@Baybars: ca peut durer des dizaines d'années sans aucun resultat postitif.. +vous n'avez plus le choix .. et l'otan vous laissera seuls avec vos propres betises, vous avez tres bien fait le role d'une barriere pendant la guerre froide en mer noire mais maintenant c'est fini.. en ce qui concerne tes idées fascistes je dirai peut importe qui guidera ces plans peut etre un jour.. il sera pas mieux que moussoulini et Hitler Je te dirai la verite , parfois tu me fait rire surtout quand tu commences a parler d'une invasion turque en syrie et d'annexer le pays a la turquie , comme si la planete entiere va commencer a applaudir et crier bravo les turques vous etes des braves hommes .. vous vous croyez qui?? vous etes rien.. vous avez un PBI semblable aux pays bas avec 17 millions de personnes.. quelques bases d'otan qui avaient but de faire face a l'URSS c'est tout.. je sais pas ce qui te donne le sentiment d'avoir Super-Power, si l'histoire et la langue te donne ca je recommende quelques goutres d'heroin pour toi, c'est efficace
Nous sommes les Turcs .!!!
Vous n’êtes plus que l'ombre de vos ancêtres. Vous avez joué au poker dans la région et vous étiez les plus mauvais bluffeur, il est venu le temps du démantèlement de la Turquie et la finalité sera obligatoirement la création d'un état Kurde, Erdogan ne fait que retardé l’inévitable
Les turques ne peuvent pas aller loin.. ils ont seulement l'artillerie comme outil pour attaquer les YPG , utiliser l'aviation est totalement impossible avec la presence des russes
Les turcs n'ont pas besoin de rentrer en Syrie, ils ont 2.5 millions de syriens chez eux, en somme un bon gros réservoir d'homme prêt à donner leur vie pour défaire assad, une arme turque, un équipement turc, un petit entrainement de quelques semaines et hop une katiba qui rentre en Syrie pour combattre, avec un joli appui des firtina..
Citation :
Au moins 500 rebelles syriens ont traversé mercredi la frontière turque pour se rendre dans la ville syrienne d'Azaz dans la province d'Alep, où la rébellion a subi une série de revers face à l'armée et aux forces kurdes, selon une ONG. "Au moins 500 rebelles ont traversé le poste-frontière de Bab al-Salamé pour se rendre dans la ville d'Azaz à partir de laquelle ils veulent prêter main forte aux insurgés face à la progression des forces kurdes dans le nord de la province", a indiqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
"Le transfert des rebelles s'est fait sous la supervision des autorités turques", a-t-il ajouté. "Il s'agit de combattants islamistes et non islamistes, tous armés", a-t-il poursuivi, sans plus de précision. Le 14 février, près de 350 rebelles étaient déjà passés à travers le poste-frontière d'Atmé, munis d'armes légères et lourdes. A la suite d'une vaste offensive de l'armée appuyée par les frappes aériennes russes, les rebelles ont perdu plusieurs villes et localités de la province d'Alep qui était considérée comme leur fief. Profitant de l'affaiblissement des insurgés, les forces kurdes, qui cherchent à réaliser leur propre projet autonomiste, ont également progressé dans cette province morcelée entre régime, rebelles, jihadistes et kurdes. Elles ont pris notamment la ville de Tall Rifaat. Il ne reste comme principal bastion rebelle qu'Azaz, proche de la frontière turque, et Marea, plus au sud, et qui est aujourd'hui quasiment encerclée par les forces kurdes à l'ouest et les extrémistes de l'Etat islamique à l'est. Alarmée par la progression des forces kurdes près de sa frontière, la Turquie, qui soutient la rébellion contre Bachar al-Assad, bombardait après minuit pour le cinquième jour consécutif leurs positions notamment à Tall Rifaat.
La Turquie va virée les USA, en fermant la base d'Incirlik et en se retirant de la coalition contre l'EI.
http://en.trend.az/world/turkey/2496665.html
La Turquie ne devrait pas s'arrêter là, et doit Se retirer du projet F-35 (13 milliards $), baisser sa présence dans l'Otan au minimum voir se retirer de l'Otan. Développer un programme nucléaire militaire, on est pas mieux servi que par soit même.
