@Baybars: ca peut durer des dizaines d'années sans aucun resultat postitif.. +vous n'avez plus le choix .. et l'otan vous laissera seuls avec vos propres betises, vous avez tres bien fait le role d'une barriere pendant la guerre froide en mer noire mais maintenant c'est fini.. en ce qui concerne tes idées fascistes je dirai peut importe qui guidera ces plans peut etre un jour.. il sera pas mieux que moussoulini et Hitler Je te dirai la verite , parfois tu me fait rire surtout quand tu commences a parler d'une invasion turque en syrie et d'annexer le pays a la turquie , comme si la planete entiere va commencer a applaudir et crier bravo les turques vous etes des braves hommes .. vous vous croyez qui?? vous etes rien.. vous avez un PBI semblable aux pays bas avec 17 millions de personnes.. quelques bases d'otan qui avaient but de faire face a l'URSS c'est tout.. je sais pas ce qui te donne le sentiment d'avoir Super-Power, si l'histoire et la langue te donne ca je recommende quelques goutres d'heroin pour toi, c'est efficace
Nous sommes les Turcs .!!!
Vous n’êtes plus que l'ombre de vos ancêtres. Vous avez joué au poker dans la région et vous étiez les plus mauvais bluffeur, il est venu le temps du démantèlement de la Turquie et la finalité sera obligatoirement la création d'un état Kurde, Erdogan ne fait que retardé l’inévitable
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Fox-One General de Division
messages : 8024 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
http://www.romandie.com/news/La-contrebande-de-petrole-de-lEI-vers-la-Turquie-est-insignifiante_RP/655681.rom a écrit:
La contrebande de pétrole de l'EI vers la Turquie est insignifiante
Washington - La quantité de pétrole introduite en contrebande vers la Turquie depuis des zones contrôlées par le groupe Etat islamique en Syrie est économiquement insignifiante, a estimé Washington vendredi après des accusations de la Russie affirmant qu'Ankara profite de ce commerce illégal.
Des responsables américains ont expliqué que la campagne de bombardements aériens a considérablement endommagé les infrastructure pétrolières des jihadistes qui contrôlent de larges pans de territoires en Syrie et en Irak.
Le pétrole extrait et exploité par l'EI, ajoute-t-ils, est de toute façon largement absorbé en Syrie.
La Russie accuse depuis plusieurs jours la Turquie de tirer profit de la contrebande d'or noir en provenance des jihadistes, allant même jusqu'à porter des accusations qui visent directement le président Recep Tayyip Erdogan et sa famille. La poussée de fièvre sur ce sujet vient alimenter la tempête diplomatique entre les deux pays après que l'aviation turque eut abattu un bombardier russe à sa frontière syrienne le 24 novembre.
La quantité de pétrole introduite en contrebande est extrêmement faible, a décru avec le temps et est insignifiante en terme de volume, à la fois en volume de pétrole et en volume de revenus, a précisé Amos Hochstein, coordinateur sur les questions d'énergie à l'international au sein du département d'Etat américain.
La diplomatie américaine avait démenti mercredi les accusations russes visant sans aucune preuve le président turc et sa famille.
Certes, ont reconnu des responsables américains vendredi, des petites quantités de pétrole passent la frontière turco-syrienne dans des camions-citernes, mais pas dans des proportions qui peuvent concerner les plus hauts niveaux de l'Etat.
Le pétrole est plutôt raffiné avant d'être revendu sur le marché noir dans les zones de guerre en Syrie et en Irak.
La contrebande pétrolière représente l'une des principales sources de financement de l'organisation ultra-radicale, qui en tire, selon des estimations, 1,5 millions de dollars de revenus par jour.
Vu sur Euronews : Des navires de l'Otan à Istanbul http://fr.euronews.com/2015/12/04/des-navires-de-l-otan-a-istanbul/ a écrit:
Si l'otan est la, poutine peut soit appuyer sur ces boutons rouge soit prendre sa retraite et vivre ces jours heureuses a sotchi car le peuple russe ne veux pas de couilles molles comme president
b46reich Caporal chef
messages : 174 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : Paris Nationalité :
oui et tu es bien placé pour parler en leur nom....
Non qui te dis cela je suis pas russr. mais au fait votre futur fournisseur de gaz on lui a tire les oreilles ce matin:
Une plateforme pétrogazière azerbaïdjanaise prend feu en mer Caspienne, 32 morts signalés VIDEO) https://francais.rt.com/international/11588-plateforme-petroliere-prend-feu-caspienne a écrit:
La Turquie décide de mener une bataille pour les énergies renouvelables.
