Actualités nationales

Inauguration de l'université des sciences et de la santé à Casablanca

http://www.lesiteinfo.com/maroc/karim-tazi-se-retire-champ-mediatique/ a écrit:

Karim Tazi se retire du champ médiatique

Le tonitruant homme d’affaires, Karim Tazi, le patron du géant des matelas et de la literie au Maroc Richbond s’est résolu à quitter le champ médiatique marocain indique l’hebdomadaire Challenge.

Après avoir essuyé des pertes considérables, la holding Kahina Trust, qui était actionnaire de Telquel avant de se retirer l’année dernière, a vu son capital dégringoler de 28,5 millions de dirhams à 1.1 million, ce qui a poussé Tazi à décider de suspendre ses activités médiatiques et de se tourner vers les créneaux productifs, notamment l’immobilier.

Karim Tazi s’était intéressé entre autres aux médias électroniques, où ses investissements se sont montrés également infructueux.

Le groupe Tazi, qui emploie plus de 2000 salariés est spécialisé dans la fabrication de matelas, mais il a aussi investi dans l’agroalimentaire, l’immobilier et la logistique.

Citation :

DÉCÈS DE L'AMBASSADEUR DU MAROC EN MAURITANIE, ABDERRAHMANE BENOMAR


Abderrahmane Benomar, ambassadeur du Maroc en Mauritanie, est décédé ce mercredi 21 décembre à l'hôpital Cheïkh Zayed, à Rabat. En poste à Nouakchott depuis plus de quinze ans, il a su tisser de soldes relations d'amitié avec les Mauritaniens.

L'ambassadeur du royaume du Maroc en Mauritanie, Abderrahmane Benomar, est décédé ce mercredi matin à l'hôpital Cheïkh Zayed à Rabat, apprend Le360 de sources concordantes. Le défunt, frère du wali de la région de Dakhla-Oued Eddahab, Lamine Benomar, est resté ambassadeur du royaume à Nouakchott pendant quinze ans. Une décennie et demie pendant laquelle le défunt a su tisser de solides relations d'amitié avec tous les Mauritaniens.

Discret, le défunt Benomar fut l'un des grands spécialistes de la Mauritanie, connaissant parfaitement le fonctionnement de la vie politique dans ce poays voisin, et il fut témoin du coup d'Etat militaire mené par l'actuel président Mohamed Ould Abdelaziz, en 2008.

Spoiler:

SS400 a écrit:

Ce n'est que le début

Citation :

Sur Hautes instructions de SM le Roi, les conseillers du Souverain Abdelatif Mennouni et Omar Kabbaj ont eu une entrevue avec le chef du gouvernement désigné

| MAP Express

Samedi, 24 décembre, 2016 à 14:09

Sur Hautes instructions de SM le Roi, les conseillers du Souverain Abdelatif Mennouni et Omar Kabbaj ont eu une entrevue avec le chef du gouvernement désigné

Rabat – Sur Hautes instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, les conseillers de Sa Majesté Messieurs Abdelatif Mennouni et Omar Kabbaj ont eu ce jour une entrevue avec le chef du gouvernement désigné, M. Abdelilah Benkirane, indique-t-on auprès du Cabinet Royal.

Au cours de cette entrevue, les conseillers du Souverain ont fait part à M. Benkirane du souci de Sa Majesté le Roi de voir le nouveau gouvernement se former dans les meilleurs délais.

Au cours de cette même entrevue qui a eu lieu au siège de la primature, les conseillers du Souverain ont fait part à M. Abdelilah Benkirane des attentes de Sa Majesté le Roi et de l’ensemble des Marocains au sujet de la formation du nouveau gouvernement.

Citation :

Reportage

Moyen Atlas: L’éternelle malédiction d’un hiver rigoureux!

Citation :

LE MAITRE NOUS A APPRIS COMMENT LAVER LE SEXE D’UN MUSULMAN MORT
Nous avons des enseignants d’éducation islamique qui expliquent à nos enfants que la philosophie est le fait d’une bande d’impies et de mécréants. Ils disent à nos enfants que la place de la femme est à la maison, derrière les fourneaux, à allaiter les bébés, faire la vaisselle et le linge.

S’il y a un vœu que l’on peut adresser aux Marocains, en cette fin d’année, c’est d’avoir la meilleure éducation pour leurs enfants. Et de retoucher les programmes scolaires si possible…

Prenez un enfant de cinq, six, sept ans. Un bébé ou presque. On lui décrit les flammes de l’enfer, le châtiment de la tombe, les techniques islamiques pour le lavage des morts. On lui demande d’obéir, d’apprendre sans comprendre, sans poser de question. On lui apprend à se taire quand il ne sait pas, ne comprend pas. On ne lui explique rien mais on lui bourre le crâne de choses inutiles, bourratives, parfois dangereuses, qui ne sont absolument pas de son âge.

