Cela révèle brillamment leur fourberie, en 2021, ils ont tranché dans le vif en coupant le GME et la connexion électrique simultanément. Quelle fut leur déception de constater que cela n’avait eu aucun effet sur nous !
Maintenant quand je vois les prix du Gaz naturel au marché spot de Rotterdam 26$ le MWh (44$ le baril), ils doivent regretter amèrement, dépenser 10$ supplémentaire pour liquéfier le gaz pour le vendre au marché GNL à ce prix alors qu'ils pouvaient gratter des contrats indexés au brent avec le GME not to mention qu'avec le GME ils pouvaient augmenter leur part de marché en prenant la place du gaz russe. Le manque à gagner est énorme les gars, c'est une bénédiction du ciel ces imbéciles
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Sujet: Re: Économie marocaine Ven 10 Mai 2024 - 23:36
Enstone a écrit:
Socket-error a écrit:
Projet de liaison électrique Dakhla-Casablanca: nouveau report de l’appel d’offres !
Report également de l'appel d'offre de la ONCF pour le matériel roulant et de celui de la RAM. Ça commence à faire beaucoup !!! On attend quoi au juste ?!!
Purée mais c'est pas possible ça, même histoire que pour le chantier naval de Casablanca... ça me fou hors de moi, il se passe quoi en coulisses encore ?! On se moque de la France sérieusement pourquoi on a tant de mal à tourner la page ? il n'y a pas qu'eux dans le monde... ils ne nous apportent rien, ne sont pas pour notre intégrité territoriale et nationale, ils nous voient juste comme des clients (pigeons ?) pour vendre des TGV, des armes et le tout à un prix exorbitant !
Quel est le poids de la France sur l'échiquier international ? 0, walou, nada... donc arrêtons de perdre du temps avec ces gens là, même s'ils reconnaissent le sahara, qu'est-ce que ça va nous importer ?! la France ce n'est pas les états unis, ni la Chine, ni Israël, ni le Japon...
Je suis d'accord avec toi, mais dire que la France n'a pas de poids à l'international c'est un peu illogique, qu'on le veuille ou non ils sont membre permanent du conseil de sécurité et ils sont la seul puissance nucléaire de l'UE I hate their smugness, but we should be very pragmatic and careful in our international relations algerians are only waiting for our mistakes now
RED BISHOP Modérateur
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Sujet: Re: Économie marocaine Sam 11 Mai 2024 - 0:34
l'entreprise de livraison de produit médicales par drone Zipline pourrait s'installer au Maroc aprés le Rwanda, la Ghana, le Nigeria, le Kenya, etc....
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 11 Mai 2024 - 14:46
L'aéroport de Marrakech est devenu problématique, c'est très rare de voir des embouteillages dans les aéroports d'aujourd'hui. La cadence de développement des principaux aéroports du pays m'inquiette, dèja le terminal de Rabat depuis plus de 3 ans est toujours en phase gros oeuvres.
messages : 4160 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 11 Mai 2024 - 15:03
ONDA malheureusement
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Sujet: Re: Économie marocaine Sam 11 Mai 2024 - 21:03
Ce drone marocain permet de sécuriser les installations industrielles et certains sites sensibles !
Il utilise IA pour détecter les intrusions et fonctionne en version électrique et thermique ! Autonomie jusqu'à 10 jours pour certaines versions !
Une unité de production d'une capacité de 1 000 par an sera bientôt lancée !
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Shugan188 Modérateur
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Sujet: Re: Économie marocaine Sam 11 Mai 2024 - 23:04
Dans leur site ( https://www.aes.ma ) ,il cite les FAR comme référence.
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messages : 6690 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 12 Mai 2024 - 9:48
La plainte de cet escroc de Ahamoudi au CIRI pourrait nous coûter très cher.
Ce gars là avait sa place en prison, pour coruption et détournement de fond.
Au final, le faite de couvrir ses complices marocains fragilise notre position. Et les caisses de l'Etat risque de trinquer !!
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romh General de Division
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Sujet: Re: Économie marocaine Dim 12 Mai 2024 - 10:00
Depuis le début c'est pas lui le problème, cet affaire a deux volets le premier en relation avec les responsables corrompu qui lui ont permis d'accumuler toutes cette dette sans rien faire et le deuxième volet ceux qui ont poussé à la fermeture de la raffinerie pour se faire des milliards sur le marché local sans référence de prix(avec la SAMIR l'entente sur le prix et la manipulation des valeurs d'importation est Impossible) en plus SAMIR c'était presque 40% du marché apres sa fermeture sa part a été divisé entre les membres du cartel sous les yeux du gouvernement donc tout le monde est complice et à la fin c'est le contribuable qui va faire les frais
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Stinger Colonel
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Sujet: Re: Économie marocaine Dim 12 Mai 2024 - 10:14
Socket-error a écrit:
La plainte de cet escroc de Ahamoudi au CIRI pourrait nous coûter très cher.