Citation :
Énergies et ressources renouvelables en Turquie
La Turquie est devenue l'un des marchés de l'énergie à connaître la croissance la plus rapide au monde, parallèlement à sa croissance économique au cours des dix dernières années. Grâce au programme de privatisation mis en œuvre avec succès dans cette période, le secteur énergétique du pays a bénéficié d’une structure hautement concurrentielle et de nouveaux horizons de croissance. Ce programme visait la cession complète de la distribution d'énergie au secteur privé et l’achèvement de la privatisation des actifs de production d'électricité dans les années à venir.
L’expansion économique, la hausse du revenu par habitant, les tendances démographiques positives et le rythme rapide de l'urbanisation sont les principaux moteurs de la demande énergétique, qui devrait augmenter d'environ 6 pour cent par an jusqu'en 2023. La présente capacité d’électricité installée de 70 GW est estimée d’atteindre 120 GW d’ici à 2023 avec l’objectif de répondre à la croissance de la demande dans le pays grâce à d’autres investissements du secteur privé. Dans le cadre de ses efforts d’offrir une énergie durable et fiable pour ses consommateurs, la Turquie offre aux investisseurs des avantages favorables, tels que les tarifs de rachat garantis, garanties d’achat, priorités de connection, exemptions de licence, etc. en fonction du type et de la capacité de l’installation de production d’énergie.
Au cours de la dernière décennie, le gouvernement turc a fait des réformes importantes dans la fourniture d’énergie en encourageant la participation des entités privées, ce qui a créé un marché de l’énergie encore plus concurrentiel. La privatisation des actifs de production d'énergie et la mise en vigueur d’une stratégie visant à ouvrir la voie à davantage d'investissements privés ont entraîné une augmentation dans la part des entités privées dans le secteur de la production d'électricité, de 32 pour cent en 2002 à 75 pour cent en 2015. Une autre mesure prise par le gouvernement turc à l'égard d'un secteur de l'énergie plus concurrentiel est la mise en place d'une bourse de l’énergie. Une fois opérationnelle, la bourse de l’énergie permettra non seulement de renforcer la libéralisation du marché, mais également d’assurer la transparence et de conserver un bon équilibre entre l'offre et la demande.
En plus d’avoir un important marché local, la Turquie, grâce à sa situation stratégique entre plusieurs gros consommateurs et fournisseurs d’énergie, sert d’un pôle régionale. Les oléoducs/gazoducs existants et prévus, les détroits turcs importants et les découvertes prometteuses de réserves d'hydrocarbures dans le pays, ont permis à la Turquie d’augmenter la pression sur les prix de l'énergie et de renforcer son statut de passerelle.
Les opportunités pour les formes renouvelables de la production d’énergie, à savoir hydroélectrique, éolienne, solaire, géothermique et autres, sont abondantes en Turquie et la promotion des politiques soutenues par des tarifs de rachat favorables devraient augmenter sa participation dans le réseau national au cours des années à venir. De fait, le gouvernement turc s’est fixé comme priorité de porter la part des sources d’énergie renouvelables dans la capacité totale installée du pays à un pourcentage remarquable de 30% à l’horizon 2023. Parallèlement, la Turquie entend concrétiser le concept de rendement énergétique en promulguant des lois qui définissent les principes en matière d'économie d'énergie, tant au niveau individuel qu’au niveau de l’entreprise, et en offrant des avantages pour les investissements de l’efficacité énergetique.
Au regard de l’importance que revêtent les énergies renouvelables dans la stratégie énergétique de la Turquie au cours des prochaines années, les technologies dans les domaines tels que traitement des déchets et la réduction des gaz à effet de serre sont également parfois citées au même titre que cette nouvelle forme de production d’énergie, comme étant des pratiques supplémentaires particulièrement primordiales. Le fait de préserver l'environnement en recourant aux ressources renouvelables s’accommode de nombreuses mesures et réglementations, qui sont ou vont bientôt être en vigueur, y inclus la réduction des émissions de CO2, l’accroissement de l'efficacité de la production/transmission, et la promotion de l’utilisation des technologies de gestion des déchets.
L’ensemble de ces facteurs a façonné en profondeur le secteur énergétique turc et l’a transformé en l’une des destinations d’investissements les plus attractives au monde. Conformément à la mise en œuvre de la réglementation propice aux investisseurs et à la forte augmentation de la demande, le secteur énergétique turc est de plus en plus dynamique et compétitif, attire de nombreux investisseurs pour chaque composante de la chaîne de valeur dans tous les sous-secteurs de l'énergie.
