Actualités Espagnoles

Rappel du premier message :

ATTAQUE TERRORISTE À BARCELONE ALERTE INFO UNE FOURGONNETTE PERCUTE LA FOULE LE 17AOUT 2017

The Army enhances the autonomy of the military units of Ceuta and Melilla :

https://www.elconfidencialdigital.com/articulo/defensa/ejercito-potencia-autonomia-unidades-militares-ceuta-melilla/20210312132132222449.html

L'usine Airbus de Getafe devient la troisième plus grande installation aérospatiale d'Europe: le roi et le président du gouvernement ont inauguré ce jeudi le nouveau campus Airbus Spain Futura à Getafe.  Les nouvelles installations feront de l'usine du consortium européen la troisième plus grande installation aérospatiale d'Europe après les hubs de Toulouse et de Hambourg.  Le projet Campus Futura d'Airbus Espagne trouve son origine il y a plus de 10 ans dans la décision stratégique de promouvoir Getafe comme centre de gravité de l'entreprise en Espagne et dans le déménagement des bureaux de Barajas.  Les nouvelles installations, dont la construction a débuté en juillet 2018, ont la capacité d'accueillir 1700 employés et occupent une parcelle de 51000 mètres carrés, dont 33500 correspondent à l'urbanisation et le reste aux bâtiments.  Le Campus se veut un atout majeur pour attirer et retenir les talents.  Dans les circonstances exceptionnelles actuelles, cette inauguration est un symbole de résilience, mais aussi une évolution qui permet à l'Espagne de rester à l'avant-garde de l'aérospatiale mondiale.  L'avenir réside dans le développement de capacités industrielles avancées à l'appui de la conception, du développement et des programmes aéronautiques de nouvelle génération, avec un accent particulier sur les technologies nécessaires à l'aviation durable.  L'expansion de Getafe fait partie du plan directeur à long terme d'Airbus Espagne, qui couvre non seulement la construction du nouveau campus, mais également la modernisation et l'optimisation de toutes les installations sur site.
https://www.infodefensa.com/es/2021/04/15/noticia-planta-airbus-getafe-convierte-tercera-mayor-instalacion-aeroespacial-europa.html
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Le document selon lequel le tribunal national espagnol de Madrid a convoqué le chef du front "PoliZbal" monsieur ghali mohmed ben btouch

Bon débarras

Citation :

Le leader de Podemos, Pablo Iglesias, se retire de la vie politique


Connu pour son hostilité obsessive envers le Maroc, le chef de Unidas Podemos, Pablo Iglesias, a annoncé, mardi soir, son retrait de la vie politique après la débâcle électorale de la gauche lors du scrutin régional à Madrid.


«J'abandonne toutes mes fonctions, je quitte la politique dans le sens de politique partisane», a indiqué Pablo Iglesias devant les militants de son parti après la publication des résultats des élections régionales.

Podemos, qui comptait détrôner la droite du pouvoir à Madrid, n'a obtenu que 10 sièges à l’Assemblée régionale.

Pablo Iglesias avait renoncé à son poste de vice-président du gouvernement espagnol pour présenter sa candidature à la présidence de Madrid. L'ensemble des partis de la gauche ont totalisé 58 sièges lors de ce scrutin, soit sept de moins que la candidate du Parti populaire (PP), Isabel Diaz Ayuso, qui a remporté ce scrutin avec 65 sièges.

Rappelons que la sortie d’Iglesias du gouvernement ibérique ne s’est pas faite en douceur, particulièrement suite à sa position à l’égard de la question du Sahara. Il a d’ailleurs été recadré à maintes reprises par le ministre espagnol de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, ainsi que la ministre des Affaires étrangères, Arancha Gonzalez Laya, qui avait déclaré à l’époque que la politique étrangère du gouvernement espagnol est dirigée par le président et le ministre des Affaires étrangères.


https://www.lopinion.ma/Le-leader-de-Podemos-Pablo-Iglesias-se-retire-de-la-vie-politique_a14328.html

Je lui souhaite une retraite spirituelle au tindoufistan

Pour ceux qui souhaiteraient mieux comprendre les réactions des médias espagnols à notre encontre, hier lors de Gdim Izek et aujourd'hui avec la crise de Sebta / Ben Batouche ...

