Actualités du Sahara Marocain

Sujet: Actualités du Sahara Marocain Sam 28 Jan 2023 - 22:19

Rappel du premier message :

Ils ont de la gueule ces dz, violer un territoire qui n'est pas le tien et ensuite pleurer parce qu'on -t a bombardé, le message est claire le NML est un territoire Marocain interdit de circuler.
Un pays pétrolifère qui n'a même pas une route goudronné et qui envoie des camionneurs emprunter des raccourcis dans un autre pays sans autorisation.
S'ils viennent vers nous ils vont avoir leur raclée. Durant toute leur escarmouches avec nous c'est toujours eux qui viennent vers nous : hassi beida, Amgala et autres ils cherchent leur parâtre"rajl mhoum" marocain il est toujours là.

A mon humble avis si jamais on récuperera nos enclaves un jour ca va se faire par force et rien d'autre, je pense que ce rapprochement récent avec l'espagne est un mauvais choix stratégique, meme leur reconaissance de la marocanité du sahara change presque rien in the big picture du conflit et le prix est trop cher, on peut pas etre partenaire et allié avec un pays qui occupe nos territoires et avec qui on a un tas de problemes (ZEE, etc) , le fait qu'on est entouré d'ennemis ne doit pas nous forcer a chercher des alliés la ou il n'y en a pas, le maroc n'a que des pays hostiles dans son entourage direct tout simplement et on doit s'adapter

Invité

Je comprends ton point de vue mais je pense que Sebta et Mellilia sont récupérable par un simple etouffement. Ces enclaves ne peuvent meme pas avoir d'eau potable sans le Maroc donc l'étouffement économique et le "grand remplacement démographique" permettrons de ramener ces enclaves à nous.

Quant à l'Espagne, elle rentre dans notre logique de profondeur stratégique et de zone économique historiaue. La solution avec l'Espagne est une intégration économique "intime" dans les deux sens. Les entreprises Espagnoles doivent etre implantées au Maroc et dépendre du Maroc pour leur supply chain. De même pour les entreprises Marocaines.

alphatango a écrit:: Je comprends ton point de vue mais je pense que Sebta et Mellilia sont récupérable par un simple etouffement. Ces enclaves ne peuvent meme pas avoir d'eau potable sans le Maroc donc l'étouffement économique et le "grand remplacement démographique" permettrons de ramener ces enclaves à nous.

Quant à l'Espagne, elle rentre dans notre logique de profondeur stratégique et de zone économique historiaue. La solution avec l'Espagne est une intégration économique "intime" dans les deux sens. Les entreprises Espagnoles doivent etre implantées au Maroc et dépendre du Maroc pour leur supply chain. De même pour les entreprises Marocaines.

