Le seul et l'unique responsable de la situation c'est le pouvoir algérien. Le Roi depuis 1999, a fait ce qu'il a pu pour faire le Maghreb Uni et aller vers un partenariat gagnant-gagnant. Un Maghreb Uni aurait été acceptable pour les Européens et il n'y aurait pas de problème. Mais le pouvoir d'Alger voulait une relation gagnant-perdant. Ou ils seraient la puissance régionale avec un baril a 100 dollars. Or la roue a tourné et les prix diviser par deux. Leur modèle économique ne tient plus et ils s'enfonce dans la crise. Les Européens qui veulent a defaut d'un Maghreb Uni, un Maghreb Équilibré voit justement une rupture avec la crise en Tunisie, l'effondrement de la Libye et la crise en Algérie. Comme c'est compliqué d'aider ces pays a se relever et bien il décide de ralentir le Maroc. Comme le Maroc voit qu' il ne peut plus compter sur les européens. Il s'est donc tourné vers les USA ( et Israël) et les pays du Golfe.
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ZATOICHI.., Northrop, Voldenuit, VANDENBERGHE_K-24, Fwedi34, Bruce Wayne, ALMERIA et aiment ce message
Le Maroc et l’Allemagne semblent accorder leurs violons au moins sur un point : de part et d’autre, la pente reste toujours glissante. Lors d’une réunion avec les parlementaires des deux chambres (représentants et conseillers) le 9 novembre, sanctionnée par deux comptes-rendus distincts, le ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita a estimé que les relations entre les deux pays devaient être fondées sur “la clarté et la réciprocité”. Le ministre des Affaires étrangères a ainsi argumenté que davantage d’efforts devaient être fournis, condition sine qua non pour rétablir la relation, gelée depuis plusieurs mois. “Il n’y a pratiquement plus de communication, et l’ambassadeur d’Allemagne proposé attend depuis cinq mois l’agrément des autorités marocaines”, mettait en avant, début novembre, le vice-ministre aux Affaires étrangères allemand Niels Annen. Le numéro deux de la diplomatie allemande avait alors déploré une “approche inhabituelle entre des pays amis”. Réduction de voilure Entre le Maroc et la première puissance économique européenne, les relations sont toujours dans le brouillard, officiellement depuis maintenant neuf mois, mais en sous-main depuis plus longtemps encore. À tel point que même les acteurs de coopération allemande dans le royaume restent sans nouvelles. L’agence de coopération allemande, la GIZ, prévoit une réduction de ses effectifs de l’ordre de 30 à 40 % Leurs projets avec les partenaires publics marocains sont, pour la grande majorité, gelés depuis la fuite, au printemps dernier, d’une lettre de la diplomatie ordonnant aux départements d’État la suspension de tout “contact, interaction ou action de coopération” avec les autorités et les fondations politiques allemandes. D’après nos informations, l’agence de coopération allemande, la GIZ, prévoit une réduction de ses effectifs de l’ordre de 30 à 40 %. Une réduction de voilure qui a poussé l’institution a suggérer à plusieurs employés, dès le mois d’octobre, de trouver de nouvelles opportunités ailleurs. Mais ces prochains jours pourraient s’avérer cruciaux. Dans la soirée du mardi 7 décembre, l’ambassade d’Allemagne à Rabat a publié un communiqué concis affirmant que le royaume restait “un partenaire central de l’Allemagne”. À la veille de la fin des années Merkel et de l’élection officielle de son successeur, le social-démocrate Olaf Scholz, la représentation diplomatique au Maroc se fait l’écho d’une Allemagne “prête à un partenariat qui attend l’avenir sur un pied d’égalité”. Les propos du ministre marocain semblent avoir été pris au vol. D’après nos informations, de nouveaux développements, cette fois émanant de Berlin, sont attendus pour ces prochaines heures. La communication allemande vient surtout clarifier des “fausses informations”, “sans fondements” en guise de derniers développements qui, “ces derniers jours comme par le passé”, ont parasité le canal entre les deux pays. C’est que la crispation est montée d’un cran avec la fuite, sur les réseaux sociaux et diffusés dans des médias marocains, d’éléments présumés et attribués à un nouveau rapport du Service fédéral de renseignement extérieur allemand (BND). Ils feraient part, entre autres, d’une analogie faisant du Maroc “une Turquie de Méditerranée occidentale” et une menace pour les intérêts allemands, notamment à l’aune de son rapprochement avec Israël. Un écrit imputé à Isabelle Werenfels, politologue allemande et spécialiste du Maghreb, dont l’analyse avait déjà mis de l’eau dans le gaz des relations. Des acteurs non étatiques au coeur de la brouille La chercheuse avait rédigé une note pour le Stiftung Wissenschaft und Politik (Institut allemand des affaires internationales et de sécurité, SWP), au cœur de la crise. Fuitée fin juillet dernier, cette note a été mise en ligne par ce think tank connu au pays des Länder pour conseiller et orienter le Bundestag, le Parlement de la République fédérale. “L’Allemagne ne tient pas volontairement une ligne hostile au Maroc” Jugé partial et à charge contre le royaume, il avait été perçu comme une volonté de freiner les “ambitions d’hégémonie” du royaume, notamment son développement économique, qui entraverait le progrès des voisins algérien et tunisien. L’analyse a irrité, au point que Mohammed VI en a fait mention dans son discours du 20 août traçant les contours