Cela révèle brillamment leur fourberie, en 2021, ils ont tranché dans le vif en coupant le GME et la connexion électrique simultanément. Quelle fut leur déception de constater que cela n’avait eu aucun effet sur nous !
Maintenant quand je vois les prix du Gaz naturel au marché spot de Rotterdam 26$ le MWh (44$ le baril), ils doivent regretter amèrement, dépenser 10$ supplémentaire pour liquéfier le gaz pour le vendre au marché GNL à ce prix alors qu'ils pouvaient gratter des contrats indexés au brent avec le GME not to mention qu'avec le GME ils pouvaient augmenter leur part de marché en prenant la place du gaz russe. Le manque à gagner est énorme les gars, c'est une bénédiction du ciel ces imbéciles
marques, shlass, Darkvador, Socket-error et Anzarane aiment ce message
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simplet General de Brigade
messages : 3192 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 15 Nov - 8:37
pyromane a écrit:
simplet a écrit:
pyromane a écrit:
Ce n'est pas la numérisation qu'il faut, mais la simplification des procédures. Pourquoi faut il "égaliser" la moindre signature ? Pourquoi les attestations d'habitation et de vie existent elles ? Pourquoi le moindre commerce nécessite il un permis d'exploitation ? Pourquoi il faut un certificat de naissance de moins de 3 mois ?
Ces questions ne sont que le sommet de l'iceberg. On peut retirer tous les ordinateurs de l'administration et on aurait besoin de moins de fonctionnaires quand même si n simplifie les procédures.
Après moi j'ai un soucis avec les administration full dématérialisées. Surtout dans un pays avec 40% d'analphabétisme et beaucoup plus en illettrisme numérique.
la digitalisation c'est une fatalité et elle est en marche même a pas de tortue et même si une frange fait de la résistance
c'est vraie si on veut prendre les choses très au sérieux , il faut repenser l'architecture de toute l'administration ,
https://www.wraqi.ma/
Ps le taux d'analphabétisme est de 24 %
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Rien n'est une fatalité, tout est un choix politique, la fatalité c'est qu'on va tous mourir, le reste dépend de nos choix
l'électricité c'était une fatalité, le téléphone ensuite et l'internet aujourd'hui et la digitalisation ensuite , c'est une question de temps
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
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simplet General de Brigade
messages : 3192 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 15 Nov - 8:40
En parlant de la bureaucratie et la rente liée avec, une sorte de corruption déguisée
Une enquête a révélé des chiffre stratosphérique aux USA
en théorie l'idée est bonne . mais en réalité c'est pas une bonne idée
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La digitalisation est une nécessité vitale j'ai été un fonctionnaire et j'ai travaillé au sein de l'administration et je sais très bien de quoi je parle certaines transactions administratives doivent impérativement être dématérialisée au moins pour réduire le temps que le fonctionnaire dédie pour les activités front office a parler avec les citoyens et discuter avec eux soit pour leur expliquer ce qu'il doivent faire ou prendre leurs informations Il y a maintenant beaucoup de moyens technologiques pour faciliter les procédures administratives voir même confirmer l'identité de la personne qui fait la demande il y des logiciels qui vous prend en photo vérifier votre pièce d'identité et valider votre demande en ligne tu reçois ta pièce une fois prête et c'est là où tu te présentes uniquement pour collecter ta pièce à la poste ou n'importe quel autre endroit En royaume uni après plusieurs années j'ai jamais encore vu la gueule d'aucun fonctionnaires Au Maroc nous avant maintenant des cartes d'identité biométrique des passeports biométriques pourquoi je vais me casser la tête avec des extraits de date de naissance des certificats de vie ou autre Les cartes grises ici se font en ligne même chose pour les assurances prise de rendez-vous aux hôpitaux payement des amandes payement des taxes tout sans exception même les dépôts en Cash se font partout avec des machines dédiée ou chez l'épicerie du coin et l'argent est transféré à ton compte momentanément... Mais bon on va me dire c'est impossible chez nous etc et me faire sortir un millier de raisons....
je parle pas de la digitalisation, je parle de la reconversion des fonctionnaires des mouqata3ats, ils vont contaminer d'autre secteur
Pire que ca Romh, pourquoi avoir une carte d'identité avec une puce, contennt 64 informations sur nous, s'il faut faire une photocopie de la carte pour obtenir le moindre document officiel ou meme une carte SIM. Pourquoi n'y a-t-il pas de lecteurs de carte d'identite dans les administrations.
Sinon, les reponses de Zakaria et Romh sont parfaites. Rien a rajouter
I don't even see what Baraka is doing with HD heavy industries? he is in charge of water, roads, and ports...if you want to buy ships for our national fleet (marine marchande) then it should be Kayouh, if it's for military ships then defense.
The single reason i see for this visit would be to either discuss or prospect their interest in taking over some shipbuilding activities as that falls under his umbrella as well as the ANP's. Baraka also met with the South Korean ambassador in Sept on Water and infrastructure topics hmmmm...Weren't the rumors about the future subs relating to Hyundai Heavy Industries?