Le montant total des investissements nécessaire pour répondre à la demande énergétique en Turquie d’ici 2023 est estimé d’être environ 110 milliards de dollars américains, deux fois plus élevé que le montant total investi au cours de la dernière décennie.
La vision ambitieuse de la Turquie, dont on espère une concrétisation pour le centenaire de la République en 2023, prévoit des objectifs grandioses pour le secteur énergétique du pays. Parmi ces objectifs figurent :
L’augmentation de la capacité installée de l’énergie électrique à 120 GW L’augmentation de la part des énergies renouvelables à 30 % L’optimisation de l’hydroélectricité L’augmentation de la capacité installée de l’énergie éolienne à 20.000 MW L’installation des centrales électriques, qui seront capables de produire 600 MW d’énergie géothermique et 5000 MW d’énergie solaire La construction de 60.717 km de lignes de transport d’énergie supplémentaires L’amélioration des capacités de l'unité de distribution d'énergie à 158.460 MVA L’extension de l'utilisation des réseaux intelligents L’augmentation de la capacité de stockage du gaz naturel à 5 milliards de m3 La création d’une bourse de l’énergie La mise en service des centrales nucléaires (deux centrales nucléaires opérationnelles, avec une troisième en construction) L’augmentation de la capacité installé de l’énergie au charbon de 14,5 GW à 30 GW
Energies renouvelables en Turquie : un business en pleine expansion
Produire sa propre électricité, tel est le défi que le gouvernement turc compte bien relever. Combinant une dépendance aux importations et une augmentation de la consommation d’électricité, la Turquie a décidé de miser sur son territoire. Un vaste programme dans lequel les énergies renouvelables prennent une place de plus en plus importante.
30% d’énergies renouvelables à l’horizon 2023. Voilà l’objectif que s’est fixé le gouvernement pour sa production nationale d’électricité. Un défi relativement ambitieux quand on sait qu’en 2013, la part des énergies renouvelables en Turquie s’élevait à 4,2%. Mais pourquoi un tel pourcentage ? La raison est simple : depuis 1990, la consommation d’électricité augmente de 7% chaque année. Et ce n’est pas près de s’arrêter : une hausse similaire est prévue pour les prochaines années. Un état de fait qui place la Turquie en deuxième position après la Chine, pays ayant la plus importante consommation énergétique.
Mais dans le même temps, la Turquie reste très dépendante en matière d’hydrocarbures, 99% d’entre eux étant importés. Une situation qui a poussé le gouvernement à agir afin de limiter cette dépendance. « Le développement des énergies renouvelables se fait dans cette optique », explique Danièle Scalisi, conseillère développement durable à l’ambassade de France à Ankara. Depuis 2005, une loi définit les énergies renouvelables comme « les ressources énergétiques non-fossiles telles que l’hydro-électricité, l’éolien, l’énergie solaire, la géothermie, la biomasse, le biogaz, l’énergie houlomotrice, marémotrice et des courants ». Fin 2010, un amendement à cette loi a été voté, introduisant un système de prix de rachat selon les technologies utilisées et des mesures incitatives pour stimuler le secteur et le rendre plus attractif. Ce mécanisme de soutien permet notamment de racheter leur énergie renouvelable aux producteurs, à des prix garantis sur une période de 10 ans.
L’hydraulique en haut de l’affiche
La première filière d’énergie renouvelable en Turquie est l’hydraulique. Il s’agit d’ailleurs de la deuxième source de production d’électricité du pays après le gaz naturel. Mais cette énergie renouvelable reste controversée : « L’hydraulique donne une mauvaise image de ce secteur. Les barrages assèchent les rivières et, écologiquement parlant, c’est une catastrophe », indique Ibrahim Çiftçi, membre de Greenpeace Turquie. Pour Pınar Demircan, coordinatrice de l’association Nükleersiz (« Sans nucléaire »), cette énergie cause beaucoup de problèmes : « Les barrages dégradent l’environnement. L’optique est seulement de faire du profit. Notre association n’est pas contre l’hydraulique mais nous sommes en désaccord avec la manière dont cette énergie est exploitée. » La Turquie compte 673 barrages sur son territoire et le ministère de l’Energie estime que le potentiel énergétique de l’hydraulique pourrait atteindre jusqu’à 36 000 Mégawatts dans les prochaines années.