Voici une proposition de lecture très éclairant : ''La imagen del magrebi en Espana''



Résumé: (traduction googlisée très bas de gamme )

Citation :

La démocratie n'a pas guéri l'Espagne de sa maurophobie séculaire. Avec plus de huit cents illustrations, L'image du Maghreb en Espagne prouve que l'insulte au voisin du sud est constante dans notre iconographie.

Douze siècles de stéréotypes péjoratifs sur les musulmans en général et les Marocains en particulier n'ont pas préparé la population espagnole à accueillir chaleureusement les immigrés du sud du détroit. Ainsi, bien que les médias et les organisations progressistes s'efforcent de dénoncer la xénophobie et le racisme, de nombreuses personnes dans la rue, ainsi que dans le gouvernement, associent le Marocain à la saleté, au bruit et au crime.

Eloy Martín Corrales le confirme dans son - L'Image du Magrebi en Espagne -, un livre qui explore un chemin courageusement ouvert par Juan Goytisolo et qui, récemment paru, peut déjà être considéré comme un classique en la matière.

Martín Corrales a compilé plus de 800 images sur le Mauro produites en Espagne entre les XVIe et XXIe siècles, et la grande majorité sont négatives pour le voisin du sud. Ils constituent toute une propagande de guerre, liée à celles qu'Antonio Miguel Bernal souligne dans le prologue: «L'Espagne est le seul État d'Europe occidentale qui, sur une bonne partie de son territoire, et au cours de trois à huit siècles selon les régions , appartenait à la sphère des pays islamiques, et le seul qui, à son tour, dans une sorte de revanche historique, a maintenu une présence controversée en Afrique du Nord pendant cinq siècles ».

Cette propagande commence par la Reconquête, qui, pour discréditer l'ennemi musulman, lui attribue les prétendues caractéristiques de mensonge, de trahison, de perfidie, de méchanceté, de perversité, de cruauté, de lâcheté et de sexualité débridée - on pourrait dire bisexualité -. Et cela se poursuit avec les raids sur les côtes espagnoles des corsaires barbaresques, au cours des XVIe et XVIIe siècles, l'Espagne a fait la guerre au Maroc lorsque l'avertissement des «Maures sur la côte» est forgé. Déjà au XIX de 1859-1860 au cri de: "Guerre, guerre à l'infidèle marocain", et dans cette période est né l'orientalisme pictural du Mariano Fortuny et d'Antonio Muñoz Degrain, qui sert à fixer les clichés de l'indolence, férocité, fanatisme et luxure, cette dernière avec des scènes imaginaires d'odalisques dans le harem.

Au XXe siècle, il a fallu 20 ans à l'Espagne pour prendre le contrôle des régions du Rif et de la Yebala qu'elle a dû coloniser. Les défaites du Barranco del Lobo (1909) et de l'Annual (1921) transforment les Marocains en «kaffirs», qu'il faut «écraser sans cérémonie».

Cependant, une fois le Protectorat établi, une nouvelle image est née: celle du «bon morito», l'individu primitif, naïf, sympathique et dolichocéphale de Djellaba qui disait: «Paisa, je suis un ami». Et, comme l'observe Martín Corrales, une seconde vague de peinture orientaliste s'est développée, plus réaliste et respectueuse, largement libérée des préjugés et des fantômes, qui avait sa figure la plus distinguée en Mariano Bertuchi.

La romance a été de courte durée. La participation des troupes maures à la guerre franquiste contre la République a ressuscité, cette fois dans la gauche, les stéréotypes de la brutalité et de la luxure. Et tandis que Dolores Ibarruri dénonçait «la morisima sauvage, ivre de sensualité, qui se verse dans des violations horribles de nos femmes», la droite devait inventer des mythes, comme dans la communauté de croyance en Dieu des Marocains et de Franco, pour justifier le recours à l'aide militaire des Sarrasins. Le désaccord a pris fin avec la mascarade de la garde Mora de Franco et la scène Valleinclanesca de Mohamed Ben Mizián, capitaine général de Balicia, faisant l'offrande à Santiago Matamoros.