La Turquie a utilisée des missiles balistiques contre le YPG:
La Turquie va virée les USA, en fermant la base d'Incirlik et en se retirant de la coalition contre l'EI.
http://en.trend.az/world/turkey/2496665.html
La Turquie ne devrait pas s'arrêter là, et doit Se retirer du projet F-35 (13 milliards $), baisser sa présence dans l'Otan au minimum voir se retirer de l'Otan. Développer un programme nucléaire militaire, on est pas mieux servi que par soit même.
La Turquie a utilisée des missiles balistiques contre le YPG:
l'etat turque va se disloquer, baybar reve comme il reve depuis 5 ans. ca serait une enorme erreure de faire ca, une de plus. l'utilisation de missile est une demonstration de force qui n'impressionne personne t'en les moyens balistiques sont limités
Pas besoin d'aller aussi loin, bombardements du ypg en Syrie + guerre contre le pkk dans le sud est de la Turquie c'est simplement une vengeance, ils visaient l'armée c'est un attentat du pkk comme beaucoup d'autres. Ils ne revendiquent pas parce-qu'ils sont malins ces terroristes ils veulent que la communauté internationale pense comme tu le fais à l'instant..
Oui et peut etre que les communicants Turc souhaitent que tu pense comme tu le fais, a ce jeux la on tourne en rond. Les Kurdes n'ont aucuns interets a donner un batton pour se faire battre et legitimiter l'action turc en syrie alors qu'ils sont en train de gagner du terrain en syrie
Qu'est-ce que je disais..
Citation :
Les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK) disent sur leur site internet avoir agi en représailles aux opérations des forces turques à Cizre, ville proche de la frontière syrienne où plusieurs centaines de séparatistes ont été tués depuis décembre, et promettent d'autres attentats.
Les TAK, qui disent avoir rompu avec le PKK, avaient déjà revendiqué le tir de mortier qui avait fait un mort en décembre à l'aéroport Sabiha Goksen d'Istanbul.
Le TAK a aussi mis en garde les touristes étrangers contre les dangers de visite en Turquie.
http://www.challenges.fr/tribunes/20160217.CHA5192/pourquoi-les-occidentaux-doivent-faire-de-la-turquie-un-allie.html a écrit:
Pourquoi les Occidentaux doivent faire de la Turquie un allié
Publié le 18-02-2016 à 10h51
Pour le géopolitologue Jean-Sylvestre Mongrenier, les pays occidentaux doivent considérer la Turquie comme un véritable partenaire et allié.
L’offensive russo-chiite contre les groupes syriens opposés à Bachar Al-Assad et les bombardements d’Alep ont provoqué de nouvelles vagues de réfugiés qui se précipitent sur la frontière turco-syrienne. L’opération militaire en cours et l’éradication des forces tierces, entre le régime de Damas et l’« Etat islamique », pourraient mettre sur les routes des centaines de milliers de personnes. En regard des réalités humaines et géopolitiques, la virulence des critiques à l’encontre du gouvernement turc appelle une réflexion d’ensemble.
Voilà en effet un pays, qui accueille 2,6 millions de réfugiés syriens, accusé ne pas ouvrir immédiatement ses frontières aux malheureux fuyant les bombardements russes et la politique de la terre brûlée, inspiré par le précédent tchétchène. Simultanément, il lui est reproché de ne pas fixer ces populations sur place, afin de préserver l’Europe de nouvelles arrivées. De surcroît, les « aficionados » de Poutine et Assad remettent en cause le principe même d’une aide de l’Union européenne (UE), pour permettre à la Turquie de faire face à ce drame de grande ampleur, au risque de déstabiliser ce pays clef sur le plan géopolitique. Mais peut-être est-ce là l’effet recherché, sans claire conscience de toutes les conséquences pour l’Europe.