Ce gars là avait sa place en prison, pour coruption et détournement de fond.
Au final, le faite de couvrir ses complices marocains fragilise notre position. Et les caisses de l'Etat risque de trinquer !!
Il faut pas hésiter à liquider judiciairement et aller voir les saoudiens ils vont l'embastiller avec un très grand plaisir ,il faut pas avoir peur du tabou de l'indemnisation des anciens salarié il faut le faire et remettre sur les rails la société et laisser l'affaire suivre son cour devant la justice on a pas de temps à perdre avec ça
romh General de Division
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Sujet: Re: Économie marocaine Dim 12 Mai 2024 - 10:23
Stinger a écrit:
Socket-error a écrit:
La plainte de cet escroc de Ahamoudi au CIRI pourrait nous coûter très cher.
Ce gars là avait sa place en prison, pour coruption et détournement de fond.
Au final, le faite de couvrir ses complices marocains fragilise notre position. Et les caisses de l'Etat risque de trinquer !!
Il faut pas hésiter à liquider judiciairement et aller voir les saoudiens ils vont l'embastiller avec un très grand plaisir ,il faut pas avoir peur du tabou de l'indemnisation des anciens salarié il faut le faire et remettre sur les rails la société et laisser l'affaire suivre son cour devant la justice on a pas de temps à perdre avec ça
Y en a qui veut pas que l'entreprise redémarre c'est ça le truc
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messages : 6690 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 12 Mai 2024 - 10:32
Stinger a écrit:
Socket-error a écrit:
La plainte de cet escroc de Ahamoudi au CIRI pourrait nous coûter très cher.
Ce gars là avait sa place en prison, pour coruption et détournement de fond.
Au final, le faite de couvrir ses complices marocains fragilise notre position. Et les caisses de l'Etat risque de trinquer !!
Il faut pas hésiter à liquider judiciairement et aller voir les saoudiens ils vont l'embastiller avec un très grand plaisir ,il faut pas avoir peur du tabou de l'indemnisation des anciens salarié il faut le faire et remettre sur les rails la société et laisser l'affaire suivre son cour devant la justice on a pas de temps à perdre avec ça
Cet escroc sa loyauté va vers l’Éthiopie et non les SA !
Al Amoudi a même fait partie de la purge anti corruption du prince Ben Salmane de Ryad en 2018 ! Il a payé pour s'en sortir !
C'était là en 2018 pendant son emprisonnement que nous aurions du agir pour le contraindre à solder l'affaire la Samir ! Ou l'emprisonner chez nous avant cette date pour corruption et détournement de fond, comment se fait t-il qu-il pouvait sortir des dividendes en devise alors que la société est déficitaire !?? Ou sont les CACs qui validaient les comptes ??
Maintenant cette enfoiré se cache et sous la protection de l’Éthiopie, car il pèse beaucoup au niveau de l'économie de ce pays !
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Sujet: Re: Économie marocaine Dim 12 Mai 2024 - 11:01
Socket-error a écrit:
Stinger a écrit:
Socket-error a écrit:
La plainte de cet escroc de Ahamoudi au CIRI pourrait nous coûter très cher.
Ce gars là avait sa place en prison, pour coruption et détournement de fond.
Au final, le faite de couvrir ses complices marocains fragilise notre position. Et les caisses de l'Etat risque de trinquer !!
Il faut pas hésiter à liquider judiciairement et aller voir les saoudiens ils vont l'embastiller avec un très grand plaisir ,il faut pas avoir peur du tabou de l'indemnisation des anciens salarié il faut le faire et remettre sur les rails la société et laisser l'affaire suivre son cour devant la justice on a pas de temps à perdre avec ça
Cet escroc sa loyauté va vers l’Éthiopie et non les SA !
Al Amoudi a même fait partie de la purge anti corruption du prince Ben Salmane de Ryad en 2018 ! Il a payé pour s'en sortir !
C'était là en 2018 pendant son emprisonnement que nous aurions du agir pour le contraindre à solder l'affaire la Samir ! Ou l'emprisonner chez nous avant cette date pour corruption et détournement de fond, comment se fait t-il qu-il pouvait sortir des dividendes en devise alors que la société est déficitaire !?? Ou sont les CACs qui validaient les comptes ??