Cette ambition s’illustre par la mise en place de projets démesurés comme le barrage d’Iısu, prévu sur le Tigre, dans le Sud-Est anatolien. D’une capacité de 1 200 Mégawatts, il s’agirait du deuxième plus grand barrage de Turquie. De nombreuses associations écologistes tentent de contrecarrer la réalisation du projet en invoquant les innombrables menaces que fait peser sa construction sur l’écosystème de la région. Des initiatives pour le moment sans succès.
Alors l’hydraulique peut-elle vraiment être qualifiée de renouvelable ? « Elle fait partie des énergies dites propres. La loi turque de 2005 considère que seules les centrales dont la surface du réservoir est inférieure à 15 km² sont considérées comme produisant de l’énergie renouvelable », précise Céline Hericher, en contrat volontaire international à l’ambassade de France à Ankara.
L’éolien également dans la course
Après l’hydraulique vient le thermal et l’éolien. Ce dernier secteur est en pleine expansion avec une progression de sa production de 62% entre 2003 et 2013. Mais son développement reste encore faible puisque l’éolien ne représente encore que 4,4% de la production totale d’énergie turque en 2014. L’objectif du gouvernement en matière d’énergie éolienne est de 20 000 Mégawatts d’ici 2023. Danièle Scalisi confie que « le groupe français EDF Energies nouvelles a inauguré un parc éolien à Geycek en janvier 2015 ». La production se concentre surtout dans la région Égéenne et celle de Marmara, des zones côtières où le régime de vents est très avantageux.
Pınar Demircan observe et se désole : « La Turquie dispose d’un potentiel très intéressant dans l’éolien. Mais encore une fois, on ne choisit pas des endroits adéquats pour construire ces éoliennes. Ces parcs détruisent des zones humides mais aussi des espèces protégées. »
Le solaire, un autre secteur d’avenir
Dans le développement de toutes ces énergies renouvelables, le solaire est le domaine dans lequel la Turquie a le plus bel avenir. « Sa position géographique et son exposition font que cette source énergétique pourrait être très avantageuse », analyse Serdar Kabakcioğlu, attaché sectoriel Agriculture, Développement durable et Energie à l’ambassade de France en Turquie. En effet, le pays dispose du temps moyen d’ensoleillement le plus élevé d’Europe avec 2 640 heures par an.
Pourtant, le solaire stagne toujours à la dernière place des énergies renouvelables turques, même si le gouvernement a adouci la loi pour les installations privées. Ibrahim Çiftçi indique que « les gens ont le droit d’installer des panneaux solaires chez eux sans devoir prendre une licence seulement si leur capacité est inférieure à 1MW. La seule contrainte est de se raccorder au réseau électrique. » En Méditerranée ou sur les côtés égéennes, presque tous les immeubles disposent d’installations photovoltaïques. Le solaire prend donc de l’ampleur en Turquie et Yiğit Kaan Er, un étudiant turc en ingénierie à l’Université Selçuk de Konya, a même mis au point un vélo fonctionnant grâce à cette énergie. Son invention permet de rouler une quarantaine de kilomètres à une vitesse de 35 kilomètres par heure.
L’écologie, malheureusement loin d’être la priorité
La Turquie aurait donc la « verte attitude » ? Pas vraiment car en parallèle du développement des énergies renouvelables, le gouvernement mise également sur d’autres forme d’énergies comme le nucléaire. Deux projets de centrales sont en cours : l’un à Akkuyu (Sud) et l’autre à Sinop (Nord). Celle d’Akkuyu, près de Mersin, serait exploitée par Rosatom, une entreprise russe. Il s’agirait de la première centrale nucléaire au monde dont le propriétaire ne serait pas installé dans son pays d’exploitation. « L’argument premier du gouvernement pour faire accepter ce projet était la création de nombreux emplois mais, pour le moment il y a aucune indication du nombre de Turcs qui pourront travailler dans cette centrale », informe Pınar Demircan. Pour le moment, la Turquie ne dispose d’aucune centrale nucléaire sur son territoire. « D’un côté il y a l’Allemagne qui a annoncé avoir abandonné l’énergie nucléaire, et de l’autre la Turquie qui va s’en doter pour la première fois. Cela n’a pas de sens », s’agace la coordinatrice de Nükleersiz.
Outre le nucléaire, une centrale à charbon est également en construction. « La Turquie veut augmenter sa production de charbon pour être moins dépendante de ses importations en hydrocarbures », signale Serdar Kabakcioğlu. Le gouvernement lance également des prospections sur ses sols concernant le pétrole et le gaz de schiste. Face à cette situation, le développement des énergies renouvelables est donc à relativiser. Pour Ibrahim Çiftçi, ce secteur ne serait d’ailleurs qu’un business comme un autre pour le gouvernement. Un constat que partage Pınar Demircan, qui reste cependant confiante sur l’avenir de ces énergies : « C’est la meilleure chose que les hommes aient pu inventer depuis longtemps. »
Energie : la Turquie ne veut plus dépendre de la Russie
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé samedi, à la télévision, que son pays allait trouver d'autres fournisseurs d'énergie que la Russie, avec qui les tensions vont crescendo.