Exactement Ssi alphatango il y a des précédent comme Macao et Hong Kong

L’ancien secrétaire d’État américain célébrait son centième anniversaire le 27 mai 2023. L’occasion de revenir dans une série d’articles sur sa contribution à l’un des épisodes clés de l’histoire moderne du Maroc : la Marche verte. Le 22 septembre 1973, Henry Kissinger est officiellement nommé secrétaire d’État après avoir prêté serment devant sa mère, Paula, et le président Richard Nixon. Quelques jours plus tard, le nouveau chef de la diplomatie américaine est déjà en action. En marge de l’Assemblée générale des Nations unies, en octobre de la même année, il rencontre le ministre des Affaires étrangères marocain, Ahmed Benhima, à New York. Ce dernier se montre beaucoup plus pressant que lors de la première rencontre entre les deux hommes, quelques mois plus tôt (mars 1973) à Washington. C’est qu’en quelques mois, la configuration géopolitique autour du Maroc a profondément changé. L’avenir du Sahara est désormais au cœur des préoccupations de Rabat. Une indépendance ? Pour quoi faire ? Des échos venus de Madrid et des mouvements du côté d’Alger inquiètent les responsables marocains. Ahmed Benhima en fait part à son homologue américain lors de cette après-midi d’octobre. “Nous sommes préoccupés par le Sahara. L’Espagne semble désormais considérer son indépendance. À quoi bon cette indépendance ? C’est un territoire de 45.000 habitants dont les deux tiers ne sont pas éduqués. C’est un passage important des routes maritimes. Je ne veux pas que vous pensiez que le Maroc le veuille (le Sahara, ndlr) pour lui-même. Mais nous avons demandé aux Espagnols quelles étaient leurs intentions. Leur réponse n’était pas claire”, confie le ministre marocain au secrétaire d’État américain. Madrid envisage en effet d’accorder son indépendance au Sahara. Le voisin du Nord fait adopter par une Assemblée du Sahara constituée par ses soins une déclaration d’autonomie interne. Et en mars 1973, plusieurs militants pour le rattachement du Sahara au Maroc prennent leurs quartiers à Alger. Deux mois plus tard est créé un mouvement qui, constitué d’anciens soldats de l’armée espagnole et d’étudiants sahraouis, milite pour une indépendance du Sahara. Le Polisario est né. La pression s’accentue sur Madrid, et le Maroc craint d’être cerné au niveau régional. “Si ça arrive (une indépendance du Sahara, ndlr), il s’agira du premier endroit entre Oslo et Le Cap qui ne soutiendra pas l’Occident. L’Algérie veut un accès à l’Atlantique. Le Maroc ne veut pas être isolé ou encerclé comme l’ont été les Français contre l’Algérie”, relève Ahmed Benhima auprès de son interlocuteur du jour, qui se contente de répondre que les remarques du diplomate marocain sont “intéressantes”. “Je ne savais même pas où le Sahara était” La réponse de Henry Kissinger est vague à dessein. Tout d’abord parce que le Sahara ne revêt — alors — qu’une faible importance stratégique aux yeux des États-Unis qui prônent la neutralité sur ce dossier. La position américaine reste inchangée malgré le départ de Richard Nixon après l’affaire du Watergate et l’arrivée de Gerald Ford à la Maison Blanche. Cette neutralité pourrait également s’expliquer par un manque initial de connaissances sur le sujet, comme en atteste cette conversation entre Henry Kissinger et le dernier chef de la diplomatie de Franco, Pedro Cortina, en octobre 1974. L’échange a lieu à Torrejon, en Espagne, après la publication d’un article dans le Washington Post, suggérant que les États-Unis seraient favorables à un accord entre le Maroc et l’Espagne. Henry Kissinger : Nous n’avons pas d’opinion particulière quant à l’avenir du Sahara espagnol. Je vous ai déclaré en privé, et en tant que politologue, que le futur du Sahara espagnol (indépendant, ndlr) ne me semble pas particulièrement prometteur. J’ai la même opinion au sujet de la Guinée-Bissau ou encore de la Haute-Volta (actuel Burkina Faso, ndlr). Le monde peut survivre sans le Sahara espagnol, il ne contribuera pas grandement à notre monde (…) À une époque, je ne savais pas où le Sahara espagnol était et je ne m’en portais pas plus mal. Pedro Cortina : Avant que le phosphate ne soit découvert ! Henry Kissinger : Écoutez. Si vous parvenez à un accord avec le Roi du Maroc, tant mieux. Mais ce dossier n’est pas une priorité américaine. Pedro Cortina : Ce que vous venez de me dire me suffit. Mais je tiens à préciser que nous ferons un effort pour parvenir à un accord avec le Maroc (…) Nous sommes prêts à faire quelque chose. Henry Kissinger : Quoi donc ? Pedro Cortina : C’est une façon de parler. Nous devrons nous asseoir autour d’une table et discuter. Durant cette discussion, Pedro Cortina semble également s’inquiéter des visites prévues par son homologue américain à Rabat et à Alger. Le ministre espagnol craint que la situation du Sahara ne soit réévaluée par l’administration américaine après le passage du secrétaire d’État dans les deux capitales. Mais l’objectif de la tournée du diplomate américain dans la région est tout autre. Rabat s’apprête à accueillir un sommet — ô combien important — de la Ligue arabe sur la question palestinienne à Rabat. Alger, de son côté, jouit d’une certaine proximité avec le régime syrien et ce