Maintenant cette enfoiré se cache et sous la protection de l’Éthiopie, car il pèse beaucoup au niveau de l'économie de ce pays !
Il compte en éthiopie est une chose mais il compte pas pour nous , les saoudiens ont des levier sur lui et même sur l'Éthiopie il peuvent largement s'occuper de lui même aujourd'hui
Et comme j'ai dis le volet financier et judiciaire peux suivre son cours et la raffinerie peut continuer à vivre leurs destin n'est pas forcément liée tu fais une saisie sur les bien de amoudi au Maroc et tu rouvre une autre société publique et c'est reparti ça va demander des gros investissements mais avec le temps les comptes vont s'équilibrer et surtout la souveraineté du pays en sortira renforcé et la souveraineté ça a un prix
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messages : 6690 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 12 Mai 2024 - 11:08
Pourquoi devant nous compter sur les autres pour faire le ménage chez nous ?!!
Entre États l'amitié n'existe pas ! C'est que des relations d’intérêts !
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Stinger Colonel
messages : 1729 Inscrit le : 18/06/2020 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 12 Mai 2024 - 12:14
Socket-error a écrit:
Pourquoi devant nous compter sur les autres pour faire le ménage chez nous ?!!
Entre États l'amitié n'existe pas ! C'est que des relations d’intérêts !
On a pas parler de compter sur les autres , on parle d'agir pour pour lextrader ou du moin récupérer notre mise vu qu'il c'est enfui
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 12 Mai 2024 - 16:53
Dans la droite ligne des rapports réalisés par le CESE en 2020 sur la transition énergétique ainsi que celui sur le Nouveau Modèle de développement (NMD), les rapporteurs du Conseil de la concurrence (CC) se posent une question simple, bien que formulée différemment : comment se fait-il que le Maroc, qui dispose d’un véritable potentiel en énergies renouvelables attirant la convoitise de tant d’investisseurs potentiels, ait un prix du kilowattheure élevé, et que la production d’énergie renouvelable, notamment solaire, soit aussi peu développée ? Le Conseil de la concurrence, à travers le prisme du prix de l’électricité, attaque les diverses entraves institutionnelles, juridiques, économiques et pratiques qui ont mené à cette situation, ainsi que les nombreux retards que connaît le cadre réglementaire et de gouvernance du secteur. Sortir du statu quo pour baisser les prix L’objectif à terme, pour le Conseil, est de parvenir à un coût de l’électricité moyen du mix avoisinant 0,60 DH par Kwh produit dans un délai de 20 ans contre un peu plus de 0,90 DH/Kwh actuellement et de sortir graduellement des énergies fossiles. Car pour le CC, les niveaux des prix actuels relèvent de la responsabilité de la situation non concurrentielle du marché engendrée par la prédominance de l’ONEE sur le secteur, et par le retard de l’implémentation du cadre réglementaire permettant un développement massif de la production renouvelable. Selon les données de l’avis, les capacités électriques installées ont augmenté de 72% entre 2012 et 2023. Celles développées par l’ONEE ont augmenté de 3% alors que celles détenues par les producteurs indépendants, que ce soit ceux liés par des contrats d’achat d’électricité (PPA) avec l’ONEE ou MASEN ou dans le cadre du marché libre de l’électricité, ont crû de 274% pour la même période. Cependant, bien qu’il souligne que le "marché libre" renouvelable représente près de 8% de la production nationale actuellement, et qu’il est dominé par trois acteurs, le Conseil ne s’arrête pas sur la situation de la concurrence dans ce marché, ni sur la transparence des mécanismes de fixation des prix des opérateurs, en grande partie adossés aux prix du marché "non libre". Il n’analyse tout simplement pas la structure des marges de ces opérateurs ni les situations de rente potentielles de ce marché, ni celui de la distribution d’ailleurs. Il s’arrête, par contre, longuement sur les finances de l’ONEE qui, selon lui, domine le marché en tant qu’"acteur public, intégré verticalement sur toute la chaîne de valeur" ; et qui du fait des nombreux retards pris dans la libéralisation du marché, la réforme de sa gouvernance et les retards pris par le cadre institutionnel et réglementaire, embourbent l’ONEE dans une situation financière "critique" et "intenable" avec une dette "colossale". Au niveau des recommandations, la part belle revient naturellement à l’opérateur historique avec plus de la moitié des recommandations. L’avis va même jusqu’à proposer une organisation alternative de l’ONEE et à travers lui l’ensemble de l’écosystème. Il apporte ainsi une vision à long terme du secteur ainsi que des actions à mettre en place à court terme. 