@Baybars: ca peut durer des dizaines d'années sans aucun resultat postitif.. +vous n'avez plus le choix .. et l'otan vous laissera seuls avec vos propres betises, vous avez tres bien fait le role d'une barriere pendant la guerre froide en mer noire mais maintenant c'est fini.. en ce qui concerne tes idées fascistes je dirai peut importe qui guidera ces plans peut etre un jour.. il sera pas mieux que moussoulini et Hitler Je te dirai la verite , parfois tu me fait rire surtout quand tu commences a parler d'une invasion turque en syrie et d'annexer le pays a la turquie , comme si la planete entiere va commencer a applaudir et crier bravo les turques vous etes des braves hommes .. vous vous croyez qui?? vous etes rien.. vous avez un PBI semblable aux pays bas avec 17 millions de personnes.. quelques bases d'otan qui avaient but de faire face a l'URSS c'est tout.. je sais pas ce qui te donne le sentiment d'avoir Super-Power, si l'histoire et la langue te donne ca je recommende quelques goutres d'heroin pour toi, c'est efficace
Nous sommes les Turcs .!!!
Vous n’êtes plus que l'ombre de vos ancêtres. Vous avez joué au poker dans la région et vous étiez les plus mauvais bluffeur, il est venu le temps du démantèlement de la Turquie et la finalité sera obligatoirement la création d'un état Kurde, Erdogan ne fait que retardé l’inévitable
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Amgala Winner Colonel
messages : 1670 Inscrit le : 14/11/2010 Localisation : Pole Nord Nationalité :
Ils sont musulmans ? j'ai entendu qu'ils vénérent ali non ?
Il y a un débat chez eux s'ils sont Musulmans ou pas, certains de leurs savants ce considèrent comme Musulmans d'autres non. Le débat est toujours ouvert.
Ils font pas le Hajj, le Siyam, la Sâlat aussi..
Amgala Winner Colonel
messages : 1670 Inscrit le : 14/11/2010 Localisation : Pole Nord Nationalité :
Parceque j'ai vu une video ou des savants alevis disent clairement qu'ils sont pas musulmans.
ne sont t il pas une 5 eme colonne en turquie ? genre ils peuvent colaborer avec bachar contre la turquie ? c'est quoi leur point de vue de ce qui se passe en syrie
http://www.trt.net.tr/francais/asiepacifique/2015/12/10/lavrov-nous-n’avons-pas-accusé-la-turquie-de-traiter-avec-daesh-417080 a écrit:
Lavrov : Nous n’avons pas accusé la Turquie de traiter avec Daesh
Lavrov : Nous n’avons pas accusé la Turquie de traiter avec Daesh Publié 10.12.2015 AA
Le ministre russe des AE a déclaré à des médias italiens : “Nous avons discuté avec les responsables turcs et ne leur avons adressé aucune accusation”
erguei Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, a dit, mercredi, que son pays n’a pas accusé les autorités turques d’avoir traité avec l’organisation Daesh. Lavrov faisait cette déclaration à la télévision publique italienne, au cours d’une rencontre, mercredi à Moscou, avec un groupe de correspondants des médias italiens accrédités dans la capitale russe. Lavrov a souligné : “Nous avons discuté avec les responsables turcs et ne leur avons porté aucune accusation”. “Nous avons seulement voulu que ceux qui commettent ces actes soient sanctionnés et nous ne nous sommes pas exprimés publiquement”, a-t-il ajouté. Le ministre russe a également souligné: "Nous n’avons aucune raison qui nous pousserait à croire que le gouvernement turc a adopté le traitement avec Daesh comme une orientation". “Raison pour laquelle nous avons discuté de la question à travers des canaux secrets”, a-t-il poursuivi. Sur un autre plan, le chef de la diplomatie russe a déclaré: “Ce que soulèvent nos partenaires américains, que la majorité écrasante des habitants de la Syrie sont des sunnites et rejettent ainsi le régime d’al-Assad, en sa qualité de représentant d'une minorité, est une question qui pourrait provoquer et favoriser un conflit religieux en Syrie”. “C’est totalement contraire à l’éthique et au plan politique, cela aboutira à l’explosion de la situation”, a-t-il lancé. "Il est possible de créer une coalition internationale anti-Daesh en Syrie et en Irak mais nous souhaitons que les actes et attitudes des forces de la coalition conduite par les Etats-Unis d’Amérique dans ces deux pays ne deviennent pas une tradition dans le domaine de la lutte antiterroriste comme cela avait été le cas des actes des forces de l’OTAN en Afghanistan" a conclu Lavrov. La Russie a adressé des accusations portant sur l’acquisition par la Turquie du pétrole vendu par Daesh après le crash d’un chasseur russe, le 24 novembre dernier, abattu par la Turquie pour avoir violé son espace aérien au niveau de la frontière avec la Syrie.