que Henry Kissinger décrit comme les “Arabes radicaux” (comprendre : les pays arabes ayant fait le choix du socialisme et pro-URSS). Washington compte ainsi profiter de sa relative proximité avec Alger pour tenter de rallier davantage de pays arabes à sa cause. Kissinger assure à son homologue espagnol que la question du Sahara ne sera pas discutée à Rabat et Alger, mais ne tiendra pas sa promesse puisque l’avenir du Sahara anime la région. “Je veux que ce problème disparaisse !” Au lendemain de sa visite en Espagne, Henry Kissinger se rend à Alger. Au cœur des années 1970, l’Algérie a clairement fait le choix du modèle socialiste. Le voisin de l’Est s’aligne sur la scène politique internationale avec l’autre superpuissance de l’époque, l’URSS. Mais d’un point de vue économique, l’Algérie joue un double jeu. Alger a ainsi recours aux aides américaines pour financer son développement tout en mettant en avant son rôle de relais du bloc arabe “radical” auprès de Washington. Le 14 octobre 1974, Henry Kissinger est reçu par le président algérien Houari Boumediene à Alger. Les discussions tournent autour du processus de paix au Moyen-Orient, du prix du baril, mais aussi de l’avenir du Sahara. Si elle abrite des séparatistes sahraouis, Alger affirme être neutre quant à l’avenir du territoire. Mais lors de cette conversation avec Henry Kissinger, Houari Boumediene laisse entendre son avis sur la question. C’est d’ailleurs le président algérien qui initie la conversation sur le sujet. Houari Boumediene : Quelle est votre opinion au sujet du problème du Sahara ? Henry Kissinger : Le Sahara espagnol. Houari Boumediene : Les Marocains vont vous en parler. Henry Kissinger : Et les Espagnols aussi l’ont fait ! Vous voulez mon honnête opinion ? Houari Boumediene : Oui, franchement. Henry Kissinger : Je veux que ce problème disparaisse ! Je ne peux pas me réjouir pour 40.000 personnes qui ne savent sans doute même pas qu’elles vivent au Sahara espagnol. J’espère que vous ne penserez pas que je suis un cynique. Mais nous ne pensons pas que l’Espagne a encore quelque chose à faire là-bas. Ce n’est pas logique pour l’Espagne d’être en Afrique. Houari Boumediene : Quel est votre avis sur l’autodétermination ? Henry Kissinger : Je suis pour. Mais je ne pense pas qu’elle soit naturelle pour une entité formée de manière aussi accidentelle. La seule question qui se pose à ce sujet, c’est quel pays y exercera le plus d’influence. Quel est votre avis sur le sujet ? J’aimerais le connaître. Les Marocains disent que vous voulez l’annexer. Houari Boumediene : Pour avoir un débouché (sur l’Atlantique ndlr) ! Pour faciliter nos contacts ! Quelle est votre opinion ? Henry Kissinger : Pour moi, il est inévitable — si l’on exclut le Sahara espagnol — que sur le long terme l’Algérie deviendra la force dominante du Maghreb. Houari Boumediene : Sincèrement, nous n’avons pas une telle ambition (…) Nous avons des accords avec le Maroc, notamment dans le domaine du pétrole. Le Maroc veut donc notre soutien (sur la question du Sahara, ndlr) tout comme la Mauritanie. Lors de mes discussions avec le Roi Hassan II, je lui ai demandé de ne pas me faire adopter de positions immorales. Il y a un accord entre le Maroc et la Mauritanie à ce sujet (celui du Sahara, ndlr). Le Maroc affirme publiquement qu’il s’agit d’un territoire marocain. Il y a un accord avec le président Ould Daddah (le président mauritanien, ndlr) et cela a même été mentionné dans la presse américaine. Je ne sais pas comment ils ont eu cette information. Henry Kissinger : Est-elle vraie ? Houari Boumediene : Oui. Henry Kissinger : Donc c’est un territoire maroco-mauritanien. Houari Boumediene : Nous ne voulons pas de débouchés. Nous souhaitons simplement exploiter les mines de fer (en 1972, le Maroc et l’Algérie avaient signé un accord concernant l’exploitation de la mine de Gara Djebilet située sur le sol algérien à proximité du Maroc et de la Mauritanie mais dont les ressources devaient traverser le Sahara avant d’être exportées vers le monde entier via la côte atlantique marocaine. L’accord n’a jamais été appliqué, ndlr) (…) Les Espagnols sont nos amis. Il s’agit d’un problème qui ne les concerne pas, mais qui concerne davantage le Maroc et la Mauritanie. Il s’agit d’une question historique, mais les désaccords entre ces deux pays retardent une solution à ce problème. Les habitants doivent décider. Henry Kissinger : Seront-ils seulement capables de savoir sur quelle question ils sont consultés ? Houari Boumediene a donc face à lui un Kissinger très réaliste et qui donne peu de chance de survie à un proto-État sahraoui. Surtout, Kissinger ne peut donner un avis définitif sur la position américaine sans consulter l’autre grand acteur du conflit du Sahara, le Maroc. Car au lendemain de son passage à Alger, le secrétaire d’État américain est attendu à Rabat. “Si le Sahara devient indépendant à 10 heures du matin, mes forces y seront à 11 heures” Le 15 octobre 1974, Kissinger se rend à Rabat pour y rencontrer Hassan II. Le Sahara n’est alors sans doute pas au cœur des préoccupations du diplomate américain. Car deux semaines plus tard, Rabat doit accueillir un sommet de la Ligue arabe qui revêt une importance capitale aux yeux de