Le torchon brûle entre Ankara et Moscou. Recep Tayyip Erdogan a assuré samedi que son pays allait trouver d'autres fournisseurs d'énergie que la Russie. Et ce, en raison des fortes tensions qui opposent les deux pays depuis qu'Ankara a abattu un avion militaire russe à la frontière syrienne. "Il est possible de trouver d'autres fournisseurs", a déclaré le président turc lors d'un discours télévisé en faisant référence à l'Azerbaïdjan et au Qatar notamment.
Pour mémoire, la Russie est le principal fournisseur d'énergie de la Turquie à qui elle livre 55% de ses besoins en gaz et 30% de ceux en pétrole. Sachant qu'Ankara importe 90,5% de son pétrole et 98,5% de son gaz naturel.
Sanctions économiques La Turquie et la Russie traversent une grave crise déclenchée par la destruction d'un bombardier russe par l'aviation turque à la frontière syrienne le 24 novembre dernier. Ankara affirme que le bombardier russe a violé son espace aérien, ce que Moscou dément. Furieuse, la Russie a ordonné des sanctions économiques contre la Turquie, notamment un embargo sur les importations de fruits et légumes turcs, et rétabli les visas pour les citoyens turcs à partir du 1er janvier prochain.
Recep Tayyip Erdogan a assuré samedi qu'il n'y avait pour l'heure "aucun signe" que ces représailles affectent le secteur de l'énergie mais a confirmé avoir signé cette semaine avec le Qatar un accord pour la livraison de gaz de pétrole liquéfié. La Russie a aussi annoncé cette semaine le gel du projet de gazoduc TrukStream qui devait permettre d'acheminer le gaz russe jusqu'en Europe via le territoire turc, en contournant l'Ukraine.
Le chef de l'Etat turc a qualifié cette annonce de "mensonge". "TurkStream est un projet sur lequel nous avons nous-mêmes tiré un trait depuis un moment parce que (la Russie) ne répondait pas à nos exigences", a-t-il assuré.
Autre volet, le pétrole et le gaz de schiste en Turquie.
Citation :
Les réserves de gaz de schiste turques suscitent l'intérêt des étrangers
20.02.2013
Star – La recherche de sources d’énergie alternatives par la Turquie en vue d’alimenter son économie florissante et réduire ses importations de pétrole et de gaz, qui lui coûtent chaque année 60 milliards de dollars US, pourrait prendre un nouveau tournant au regard des nouvelles technologies pouvant permettre d’extraire du gaz des formations de schiste et de l’existence de réserves de gaz schiste qui seraient situées dans les régions du Sud-Est et de l’Ouest.
Selon les responsables turcs chargés de l’énergie en pourparlers avec des entreprises américaines, britanniques et canadiennes pour explorer et extraire du gaz des réserves de schiste en Turquie, un nouvel accord pourrait être conclu dans un an avec une grande société pétrolière en plus de celui relatif à l’exploration, signé il y a deux ans entre Shell et la compagnie pétrolière nationale turque, TPAO. D’après les termes dudit accord, les entreprises signataires rechercheront du gaz de schiste dans la province anatolienne de Diyarbakir, au Sud-Est de la Turquie. Thrace, la partie du pays la plus à l'ouest, abriterait également d'énormes réserves de gaz de schiste.
« Quoiqu’il soit encore impossible de déterminer à ce stade précoce la taille des réserves de schiste turques, il existe néanmoins des indicateurs encourageants faisant référence à une réserve importante de gaz de schiste dans le pays », a déclaré Yvonne Telford de la société de recherche et de conseil Wood Mackenzie. Et d’ajouter que les infrastructures existantes destinées à la production et au transport du pétrole/gaz en Turquie s’avèreraient idéales pour une production probable de pétrole/gaz de schiste.
Il existerait en Turquie 13 mille milliards de mètres cubes de réserves de gaz de schiste, dont 1, 8 milliard récupérable, d'après une estimation faite l'an dernier par l'Association turque des géologues pétroliers. Certaines autorités industrielles, en se référant aux données provenant des organismes internationaux, déclarent que ces réserves sont susceptibles de contenir jusqu'à 20 mille milliards de mètres cubes.