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
http://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-145578-turquie-quand-les-refugies-syriens-dopent-la-croissance-de-gaziantep-1183461.php a écrit:
Turquie : quand les réfugiés syriens dopent la croissance de Gaziantep
BERTRAND VIALA / FONDATEUR D’ALDEBARAN CORPORATE INTELLIGENCE | LE 10/12 À 15:22
L'arrivée de quelques 310.000 réfugiés syriens et de son lot d’entrepreneurs a boosté l’activité économique de Gaziantep, une ville turque située à deux heures de route d’Alep. Depuis les débuts de la crise en Syrie en 2011 la notoriété de Gaziantep a été de facto associée principalement au drame des réfugiés. La ville turque, pôle industriel et logistique principal du sud-est anatolien à proximité immédiate de la frontière, a dû faire face à un défi migratoire considérable et soudain. Selon un rapport, en date du mois d’août 2015, fourni par la Chambre de Commerce de Gaziantep, ils étaient plus de 311,759 syriens a être enregistrés comme résidents dans la ville, et ce sur une population d’un peu plus d’1.800.000 habitants.
Si les défis humanitaires et sécuritaires sont incontestables, en atteste la présence active de nombreuses ONG dans la ville, la réalité du terrain montre que Gaziantep a commencé à embrasser avec pragmatisme une nouvelle étape de croissance en maximisant la présence de sa population syrienne.
Les exportations repartent Le visiteur à Gaziantep, ces jours-ci, sera peut être surpris de voir les chantiers imposants sur les hauteurs de la ville. Des programmes impressionnants sont déployés incluant la construction de centres commerciaux, d’espaces de loisirs et des logements, ainsi que de nombreuses rénovations d’infrastructures, ponts et échangeurs, sont en cours d’aménagement. Les vols avec Istanbul sont généralement pleins et acheminent une clientèle internationale et locale. Gaziantep semble être sur la voie de retrouver le dynamisme qui la caractérise historiquement et ce malgré la crise sécuritaire et humanitaire qui se déroule à ses portes. Les dégâts économiques ont été contenus, même si les marges de progression ont bien entendu été limitées. Selon TUIK, l’organisme officiel des statistiques turc, les exportations de la ville vers la Syrie se sont effondrées de 12% en 2011 et de 69% en 2012. Dès 2013, les exportations vers la Syrie augmentent cependant de 105% par rapport à l’année précédente et dès 2014 dépassent les niveaux précédant de 2011. Les chiffres montrent que la ville a exporté, sans discontinuité, vers les pays arabes à un niveau régulier. Le tissu économique de la ville a donc pu gérer à la fois les difficultés logistiques et l’afflux soudain d’une population nombreuse, déracinée et hétérogène. Cela a été le résultat d’une démarche pragmatique entamée depuis environ deux ans et qui commence a porter ses fruits. Changement de regard C’est en ces termes, que débute le chapitre 2 de la dernière version du rapport stratégique intitulé « La Syrie Parmi Nous » (içimizdeki Suriye). Cette formule traite parfaitement de la façon dont les réfugiés ont cessé d’être considérés comme des bénéficiaires de l’aide sociale mais comme des contributeurs au tissu économique local. Ceci est issu d’une réflexion entamée fin 2013 par la Chambre de commerce de Gaziantep qui y a associé 12 organisations de la société civile et trois universités. L’objectif est de fournir une évaluation de l’impact sur la ville des réfugiés syriens afin de permettre une gestion bénéfique de ces populations.
