Actualités du Sahara Marocain

Invité

Rappel du premier message :

Cette decision aura des consequences importantes et negatives sur l'extension de notre ZEE dans le sud. Notre dossier ne peut plus etre accepter et nos objections au dossier espagnol ne sont plus acceptables non plus puisque nous n'avons pas autorité sur ces eaux.

Le petrole de ces zones est donc espagnol.

Comme le big boss est à l'hopital, je suppose que nos ministres ne reagirons pas et attendrons en silence.

Comme cela à ete dit plus haut, j'espere que la Marine Royale est prete à faire son travail car les Espagnols vont s'en donner à coeur joie. Lorsque vous verrez les premieres plateformes espagnoles sans autorisation de l'Onhym on verra si il en a qui disent que cette decision est "rien de nouveau".

Dans cette histoire les deux camps viennent de perdre et l'Europe vient de gagner l'equivalent de la Belgique en eaux territoriales.

En fait, il proposeront au exploitant du gisement Tortue d'utiliser le gazoduc pour évacuer le gaz que de construire des couteuses infrastructures dans ces pays ( usine de liquéfaction, port, etc...) en fait l'idée qui est derrière tous cas c'est que la porte de sorte du gaz ouest-africain se fera soit par le Medgaz qui reviendra dans 2 ans au Maroc, soit par Jorf-Lasfar

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Le gisement Tortue commencera la production de gaz fin 2020.

Ils vont pas attendre un projet qui mettra une dizaine d'années à se finaliser si tout va bien !

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لك الله ياوطني

Socket-error a écrit:: Le gisement Tortue commencera la production de gaz fin 2020.

Ils vont pas attendre un projet qui mettra une dizaine d'années à se finaliser si tout va bien !

la construction d'une usine de liquéfaction nécessitera au moins 5 ans, sans oublier le coût de revient du GNL par rapport au gaz naturel, si les réserves de Gaz sont important un gazoduc est la meilleures option pour les producteur que ce soit les marges ou la facilité de rependre a la demande. la construction du tronçon Mauritanie Ain Bni Matrhar nécessitera une période de 4 ans max surtout qu'il n'aura pas de problème d'expropriation

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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ils peuvent même opter pour les 2 un gazoduc pour l Europe et GNL pour les autres

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Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.

Le Maroc disposera en 2020 du MedGaz qui sera sans doute utiliser pour évacuer le gaz de Tendrara.
Ce Medgaz qui relie l'Europe pourais etre relier à Jorf Lasfar et au gazoduc du Gharb.

Il suffit de construire un gazoduc entre Jorf et la Mauritanie, pour que le gaz de la Tortue soit évacuer soit par MedGaz soit par Jorf.

Coté Nigeria, il existe déja le West African Pipeline, qui relie le Nigeria, le Benin et le Ghana.

Il suffira dans les années a venir a relier le gazoduc Maroc-Mauritanie-Senegal au WAP

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Citation :: Accord agricole: le collège des Commissaires de l'UE adopte l'échange de lettres qui inclut le Sahara marocain

Le collège des Commissaires a adopté, lundi 11 juin, l'échange de lettres qui inclut le Sahara marocain dans l'accord agricole entre le Maroc et l'Union européenne (UE), a-t-on appris auprès de la Commission européenne.

Il s’agit d’un pas important qui a été franchi depuis le début des négociations pour l’adaptation de l’accord agricole à la décision de la Cour de justice de l’UE, indique une source européenne à Bruxelles qui confirme que les produits de la région du Sahara seront inclus dans l’accord sans aucune entrave. La même source souligne que les consultations inclusives qui ont eu lieu avec les représentants locaux, de la société civile et diverses entités et organisations concernées, ont dégagé un large soutien à la confirmation de l’inclusion des produits des provinces du sud dans l’accord, vu les avantages socio-économiques pour la population et l'économie de la région.

Dans un communiqué publié à l’issue de la réunion du collège des commissaires, la Commission européenne précise que les documents approuvés seront ensuite adressés au Conseil de l’UE et au Parlement européen pour adoption.

Elle rappelle que le Maroc est "un partenaire clé" du voisinage sud avec lequel l’UE entretient des relations privilégiées qu’elle aspire à développer davantage dans plusieurs domaines.

Par Le360 (avec MAP)

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لك الله ياوطني

Citation :: Le collège des Commissaires de l’Union européenne a adopté le 11 juin l’échange de lettres incluant le Sahara dans l’accord agricole entre le Maroc et l’Union européenne (UE).

Cet échange de lettres entre le Maroc et la Commission fera office d’amendement à l’accord agricole Maroc-UE, s’il est adopté par le Parlement européen. Il a pour objectif de rendre cet accord — en vertu duquel les produits agricoles marocains entrent dans l’union douanière à des tarifs préférentiels — conforme à la décision de la Cour de justice de l’Union européenne du 21 décembre 2016. Celle-ci jugeait en effet que l’accord n’était « pas applicable au Sahara occidental ».

« Cette décision confirme que l’ensemble des produits originaires du Maroc, y compris ceux originaires du Sahara, bénéficient des préférences tarifaires convenues dans le cadre de l’Accord d’Association conclu entre le Royaume du Maroc et l’Union européenne. Ainsi, les produits de la région du Sahara seront inclus dans l’Accord sans aucune possibilité de doute, » affirme une source marocaine.

« Un pas important dans le futur des relations entre le Maroc et l’Union européenne, a été franchi, suite à l’adoption à l’unanimité aujourd’hui, au Collège des Commissaires de la décision du Conseil relative à la signature de l’Accord Agricole sous forme d’échange de lettres entre les deux parties », indique la même source.

« La présente proposition apporte des modifications au protocole n° 4 et au protocole n° 1 de l’accord d’association UE-Maroc en vue de respecter les exigences de l’arrêt de la Cour du 21 décembre 2016 et fournir la base légale pour l’octroi de préférences aux produits du Sahara occidental, » lit-on dans le texte de la proposition publiée par la Commission européenne. Elle poursuit : « La proposition a pour objet d’éviter de perturber les échanges commerciaux avec le Sahara occidental en maintenant l’accès au marché de l’Union à un niveau stable, aucune nouvelle préférence n’étant accordée. Elle vise, en particulier, à faciliter le développement économique du Sahara occidental en accordant à ses exportations vers l’Union européenne le même traitement que celui accordé aux exportations de produits d’origine marocaine. Par conséquent, de telles mesures éviteront que le Sahara occidental soit en situation concurrentielle défavorable, et perde ainsi des opportunités d’investissement, par rapport aux pays voisins, qui eux bénéficient de préférences tarifaires à différents titres (accords d’association ou dans le cadre du système de préférences généralisées). »

De source marocaine, le Collège des Commissaires a également adopté « un rapport sur le bénéfice socio-économique de l’accord, élaboré par la Commission européenne et le SEAE, qui s’est basé sur un processus de consultations nationales, tant au niveau des deux Chambres du Parlement et au niveau des régions, qu’un niveau de la société civile. »

Selon la même source, « la Commission a conclu, notamment, que la population des provinces du sud, qui profite pleinement des retombées positives de l’Accord, est en faveur de la confirmation des préférences commerciales aux produits des provinces du sud du Sud, en ce que cela est un véritable levier pour renforcer les standards socio-économiques de la région, notamment en matière d’investissement privé et qui conforterait le nouveau modèle de développement des provinces du Sud. »

https://telquel.ma/2018/06/11/g7-en-rupture-avec-ses-allies-trump-fait-vaciller-lordre-mondia_1598208/

RED BISHOP a écrit:: Le Maroc disposera en 2020 du MedGaz qui sera sans doute utiliser pour évacuer le gaz de Tendrara.
Ce Medgaz qui relie l'Europe pourais etre relier à Jorf Lasfar et au gazoduc du Gharb.

Il suffit de construire un gazoduc entre Jorf et la Mauritanie, pour que le gaz de la Tortue soit évacuer soit par MedGaz soit par Jorf.

Coté Nigeria, il existe déja le West African Pipeline, qui relie le Nigeria, le Benin et le Ghana.

Il suffira dans les années a venir a relier le gazoduc Maroc-Mauritanie-Senegal au WAP

vous semblez oublié que la Mauritanie n'est pas à ce moment acquise pour les intérêts territoriaux du Maroc !!

Fox-One a écrit:

RED BISHOP a écrit:: Le Maroc disposera en 2020 du MedGaz qui sera sans doute utiliser pour évacuer le gaz de Tendrara.
Ce Medgaz qui relie l'Europe pourais etre relier à Jorf Lasfar et au gazoduc du Gharb.

Il suffit de construire un gazoduc entre Jorf et la Mauritanie, pour que le gaz de la Tortue soit évacuer soit par MedGaz soit par Jorf.

Coté Nigeria, il existe déja le West African Pipeline, qui relie le Nigeria, le Benin et le Ghana.

Il suffira dans les années a venir a relier le gazoduc Maroc-Mauritanie-Senegal au WAP

vous semblez oublié que la Mauritanie n'est pas à ce moment acquise pour les intérêts territoriaux du Maroc !!

parce aujourd'hui la Mauritanie sait qu'on a besoin d'elle pour que nos camions arrivent en Afrique demain elle aura besoin du Maroc pour trouver des débouchées a son Gaz surtout que le champs Tortue appartient aussi au Sénégal

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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simplet a écrit:

Fox-One a écrit:

RED BISHOP a écrit:: Le Maroc disposera en 2020 du MedGaz qui sera sans doute utiliser pour évacuer le gaz de Tendrara.
Ce Medgaz qui relie l'Europe pourais etre relier à Jorf Lasfar et au gazoduc du Gharb.

Il suffit de construire un gazoduc entre Jorf et la Mauritanie, pour que le gaz de la Tortue soit évacuer soit par MedGaz soit par Jorf.

Coté Nigeria, il existe déja le West African Pipeline, qui relie le Nigeria, le Benin et le Ghana.

Il suffira dans les années a venir a relier le gazoduc Maroc-Mauritanie-Senegal au WAP

vous semblez oublié que la Mauritanie n'est pas à ce moment acquise pour les intérêts territoriaux du Maroc !!

parce aujourd'hui la Mauritanie sait qu'on a besoin d'elle pour que nos camions arrivent en Afrique demain elle aura besoin du Maroc pour trouver des débouchées a son Gaz surtout que le champs Tortue appartient aussi au Sénégal

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Et qu'est ce qui empêchera la Mauritanie si elle décide au milieu de tout ca batir un port gazier et exporter directement vers l'Europe (financement sudaf) ou encore exporter via gazudic mauritanie-alger-europe.

d'une manière ou une autre, la Mauritanie doit rentrer dans le rang avant 2020.

Fox-One a écrit:: Et qu'est ce qui empêchera la Mauritanie si elle décide au milieu de tout ca batir un port gazier et exporter directement vers l'Europe (financement sudaf) ou encore exporter via gazudic mauritanie-alger-europe.

d'une manière ou une autre, la Mauritanie doit rentrer dans le rang avant 2020.

1- des raisons sécuritaire même le bassin de Taoudini est en stand-by avant l'installation des Français au nord du Mali la Mauritanie ne contrôlait que le Littoral et même le Sahara Algérien les terroristes se baladaient comme ils voulaient.

2- raison économique, Kosmos Energy et partenaire du bassin, le gazoduc financé par beaucoup de partenaire est mieux qu'un gazoduc financé par 3 partie voir 4

3- une raison de bon sens, L’Algérie est un exportateur de gaz elle va jamais se tirer une balle dans le pieds, elle va pas offrir ces parts de marché a un concurrent

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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Jacques Roussellier - American Military University a écrit:: A Role for Russia in the Western Sahara?
The short renewal of the United States Mission for the Referendum in Western Sahara (MINURSO) indicates Russia’s increasing influence on the conflict.
April, United Nations Security Council Resolution on Western Sahara renewed the UN peacekeeping observer mandate (MINURSO) for six months, instead of the customary one-year extension. The move indicates the return of a more assertive geopolitical role of Russia in this regional contest rather than a genuine signal for the resumption of direct talks.

In contrast with last year’s tension with Mauritania at the Guerguerat border post in southern Western Sahara—which Morocco triggered and which lead to Polisario’s retaliatory repositioning of forces within a restricted zone—this year witnessed a measured escalation between the two parties based on the conflagration of three nearly simultaneous events. First was an unconfirmed report of a breach of the 1991 ceasefire provisions by Polisario’s military or unarmed elements’ incursions into the neutral buffer zone west of the defensive wall that separates Moroccan and Polisario forces in the northeastern corner of Western Sahara (Mahbas); second was the presence of Polisario elements within the buffer strip in Guerguerat in conjunction with an off-road car rally going through the border post; and finally a statement by Polisario indicating its decision to move its defense and administrative headquarters from its base in southwestern Algeria to an area east of the defensive wall under its de facto control.

In Guerguerat, Polisario is caught in an operational quandary: Guerguerat lies on a section of the defensive wall that runs parallel to the border with Mauritania and leaves no narrow swath of the Western Sahara land that it could control and from which to stage observation points (unlike most of the defensive wall that runs a roughly north–south line of which 20 percent of the Western Sahara territory is under Polisario control).

Notwithstanding Morocco and Polisario’s conflicting interpretations of the ceasefire and subsequent military agreements, this limited escalation of forces on both sides of the wall has prompted the UN to call on parties to exercise restraint and maintain the status quo. The mediator on Western Sahara, former German President Horst Köhler, has sensed from his initial consultations with major regional and international stakeholders that a spirit of compromise and realism should prevail for the resumption of direct negotiations and as a guarantee for the emergence of a new dynamic. Raised tensions on the eve of UN discussions on renewing MINURSO’s mandate also highlighted the lack of effective joint monitoring and verification mechanisms for the ceasefire and the implementation of military agreements (an outcome of the 1990 UN design of the mission’s mandate) that would facilitate on the ground conflict resolution and prevent escalation.

While in last year’s discussions on the resolution Russia adopted softer language criticizing Polisario for its handling of the Guerguerat crisis, the new resolution singled out Polisario twice for its role in Guerguerat and its intention to relocate headquarters east of the defensive wall. Historically, Russia has been fairly neutral and balanced on the Western Sahara issue, having interests on both sides. However, in this year’s geopolitical context, it adopted a more assertive posture. Russia gave Morocco one directly positive mention (measured response to tensions) and one indirect new sign of support (“recommitting to UN efforts in a spirit of realism and compromise” as opposed to any role for the African Union that Moscow and Algiers support). Yet, Russia’s effective pressure was best at play in the reduction of the MINURSO mandate to six months. The decision has no clear explanation in the absence of direct talks or even in the run-up to expected new round of negotiations (the six-month mandates were only twice voted in 2006 and 2007 within the context of direct talks).

The French ambassador to the United Nations remarked that the six-month extension—which aims to further mobilize the Security Council in support of a political process—was an exception to the rule that an annual mandate renewal is the best guarantee for the stability of peacekeeping operations. The statement could be seen as implying that the six-month extension was as much a reflection of the U.S. call to reenergize Security Council’s members engagement on the Western Sahara issue as part of a deal to secure Russia’s and other concerned states’ (like China, Sweden or Ethiopia) support for the resolution without further amendments. Though Russia criticized the six-month reduction, Sweden—whose opposition party put forth a proposal to the Swedish government in 2012 to officially recognize the Sahrawi Arab Democratic Republic—welcomed it as a way to address at a later stage the lack of sufficient balance in the current resolution. Russia’s tougher posture on Western Sahara is a direct response to tensions with the United States and France in Syria, and despite recent reenergized diplomacy between Rabat and Moscow, Russia still favors Algeria which received 78 percent of Russia’s arms transfers to Africa from 2013–2017.

Shortly after the UN vote renewing MINURSO’s mandate for six months, Morocco announced that it had ceased diplomatic relations with Iran over accusations that Iran facilitated weapons delivery as well as logistic and technical support to Polisario via Iran’s embassy in Algiers and through its Lebanese proxy Hezbollah. Polisario and Algiers denied the allegations and warned that Rabat’s intention, with accusations of Iran–Polisario collusion, is to limit the possibility of direct talks. The announcement prompted quick endorsement by Saudi Arabia and the United Arab Emirates. Morocco’s announcement may have been motivated primarily by Rabat’s eagerness to demonstrate strategic relevance in the context of renewed U.S. opposition to Iran, in particular Tehran’s support for terrorism and destabilization of the Middle East, following Washington’s withdrawal from the JCPOA nuclear accord.