Le gaz de schiste, nouvel espoir pour l’énergie de demain
L’homme a pourtant besoin de plus en plus d’énergie pour pouvoir vivre et se développer, a une telle vitesse, les ressources énergétiques seront épuisées dans 100 ans.
En effet, 80% de l’énergie consommée provient des matières fossiles (pétrole, charbon et gaz naturel). Les énergies fossiles prennent des millions d’années pour se former ; elles sont donc non-renouvelables et les réserves limitées. Quant à la demande globale, elle augmentera de 33% d’ici 2035.
Il y a en fait une autre ressource énergétique découverte dans les années 1800, dite « le gaz de schiste ». Cette sorte de gaz est conservée dans les pores des roches sédimentaires des sources pétrolières et gazières. Mais l’extraction de ce gaz nécessite une technologie de pointe et est particulièrement coûteuse.
Les scientifiques américains peuvent aujourd’hui extraire ce gaz de schiste qui est une alternative au pétrole et au gaz naturel, bien que les coûts soient élevés.
L’eau à haute pression enrichie d’agents chimique injectée dans la roche et utilisée comme force propulsive pour faire remonter le gaz à la surface après une opération de fracturation par un forage dans la roche, engendre des réticences.
On craint par exemple que l’injection d’agents chimiques dans la roche souterraine pour l’extraction du gaz de schiste, contamine la nappe phréatique.
Les agents chimiques menaceraient aussi la santé humaine. Les experts en changement climatique précisent que le gaz de schiste est un carburant fossile et qu’il contient un taux élevé de dioxyde de carbone.
Les géologues expriment une autre réticence. Ils signalent que l’opération de fracturation de la roche après un forage pourrait provoquer des failles.
Les pays pauvres en ressources énergétiques sont particulièrement sensibles à ce sujet. Si les technologies convenables seront développées, cette ressource pourrait bien remplacer le pétrole et le gaz naturel.
Actuellement, les Etats-Unis, la Chine, l’Australie et le Canada sont les pays qui donnent beaucoup d’importance à l’extraction du gaz de schiste.
La Chine vient en tête du classement avec une réserve en gaz de schiste de 1,2 trillions de mètres cubes, suivie des Etats-Unis avec 860 milliards de mètres cubes, puis de l’Argentine, le Mexique et l’Afrique du Sud.
La Turquie porte beaucoup d’espoir dans le gaz de schiste. Des vastes champs de gaz de schiste ont été découverts en Turquie, poussant les géants énergétiques à investir en Turquie. Les sociétés ont commencé à étudier le potentiel de gaz de schiste en faisant des accords avec le partenariat anonyme des pétroles de Turquie.
Les géants énergétiques jugent les réserves situées dans le nord-ouest et dans le sud-est de la Turquie, significatives et ce, à l’échelle mondiale. La quantité de ces réserves n’a pas pu être définie car les puits n’ont pas encore été ouverts, mais les géologues l’estiment à 1.8 trillion de mètres cubes. Cette quantité suffirait à répondre aux besoins énergétiques de la Turquie pendant 40 ans.
D’autre part, la direction des recherches et explorations minières poursuit ses travaux de recherche à l’échelle globale. Selon les travaux de forage réalisés, il y aurait une réserve de gaz de schiste de 8 milliards de tonnes dans les champs de bore à Konya Ereğli et à Niğde.
Certaines compagnies énergétiques prévoient que le prix des ressources énergétiques à l’échelle mondiale baisse suite à la prolifération de l’utilisation du gaz de schiste et en dissipant les préoccupations environnementales d’ici quelques années.
Turquie se lance dans la production du pétrole de schiste
La Turquie entame un programme de forage de pétrole de schiste en vue de diversifier ses sources d'énergie.
La Turquie a entamé un programme de forage des schistes bitumineux, ont informé des responsables au ministère de l'Énergie.
Dans le cadre de son programme visant à permettre au pays d'augmenter la part des ressources locales dans son bouquet énergétique, la Turquie mène des prospections dans 11 différentes régions. Un total de 1300 mètres a été foré jusqu'à l'heure actuelle en quête du pétrole de schiste.
Les schistes bitumineux sont des roches sédimentaires à grain fin, contenant des substances organiques, les kérogènes, en quantité suffisante pour fournir du pétrole et du gaz combustible.
La Turquie a découvert 1,640 milliard de tonnes des réserves de pétrole de schiste exploitables. La ville de Bolu, à 200 kilomètres à l'est d'Istanbul a près de 300 millions de tonnes de réserves. D'autre part, certaines villes d'Anatolie centrale, telles qu'Ankara, Konya et Nigde sont aussi riches en ressources de pétrole de schiste.