78% de la production est déjà privée L’objectif de l’avis est de pousser vers une plus grande libéralisation du marché de l’électricité en ouvrant tous les segments qui peuvent l’être au privé et donc à la concurrence. Selon la logique du Conseil, cette ouverture devrait naturellement faire baisser les prix de l’électricité produite et distribuée. Dans ce sens, un des premiers segments concernés est celui de la production. Déjà partiellement libéralisée entre 1994 et 2009, cette partie du marché est dominée par des producteurs indépendants (IPP) qui vendent leur électricité à travers des PPA (contrat de vente d’électricité) sur le long terme à l’ONEE (67% de la production nationale) et des producteurs d’énergie renouvelable (loi 13-09) qui revendent aussi leurs surplus à l’ONEE, ainsi que des contrats spécifiques avec MASEN (4,5%) aussi soumis au PPA et qu’il revend à l’ONEE. La plupart de ces contrats PPA, estime le Conseil, font porter une grande partie du risque sur l’ONEE, acheteur exclusif. En effet, c’est l’ONEE qui supporte la fluctuation des cours des matières pour le compte des IPP, c’est-à-dire le fioul, le gaz naturel et surtout le charbon. Les prix des PPA sont, bien que ce n’est pas clairement explicité par l’avis du CC, divisés en deux parties. Le coût de la capacité installée ou les charges fixes : essentiellement l’amortissement de la dette et de l’investissement ainsi que les marges des concessionnaires, et la partie variable qui est essentiellement constituée des charges d’achat des consommables et de fonctionnement des centrales dépendant du marché international. L'ONEE, une caisse de compensation cachée Lors des épisodes d’inflation des prix de l’énergie au niveau international, l’ONEE est doublement pénalisée : il se fait facturer très cher les intrants fournis aux centrales, prenant tous les risques de change et de matière. Il achète aussi l’électricité au prix majoré, qu’il en ait besoin ou pas (dans le cadre du principe take or pay). Avec la fixation administrative des prix par décret, les surcoûts ne sont pas récupérés et l’ONEE se retrouve dans une situation de caisse de compensation cachée, supportant ces différences de prix et creusant d’autant son déficit. En outre, la flexibilité de l’Office dans l’arbitrage entre sources d’énergies fossiles ou renouvelables (qui a un prix constant puisqu’elle ne dépend pas du marché international des matières) est limitée par les contrats PPA. Cela même si les sources de production en EnR ne sont pas nombreuses. Casser les PPA, mais à quel coût ? Pour faire face à cette situation de dépendance, le Conseil recommande d’évaluer la compétitivité des prix d’achat de l’électricité de chacun des PPA (signés par l’ONEE et par Masen), soit près de 72% de l’électricité produite au Maroc. Le Conseil ne donne pas de critère pour cette évaluation. Il ne s’est, en effet, pas penché sur la structure de coûts et de rentabilité de ces derniers, bien qu’ils relèvent du marché et qu’ils sont les principaux fournisseurs de puissance au niveau national. Mais il recommande de sortir des contrats s’ils ne sont pas compétitifs ou de renégocier leurs durées dans le temps pour en faire baisser les prix pour ceux qui sont intéressants. Il est à signaler que pour sortir d’un PPA, l’Office doit casser des contrats signés sur le très long terme (par exemple, le PPA de la centrale de Jorf Lasfar détenue en majorité par Taqa Maroc court jusqu’en 2044 et celui de Safi détenu par NAREVA-ENGIE-MITSUI court jusqu’en 2048). Pour ce faire, il faut payer les marges attendues des concessionnaires, c’est-à-dire le taux de rendement interne (TRI) de leurs investissements (compris selon nos sources entre 12 et 17%), actualisés sur le restant de la durée des contrats. Il faudra en outre prendre en charge les dettes contractées pour la construction des centrales concernées. TRI et dette sont les éléments centraux des contrats de concession, en plus de diverses clauses de rupture inclus dans les accords, qu’il faudra évaluer financièrement. Le Conseil ne précise pas non plus comment racheter ces PPA. Est-ce l’ONEE directement ou une structure ad hoc à créer par l’Office ou l’Etat et avec quels moyens ? Il recommande que les centrales qui tombent dans l’escarcelle publique après extinction de ces contrats, grâce à ce subterfuge, soient revendues au privé et qu’une partie des revenus issus de ces reventes servent à résorber la dette de l’ONEE. En gros, acheter par anticipation des actifs (encore privés jusqu’à extinction des PPA) pour les revendre à d’autres privés. Privatiser les centrales ONEE malgré le risque de blackout ? En parallèle, il recommande spécifiquement que l’ONEE sorte de la production (22% de l’énergie produite annuellement) et donc cède ses capacités de production au