Diplomatie marocaine - Relations internationales

C'est quasi officielle ont déclare la guerre au Saoud sur le plan religieux 

https://www.le1.ma/le-maroc-offre-son-aide-au-pakistan-pour-la-formation-des-imams/

C'est quoi ce nouveau concept de "tourisme religieux" dont l'article parle à la fin?!

selon le journal Alquds, l'ambassadeur du Maroc au Pérou a rencontré a Lima (capitale du Pérou) des représentants du président par intérim Juan Guaidó mardi passé, cette rencontre fait suite a l'entretien téléphonique qui a eu ce dernier avec Bourita MAE du Maroc...

c'est de bonne guerre parce que on n'espérait aucun changement de la position Maduro sur notre cause qui reste un fervent souteneur des séparatistes.

source : https://www.alquds.co.uk/%d9%84%d9%82%d8%a7%d8%a1-%d8%af%d8%a8%d9%84%d9%88%d9%85%d8%a7%d8%b3%d9%8a-%d9%85%d8%b9-%d9%85%d8%ba%d8%b1%d8%a8%d9%8a-%d9%88%d9%81%d8%b1%d9%8a%d9%82-%d8%a7%d9%84%d8%b1%d8%a6%d9%8a%d8%b3-%d8%a7%d9%84/

Oui mais Maduro restera Bradil.

L'armée refuse de bouger et sans l'armée point de bascule.

Les USA auraient entamé des discussions avec certains hauts gradés vénézuéliens (les moins corrompus).

Fox-One a écrit:

C'est quoi ce nouveau concept de "tourisme religieux" dont l'article parle à la fin?!

Au Pakistan et en Inde, il y a de nombreux soufi. Ils suivent principalement l'école (tarika) Kadiriya. Le centre nerveux de la Kadiriya est au Maroc. Donc, nous pourrions voir plus de Pakistanais venir au Maroc pour visiter la Zaouia (comme pour les ouest Africains et la Tijaniya).

Pour ce qui est du Vénézuela, tout est fair game. Le gouvernement actuel agit activement contre l'integrité territoriale du Maroc, nous avons le droit d'agir activement en faveur d'un changement de régime au Vénézuela. L'armée changera ou ne changera pas de position selon qu'ils perçoivent ou non que la constitution est respectée. Il y a un fort sentiment "constitutionaliste" dans ce pays et il faut que la constitution soit respectée. Or, le chef du parlement qui s'auto-proclame président n'apparaît pas pour l'heure comme étant entièrement constitutionnel.

Ceci etant dit, il y a plus urgent que le Vénézuela. Il y a l'Afrique du Sud qui accentue ses attaques contre le Maroc. Il faut donc passer en mode offensive. Le fait est que ce pays souffre de lourdes coupures d'électricité (alors qu'ils sont supposés etre les plus riches en Afrique), montrant la mauvaise gestion de l'ANC. Il y a aussi, le problème des terres agricoles aux mains des blancs. Nos autorités doivent chercher et soutenir tous les opposants à l'ANC. Il n'y a pas de possibilité de réconciliation avec le régime actuel. Il faut donc chercher à les faire tomber ou ramener leur pays à l'âge de pierre. Il faut aussi parler avec les pays enclavés (Lesotho et Botswana) qui sont exploités par l'Afrique du Sud. Leur offrir des solutions pour etre plus indépendants de leur suzerain.

Ne soyons pas presser. La situation au Venezuela ne va pas rester comme ca éternellement. Il y aura une issue. Juste voir si le Maroc a miser sur le bon cheval, en meme temps il n'avais pas le choix...

En ce qui concerne l'Afrique du Sud, la encore de la patience, laissons faire l'ANC et leurs amis suprematiste noir, lorsque la chasse au Blancs sera ouverte, ce pays va tomber dans le chaos...et il pourrons supporter le Polisario jusqu'a demain...alors qu'ils sont en train de couler...

prince nice to meet you
how was your flight
congratulations
nice to meet you

BOUBOU a écrit:

Les USA auraient entamé des discussions avec certains hauts gradés vénézuéliens (les moins corrompus).

Ou bien les plus corrompus. Dans les deux cas, ce sont toujours ceux-là qui quémandent qu'on les corrompe.

mourad27 a écrit:

prince nice to meet you
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congratulations
nice to meet you

Première fois qu'on entend de manière très audible le prince héritier s'exprimer en anglais très fluent et avec confiance.

Échange musclé au siège parlement panafricain entre parlementaires marocains et l'Algérien Ismael chargui

Coulisses du dernier clash à l'Union africaine
Cette semaine, plusieurs médias marocains ou proches du Front Polisario sont revenus sur le clash qui s’est déroulé lors d’une réunion du Parlement panafricain (PAP) à Midrand (près de Johannesburg, Afrique du Sud). Noureddine Karbal, député du groupe du PJD à la Chambre des représentants et membre de la délégation marocaine ayant pris part à cette rencontre, revient avec Yabiladi sur les coulisses de cette altercation avec l’Algérien Smaïl Chergui, commissaire de l’UA pour la paix et la sécurité.



...Suite : https://www.yabiladi.com/articles/details/75570/maroc-front-polisario-coulisses-dernier-clash.html?fbclid=IwAR15ukyaEDtzLKHzlsVXYWXmLfUfF5RLM9ifeuSWoowzgnGsT5OOS15C2jc

https://www.medias24.com/le-maroc-dement-toute-ingerence-dans-la-situation-en-algerie-883.html

Citation :

Le Maroc dément toute ingérence dans la situation en Algérie

Suite à des allégations publiées par des médias étrangers prétendant que le Maroc suit de près la situation en Algérie, le ministère marocain des affaires étrangères dément, dans une déclaration, toute ingérence dans la situation en Algérie.


Voici le texte de la déclaration du ministre Nasser Bourita :

"1. Le Royaume du Maroc a décidé de se tenir à une attitude de non-ingérence par rapport aux récents développements en Algérie, et s’est abstenu de tout commentaire à ce sujet.

"2. Malgré cette posture claire et constante, certains médias publiés en France et en Algérie cherchent obstinément à impliquer le Maroc, en lui prêtant des propos fallacieux et des positions dénuées de tout fondement.

"3. Pour cela, ils ne lésinent sur aucun subterfuge, citant tantôt de prétendues "sources anonyme au Ministère", tantôt des "sources proches de la diplomatie" ou encore de soi-disant "experts". Certains ont même poussé le fantasme jusqu’à alléguer l’existence d’officines obscures agissant sur ces évènements.

"4. Le Maroc ne peut donc qu’exprimer son grand étonnement à la publication de ces articles attribuant à la diplomatie marocaine des propos mensongers et éloignés de toute véracité.

"5. Le Maroc n’a ni à se mêler des développements internes que connait l’Algérie, ni à les commenter de quelle que manière que ce soit. Aucune déclaration n’a été faite à aucun média, de manière formelle ou officieuse.

"6. Le Maroc rejette, également, avec force, l’allégation mensongère de coordination avec d’autres pays, notamment la France, sur les évènements en Algérie. Aucun contact n’a été établi avec Paris, ni avec aucun autre pays d’Europe ou d’ailleurs, à ce sujet.

"7. Tout en appelant les médias concernés à respecter les exigences éthiques et professionnelles, la diplomatie marocaine rappelle qu’elle dispose de canaux appropriés pour faire connaitre ses postions qu’elle a toujours eu le courage d’assumer."

Le Roi a eu un entretien téléphonique avec king Salman hier, annonce SPA

Le Roi devrait adressé une lettre de remerciement aux autorités néo-zélandaises pour l'esprit de fraternité qu'ils ont démontrer, et vanter la solidité des valeurs de leur Nation, qui a donné l'exemple d'une Nation humaine. Une Société néo-zélandaise qui a donné des leçons à pleines de Nations qui arrivent pas à dépasser la gestion politicienne de l'islam pour des fins populistes électoralistes systématiques.

Il peut même adresser une lettre à l'Union européenne dans ce sens, et les inciter à faire sortir l'islam et les communautés musulmanes de la lutte politicienne.

+1

La visite du pape sera je l'espère donner l'occasion de revenir sur ce sujet et saluer l'exemplaritė du civisme/humanisme des néo zelandais.

Avec toutes ceq attaques mortelles de Daesh qui se répètent en Afrique de l'ouest (Burkina Faso, Nigeria, Tchad...), ne serait il pas judicieux de penser à donner une réponse régionale à ses problèmes ? Quelle est notre vision à ce qui se passe la bâ ? A t'on peur de marcher sur les pieds de la France et fausser ses plans à long terme (voir même les US prochainement) ? Est ce qu'on peut mériter une légitimité régionale si on arrive pas à sortir du carcan imposé par les plans d'autrui? Quelle est selon vous la formulation militaire adéquate à ses incursions éclaires de Daesh?...

AIT a écrit:

Avec toutes ceq attaques mortelles de Daesh qui se répètent en Afrique de l'ouest (Burkina Faso, Nigeria, Tchad...), ne serait il pas judicieux de penser à donner une réponse régionale à ses problèmes ? Quelle est notre vision à ce qui se passe la bâ ? A t'on peur de marcher sur les pieds de la France et fausser ses plans à long terme (voir même les US prochainement) ? Est ce qu'on peut mériter une légitimité régionale si on arrive pas à sortir du carcan imposé par les plans d'autrui? Quelle est selon vous la formulation militaire adéquate à ses incursions éclaires de Daesh?...

La France est débordée dans le Sahel. Ils devront inviter des acteurs régionaux prochainement.

Les difficultés françaises présumés, j'en entend parlé. Mais sincèrement j'ai pas une idée claire de ce qui se passe ou se planifie.

Cependant, j'ai remarqué que nous avons essayé d'intégrer le G5 Sahel via un lobbying français supposé, et ça n'a pas aller loin. D'ailleurs j'aimes pas cette idée d'être sous aile de quelqu'un, c'est mauvais pour notre légitimité à long terme.

Par contre, je constate qu'on est passif. Le fait d'instiguer une collaboration des pays de la CEDEAO, permettra de mettre le cadenas à la région face aux puissances internationales, on pourrait collaborer via des exercices avec qui on veut. Au lieu d'être en attente d'être pris par la main comme des enfants.

Il peut y'avoir de la formation des troupes, monter une coordination inter-armés, détaché des commandos parachutistes...

Vouloir intègrer la CEDEAO ça se mérite!

AIT a écrit:

Les difficultés françaises présumés, j'en entend parlé. Mais sincèrement j'ai pas une idée claire de ce qui se passe ou se planifie.

Cependant, j'ai remarqué que nous avons essayé d'intégrer le G5 Sahel via un lobbying français supposé, et ça n'a pas aller loin. D'ailleurs j'aimes pas cette idée d'être sous aile de quelqu'un, c'est mauvais pour notre légitimité à long terme.

Par contre, je constate qu'on est passif. Le fait d'instiguer une collaboration des pays de la CEDEAO, permettra de mettre le cadenas à la région face aux puissances internationales, on pourrait collaborer via des exercices avec qui on veut. Au lieu d'être en attente d'être pris par la main comme des enfants.

Il peut y'avoir de la formation des troupes, monter une coordination inter-armés, détaché des commandos parachutistes...

Vouloir intègrer la CEDEAO ça se mérite!

Concernant le déploiement de troupes, il me semble que cela nous coûtera de l'argent (logisitique plus particulièrement, il n'y a qu'à voir le coût pour l'Armée Française) d'autant plus que nous avons taillé nos acquisitions (je parle là en terme numérique) dans l'optique de la défense de notre territoire et non pas dans un objectif de projection. De plus, "s'engager" officiellement contre ces mvts ne fera que renforcer les menaces envers le Maroc comme il a été souligné auparavant sur le forum.

Cependant, nous pouvons imaginé une coopération des services de renseignements au G5 Sahel en soum... (si ce n'est pas ce qui se fait déjà).
Aussi je ne pense pas réellement que cela apportera un plus à notre intégration à la CEDEAO dont le processus semble aujourd'hui ralenti notamment à cause de la réticence du Sénégal qui a surement peur de la potentiel concurrence

Merci @daama94.

Je sais que ça coûtent beaucoup, d'ailleurs ça sert à rien militairement de vouloir éradiquer une menace invisible et éphémère et ne sera d'ailleues jamais éradiquer par la force. ( faut pas qu'un éléphant coure dérriére des petites guêpes sinon il s'effondra).

Cependant, ce que je propose n'a rien à voir avec éradiquer Daesh, mais tissé un travail de collaboration minutieux, et ainsi préparer quelques choses pour l'avenir. En fait, soit les pays de la CEDEAO se préparent pour être maitre d'eux mêmes, sinon la grosse cavalerie arrive, et beaucoup de division inter-États peut être provoqué afin de bloquer toute indépendance géostratégique ou ppur bloqué des grandes infrastructures....

