Armée Egyptienne/Egyptian Armed Forces

Bruce Wayne a écrit:

Oui Ssi Fahed  130M€ l'unité c'est plus qu'intéressant, avec les 200M€ de minutions je pense qu'il y'a du Meteor..

C'est une grosse armée de l'air et 130 millions par rafale ça doit être avec son entretient et plusieurs réacteurpourbetre opérationnel sur un période ! Bravo à l' Égypte. Su-35 Rafale Mig-29M2, c'est le top, il doivent remplacer les F-16 qui date des année 80 ou les modernisé.
Le plus bizarre c'est que Israël ne dit rien

eiffel65 a écrit:

C'est une grosse armée de l'air et 130 millions par rafale ça doit être avec son entretient et plusieurs réacteurpourbetre opérationnel sur un période ! Bravo à l' Égypte. Su-35 Rafale Mig-29M2, c'est le top, il doivent remplacer les F-16 qui date des année 80 ou les modernisé.
Le plus bizarre c'est que Israël ne dit rien

Technologiquement c'est pratiquement le jour et la nuit entre Tsahal et l'armée égyptienne.

Oui, ce sont des avions qui n'ont pas toutes les options.
Ce sont les accords signés avec israël qui empêchent l'Egypte de s'équiper de systêmes performant face à Israêl. Mais contre l'Ethiopie c'est suffisant

+ de 50 Rafale..bravo.
Il ne manque plus que nous..

BOUBOU a écrit:

Oui, ce sont des avions qui n'ont pas toutes les options.
Ce sont les accords signés avec israël qui empêchent l'Egypte de s'équiper de systêmes performant face à Israêl. Mais contre l'Ethiopie c'est suffisant

Ssi Boubou je pense que c'est valable que pour les avions US, les rafales égyptiens ont reçu des Scalp aussi.. en tout cas quoi qu'il en soit l'Egypte va s'affirmer comme la 1ere puissance militaire du continent..

https://twitter.com/mahmouedgamal44/status/1389555098372685826 a écrit:

Apparement la livraison se fera de 2024 à 2026.. ils seront équipés de meteor et mica NG

vous croyer que si le maroc achette le rafale , va recever avec toute option aussi ?

selon la page du porte parole de l'armée égyptienne sans préciser le montant du contrat le financement est a crédit sur 10 ans

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/egypte-un-contrat-rafale-peut-cacher-d-autres-commandes-satellite-espion-mrtt-884070.html a écrit:

En plus du contrat Rafale l'Egypte va acquérir 2 A330 MRTT et d'un satellite d'observation...

Avec ça ils auront enfin les capacité d'aller frapper L'Éthiopie

Citation :

L'avenir des forces spéciales égyptiennes


Depuis qu'Abdel Fattah al-Sissi a été nommé ministre de la Défense fin 2012, les forces spéciales de l'armée ont reçu un niveau d'attention assez unique parmi les forces armées et le grand public. Les visites personnelles de Sissi à leur siège au cours des sept dernières années ont reflété un changement majeur dans le prestige et le statut de ces unités d'élite. Des formations qui avaient été largement ignorées pendant le mandat du ministre de la Défense de longue date Mohamed Hussein al-Tantawi et de plusieurs de ses prédécesseurs figurent désormais en bonne place dans les communiqués de presse des forces armées, les séries télévisées sur le Ramadan et les exercices conjoints de haut niveau avec les partenaires étrangers de l'Égypte.

                               
                                         

“Special Forces’s performance in combat has often failed to live up to their carefully managed reputation. This is due to a history of neglect by the government & the military, which delayed modernization and let long-standing institutional inefficiencies fester.”

Leur statut et leur importance se sont également accrus parallèlement aux tentatives du gouvernement égyptien de réprimer une insurrection militante virulente dans la péninsule du Sinaï. Au fur et à mesure que le conflit se prolongeait, pratiquement toutes les unités des forces spéciales ont été déployées dans le Sinaï de façon permanente ou par rotation. Cependant, leurs performances au combat n'ont souvent pas été à la hauteur de leur réputation soigneusement gérée. Ce déficit peut être largement attribué à une histoire de négligence de la part du gouvernement et des forces armées, qui a retardé les tentatives de modernisation et permis à des inefficacités institutionnelles de longue date de s'aggraver.