privé sans préciser à qui (capital national ou étranger), ni de rentrer dans le détail des mécanismes d’achat de l’électricité, par la suite, afin d'assurer la continuité du service. Une position loin d’être dominante dans l’écosystème électrique, puisque la possession de centrales de réserves est considérée, y compris par la loi, comme nécessaire pour le maintien de la sécurité du réseau et la prévention des blackouts. L’avis du Conseil est d’ailleurs ambivalent sur le sujet puisqu’il évoque parfois la nécessité de maintenir des "contrats" de production pour le backups et d’autres il parle de maintiens d’"actifs". Entre la production de l’ONEE en propre ou à travers les PPA, il s’agit au total de plus de 90% de l’électricité produite actuellement. Le Conseil préconise ainsi brièvement que "le marché devrait être alimenté par des Acteurs Privés Indépendants (IPP) organisés de façon centralisée autour d’un acteur public "ONEE Acheteur Transporteur et Planificateur" qui serait l’acheteur central de long terme avec une garantie de l’État vis-à-vis des Acteurs Privés Indépendants (IPP)". Et d’ajouter que "le modèle d’acheteur central [ONEE, ndlr] avec une garantie d’achat reste un élément fondamental pour apporter la visibilité à long terme nécessaire pour déclencher les investissements dans les actifs de production, qui sont de nature capitalistique, à longs cycles de fonctionnement et longs délais de réalisation". Le Conseil ne fait pas de recommandations sur la manière dont va fonctionner le nouveau marché. Est-ce qu’il va y avoir de nouveaux PPA à signer entre l’ONEE 2.0 avec les nouveaux propriétaires des centrales privatisées ? Est-ce qu’il va y avoir une bourse de l’électricité comme c’est le cas en Europe, ou s’agira-t-il d’autres mécanismes d’achat comme du gré à gré à long terme ou spot dans le cas des capacités de backup pour assurer la sécurité d’approvisionnement ? La structure de défaisance pourra-t-elle alléger la dette ? Le CC ne prend pas non plus en compte les risques juridiques et de réputation de la sortie des PPA, et par conséquent les risques sur l’attractivité d’un tel revirement stratégique pour les investisseurs privés quelles que soient leurs origines. Conscient que la sortie de contrats de concession en majorité internationaux, même s’ils ne seraient pas rentables, comporte des charges qui peuvent être importantes, le CC propose de créer une structure de défaisance pour porter les coûts de cette sortie des PPA. Dans la droite ligne des recommandations de la partie énergie du NMD, c’est le même mécanisme (la structure de défaisance) qui est proposée pour baisser la dette de la branche électricité qui a atteint plus de 66 milliards de dirhams en 2023. Encore une fois, le CC ne précise pas concrètement quels mécanismes seront mis en place pour la création de la structure de défaisance qui supportera ses coûts, quel mécanisme de remboursement et de garantie de l’Etat, qui pourrait être intéressé par ce marché et qui va payer en dernier ressort… Il propose que les "revenus de cette structure de défaisance pourraient provenir de deux sources : d’une part, les recettes relatives à la cession des actifs associés aux actifs de production récupérés auprès de l’Office, et d’autre part, un prélèvement de quelques centimes sur l’énergie électrique circulant sur le réseau pendant une période déterminée". Un schéma hypothétique qui comporte plusieurs inconnues, notamment les niveaux de rentabilité accordés aux investisseurs qui se reflèteront inexorablement sur les coûts d’achat de l’électricité, l’attractivité de centrales fossiles obsolètes ou en fin de vie pour les investisseurs et les sources de financement de tels investissementS, la nature du mix électrique ciblé, les contraintes d’une très forte tendance à la décarbonation au niveau international sur les investisseurs et les bailleurs, etc. Privatiser le transport, mais quid de la souveraineté ? L’autre recommandation du Conseil a trait au transport. Dans la nouvelle configuration de l’ONEE 2.0, imposée par la loi 48-15, le rôle de gestionnaire de réseau échoit naturellement au monopole public. L’ONEE Gestionnaire du Réseau de Transport (GRT) devra selon le Conseil avoir "les missions de planification et de gestion du réseau public de transport sur les lignes THT et HT, y compris l’interconnexion avec d’autres réseaux". Toutefois, la propriété de l’actif réseaux de transport n’est pas très détaillée au niveau de l’avis. Il recommande d’"évaluer la pertinence d’un nouveau schéma organisationnel dans la gestion du segment de transport, moyennant l’ouverture du capital du GRT aux investisseurs privés, ou du moins l’élargissement du modèle PPP pour une application dans la réalisation de ce type d’infrastructures". Donnant en cela l’exemple de