Et on oublie, bien sûr, d’éveiller son intelligence, sa conscience. On oublie de lui apprendre à respecter la différence, à dire bonjour, à être poli.

J’ai demandé au gamin de huit ans, qui se tenait en face de moi: «Qu’as-tu appris aujourd’hui à l’école?». Lui: «Je te dis tout?». Moi: «Dis-moi simplement ce que tu as appris de nouveau, que tu ne savais pas». Le gamin a rougi: «Le maitre nous a appris comment laver le sexe d’un musulman mort».

Bravo à ce maitre!

Qu’est-ce qu’un gamin gagnerait à apprendre les techniques de lavage des morts selon le rituel musulman? Quel intérêt? Comment ce gamin peut-il réceptionner un tel «apprentissage», lui qui ne sait encore rien de la vie, de la physiologie, de l’anatomie humaine.

Je plains ce gamin. Je plains ce «maitre». Je plains cette école et cette société qui, sous le prétexte de fabriquer un bon musulman, produisent des enfants et des futurs adultes sans culture, sans sens civique, sans esprit critique.

Un jour, il faudra briser les tabous qui entourent l’éducation islamique (aujourd’hui on dit religieuse). C’est absolument nécessaire. Il faut débattre du contenu de cette matière obligatoire dans tous les programmes scolaires. Il faut aussi demander des comptes.

Nous avons des enseignants d’éducation islamique qui expliquent à nos enfants que la philosophie est le fait d’une bande d’impies et de mécréants, rien d’autre. Ils disent à nos enfants que la place de la femme est à la maison, derrière les fourneaux, à allaiter les bébés, faire la vaisselle et le linge.

Il faut rappeler que, jusqu’aux années 70-80, nos enfants avaient le droit à un enseignement aujourd’hui disparu: l’éducation civique. On expliquait aux enfants ce qu’est un pays, une nation, une institution, une loi, un droit. Cette matière pourtant indispensable a été progressivement abandonnée.

L’idée, avant, c’était: formons de bons musulmans et (surtout) de bons citoyens. Aujourd’hui, l’école se borne à former des soi disant bons musulmans. Elle laisse à la rue et au hasard le soin de former de bons citoyens.

Pour finir sur une note optimiste, il faut saluer les enseignants de philosophie qui ont organisé plusieurs manifestations pour protester contre le contenu de ces manuels d’éducation islamique. Mais il faut que les parents d’élèves en fassent de même. Malgré toutes les réformes promises et attendues, certains passages de ces manuels enseignent à nos gamins tout sauf l’ouverture d’esprit, la tolérance, le respect de la différence, l’amour de son prochain.

Bonne fin d’année à toutes et à tous.
Par Karim Boukhari

Shugan188 a écrit:

Shugan188 a écrit:

ralek1 a écrit:

En parlant de Chabat, Akhennouch dit "il faut qu'on respecte les voisins". Donc, si je comprends bien, on est les fautifs et les fouteurs de troubles  

bens.othman a écrit:

Quelqu'un avait parlé dans un poste précédent de crise gouvernemental ! Ça fait 2 ou 3 mois que le pays roule sans gouvernement ! Ce qui est une faiblesse manifeste de notre  démocratie. Le blocage institutionnelle mise en ouvre par le RNI et à sa tète akhenouche montre à quel point si doute il y a encore que ces élections ne servent strictement à rien. Le peuple vote pour un parti et ses idées et à la fin on se retrouve avec un gouvernement fait selon le bon vouloir de l'oligarchie. Quand on entend mezouar ou akhenouch parler, on a l'impression que le pays leur appartient, ils sont toujours la a distribuer les bons et les mauvais points comme avec les dernières déclarations de chabat ou benkirane sur la russie !

Un premier ministre qui se fait recarder par tous le monde, ou est la crédibilité la dedans, 3 mois de tractations et à la fin on fait comme le patron du RNI (pour qui personne n'a voté) a décidé. Suis je le seul à trouver cela grotesque ?
On se rend compte que les partis populaires ne servent qu'a amuser la galerie, et cette caste de privilégié qui  investit et se réincarne en partis politique tantôt c'est le pam tantôt c'est le RNI. Vous prenez un type comme moncef bel khayat je ne sais combien de fois il a changé de parti. Les partis ne sont pas des partis et leur idée n'en sont pas non plus. C'est juste une tunique qu'on arbore pour avoir son siège au parlement.