Washington, qui cherche surtout à calmer les tensions entre Arabes et Israéliens après la Guerre du Kippour. En début d’année, Kissinger a réussi à sceller un désengagement des forces entre l’Égypte, la Syrie et Israël. Le sort de la Cisjordanie est toujours en suspens et cette question doit justement être discutée lors du sommet de la Ligue arabe. Mais pour le Maroc, la priorité est bien évidemment le dossier du Sahara. Le royaume, à l’initiative de Hassan II, a porté la question de la souveraineté du Sahara devant la Cour internationale de justice (CIJ), l’organe judiciaire de l’ONU dont la juridiction comprend également les litiges territoriaux. Le roi est confiant quant au verdict de la CIJ, tout en craignant que l’Espagne n’accorde son indépendance de manière unilatérale au Sahara. Le Polisario est déjà actif. Et l’Espagne s’apprête à fabriquer “sa” mouvance indépendantiste pour le Sahara à travers la création du Parti de l’Union nationale sahraouie (PUNS). Devant Henry Kissinger, au palais royal de Rabat, Hassan II est clair : il ne laissera pas se former un Sahara indépendant au sud du Maroc. La discussion entre les deux hommes, retranscrite dans les archives du secrétariat d’État américain, est sans équivoque. Hassan II : Ce territoire a appartenu à quelqu’un par le passé, ce n’est pas un res nullius (territoire qui n’a jamais eu de maître, ndlr). J’ai fait appel à la CIJ, car je sais qu’ils diront que ce territoire a appartenu au Maroc par le passé (dans son jugement, la CIJ fera état de liens d’allégeance entre les tribus sahraouies et le Maroc, ndlr). Dans tous les cas, j’accepterai toute décision de la CIJ, car les éléments que nous avons soumis renforcent vraiment notre dossier. Henry Kissinger : De nombreux États sont des absurdités, comme la Guinée-Bissau ou encore le Sahara espagnol. Mais qu’est-ce qui vous fait dire que le jugement de la CIJ sera en votre faveur ? Hassan II : Nos preuves sont solides. Jusqu’en 1955, le registre officiel français indiquait que des villes situées dans la région (du Sahara, ndlr) étaient effectivement administrées depuis les centres administratifs du Maroc. Je suis prêt à accepter la décision de la Cour, mais je dois aussi gagner du temps, tant que Franco est là. Et demander au Maroc d’accepter un Sahara indépendant, c’est comme si l’on demandait — toute proportion gardée — aux États-Unis de ne pas réagir lors de la crise des missiles de Cuba ou encore à l’Union soviétique d’accepter le Printemps de Prague. Henry Kissinger : Si j’étais à la place de Votre Majesté, j’aurais procédé de la même manière. Mais le gouvernement américain fait parfois plus de sentimentalité et de légalisme (…) Restez assuré sur le fait que nous ne causerons pas de problème. Personnellement, j’apprécie la solution de la CIJ. “Si l’Espagne accorde son indépendance au Sahara, arrêtez de nous fournir des armes, des tanks ou encore des avions. Car si le Sahara devient indépendant à 10 heures du matin, mes forces y seront à 11 heures. Je ne vais pas vous mentir” Hassan II : Demandez à l’Espagne de ne pas rejeter la solution de la CIJ. Nous sommes un petit pays et nous n’avons pas de prétentions. Je suis quelqu’un de sérieux, car mon sérieux est mon atout principal et mon capital. J’ai vécu en exil pendant trois ans. Et je connais les méthodes utilisées par les administrations coloniales. Je sais ce que l’on peut faire passer pour un référendum et je sais ce qu’est le nationalisme. Je préfère vous dire les choses de la manière la plus franche possible : si l’Espagne accorde son indépendance au Sahara, arrêtez de nous fournir des armes, des tanks ou encore des avions. Car si le Sahara devient indépendant à 10 heures du matin, mes forces y seront à 11 heures. Je ne vais pas vous mentir. Si le Sahara devient indépendant, il sera plein de révolutionnaires chinois et russes. Si l’Espagne s’en va, le Maroc sera piégé entre la Méditerranée, l’Atlantique et l’Algérie. (…) Je ne veux mettre aucun de mes amis dans l’embarras, nous ne demanderons à personne de choisir entre le Maroc et l’Espagne. Nous sommes conscients des nombreux intérêts qu’ont les États-Unis en Espagne. Mais si Franco vient à mourir, peut-être faudrait-il considérer cette stratégie et compter davantage sur le Maroc. Il n’est pas question de vous demander de faire un choix. Cela concerne uniquement l’Espagne et le Maroc. Souvenez-vous, les Français avaient près de 180.000 soldats au Maroc et nous n’avons pas eu un seul échange de tir. Les Français sont partis et les Espagnols partiront aussi. Nous sommes prêts à nous battre. Quelques semaines après cette rencontre, Henry Kissinger connaît une déception. Ses espoirs pour la paix israélo-palestinienne s’envolent lors du Sommet de la Ligue arabe tenu à Rabat : les chefs d’État reconnaissent l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) de Yasser Arafat comme représentant légitime du peuple palestinien. Un coup dur pour le secrétaire d’État américain, car Israël refuse alors toute négociation avec l’OLP qu’elle considère comme une organisation terroriste. Quant au Sahara, le secrétaire d’État va voir le sujet revenir régulièrement, 1975 étant une année charnière pour l’avenir du territoire, mais aussi du Maroc. a écrit:

https://telquel.ma/2023/05/30/kissinger-et-le-maroc-2-4-un-equilibriste-entre-rabat-madrid-et-alger_1813383

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Le courage croît en osant et la peur en hésitant.

Boussayri.saad a écrit:

alphatango a écrit:: Je comprends ton point de vue mais je pense que Sebta et Mellilia sont récupérable par un simple etouffement. Ces enclaves ne peuvent meme pas avoir d'eau potable sans le Maroc donc l'étouffement économique et le "grand remplacement démographique" permettrons de ramener ces enclaves à nous.

Quant à l'Espagne, elle rentre dans notre logique de profondeur stratégique et de zone économique historiaue. La solution avec l'Espagne est une intégration économique "intime" dans les deux sens. Les entreprises Espagnoles doivent etre implantées au Maroc et dépendre du Maroc pour leur supply chain. De même pour les entreprises Marocaines.

Exactement Ssi alphatango il y a des précédent comme Macao et Hong Kong

La Chine est une puissance économique, militaire, nucléaire et diplomatique ... Aussi, le fait qu'ils sont loin respectivement du Portugal et de la GB rend impossible de tenir le front en cas de conflit.

Le parallèle avec Sebta et Melia n'est pas correct .

jrad-killer a écrit:

Boussayri.saad a écrit:

alphatango a écrit:: Je comprends ton point de vue mais je pense que Sebta et Mellilia sont récupérable par un simple etouffement. Ces enclaves ne peuvent meme pas avoir d'eau potable sans le Maroc donc l'étouffement économique et le "grand remplacement démographique" permettrons de ramener ces enclaves à nous.

Quant à l'Espagne, elle rentre dans notre logique de profondeur stratégique et de zone économique historiaue. La solution avec l'Espagne est une intégration économique "intime" dans les deux sens. Les entreprises Espagnoles doivent etre implantées au Maroc et dépendre du Maroc pour leur supply chain. De même pour les entreprises Marocaines.

Exactement Ssi alphatango il y a des précédent comme Macao et Hong Kong

La Chine est une puissance économique, militaire, nucléaire et diplomatique ... Aussi, le fait qu'ils sont loin respectivement du Portugal et de la GB rend impossible de tenir le front en cas de conflit.

Le parallèle avec Sebta et Melia n'est pas correct .

Si il y a des similitudes.
La Chine à attendu le bon moment la Bonne période pour commencer à faire de la pression elle c'est concentré sur le développement économique et le développement militaire c'est ce qu'il faut faire jamais il y aura une confrontation direct avec les Espagnols

La bonne nouvelle du jour vient d'un tweet (ici) annonçant le soutien de la syrie aux chiens de Tindouf et la reconnaissance officielle par la mafia du boucher de la république fantoche des caniches.

Le Maroc n'en demandait par tant.

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Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.

Le Maroc va finir tôt ou tard par être amené à la porte de sortie de la ligue arabe, et c'est tant mieux à mon propre avis.

Bolden a écrit:: La bonne nouvelle du jour vient d'un tweet (ici) annonçant le soutien de la syrie aux chiens de Tindouf et la reconnaissance officielle par la mafia du boucher de la république fantoche des caniches.

Le Maroc n'en demandait par tant.

On est beaucoup trop gentils avec ces genres de pays perfides, ils rejoignent la ligue arabe et ils prennent immediatement la grosse tete. C'est une bande de criminel de guerre qui extermine des kurdes qui ne sont meme pas vraiment syriens mais nous on aurais pas le droit a l'intégrité territoriale alors que le sahara est mille fois plus marocain que le kurdistan occidental est syrien ???