Une puissance de statu quo
Outre le fait qu’il est simultanément demandé à la Turquie d’ouvrir grand ses frontières à l’Orient et de les cadenasser à l’Occident, d’aucuns expliquent que la question kurde relève du fantasme géopolitique. Au prétexte que les Kurdes combattent l’« Etat islamique », mais aussi les groupes rebelles non djihadistes, les dirigeants turcs devraient abandonner toute préoccupation quant à l’intégrité territoriale de leur pays, objectivement menacée par les développements de la situation. Enfin, il leur faudrait fermer les yeux sur les violations répétées de leur espace aérien par l’aviation russe. A ces conditions seulement, la Turquie pourrait être considérée comme un bon allié de l’Occident. Autisme stratégique ou mauvaise foi patentée?
D’autres vont plus loin. Ils suggèrent que la politique « néo-ottomane » de Recep. T. Erdogan et l’interférence dans les affaires syriennes seraient à l’origine de la guerre en Syrie et du chaos qui menacent le Moyen-Orient dans son ensemble. Il faut ici rappeler que ce néo-ottomanisme, théorisé par Ahmet Davutoglu, aujourd’hui Premier ministre, ne recouvrait pas une politique étrangère bien définie. Il s’agissait d’une rhétorique liée à la poussée commerciale turque sur les marchés voisins, doublée de manœuvres dans les interstices du statu quo régional, pour y développer l’influence de la Turquie. N’y voyons donc pas un grand complot ourdi en collaboration avec les Etats du golfe Arabo-Persique et les Frères musulmans: tout comme l’Arabie Saoudite, la Turquie est au plan international une puissance conservatrice (un status quo power), bousculée par les effets du « Printemps arabe », qui réagit plus qu’elle n’agit.
Quant à la Syrie, c’est la répression sanglante du pouvoir qui décida la rupture du « partenariat stratégique » développé dans la seconde moitié des années 2000. Les dirigeants turcs et syriens multipliaient alors les rencontres et affirmaient vouloir conjuguer leurs efforts, afin de fonder un grand marché commun moyen-oriental possiblement élargi à l’Iran (les puissances occidentales s’en inquiétaient). Il aura fallu cinq mois de répression sanglante et de vains appels d’Erdogan à son « frère », Bachar Al-Assad, pour que le premier ministre turc prenne enfin acte de la situation et se mette dans le sillage des puissances occidentales, elles-mêmes à la remorque des événements.
Obsédées par les erreurs commises en Irak, ces puissances se préoccupaient plus du « jour d’après » (voir la mise sur pied du Conseil national syrien, en septembre 2011) que de mettre en place d’une zone d’exclusion aérienne en avant des frontières turques, destinée à l’abri des réfugiés et des groupes rebelles. Sur le terrain, leur soutien aura été minimal et elles n’auront pas véritablement œuvré à la chute du tyran de Damas. Nous subissons aujourd’hui les conséquences des atermoiements des gouvernements occidentaux en général, de l’Administration Obama en particulier, l’actuel président des Etats-Unis abandonnant les conflits syro-irakiens à son successeur (si les développements de la situation lui en laissent la possibilité).
A rebours de ceux qui préconisent la liquidation des alliances occidentales dans la région, laissant place à un axe géopolitique russo-chiite dominant le Moyen-Orient, il nous faut insister sur l’importance de la Turquie comme alliée et partenaire de l’Occident. La chose est évidente dans le domaine de l’immigration et de la crise des réfugiés: les Européens ne pourront prétendre reprendre le contrôle des flux migratoires sans une forte coopération avec Ankara, et cela aura un coût financier. Le poujadisme n’est pas une option stratégique et le « chacun pour soi » conduit à l’impasse: lorsque les réfugiés arrivent à nos frontières, il est déjà trop tard pour réagir.