Pour ce qui est du Sénégal, une fois l'offensive économique du Maroc dans les pays de la CEDEAO atteint une taille critique, le Sénégal va comprendre que c'est perdu et que vaut mieux en profiter que d'être exclus.

D'ailleurs, j'ai parlé de cette taille critique dans notre relation à l'Algérie, celle-ci nous bloque pour des raisons hégémoniques, mais une fois une taille atteinte dans notre réseau africain, Elle comprendra que c'est perdu d'avance, on peu même lui rendre coûteux de sauter nos barrières d'entrée sur beaucoup de marché.

Le Maroc est certainement dans les limbes en ce qui concerne notre stratégie de construction d'une zone de profondeur stratégique pour notre économie. Il nous faut le contrôle de l'ancienne route trans-saharienne. Or, pour l'instant, notre accession à la Cedeao est bloquée, nos échanges commerciaux avec ces pays ne progressent pas et (surtout) notre incapacité à protéger nos intérêts économiques dans la région montrent les limites de notre stratégie.

Sans une véritable capacité de projection militaire vers la région je ne vois pas comment nous pouvons nous prévaloir d'un leadership régional et assurer un marché captif permettant à nos entreprises d'atteindre la taille critique pour être compétitif avec les Chinois, les Turcs et autres

C'est normal que nos échange stagnent. L'endettement des pays africains à ses limites et une croissance qui arrive pas à décoller. Sans oublier qu'eux aussi veulent développer quelques choses localement.

Cependant, je proposes quelques idées farfelus (pourvu que y'a une bonne):
1) il faut faire comme les chinois (avec leurs émigrants en Europe qui ont contrôler les petits commerces et le gros) : envoyez des gens partout en afrique dénicher des petites opportunités d'affaires, et envoyez des citoyens marocains s'installer là bâ, afin de construire un "collier de perles" marocains, ces TPE vont importer des produits marocains, produire là bâ...c'est à travers les TPE qu'il faut commencer, nous avons un avantage concurrentiel sur ce domaine comparé aux puissances étrangères (fautes d'avoir une main d'œuvre économique et aventurière). En plus d'essayer de contrôler le commerce de petits grossistes et détails.

2) Essayez de mobiliser la Chine ou autres bailleurs de fonds pour des grands projets d'infrastructures inter-États, ce qui va accroître notre rôle régional.

3) les rencontres B to B, sont des rencontres formelles. Faut envoyer des prospecteurs d'affaires de la DGED avec une certaines idées sur des points précis à chercher, nous devons trouver des affaires, et essayer de contrôler petits à petits des points tactiques de la chaîne de valeur, ou des points géographiques.

4) Humainement : nous devons faire aimer le Maroc à la jeunesse africaine méritantes, et ceux via des vacances organiser l'été au Maroc pour les meilleures étudiants africains, et les faires distribuer sur tout le territoire marocain (comme fait l'Espagne avec les enfants du POLZ).

Pour ce qui est de la projection, je crois qu'il fait recruter nos amis Touaregs, pour monter des projets économiques en Afrique. Et leurs donner les moyens de se défendre chez eux, en leurs offrants (incognito) des stages de formation militaires au Maroc (classique, SOF, operations extérieures). Il fait aider ce peuple noble à tenir le coup, en attendant des jours meilleurs.
Les Touaregs sont nos frères amazighs lointains, mais pour moi, sont plus proche que l'égyptien, syriens ou autres.

La RAM avait raté son entrée en Afrique avec air Sénégal. Sans une compagnie aérienne forte et bien implanté, peu de chance de percer à l'est de l'afrique.la RAM n'à pas la taille critique. Nous n'avons pas de pavillon national en matière de marine marchande,. Et la sécurité de l'investissement c'est un truc qui doit marcher dans les 2 sens...la définition d'une stratégie régionale est difficilement entendable si elle ne repose pas sur une stratégie nationale et jusqu'a preuve du contraire, nous cherchons toujours. Je connais peu de pays ayant percé à l'extérieur sans un relèvement significatif de leur propre niveau de vie. L'absence d'un tissu de PME marocaine en afrique découle simplement de l'absence d'un tissu national digne de ce nom.