Les émeutes anti-syriennes dont la ville a été le théâtre en 2014, en raison d’une compétition économique avec les habitants, ont démontré la nécessité absolue d’une telle démarche. Serife, une responsable, du rutilant centre communautaire Malumat opéré par l’organisation non-gouvernementale internationale Mercy Corps et installé dans la municipalite de Sahinbey, où vivent de nombreux syriens se félicite de ces évolutions. « Nous sommes ravis que le gouverneur (vali) de la province invite régulièrement tous les acteurs, du monde des affaires et de la société civile à des réunions pour faire le point sur les besoins du terrain ».
Les besoins dont il est question à Gaziantep sont bien loin des clichés misérabilistes dans lesquels la presse occidentale a tendance à enfermer les syriens déracinés, crise migratoire oblige. Serife Ozturk préfère parler d’autonomisation des réfugiés : « notre centre aide les gens à s’intégrer, nous les aidons à se former linguistiquement et culturellement, à s’organiser pour effectuer des démarches professionnelles et administratives, à faire du montage de projet. Nous ne nous substituons jamais ni aux autorités locales ni aux individus qui doivent se sentir responsabilisés et d’ailleurs notre centre agit comme une association de quartier, ouvert à tous, syriens, turcs ou étrangers ».
« Développer des affaires » Cette approche non discriminante correspond à une réalité socio-économique souvent ignorée à l’extérieur. Ainsi, Ali, originaire d’Alep, directeur et fondateur de DilBil, un institut de formation linguistique pour enfants et adultes, explique : « la plupart d’entre nous ne sommes pas dans les camps de réfugiés. Nous sommes en ville ou nous avons investi souvent des sommes considérables. Ce que nous voulons, c’est développer des affaires et surtout permettre à nos enfants d’avoir une éducation de grande qualité. C’est pour cela que j’ai investi dans cette école, car la demande des syriens en formation linguistique et notamment en anglais est énorme ».
Abdulkarim, la trentaine est comme Ali est originaire d’Alep, ville sœur et partenaire commercial historique d’Antep. Issu d’une grande famille industrielle dans l’industrie du mobilier, il est venu à Antep, ou il a ouvert un bureau d’études, Al Baha, à Ugur Plaza, un grand centre d’affaires au cœur du quartier d’affaires de la ville et réservé uniquement aux entreprises appartenant à des syriens.
Il justifie ainsi son choix de rester alors qu’il aurait pu émigrer à Londres : « Ici mon nom est connu. Ma famille fait des affaires avec cette région depuis des générations et je connais très bien le tissu industriel très riche de Gaziantep. Je leur apporte une grande valeur ajoutée. Tout d’abord, je leur amène mon portefeuille client dans les pays arabes. Je gère ainsi de nombreux clients en Arabie Saoudite et au Qatar. Simplement au lieu de vendre mes produits, j’intègre dans mes projets les produits de mes anciens partenaires d’Antep. Tout le monde est gagnant et les affaires marchent très bien. » Il précise faire partie de la minorité croissante qui déclare ses affaires au fisc, l’administration turque ayant eu une marge de tolérance vis à vis notamment des nombreux petits commerces syriens qui ont fleuri dans la ville. D’après une liste fournie gracieusement par la Chambre de Commerce de Gaziantep, seules 471 sociétés syriennes ou à partenaires syriens sont enregistrées dans le département. Abdelkarim ajoute : « nous sommes des gens d’affaires sérieux et notre réputation compte beaucoup. Par ailleurs, nous nous devons de nous intégrer correctement dans ce pays qui nous accueille ».