Martín Corrales observe à juste titre que la vision positive du Maure que le franquisme a tenté de diffuser ne s'est jamais concrétisée populairement, comme le prouvent les bandes dessinées El Guerrero del Antifaz ou El Capitán Trueno. Outre des images très explicites, Martín Corrales pointe de ces bandes dessinées les insultes suivantes dirigées contre le voisin du sud: "Moro del infierno", "Sarrasin cochon", "vil perfide", "oiseau de mauvais augure", "vermine", " canaille "," homme de main du diable "," visage de bitume "et" morangano ". Et qu'il était un ami du régime!

Un phénomène curieux décrit dans L'image du Maghreb en Espagne est que, avec la haine du Maure réel et proche, il y a parfois en Espagne une sympathie pour le Maure lointain ou imaginaire. Il était autrefois la légende du bon Abencerraje, le noble exilé de Grenade, et aujourd'hui il est l'enthousiasme du militant du Polisario. Martín Corrales rappelle que l'image du fidèle et noble guerrier sahraoui, le fils très littéraire du nuage, par opposition à celle du Marocain déloyal et lâche, a commencé à être forgée à la fin des années 1950 par les soldats espagnols stationnés au Sahara Occidental. Est-il possible que de nombreux progressistes l'adoptent désormais comme un alibi inconscient de leur maurophobie?

Merci pour le partage

Merci.
Ce genre d'écrit n'a pour fonction essentielle que d'essayer d'exorciser l'énorme complexe d'infériorité et la phobie ancestrale engendrés par la présence des "Moros" à Al-Andalus pendant 8 siècles.
Lesquels Moros les ont tirés de l'âge des cavernes pour en faire la société la plus avancée à l'époque. Ils leur ont appris, notamment, à se laver : je ris doucement lorsque je lis que les Moros sont sales, perfides etc.

Adam a écrit:

https://twitter.com/SamirBennis/status/1395063021513453573?s=20

Même genre de comportement que les bounifs : qui se ressemble, s'assemble

Pourquoi les US ne soutiennent pas l'españa-genocida contre nous ....

National Interest a écrit:

To Checkmate Venezuela's Maduro, America Should Sanction His Spanish Enablers

For better or worse, the path to Venezuela's freedom runs through Spain.

America is playing whack-a-mole with Venezuela’s Nicolás Maduro. After losing access to most of its oil revenue, the tyrant’s regime is overcoming U.S. sanctions by turning to narco-trafficking. To break this cycle and accelerate Maduro’s demise, U.S. sanctions ought to target the country’s that’s helping him cling onto power: Spain.

To be sure, sanctions thus far have had considerable effect, primarily by drying up the coffers of state-run oil giant PDVSA. Even Russia’s part-public Rosneft has ended up selling off its money-losing assets in Venezuela to the Russian state—one of Maduro’s last overt backers along with China.

However, Maduro has proved stubborn and his grip on power resilient through his ability to weather sanctions by finding alternative revenue sources. He has done this primarily narco-trafficking and Washington is yet to devise a policy that reckons with this elusiveness. Given America’s Jacksonian reluctance to topple him through intervention, spurring defections among Venezuela’s military top brass is the only hope to see him go. To achieve that, U.S. sanctions have sought to turn off the bribe spigot—a steady stream of kickbacks that ensures military officials’ loyalty to Maduro.

The strongman knows he can’t afford to lose the military, so when faced with sanctions, his regime has kept the kickbacks flowing by making cocaine Venezuela’s new oil. This is not entirely new—Maduro is known to have been long surrounded by rogue sidekicks eager to make a sleazy buck on the side. However, it’s been gradually picking up as Venezuela unleashes a massive government program that warrants parallels between Maduro and Panamá’s Eduardo Noriega. In 1989, a U.S. invasion toppled Noriega after his dabbling in drug trafficking became known to the CIA.

This is where the Department of Justice (DoJ)’s recent slew of indictments on narcotrafficking charges come in. On March 26, DoJ prosecutors pledged amounts up to $15 million for information leading to the capture of Maduro or fourteen of his cronies. This move was read in some press corners as a well-timed nail in the tyrant’s coffin that opportunistically seized on COVID’s ravages to Venezuela’s already emaciated society. The indictments were actually much longer in the making, their timing having more to do with freefalling oil prices in the wake of the Saudi-Russian standoff, according to the American Enterprise Institute’s Ryan Berg.

The Spanish government’s role has been more subtle than simply buying Maduro’s cocaine. Rather, it has enabled him to cling onto power by availing him with access to European markets to sell it. According to the PanAm Post’s Orlando Avendaño, members of Spain’s law enforcement bodies have colluded with regime officials to channel cocaine shipments from the Venezuelan state of Sucre into Europe, using Spain’s northeast region of Galicia as an entry point.

These anonymous scoops fit with a long record of friendly dealings between Maduro and Podemos, a far-left outlet now in Spain’s government as a junior coalition partner to the center-left PSOE. They would also cohere with Podemos’ recent access to Spain’s highest intelligence body, the Consejo Nacional de Inteligencia. The party’s leader, Pablo Iglesias, recently secured a seat on the CNI.

In Avendaño’s breakthrough reporting, Podemos has been the main beneficiary of Maduro’s drug money kickbacks in exchange for working through Spain’s police authorities to let the cocaine flow freely. Meanwhile, José Luis Rodríguez Zapatero, a former Prime Minister from PSOE, has worked to legitimize the regime in the international arena through his so-called “mediation” on Maduro’s terms, and Avendaño’s sources suggest his backchannels may have been funded with drug profits too. Additionally, Raúl Morodo, Spain’s former ambassador in Caracas, also faces charges for receiving €34 million in payments for largely fictitious consulting services to PDVSA during Zapatero’s tenure as PM.

The sum effect of this long trail of palm-greasing has been to markedly soften Spain’s stance vis-à-vis Maduro’s regime, a dynamic that continues to this day. Although Madrid had recognized Guaidó as the country’s legitimate president—a move since walked back by PM Pedro Sánchez—it has lobbied against further EU sanctions while senior cabinet members have been caught conspiring with their Venezuelan counterparts.

This was notoriously the case with Spain’s Transportation Minister José Luis Ábalos on January 20, when he breached EU sanctions to let Maduro’s right-hand Delcy Rodríguez land on Madrid’s Barajas airport—a scandal since dubbed “Delcygate.” Rodríguez is known to have seized the opportunity of her unlawful presence in Madrid to smuggle forty pieces of luggage past customs, later alleged by anonymous sources from Venezuela’s embassy in Madrid to be filled with money stacks and sensitive documents.

The detailed storyline needling these seemingly discrete events together may soon see the light. It will likely come from the mouth of one of its main characters, Hugo Carvajal, nicknamed “El Pollo,” the head of Venezuela’s military intelligence under Hugo Chávez between 2004 and 2011. In early March, a Spanish judge allowed his extradition to America on narco-trafficking charges after previously granting him safe haven in Spain.

But in the interim, even without Carvajal’s revealing testimony, the United States should challenge Spain for its leaders’ friendly dealings with Maduro’s narco-trafficking ring. In October last year, Bloomberg reported the U.S. Treasury’s Office of Foreign Assets Control (OFAC) was mulling sanctions against the Bank of Spain for allowing top regime officials looking to skirt U.S. sanctions to deposit money there, although it didn’t follow through with action. The case for sanctions on Spain has only kept building since.

Without punitive action on Podemos and PSOE officials, Maduro may simply replace oil sales with cocaine profits as the main funding source buttressing his oppression of the Venezuelan people. With their enabling of Maduro’s tyrannical rule in plain sight, now is the time for Washington to extend sanctions to Spain.