de la nouvelle doctrine marocaine. Le roi avait pointé, sans nommer qui que ce soit, des rapports ayant “franchi toutes les limites de l’acceptable”. La participation d’autres acteurs non étatiques a pu contribuer à brouiller la relation entre les deux pays. “L’Allemagne ne tient pas volontairement une ligne hostile au Maroc”, tempère un proche de Bruxelles qui voit une “incompréhension de part et d’autre sur les fondamentaux des deux pays” comme raison de la brouille. Entre Rabat et Berlin, le sentiment d’amitié célébré pour la dernière fois fin 2018 à l’occasion de la co-présidence du Pacte mondial pour la migration, s’est progressivement dégradé à la faveur d’un gel des relations. Au printemps dernier, Rabat décidait de “suspendre tout contact” avec l’ambassade d’Allemagne au royaume, en raison de “malentendus profonds” entretenus avec Berlin sur “plusieurs dossiers” cruciaux. Le premier acte avant de rappeler “pour consultation”, son ambassadrice Lalla Zohour Alaoui le 6 mai. Une procédure diplomatique considérée comme forte, que Rabat met sur le dos de l’attitude “négative” de la République fédérale d’Allemagne, notamment sur le Sahara. Au lendemain de la reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara, le 10 décembre 2020, l’Allemagne s’illustrait en premier en demandant une réunion d’urgence du Conseil de sécurité. Une décision qui, pour le représentant permanent à l’ONU allemand, allait à contresens du “droit international”. Dans la liste des griefs, Rabat listait aussi plusieurs “actes hostiles” et “attentatoires” de l’Allemagne à l’encontre des “intérêts supérieurs du royaume”. Ceux-ci allaient de la “complicité allemande” dans l’affaire Mohamed Hajib à la position d’“adversité constante”, aux yeux de la diplomatie chérifienne, déployée pour combattre le rôle régional du Maroc, notamment sur le dossier libyen. Sahara et énergie renouvelable au feu rouge ? Désormais, Berlin est à l’aube d’entamer une nouvelle mue sur la scène internationale. Le pays vient de tourner la page de seize années de mandat de l’emblématique chancelière Angela Merkel à la faveur d’une nouvelle coalition “tricolore” composée des sociodémocrates (SPD), des Verts et des libéraux (FDP). De quoi augurer un changement de posture vis-à-vis du Maroc ? Du moins pas sur le Sahara où la question pourrait bien rester au feu rouge. “Historiquement chez les Allemands, la question du droit international n’a pas de couleur, soulève Mohamed Badine El Yattioui, professeur de relations internationales à l’Université américaine de Dubaï. Aussi bien chez les sociodémocrates qui viennent de gagner les élections que les démocrates-chrétiens auparavant, il y a comme constance cette vision que le droit international doit prévaloir.” “Si l’Allemagne veut engager un dialogue sur les questions de migration, elle devra éviter l’hypocrisie” Institut allemand de développement Annalena Baerbock, la co-dirigeante des Verts qui décroche le ministère des Affaires étrangères, a aussi promis de remettre les droits humains au centre de la diplomatie allemande. Négocié pendant près de deux mois, le contrat de coalition ne fait aucune mention du Maroc. Cependant, le document fait part des intentions du prochain gouvernement de nommer un représentant spécial pour négocier des accords de réadmission avec les pays d’origine de nombreux réfugiés, tels que les États du Maghreb. “Si l’Allemagne veut engager un dialogue sur les questions de migration, elle devra éviter l’hypocrisie”, alertait une note d’analyse publiée le 22 novembre par l’Institut allemand de développement (Deutsches Institut für Entwicklungspolitik, DIE). Ce think tank appelait à ce que la coopération avec les pays d’Afrique du Nord, le Maroc et la Tunisie surtout, reste “une priorité importante” du prochain gouvernement. Le royaume y est présenté comme un pays “de confiance” et dont le Nouveau modèle de développement (NMD) “offre de nombreux points de départ de coopération”. “Les deux gouvernements devraient être conscients des avantages communs de la coopération dans ces domaines et de la poursuite des projets existants sur la politique climatique, l’énergie solaire et éolienne et la production d’hydrogène”, jugent les chercheurs, pour qui les relations pourraient bientôt “développer à nouveau leur plein potentiel”. Un partenariat qui aurait pu prendre d’autant plus d’ampleur que la GIZ avait travaillé avec le ministère de la Transition énergétique sur le développement d’une industrie et la production d’hydrogène vert. L’agence allemande disposerait toujours de locaux au ministère, mais le royaume a fini par étoffer le programme qu’il a décliné en stratégie, fin août. Celle-ci prévoit notamment de “favoriser la recherche conjointe et la coopération internationale” sur ce type d’énergie, et la production dʼautres produits verts de type “Power-to-X”. Le Maroc, par la voix de Leila Benali, sa ministre de la Transition écologique, appelait justement récemment à une sortie du charbon conditionnée à “un soutien et des partenariats internationaux forts”. Locomotive de l’Union européenne, l’Allemagne présente également, pour Mohamed Badine El Yattioui, une “diplomatie économique basée sur une économie forte”. Et d’ajouter : “Il y a une vraie question qui se pose pour l’économie marocaine : quels autres partenaires peuvent se substituer aux Allemands sur ce type de projets, voire sur les nouvelles technologies ?
De quel gouvernement fédéral parle-t-il?, parce que le nouveau n a pas pris encore ses fonctions.Et que vient faire Israel dans la relation diplomatique avec le Maroc.
ils oublient qu'on a une excellente mémoire ici au Maroc et une intelligence particulière contrairement à ceux à qu'ils ont l'habitude refourguer quelques Boxer ou meko
<Le sixième Forum de coopération russo-arabe s’ouvrira le 15 décembre prochain à Marrakech en présence de Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères. Dans le cadre d’une tournée qui le mènera d’abord en Israël, en Palestine puis en Algérie, le chef de la diplomatie russe devrait s’arrêter au Maroc le 14 décembre courant comme dernière étape de sa série de visites de travail au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Retour sur les enjeux de cet événement avec Emmanuel Dupuy, président de l’Institut de prospective et de sécurité en Europe (IPSE). TelQuel : Marrakech accueille la semaine prochaine le sommet russo-arabe, Alger un sommet arabe en mars 2022. Quelle est la marge de manœuvre de Moscou dans le renforcement de ses relations avec les États arabes ? Emmanuel Dupuy : Souvent cataloguée comme son premier fournisseur d’armes, la Russie veut montrer qu’elle n’est pas l’amie exclusive de l’Algérie. Pour Moscou, la position du Maroc sur certains dossiers importe aussi, j’en veux pour première preuve le contrat portant sur la soixantaine de chars T-72 que la Russie avait proposé au Maroc. Cela fait aussi comprendre que la Russie a besoin de montrer qu’elle n’est pas dans l’exclusivité d’une relation qui la singulariserait comme étant la seule amie de l’Algérie ou comme ayant pour seule amie l’Algérie dans la région.
D’un autre côté, le dernier sommet de la Ligue arabe a montré que les positions des pays membres étaient hostiles au principal allié de la Russie, à savoir la Syrie, qui en a été exclue en 2011. Évidemment, les pays qui sont en train de se rabibocher avec la Syrie, comme les Émirats arabes unis ou encore le Maroc, tous ceux qui, comme la Russie, estiment qu’il faut aller vers une normalisation, sont d’une certaine façon des alliés objectifs de la Russie sur le dossier syrien. On peut dire la même chose sur le dossier libyen. Il y a une position, de la part du Maroc, beaucoup plus équilibrée vis-à-vis des acteurs libyens que ne l’est celle de l’Algérie qui a pour principale hostilité le maréchal Khalifa Haftar, soutenu par la Russie. Par ailleurs, la Russie va aussi organiser son sommet avec l’Afrique en novembre 2022 à Dakar. C’est aussi pour Moscou une occasion de montrer que la Russafrique ne se limite pas à la seule Afrique de l’Ouest. Pour elle, l’Afrique est plurielle, et le Maroc représente une de ses grandes dynamiques. Rabat comme Moscou savent donc tirer parti de leur rapprochement avec ce sommet ? Il faut noter qu’il y a un rapprochement singulier de la part des États-Unis avec le Maroc avec la reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara dans le cadre de l’accord tripartite. Celui-ci a conduit aussi à un rapprochement entre le Maroc et Israël, ce que la Russie regarde avec beaucoup d’intérêt — au sens littéral du terme — et de vigilance. Il y a toujours l’idée selon laquelle la Russie ne peut pas être perçue seulement comme l’alliée de l’Algérie dans la région, tout en soutenant le processus de normalisation dont le Maroc fait partie depuis son intégration dans le cadre des Accords d’Abraham. “Le royaume veut aussi montrer que la Russie ne le regarde pas seulement à travers le prisme du dossier du Sahara, mais comme un partenaire”
Sur un autre volet, il faut faire le parallèle avec les développements diplomatiques récents. Nasser Bourita, le chef de la diplomatie marocaine s’est rendu à Budapest où il a pris langue avec ses homologues tchèque, Jakub Kulhánek, slovaque, Ivan Korčok, et polonais, Zbigniew Rau. Cela montre d’abord que la politique étrangère du Maroc vise à se rapprocher de tous les pays qui pourraient suivre son positionnement sur la marocanité du Sahara. Le royaume veut aussi montrer que la Russie ne le regarde pas seulement à travers le prisme du dossier du Sahara, mais comme un partenaire. Il est intéressant de voir le Maroc tenir ce sommet russo-arabe alors que la Russie et la Tunisie sont les deux seuls pays qui se sont abstenus lors du vote de la résolution 2602 du 29 octobre 2021 (sur la prorogation de la mission onusienne au Sahara, ndlr), confirmant que la position de la Russie vis-à-vis du caractère juridique des territoires du Sud n’a pas bougé. Mais cela sert aussi de réponse à la Russie pour montrer au Maroc qu’elle n’est pas dans l’hostilité à son égard. Comment la Russie profiterait-elle du sommet de Marrakech ? Le roi Mohammed VI a adressé un discours dur contre les pays européens qui ne reconnaîtraient pas la marocanité du Sahara. La Russie en profite pour mieux semer la zizanie entre le Maroc et l’UE pour servir son agenda international. “L’agenda de Moscou se base sur une volonté de diviser l’Europe avec son voisinage” Emmanuel Dupuy, président de l’IPSE Avec le gouvernement d’Olaf Scholz, nouvellement élu pour succéder à Angela Merkel, le Maroc va sans doute rentrer dans une nouvelle crise avec cette étude allemande d’Isabelle Werenfels accusant le Maroc d’être aussi peu démocratique que la Turquie. La crise entre l’Espagne et le Maroc sert aussi l’agenda de Moscou qui se base sur une volonté de diviser l’Europe avec son voisinage, notamment vis-à-vis des Balkans, de la Turquie et de la Libye, puis d’accélérer ce mouvement avec le Maroc. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre le déplacement à Alger de Jean-Yves Le Drian, le chef de la diplomatie française, avec un Maroc qui met ses alliés traditionnels sous pression et une Russie qui sème un peu plus la zizanie contre l’Europe.
L'Allemagne fait taire le terroriste qu'elle utilisait
بعد بيان السفارة الألمانية، الذي أكدت فيه أن المملكة المغربية شريك محوري لألمانيا. من مصلحة كلا البلدين العودة إلى العلاقات الدبلوماسية الجيدة و الموسعة تقليديا. ألمانيا مستعدة لشراكة تتطلع للمستقبل على قدم المساواة، محمد حجيب دخل سوق جواه. قليك حط السلاح و بغى يتسراح ! pic.twitter.com/KsbJ3isGcg
Les allemands en bons descendants de Nazi ils sont froids et méthodique, même leurs analyses géopolitiques fu Maghreb sont froides, méthodiques et sans nuances.
Pour eux, le Maroc est trop compétent et trop fort, le Maroc à mené à bien ses stratégies économiques, sociales, diplomatiques...d'influences multiformes en Afrique notamment économique et religieuse, alliance avec Israël qui démultiplie tout cela, militairement on monte crescendo...bref on prend le large et rien ni personne nous arrêtera .
Les Allemands ils se disent si le Maroc va trop loin, un point de non retour au Maghreb et c'est ce qui va arriver, l'Algérie et la Tunisie déjà au bord du précipice, un moment ou un autre vont s'écrouler, et si ils s'écroulent, c'est 60 millions de haragas potentiels qui peuvent se déverser sur les côtes européennes, c'est une instabilité sécuritaire, migratoire, terrorisme ... en gros on est accusé d'avoir trop de succès, d'être trop efficace, d'être des bogoss quoi
Mais putain ces bosh sont tombés sur un os, et en faisant ce genre de rapport ils montrent juste que l'Algérie et la Tunisie c'est des pays menés et dirigés d'une manière désastreuse, des élites et un leadership incompétent, qui ne peuvent pas faire le poids face au Maroc. C'est flatteur
ZATOICHI.., Bruce Wayne, shlass, Fahed64, Jihad et AHMED77130 aiment ce message
C'est pas pour rien qu'ont dit que le Maroc a la Baraka, alhamdolillah. C'est pas cette Russie qui a envoyé des mercenaires contre nos camionneurs et a livré des armes depuis la lybie aux rats du poluzario, et voulait enveminer les résolutions de l'onu contre le Maroc...