Les exportations de fruits rouges marocains vers la Chine devraient débuter dès le début de l’année prochaine, un tournant majeur dans la diversification des marchés à l’export. Cette nouvelle opportunité ouvre aux producteurs nationaux des perspectives prometteuses, avec un marché chinois en plein essor et un potentiel de croissance considérable pour ces produits Les exportateurs marocains de fruits rouges s’apprêtent à lancer les exportations vers la Chine dès début 2025. Suite à la visite réalisée l’année dernière par la délégation marocaine dirigée par l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) l'année dernière, des responsables chinois sont attendus au Royaume en décembre prochain pour finaliser l’accord de reconnaissance bilatérale des procédures de contrôle et de certification, visant à ouvrir les frontières phytosanitaires entre les deux pays. Cet accord permettra d’harmoniser les protocoles de contrôle sanitaire et phytosanitaire du Maroc et de la Chine, pour permettre l’accès des fruits rouges marocains au marché chinois. « Les exportations vers la Chine seront lancées, au plus tard, au début de l’année prochaine », a appris Le Desk auprès de Mohamed Al Amouri, président de la Fédération Interprofessionnelle Marocaine des Fruits Rouges (Interproberries Maroc). Selon le président de l’Interproberries Maroc, il s’agit d’une étape majeure pour le développement de la filière. « Le marché chinois va nous permettre de nous développer, notamment en augmentant nos superficies et en diversifiant notre production », affirme Al Amouri. Et d’ajouter : « cette étape s’inscrit en ligne droite avec la stratégie de développement de la filière, qui vise des marchés de grande taille et à forte demande ». « Un potentiel énorme » « La Chine produit actuellement environ 4 millions de tonnes de fruits rouges, mais continue à augmenter ses exportations depuis le Mexique, le Chili, le Pérou et d’autres pays », indique le président de l’Interproberries Maroc, soulignant le « potentiel énorme » que représente ce marché. Les données présentées lors de la 5ème édition de la Morocco Berry Conference, tenue ce 14 novembre à Agadir sous l’égide de l’Interproberries Maroc et organisée par Green Smile, promoteur de solutions durables pour l’agriculture, et Hortitool Consulting, expert en innovation dans le secteur des fruits rouges, en disent long sur ce potentiel. Selon les données de l’Administration générale des douanes de Chine, les importations de myrtilles fraîches par ce pays se sont élevées au cours des huit premiers mois de 2024 à 11 336 tonnes, totalisant 101, 4 millions de dollars (M $). De plus, selon les projections du département américain de l’Agriculture, la demande sur les fruits rouges, qui affiche une croissance constante depuis 2017, devrait continuer à croître, alors que la consommation moyenne de ces fruits devrait atteindre 0,8 kilogramme par habitant par an en 2027. « Vu la taille du marché et le besoin, le potentiel est énorme. Il est à souligner qu’il y a deux années, lorsque nous avions commencé la prospection en Chine, nous étions sur 5 000 hectares, aujourd’hui nous sommes sur 7 000 hectares, soit une expansion de 25 % des superficies cultivées. Ce rythme de croissance pourra être accéléré avec l’évolution des exportations vers ce marché », commente Amine Bennani, président de l’Association marocaine des producteurs de fruits rouges (AMPFR). Des prix avantageux favorisant une montée en gamme rapide En plus de la taille du marché et de la demande croissante, le marché chinois offre un autre attrait pour les exportateurs marocains : des prix plus élevés à la vente qu’ailleurs. « Le marché chinois est l'un des mieux rémunérés pour les producteurs. Les consommateurs sont prêts à payer un prix premium pour une qualité premium », explique Huan Zhang, consultant international et fondateur et directeur-général de Twinkle Star Berry, société spécialisée dans la production et la distribution des fruits rouges en Chine. Cette caractéristique du marché chinois, dont les consommateurs sont plus séduits par la taille, la forme et le goût unique du fruit et sont en constante recherche de variétés de haute qualité, « pousse les exportateurs vers ce marché dans une montée de gamme rapide, ce qui accroit la valeur de leurs produits sur la chaîne internationale », explique encore cet expert. Le Maroc, ajoute Zhang, dispose également d’un important avantage compétitif. « La Chine produit de grands volumes tout au long de l’année, mais a toujours besoin d’importer. En regardant quels sont les pays qui peuvent fournir des fruits rouges de qualité à la Chine de décembre à juin, on trouve que les grands producteurs durant cette période de l’année sont le Mexique, l’Espagne et le Maroc. L’Espagne n’a pas accès au marché chinois et avec le Mexique, les droits de douanes sont très élevés. Cela laisse la voie ouverte pour le Maroc, qui a des accords intéressants avec la Chine », étaye-t-il. Un autre avantage dont dispose le royaume est son climat, caractérisé par des températures permettant l’évolution de fruits « de haute qualité ». Les myrtilles marocaines, en particulier, estime ce consultant chinois, ont un potentiel important sur le marché chinois. « La Sekoya est aujourd’hui l’une des variétés les plus prisées par les consommateurs chinois et les conditions climatiques au Maroc favorisent une croissance plus rapide de cette myrtille qu’en Chine, ce qui signifie que les producteurs marocains peuvent commencer à commercialiser leurs produits, bien avant que les récoltes chinoises ne soient prêtes », souligne aussi Zhang. Dans ce sens, Amine Bennani précise que le royaume cultive pas moins de 3 000 hectares de la variété Sekoya, « dont raffolent les Chinois », soit près de 70 % de la surface totale dédiées aux myrtilles. Par ailleurs, les producteurs marocains sont confiants de la valeur de leurs fruits rouges : « Les produits marocains trouveront facilement leur place sur le marché chinois. Nous avons développé une qualité de fruits reconnue internationalement et qui répond aux critères les plus strictes, nous avons développé nos procédés de contrôle et de certifications, aussi bien en amont, au stade de la production, qu’en aval dans les unités de conditionnement et nous savons gérer la logistique aérienne », se réjouit le président de l’AMPFR, l’expertise développée par les exportateurs marocains demeure le plus grand atout. a écrit: