Diplomatie marocaine - Relations internationales

Rappel du premier message :

Citation :

L’étrange courrier apocryphe ougandais qui laisse perplexe la diplomatie marocaine

Yoweri Museveni, président dictateur de l'Ouganda depuis 30 ans a été guérillero marxiste. AFPYoweri Museveni, président dictateur de l’Ouganda depuis 30 ans a été guérillero marxiste. AFP

Une lettre non authentifiée attribuée au président Yoweri Museveni a atterri sur le bureau de Nasser Bourita, ministre délégué aux Affaires étrangères. Elle fait part d’une invitation adressée au roi Mohammed VI à se rendre à Kampala et annonce une visite imminente « d’émissaires spéciaux » ougandais à Rabat. Intermédiation secrète ou tentative d'escroquerie ?

https://ledesk.ma/2017/01/27/letrange-courrier-apocryphe-ougandais-qui-laisse-perplexe-la-diplomatie-marocaine/

Citation :

Maroc/CEDEAO : Ce qui va suivre l'accord de principe

La Conférence de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a donné, dimanche à Monrovia, son accord de principe à la demande d’adhésion du Maroc à ce groupement régional. Elle a également décidé d’inviter le Roi Mohammed VI à la prochaine session ordinaire de la CEDEAO. Que va t-il se passer maintenant ?

Pour Nasser Bourita, cet avis favorable sera suivi par une étape juridique puis technique.

"Avec cette décision, la phase politique dans laquelle les chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO ont déclaré politiquement qu’ils sont favorables à cette adhésion, vient d’être achevée", a expliqué le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale. La prochaine étape est juridique.  "La commission doit examiner les dispositions juridiques à adapter pour rendre cette adhésion effective, et le Maroc entreprendra, de son côté, un travail juridique par rapport aux textes fondateurs de la CEDEAO" a-t-il noté.

Enfin, la dernière étape, plus technique,permettra par la suite de négocier les différents secteurs et domaines qui constituent l’acquis de la CEDEAO. Autant dire que l'adhésion du Maroc demandera encore du temps.

http://www.boursenews.ma/article/maroc/maroc-cedeao-ce-qui-va-suivre-l-accord-de-principe

Une adhésion à l'anglaise sera parfaite..

Moi je prônerais plutôt une adhésion pleine avec ouverture complète des frontières. Le Maroc n'a jamais été fermé face aux africains, et le dernier siècle est juste une exception.

iznassen a écrit:

Une adhésion à l'anglaise sera parfaite..

Il n'y a pas "d'adhesion à l'anglaise" dans le traité d'union de la CEDEAO. Soit tu adhères soit tu n'adhères pas.
C'est une union donc il va falloir que nous adaptions nos legislations aux differentes directives (pour utiliser la terminologie de l'UE).

Il faudra sans doute aussi officialiser la mort de l'UMA et en sortir officiellement.

Il faudra adapter les accords de libre echange

pyromane a écrit:

Moi je prônerais plutôt une adhésion pleine avec ouverture complète des frontières. Le Maroc n'a jamais été fermé face aux africains, et le dernier siècle est juste une exception.

Ce qu'il ne faut pas entendre... Bonjour l'anachronisme....
Effectivement, le Maroc n'était pas fermé aux africains avant le siecle dernier. Et les marocains étaient tellement friands des africains que pendant des siecles ils les ""importaient"" directement...

pyromane a écrit:

Moi je prônerais plutôt une adhésion pleine avec ouverture complète des frontières. Le Maroc n'a jamais été fermé face aux africains, et le dernier siècle est juste une exception.

Ça n'aura de sens que si la Mauritanie rejoint le groupe pour former une continuité territorial !
C'est un point fondamentale, il faut faire une union avec un marché unique, libre circulation des biens et des personnes. Le Maroc est assez motivé pour aller de l'avant et donc faire évoluer les choses au sein de la cedeao ou il y a un certain immobilisme.
Ensuite faudra que tous le bloc négocie avec l’Europe sur les vagues migratoire, le maroc tous seul ne pèse rien, mais une 20 aines de pays, l'UE va changer sa manière très méprisantes de traiter ces affaires avec notre pays. Il faudra négocier un véritable plan Marshall et pas les quelques millions et un semblant de neutralité sur l'affaire du Sahara.

En plus d'avoir plus de poids contre par exemple l'EU, je vois aussi une maniere indirecte d'obliger Alger d'ouvrir les frontieres et laisser le polisario A cote. Elle va pas rester seul dans l'uma surtout si la mauritanie et peut etre la Tunisie joint aussi. Echec et mat de la part du palais messieurs

zazoe a écrit:

En plus d'avoir plus de poids contre par exemple l'EU, je vois aussi une maniere indirecte d'obliger Alger d'ouvrir les frontieres et laisser le polisario A cote. Elle va pas rester seul dans l'uma surtout si la mauritanie et peut etre la Tunisie joint aussi. Echec et mat de la part du palais messieurs

Ca m'étonnerai que la Tunisie suit, ils sont dépendant d'Alger politiquement et se retrouverai isoler de tout qui plus est elle a d'autre chat à fouetter

C'est une bonne chose pour le Maroc et la région. 

Il faut arrêter de regarder l'Algérie. nous les avons laissé loin derrière dans le rétroviseurs. La Mauritanie est invité à présenter une demander en bonne et du forme ! 

Tôt ou tard elle rejoindra le giron car ils seront isolés eux aussi. Ainsi on aura un espace économique compacte et cohérent ! 

Il va falloir faire un énorme travail niveau infrastructures avec construction d'autoroutes.

Fahed64 a écrit:

.... La Mauritanie est invité à présenter une demander en bonne et du forme ! 

.....

Citation :

La Mauritanie invitée par les dirigeants de la CEDEAO à réintégrer l’organisation

Les dirigeants de la communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) ont invité dimanche la Mauritanie à présenter officiellement sa demande d’adhésion à cette organisation, afin de pouvoir bénéficier de l’ensemble des avantages dus aux pays membres.

Cet appel avait été formulé par le sommet tenu dimanche à Monrovia et qui avait examiné un accord de partenariat entre la Mauritanie et cet ensemble en mai dernier à Nouakchott.

L’accord signé entre la CEDEAO et la Mauritanie qui s’était retirée de cette organisation en 2000, concerne quatre domaines importants : la libre circulation des marchandises, la libre circulation des personnes, des services et des capitaux.

Le sommet a également donné son accord de principe pour l’adhésion du Maroc qui en avait fait la demande il ya déjà quelques mois.

Il a par ailleurs accepté le principe d’octroyer à la Tunisie le statut d’observateur demandant cependant au commissariat de l’organisation de s’assurer que toutes les dispositions qu’exige le statut d’observateur ont été remplies par Tunis.

Les dirigeants des 15 pays de la CEDEAO ont adressé des invitations au président Mohamed O. Abdel Aziz, le roi du Maroc, Mohamed VI et le chef de l’état tunisien Beji Caid Essebsi à assister au prochain sommet prévu en décembre prochain au Togo.

Source

Emmanuel Macron en visite officielle au Maroc les 14 et 15 juin

Citation :

Emmanuel Macron effectuera au Maroc sa première visite dans le Maghreb en tant que président français, quelques jours avant le deuxième tour des élections législatives.

Le président français Emmanuel Macron se déplacera au Maroc les 14 et 15 juin, selon une source contactée par Telquel.ma. Cette visite sera son premier déplacement au Maghreb. Emmanuel Macron quittera Paris juste après le conseil des ministres de la matinée. Il retournera en France le lendemain après une conférence de presse. Lors de sa venue, le président français abordera "les questions d'intérêts" commun dans la région avec Mohammed VI, selon le360.ma.

Sa visite interviendra quatre jours avant le deuxième tour des élections législatives françaises où deux macronistes se font face dans la 9e circonscription des Français de l'étranger qui comprend le Maroc. Pendant la campagne présidentielle, la visite d'Emmanuel Macron avait été reportée "pour des questions d'agenda" alors qu'il s'était rendu en Algérie en février.

http://telquel.ma/2017/06/07/emmanuel-macron-en-visite-officielle-au-maroc-les-14-15-juin_1549908

Depuis un certain temps, c'est devenu une tradition des présidents français de commencer leurs visites au maghreb par le maroc

Sauf que Hollande ne l'a pas fait ni Sarkozy...

quant est-il de la position de Macron vis-à-vis de la sous-traitance de la production industrielle française au Maroc ? ou le fameux terme "colocation" qu'on a inventé pour maquiller la chose

FAMAS a écrit:

quant est-il de la position de Macron vis-à-vis de la sous-traitance de la production industrielle française au Maroc ? ou le fameux terme "colocation" qu'on a inventé pour maquiller la chose

Du moment que ces délocalisations petmettent la survie de la compétence industrielle française il ne sera pas contre. De toute façon il n'a pas son mot à dire, ce sont les choix des entreprises. c'est la finance qui décide, et il en est issue, donc il sais comment ça ce décide.

Sa visite correspond au lancement de l usine PSA de Kenitra

thewa3r a écrit:

WRANGEL a écrit:

Effectivement, le Maroc n'était pas fermé aux africains avant le siecle dernier. Et les marocains étaient tellement friands des africains que pendant des siecles ils les ""importaient"" directement...

Ne dis pas "LES marocains étaient friands" , c'était des commerçants égoïstes qui n'avaient d'intérêts que pour leur profit au détriment de leur pays( introduction d'une nouvelle composante démographique étrangère ) et de ceux qu'ils importaient ! Un peu comme les capitalistes européens d'aujourd'hui dont la stratégie d'encouragement de la migration est rendue responsable du bouleversement démographique et culturel qui se déroule en Europe de nos jours .

Toujours la même rengaine raciste, le seul défaut de la traite négrière était l'introduction de nouvelles composante démographique ? On marche sur la tête. Les africains noir berbères ont créé le premier empire marocain, ils sont autant chez eux ici que toi.

Citation :

L’Algérie annule « provisoirement » l’accueil des Syriens bloqués à la frontière avec le Maroc
Les migrants, dont des femmes enceintes et des enfants, attendaient dans le désert à cause de tensions diplomatiques. Alger avait annoncé le 1er juin leur accueil.
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Opération reportée. Les autorités algériennes ont annoncé, mercredi 7 juin, qu’elles annulaient « provisoirement » l’accueil des Syriens bloqués à la frontière avec le Maroc. « Le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) n’a pas été en mesure d’aboutir à une solution », s’est justifié le porte-parole du ministère des affaires étrangères algérien, Abdelaziz Benali Cherif. La raison de ce report ? Une délégation officielle, accompagnée de membre du HCR et du Croissant-Rouge, se trouvait à Béchar depuis dimanche, mais, selon des militants algériens et marocains, Alger et Rabat ne se sont pas mis d’accord sur le lieu à partir duquel ces migrants devaient rejoindre la délégation algérienne. « Alger souhaite qu’ils passent par le poste frontière, fermé depuis 1994. Rabat veut qu’ils reprennent le chemin des passeurs qu’ils ont emprunté pour entrer », explique Fouad Hassan, syndicaliste algérien.

Conditions de vie aggravées

Ce nouveau blocage est inquiétant alors que, depuis l’annonce d’Alger la semaine dernière, les conditions de vie de ces Syriens, dont plusieurs enfants, se sont aggravées. Le syndicaliste s’alarme des risques pour la vingtaine de Syriens qui sont toujours dans cette zone tampon désertique entre Figuig, au Maroc, et Béchar, en Algérie alors que près de la moitié du groupe a réussi à rejoindre le Maroc avec l’aide des habitants. « Quand les Marocains ont compris que certains Syriens étaient passés, ils ont interdit aux habitants de Figuig d’apporter eau et nourriture aux migrants. Il fait 40 °C ! Comment vont-ils tenir ? », s’emporte un militant qui demande à rester anonyme.

Depuis plusieurs années, des Syriens traversent le Sahara algérien vers la ville de Béchar, pour passer ensuite la frontière avec le Maroc et tenter de rallier l’Europe. En 2014, plusieurs familles s’étaient déjà retrouvées bloquées à la frontière, mais à Oujda, plus au nord. « Il arrive régulièrement que des migrants syriens soit expulsés par un pays ou l’autre de l’autre côté de la frontière, mais un tel blocage, on ne l’avait jamais vu », estime un salarié d’une association qui travaille avec les migrants.

Hébergement et soins auraient dû être pris en charge

L’Algérie avait annoncé le 1er juin qu’elle acceptait d’accueillir « à titre humanitaire » les Syriens bloqués depuis le 17 avril à la frontière. Les autorités algériennes assuraient alors qu’elles prendraient en charge l’hébergement et les soins nécessaires à ces Syriens et qu’elles leur permettraient, « si tel est leur souhait, de rejoindre d’autres membres de leurs familles, dans le cadre d’un regroupement familial dans d’autres pays ».

Pendant sept semaines, ce groupe, dont au moins deux femmes enceintes et des enfants, a été coincé dans cette zone dans des conditions précaires. « Ils dorment à la belle étoile et sont dans l’incapacité de demander l’asile », dénonçait dès le début du mois de mai l’organisation Human Rights Watch. Des ONG marocaine et algérienne de défense des droits humains critiquaient l’interdiction faite aux habitants de Figuig d’apporter de l’aide, notamment médicale, aux migrants. Alger n’avait réagi que le lendemain du communiqué publié par le HCR, demandant aux deux pays de permettre « un passage immédiat et sécurisé » pour ces « réfugiés vulnérables », estimant que, pour une femme enceinte et son enfant à naître, il s’agissait d’une « question de vie ou de mort »


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/06/08/l-algerie-annule-provisoirement-l-accueil-des-syriens-bloques-a-la-frontiere-avec-le-maroc_5140851_3212.html#ucisfMtzCl2XOdSD.99

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Le Maroc recadre l’Algérie et la Namibie devant le Conseil des droits de l’Homme

jeudi, 8 juin, 2017 à 19:02

Genève – Le chargé d’affaires du Maroc à Genève, Hassan Boukili, a remis jeudi à leur place l’Algérie et la Namibie, deux pays “en contradiction et en violation flagrante sur les droits humains et le droit à l’autodétermination”.

“L’Algérie qui prétend n’être qu’un observateur dans le différend du Sahara est le principal instigateur des attaques contre le Maroc et son Sahara au sein et en marge de ce Conseil”, a affirmé M. Boukili en réaction notamment aux allégations de l’ambassadeur algérien sur la situation dans les provinces du sud lors d’une réunion du Conseil des droits de l’Homme.

“Qui mobilise les Missions contre le Maroc ? C’est l’Algérie. Qui démarche et harcèle le Bureau du Haut-commissaire sur le Sahara marocain? C’est l’Algérie. Qui prépare les déclarations conjointes anti-marocaines? c’est l’Algérie. Qui organise, finance et mobilise le side-event anti-marocain ? c’est l’Algérie”, a fait observer le diplomate marocain au cours d’une réunion du Conseil.

Il a dans ce contexte relevé que c’est l’Algérie qui a créé et instrumentalise un groupe contre le Maroc, intimide et agresse verbalement les ONG qui refusent de soutenir son projet séparatiste.
“Les manœuvres sur le Sahara marocain sont paradoxalement portées par l’Algérie et la Namibie”, a-t-il dit, se demandant

si l’Algérie qui milite pour l’autodétermination au Sahara reconnait ce même droit au peuple kabyle et au peuple Mozabite de Ghardaïa, en mal d’autonomie.

Il en est de même pour la Namibie qui dénie le droit à l’autodétermination du peuple de Caprivi, a poursuivi M. Boukili. “L’Algérie qui prétend défendre l’autodétermination partout dans le monde la défend-elle pour le peuple de Caprivi contre la Namibie?”, s’est-il interrogé, soulignant qu’à son tour,

la Namibie adopte une position schizophrène sur le principe d’autodétermination en se gardant de militer pour l’autodétermination des peuples de Kabylie et mozabite de Ghardaïa.

Le Maroc, a-t-il rappelé, a introduit une proposition d’autonomie pour le Sahara qui a été qualifiée par le Conseil de sécurité de sérieuse et crédible. “A l’opposé qu’est ce que l’Algérie et la Namibie ont offert pour les populations en mal d’autonomie en Kabylie, Ghardaïa et en Caprivi”, a-t-il dit, avant d’ajouter ; “Elles ont offert quatre choses : le déni, la torture, l’emprisonnement et l’exil forcé des militants”.

Dans ce contexte, le chargé d’affaires a appelé la Namibie à cesser de servir de haut parleur à l’Algérie dans sa guerre contre le Royaume et “à se préoccuper de répondre sérieusement aux revendications d’autodétermination du peuple de Caprivi”.

Il a également invité l’Algérie à cesser son hostilité à l’égard du Maroc et à se préoccuper de son propre déficit en matière d’autodétermination, d’autonomie et des droits de l’Homme.
L’Algérie, a-t-il insisté, doit reconnaitre et assumer pleinement sa responsabilité internationale sur les violations des droits de l’homme dans les camps de Tindouf, avant de critiquer la situation au Sahara marocain.

Ce pays, a-t-il noté, “devrait d’abord s’assurer qu’elle accorde aux populations kabyles et mozabites au moins les mêmes droits et le même cadre de vie dont jouissent les populations des provinces du sud du Royaume”.

Le diplomate n’a pas manqué d’appeler le Haut-commissaire à aborder les violations des droits de l’homme des populations de camps de Tindouf, directement avec l’État algérien, conformément à son mandat général et aux obligations internationales de l’Algérie, découlant du droit international des droits de l’homme et de la Convention de Genève de 1951 sur les réfugiés.

Citation :

Namibia: Morocco to Institute Probe Over 'Caprivi Strip'


By Albertina Nakale

Windhoek — In response to the support and solidarity shown by the Namibian government towards the people of Western Sahara in their quest to gain independence, Morocco has reportedly threatened to institute an investigation over Namibia's apparent domination of what was once known as the Caprivi Strip.

Namibia has on many occasions vowed it would not tire nor rest in its quest to see Morocco - which was recently re-admitted into the African Union (AU) - give up its continued occupation of Western Sahara.

President Hage Geingob is the latest high-profile Namibian leader to speak out in support of the right to self-determination of the people of Western Sahara, following similar demands by National Assembly Speaker Peter Katjavivi and International Relations Minister Netumbo Nandi-Ndaitwah.

Speaking during the 5th Continental African Conference in Solidarity with Cuba Geingob yesterday revealed that Morocco was reportedly planning to pass a motion to investigate Namibia over its alleged domination of the Caprivi Strip, as Morocco apparently believes that the Zambezi Region is an independent country.

Geingob said Morocco's plans come in response to Namibia's continued determination and commitment to ensure that Western Sahara gains full independence.

Morocco annexed Western Sahara in 1975 and has since been resisting all efforts by the Saharawi people to regain the right to self-determination and independence.

"We can't forget our comrades. We can't forget the Saharawi people. Apparently Morocco is passing a motion. They claim we have problems in Caprivi (Zambezi). They say they will go investigate Caprivi, because we are vocal [on the issue of Western Sahara]. It's a new attempt by Morocco [to stop us]. We're not going to stop," Geingob told over 170 delegates, including Cuban representatives.

The United Nations is also seized with the matter, but the recent re-admission of Morocco to the AU might bolster its continued stranglehold over the country, also known as the Saharawi Republic, some observers of African politics believe.

Geingob said Morocco would be wasting its time investigating Namibia over the Caprivi Strip, as it is legally part of Namibia.

The conflict in Caprivi in the 90s involved an armed conflict between the Caprivi Liberation Army (CLA), a rebel group aiming for the secession of the Caprivi Strip from Namibia, led by Mishake Muyongo, and the Namibian government.

The launch of the secessionist campaign occurred on August 2, 1999 when the CLA launched an attack in Katima Mulilo, occupying the state-run radio station and attacking a police station, the Wanella border post and an army base.

Namibian armed forces quashed the secessionist attempt within a matter of days.

In this regard, Geingob said Muyongo, who has since fled Namibia for exile in Denmark, was part of the founders of the republic, who had agreed to and signed the Namibian Constitution, which lawfully recognises the Caprivi Strip as part of Namibia.

Muyongo was a member of the National Assembly from 1990 to 1999. In the 1994 presidential election he was placed second, behind then president Sam Nujoma, with 23.08 percent of the vote.

After Muyongo expressed support for the Caprivi secessionist movement in 1998, he was suspended from the DTA in August 1998 at an extraordinary meeting of the party's executive committee.