Un nécessaire soutien occidental
Au plan géopolitique, la Turquie est un pont énergétique avec le bassin de la Caspienne, et le « corridor méridional » (le réseau de gazoducs entre Europe et Azerbaïdjan) contribuera à la sécurité énergétique de l’Europe, en diversifiant les fournisseurs de gaz. Comparable à un « balcon nord » qui surplombe la Méditerranée orientale et le Moyen-Orient, ce pays est aussi riverain de la mer Noire. Il fait face à la Russie de Poutine qui transforme la Crimée, qualifiée de « bastion méridional », en une plate-forme géostratégique utilisée afin de projeter forces et puissance dans le bassin pontico-méditerranéen (voir l’engagement militaire russe en Syrie).
Bref, la Turquie retrouve la fonction de flanc-garde qui était la sienne pendant la Guerre Froide – l’hostilité de Poutine à son encontre, décuplée depuis qu’un bombardier russe a été abattu par des F-16 turcs, le 24 novembre 2015, en témoigne -, et elle constitue un Etat-tampon, confronté aux ondes de choc en provenance du Moyen-Orient, une région menacée de déflagration générale. L’éventuelle faillite de l’Etat turc, au sens de Failed State, constituerait une catastrophe géopolitique pour l’Europe, dès lors privée d’« amortisseur » sur ses frontières sud-orientales. Les contempteurs de la Turquie en sont-ils conscients?
En conséquence, le soutien à la Turquie ne doit pas être compté. L’initiative germano-turque visant à déployer des navires de l’OTAN en mer Egée, pour lutter contre les passeurs, est heureuse ; plus encore le fait que les Alliés se soient accordés sur cette question (Bruxelles, le 11 février 2016). L’opération viendra compléter le « plan d’action commun » et le dispositif financier (un fonds de 3 milliards d’euros) négocié entre l’UE et Ankara, le 29 novembre 2015, qui reste à mettre en place.
A l’encontre des manœuvres russes visant à impressionner la Turquie, la présence militaire renforcée des Alliés sur le territoire turc, et dans ses eaux, devrait matérialiser les garanties de sécurité apportées par l’OTAN: il ne faudrait pas que Moscou s’y trompe et sous-estime la force de l’article 5 du traité de l’Atlantique Nord. En revanche, le redémarrage des négociations sur l’adhésion de la Turquie à l’UE laisse circonspect. L’islamo-nationalisme de l’AKP et les atteintes à l’Etat de droit d’une part, la fragilité du Commonwealth paneuropéen et l’état d’esprit général de l’autre, rendent invraisemblable une telle perspective.
A l’évidence, la pratique des « ambiguïtés constructives » n’est plus de mise et les doubles discours sur la relation turco-européenne alimentent l’anti-européisme. Il nous faut donc sortir du « tout ou rien », et explorer la voie d’un partenariat géopolitique de haut niveau, fondé sur la claire conscience des intérêts mutuels. Au vrai, les Turcs eux-mêmes pensent-ils encore pouvoir entrer dans l’UE? Le veulent-ils seulement? La candidature d’Ankara est surtout utilisée comme un moyen de pression sur Bruxelles et les capitales européennes (à charge pour elles de résister).
Dans le présent contexte géopolitique, la logique de guerre froide qui est à l’œuvre dans l’Est européen (la « guerre hybride » en Ukraine, la situation en Moldavie et la pression russe sur les Baltes) s’étend au Moyen-Orient, et l’Occident doit pouvoir maintenir de solides points d’appui régionaux. Encore faut-il savoir prendre en compte les intérêts de ses alliés et faire preuve d’empathie stratégique. A défaut, on mettrait en péril les alliances et ouvrirait la voie à de dangereuses puissances révisionnistes, avec d’inévitables chocs en retour et de graves conséquences géopolitiques.
Par Jean-Sylvestre Mongrenier, chercheur à l’Institut Thomas More
RecepIvedik Commandant
messages : 1147 Inscrit le : 25/10/2014 Localisation : FRANCE Nationalité : Médailles de mérite :
http://www.trt.net.tr/francais/turquie/2016/02/19/la-turquie-ne-restera-pas-passive-face-aux-formations-illegitimes-a-sa-frontiere-435994 a écrit:
"La Turquie ne restera pas passive face aux formations illégitimes à sa frontière"
Le président de la République Recep Tayyip Erdogan a déclaré que la Turquie ne sera pas un pays qui regarde de loin les formations illégitimes à sa frontière
Le président de la République Recep Tayyip Erdogan a déclaré que la Turquie ne restera pas passive face aux formations illégitimes à sa frontière.
Il a relevé qu'il n'y a aucun doute sur le fait que le YPG, la branche armée de l'organisation terroriste PYD, est bien l'auteur de l'attentat sanglant qui a fait 28 morts à Ankara.
Le président de la République a répondu à Istanbul aux questions des journalistes sur l'attentat commis à Ankara.
Il a déclaré que les services de renseignement ont identifié deux autres personnes qui ont joué un rôle actif dans l'attentat.
"Alors que le PKK a été reconnu comme une organisation terroriste par les pays de l'Union européenne, pourquoi n'ont-ils toujours pas reconnu le PYD et le YPG comme une organisation terroriste. Reconnaissez-les comme telles. Que voulez-vous de plus, nous vous avons déjà donné tous les documents et informations que vous aviez demandé" a-t-il dit, précisant qu'il était affligeant que l'Occident s'obstine à ne pas comprendre le problème.
Les journalistes lui ont demandé d'évaluer la dernière déclaration du porte-parole du département d'Etat américain, John Kirby, sur l'organisation terroriste en question. M. Erdogan a déclaré qu'il aura un entretien téléphonique avec Barack Obama dans la soirée.
"Nous allons dire à Obama: "Regardez où et comment ont explosé les armes que vous avez fournies aux organisations terroristes en Syrie"" a-t-il relevé.
"Nous n'autoriserons pas que le corridor qu'ils essaient de créer à la frontière syrienne, soit formé. Nous ne resterons pas spectateurs face à une formation illégitime à nos frontières" a enfin déclaré Recep Tayyip Erdogan.
http://www.boursorama.com/actualites/risque-de-guerre-entre-la-russie-et-la-turquie-dit-hollande-b1d95629e4efb78699bf5559203cb644 a écrit:
Risque de guerre entre la Russie et la Turquie, dit Hollande Reuters le 19/02/2016 à 19:034
HOLLANDE PARLE DE RISQUE DE GUERRE ENTRE MOSCOU ET ANKARA
PARIS (Reuters) - "Il y a un risque de guerre entre la Turquie et la Russie", a déclaré vendredi François Hollande, demandant de tout faire pour éviter une escalade entre ces deux pays.
Interrogé sur France Inter entre deux sessions de travail au Conseil européen de Bruxelles, le président français a demandé en outre une reprise des négociations sur la Syrie, où les bombardements doivent selon lui cesser.
"Il y a une escalade. Il faut tout faire pour arriver à une solution politique", a dit le chef de l'Etat.
La destruction en novembre d'un bombardier russe par l'aviation turque à la frontière syrienne a provoqué une crise diplomatique entre Ankara et Moscou.
Sur la Syrie, d'où proviennent la plupart des réfugiés qui cherchent à entrer en Europe, "il faut que les négociations reprennent vite, que les bombardements cessent et que l'aide arrive", a dit François Hollande.
Le groupe de travail chargé de la mise en oeuvre d'une "cessation des hostilités" en Syrie devait se réunir vendredi après-midi au siège des Nations unies à Genève.
L'objectif des discussions de Genève et de l'accord sur une "cessation des hostilités" est de favoriser une reprise de ces négociations intersyriennes entre des représentants du régime et de l'opposition.
l'etat turque va se disloquer, baybar reve comme il reve depuis 5 ans. ca serait une enorme erreure de faire ca, une de plus. l'utilisation de missile est une demonstration de force qui n'impressionne personne t'en les moyens balistiques sont limités
Du sang a coulé, mais pas assez, la guerre va continuée jusqu'à la chute du régime assadiste.