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“The supreme art of war is to subdue the enemy without fighting.”

― Sun Tzu, The Art of War

Il y a des pièces qui manquent du puzzle attendez encore deux ou trois années et vous allez avoir des explications à tout ce qui se trame maintenir surtout au niveau des pays arabes et d'une partie de l'Afrique, le rôle qui donné au pays du Golfe maintenant est totalement différent du passé, le Maroc comme depuis toujours observe de loin et va agir selon ses priorités et selon ses intérêts, l'argent du pétrole et la paix fragile avec les Iraniens ne va jamais compenser un allié comme le Maroc.....
On était toujours seul face à nous enemie et face à notre destin, on a jamais compter sur qui.que ce soir pour assurer notre existence unité ou notre indépendance que ça soit la ligue arabe ou quelqu'un d'autre donc .....

Oui, waiting and see.
J impression que c nous qui jouent le mauvais coup pour toute cette bande ....

Oui on a toujours compter sur nous même juste Il faut pas oublier que les saoudiens nous on aider pendant cette décennie 78 - 88 (le roi Fahd et le roi Abdallah (prince héritier) et le puissant ministre de la défense et le Prince héritier Soultan ) la rencontre historique entre Hassan 2 et Ronald Reagan c'était du lobbying saoudiens. Il se sont porter garant pour nos achats armement us et fr .
Malheureusement c'est nouvelle génération et mal conseiller et très impulsive.
Avec ce qui se passe au Proche-Orient je vois un rapprochement de l'axe

les

c les grands perdants dans tous ces changements .

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Suivez-moi dans le côté obscur

On va rien faire du tout.
Si le royaume quitte la ligue arabe il n'y aura ni séisme ni quoique ce soit, on ne pèse pas grand chose, faut arrêter de se prendre pour qui on est pas.

Dias63 a écrit:: On va rien faire du tout.
Si le royaume quitte la ligue arabe il n'y aura ni séisme ni quoique ce soit, on ne pèse pas grand chose, faut arrêter de se prendre pour qui on est pas.

Car le prochain coup est la reconnaissance de la rask. C comme si c'est fait.

Dias63 a écrit:: On va rien faire du tout.
Si le royaume quitte la ligue arabe il n'y aura ni séisme ni quoique ce soit, on ne pèse pas grand chose, faut arrêter de se prendre pour qui on est pas.

Je ne partage pas votre point de vue, et je trouve désolant le manque de considération de son pays !!

Le Maroc n'a pas à se laisser dicter sa conduite par la ligue arabe ou la Syrie.

Soyons sérieux, les syriens sont des hypocrites, malgré l'aide apporté par le Maroc pendant la guerre de 73, cela ne les a pas empêché de soutenir les terroristes pendant la guerre du Sahara avec des opérateurs SAM et radar.

De plus, la plupart des pays arabes appuient la position du Maroc.

Enfin, le Maroc a abandonné la politique de la chaise vide depuis longtemps, nous avons changé de doctrine !

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لك الله ياوطني

On donne trop d'importance à un tweet rédigé par un responsable de 5eme rang d'un pays qui n'a rien d'attribus d'un pays ou était. En fait la Syrie est devenue une province qui suit la Russie et l'Iran. Il n'a aucun poids sur la scène internationale ou même au sein de la ligue Arabe. Son retour à la ligue Arabe n'est qu'un jeu entre les Ksa Uae et les Américains.
Pour ceux qui demandent de se retirer de la ligue Arabe ils n'ont pas appris la leçon de l'union Africane. On ne doit jamais laisser le terrain à nos ennemis pour passer et dicter leur agenda.
Si la Syrie reconnaissait la République fantoche avant son retour à la ligue Arabe n'a rien donné. Je ne vois pas ce que ça va changer après son retour sachant que la majorité des pays arabes ne reconnaissent pas la République fantoche et ce n'est pas avec le retour de la Syrie que ça va changer.

Fox-One a écrit:

Dias63 a écrit:: On va rien faire du tout.
Si le royaume quitte la ligue arabe il n'y aura ni séisme ni quoique ce soit, on ne pèse pas grand chose, faut arrêter de se prendre pour qui on est pas.

Car le prochain coup est la reconnaissance de la rask. C comme si c'est fait.

Pas compris? T'as un info?
Pourquoi tant d'importance pour le tweet d'un nobody d'un pays qui n'existe que sur papier?

Dias63 a écrit:: On va rien faire du tout.
Si le royaume quitte la ligue arabe il n'y aura ni séisme ni quoique ce soit, on ne pèse pas grand chose, faut arrêter de se prendre pour qui on est pas.