Citation :

Mexico Excludes Spain From Independence Day Celebrations

2021 has been dubbed the “horrible year” for relations between Spain and Mexico.


Rabat - As Mexico prepares to celebrate 211 years of independence from Spain and 500 years since the fall of Tenochtitlan, tensions between Spain and Mexico have heightened after Mexico excluded Spain from the celebratory event.

Every year on September 16, Mexico holds a military parade to commemorate its independence from Spain. Each year, the country invites its foreign allies to participate in the festivities.

This year Mexico will celebrate 500 years since the transformation of Tenochtitlán into Mexico City. A key historic landmark for the countries.

Despite the importance of the 2021 celebrations, Mexico excluded Spain.

The Spanish President Pedro Sanchez expressed his “enormous displeasure” with the decision.

In 2019, Mexico’s President Andres Manuel Lopez Obrador met with Spain’s King Felipe VI to request an apology for the 300-year conquest of Mexico. The president cited the “violations of what we now call human rights” and referred to the Spanish conquest as a massacre of indigenous people.

Spain’s foreign minister responded by stating it was “weird to receive this request for an apology for events that occurred 500 years ago.”

While en-route to Russia for diplomatic talks, Mexico’s Secretary of Foreign Affairs Marcelo Ebrard made a pit stop in Madrid in late April, to attempt to reconcile some of the damages done by excluding the Spanish from the events.

Although the meeting between the Mexican and Spanish foreign ministers was productive in some diplomatic fields, the Spanish foreign minister echoed King Felipe VI’s regarding relations between Spain and Mexico and called for the two nations to “enhance a common past.”

“Spain wishes to actively accompany these celebrations that should allow us not only to enhance a common past but also and, above all, to reiterate our firm determination to continue contributing to the development and welfare, present and future, of its peoples and citizens,” said the King after Ebrard’s visit.

Relations between Spain and Mexico precede the incumbent presidential administration after former Mexican President Enrique Peña Nieto involved Spain in a scandal stemming from Mexico’s state-run oil company PEMEX.

The former CEO of PEMEX Emilio Lozoya considered Spain a safe haven but was extradited back to Mexico in July 2020.

Lozoya agreed to provide videos of nearly a dozen Mexican politicians receiving bribes in return for a reduced sentence and his extradition to Mexico.


https://www.moroccoworldnews.com/2021/05/342547/mexico-excludes-spain-from-independence-day-celebrations

Magnifique

Fahed64 a écrit:

Magnifique

cette état raciste coloniale est à découvert

Ce qui est magnifique c’est la sortie de la MAE

Le Mexique a bien raison. Pour mémoire, les hordes espagnoles ont détruit une des plus brillantes civilisations humaines, massacré les populations en les convertissant de force - ce que Los Moros ne leur ont pas fait - et pillé toutes les richesse de l'Amérique latine du Sud.
La majorité des autochtones détestent qu'on qualifie leurs contrées d'Amérique latine car elle n'a rien de latin.

L'Espagne contre attaque, en dévoilant un rapport "détaillé" des évènements auprès des chancelleries européennes, après que le Maroc l'ait précédé en faisant de même. L'Espagne qui se cache derrière l'Union se félicite des premiers sortie du président de la commission.

Les états impérialistes sont exposés au grand jour depuis des décennies, soit, mais ça change quoi ? l'Espagne s'est-elle excusée pour ses actes ? a t-elle indemnisé les pays qu'elle a pillés et les victimes qu'elle à fait ? le Mexique a t-il décidé de changer de langue officielle au profit d'une langue réellement nationale ? les américains, qui ont piqué au Mexique 1 300 000 km2 (guerre américano-mexicaine 1846-1848) puis spoliés les habitants hispanophones et indiens de leurs terres tout en en assassinant une partie au passage, ont-ils été invités à cette cérémonie ?

rafi a écrit:

Les états impérialistes sont exposés au grand jour depuis des décennies, soit, mais ça change quoi ? l'Espagne s'est-elle excusée pour ses actes ? a t-elle indemnisé les pays qu'elle a pillés et les victimes qu'elle à fait ? le Mexique a t-il décidé de changer de langue officielle au profit d'une langue réellement nationale ? les américains, qui ont piqué au Mexique 1 300 000 km2 (guerre américano-mexicaine 1846-1848) puis spoliés les habitants hispanophones et indiens de leurs terres tout en en assassinant une partie au passage, ont-ils été invités à cette cérémonie ?

l'espagne elle c'est excusé pour les juifs andalous , le problème c'est que l'espagne est un pays colocial encore aujourd'hui

Oui Stinger, un pays à la mentalité coloniale lui même colonisé et pourtant il n'en tire aucune leçon. C'est ainsi.

Quatre généraux Algériens ont organisé le transfert de Brahim Ghali.

https://www.larazon.es/espana/20210523/mxexlcugonbojkjwicr3rj7dd4.html

Traduction :

Citation :

Le Maroc révèle que ce sont ses services secrets qui ont détecté la présence de Ghali dans notre pays

Le directeur général marocain des Affaires étrangères, Fuad Yazurh, a mis au tableau de la crise qui a été générée entre l'Espagne et le Maroc par la présence du chef du Front Polisario dans notre pays, une pièce qui peut être fondamentale. De la manière "particulière" qu'il l'a fait, en entrant dans une base militaire et en utilisant une fausse identité lors de sa sortie de l'hôpital de Logroño où il est soigné pour un coronavirus, très peu a été dit sur un "acteur Main dans toute cette affaire: Algérie.

De là, l'avion médicalisé est parti dans lequel il est arrivé à la base aérienne de Saragosse et, selon ce qui est officiellement dit, il l'a fait avec un passeport diplomatique que les autorités d'Alger lui avaient donné.

Le directeur général des affaires politiques du ministère marocain des Affaires étrangères, Fuad Yazurh, a laissé entendre que la présence en Espagne de Brahim Ghali est liée à une "ingérence" de hauts commandants militaires algériens. "Une enquête est nécessaire qui, nous l'espérons, sera transparente pour faire la lumière sur cette question", a déclaré Yazurh dans des déclarations recueillies par l'agence de presse officielle marocaine, MAP. Cette enquête "peut révéler de nombreuses surprises, notamment la complicité et l'ingérence de quatre généraux d'un pays du Maghreb" , a- t-il souligné.

«Cette information peut paraître surprenante, voire choquante, pour l'opinion publique espagnole, mais elle n'est pas étonnante. Comme vous le savez, les services marocains sont parmi les meilleurs », a-t-il soutenu, tout en anticipant qu'il y aura plus d'informations à ce sujet à l'avenir.

Yazurh a assuré que c'était le Maroc qui avait révélé le 19 avril que Ghali était en Espagne et que cette information n'avait été remise en question par les autorités et les médias que pour la confirmer 24 heures plus tard.

En outre, il a fait valoir que «au-delà des dommages causés aux relations entre le Maroc et l'Espagne», cette affaire montre que l'Espagne «a choisi entre, d'une part, ses citoyens espagnols victimes de crimes atroces et, d'autre part, un criminel responsable de la mort de plusieurs dizaines d'Espagnols ainsi que de viols, tortures et disparitions ».

Le diplomate marocain a appelé l'Espagne à expliquer en premier lieu à donner des explications à sa propre opinion publique avant d'expliquer au Maroc les circonstances qui ont conduit à l'entrée de cette personne sur le territoire espagnol "avec des documents falsifiés et une identité usurpée".

L'Algérie ou le Maroc ?

C’est quoi cette mascarade!? De quel pays parle-elle au juste !!!! Un jugement pour la forme ou quoi......

Brahim Ghali devrait quitter d'ici dix jours l'Espagne. (Vidéo)

Le n° 2 du polisario avoue à OKDIARIO que Ghali envisage de s'échapper: "Il quittera l'Espagne, il n'ira pas devant le juge"

https://fb.watch/5HDTGayAHZ/

iwa et betouche c'est quoi!!!!