L'institution royale n'est pas exempte de tous reproche, si il y a quelque temps l'ingérence des conseillers du roi ne me dérangeais pas, aujourd'hui elle m'agace car je commence a douter des compétences des ces conseillers. La gestion de plusieurs dossier notamment celui du Sahara donne encore plus de sens à ces doutes.

alphatango a écrit:

bens.othman a écrit:

Quelqu'un avait parlé dans un poste précédent de crise gouvernemental ! Ça fait 2 ou 3 mois que le pays roule sans gouvernement ! Ce qui est une faiblesse manifeste de notre  démocratie. Le blocage institutionnelle mise en ouvre par le RNI et à sa tète akhenouche montre à quel point si doute il y a encore que ces élections ne servent strictement à rien. Le peuple vote pour un parti et ses idées et à la fin on se retrouve avec un gouvernement fait selon le bon vouloir de l'oligarchie. Quand on entend mezouar ou akhenouch parler, on a l'impression que le pays leur appartient, ils sont toujours la a distribuer les bons et les mauvais points comme avec les dernières déclarations de chabat ou benkirane sur la russie !

Un premier ministre qui se fait recarder par tous le monde, ou est la crédibilité la dedans, 3 mois de tractations et à la fin on fait comme le patron du RNI (pour qui personne n'a voté) a décidé. Suis je le seul à trouver cela grotesque ?
On se rend compte que les partis populaires ne servent qu'a amuser la galerie, et cette caste de privilégié qui  investit et se réincarne en partis politique tantôt c'est le pam tantôt c'est le RNI. Vous prenez un type comme moncef bel khayat je ne sais combien de fois il a changé de parti. Les partis ne sont pas des partis et leur idée n'en sont pas non plus. C'est juste une tunique qu'on arbore pour avoir son siège au parlement.


L'institution royale n'est pas exempte de tous reproche, si il y a quelque temps l'ingérence des conseillers du roi ne me dérangeais pas, aujourd'hui elle m'agace car je commence a douter des compétences des ces conseillers. La gestion de plusieurs dossier notamment celui du Sahara donne encore plus de sens à ces doutes.

@Bens.Othman, non tu n'es pas le seul à trouver anormal que des partis qui ont clairement perdu des elections (qui en soit etaient une defaite de la democratie) decide du sort du gouvernement et donc du pays. Mais, le cas du Maroc n'est pas unique. Tous les pays ayant opté pour un mode de scrutin proportionnel sont dans la meme situation (Belgique, Pays Bas, Israel...). Dans tous ces pays, on se retrouve avec des coalition sans veritable ideologie ou choix de société... jusqu'à ce que les extremes deviennent incontournables (comme c'est le cas aux Pays Bas avec le parti de l'autre peroxydé ou en Belgique avec la NVA ou en Israel avec les parti religieux ultra othodoxes et racistes).

Le systeme que nous (i.e. le Palais sous Hassan II) avons choisi dans l'objectif d'avoir toujours une politique centriste et aucun parti capable de generé un vrai contre pouvoir au palais royal est en fait un systeme de scrutin qui rend l'electeur plus extreme car, comme le dit Bens, on vote pour x et c'est une politique decidée par Y qui est implementée.

A ce choix de scrutin malheureux (mais chaque mode de scrutin à ses problemes) s'ajoute dans le cas du Maroc le probleme de "vote suppression". Comme aux Etats Unis, on veut absolument tout faire pour que les citadins pauvres ne votent pas. En fait, le reve pour nos decideurs serait que seules les campagnes votent (comme aux Etats Unis). Les etats Americains mettent en place des lois qui exigent des pieces d'identité pour empecher les noirs et les latino de voter. Au Maroc, on a l'inscription sur les registres electoraux. Pourquoi devrait-on s'inscrire alors que tout notre systeme d'identification est numerisé et que nos cartes d'identités contiennent une cinquantaine d'info sur nous? Le seul but de cette obligation d'inscription est de favoriser les campagnes (dont les votants sont plus susceptible de repondre à la pression du Caïd). Il en va de meme pour le vote des Marocains residants à l'etranger. Quel difficulté technique y a-t-il? Aucune bien entendu. Mais c'est un vote qui ira plus vers le PJD et qui n'est pas facilement manipulable.

Mettre ces problemes en avant ne veut pas dire que le pays va mal ou que nous ne sommes pas au meme niveau que les autres pays. Au contraire, si nous avons appris une chose de 2016, c'est que nous n'avons de leçons à recevoir de personne. Les Etats Unis apparaissent aujourd'hui comme un etat non democratique puisque le candidat ayant eu le plus de vote (par 3 millions) n'est pas president. Les obstacles mis devant les groupes les plus faibles pour qu'ils ne votent pas sont d'une precision chirurgical (en Caroline du Nord par exemple). Le processus electoral est dirigé par et centré autour de l'argent. Les elus n'ayant d'autres choix que de faire une fois élus ce que leur ordonnent ceux qui ont financé leur campagne. A ce jeu, les "vieilles democraties" ne semblent pas en meilleurs etat que le Maroc d'un point de vue du processus electoral ou de la representativité de ceux qui dirigent le pays.

Par contre, et toujours en reponse à Bens, je ne vois pas de probleme dans la lenteur du processus de construction du nouveau gouvernement. La Belgique est resté sans gouvernement plus de 180 jours. Cela n'a pas eu d'impact sur le pays. Aujourd'hui, le Maroc traine à constituer un gouvernement. Cela n'empeche pas le pays de fonctionner. Les fonctionnaires sont payé, les contrats sont egalement financé. Le pays n'est pas dans le chaos. On ne peut meme pas dire que c'est parce que le roi dirige tout car depuis les elections, le roi a surtout été à l'etranger.

Le fait que le pays tourne rond sans gouvernement est un signe que l'administration (et non les institutions comme le dit le milliardaire Benjelloun) est efficace et mature.

Enfin, pour ce qui est des conseillers du roi. 100% d'accord. La competence de ces gens est pour le moins discutable et ils n'ont aucune place constitutionnelle. Leurs interventions et leur interference dans le jeu politique est en soit une defaillance democratique et une perversion du systeme.

Abbas EL Fassi a écrit:

“Des quotidiens et sites électroniques ont publié le 26 décembre courant un extrait du discours prononcé par le secrétaire général du parti de l’Istiqlal le 24 décembre.

Le secrétaire général a affirmé, au sujet des circonstances de la formation du gouvernement en 2012, que “le comité exécutif du Parti de l’Istiqlal avait décidé d’éteindre les téléphones si certaines conditions du Parti n’étaient pas satisfaites, dont l’obtention du ministère de l’Equipement et du Transport ainsi que d’autres secteurs importants et que nous avions convenu que si ces conditions ne sont pas remplies, nous n’allons pas faire partie du gouvernement”.
M. Chabat a ajouté, lors de cette réunion, que “ce qui s’était passé est que M. Fouad Ali El Himma et Feue Zoulikha Nasri étaient arrivés au domicile du secrétaire général du Parti de l’Istiqlal et lui avaient remis la liste des ministres du Parti de l’Istiqlal”.

Le secrétaire général auquel fait référence M. Chabat est l’auteur de cette mise au point. En cette qualité, je tiens à souligner à vos lecteurs que j’ai conduit les discussions pour la formation des gouvernements successifs depuis le gouvernement d’alternance avec un sens de patriotisme sincère et dans un esprit empreint de confiance et de sincérité.

S’agissant du gouvernement formé par M. Abdelilah Benkirane en 2012, j’ai mené les discussions, au côté de deux membres du comité exécutif après la décision unanime du Conseil national du Parti pour la participation au gouvernement de M. Abdelilah Benkirane.

Je tiens à confirmer que pour les quatre gouvernements auxquels le Parti de l’Istiqlal avait participé ou conduit, toutes les parties étaient soucieuses de respecter la lettre et l’esprit de la Constitution.

Le Parti estime que sa participation au gouvernement de M. Abdelilah Benkirane serait un honneur, eu égard à la qualité des ministres istiqlaliens candidats, la diversité de la représentativité régionale et l’importance et le poids des secteurs confiés au Parti, ce qui confirme que le résultat était conforme à la décision du Conseil national concernant les critères de sélection.

Ainsi, le Parti a géré les secteurs suivants :.

- Le ministère de l’Economie et des finances.
- Le ministère de l’Education nationale.
- Le ministère de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement.
- Le ministère de l’Artisanat.
- Le ministère chargé des Marocains résidant à l’étranger.
- Le ministère délégué aux Affaires étrangères et à la Coopération.

Ainsi, il s’avère que les propos de M. Hamid Chabat sont faux et infondés et n’affecteront en rien ma crédibilité ni celle de M. Fouad Ali El Himma et de Feue Zoulikha Nasri.

Il s’avère également que le retrait du Parti de l’Istiqlal en 2013 du gouvernement était incompréhensible pour les militants et pour l’opinion publique.

Le Parti a payé cher son retrait du gouvernement comme l’ont prouvé les résultats des dernières élections communales et législatives”.