Saudi Arabia and the United Arab Emirates, together with Morocco, have been supportive of the French-backed G-5 Force for the Sahel in a bid to compete with Iran’s growing investment and influence in the region while financially supporting Sahel states’ recent counterterrorism efforts. Morocco’s statement may also help prevent any change in the U.S. position on Western Sahara following the appointment of John Bolton as national security adviser. Bolton is known for supporting a self-determination referendum for Western Sahara, as advocated by Polisario and Algeria, and years ago called for a withdrawal of MINURSO as a way to pressure Morocco and Polisario to work out a deal on the final status of Western Sahara. The six-month reduction also bears the mark of Bolton, who does not want a “business as usual” approach on Western Sahara and would like to see more involvement from the UN Security Council than from the usual deferment to the mediator. Russia actually resented the lack of consultation on the part of the U.S. regarding the six-month reduction, but this works in its favor and its support of Polisario.

The timing of Morocco’s announcement of reports of Iran support to Polisario also has some obvious (perhaps too obvious for Polisario and Algeria) impact on Western Sahara: Rabat has effectively preempted any forthcoming direct talks with Polisario. While Polisario has repeatedly stated its readiness to start negotiations with Morocco without preconditions, Morocco has articulated a number of guiding principles for future talks, including respect for Moroccan sovereignty in the Western Sahara as well as autonomy. Morocco hardly needed to add a new obstacle to rejoining the negotiation table. Chances are that a six-month mandate will prove too short for any meaningful progress on clarifying preconditions for direct talks as any outside pressure on Morocco to soften its stand on sovereignty and autonomy would have to first dispel Tehran’s alleged involvement with the Polisario.

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Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.

Traduction résumée svp

Je pense que la Russie (et la Chine) ont toujour eux une position équilibré dans l'affaire du Sahara.
Des qu'ils voient que les choses tournent en faveur d'une partie, il s'y oppose.
On l'as vu avec la dernière résolution mais avant ce sont les Russes et les Chinois qui ont torpiller l'idée d'inclure les droits de l'hommes dans les résolutions de l'ONU et non pas nos "alliée"...

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Actualités du Sahara Marocain - Page 31 Marche12

Citation :: ONU : Consécration historique de la représentativité des élus du Sahara Marocain

Infomédiaire Maroc – Une page historique sur la question du Sahara Marocain a été inaugurée, lundi au siège des Nations Unies à New York.

En effet, pour la première fois dans les annales du Comité des 24 relavant de l’Assemblée Générale de l’ONU, deux élus des provinces du Sud y ont participé et pris la parole, en leur qualité d’élus de la région du Sahara Marocain.

Cette participation, entérinée par l’ensemble des membres du Comité, par consensus, constitue une reconnaissance par les Nations Unies, du caractère démocratique des élections régionales du 4 septembre 2015 et une consécration de la légitimité des élus des provinces du sud, pour représenter la population de cette région.

Ainsi, Mhamed Abba et Ghalla Bahiya, vice-présidents respectivement des régions Laayoune Sakia El Hamra et Dakhla Oued Eddahab, ont pris la parole, en leur capacité d’élus, pour exposer devant les membres du C24, le caractère transparent et inclusif de leur élection, les prérogatives des Conseils régionaux au service des populations du Sahara, les efforts consentis par le Maroc pour le développement socio-économique des provinces du sud depuis leur retour à la Mère Patrie en 1975 et leur qualité de représentants authentiques des populations du Sahara marocain.

La participation retentissante des deux élus au Comité des 24 constitue une nouvelle déconvenue pour l’Algérie, battant ainsi en brèche une prétendue représentativité du “polisario”.

Cette participation conforte également la position défendue par le Maroc aussi bien à l’ONU qu’avec ses partenaires régionaux, notamment l’Union européenne, au sujet de la légitimité des élus du Sahara.

La décision de l’Union européenne de mener des consultations avec les élus des provinces du sud, dans le cadre du renouvellement des Accords d’Association avec le Maroc, confirme leur qualité de représentants démocratiques et légitimes des populations du Sahara Marocain.

Plusieurs membres du Comité ont salué, dans leurs déclarations, la participation de Abba et de Bahiya, qui constitue une nouvelle affirmation de leur légitimité, consacre le processus démocratique au Maroc, particulièrement au Sahara, confirme les efforts substantiels et soutenus du Royaume pour le développement du Sahara et permet au Comité d’obtenir des informations de première main de la part des responsables en charge de la gestion des affaires locales.

Il s’agit là d’un démenti cinglant des informations mensongères, biaisées et fallacieuses colportées par l’Algérie et le “polisario”.

Ce succès diplomatique, d’une portée historique significative, intervient un mois seulement après la percée enregistrée au séminaire régional du C24 à Grenade, durant lequel Abba et Bahiya ont été officiellement invités par le Comité, afin d’y participer en tant qu’élus du Sahara.

https://www.infomediaire.net/onu-consecration-historique-de-la-representativite-des-elus-du-sahara-marocain/

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"C'est un plaisir de faire sauter l'ingénieur avec son propre pétard".
William Shakespeare ; Hamlet (1603)

MAP a écrit:: M. Bourita reçoit à Rabat l’envoyé personnel du SG de l’ONU pour le Sahara marocain

mercredi, 27 juin, 2018 à 11:47

Rabat – Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, M. Nasser Bourita, a reçu, mercredi à Rabat, l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général des Nations Unies pour le Sahara marocain, M. Horst Köhler, actuellement en visite au Maroc dans le cadre d’une 2ème tournée régionale.

M. Köhler, qui s’est déjà rendu en Algérie et en Mauritanie, poursuivra sa visite au Maroc dans les Provinces du sud du Royaume, pour constater de visu les efforts réalisés en matière de développement socio-économique dans la région.

Cette tournée régionale de M. Köhler intervient après l’adoption de la résolution 2414 du 27 avril 2018, par laquelle le Conseil de Sécurité des Nations Unies a réaffirmé la prééminence de l’Initiative marocaine d’autonomie, et préconisé que le réalisme et l’esprit de compromis sont essentiels pour progresser vers une solution politique, réaliste, pragmatique et durable au différend régional sur le Sahara marocain, en demandant expressément aux pays voisins, et donc à l’Algérie, “d’apporter une contribution importante au processus et de s’engager plus fortement pour progresser vers la solution politique”.

En effet, la résolution 2414 du Conseil de sécurité sur le Sahara marocain est venue apporter des éclaircissements portant sur trois points essentiels. Le premier se rapporte au statut historique et juridique à l’Est du dispositif de défense et aux agissements du Polisario. Concernant ce point, le Conseil de sécurité a confirmé le statut de la zone à l’Est du dispositif de défense à savoir une zone tampon relevant des Accords de cessez-le-feu, où ne saurait y avoir d’activités civiles ou militaires.

Le deuxième point définit la finalité du processus politique à savoir “parvenir à une solution politique réaliste, réalisable et durable basée sur le compromis”, des termes qui s’identifient à la solution politique préconisée par le Maroc, dans le cadre de l’Initiative marocaine d’autonomie.
Le troisième point identifie clairement les acteurs en demandant expressément aux pays voisins, et donc à l’Algérie, “d’apporter une contribution importante au processus et de s’engager plus fortement pour progresser vers la solution politique”.

La résolution du CS confirme, ainsi, le statut de l’Algérie en tant qu’acteur et partie prenante, qui doit s’impliquer de manière forte dans la recherche de la solution politique.

Côté humanitaire, la résolution du Conseil de sécurité réitère sa demande à l’Algérie d’honorer ses obligations internationales à l’égard des populations des camps de Tindouf, en lui demandant à nouveau que l’enregistrement des réfugiés dans les camps de réfugiés de Tindouf soit envisagé et en soulignant qu’il convient de déployer des efforts à cet égard.

Sur le plan de la stabilité régionale, le Conseil de sécurité situe le différend sur le Sahara marocain dans son contexte régional, en reconnaissant qu’une solution politique à ce différend permettra le renforcement de la coopération entre les pays du Maghreb et contribuera à la stabilité et à la sécurité de la région sahélienne.

A rappeler qu’à l’occasion de la réunion de Lisbonne en mars 2018 avec l’envoyé Personnel, la délégation marocaine a réaffirmé les fondamentaux de la position marocaine tels que rappelé dans le Discours de Sa Majesté le Roi, Que Dieu L’assiste, à l’occasion de la commémoration du 42ème anniversaire de la Marche Verte, le 6 novembre 2017 :

– Aucun règlement de l’affaire du Sahara n’est possible en dehors de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara, et en dehors de l’Initiative d’autonomie, dont la communauté internationale a reconnu le sérieux et la crédibilité.

– Les expériences passées devraient permettre de méditer sur une évidence: le problème n’est pas tant de trouver une solution à cette affaire, mais plutôt d’arriver à définir le processus à suivre pour y parvenir. Il appartient, donc, aux parties à l’origine de ce conflit monté de toutes pièces, d’assumer pleinement leur responsabilité dans la recherche d’un règlement définitif;

– Le plein respect des principes et fondamentaux retenus par le Conseil de Sécurité pour le traitement de ce conflit régional artificiel; l’organe onusien étant, de fait, la seule instance internationale chargée de superviser le processus de règlement;

– Le refus catégorique de tout dépassement, de toute tentative de porter atteinte aux droits légitimes du Maroc et à ses intérêts supérieurs, de toute proposition obsolète visant à écarter le plan de règlement des paramètres référentiels retenus, de l’insertion abusive d’autres sujets, lesquels sont traités par des institutions compétentes.

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Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.

Selon le desk le rapport de Moussa Fakri sur le Sahara est très favorable au Maroc !

Il entériné L'ONU comme seul organisme de résolution du conflit et pire il demande à ce que toute résolution du conseille de sécurité africain soit soumis pour approbation au chef d'état africains Laughing

Pire encore il reconnaît une dynamique de développement unique dans la région

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Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire

Actualités du Sahara Marocain - Page 31 Signat10

la ou tu vois que l'afrique c est des rigolos ce faqi qui se pose a tindouf pour voir le fameux président d'un fameux pays membre fondateur le gus l'attend sur le territoire algérien avec un drapeau vissé a coté dont personne ne veut a l'onu pfff

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Actualités du Sahara Marocain - Page 31 477237Sanstitre

Citation :: "je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme "
Hassan II 1996

ouald rachid reste incontournable

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Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.

Citation :: Sahara : Le rapport Moussa Faki conforte le Maroc appelle l’Algérie à assumer sa responsabilité et souligne la primauté de l’ONU

Sahara : Le rapport Moussa Faki conforte le Maroc appelle l’Algérie à assumer sa responsabilité et souligne la primauté de l’ONU

Nous publions ci-dessous une synthèse succincte du rapport que M. Moussa Faki Mahamat, Président de la Commission de l’Union Africaine (U.A.) a présenté devant les chefs d’Etat et de gouvernement au 31ème Sommet de l’UA de Nouakchott ( Mauritanie). Cette synthèse a été réalisée par le Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale dont nous avons obtenu copie. Les points essentiels concernent la primauté de l’ONU dans le dossier – excluant de ce fait l’Union africaine -, et appelant l’Algérie à participer, en tant que partie prenante, au processus de règlement.

Le sommet de l’UA à Nouakchott marque une avancée substantielle du Maroc sur la Question Nationale. En effet, le Président de la Commission de l’UA M. Moussa Faki Mahamat a soumis aujourd’hui aux Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’UA réunis à Nouakchott en session à huit clos, le rapport qu’il a été mandaté à réaliser selon la décision 653 adoptée par la session de juillet 2017.

2- Le rapport consacre la primauté du processus onusien dans la gestion de la question du Sahara. Ainsi le paragraphe 20C stipule que : « La nécessité pour l’UA d’inscrire sa démarche dans le cadre d’un appui renforcé aux efforts des Nations unies, pour accroitre leur chance d’aboutissement. En d’autres termes, il ne s’agirait pas pour l’UA de développer un processus parallèle à celui des Nations unies ».

3- De même la recommandation 21B précise que « Le rôle de l’UA devrait viser à accompagner et à soutenir les efforts des Nations Unies, dont le Conseil de Sécurité demeure saisi de la question. Au demeurant, l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général des Nations Unies conduit, depuis sa prise de fonction, des consultations intensives avec les parties, lesquelles ont exprimé leur engagement à coopérer avec lui ».

4- L’unique référence dans le traitement de la question sera les résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies. En effet, recommandation 21C souligne que « Conformément à ce rôle d’accompagnement et de soutien, la Conférence de l’Union devrait apporter un appui efficace au processus conduit par les Nations Unies, basé sur les résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité. Celles-ci ont, de façon constante, demandé aux parties de reprendre les négociations sous les auspices du Secrétaire Général, de bonne foi, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable dans le contexte d’arrangements conformes aux buts et principes énoncés dans la charte des Nations unies ».

5- Les autres organes de l’UA et notamment ceux qui étaient instrumentalisés par les adversaires du Maroc tel le CPS se trouvent dessaisis du traitement de cette question. La recommandation 21D souligne que « pour assurer la cohérence requise, la question du Sahara ne serait évoquée que dans ce cadre et à ce niveau » en faisant référence à la Conférence de l’Union Africaine et au niveau des Chefs d’Etats.

6- Le rapport reflète fidèlement la position marocaine. Il rappelle ainsi dans le paragraphe 12 que « Les autorités marocaines ont réaffirmé le rôle central des Nations unies dans la conduite du processus de négociation. Elles ont mis en garde contre les risques d’un processus parallèle, estimant qu’en reconnaissant la pseudo rasd, l’UA s’était d’elle-même exclue des efforts de recherche d’une solution : selon le Maroc, l’Union a, par ce fait, tranché le débat sur le statut du territoire que les Nations unies s’emploient à déterminer. Il est précisé dans le rapport que les autorités marocaines ont marqué leur appui aux efforts du nouvel Envoyé Personnel du Secrétaire général des Nations unies et leur attachement au processus de négociation conduit sous les auspices des Nations unies et que tout règlement du conflit requiert l’implication effective de l’Algérie.

7- Le rapport insiste dans le para 17 sur le rôle crucial que les autorités algériennes et mauritaniennes peuvent jouer dans la recherche d’une solution. Le Président de la Commission de l’Union africaine a exhorté les deux pays à soutenir activement les efforts déployés pour la relance du processus de négociation, en ajoutant que le conflit n’avait que trop duré et que la situation actuelle entravait les efforts d’intégration dans le cadre de l’UMA et ceux visant à promouvoir plus efficacement la sécurité régionale.

8- Le mécanisme de suivi requis dans le paragraphe 21C a été mis en place par la Conférence sous forme de troïka composé des présidents sortant, entrant et en cours avec le Président de la Commission de l’Union Africaine. Ce mécanisme présente l’avantage des principes de la continuité dans la position de l’UA et celui de l’équilibre dans ses approches basées sur les résolutions pertinentes du Conseil de Sécurité.

http://maroc-diplomatique.net/sahara-le-rapport-moussa-faki-conforte-le-maroc-appelle-lalgerie-a-assumer-sa-responsabilite-et-souligne-la-primaute-de-lonu/

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"C'est un plaisir de faire sauter l'ingénieur avec son propre pétard".
William Shakespeare ; Hamlet (1603)

La baraille n'est pas gagne, au mieux ils vont pas intervenir dans le processus de l'onu, mais l'ua s'inscrit deha comme interlocuteur et facilitateur.
On donne a d'autre pays africains comme l'egypte et le rwanda, la main pour nous racketter.

Fox-One a écrit:: La baraille n'est pas gagne, au mieux ils vont pas intervenir dans le processus de l'onu, mais l'ua s'inscrit deha comme interlocuteur et facilitateur.
On donne a d'autre pays africains comme l'egypte et le rwanda, la main pour nous racketter.

pas moyen de faire quoique ce soit , désormais le loup est dans la bergerie

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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J peux conclure que la reintegration du Maroc a l'ua est un demi fiasco.
Nos partenaires et nos alliers n'etaient pas au rendez vous.
Et j'ajoute que la mauritanie a elle seule a bien secouèe le royaume, l'algerie est restee bien derriere.

On n'aurait pas était la. On aurait eu une résolution écrite par l'Algérie et la RASD.
Preuve que le retour dans l'UA porte ses fruits.

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Actualités du Sahara Marocain - Page 31 Marche12

Faut imperativement neutralisè la mauritanie
Ce matin le dreapeau de la rasd juste en face de l'agence attijariwafa. Demain ils mettront le nom de la rasd sur l'avenue qui acceuil l'embassade de rabat.
la prochaine etape est la fermeture de leur passage avec guergeate.
J propose deja de plus fournir les marches mauritaniens par nos produits agricoles.
Boycotons la mauritanie avant qu'elle ne le fait la premiere

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A Role for Russia in the Western Sahara?

The short renewal of the United States Mission for the Referendum in Western Sahara (MINURSO) indicates Russia’s increasing influence on the conflict.

M. Bourita reçoit à Rabat l’envoyé personnel du SG de l’ONU pour le Sahara marocain