" en langue turque. Sur fond de scènes de la vie quotidienne, ses paroles s'inspirent directement du répertoire religieux. "Au nom de Dieu/Nous prenons la route/Nous sommes plein d'entrain, revigorés", proclament-elles notamment. La loi turque interdit aux candidats aux élections de recourir à des symboles religieux dans leurs messages télévisés.
M. Bozdag a déploré la décision du haut-conseil électoral et promis que son parti la respecterait. "Mais nous allons continuer notre campagne et commencer toutes nos réunions en disant +Haydi Bismillah+", a-t-il toutefois écrit.
En 2014, le HSY avait déjà, pour les mêmes motifs, interdit un clip de l'AKP diffusé lors de la campagne victorieuse de M. Erdogan, alors Premier ministre, à l'élection présidentielle. Ce film incluait un appel à la prière d'un muezzin.
Ancien militant islamiste officiellement reconverti en "démocrate-conservateur", l'actuel chef de l'Etat truffe régulièrement ses discours de références religieuses. Ses adversaires politiques lui reprochent d'avoir "islamisé" le pays, officiellement laïque depuis la création de la République par Mustafa Kemal Atatürk en 1923.
Des élections législatives anticipées sont prévues le 1er novembre en Turquie.
L'AKP qui instrumentalise l'Islam pour ces propres intérêts. Comme s'il y a que les pro-AKP qui disaient "Bismillah".
Le CHP qui ne veut pas entendre de " Bismillah " au point de déposer une requête auprès du YSK ...
Il n'y pas que l' AKP qui dit " Bismillah" encore heureux.
Cependant il n'y que l' AKP qui s' adresse au peuple de Turquie en rappelant nos origines et nos croyances.
DE toutes façons, la situation est claire. Il y a " Nous " d'un côte et il y a " vous " de l' autre/
Le " Nous " correspond à tous les Turcs qui voient qui veut le bien du peuple de Turquie. Le " Vous" correspond à tous ceux qui veulent que les coloniaux terminent ce qu'ils ont commencé y'a plus de 100 ans et qui n'a pas été terminé. Le " Vous" correspond donc à tous ceux qui veulent la revanche de Canakkale.
L'AKP qui instrumentalise l'Islam pour ces propres intérêts. Comme s'il y a que les pro-AKP qui disaient "Bismillah".
Le CHP qui ne veut pas entendre de " Bismillah " au point de déposer une requête auprès du YSK ...
Il n'y pas que l' AKP qui dit " Bismillah" encore heureux.
Cependant il n'y que l' AKP qui s' adresse au peuple de Turquie en rappelant nos origines et nos croyances.
DE toutes façons, la situation est claire. Il y a " Nous " d'un côte et il y a " vous " de l' autre/
Le " Nous " correspond à tous les Turcs qui voient qui veut le bien du peuple de Turquie. Le " Vous" correspond à tous ceux qui veulent que les coloniaux terminent ce qu'ils ont commencé y'a plus de 100 ans et qui n'a pas été terminé. Le " Vous" correspond donc à tous ceux qui veulent la revanche de Canakkale.
Ne me confonds pas avec la bande de travesti que représentent le CHP, le MHP, l'HDP et l'AKP. Je t'ai déjà dis, je ne soutien aucun parti politique. Les politiques se travestissent pour gagner les élections. C'est une habitude. La preuve avec l'AKP et le "Bismillah".
RecepIvedik Commandant
messages : 1147 Inscrit le : 25/10/2014 Localisation : FRANCE Nationalité : Médailles de mérite :
Si t'es pas dans le " Nous " alors tu es dans le " Vous". Quel que soient tes opinions;
Oui, le "vous", on va vous virer vers l'Iran et vers les déserts du Moyen-Orient, votre deuxième pays comme disait Erdogan. Il n'y a pas de place pour les "nous" et les "vous". Soit guerre civile, soit coup d'état, soit l'anarchie..
Le meilleur choix est le coup d'état, car les élections de novembre ne vont rien changer, il y aura de l'anarchie à cause de l'AKP.
RecepIvedik Commandant
messages : 1147 Inscrit le : 25/10/2014 Localisation : FRANCE Nationalité : Médailles de mérite :