Intérêts mutuels La normalisation est d’ailleurs un enjeu essentiel pour la région, qui se rend bien compte du potentiel de ces hommes d’affaires, certains d’ailleurs s’organisant pour financer localement des projets où participent les syriens. Comme le rappelle un haut représentant de la Chambre d’Industrie de Gaziantep, « Les Syriens sont arrivés ici et se sont installés, ouvrant de nombreux commerces, encore petits pour la plupart mais ils ne repartiront pas. D’ailleurs, étant originaires d’Alep, nous sommes de fait très proches. » Il poursuit : « C’est dans l’intérêt de tous de faire en sorte qu’ils puissent travailler et faire des affaires en toute transparence et en bénéficiant aux hommes d’affaires locaux bien sûr. Parmi les sujets d’intérêts il y a l’officialisation des nombreuses activités non enregistrées au fisc et la libéralisation des permis de travail. Certains éléments sont très qualifiés et intéressent nos entreprises ». Le potentiel de la région se calcule à long terme. Une source de l’agence d’investissement de la région, Ipekyolu, précise en effet que certains investisseurs envisagent déjà d’ici quelques années la reconstruction d’Alep. Celle-ci ne se fera pas sans les nombreux hommes d’affaires émigrés qui ont choisi Antep comme base.
Par Bertrand Viala, fondateur d’Aldebaran Corporate Intelligence
Erdogan est au Turkménistan pour signé un méga contrat gazier. C'est toi qui a voulu la Russie. Tu as perdu la Turquie, on t'a soutenu pendant l'embargo des Occidentaux. Tu subira les conséquences de ta bêtise envers nous.
RecepIvedik Commandant
messages : 1147 Inscrit le : 25/10/2014 Localisation : FRANCE Nationalité : Médailles de mérite :
http://www.trt.net.tr/francais/turquie/2015/12/11/les-étudiants-russes-déterminés-à-rester-en-turquie-420202 a écrit:
Les étudiants russes déterminés à rester en Turquie
Les étudiants russes déterminés à rester en Turquie Publié 11.12.2015 AA
Moscou avait appelé ses ressortissants qui sont en Turquie à quitter le pays suite à la crise de l'avion russe abattu par la Turquie.
Les étudiants russes ont répondu à cet appel.
Les Russes qui étudient à l'université de Gaziantep se sont dits "heureux" d'être en Turquie. "La crise entre Ankara et Moscou ne nous concerne pas. Personne ne pourra porter préjudice à la fraternité entre les Russes et les Turcs. Tous les amis que nous avons sont des habitants de Gaziantep, ce ne sont pas des Russes. Nous nous entendons très bien" ont-ils dit.
"La crise ne nous a pas affecté. Nous n'avons pas rencontré de problèmes. Nous souhaitons terminer nos études en Turquie. Les autorités turques se sont beaucoup occupées de nous après la crise qui a éclaté entre les deux pays, ils nous ont dit qu'il n'y avait pas de soucis et nous ont demandé de poursuivre nos études. Nos familles nous ont aussi soutenues. Nous sommes heureux mais voulons la paix" ont-ils ajouté.
Les étudiants russes veulent que la tension entre les deux pays s'apaise le plus vite possible.
http://www.lepoint.fr/automobile/actualites/russie-l-industrie-automobile-manque-de-pieces-detachees-de-turquie-11-12-2015-1989301_683.php a écrit:
Russie : l'industrie automobile manque de pièces détachées de Turquie
Publié le 11/12/2015 à 16:35 | AFP
Les constructeurs automobiles implantés en Russie sont confrontés à des difficultés d'approvisionnement en pièces détachées importées de Turquie en raison des restrictions commerciales imposées par Moscou à Ankara, poussant les autorités de Saint-Pétersbourg à tirer la sonnette d'alarme.
"Si la situation se prolonge (...), les entreprises seront prochainement contraintes de cesser la production", a prévenu le vice-gouverneur de la deuxième ville de Russie, Sergueï Movtchane, dans un courrier révélé vendredi par l'agence de presse Interfax et confirmé à l'AFP par son service de presse.