L'inverse est vrai aussi, ça pèse que dalle cette blague de ligue arabe

BennyBlanco a écrit:

Fox-One a écrit:

Dias63 a écrit:: On va rien faire du tout.
Si le royaume quitte la ligue arabe il n'y aura ni séisme ni quoique ce soit, on ne pèse pas grand chose, faut arrêter de se prendre pour qui on est pas.

Car le prochain coup est la reconnaissance de la rask. C comme si c'est fait.

Pas compris? T'as un info?
Pourquoi tant d'importance pour le tweet d'un nobody d'un pays qui n'existe que sur papier?

Surtout que c'est une position qui a des décennies, ils maintiennent juste ce qu'ils ont fait

C'est pas comme si le Maroc avait laisser le choix au boucher de Damas. Qu'est-ce qu'on risque à part de voir débarquer des lances roquettes "syriens" dans la zone tampon (ce qui nous pourrait d'ailleurs nous aider grandement à la rependre définitivement) ?

Le Maroc s'est très bien ce qu'il fait et à quoi s'attendre de la part de ces ordures, leur réaction débile et primaire font partie intégrante de notre stratégie :
- le Maroc a, de façon unilatérale, coupé les ponts avec à la secte infâme qui dirigent l'iran
- le Maroc a signé l'accord tripartite de trump
- le Maroc a toujours pris partie pour le peuple syrien face au cartel el assad pendant la décennie de boucherie.

Le Maroc hachakoume enc... le clan moscou-teheran-damas-harkiland.

Quel esprit sain voudrait du soutien et d'une alliance avec une ordure de la facture d'assad ? Sur le plan stratégique, c'est du pain béni pour nous.

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Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.

Bolden a écrit:: C'est pas comme si le Maroc avait laisser le choix au boucher de Damas. Qu'est-ce qu'on risque à part de voir débarquer des lances roquettes "syriens" dans la zone tampon (ce qui nous pourrait d'ailleurs nous aider grandement à la rependre définitivement) ?

Le Maroc s'est très bien ce qu'il fait et à quoi s'attendre de la part de ces ordures, leur réaction débile et primaire font partie intégrante de notre stratégie :
- le Maroc a, de façon unilatérale, coupé les ponts avec à la secte infâme qui dirigent l'iran
- le Maroc a signé l'accord tripartite de trump
- le Maroc a toujours pris partie pour le peuple syrien face au cartel el assad pendant la décennie de boucherie.

Le Maroc hachakoume enc... le clan moscou-teheran-damas-harkiland.

Quel esprit sain voudrait du soutien et d'une alliance avec une ordure de la facture d'assad ? Sur le plan stratégique, c'est du pain béni pour nous.

Le boucher de damas renvoie l'ascenseur, mais pas plus à mon avis il à assez de boulot chre lui pour aller se chercher des ennemies gratuitement

Socket-error a écrit:

Dias63 a écrit:: On va rien faire du tout.
Si le royaume quitte la ligue arabe il n'y aura ni séisme ni quoique ce soit, on ne pèse pas grand chose, faut arrêter de se prendre pour qui on est pas.

Je ne partage pas votre point de vue, et je trouve désolant le manque de considération de son pays !!

Le Maroc n'a pas à se laisser dicter sa conduite par la ligue arabe ou la Syrie.

Soyons sérieux, les syriens sont des hypocrites, malgré l'aide apporté par le Maroc pendant la guerre de 73, cela ne les a pas empêché de soutenir les terroristes pendant la guerre du Sahara avec des opérateurs SAM et radar.

De plus, la plupart des pays arabes appuient la position du Maroc.

Enfin, le Maroc a abandonné la politique de la chaise vide depuis longtemps, nous avons changé de doctrine !

Il n'y a aucun manque de considération, c'est juste la réalité, certe on a des soutiens par ci par là...
Mais en vrai c'est chacun pour sa gueule et on ne pèse pas grand chose tout seul.
Si les arabes étaient uni ce serait différent, mais rien que dans la vie de tous les jours tu sais que c'est pas le cas.
Le Maroc ne fait pas le poids face à l'Arabie Saoudite, les Emirats, etc même l'Iran faut pas les prendre pour des Guignols...

Ce que j'ai essayé d'expliquer c'est que le Maroc se libère doucement et intelligemment de n'importe quel futur conflit en proche-orient... On nous donne les excuses et les outils nécessaires pour le faire le bensalmane coure à grand V vers le piège du leadership régional et vouloir tout changer etc
Mais pour nous si on gère ce Switch et on focalise nos efforts sur le développement économique et la consolidation de notre position en Afrique et sur la façade atlantique ca va nous beaucoup être mieux

Dias63 a écrit:

Socket-error a écrit:

Dias63 a écrit:: On va rien faire du tout.
Si le royaume quitte la ligue arabe il n'y aura ni séisme ni quoique ce soit, on ne pèse pas grand chose, faut arrêter de se prendre pour qui on est pas.

Je ne partage pas votre point de vue, et je trouve désolant le manque de considération de son pays !!

Le Maroc n'a pas à se laisser dicter sa conduite par la ligue arabe ou la Syrie.

Soyons sérieux, les syriens sont des hypocrites, malgré l'aide apporté par le Maroc pendant la guerre de 73, cela ne les a pas empêché de soutenir les terroristes pendant la guerre du Sahara avec des opérateurs SAM et radar.

De plus, la plupart des pays arabes appuient la position du Maroc.

Enfin, le Maroc a abandonné la politique de la chaise vide depuis longtemps, nous avons changé de doctrine !

Il n'y a aucun manque de considération, c'est juste la réalité, certe on a des soutiens par ci par là...
Mais en vrai c'est chacun pour sa gueule et on ne pèse pas grand chose tout seul.
Si les arabes étaient uni ce serait différent, mais rien que dans la vie de tous les jours tu sais que c'est pas le cas.
Le Maroc ne fait pas le poids face à l'Arabie Saoudite, les Emirats, etc même l'Iran faut pas les prendre pour des Guignols...

On cherche pas à faire le poids face à qui que ce soit, on a nous intérêt à défendre et on le fait suivant nos moyens et nos priorités, l'Arabie Saoudite ou tout les arabes n'ont rien changé quand ils nous soutenaient à 100% et vont rien changer aujourd'hui ou demain, on attend rien d'eux faut pas se leurrer,
Le Maroc lhamdolilah assure très bien ses arrières grâce aux efforts de ses hommes et ses femmes, et on a pas besoin de qui que ce soit pour nous protéger et justesse L'AS ou les pays du Golfe c'est pas des guignols mais pires

Dias63 a écrit:

Socket-error a écrit:

Dias63 a écrit:: On va rien faire du tout.
Si le royaume quitte la ligue arabe il n'y aura ni séisme ni quoique ce soit, on ne pèse pas grand chose, faut arrêter de se prendre pour qui on est pas.

Je ne partage pas votre point de vue, et je trouve désolant le manque de considération de son pays !!

Le Maroc n'a pas à se laisser dicter sa conduite par la ligue arabe ou la Syrie.

Soyons sérieux, les syriens sont des hypocrites, malgré l'aide apporté par le Maroc pendant la guerre de 73, cela ne les a pas empêché de soutenir les terroristes pendant la guerre du Sahara avec des opérateurs SAM et radar.

De plus, la plupart des pays arabes appuient la position du Maroc.

Enfin, le Maroc a abandonné la politique de la chaise vide depuis longtemps, nous avons changé de doctrine !

Il n'y a aucun manque de considération, c'est juste la réalité, certe on a des soutiens par ci par là...
Mais en vrai c'est chacun pour sa gueule et on ne pèse pas grand chose tout seul.
Si les arabes étaient uni ce serait différent, mais rien que dans la vie de tous les jours tu sais que c'est pas le cas.
Le Maroc ne fait pas le poids face à l'Arabie Saoudite, les Emirats, etc même l'Iran faut pas les prendre pour des Guignols...

Le problème n'est pas une question de poids , les assad au Maroc on les connais de toute façon à l'heure d'aujourd'hui ce n'est pour l'instant plus un pays indépendant il est beaucoup trop affaibli pour se refuser a ses maîtres de plus il y a un renvoi se d'ascenseur car les voyous d'à côté peux importe la boucherie l'on soutenu contre vent et marré (alliance entre criminel oblige)

Le poids des pays du golf est limité je le rapelle au Maroc ce sont des alliés importants certes mais ils ne sont pas indispensables il y a qu'à voir la crise énergétique très peu de soutien mais on s'en sort quand même, de plus nous aussi nous somme un de leurs alliés déterminent dans la région et ça sera encore plus vrai suand cette paix réconciliation fragile volera en éclat avec les iraniens(trop d'intérêt divergent)

Il faut relativisé le rapprochement avec les iraniens et la blague syrienne qui ne change rien , tout ne va pas se faire à nos dépend et la ligue de la blague arabe elle est juste à but cérémonial et pour prendre le thé elle a aucune valeur et aucune substance

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