Muyongo later fled the country with Chief Boniface Mamili of the Mafwe.

Other alleged secessionists, including the former governor of the then Caprivi Region (today Zambezi) John Mabuku fled to Botswana around the same time.

Muyongo was replaced as DTA president by Katuutire Kaura, who called for Muyongo to be brought back and put on trial. Muyongo escaped the harrowing Caprivi treason trial in Namibia and remains in exile in Denmark.

The unresolved issue of the status of Western Sahara is Africa's oldest territorial dispute. Namibian leaders are insistent that Africans should not fold their hands and look the other way, while Morocco continues its illegal colonial occupation of Western Sahara and the suppression of the rights and aspirations of the Saharawi people

http://allafrica.com/stories/201706070918.html

https://www.diplomatie.ma/Politique%C3%A9trang%C3%A8re/MondeArabe/tabid/135/vw/1/ItemID/14794/language/en-US/Default.aspx

Citation :

Le Royaume du Maroc suit avec une grande préoccupation la détérioration, ces derniers jours, des relations entre le Royaume d’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, le Royaume du Bahreïn, l’Egypte et d’autres pays arabes d’un côté, et l’Etat du Qatar de l’autre.



Depuis le déclenchement de cette crise, Sa Majesté le Roi Mohammed VI – que Dieu L’assiste – a maintenu un contact étroit et permanent avec les différentes parties.

En raison des liens personnels solides de fraternité sincère et de considération mutuelle entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI – que Dieu Le préserve – et Ses frères Rois et Emirs des pays du Golfe, et tenant compte du partenariat stratégique singulier avec les Etats du CCG, le Royaume du Maroc a veillé à ne pas verser dans les déclarations publiques et les prises de position hâtives qui ne font que renforcer la discorde et approfondir les divergences.

Sa Majesté le Roi a, ainsi, appelé l’ensemble des parties à faire preuve de retenue et de sagesse afin de faire baisser la tension, dépasser cette crise et régler définitivement les causes qui y ont conduit, conformément à l’esprit qui a toujours prévalu au sein du CCG.

Le Royaume du Maroc, fortement lié aux pays du Golfe dans tous les domaines, mais suffisamment éloigné géographiquement, se sent intimement concerné par cette crise, sans y être directement impliqué. Le Royaume privilégie une neutralité constructive, qui ne saurait le confiner à l’observation passive d’une escalade inquiétante entre des pays frères.

Aussi, et si les parties le souhaitent, le Royaume du Maroc est disposé à offrir ses bons offices en vue favoriser un dialogue franc et global, sur la base de la non-ingérence dans les affaires intérieures, la lutte contre l’extrémisme religieux, la clarté dans les positions et la loyauté dans les engagements.

Le Royaume du Maroc forme le vœu que ce mois sacré de Ramadan puisse inspirer à tous l’esprit de solidarité et de concorde nécessaire pour dépasser les désaccords actuels, afin que le CCG demeure un modèle de coordination régionale et un moteur de l’action arabe commune.

C'est quoi cette histoire comme quoi le Maroc va envoyer des produits alimentaires au Qatar  
Est ce que c'est vrai ? Plusieurs articles qui reprennent la MAP en parlent,  et c'est fait sur instructions royales. Ces aides sont fait "par solidarité" et n'ont aucun aspect politique selon le communiqué du MAE, une aide neutre quoi.

C'est risqué comme démarche je trouve, on joue a l'équilibriste la

http://www.leconomiste.com/flash-infos/le-maroc-envoie-de-l-aide-au-qatar

FAR SOLDIER a écrit:

C'est quoi cette histoire comme quoi le Maroc va envoyer des produits alimentaires au Qatar  
Est ce que c'est vrai ? Plusieurs articles qui reprennent la MAP en parlent,  et c'est fait sur instructions royales. Ces aides sont fait "par solidarité" et n'ont aucun aspect politique selon le communiqué du MAE, une aide neutre quoi.

C'est risqué comme démarche je trouve, on joue a l'équilibriste la

. Ç est vrai mais je crois que ç est voulu Le Maroc peut jouer le rôle d un médiateur crédible et respecté par les deux camps et aux yeux de l opinion publique aussi en cas de blocage total