Après la destruction d'un bombardier russe par l'aviation turque le 24 novembre, la Russie a imposé un embargo sur certains fruits et légumes ainsi que sur les volailles de Turquie. Ces restrictions ne concernent pas les pièces détachées de l'industrie automobile, mais, dit le vice-gouverneur, l'ensemble des marchandises en provenance de Turquie sont soumises à des contrôles renforcés, d'où des retards.
Selon lui, Toyota, qui dispose d'une usine à Saint-Pétersbourg, n'a notamment pu recevoir aucun certificat de douane permettant à ses pièces détachées de passer la frontière ces deux dernières semaines. Interrogées par Interfax, les douanes ont annoncé "des mesures supplémentaires" en vue de garantir les approvisionnements des industriels.
Le journal financier russe Vedomosti avait signalé début décembre que l'alliance Renault-Nissan ainsi que la première marque du marché russe Lada (contrôlée par l'alliance franco-japonaise) avaient rencontré des difficultés d'approvisionnement, réglées à la suite de nombreuses plaintes auprès des douanes.
Quelques jours plus tard, le site internet d'informations RBK a indiqué qu'une ligne de production de Lada où sont assemblés des modèles Renault et Nissan avait dû s'arrêter pendant cinq heures faute de portières en nombre suffisant. Renault n'a pas souhaité commenter la situation concernant les fournitures en provenance de Turquie tandis qu'Avtovaz (constructeur des Lada) n'a pas répondu aux demandes d'informations de l'AFP.
Ces difficultés interviennent dans un contexte où l'industrie tourne au ralenti en raison de l'effondrement des ventes liées à la crise économique. En novembre, les ventes ont affiché une chute de 42% sur un an.
Bien sûr qu'ils sont heureux en Turquie, c'est un paradis sur terre. Malgré le manque de travail, les Syriens et les Irakiens préfèrent vivre en Turquie.
RecepIvedik Commandant
messages : 1147 Inscrit le : 25/10/2014 Localisation : FRANCE Nationalité : Médailles de mérite :
Il y avait aussi une initiatives des " gelin " russes de Antalya. Les femmes russes mariées avec des turcs. Elle disaient être très heureuse en Turquie.
Le Boss de Lukoil vient de reprendre 2 Hotels de Luxe, malgré les appels au boycott de Poutin.
Faudrait pas que Poutine se retrouve avec une révolution et qu'il soit obligé de lâcher le pouvoir. Je ne pense pas que les russes souhaitent retourner à l 'époque où ils avaient le confort de l' URSS.
Depuis quelques temps, et la montée des tensions au Moyen-Orient, le public Turc préfère de en plus des livres de stratégie militaire écrit par d'anciens officiers militaires Turcs et par des d'anciens officiers des renseignements du MIT. Sans oublié la base, comme Sun Tzu, Chang Yu, Li Chuang, Onasandre, Asclépiodote, etc..
Russie : l'industrie automobile manque de pièces détachées de Turquie
Les constructeurs automobiles implantés en Russie sont confrontés à des difficultés d'approvisionnement en pièces détachées importées de Turquie en raison des restrictions commerciales imposées par Moscou à Ankara, poussant les autorités de Saint-Pétersbourg à tirer la sonnette d'alarme.
"Si la situation se prolonge (...), les entreprises seront prochainement contraintes de cesser la production", a prévenu le vice-gouverneur de la deuxième ville de Russie, Sergueï Movtchane, dans un courrier révélé vendredi par l'agence de presse Interfax et confirmé à l'AFP par son service de presse.
Après la destruction d'un bombardier russe par l'aviation turque le 24 novembre, la Russie a imposé un embargo sur certains fruits et légumes ainsi que sur les volailles de Turquie. Ces restrictions ne concernent pas les pièces détachées de l'industrie automobile, mais, dit le vice-gouverneur, l'ensemble des marchandises en provenance de Turquie sont soumises à des contrôles renforcés, d'où des retards.
Selon lui, Toyota, qui dispose d'une usine à Saint-Pétersbourg, n'a notamment pu recevoir aucun certificat de douane permettant à ses pièces détachées de passer la frontière ces deux dernières semaines.