la nouvelle ligne de très haute tension en courant continu à construire entre Dakhla et Casablanca, l’avis suggère que le réseau échoit au privé qui assurera le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance des lignes existantes ou à venir. Encore une fois, l’avis du Conseil passe sous silence l’origine du capital. Les actifs de transport électrique, notamment en THT et HT, étant éminemment stratégiques, aussi bien pour la sécurité d’approvisionnement qu’en termes de sécurité nationale, leur caractère souverain est un prérequis de base. Des mécanismes de financement de long terme de type Organisme de Placement Collectif à capital national avec un rendement garanti de 6 ou 7% ainsi qu’une majorité relative de propriété garantie (34-35%) pour le GRT aurait pu être évoqués comme solution de financement de cette transition pour souligner ce caractère souverain. L’autre point négligé dans les mécanismes de financement, aussi bien du déficit de l’ONEE que celui de la maintenance et du développement du réseau de transport, est celui des pertes de ce réseau. Réduire les taux de perte, une mission dévolue aux SMR Avec un taux de perte avoisinant les 20%, c’est un manque à gagner de près de 4 milliards de dirhams annuellement pour l’ONEE. Un plan ambitieux pour réduire ces pertes, notamment au niveau du réseau de distribution, soumis massivement au phénomène de vol d’électricité, pourrait améliorer fortement leur rentabilité et à terme baisser significativement le déficit de l’Office tout en améliorant le rendement global du réseau. Il est à signaler que l’ONEE, à travers le PERG, programme de généralisation de l’électrification rurale, a massivement investi les 15 dernières années. Ainsi plus de 42 000 villages ont été raccordés au réseau grâce à la mise en place de 140 000 km de lignes basse tension, 52 000 km de lignes moyenne tension et 26 000 postes de transformation. Au total, c’est un investissement de 25 milliards de dirhams sans compter le renforcement des lignes et postes transport ainsi que les moyens de production. Une partie substantielle de son endettement provient ainsi de cette politique publique ce qui explique en partie la situation actuelle de l’Office. Coté distribution, l’avis prend acte de la sortie de l’ONEE de cette activité en faveur des sociétés régionales multiservices qui devront récupérer tout cet actif. Et comme expliqué dans la première partie, le CC préconise la sauvegarde du caractère public de ces SMR dont le monopole sur ce service est "justifié". Cet étage institutionnel pourrait faire baisser les pertes dans le réseau de distribution de l’ONEE qui lui échoira, mais le privera de ressources. Ceci dit, le rapport n’évoque pas les difficultés de coordination ni la démultiplication des étages décisionnelles entre les divers acteurs et leurs implications des prix de vente de l’électricité, mais propose un rôle plus actif de la régulation du secteur pour assurer cet objectif. Une régulation plus forte et indépendante est nécessaire Sur ce point, le Conseil recommande le renforcement de l’Autorité nationale de régulation de l’électricité (ANRE) à travers "la mise en place d’un seul régulateur de l’énergie plutôt que deux régulateurs distincts pour le gaz et l’électricité". L’ANRE 2.0 devra selon le Conseil être associée en amont dans la supervision des opérateurs et du processus de planification et d’investissement, ainsi que dans la fixation des tarifs réglementés de vente d’électricité, de transport, avec un rôle prépondérant dans l’octroi des autorisations de production d’EnR et de connexion au réseau national. L’avis positionne ainsi l’ANRE 2.0 comme garant de l’équilibre économique du marché et de sa transparence. Pour cela, elle devra disposer de ressources financières et humaines supplémentaires pour s’acquitter convenablement de l’ensemble des missions additionnelles. a écrit:
Le volume des transactions a la bourse passe de 13-14 millions de dollars en 2023 a 21 millions de dollars en 2024. La Bourse de Casablanca est la 2eme Bourse d'Afrique aprés les Sidaf
Sujet: Re: Économie marocaine Lun 13 Mai 2024 - 9:11
Premièrement, le Maroc à besoin du nucléaire et des renouvelables, deuxièmement, il nous faut plus de liberté économique et moins de bureaucratie sinon on ne dépassera jamais l'AFdS.
Sujet: Re: Économie marocaine Lun 13 Mai 2024 - 10:36
sirono a écrit:
Premièrement, le Maroc à besoin du nucléaire et des renouvelables, deuxièmement, il nous faut plus de liberté économique et moins de bureaucratie sinon on ne dépassera jamais l'AFdS.
Liberté économique c'est a double tranchant. une liberté économique tout en évitant un d'ingérence et gardé une main sur l économie. Nous avons vu qu'on le groupe ONA c'est retirer de certaine activité économique se qui et arriver.