Plusieurs institutions publiques turques, dont la compagnie d'énergie Turkish Petroleum, la Direction générale de la Recherche et Prospection minières et la Société turque de Charbon mènent des études conjointes sur les schistes bitumineux.
L'étape de production commencera aussitôt que les exemplaires des schistes de Turquie seront analysés davantage pour leur contenu.
D'autre part, la Turquie entamera des négociations sur la construction des gisements de pétrole de schiste avec les pays qui produisent d'ores et déjà du pétrole et de l'électricité à partir du schiste, a noté un responsable du ministère de l'Énergie.
Actuellement, l'Estonie produit 90% de son électricité à partir du pétrole dérivant des schistes bitumineux. La Chine, la Russie, la Jordanie, l'Israël, le Brésil, l'Australie et les Etats-Unis sont parmi d'autres pays qui produisent du pétrole et du gaz à partir du schiste.
Les Etats-Unis auraient la plus grande réserve de schiste au monde avec un volume équivalent à 4,9 trillions de barils de pétrole, suivie de Chine avec 328 milliards de barils et la Russie avec 271 milliards.
La production de banane en Turquie bat un record en atteignant 270 000 tonnes en 2015. La production a augmentée de 100% en 10 ans. Mais la production ne suffit pas a la consommation. La Turquie veut réduire l'importation de banane et produire sur place.
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Baybars depuis que je te lis et suivis la turquie et le nombril de la terre avec tout ce qu'elle va faire et je n'ai toujours vu aucun resultats,Alors que chipre va devenir unie.
Citation :
December 03, 2015 5:33 PM
NICOSIA— Peace is within reach in Cyprus, U.S. Secretary of State John Kerry said on Thursday as he watched children from both sides of the divided island play basketball together.
Kerry is the latest foreign official to voice optimism that a deal may finally be at hand to reunite the east Mediterranean island, divided since 1974.
Popular Greek and Turkish Cypriot leaders want a settlement, Greece and Turkey have other problems, and the discovery of offshore gas could cushion the cost.
"In recent months, it has become clear that the ground really is shifting and tangible progress is being made," Kerry said after separate meetings with Greek Cypriot leader Nicos Anastasiades and Turkish Cypriot leader Mustafa Akinci. The three planned to dine together afterwards.
"I am more convinced than ever that a resolution to the long-standing division of Cyprus is within reach," Kerry added.
Earlier, he sank a basket himself and signed basketballs for the players.
The island's Greek and Turkish communities have lived apart since Turkey invaded the north in 1974 after a brief Greek-inspired coup aimed at uniting Cyprus with Greece.
One of the world's oldest peacekeeping forces monitors a 180 km (110 mile) ceasefire line that slices across the island and bisects the capital, Nicosia.
The breakaway state in the north is recognized only by Turkey and Cyprus's partition is an obstacle to Turkey's ambition to join the European Union.
Cyprus joined the EU in 2004 but an attempt to use its accession as a lever for reunification failed when Greek Cypriots rejected a U.N. peace plan in a referendum.
"A united Cyprus will stand as a beacon of hope in a tumultuous part of the world," Kerry said, alluding to Syria's civil war that has sent millions of refugees streaming into Jordan, Turkey and Lebanon and now into Europe.
Baybars depuis que je te lis et suivis la turquie et le nombril de la terre avec tout ce qu'elle va faire et je n'ai toujours vu aucun resultats,Alors que chipre va devenir unie.
Citation :
December 03, 2015 5:33 PM
NICOSIA— Peace is within reach in Cyprus, U.S. Secretary of State John Kerry said on Thursday as he watched children from both sides of the divided island play basketball together.
Kerry is the latest foreign official to voice optimism that a deal may finally be at hand to reunite the east Mediterranean island, divided since 1974.
Popular Greek and Turkish Cypriot leaders want a settlement, Greece and Turkey have other problems, and the discovery of offshore gas could cushion the cost.
"In recent months, it has become clear that the ground really is shifting and tangible progress is being made," Kerry said after separate meetings with Greek Cypriot leader Nicos Anastasiades and Turkish Cypriot leader Mustafa Akinci. The three planned to dine together afterwards.
"I am more convinced than ever that a resolution to the long-standing division of Cyprus is within reach," Kerry added.
Earlier, he sank a basket himself and signed basketballs for the players.
The island's Greek and Turkish communities have lived apart since Turkey invaded the north in 1974 after a brief Greek-inspired coup aimed at uniting Cyprus with Greece.
One of the world's oldest peacekeeping forces monitors a 180 km (110 mile) ceasefire line that slices across the island and bisects the capital, Nicosia.
The breakaway state in the north is recognized only by Turkey and Cyprus's partition is an obstacle to Turkey's ambition to join the European Union.
Cyprus joined the EU in 2004 but an attempt to use its accession as a lever for reunification failed when Greek Cypriots rejected a U.N. peace plan in a referendum.
"A united Cyprus will stand as a beacon of hope in a tumultuous part of the world," Kerry said, alluding to Syria's civil war that has sent millions of refugees streaming into Jordan, Turkey and Lebanon and now into Europe.
Fox en un autre mot les occidentaux sont entrain de mettre la turquie a sa place pour tout ce qui c'etait fait par elle au MO.Et specialement RTE qui voulait joue solo comme un vizir.Il y a d'autre menu et choses qui sont entrain de se faire cuisiner pour rte et akp.Chaque moment a son temps.le temps ,le temps sacre temps.Pourquoi l'occident a pousse rte pour abbattre l'avion russe pour lui dire maintenant qu'est ce que tu fera si tu etais seules sans nous la russie vous aura boufee.C'est un jeux mentale,faite une synopsis des sorties de rte depuis et maintenant et dites moi les commentaire qu'il a fait ,il sait qu'il est dans un dilemne economique.voila l'inflation
Turkey’s unemployment rate rose to the highest level since 2010 as the number of jobs in construction and agriculture declined in January. Unemployment rose to 11.3 percent in January from 10.9 percent in December, missing the median estimate of 11.2 percent in a Bloomberg survey of economists. The number of those employed in agriculture and construction sectors fell by 300,000 to 6.5 million, Turkey’s state statistics bureau in Ankara said Wednesday. Turkey’s economic growth during the first quarter of the year has been slow after gross domestic production expanded at a lower-than-expected pace of 2.9 percent in 2014, Finance Minister Mehmet Simsek said Wednesday in Ankara. The recent rise in the unemployment rate is due to an expansion in the workforce, he said. “Volatility in the financial markets has resulted in a delay in investment and consumption,” Simsek said. “Growth will pick up in the second half of this year and there will be a marked improvement in unemployment.” The lira was little changed at 2.6884 per dollar at 10:08 a.m. in Istanbul.
Fox en un autre mot les occidentaux sont entrain de mettre la turquie a sa place pour tout ce qui c'etait fait par elle au MO.Et specialement RTE qui voulait joue solo comme un vizir.Il y a d'autre menu et choses qui sont entrain de se faire cuisiner pour rte et akp.Chaque moment a son temps.le temps ,le temps sacre temps.Pourquoi l'occident a pousse rte pour abbattre l'avion russe pour lui dire maintenant qu'est ce que tu fera si tu etais seules sans nous la russie vous aura boufee.C'est un jeux mentale,faite une synopsis des sorties de rte depuis et maintenant et dites moi les commentaire qu'il a fait ,il sait qu'il est dans un dilemne economique.voila l'inflation
bien dit,il se pourrait meme que c'est pas RCP qui a donne l'ordre d'abattre l'avion, mais maintenant il peux pas faire marche arriere si non il va se bouffer cru.
Fox-One General de Division
messages : 8024 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
ca date de juillet mais faut pas oublier que les turques hésitent pas a assassiner 3 femmes, alors pas besoin de faire un dessin sur leurs intentions en MO
RecepIvedik Commandant
messages : 1147 Inscrit le : 25/10/2014 Localisation : FRANCE Nationalité : Médailles de mérite :
La Turquie lance un appel d'offre pour la construction d'un gazoduc de la frontière irakienne à Silopi à Mardin. Ceci pour acheminer le gaz des kurdes d' irak du nord sur le marché turc.
Ceci est le plan C suite aux frictions avec la Russie.
rappel : Plan A : Qatar . Plan B : Tanap Azerbaidjan Plan C : gazoduc vers Irak du Nord.
RecepIvedik a écrit:
Ces 3 navires ont traversé les Dardanelles ce matin et sont actuellement en Mer de Marmara, Aucune infos sur leurs destinations :
334 bordo numaralı "NRP D. Francısco De Almeıda" ( Portugal) 103 bordo numaralı "SPS Blas De Lezo" ( Espagne ) 338 bordo numaralı "HMCS Winnipeg" ( Canada )
Ces trois navires ont jeté l' ancre à Istanbul. Dans le Détroit du Bosphore.