Interrogées par Interfax, les douanes ont annoncé "des mesures supplémentaires" en vue de garantir les approvisionnements des industriels.
Le journal financier russe Vedomosti avait signalé début décembre que l'alliance Renault-Nissan ainsi que la première marque du marché russe Lada (contrôlée par l'alliance franco-japonaise) avaient rencontré des difficultés d'approvisionnement, réglées à la suite de nombreuses plaintes auprès des douanes.
Quelques jours plus tard, le site internet d'informations RBK a indiqué qu'une ligne de production de Lada où sont assemblés des modèles Renault et Nissan avait dû s'arrêter pendant cinq heures faute de portières en nombre suffisant.
Renault n'a pas souhaité commenter la situation concernant les fournitures en provenance de Turquie tandis qu'Avtovaz (constructeur des Lada) n'a pas répondu aux demandes d'informations de l'AFP.
Ces difficultés interviennent dans un contexte où l'industrie tourne au ralenti en raison de l'effondrement des ventes liées à la crise économique. En novembre, les ventes ont affiché une chute de 42% sur un an.
http://www.rfi.fr/europe/20151212-appel-calme-avertissement-turquie-russie-mevlut-cavusoglu-avion-abattu a écrit:
Vendredi, Mevlüt Çavusoglu a lancé un appel en forme d'avertissement à l'attention du Kremlin, tout en prenant garde de ménager le pouvoir russe : « Notre patience n'est pas sans limites, a-t-il prévenu. Si nous n'avons pas exercé de représailles jusqu'à présent, ce n'est pas par peur ou par sentiment de culpabilité. Nous ne souhaitions pas cette situation, mais la Russie agit de façon injuste. »
Fox-One General de Division
messages : 8023 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Un navire de guerre russe ouvre le feu pour éviter une collision avec un bateau de pêche turc 13 déc. 2015, 13:09
L’attaché turc a été appelé d’urgence au ministère de la Défense russe après qu’un incident se soit produit entre le navire de garde de la marine russe Smetlivy et un senneur turc en mer Egée ; à 22 kilomètre de l’île grecque de Lemnos.
Détails à suivre
Fox-One General de Division
messages : 8023 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
«A 9h03 (heure de Moscou), les marins de quart du navire russe ont découvert un bateau turc à moins d’un kilomètre, s’approchant vers le bâtiment Smetlivy côté tribord», a fait savoir le département militaire russe.
Malgré de nombreuses tentatives du navire Smetlivy, l’équipage du bateau de pêche turc n’est pas entré en contact avec les marins russes et ne répondait pas aux signaux de sémaphore lumineux ni de fusées de signal, a-t-on souligné dans le ministère russe.
Alors que le navire turc se trouvait à moins de 600 m, l’équipage du bateau russe a recouru à l’utilisation d’armes portatives afin d’attirer l’attention des turcs et ainsi éviter la collision. Après quoi le senneur turc a finalement réagi en changeant de direction.
L’incident intervient au moment où la situation entre les deux pays est tendue, suite à la chute du bombardier russe Su-24 abattu le 24 novembre par l’armée de l’air turque à la frontière syrienne. Cette attaque a été considérée par Moscou comme «un coup dans le dos», ainsi qu'une assistance directe aux forces terroristes en Syrie.
Aller plus loin : selon Medvedev, Ankara protège Daesh, car la Turquie a un intérêt financier dans l’Etat islamique
Russian Navy chases off Turkish vessel impeding drill platform transit in Black Sea Published time: 14 Dec, 2015 09:26 Edited time: 14 Dec, 2015 11:45
A Russian missile cruiser and a coast guard powerboat had to intervene after a merchant vessel flying the Turkish flag blocked a convoy transporting two drill platforms to a new location in Moscow's territorial waters. The decision to relocate them closer to Crimea was caused by the complicated international situation, according to a press release from the Russian Chernomorneftegaz state company which owns the platforms.
While the two rigs were being moved to their new location, a vessel under the Turkish flag crossed the convoy’s path.