Moi j' aime exemple canadien c'est un pays libéral mes l Etat garde le contrôle au maximum.
- Hydro-Québec ( provincial)
- Petro Canada ( fédéral toujours actionnaires)
- SAQ (Provincial) toute la commercialisation et la vente de l'alcool et des spiritueux passe par le provincial c'est pas privatisé et c'est vraiment une machine à fric inimaginable pour le gouvernement provincial ils ont le monopole dans tous les alcools et spiritueux sauf les bières c'est un exemple qu'on devrait suivre à 100 % et ça générera beaucoup de cash pour l'État.
- CAE il y a toujours un léger contrôle par des actionnaires et des fonds d'investissement et de retraite canadien
Ils y a quelques raté comme Bombardier c'est un peu parti en vrille.
Oui pour la liberté économique mais avec le type de rentier qu'on a et la psychologie de ces gens-là c'est très dangereux ils peuvent vendre tout le pays pour acheter des demeures en Californie au à Miami ou je sais pas où on risque de libanisé le Maroc et d'avoir une sorte d'élite qui vive à l'étranger et déconnecté qui décide pour le Maroc (Liban).
Il faut des bonnes personnes patriotes et il faut pas permettre à certaines familles qu'ils ont rien prouvé depuis des décennies de rester encore dans le monde des affaires il faut les combattre ils ont donné aucune plus-value au Maroc depuis 30 ans il nous faut des profils genre
Quand on aura des chefs d'entreprise de cette trampe là je suis d'accord avec libéralisé et tout le reste. Aujourd'hui des Akhenouch des Belkhiyar des MHL des Darham des Bouayda des Bicha des Belhasan (Agadir) les autres ils bougent un peu ( air arabia crédit du Maroc).
Alors quand vous dites liberté économique et moins de bureaucratie des fois je pense que la bureaucratie et le protectionnisme c'est le dernier rempart contre ce type de profil psychologiquement le monde des affaires marocain il est pas encore prêt pour une liberté économique on aura des prêt-non de saoudien de qatari de français de emarati lui il est sous la tutelle US il aura une sorte de libanisation du Maroc comme ce que j'ai dit précédemment on n'est pas encore prêt je suis pour des sociétés fortes marocaines comme le groupe Almada et l OCP et finance.com ....
Mais pas des petits clowns qui s'achète des vies et des histoires de golden boy avec de l'argent et des compagnies RP et des actions des journaux et des sites internet.
Sujet: Re: Économie marocaine Lun 13 Mai 2024 - 11:37
Il y a un moyen de rendre cette élite déconnectée, connectée au pays et aux autres classes, le service civique/militaire pour tout le monde. C'est à dire kilimini va cotoyer le peuple
En Suisse par exemple, le service militaire peut-être remplacé par le service civile et il faut le faire entre 18 ans et 30 ans. En Corée du Sud, le service militaire est obligatoire pour tout le monde.
Dernière édition par jrad-killer le Lun 13 Mai 2024 - 12:35, édité 1 fois
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Sujet: Re: Économie marocaine Lun 13 Mai 2024 - 12:05
Sujet: Re: Économie marocaine Lun 13 Mai 2024 - 16:31
Darkvador a écrit:
sirono a écrit:
Premièrement, le Maroc à besoin du nucléaire et des renouvelables, deuxièmement, il nous faut plus de liberté économique et moins de bureaucratie sinon on ne dépassera jamais l'AFdS.
Liberté économique c'est a double tranchant. une liberté économique tout en évitant un d'ingérence et gardé une main sur l économie. Nous avons vu qu'on le groupe ONA c'est retirer de certaine activité économique se qui et arriver.
Moi j' aime exemple canadien c'est un pays libéral mes l Etat garde le contrôle au maximum.
- Hydro-Québec ( provincial)
- Petro Canada ( fédéral toujours actionnaires)
- SAQ (Provincial) toute la commercialisation et la vente de l'alcool et des spiritueux passe par le provincial c'est pas privatisé et c'est vraiment une machine à fric inimaginable pour le gouvernement provincial ils ont le monopole dans tous les alcools et spiritueux sauf les bières c'est un exemple qu'on devrait suivre à 100 % et ça générera beaucoup de cash pour l'État.
- CAE il y a toujours un léger contrôle par des actionnaires et des fonds d'investissement et de retraite canadien
Ils y a quelques raté comme Bombardier c'est un peu parti en vrille.