Fox-One General de Division
messages : 8023 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Je me pose des questions, quelles relations possède la Turquie avec des pays comme l’Azerbaïdjan, le Kazakhstan ou encore le Turkménistan ? et est-ce qu'en cas de conflit la Turquie pourrait elle bénéficier du soutien de ses pays là ? Quelle position ces pays adoptent face à la Russie sachant qu'ils possèdent une histoire commune avec celle-ci ? j'ai également vu qu'il y'avait une organisation entre ces pays et la Turquie.
Je me pose des questions, quelles relations possède la Turquie avec des pays comme l’Azerbaïdjan, le Kazakhstan ou encore le Turkménistan ? et est-ce qu'en cas de conflit la Turquie pourrait elle bénéficier du soutien de ses pays là ? Quelle position ces pays adoptent face à la Russie sachant qu'ils possèdent une histoire commune avec celle-ci ? j'ai également vu qu'il y'avait une organisation entre ces pays et la Turquie.
Ce sont des états turcs, des peuples turcs, les Turcs d'Anatolie sont originaire de cette région, c'est notre mère patrie avant qu'on ai considéré l'Anatolie comme patrie. La Turquie mène une politique active pour faire revenir ces peuples vers le turcisité.
De la Turquie jusqu'au Japon, nous formions une seule entité. Pour rappel les Turcs parlent une langue altaïque, comme le coréen, le japonais, le mongol, et les autres langues turques d'asie centrale (kazakh, ouzbek, kirghiz, turkmène, qayshqai, azéri)..
L' Azerbaidjan qui a signé un traité de défense mutuel avec la Turquie, lance des manoeuvres pour tester le temps de réaction de son armée en cas de conflit réel de grande envergure.
Les ambitions de la Turquie en Afrique fév 19, 2016
Ankara ne fait pas les choses à moitié. En effet, bien que sa représentation diplomatique ne touche pas tous les états africains, la Turquie souhaite y asseoir sa présence dans tous les domaines, notamment économique, comme le montre l’accroissement des investissements turcs dans de nombreux pays du continent noir.
Des liens historiques et culturels
Les liens historiques et culturels de la Turquie avec l’Afrique ont contribué à établir des relations étroites avec ce continent. En effet, dans le cadre de leur politique d’ouverture à l’Afrique qui a commencé en 1998, la Turquie est déterminée à accroitre et développer ses relations politiques, économiques, commerciales et culturelles avec les pays africains.
Dans ce contexte, une stratégie de développement des relations économiques avec les pays africains a été préparée en 2003 par le Sous-secrétariat d’État au Commerce extérieur et par la suite « l’Année de l’Afrique» a été déclarée en 2005 par le Gouvernement turc. La Turquie a obtenu le statut d’observateur à l’Union Africaine la même année.
La politique étrangère de la Turquie vers l’Afrique ne repose pas seulement sur les objectifs économiques et commerciaux mutuellement avantageux, mais intègre également une approche globale qui inclut le développement de l’Afrique par une assistance technique sur base de projets dans les domaines comme la lutte contre les maladies, le développement agricole, l’irrigation, l’énergie et l’éducation et le flux régulier d’aide humanitaire.
Une stratégie globale de développement
Le chef du département Afrique du Ministère des Affaires étrangères de la République de Turquie, M. Hilni Ege Turemen, chargé des politiques africaines, a fait part de l’option de son pays visant à renforcer ses relations avec les pays africains, particulièrement au sud du Sahara, à travers l’établissement de partenariats mutuellement profitables.
Ainsi, devant des représentants de la presse sénégalaise en visite à Ankara, en début février, le diplomate turc dont le département gère 18 pays africains, a expliqué que son pays a été obligé de faire ce choix stratégique après la guerre froide qui a occasionné un déplacement du centre de gravité économique mondiale vers le bassin de la méditerranée.
En effet, il a clairement affiché la volonté de son pays d’améliorer ses relations avec les pays africains, en rappelant les positions pro-africaines de la Turquie dans les différents forums internationaux, notamment à l’ONU, où il rappellera qu’elle a été le porte-parole de l’Afrique en 2009 et 2010, lorsqu’elle a occupé un siège au Conseil de sécurité des Nations unies.
