Le seul et l'unique responsable de la situation c'est le pouvoir algérien. Le Roi depuis 1999, a fait ce qu'il a pu pour faire le Maghreb Uni et aller vers un partenariat gagnant-gagnant. Un Maghreb Uni aurait été acceptable pour les Européens et il n'y aurait pas de problème. Mais le pouvoir d'Alger voulait une relation gagnant-perdant. Ou ils seraient la puissance régionale avec un baril a 100 dollars. Or la roue a tourné et les prix diviser par deux. Leur modèle économique ne tient plus et ils s'enfonce dans la crise. Les Européens qui veulent a defaut d'un Maghreb Uni, un Maghreb Équilibré voit justement une rupture avec la crise en Tunisie, l'effondrement de la Libye et la crise en Algérie. Comme c'est compliqué d'aider ces pays a se relever et bien il décide de ralentir le Maroc. Comme le Maroc voit qu' il ne peut plus compter sur les européens. Il s'est donc tourné vers les USA ( et Israël) et les pays du Golfe.
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ZATOICHI.., Northrop, Voldenuit, VANDENBERGHE_K-24, Fwedi34, Bruce Wayne, ALMERIA et aiment ce message
Le message c'est que vous pouvez vous taper sur la gueule du moment que vous envoyez pas les migrants, on devrait sérieusement se préparer à leurs donner une raclée.
Fox-One General de Division
messages : 8005 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Franchement cela change rien car à part faire du bruit sur ce sujet leur gouvernement ni gagne rien et nous aussi ces toujours la même choses depuis des années quand tu sais que t’on voisin serait près à tout pour te nuire vaudrait mieux l’ignorer et avancer sur notre chemin sans embêter personnes comme on l’a fait depuis ses dernières années
Moi j'ai compris que ce serait les chevauchements entre nos 2 ZEE Ssi Fahed : ''comme les Zones de Développement Conjoint — qui permettent de transformer les chevauchements en opportunités de coopération plutôt qu’en source de conflit, sans préjuger des solutions juridiques sur le fond des prétentions respectives.''...Je suis persuadé que si y'a une co-exploitation c'est que de notre côté on a obtenu quelque chose des espagnols donc ca peut-être ceci le contenu de l'étape inédite entre nos 2 pays dont a parlé SM
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.
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Khalid sergent chef
messages : 288 Inscrit le : 22/11/2020 Localisation : France Nationalité :
"C’est aussi en tenant compte de cette perspective que 23 pays ont décidé d’ouvrir des Consulats généraux à Laâyoune et Dakhla, et bien d’autres le feront dans les prochains mois."
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VANDENBERGHE_K-24 sergent chef
messages : 251 Inscrit le : 17/11/2020 Localisation : PARIS Nationalité :
Cette rupture unilatérale des relations diplomatiques avec le Rpyaume est extremement positive. Cette nouvelle est répercutée dans les médias internationaux et le monde entier constate que le régime dz va jusqu"a la rupture ,qui n'est pas un acte anodin, en s'appuyant sur des accusations d'un ridicule extreme et expriméés avec un language des années 60/70. Si certains se faisaient encore des illusions sur la crédibilité de ce régime, ces cernieres ont volé en eclat. En plus isrel se retrouve partie prenante dans ces derniers developpement et ca c'est tres bon pour nous.
Fahed64 Administrateur
messages : 25526 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Moi j'ai compris que ce serait les chevauchements entre nos 2 ZEE Ssi Fahed : ''comme les Zones de Développement Conjoint — qui permettent de transformer les chevauchements en opportunités de coopération plutôt qu’en source de conflit, sans préjuger des solutions juridiques sur le fond des prétentions respectives.''...Je suis persuadé que si y'a une co-exploitation c'est que de notre côté on a obtenu quelque chose des espagnols donc ca peut-être ceci le contenu de l'étape inédite entre nos 2 pays dont a parlé SM
Très très importante cette phrase!! Ce a veut dire que l'accord prendra en compte le droit de la mer. C'est à dire, que la co-exploitation que proposerait le Maroc ne lui serait pas préjudiciable à l'avenir. Ce qui barrera la route aux espagnoles pour ne jamais exploiter cette co-exploitation pour une reconnaissance de facto.