Sans réforme organisationnelle et changement structurel, les équipes d'opérations spéciales égyptiennes non seulement continueront probablement leur histoire de piètres performances, mais veilleront également à ce que leur propre pertinence stratégique diminue à mesure que les défis de sécurité et la guerre contemporains continuent d'évoluer. Quant au gouvernement égyptien, l'absence de mesures correctives dans ce domaine les laissera avec des forces spécialisées inaptes, largement incapables d'accomplir les tâches qui leur sont prescrites et sujettes à des erreurs catastrophiques lors des opérations de combat. Cette question, associée à la volonté de plusieurs équipes d'opérations spéciales de prendre des mesures extrajudiciaires, peut causer des dommages importants à la réputation et prolonger ou aggraver d'une autre manière des situations de sécurité complexes telles que les contre-insurrections nationales, y compris dans le Sinaï.  


Insurrection du Sinaï
La guerre de l'armée égyptienne contre une insurrection militante dans le nord du Sinaï a été une lutte depuis son début fin 2012. Souffrant constamment de lourdes pertes et progressant lentement au cours des sept dernières années, l'armée a cherché à combler certaines des lacunes de ses et des forces polyvalentes de conscrits mal équipées qui étaient incapables de déraciner l'insurrection lors des premières offensives en introduisant des unités d'élite orientées vers les opérations spéciales et des forces spéciales.

Les résultats, cependant, depuis leur introduction en 2015, ont été décidément mitigés: les forces d'élite déployées n'ont, pour la plupart, pas surpassé de manière significative leurs homologues habituels dans le démantèlement de la province du Sinaï, affiliée à l'État islamique, et en ont souvent eu peu en termes. d'une capacité d'opérations spéciales indépendante ou crédible. En d'autres termes, ils étaient largement utilisés pour des missions typiques des formations d'infanterie moyennes.  

Selon des sources militaires étrangères impliquées dans la formation des forces spéciales égyptiennes, les forces égyptiennes sont confrontées à une série de problèmes: sélection et normes de formation laxistes, structures organisationnelles désuètes, ensembles de missions restrictifs, cultures d'entreprise problématiques, peu de capacités de soutien organique, et de mauvaises pratiques de gestion. En conséquence, les opérations spéciales de l'Égypte ont non seulement montré un grand degré de fragilité tactique dans le nord du Sinaï, mais se sont également révélées totalement mal préparées et inadaptées pour faire face aux défis de sécurité contemporains.

Plutôt que de compter sur de petits cadres d'opérations spéciales hautement qualifiés, mobiles et autosuffisants capables d'opérer de manière indépendante, l'armée égyptienne persiste avec un modèle daté de troupes de choc conscrites de masse augmentées par des unités de missions spéciales de niche qui dépendent presque entièrement du soutien de les militaires réguliers pour la majorité de leurs fonctions. Le manque d'unités de combat et de soutien des services habilitantes - des unités qui fournissent une gamme de capacités essentielles, y compris l'acquisition de renseignements, l'expertise en déminage, les communications militaires, l'appui-feu, la logistique et les moyens d'aviation - au sein de leurs structures de force les a laissées presque entièrement dépendantes des forces conventionnelles (qui sont souvent sous réserve de disponibilité, manquent de l'expertise nécessaire ou tardent à se mobiliser).

Par conséquent, les forces d'opérations spéciales du pays n'ont pas été en mesure de travailler en dehors des cadres militaires conventionnels ou au-delà de la compétence des commandements de combattants réguliers qui n'ont pas utilisé au maximum les moyens d'opérations spéciales dans les scénarios de contre-insurrection. Plutôt que de se concentrer sur des missions pertinentes pour leurs compétences spécialisées, telles que les raids d'action directe, la reconnaissance spéciale et la surveillance, ils ont été redevables au rythme opérationnel laborieux et à l'orientation désalignée des forces conventionnelles dans le nord du Sinaï. Ils agissent ainsi souvent comme infanterie d'élite dans les grandes offensives, menant des patrouilles simples, ou désignés comme forces de réaction rapide mécanisées, selon des sources sécuritaires familiarisées avec les opérations dans la zone et l'analyse des communiqués de presse par le ministère de la Défense.

En dehors du combat direct, les forces d'opérations spéciales de l'armée ont non seulement échoué à garantir un processus de responsabilisation pour corriger les échecs de la guerre contre les insurgés, mais ont également permis des manquements au leadership moral et à la discipline, y compris la participation à des crimes de guerre et des violations des droits contre des civils manifestants , pour rester impunis.


Comment est-ce qu'on est arrivés la?
La mauvaise performance des forces d'opérations spéciales dans le Sinaï, cependant, est principalement le reflet d'un malaise systémique et organisationnel plus large qui remonte à la fin de la guerre d'octobre 1973.

Créées dans les années 1950 et évoluant tout au long du conflit israélo-arabe, les unités d'opérations spéciales égyptiennes ont souvent été célébrées par les historiens comme faisant partie des meilleures troupes du Moyen-Orient. Un historique et des traditions uniques, allant des styles de marche distinctifs aux rituels d'entraînement, aux uniformes et à la nomenclature des unités, leur ont permis de générer un esprit de corps distinctif qu'une grande partie du monde arabe a tenté d'imiter au cours du XXe siècle et au-delà. Là où leur histoire de succès commence à s'estomper, cependant, c'est la fin des hostilités avec Israël voisin et l'émergence de menaces militantes pour lesquelles ces formations n'étaient pas particulièrement prêtes étant donné leur focalisation sur les opérations spéciales dans les conflits conventionnels. Après la guerre d'octobre,

Au cours de la période d'après-guerre, les forces spéciales égyptiennes n'ont mené que trois opérations remarquables, dont deux audacieuses mais ont finalement échoué à des raids antiterroristes de haut niveau. Le premier, et le seul succès, est survenu en 1976 lorsqu'un détachement incognito de soldats des forces spéciales a pris d'assaut un vol de passagers captif qui avait atterri à Louxor et capturé les coupables. La deuxième opération, qui a eu lieu deux ans plus tard et a été le début d'une série de calamités, était une tentative de raid à Entebbe -esque qui a laissé plus d'une douzaine de commandos et aviateurs morts par le biais de tirs amis.après l'échec du gouvernement égyptien et de la force de raid à assurer la liaison avec leurs partenaires chypriotes tout en poursuivant un avion de ligne détourné. La dernière opération, en 1985, impliquerait également un vol de passagers détourné, mais, dans ce cas, l'Unité 777, une force de sauvetage des otages spécialisée dans la lutte contre le terrorisme, bâclerait de manière catastrophique un assaut sur le tarmac entraînant la mort de 57 otages dans l'un des opérations les plus désastreuses de l’histoire des forces spéciales mondiales.

Naturellement mécontent, le président de l'époque, Hosni Moubarak, a supervisé le démantèlement temporaire de l'unité concernée, entamant un processus - coïncidant avec des changements dans la dynamique de sécurité du régime interne - qui marginaliserait effectivement les forces d'opérations spéciales de l'armée de la politique de sécurité nationale. Dans les années qui ont suivi, ces tenues ne deviendraient guère plus que des artistes de cirque glorifiés, défilées dans des spectacles militaires et seulement jamais déployées à titre symbolique dans les cas où elles ne constituaient pas une exigence essentielle, malgré de nombreuses possibilités de contre-insurrection et de contre-terrorisme dans le début des années 90 et mi-août à la fois à l'extérieur et à l'intérieur de l'Egypte. Par conséquent, les tentatives de promulguer une réforme interne ont été largement rejetées par les hauts gradés qui ne voyaient guère besoin de changement,


Où nous allons et chances de réforme
Alors qu'Anwar al-Sadat et Moubarak ont ​​supervisé l'éviscération et la stagnation des formations d'opérations spéciales, le gouvernement de Sissi a tenu à améliorer leurs capacités en réponse à la lutte du pays contre l'insurrection militante.

À cette fin, Sissi a ordonné à l'armée d' élargir les unités établies, d'en créer de nouvelles pour des tâches axées sur la lutte contre le terrorisme, de moderniser les infrastructures de formation, d'investir dans de nouveaux équipements et a personnellement poursuivile retour de la formation pratique occidentale qui avait pratiquement pris fin après le raid désastreux sur le vol 648 de l'unité 777. Cependant, nombre de ces changements ont renoncé à des réformes profondes et à la restructuration nécessaires à la création d'organisations de forces spéciales pertinentes et compétentes en faveur de améliorations progressives dans des domaines qui sont largement secondaires aux capacités et compétences globales: cela fait partie d'une tendance de longue date au sein de l'armée égyptienne qui poursuit une modernisation superficielle plutôt que de donner la priorité à la modernisation des réformes profondes ou structurelles qui peuvent potentiellement perturber la dynamique du pouvoir de commandement, les traditions du corps et les mythologies d'entreprise. Alors que le nouvel équipement et la formation par des partenaires internationaux peuvent avoir conduit à des améliorations marginales des performances,

Cela dit, les échecs des forces spéciales égyptiennes dans le Sinaï et l'existence d'une motivation pour s'attaquer à ce problème aux plus hauts niveaux du gouvernement et de l'armée égyptiens ont fourni une occasion rare et unique de corriger la situation. Le défi, cependant, est de diriger cette motivation de modernisation et de réforme vers la restructuration et le changement organisationnel nécessaires plutôt que l'acceptation de changements progressifs dans les zones superficielles alors que l'ouverture aux nouveaux concepts et aux conseils étrangers existe toujours.



Au cœur de toute proposition future doit être un mouvement vers un commandement d'opérations spéciales unifié ou conjoint qui regroupe les commandements d'opérations spéciales des composants existants et les unités des principales branches des forces armées égyptiennes. Cependant, plutôt que de chercher à imiter l'exemple des organisations d'opérations spéciales conjointes occidentales qui sont devenues des branches à part entière et qui dominent la manière dont ces pays répondent aux menaces de sécurité à travers le monde, la version de l'Égypte doit être construite autour du contexte spécifique du pays.

Un futur commandement d'opérations spéciales conjointes doit faire face à la fois à un budget limité et à une armée confrontée à des menaces conventionnelles et asymétriques, tout en offrant des options qui correspondent à la politique étrangère hautement sécurisée de l'Égypte. En tant que tel, il doit rester petit, modulaire et lié à des formations conventionnelles tout en privilégiant une forme hybride de spécialités d'opérations spéciales traditionnelles, qui comprennent les opérations de commando conventionnelles, la contre-insurrection et la défense interne étrangère. Le but est de remédier aux déficits bureaucratiques des organisations actuelles en créant des structures de commandement plates capables de résoudre les problèmes qui ont entravé les commandes d'opérations spéciales égyptiennes pendant des décennies,



 Sur un plan plus organisationnel, les forces d'opérations spéciales de l'armée égyptienne doivent être convaincues que les pratiques actuelles sont dépassées et largement contre-intuitives pour les opérations spéciales contemporaines. Cela comprend leur dépendance à des formations de conscrits mal formées produites en masse, l'entrée directe d'officiers inexpérimentés sans processus de sélection rigoureux et le manque de capacités de soutien habilitantes dans des domaines vitaux tels que le renseignement. La restructuration des forces d'opérations spéciales sous un commandement unique peut également fournir un mécanisme de normalisation des compétences, de l'équipement et des exigences de formation afin d'atténuer les problèmes actuels de variabilité de la qualité et des capacités des unités. Il est important de noter que la réforme dans ce domaine est réalisable sans modification radicale des unités existantes ni nécessité de créer des formations entièrement nouvelles, à l'exception peut-être d'une composante aéronautique, car l'armée de l'air égyptienne n'a pas encore développé sa propre capacité d'opérations spéciales. Les éléments d'un futur commandement d'opérations spéciales conjointes égyptiennes existent déjà, et pour certaines unités, comme les Thunderbolt Forces, la réforme les verrait s'inspirer des origines de leur United States Ranger Regiment et de leur propre histoire en tant que première force de raid de l'armée pendant la guerre. d'attrition.

À cette fin, l'armée égyptienne doit abandonner ses conceptions actuelles des opérations spéciales en tant que domaine de grands corps désagrégés de troupes de choc enrôlées augmentées d'unités de mission spéciales de niche et se tourner vers une structure conjointe plus moderne qui correspond aux exigences de la défis de sécurité et politique nationale. En même temps, ils devraient également chercher à remédier à des problèmes d' organisation de longue date par la professionnalisation de la force, l'introduction de nouvelles rigoureuseprogrammes de formation, l'expansion des écoles d'opérations spéciales, l'élargissement de la portée du mentorat étranger, la normalisation des besoins opérationnels et l'inclusion de capacités de soutien essentielles dans les structures de la force. Enfin, ces changements doivent s'accompagner de processus de responsabilisation qui garantissent que les carences ou échecs professionnels sont correctement traités et que les cas de faute, qui sont contre-productifs pour l'efficacité globale de la force et sapent la stratégie opérationnelle, sont convenablement sanctionnés.     

https://www.madamasr.com/en/2021/05/04/opinion/u/the-future-of-egyptian-special-forces/

Toujours le problème de la quantité plutôt que la qualité.

Anzarane a écrit:

Toujours le problème de la quantité plutôt que la qualité.

Bonsoir Anzarane,

J'irais plus loin en posent la question suivante, comment faire pour exploité pleinement le potentiel et les qualités particulières (souplesse, l’adaptabilité, autonomie de décision, initiative, etc...) de ces unités, quand dans le même temps, on sait qu'historiquement les régimes arabes et leurs états-majors (dans leurs grandes majorités) se méfient grandement des unités ou des hommes qui ferait preuve des qualités mentionné plus haut, leurs préférant des qualités plus… rigide !!!!!!!

Si cela se passe au sein d'unités dites "d'élite", cela laisse songeur quant aux réelles qualités opérationnelles des différentes branches l'armée égyptienne, et ce, malgré les importantes acquisitions réalisé ces derniers temps!!!!!

Effectivement une chaine de commandement rigide et plutôt un handicap malgré leurs récentes acquisitions. Et ça ne concerne pas seulement les unités spéciales.

C'est ce qui s'appelle du gaspillage et de la pollution..
Le pire ont leur livre des Rafales dégradé et ils en commande des autres..
C'est un régime et pays en carton..

https://breakingdefense.com/2021/05/egyptian-deal-for-rafale-fighters-boosts-data-sharing/ a écrit:

L'Egypte voudrait augment son nombre de Rafale entre 72 à 100 vecteurs (en fonction de leurs finances)... Ceci se fera une fois que le standard F4 sera au point..

Une flotte monstrueuse et surtout un moyen de lâcher les F16 bridé et autre Mig 29 .

A mon avis Ssi Fahed ca serait plus pour mettre à la poubelle les F-16 bridé , les Mig29 ils viennent de les prendre et ils ont l'air d'être satisfait et surtout ca leur permettre d'avoir avec les Su-35 un bon nombre de vecteurs non occidentaux...

Bruce Wayne a écrit:

A mon avis Ssi Fahed ca serait plus pour mettre à la poubelle les F-16 bridé , les Mig29 ils viennent de les prendre et ils ont l'air d'être satisfait et surtout ca leur permettre d'avoir avec les Su-35 un bon nombre de vecteurs non occidentaux...

Tu me diras les M2 sont supérieur à leur F16 et peuvent être envoyer taper l'Éthiopie

Fahed64 a écrit:

Une flotte monstrueuse et surtout un moyen de lâcher les F16 bridé et autre Mig 29 .

Je sais que leurs MICA est dégradé mais qu'en est-il de leurs autres équipements ?


par contre ils ont le scalp

Ils ont du scalp et du meteor quand il ont mis leur rafale au standard F3R Ssi Stinger, pour le dernier contrat (les 30) ils ont pris Mica NG mais rien n'indique qu'il aie pris du Meteor et pas de Scalp...
Le Scalp chez eux c'est black Shaheen il me semble

Bruce Wayne a écrit:

Ils ont du scalp et du meteor quand il ont mis leur rafale au standard F3R Ssi Stinger, pour le dernier contrat (les 30) ils ont pris Mica NG mais rien n'indique qu'il aie pris du Meteor et pas de Scalp...
Le Scalp chez eux c'est black Shaheen il me semble

Exact. Rien n'indique qu'ils ont eut du matériel downgradé. C'est plutôt un bon deal et un jolie gap technologique vu que la majorité de leurs flotte de F16 commence a accusé de l'age.

Anzarane a écrit:

Bruce Wayne a écrit:

Ils ont du scalp et du meteor quand il ont mis leur rafale au standard F3R Ssi Stinger, pour le dernier contrat (les 30) ils ont pris Mica NG mais rien n'indique qu'il aie pris du Meteor et pas de Scalp...
Le Scalp chez eux c'est black Shaheen il me semble

Exact. Rien n'indique qu'ils ont eut du matériel downgradé. C'est plutôt un bon deal et un jolie gap technologique vu que la majorité de leurs flotte de F16 commence a accusé de l'age.

Effectivement rien de certains même si j'ai eu quelque infos dessus notamment avec leurs MICA mais je peux pas en être certains si rien de downgradé bon deal un pas de géan par rapport à des f-16 complétement bridés

Citation :

Egypt receives Aster-30 missiles and Vulcano guided munitions for its FREMM frigates

Naval News May 2021 Navy Forces Maritime Defense Industry

POSTED ON MONDAY, 24 MAY 2021 19:39

 
According to a Tweet published by Mahmoud Gamal, Egypt has received ASTER-30 vertically launched surface-to-air missiles and Vulcano
precision-guided, gun-launched munitions as part of the equipment delivered with the two Egyptian Navy FREMM Bergamini-class frigates.


Egyptian Navy BERNEES (FFG 1003) FREMM frigate (Picture source C4 Defence)

The Egyptian Navy has acquired two Bergamini-class frigates built by Fincantieri for the Italian Navy. In 2020 Italy has sold these vessels to Egypt, which were in the production line. The deal also involved other military equipment and was worth 1.2 billion Euros.

The Bergamini-class was developed under the FREMM multipurpose frigate program. The management of the development, production and initial In-Service Support phases of this important naval Programme was assigned to OCCAR (European Organisation for Joint Armament Cooperation) in 2005. The FREMM program consists of the construction of 18 ships including 8 for France and 10 for Italy.

The first ship, Al Galala (FFG 1002) frigate reached the Egyptian Navy base in Alexandria on 30 December 2020. The second Italian-built Bergamini-class FREMM frigate procured by Egypt has joined the Egyptian navy in April 2021. Formerly known as Emilio Bianchi, the frigate was renamed Bernees (FFG 1003).

The two FREMM frigates for the Egyptian Navy is armed with 16-cell MBDA SYLVER A50 VLS for 16 MBDA Aster 15 and 30 surface-to-air missiles, one Leonardo Otobreda 127/64 Vulcano, one Leonardo OTO Melara 76/62 mm Davide/Strales CIWS gun, two Leonardo Oto Melara/Oerlikon KBA 25/80 mm remote weapon systems, eight MBDA Teseo\Otomat Mk-2/A anti-ship and land-attack missiles, two triple Leonardo (WASS) B-515/3 launcher for MU 90 torpedoes, two Leonardo ODLS-20 (Oto Melara Decoy Launching System) and two SITEP MASS CS-424 acoustic guns.

The 127/64 LW - VULCANO is a state of art medium caliber gun produced by the Italian company Leonardo. The gun can be mounted on large and medium-size ships and intended for surface fire and naval gunfire support as the main role and anti-aircraft fire as secondary role. The gun can fire all standard 127 mm (5 inches) ammunition including Vulcano long-range guided ammunition. The VULCANO is a family of unguided (BER) and guided (GLR) ammunition for the 76mm, 127mm naval guns, and 155mm land artillery systems.

The VULCANO 127mm ammunition is conceived to give the 127/54 C and the OTO 127/64 LW Leonardo Defence Systems Naval Guns the capability to meet any present and future requirement for Precision Naval Fire Support and Long Range engagement of Surface Targets. This ammunition maintains the anti-air role as well.

The Aster-30 vertically launched surface-to-air missiles produced by the company MBDA. The missile is designed to intercept and destroy a wide range of air threats, such as supersonic anti-ship cruise missiles at very low altitude (Sea-skimming) and fast-flying, high-performance aircraft or missiles. The missile has a range from 3 to 120 km and can fly at an altitude from 0 to 20 km.        

https://www.navyrecognition.com/index.php/naval-news/naval-news-archive/2021/may/10191-egypt-receives-aster-30-missiles-and-vulcano-guided-munitions-for-its-fremm-frigates.html  

https://www.defenseworld.net/news/29679/Egyptian_FREMM_Frigates_to_Get_Aster_30_Missiles__Vulcano_Munitions#.YLE8cC17SuU a écrit:

L'Egypte a reçu des Aster 30 ainsi que les vulcano pour sa FREMM Bergamini..