Oui pour la liberté économique mais avec le type de rentier qu'on a et la psychologie de ces gens-là c'est très dangereux ils peuvent vendre tout le pays pour acheter des demeures en Californie au à Miami ou je sais pas où on risque de libanisé le Maroc et d'avoir une sorte d'élite qui vive à l'étranger et déconnecté qui décide pour le Maroc (Liban).
Il faut des bonnes personnes patriotes et il faut pas permettre à certaines familles qu'ils ont rien prouvé depuis des décennies de rester encore dans le monde des affaires il faut les combattre ils ont donné aucune plus-value au Maroc depuis 30 ans il nous faut des profils genre
Quand on aura des chefs d'entreprise de cette trampe là je suis d'accord avec libéralisé et tout le reste. Aujourd'hui des Akhenouch des Belkhiyar des MHL des Darham des Bouayda des Bicha des Belhasan (Agadir) les autres ils bougent un peu ( air arabia crédit du Maroc).
Alors quand vous dites liberté économique et moins de bureaucratie des fois je pense que la bureaucratie et le protectionnisme c'est le dernier rempart contre ce type de profil psychologiquement le monde des affaires marocain il est pas encore prêt pour une liberté économique on aura des prêt-non de saoudien de qatari de français de emarati lui il est sous la tutelle US il aura une sorte de libanisation du Maroc comme ce que j'ai dit précédemment on n'est pas encore prêt je suis pour des sociétés fortes marocaines comme le groupe Almada et l OCP et finance.com ....
Mais pas des petits clowns qui s'achète des vies et des histoires de golden boy avec de l'argent et des compagnies RP et des actions des journaux et des sites internet.
Je suis totalement d'accord sur le model québécois, ca rapporte tellement de ressources à réinvestir dans la société par le gouvernement. L'éducation est très accessible à tous grace à la manne d'hydroquébec et cie. Le Québec a privatisé ce qui faisait du sens à privatiser et a garder les industries clés publique. On ne devrait pas privatiser les poules aux œufs d'or, juste les business qui ont besoin de la flexibilité que la gestion privée peut amener.
Les vices comme les casino, la SAQ et la SQDC sont la propriété de l'état. Vu que ca devient légal, il vaut mieux que le gouvernement récupère les profits et l'utulise pour améliorer la société au lieu d'aller dans les poches de billionaires. En plus ca permet une gestion humaniste de ces aspects, des campagnes contre l'addiction et etc.
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Sujet: 1 milliards de dollars a Tanger Tech Mar 14 Mai 2024 - 18:28
Tanger Tech a officialisé l'installation des usines des groupes chinois Hailiang et Shinzoom
Hailiang : 450 millions de dollars des cette année et 1800 emplois. Fabrication de pièces en cuivre. Shinzoom : 460 millions de dollars avec 2000 emplois. Fabrication d'anode pour batterie
soit un total de 910 millions de dollars ( quasiment 1 milliards) et 3800 emplois. ( Renault Tanger a ses débuts...)
Ils viendront compléter BTR New Material ( 300 millions de dollars et 2500 emplois)
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Stinger Colonel
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Sujet: Re: Économie marocaine Mar 14 Mai 2024 - 18:39
[quote="RED BISHOP"]Tanger Tech a officialisé l'installation des usines des groupes chinois Hailiang et Shinzoom
Hailiang : 450 millions de dollars des cette année et 1800 emplois. Fabrication de pièces en cuivre. Shinzoom : 460 millions de dollars avec 2000 emplois. Fabrication d'anode pour batterie
soit un total de 910 millions de dollars ( quasiment 1 milliards) et 3800 emplois. ( Renault Tanger a ses débuts...)
Ils viendront compléter BTR New Material ( 300 millions de dollars et 2500 emplois)
Les qnodes et les catodes ça a l'air de rien mais mine de rien c'est très important dans tout ce qui est produit moderne c'est une excellente nouvelle
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Sujet: Re: Économie marocaine Mar 14 Mai 2024 - 18:42
l'Anode (+) + la Cathode (-) = Batterie électrique
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RED BISHOP Modérateur
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Sujet: Re: Économie marocaine Mar 14 Mai 2024 - 19:17
RED BISHOP a écrit:
Tanger Tech a officialisé l'installation des usines des groupes chinois Hailiang et Shinzoom
Hailiang : 450 millions de dollars des cette année et 1800 emplois. Fabrication de pièces en cuivre. Shinzoom : 460 millions de dollars avec 2000 emplois. Fabrication d'anode pour batterie
soit un total de 910 millions de dollars ( quasiment 1 milliards) et 3800 emplois. ( Renault Tanger a ses débuts...)
Ils viendront compléter BTR New Material ( 300 millions de dollars et 2500 emplois)