_________________ "C'est un plaisir de faire sauter l'ingénieur avec son propre pétard". William Shakespeare ; Hamlet (1603)
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simplet General de Brigade
messages : 3183 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Débat France 24, le journaliste algérien "indépendant" magique ! Le mec découle la logorrhée et remarquez le temps de parole "équitable" qu'on lui offre
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
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@Winners Commandant
messages : 1006 Inscrit le : 22/03/2014 Localisation : Rabat Nationalité : Médailles de mérite :
L’ambassadeur du maroc a refusé de se présenter au bureau de Lahmamra, il quittera la capitale de la poubelle dans quelques jours.
J’ai toujours essayé de comprendre comment ces êtres fonctionnent, j’ai fini par abandonné. Ils rompent les relations avec toi, puis convoquent ton ambassadeur.
Ils ont besoin d’une tutelle
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ralek1 Colonel-Major
messages : 2062 Inscrit le : 27/04/2016 Localisation : Lyon Nationalité : Médailles de mérite :
Quand les français font un peu d'effort et mettent la mauvaise foi de côté
Citation :
Que cache la décision de l’Algérie de rompre ses relations diplomatiques avec le Maroc ?
L’Algérie a annoncé mardi la rupture des relations diplomatiques avec le Maroc voisin, accusant le royaume « d’actions hostiles » à l’égard d’Alger.
Rien ne va plus entre l’Algérie et le Maroc. Lundi, Alger a annoncé, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra, mettre fin à toute relation diplomatique avec le royaume chérifien. « L’histoire a montré que le royaume du Maroc n’a jamais cessé de mener des actions hostiles à l’encontre de l’Algérie », a-t-il expliqué.
Un vent froid soufflait depuis plusieurs mois entre les deux frères du Maghreb aux relations traditionnellement difficiles depuis des décennies sur fond de conflit sur le Sahara occidental. Les raisons de cette mauvaise humeur algérienne sont multiples. Une série d’épisodes récents ont conduit aujourd’hui à cette rupture.
Alger dénonce le soutien de Rabat aux organisations indépendantistes de Kabylie (région berbérophone au nord du pays, à l’est d’Alger). Les autorités algériennes accusent le Maroc de les avoir encouragés à réclamer leur droit à l’autodétermination. Durant une réunion virtuelle des pays non-alignés qui a eu lieu à New York les 13 et 14 juillet, l’ambassadeur du Maroc auprès de l’ONU a soumis aux pays membres une note dans laquelle il a estimé que le peuple kabyle en Algérie mérite « plus que tout autre de jouir pleinement de son droit à l’autodétermination ».
Une déclaration qui n’a pas été du goût du pouvoir algérien. Alger avait alors décidé de rappeler en consultation son ambassadeur à Rabat. Les autorités algériennes ont également accusé, sans preuves, Rabat d’avoir aidé deux organisations, le Mak (Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie) et le mouvement islamiste Rachad, – classées comme terroristes par le pouvoir algérien – mis en cause, là aussi sans preuves, d’être impliquées dans les incendies meurtriers qui ont ravagé le nord du pays au début du mois d’août, faisant plus de 90 morts.
Aussi, Alger a très mal pris les propos du chef de la diplomatie israélienne Yaïr Lapid qui a exprimé, lors d’une visite officielle le 12 août à Casablanca, ses « inquiétudes au sujet du rôle joué par l’Algérie dans la région, son rapprochement avec l’Iran et la campagne qu’elle a menée contre l’admission d’Israël en tant que membre observateur de l’Union africaine (UA) ». Le ministre algérien des Affaires étrangères a accusé la diplomatie marocaine d’être l’instigatrice de ces propos « injustifiables ».
Enfin, les révélations du consortium Forbidden Stories et Amnesty International selon lesquelles le Maroc aurait eu recours au logiciel israélien Pegasus pour espionner des responsables et des citoyens algériens ont contribué à exacerber le ressentiment d’Alger.
Sahara occidental
Mais les raisons de cette tension sont bien plus profondes et remonte à 1963, au début des indépendances des deux pays, lors de la « guerre des Sables » à propos du tracé des frontières et qui a laissé des traces. Lorsque l’Espagne, qui colonisait le Maroc a quitté le pays, Rabat a réclamé la partie du Sahara occidental qui faisait partie du royaume chérifien sous plusieurs dynasties. L’Algérie de son côté a soutenu le mouvement du Front polisario sahraoui qui revendiquait l’indépendance du Sahara occidentale. Le 7 mars 1976, le Maroc a rompu ses relations diplomatiques avec l’Algérie après la reconnaissance par Alger de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), autoproclamée par le Front polisario.
Aujourd’hui Rabat, qui contrôle près de 80 % de ce vaste territoire désertique (le reste étant contrôlé par le Front polisario), riche en phosphates et avec de fortes ressources maritimes (pêche), propose un plan d’autonomie sous sa souveraineté. Le Polisario continue de réclamer, avec l’appui de l’Algérie, la tenue d’un référendum prévu par l’ONU au moment de la signature d’un cessez-le-feu entre les belligérants en 1991. Toutes les tentatives de règlement du conflit ont jusqu’à présent échoué. L’ONU considère le Sahara occidental comme un « territoire non autonome » en l’absence d’un règlement définitif.
La normalisation des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël en décembre 2020, en contrepartie d’une reconnaissance américaine par l’administration Trump de la « souveraineté » marocaine sur le Sahara occidental, a remis de l’huile sur le feu et ravivé les tensions avec l’Algérie, qui a dénoncé des « manœuvres étrangères » visant à la déstabiliser.
Depuis, les offensives diplomatiques des deux côtés de la frontière n’ont pas cessé, le dialogue de sourd à perdurer jusqu’à culminer avec cette décision algérienne de rompre les relations.
Hirak[/color]
S’il s’agit d’un conflit ancien entre les deux pays, il ne faut pas oublier que l’Algérie connaît une forte contestation sociale. Si la pandémie de Covid-19 a donné un coup de frein aux manifestations hebdomadaires du Hirak (mouvement populaire) initiées en février 2019, la situation politique n’en est pas moins instable. Le pouvoir algérien n’a eu de cesse depuis le début du mouvement populaire d’accuser les militants et manifestants kabyles d’« atteinte à l’unité nationale » et de les poursuivre en justice parfois pour avoir simplement brandi le drapeau amazigh (berbère).
La Kabylie est la région où le Hirak a été le plus suivi. Dans ce contexte, les organisations indépendantistes (mais qui n’ont aucun poids sur la scène politique), comme le MAK, font figure de coupable idéal, d’ennemi de l’intérieur pour détourner l’attention des vrais problèmes. C’est ainsi que le pouvoir algérien a accusé ces organisations d’être à l’origine des incendies de cet été. Dans ce contexte, le Maroc, l’ennemi juré, a été accusé d’être le financeur extérieur, celui qui tire les ficelles contre l’Etat algérien.
Interrogé par TV5 Monde, Rachid Ouaissa, politologue et professeur en sciences politiques à l’université de Marburg, en Allemagne analyse : « Il est difficile de se prononcer sur une possible accointance du royaume marocain avec le milieu indépendantiste kabyle. Pour le MAK, ça ne serait pas judicieux de faire appel à un ennemi du pays […]. Il y a des relations très intenses entre les mouvements culturels berbères algérien et marocain mais plutôt dans le sens d’une amazighité de l’Afrique du Nord. » Il ajoute : « Le pouvoir algérien a besoin d’un ennemi interne et externe, comme le Maroc d’ailleurs. »
Géopolitique
Enfin, cet épisode diplomatique doit se lire à travers la grille géopolitique de la région. Les deux pays sont dans une lutte d’influence sur la scène internationale et pour le leadership régional. L’élection du président Tebboune a permis un retour de la diplomatie algérienne. Cela a impliqué la volonté d’Alger de reprendre sa place sur certains dossiers sur le continent, en Libye et au Mali notamment. « On a une course entre les deux pays pour savoir qui sera le porte-parole de l’Afrique du Nord », estime encore Rachid Ouaissa.
Quant à savoir si cette rupture diplomatique pourrait déboucher sur un conflit plus dur, Brahim Oumansour, chercheur associé à l’Iris, n’y croit pas :
« Ces “chamailleries” diplomatiques ne reflètent pas forcément la réalité des relations entre les deux États. Ces relations sont très solides. On est très loin des relations diplomatiques entre l’Iran et l’Arabie saoudite et d’autres pays. Il faut souligner la coopération au niveau sécuritaire, sur la question migratoire, deux dossiers sur lesquels les deux pays coopèrent étroitement. Il y a par exemple une convergence des points de vue sur la crise libyenne. »
Franchement cela change rien car à part faire du bruit sur ce sujet leur gouvernement ni gagne rien et nous aussi ces toujours la même choses depuis des années quand tu sais que t’on voisin serait près à tout pour te nuire vaudrait mieux l’ignorer et avancer sur notre chemin sans embêter personnes comme on l’a fait depuis ses dernières années
orthographe?
ralek1 Colonel-Major
messages : 2062 Inscrit le : 27/04/2016 Localisation : Lyon Nationalité : Médailles de mérite :
Libye. Nasser Bourita répond à l’initiative de l’Algérie [Vidéo]
Lors de la réception du vice-président du conseil de la présidence libyenne, Abdullah Al-Lafi, le ministre des Affaires étrangères a adressé une réponse indirecte à l’Algérie.
Lors de la conférence de presse ayant suivi l’entretien bilatéral, Nasser Bourita a souligné que « Le Maroc accompagne les efforts libyens dans le but de trouver des solutions et il a la sincère intention et les claires instructions de S.M. le Roi d’ouvrir la voie au dialogue et au consensus pour permettre aux Libyens de surmonter leurs obstacles ».
Le ministre a ajouté que « le Royaume est proche de la question libyenne sans pour autant avoir d’intérêts étroits relatifs à la proximité géographique. Il veille également à ne pas souiller son rôle dans le dossier libyen. Nous allons demeurer à vos côtés et soutenir vos efforts et les efforts de la communauté internationale sans intervenir et sans agendas marocains dans le dossier libyen hormis votre paix et stabilité parce que cela est important pour la région du Maghreb au vu des défis auxquels elle fait face ».
Sans la nommer, Nasser Bourita adresse donc une réponse à l’Algérie qui accueillera, les 30 et 31 août, une réunion des ministres des affaires étrangères de la Libye, de l’Égypte, de la Tunisie, du Soudan, du Tchad et du Niger pour soutenir les élections en Libye et les efforts visant à arrêter la propagation de la violence émanant du sud du pays. Une réunion auquel le Maroc n’a pas été convié alors qu’il est l’artisan de la réconciliation inter-libyenne via l’accord de paix de Skhirate.
Pour sa part, Abdullah Al-Lafi a rappelé lors de cette conférence de presse « le rôle positif du forum économique Libye-Maroc dans le renforcement des relations bilatérales. Nous avons également discuté de l’importance du comité consulaire maroco-libyen pour faciliter la délivrance des visas et le suivi des vols ».