Son objectif premier est d’aider avant tout au développement des populations. Il n’en demeure pas moins que les investisseurs turcs sont de plus en plus nombreux en terre africaine. Le démontre par exemple, la présence du président turc Erdogan en janvier 2015 à Mogadiscio en Somalie pour inaugurer le nouvel aéroport. Un exemple des nombreux investissements turcs en Afrique, une stratégie de long terme alors que les portes de l’Europe semble fermées pour encore un moment. Objectif : gagner des marchés et de l’influence.
Pour que le secteur privée, motrice de son économie, joue pleinement son rôle pour l’essor de ses entreprises dans un environnement défavorable, la Turquie est contrainte à partir de 2016, à opérer des réformes de deuxième génération caractérisées par la recherche-développement et l’innovation technologique. Grâce à la capitalisation de la crise de 2000 en Turquie, le pays a pu résister à celle de 2008. Aujourd’hui elle est dans la classe des pays à revenu moyen et son objectif est de passer au rang de pays à revenu élevé.
Septième économie en Europe et 18ième dans le monde, la Turquie a réussi grâce à ses réformes à tripler son PIB entre 2002 et 2015 avec un PNB de 2500$/ht. Elle projette un taux de croissance élevé entre 2016 et 2022 pour atteindre un PNB de 25000$/ht en 2023.
La Turquie ne veut pas être en reste en ayant sa part des marchés africains, d’autant plus que ses entreprises sont compétitives sur la scène internationale. Elle veut se poser comme un modèle de relations internationales.
La rédaction
En savoir plus sur http://afriqueinside.com/les-ambitions-de-la-turquie-en-afrique19022016/#AWsLDqPGhYE0wRIs.99
De la Turquie jusqu'au Japon, nous formions une seule entité.
je crois que seul Gengis Khan à reussi à soumettre la plupart de ces peuples des grande steppes sous une seule autorité
Spoiler:
Il y a aussi l'empire des Göktürk qui atteint son apogée sous Tong Yagbu Khan (le roi turc représentant de mon avatar):
Sans oublié, le fondateur de la nation turque (dont de l'armée turque) et de l'empire Xiongnu, Mete Khan (Modu Chanyu) issu de la tribu des Ashina en -209 avant JC:
La fondation de l'armée de terre turque en -209 avant JC:
Attila qui regroupera les Xiongnu de l'ouest sous son autorité pour fondé l'empire Hun qui ravagea l'empire Romain.
Dernière édition par Baybars le Sam 20 Fév 2016 - 12:32, édité 1 fois
En 16ème siècle, les dynasties turques gouvernaient de la frontière Marocaine jusqu'en Chine et en Birmanie (Ottomans, Safavides, Moghol), c'est pas pour rien que le Prophète sws a dit : "إِنَّ بَنِي قَنْطُورَاء أَوَّل مَنْ سَلَبَ أُمَّتِي مُلْكهمْ" : "Les fils de Qantûrâ [= les Turcs] seront les premiers à prendre à ma Umma ("ummatî") sa souveraineté" (Ibn Hajar: Fat'h ul-bârî 6/745)
pour moi la turquie nait avec l empire ottoman avant en turquie il y avait un califat egyptiens et encore plus avant les byzantins nous au Maroc en compte pas la Mauretanie comme ''maroc'' mais à partir de 789 avec la première dynastie idrisside c'est comme si les italiens comptent l empire romain comme ''italie'' mais c est faut l italie existe depuis 150 ans nous au Maroc on compte depuis 789 car c'est le meme état et on est resté comme ça (jamais quelqu'un est arrivé et nous a éffacé de la carte (comme pour les romains ou votres anciens royaumes)) les français aussi ils comptent pas les galles comme ''France'' mais à partire de leure première dynastie il y a 1100 ans (je me rappelle plus le nom)
vous pouvez quand meme etre fière de votre pays car vous étiez un puissant empire, un pays séculaire et vous etes pas une creation européen (comme le 70% des pays musulmans)
Euhhh, les Xiongu, les Göktürk étaient turcs comme nous, ce sont nos ancêtres directs, ce sont des états turcs.