“Acting in violation of regulations for preventing collisions and against the generally-accepted conventions of navigation, the Turkish vessel failed to get out of the way of the convoy. It approached crossways and attempted to stop its course, thus creating potential for a collision,” Chernomorneftegaz said in a statement, stressing that the captain of the Turkish vessel operated radio silence despite requests to respond.
READ MORE: Turkey decries sighting of Russian ‘soldier with manpad’ on ship passing Istanbul
The incident was “resolved” when a powerboat from the Russian coast guard and a missile cruiser came to the aid of the Russian convoy and chased the Turkish vessel off.
The company says the B-312 and B-319 rigs are worth 25 billion rubles (about US$357mn). Both rigs have reportedly being safely brought to Russian territorial waters.
It is the second recent sea incident involving the Russian Navy and Turkish vessels.
On December 13, a Russian warship had to fire warning shots at a Turkish trawler to prevent a collision in the Aegean Sea some 22 kilometers off the Greek island of Lemnos. The fishing boat was steering towards the Russian battleship and ignored all communications from the Russians.
The succession of the incidents involving Russian and Turkish ships is “an overture to the Turkish intention to raise the issue of renegotiating the Montreux Convention [regulating passage of the foreign ships through the Turkish straits of Bosporus and Dardanelles],” Professor Srdja Trifkovich, foreign affairs editor of the Chronicles Magazine, told RT.
Trifkovich explained, that the Montreux Convention (signed in 1936) is subject to renewal every 20 years, so in 2016 the convention will be re-signed.
“Obviously, this would be a handy time for the Turks to start raising tension and to start claiming that the number of incidents – for which they, of course, would blame the Russian side – indicates the need to impose some as yet unknown restrictions on the passage of the Russian warships through the straits,” Trifkovich said, stressing that in the past similar incidents were quite rare.
Trifkovich noted that an escalation in Russia-Turkey relations over the straits would be a major one, giving the fact that gaining access to the Bosporus and Dardanelles straits has been an imperative of Russian foreign policy since the 18th century.
The strait issue is particularly sensible now as Russia is conducting a counter-terrorist operation in Syria. The shortest sea route to Syria passes through the Bosporus and Dardanelles.
jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
La Russie confirme l'annulation d'un sommet russo-turc prévu mardi
AFP 14/12/2015
Les autorités russes ont confirmé lundi l'annulation d'un sommet russo-turc prévu mardi auquel devaient participer le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, les deux pays traversant une grave crise diplomatique.
La rencontre entre les deux chefs d'Etat avait été décidée le 16 novembre en marge du sommet du G20 à Ankara, moins de dix jours avant qu'un Su-24 russe ne soit abattu par des chasseurs F-16 turcs. "Cette rencontre n'aura pas lieu. Elle n'est pas prévue", a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Le crash du bombardier russe et la mort du pilote russe, abattu alors qu'il descendait en parachute après s'être éjecté, ont provoqué la plus grave crise diplomatique entre les deux pays depuis la fin de la Guerre froide. Vladimir Poutine avait déjà refusé de rencontrer M. Erdogan en marge du sommet sur le climat organisé au Bourget, près de Paris, tout comme il a refusé de prendre les appels téléphoniques du président turc.
La Russie a aussi adopté un ensemble de mesures de rétorsion, allant d'un embargo sur certains fruits et légumes ainsi que sur les volailles de Turquie au rétablissement du régime des visas pour les citoyens turcs. Lundi, le représentant du Kremlin pour la coopération culturelle internationale Mikhaïl Chvydkoï, cité par l'agence de presse russe TASS, a par ailleurs annoncé la suspension des liens culturels avec Ankara jusqu'au "changement de la situation politique" en Turquie.
Un navire de guerre russe a également affirmé avoir ouvert le feu dimanche pour éviter une collision avec un bateau turc en mer Egée. L'attaché militaire turc avait été convoqué dans la foulée.
Fenerbahçe Istanbul reçoit le Lokomotiv Moscou en 16° de finale da la " Europa League" le 18 février. LEs supporters russes viendront-ils ? ou Poutine les aura-t-il psychosé ?