Alors qu'il n'y avait pas de peuple français ou marocain pendant l'époque antique, enfin qui s'appelait pas ainsi. Ils se disaient turcs comme nous.
oui mais mais c'est pas la turquie nous aussi en avait la Mauretanie dans l'époque antique et les berbères au maroc ils datent depuis vraiment longtemps mais ils ont rien à voir avec le Maroc actuel comme votres états antiques on peut dire qu il sont votres ancetre mais la turquie suit l empire ottoman et pas ces pseudos états
Euhhh, les Xiongu, les Göktürk étaient turcs comme nous, ce sont nos ancêtres directs, ce sont des états turcs.
Alors qu'il n'y avait pas de peuple français ou marocain pendant l'époque antique, enfin qui s'appelait pas ainsi. Ils se disaient turcs comme nous.
oui mais mais c'est pas la turquie nous aussi en avait la Mauretanie dans l'époque antique et les berbères au maroc ils datent depuis vraiment longtemps mais ils ont rien à voir avec le Maroc actuel comme votres états antiques on peut dire qu il sont votres ancetre mais la turquie suit l empire ottoman et pas ces pseudos états
L'empire Ottoman n'est pas la Turquie! Les Seldjoukides n'est pas la Turquie! Les Timourides, c'est pas la Turquie! Les Zengides, c'est pas la Turquie! Si on te lit..
La Turquie se réclament officiellement des états turcs de l'époque antique, donc oui, la nation turque est fondée en -209 avant JC. L'armée de terre turque se réclame officiellement de Modu Chanyu (Mete Khan).
badr le patriotique Sous lieutenant
messages : 612 Inscrit le : 29/11/2013 Localisation : World Nationalité :
Euhhh, les Xiongu, les Göktürk étaient turcs comme nous, ce sont nos ancêtres directs, ce sont des états turcs.
Alors qu'il n'y avait pas de peuple français ou marocain pendant l'époque antique, enfin qui s'appelait pas ainsi. Ils se disaient turcs comme nous.
oui mais mais c'est pas la turquie nous aussi en avait la Mauretanie dans l'époque antique et les berbères au maroc ils datent depuis vraiment longtemps mais ils ont rien à voir avec le Maroc actuel comme votres états antiques on peut dire qu il sont votres ancetre mais la turquie suit l empire ottoman et pas ces pseudos états
L'empire Ottoman n'est pas la Turquie! Les Seldjoukides n'est pas la Turquie! Les Timourides, c'est pas la Turquie! Les Zengides, c'est pas la Turquie! Si on te lit..
La Turquie se réclament officiellement des états turcs de l'époque antique, donc oui, la nation turque est fondée en -209 avant JC. L'armée de terre turque se réclame officiellement de Modu Chanyu (Mete Khan).
oui mais tu peux pas me dire qu elle est fondée en -209 si après ces étas ils disparaitrent c'est pas logique
oui mais tu peux pas me dire qu elle est fondée en -209 si après ces étas ils disparaitrent c'est pas logique
Ces états n'ont pas disparu, l'état qui a suivit est le successeur direct, c'est comme dire, de père en fils.. Exemple, l'empire QGaznévides qui donna naissance à l'empire Seldjoukide qui donna naissance au Sultanat de Roum qui lui donna naissance à l'empire Ottoman, ce dernier donna naissance à la République de Turquie. Il y a toujours une continuité, c'est le même Etat mais les familles diffèrent, l'Etat n'appartient à une aucune famille, c'est une continuité du structure que forme la gouvernance d'une société. Il y a bien eu des changements de dynastie au Maroc depuis Idris 1er?! C'est pareil..
La Turquie est une nation travailleuse, 40.9% des travailleurs déclarent travailler plus de 50 heures par semaine, je me rappel que mon père sortait à 6h du matin et revenait en général vers 23h..